
Contacté : Apolinar Alberto Villa, surnommé Paul Villa
Planète du contact : Planète dont le nom n’est pas précisé, en orbite probable autour de l'étoile 12 Coma Berenices (à 276 années-lumières) dans l’amas d’étoiles du Coma, appelé aussi MEL111 (catalogue Melotte). Cet amas est situé à la distance moyenne de 280 années-lumières, dans la constellation Coma Berenices (la Chevelure de Bérénice en français)
Dû à la disparition complète des 800 pages de notes de Paul Villa avec ses contacts, qui devaient être données après sa mort pour publication, nous ne disposons que des photographies prises par lui au long des années qu'il a rendues publiques. Essentiellement ce cas est donc un récit de circonstances de contact avec des photographies, de belle qualité le plus souvent. Mais on n'aura que peu d'informations sur la vie des extraterrestres finalement, et leurs liens avec la Terre. A ce sujet il n'y a que quelques informations que Paul Villa a publiquement diffusées, un faible extrait de ses 800 pages de notes de contact qui existaient vraiment comme peut l'attester Wendelle Stevens à qui ces notes ont été montrées sans qu'il puisse en lire le détail.
Les photos font partie de ces photos nettes et prises de près comme le sont celles de Billy Meier, et tout autant critiquées par les debunkers pour qui c'est trop beau pour être honnête.
Sommaire cliquable de liens internes :
• Planète d'origine des contacts
• Identité du contacté
• Epoque et lieu du contact
• Publication de l'histoire
• Comment a eu lieu le contact
• Apparence des habitants de Coma Berenices
• Description de leur monde et de leur civilisation
➠ Extrait 1 : vaisseaux spatiaux
➠ Extrait 2 : le pourquoi du contact avec la Terre
➠ Extrait 3 : atterrissage sur Terre en Antarctique
➠ Extrait 4 : intervention des êtres de Coma Berenices sur la sonde spatiale vers Mars
➠ Extrait 5 : les notes de contact et ensembles de photos sur une autre planète, non publiés
🔗 Liens vers des documents plus complets sur ce contact
Planète d’origine des contacts :
Ils sont originaires d’une planète située autour d’une étoile que Wendelle Stevens indique comme probablement 12 Coma Berenices (il doit tenir cela de Paul Villa qu'il a rencontré plusieurs fois), de la constellation de Coma Berenices (constellation de la Chevelure de Bérénice). Cette étoile semble être précisée par une flèche sur une carte spatiale donnée dans le livre de Wendelle Stevens. 12 Coma Berenice est indiquée à 276 années lumières (+ ou - 5 années-lumières) dans des catalogues astronomiques. L’amas d’étoiles d’où ils viendraient dans cette constellation est désigné MEL111 du catalogue MEL, à environ 280 années-lumières de nous. Il est dit parfois par Paul qu'ils viennent d'une distance de « plusieurs années lumières » depuis Coma Berenices.



Lors de leurs contacts, ils ont autorisé Apolinar Villa à prendre des photographies de leur vaisseau et pour cela ils ont posé, en se mettant à courte distance de lui de façon immobile en vol stationnaire, afin qu’il obtienne des clichés exceptionnels. C’est avec Billy Meier, un des rares cas de photographies nettes et belles car elles ne sont pas prises au vol par hasard ou dans la précipitation, mais lors d’un vol de parade volontaire pour la prise en photo par le contacté, afin de donner des preuves.
Identité du contacté :
Apolinar Alberto Villa Junior de son nom complet, est né le 24 septembre 1916 à Albuquerque au Nouveau Mexique, aux USA. Il est surnommé Paul Villa, et il est d'origine amérindienne, espagnole, allemande et écossaise.
Bien qu'il n'ait pas terminé la dixième année d'école, il semble avoir été bien versé dans des matières telles que les mathématiques, l'électricité, la physique et la mécanique. Il avait également un talent inhabituel pour détecter les défauts des moteurs, des générateurs et d'autres machines de ce type, un talent qui lui a bien servi dans sa profession de mécanicien, d'abord dans l'armée de l'air, puis en tant que citoyen privé.
C’est un ancien combattant de la Deuxième Guerre mondiale (un vétéran). A son retour de la guerre, il s'est installé dans le sud-ouest des États-Unis. Il y travaille comme mécanicien. Il y vit avec sa femme que Wendelle Stevens appelle Eunis dans son livre. Wendelle Stevens dit aussi que c'est une épouse qu'il a ramené d'Europe avec lui, et s'est installé avec elle.

Il a été contacté pour la première fois physiquement en 1953 alors qu’il travaillait au département de l'eau et de l'électricité à Los Angeles, en Californie du Sud, par de grands êtres humains extraterrestres qui lui ont dit qu'ils venaient d'un groupe d'étoiles de la constellation Coma Berenices (chevelure de Bérénice) dans nos livres d'astronomie, dont il a pu voir l’engin spatial en forme de soucoupe volante. Ils se sont adressés à lui dans sa langue maternelle, l'espagnol, mais lui ont aussi parlé couramment l'anglais. Ils ont dit qu'ils venaient ici depuis très longtemps, et qu'ils connaissaient bien notre civilisation. Ils ont dit qu'ils avaient des bases actives sur notre Lune et sur Mars et Vénus, des plates-formes d'observation, à partir desquelles ils surveillaient notre développement.
Dans un autre contact où il a été emmené par guidage télépathique en 1963, ils l'ont invité à photographier leurs vaisseaux, et ils ont en fait posé à cette fin.
Son appareil photo était très simple et de basse résolution, mais il a pu prendre des séries d’excellentes photographies des vaisseaux qu’il a rendus publics.
Il aura un autre contact physique en 1965 avec de nouvelles photographies prises, puis de nombreux autres. Paul indiquera qu’il avait été en contact télépathique avec des êtres extraterrestres depuis son âge de 5 ans.
Il a fait connaître ce qui est arrivé à un enquêteur, car c’était une volonté des extraterrestres qu’il témoigne, mais il a cherché à rester discret, une fois son histoire donnée. Il a cherché à rester tranquille, à garder un profil bas, et n’a jamais fait en sorte de faire de la publicité autour de son histoire.
Il a été raillé par les habituels debunkers, et il s’est désintéressé de l’avis des spécialistes du domaine Ovni, ayant sa vérité pour lui et son histoire de contact qu’il garde comme personnelle. Comme d’habitude dans ces cas là il a été accusé de fraude, mais jamais aucune preuve n’a été apportée d’aucune fraude. Il a été accusé de suspendre ses soucoupes par des fils invisibles à des branches d’arbre, en prenant comme exemple des photos avec des arbres et une soucoupe. Mais en oubliant complètement les nombreuses photos où les soucoupes sont prises en terrain complètement dégagé avec aucun arbre dans les parages. Les habituels debunking basiques qui cherchent à détruire ce qu’ils ne veulent pas entendre. Il a été moqué par quasiment tout le monde, que ça soit ses voisins ou autres. Ses photos étaient trop nettes pour être considérées comme vraies.
Son histoire a été diffusée par l’enquêteur Gabriel Green qui a investigué en profondeur, et a publié le cas en 1965 (dans le journal UFO INTERNATIONAL, numéro 23, d’octobre 1965).
L’attention non désirée suite à cet article dérangeait tellement Paul et lui prenait tellement de temps, qu'elle commença à affecter son travail. Il a quitté son travail et a déménagé, sans laisser d'adresse.
Paul Villa et sa femme avaient déménagé de Los Angeles (Californie) vers le Nouveau-Mexique à la suite de la publication de son histoire par Gabriel Green dans le journal UFO International, afin de rester tranquilles.
Mais sa nouvelle adresse fut vite trouvée et les gens affluaient dans sa propriété du nouveau Mexique pour essayer d’obtenir de lui des copies de ses photos d’une incroyable qualité. Ils lui volaient parfois diverses choses comme souvenir, ce qui le mettait particulièrement en colère.
Il prend sa femme et son fils et déménage à nouveau, dans une petite ville obscure située dans le désert au sud d'Albuquerque où il pourra être enfin tranquille.
Paul aura d’autres contacts ultérieurement, avec de nouvelles photos prises en 1966, en 1972, et aussi en 1977 de nouveau, mais les contacts ont été plus nombreux que les périodes de photos diffusées. En fait il avait envoyé des photographies à quelques amis qui lui avaient promis le secret et ont fini par les diffuser publiquement alors qu’il ne le désirait pas.

Il indiquera aussi plus tard avoir pris des séries de photographies sur une autre planète où il a été emmenée, mais que ces photographies ne seront pas rendues publiques. Certainement pour ne pas subir de nouvelles attaques des debunkers et rester tranquille. Wendelle Stevens en a vu plusieurs, et Paul Villa qui souffrait d’un cancer et savait mourir prématurément lui dit qu’il lui fera donner le tout après sa mort. Mais ce ne fut pas fait.

Wendelle Stevens : « Il avait d'autres séries de photographies qu'il ne m'a pas montrées à l'époque, disant qu'il me donnerait tout le casier de notes et de photographies après sa mort. Il souffrait d'un cancer de l'estomac qui se développait et je l'ai emmené voir un guérisseur philippin pour qu'il le soigne. Le guérisseur a dit que l'affection à l'origine du cancer persistait toujours et que, pour cette raison, il ne pouvait pas guérir Paul. »
Ainsi Paul Villa se savait condamné à ne pas mourir vieux à cause de ce cancer.
Wendelle Stevens écrira : « Mais le plus important est qu'il ne s'agit pas d'un cas isolé. Les contacts se sont poursuivis pendant de nombreuses années jusqu'à la mort de Paul Villa le 22 novembre 1980 à Los Lunas, au Nouveau Mexique, USA.
Villa a pris de nombreuses notes sur ses contacts et les dialogues qui ont eu lieu avec les extraterrestres, une collection de notes qui dépassait les 800 pages la dernière fois que je l'ai vue. Il a refusé qu'elles soient citées ou publiées de son vivant. Sa femme Eunis les a maintenant en sa possession et acceptera peut-être à l'avenir de les publier. »
Paul Villa décède en 1980 à l'âge de 64 ans, mais jamais ses volumineuses notes de contact relatant les conversations avec les êtres de Coma Berenices n’ont été publiés par son épouse après son décès, ou données pour publication.
Green écrira : « M. Villa ne cherche pas à se faire de la publicité personnelle, et nous pensons qu'il rend un grand service au public en publiant ces photos. Nous aimerions donner plus de détails à nos lecteurs, mais c'est tout ce dont nous disposons pour l'instant.
On nous dit que d'autres photos sont à venir, avec le temps, car Villa a eu d'autres contacts et a pris d'autres photos. Les photos seront diffusées, dit-il, sous la direction du peuple de l'espace. En attendant, nous vous proposons ce que nous considérons comme d'excellentes preuves de la réalité des soucoupes volantes - en fait, les meilleures preuves photographiques que nous ayons vues jusqu'à présent. »

Lien d'identification
Une recherche sur les informations données sur la tombe de Paul Villa indiquent selon les infos généalogiques (probablement déposées par des particuliers passionnés de généalogie) qu'il était marié avec une Helen Mae Reinhart en 1953. Mais des recherches simples montrent que celle-ci s'est remariée en 1971 avec une dénommé Thomas Emmanual Foar, qui décède 2 ans après en 1973.
Donc la femme de Paul Villa, Eunis, dont parle Wendelle Stevens, serait un second mariage (ou alors ils étaient en vie maritale sans être mariés). A priori ils étaient bien mariés car Wendelle Stevens parle de sa recherche vaine de "Eunis Villa". Lors de la photo prise en 1977 de Paul Villa, il dit que c'est une photo prise par son fils qui est un " jeune adulte" à ce moment-là. L'âge de la majorité est de 18 ans aux USA à cette époque (21 ans pour voter et boire de l'alcool mais sinon 18 ans pour le reste). Il est donc né au moins en 1969. A cette époque Paul devait donc être avec sa première femme Helen américaine de souche, si on suit les infos de généalogie.
Il y a toutefois un problème sur ces éléments de la vie privée de Paul Villa, car Wendelle Stevens indique bien que Paul Villa s'est marié avec Eunis qui est une épouse ramenée depuis l'Europe lors de la deuxième guerre mondiale, connue pendant l'occupation après la guerre. Et il parle de la même Eunis au moment du décès de Paul Villa, qui est partie en 1980 quand il est décédé. Cela indique donc que c'est la même personne tout du long, aucune histoire de remariage et donc Helen Mae est totalement étrangère à cette histoire. Alors il est probable qu'une erreur soit mentionnée dans les informations du conjoint Helen, de Paul Villa, sur les données généalogiques. Il y a quelque chose de pas cohérent sur cette information personnelle.
De plus l'orthographe de Eunis donnée par Wendelle Stevens est probablement erronée, et il paraît plus raisonnable que ça soit Eunice.
Nulle part on ne trouve mention du fils de Paul Villa sur internet pour faire une recherche complémentaire à ce sujet (on n'a même pas son prénom). Pas plus que de Eunis ou Eunice dont le prénom est donné par Wendelle Stevens. Ces gens ont cherché à passer incognito manifestement. Il faut dire que c'est ce que Paul a cherché à faire toute sa vie, car il était poursuivi à cause de ses photos.
Epoque et lieu du contact :
Dans plusieurs lieux du Nouveau Mexique, à quelques dizaines de kilomètres autour de Albuquerque, aux USA. De 1953 à 1982 (date du décès de Paul Villa).


Publication de l’histoire :
Paul Villa n’a rien publié nulle part, il ne faisait pas de conférence, ne vendait rien. Il avait permis à des gens d’obtenir des copies de ses photos, il ne les avait pas vendues. D’autres ont fait du business en vendant ses photos, mais pas lui. Il n’a jamais gagné d’argent avec son histoire, il n’a eu que des problèmes avec, mais il insistait sur sa réalité, tout en voulant rester tranquille, ne pas être ennuyé. Il avait témoigné pour Wendelle Stevens mais en demandant une anonymisation de son nom lors de la publication tant qu'il serait en vie.
Wendelle Stevens a publié en 2005 son livre « UFO contact from Coma Berenesis : the Paul Villa story » qui parle de toute l’affaire Paul Villa. Sans ce livre, le cas serait resté inconnu du public (sauf pour ceux qui se rappelaient des photos parues dans le pays en 1965).

Avant le décès de Wendelle Stevens en 2010, les droits de son livre sur l’affaire de Paul Villa ont été rachetés par un certain Timothy Green. Aucun lien avec l’enquêteur Gabriel Green qui avait enquêté sur Paul Villa en 1965.
Timothy Green republiera le livre de Wendelle Stevens avec le même contenu, avec un contenu photo couleur de qualité la meilleure possible pour les photos. Fondamentalement ce livre n’apporte donc rien de plus car c’est une re-publication du livre de Stevens, en meilleure qualité des photos à priori, mais il existe un bonus appelé « the friendship contact case » qui peut avoir un intérêt, je ne l’ai pas lu donc je ne sais rien de ce chapitre. Est-ce qu’il parle d’un autre contacté du même monde ? Le titre du livre est « The secret UFO contacts of Paul Villa ».

Comment a eu lieu le contact :
Voici la traduction de l’article du n°23 du journal Ufo International écrit par Green, qui a présenté le contact au monde entier, qui expose les faits. Parfois les interventions d’autres enquêteurs seront citées, et sans mention d’auteur par la suite, c’est le texte de Green.


« Le 16 juin 1963, près d'Albuquerque, N.M. Apolinar (Paul) A. Villa Jr. 47 ans (né le 24 septembre 1916), mécanicien au 601 Niagara N.E., Albuquerque, Nouveau Mexique, a eu le privilège unique de rencontrer des spationautes, par un rendez-vous prévu à l'avance, dans le but précis de prendre des photos de leur vaisseau.
Apparemment, les contacts d'une manière ou d'une autre avec les gens de l'espace ne sont pas nouveaux pour M. Villa. Il affirme que la télépathie lui a été enseignée par une intelligence extraterrestre dès l'âge de cinq ans. Bien qu'il n'ait pas terminé la dixième année d'école, il semble avoir de bonnes connaissances dans des domaines tels que les mathématiques, l'électricité, la physique et la mécanique, et possède un « don » inhabituel pour détecter les défauts dans les moteurs, les générateurs, etc.
Villa déclare qu'avant de photographier sa première série de soucoupes en 1963, il avait vu environ cinq soucoupes volantes au cours des cinq années précédentes, et qu'il avait déjà parlé avec un homme de l'espace. Il dit que son premier contact photographique a été sa deuxième rencontre en personne avec des êtres extraterrestres. »
Premier contact : 1953
« La première fois, c'était en 1953, alors qu'il travaillait pour le département de l'eau et de l'électricité à Los Angeles. Un jour, alors qu'il travaillait à Long Beach, il a eu une forte envie de descendre à la plage, un sentiment qu'il ne comprenait pas. C'est là qu'il a rencontré un homme d'environ 2 mètres de haut. Villa a d'abord eu peur et a voulu s'enfuir. Mais l'homme l'appela par son nom, et lui raconta beaucoup de choses personnelles sur lui-même.
Villa s'est rendu compte qu'il communiquait avec une intelligence très supérieure, et que cet être était un homme de l'espace.
« Il savait tout ce que j'avais en tête et m'a raconté beaucoup de choses qui s'étaient produites dans ma vie », raconte Villa. « Il m'a ensuite dit de regarder au-delà du récif. J'ai vu un objet métallique en forme de disque qui semblait flotter sur l'eau. L'homme de l'espace m'a alors demandé si je voulais monter à bord de l'engin et regarder partout dedans, et je l'ai suivi. »
Selon lui, les occupants de la soucoupe étaient entièrement humanoïdes, bien que plus beaux en général que les Terriens, car leur visage et leur corps étaient nettement plus raffinés. Ils avaient également des connaissances scientifiques avancées, comme en témoignent leurs engins et la conversation qu'ils ont eue avec lui.
Ils ont dit à Villa que la galaxie à laquelle appartient notre Terre n'est qu'un grain de sable sur une immense plage, par rapport au nombre insondable de galaxies habitées dans tout l'univers. Grâce à leur avancée technologique, leurs vaisseaux spatiaux peuvent pénétrer le système de détection radar de la Terre, de sorte qu'ils ne sont repérés sur nos écrans radar que lorsqu'ils décident d'attirer l'attention sur leur présence dans notre ciel.
Il semble que leurs vaisseaux soient constamment actifs au-dessus de notre surface, et qu'ils prévoient d'autres observations et atterrissages afin de sensibiliser le public à leur existence. Ils ont déclaré qu'ils étaient ici en mission amicale pour aider notre peuple, qu'ils avaient des bases sur notre lune, que Phobos, l'une des deux lunes de Mars, était creuse et construite artificiellement, et qu'il existait une intelligence supérieure qui gouvernait l'univers et tout ce qu'il contenait. »
Second contact avec photos fournies : 1963
« Pour sa première série de photos, M. Villa raconte que ses contacts spatiaux lui ont dit, par télépathie, de conduire seul son pick-up le 16 juin 1963 jusqu'au lieu de rendez-vous. Là, il a vu une soucoupe volante posée qu'il a estimée à environ à 170 pieds initialement, de loin, puis révisé après approche à 70 pieds de diamètre (note : environ 21 mètres de diamètre).
Il y avait neuf personnes à bord du vaisseau : quatre hommes et cinq femmes. Ils sont descendus par une porte hermétiquement fermée. Ces êtres, dit-il, mesuraient entre 2 et 3 mètres et étaient bien proportionnés. Certains étaient blonds, d'autres roux (comme du cuivre poli), d'autres encore avaient les cheveux noirs. Ils lui ont dit qu'ils venaient de la constellation de Coma Berenices, à plusieurs années-lumière de distance.
Ils étaient capables de parler plusieurs langues et de communiquer par télépathie. Villa a appris que l'engin fonctionnait comme un vaisseau mère pour ses neuf disques de surveillance télécommandés, qui mesuraient 14 pouces de diamètre (note : environ 35 cm de diamètre) et étaient contrôlés à partir des tableaux de bord du vaisseau mère. Ils pouvaient capter des images et des sons de n'importe quelle zone à partir de laquelle ils étaient dirigés, et pouvaient ensuite les relayer vers des panneaux de télévision à bord du vaisseau-mère.
Ils ont permis à Villa de prendre des photos de leur vaisseau, qui posait et planait près de la surface entre 14 et 16 heures, tandis qu'il prenait diverses photos du vaisseau encadré par les arbres au premier plan. Il a utilisé un appareil photo japonais Rokuoh-Sha avec un objectif de 75 mm de focale 4,6 et chargé d'une pellicule Kodak de 120 mm. Deux des photos montrent le vaisseau en position verticale, sur le côté, pour indiquer que les spationautes ont créé une gravité artificielle à l'intérieur du vaisseau, et qu'ils sont donc parfaitement à l'aise quelle que soit la position du vaisseau par rapport à la surface d'une planète...
Par ailleurs, sur la photo n° 7, les évents de la coque, considérés par certains comme des hublots, ne sont pas des fenêtres, mais des ouvertures directement liées à la propulsion du vaisseau. Villa dit qu'ils lui ont dit que les évents ne s'ouvrent que dans l'atmosphère d'une planète, jamais dans l'espace extra-atmosphérique. »
Paul Villa a donné 7 photographies de ce contact. Les photos avec le camion sont prises vers 15h30 lorsque les êtres ont décollé et refait une phase d’approche afin d’être pris en photo, avant leur départ définitif à 16h.
16 juin 1963, vers 14h, à Peralta, Nouveau Mexique, USA (7 photographies) :







Wendelle Stevens écrira : « Les « évents », clairement visibles sur certaines photos autour de la section centrale de l'engin, étaient des ouvertures probablement utilisées pour « collecter et ioniser les gaz atmosphériques ». Ces évents n'étaient pas utilisés ni laissés ouverts en dehors de l'atmosphère d'une planète, où les lignes de force magnétiques sont plus éloignées, mais, comme la « porte » située sous le vaisseau, ils étaient « scellés hermétiquement », soit manuellement, soit automatiquement, après avoir quitté l'atmosphère.
Le scellement hermétique est réalisé en éliminant toutes les substances étrangères des éléments de base des métaux de base, et un dispositif est utilisé pour charger les deux pièces qui doivent être scellées ensemble, soit positivement, soit négativement, en fonction de la façon dont un certain métal est naturellement chargé. Le scellement hermétique de deux ou plusieurs métaux ne peut être réalisé que s'ils sont d'abord neutralisés et ensuite tous chargés avec la même polarité. Les éléments de carbone, cependant, étant amphotères [réagissant chimiquement comme « acides » aux « bases » fortes et comme « basiques » aux acides forts] et se combinant aussi bien avec des éléments chargés positivement que négativement, ne peuvent pas être chargés. Les « tubes » sont utilisés pour obtenir un scellement hermétique, en utilisant ce principe du carbone.
Villa a rapporté que certains membres de l'équipage portaient une version miniature de ces tubes qui semblaient faits d'un matériau semblable à l'aluminium, d'une longueur d'environ huit pouces et d'un diamètre d'un pouce, se rétrécissant légèrement du centre vers l'extérieur. Ces dispositifs pouvaient être utilisés pour paralyser toute forme de vie animale, y compris l'homme.
Les « Coma Bereniciens » étaient pacifiques et souhaitaient que les Terriens dépassent leurs instincts agressifs et guerriers. L'amour, disaient-ils, est « la force la plus puissante de tout l'univers » qui, utilisée correctement, peut transformer le cœur des hommes. Lorsque la loi de l'amour régira l'esprit des hommes de la Terre, a appris Villa, alors les peuples des autres mondes viendront en grand nombre et partageront avec nous leurs sciences avancées… »
Un autre document au sujet de cette rencontre, d’autres enquêteurs : « À un moment donné, selon M. Villa, l'engin a plané à environ 300 pieds (90 mètres) au-dessus de son camion et l'a fait s'élever lentement dans les airs jusqu'à trois ou quatre pieds pendant quelques minutes. De plus, lorsque l'engin se trouvait à environ un quart de mile, on pouvait voir un « bâton » flexible et contrôlé, qui semblait sonder le sol et les arbres sous différents angles et se courber en différentes formes. Pendant ce temps, une petite sphère brillante, télécommandée, de six à neuf pieds de diamètre, est sortie du vaisseau principal et a disparu derrière les arbres, puis est réapparue et a décollé à une vitesse incroyable, tout en brillant d'une couleur rougeâtre.
Lorsque l'engin est resté en vol stationnaire à quelques centaines de mètres de là, entre les cimes des arbres, selon Villa, la partie inférieure était teintée « d'un rouge ambré, comme du métal chaud », mais les couleurs sont passées d'un « chrome brillant à un aluminium terne », puis à nouveau à l'ambre. À un moment donné, la lumière est devenue si brillante qu'elle était presque insupportable. Lorsqu'elle est passée au-dessus de la tête de Villa, il a ressenti non seulement de la chaleur, mais aussi « une sensation de picotement ou de fourmillement dans tout le corps ».
Bien que la structure supérieure en forme de dôme de l'engin puisse être tournée indépendamment de la section inférieure, Villa a appris qu'elle semblait rester stationnaire pendant le vol, alors que la section inférieure tournait à différentes vitesses. L'engin émettait un bruit de ronronnement qui ressemblait à celui d'un « moteur électrique géant ou d'un générateur ». À d'autres moments, il émettait un bourdonnement, un bruit de « pulsation », ou devenait soudain totalement silencieux alors qu'il se déplaçait dans différentes directions. »
M. Bob Flora, un photographe de United Press International, a été tellement impressionné par l'aspect authentique de ces photos qu'il en a mis trois sur les fils de l'UPI et qu'elles ont ensuite été imprimées dans des centaines de journaux dans le monde entier. Le programme d'information de la NEC de Los Angeles a diffusé ces images dans son nouveau journal télévisé en couleur pendant trois nuits consécutives.
Troisième contact avec photos fournies : 1965
« Pour sa deuxième série de photos, Villa a été guidé télépathiquement vers une autre région, près de Bernalillo, au Nouveau-Mexique, à environ 15 miles (24 km) au nord d'Albuquerque. C'était le dimanche de Pâques, le 18 avril 1965.
Vers 9 heures du matin, alors qu'il se trouvait à environ 5 miles au sud-ouest de l'Indian Pueblo de Sandia, il aperçut un engin planant silencieusement dans les airs. Il s'est arrêté, est sorti et a pris une photo de l'engin, puis a attendu de voir ce qu'il allait faire. Au bout d'une dizaine de minutes, l'engin s'est soudain redressé et a brusquement changé de direction à 90 degrés, avant de disparaître rapidement en direction du nord. Il n'a pas pris d'autre photo avant qu'il ne disparaisse.

Une heure plus tard, non loin du même endroit, il aperçoit à nouveau un engin. Comme précédemment, il planait silencieusement au-dessus de lui, mais il a remarqué une turbulence d'air qui tourbillonnait sous lui. Il prend une autre photo, cette fois sous un angle montrant une ellipse, mais l'objet est identique à celui vu précédemment.

Il était au volant de son camion, à environ 10 miles (16 km) à l'ouest d'Albuquerque, lorsqu'un grand nombre de sphères argentées brillantes comme des miroirs, de différentes tailles allant de 1 à 15 pieds (30 cm à 4,5 mètres) de diamètre, sont apparues, ont volé et dansé dans le ciel, laissant des traînées visibles qui créaient des motifs étonnants et bruyants.
Après que les sphères en mouvement rapide eurent terminé ce remarquable spectacle, un énorme vaisseau circulaire, dont le diamètre est estimé à plus de 100 pieds (30 mètres), est apparu et a pris position, planant dans les airs à quelques dizaines de pieds au-dessus des broussailles du désert et à une distance d'environ un demi-mile (800 mètres) à un quart de mile (400 mètres). L'objet a lentement basculé vers la verticale, et le témoin a remarqué ce qui ressemblait à trois petites structures hémisphériques sur la surface la plus proche de lui. Elles étaient disposées symétriquement près du centre et pourraient être une sorte de train d'atterrissage. Par moments, lorsque l'engin se déplaçait dans différentes positions, il émettait un bruit ou un gémissement à très haute fréquence. A d'autres moments, il était complètement silencieux. Il a pris les photos n° 3, 4 et 5 sur ce rouleau de film.
La photo n° 4 a été prise environ 2 minutes après la n° 3. Le navire s'était mis en position de bord dans l'axe de l'appareil photo et ressemblait à une fine lentille convexe double. La photo n°5 a été prise quelques minutes après la n° 4, lorsque le vaisseau a commencé à basculer de haut en bas, et a continué à le faire pendant environ 30 secondes. Puis le vaisseau spatial a repris son attitude stable et les nombreuses sphères brillantes qui étaient d'abord apparues sont entrées à l'intérieur d'une manière invisible et le vaisseau a décollé à une vitesse incroyable et a disparu en direction du nord-ouest.
Green dit en 1965 : « Ces photos ont été prises à environ 9 miles à l'ouest d'Albuquerque, près des Volcano Mountains. Villa dit que le vaisseau ressemblait à un bouclier indien Navajo, et qu'il y avait une formation nuageuse claire d'un Indien couché sur le dos. La tête et la forme de la plume sont visibles au centre gauche des nuages sur les photos 4 et 5. De plus, de nombreuses personnes ont vu un profil d'Indien dans le nuage à l'extrême supérieur gauche de ces mêmes photos (beaucoup plus clair en couleur).
Villa dit avoir compris, apparemment par télépathie --- puisque le vaisseau n'a pas atterri, que les Navajos allaient devenir importants d'une manière ou d'une autre. La photo n°5 ressemble à une sphère depuis cette position et montre le train d'atterrissage à trépied sur la partie inférieure du vaisseau, qui est en fait en forme de soucoupe, comme on peut le voir sur la vue de profil de la photo n°4. L'agrandissement en couleur de la photo n°5 en fait l'une des photos de soucoupe les plus impressionnantes que nous ayons vues à ce jour. La photo n°5 a été prise peu après la photo n°4 et le nuage en forme d'indien est toujours visible, bien qu'il commence à se disloquer. Comme sur la photo n°4, les objets au premier plan semblent flous, apparemment à cause du mouvement de l'appareil photo dû à une vitesse d'obturation lente.
Sur la photo n°3 la formation nuageuse est considérablement changée. Il est intéressant de noter l'effet de flou et de double exposition, créé par le changement d'angle de l'engin par rapport à l'appareil photo pendant le court laps de temps où l'obturateur de l'appareil photo était ouvert. »



« Vers 14 heures, toujours le 18 avril 1965, alors que Paul Villa se trouvait à environ 8 miles au nord d'Albuquerque, entre la rivière Rio Grande et la chaîne de montagnes Sandia, il aperçut un autre engin en forme de disque. Celui-ci était plus éloigné et Villa n'a pas pu s'approcher suffisamment pour estimer sa taille, mais il ressemblait beaucoup au grand engin en forme de lentille vu précédemment, et il pourrait même s'agir du même engin. Il n'a été visible que pendant quelques secondes, puis il a survolé les montagnes Sandia que l'on voit à l'arrière-plan et a disparu. Il réussit à prendre la photo numéro 6 sur la pellicule de cet objet. »

À 16 heures, ce même dimanche de Pâques, Paul Villa était toujours guidé par télépathie et se trouvait alors à une trentaine de kilomètres au sud d'Albuquerque, près du coude de la rivière Rio Grande. Soudain, un immense engin en forme de disque apparaît. Il estima que celui-ci avait un diamètre considérablement supérieur à 30 mètres. Il ralentit et plana à environ 500 pieds au-dessus de la surface.
Il prend les photos n° 7 et 8 sur la pellicule de son appareil. Les branches des arbres au premier plan sont floues parce qu'elles sont agitées par une forte perturbation du vent créée par l'engin. La perturbation du vent était si forte dans la zone que Villa pensait que son camion et lui allaient être renversés.
Puis, sans réchauffement, le vent s'est soudainement arrêté, instantanément, comme si quelqu'un l'avait coupé, et l'air environnant s'est réchauffé et il y a eu un silence de mort. L'énorme vaisseau descendit alors et se posa sur des pieds télescopiques en forme de trépied, dont on peut voir une partie dépasser du vaisseau sur l'une des photos. Trois membres d'équipage mesurant entre 1,80 m et 1,90 m et portant des combinaisons moulantes à une pièce sont sortis de l'engin et ont parlé avec Villa pendant près de deux heures.
Villa dit qu'ils ont conversé en espagnol (sa langue maternelle) et en anglais. Les visiteurs ont conseillé à Villa d'arrêter de fumer afin d'améliorer sa capacité à recevoir leurs communications télépathiques. Les hommes sont remontés dans le vaisseau qui a décollé en faisant un grand bruit de ronflement et en dégageant beaucoup de chaleur. La chaleur devient si intense qu'elle brûle l'extrémité des branches des arbres.
Green ajoute dans son article : « Villa s'est entretenu avec eux pendant près de deux heures sur des sujets personnels et généraux. Ils lui ont dit que nos astronautes, Edward White et James McDivitt, lors de leur désormais célèbre vol GT-4, avaient réellement vu un vaisseau spatial lorsqu'ils ont déclaré avoir aperçu l'objet ressemblant à un Pégase. Ils ont également déclaré que notre gouvernement refusait de publier les photos de Mariner-4 parce qu'elles montrent des stations de pompage pour les systèmes de canaux sur Mars. Ils ont ajouté qu'en 1966, 17 nations auront la bombe atomique. »
Villa a pris la photo numéro 9, montrant l'engin très haut au-dessus et à gauche du hayon du camion que l'on voit au premier plan de la photo. Cette photo montre un petit nuage de fumée au sol. L'engin spatial a envoyé un faisceau lumineux vers le sol, sur la cime d'un arbre, provoquant l'embrasement des broussailles et des arbres. Il a envoyé un autre faisceau lumineux et le feu s'est instantanément éteint. Le vaisseau spatial s'est éloigné en direction du nord-est.
Suivant Timothy Good qui a enquêté sur cette affaire et est allé sur les lieux accompagné de Paul Villae en 1976 : « L'engin a également produit une "tornade miniature" faisant sembler floues les branches inférieures de quelques arbres. La turbulence était si forte, a dit Villa, qu'il a pensé que lui et son camion seraient balayés mais soudainement le vent cessé, comme s'il "avait été éteint", et l'air environnant est devenu tout à fait chaud et il y avait un silence de mort. »
Green : « La seule autre information dont nous disposons est que les spationautes ont créé une tempête de poussière sur la photo n°8 (non montrée), ce qui indique qu'ils peuvent contrôler et créer des conditions météorologiques. »
Timothy Good indique qu'en se basant sur la transparence brouillée atmosphérique ou effet "d'épaississement", par lequel un objet devient de moins en moins bien défini sur une photo s'il est plus loin, l'examen des photographies de Villa indique un grand engin à distance considérable de son appareil photo.



Quatrième contact avec photos fournies : 1966
« Le 19 juin 1966, à 9 heures, Paul Villa se trouvait à environ 3 miles à l'ouest d'Algondones et à 30 miles au nord d'Albuquerque, lorsqu'un certain nombre de disques et de sphères brillantes télécommandés sont apparus.
Certains des disques avaient un diamètre d'environ 3 pieds (90 cm) et d'autres étaient plus proches de 6 pieds (1,80m environ). Les disques de 1,80 m produisaient un fort bourdonnement. Le rouge qui dépasse du sommet du dôme n'est pas une antenne comme on pourrait le supposer, mais un dispositif optique incorporant une combinaison de prismes et de lentilles. Il peut pivoter du fond dans un mouvement circulaire ou simplement osciller d'un côté à l'autre, et peut être rétracté à l'intérieur de l'engin.
Les mouvements observés ont quelque chose à voir avec la lumière verte vive qui pulsait à l'intérieur du disque. De petites sphères brillantes comme des miroirs d'environ 3 pouces (7,5cm environ) de diamètre semblaient tourner autour de la plus grande sphère de 6 pouces (environ 15 cm) lorsqu'elles étaient éloignées du disque, mais lorsqu'elles en étaient proches, les plus grandes sphères restaient toujours sur le dessus ou près du dessus.
Lorsqu'elles sont proches du disque, les sphères plus petites tournent autour de lui sur des orbites différentes et à des vitesses différentes. Les sphères brillantes manifestent une cascade de changements de couleur, de l'aluminium réfléchissant au chrome étincelant, puis à un rouge radieux ou au bleu étincelant d'une torche de soudeur à l'arc. Avec les petites sphères, le changement de couleur ne se fait pas rapidement, mais est graduellement modulé d'une sphère à l'autre dans un rythme pulsé. Mais avec les sphères plus grandes, le changement de couleur est différent. Lorsque les petites sphères tournoyaient autour des plus grandes, ces dernières passaient instantanément du chrome brillant au rouge luminescent, au bleu, au vert et même au jaune. Parfois, les sphères devenaient incandescentes et ressemblaient aux « boules de feu » rarement observées et rapportées. Leur vitesse et leur maniabilité étaient incroyables, car elles volaient comme des papillons ou effectuaient des courses folles dans des configurations orbitales à grande vitesse.
Il a vu ces sphères dans des tailles allant des minuscules sphères de 3 pouces vues sur les photos n° 4 et 5 et il a vu certaines de 6 pieds (1,80 mètres) à 18 pieds (5,50 mètres) de diamètre, et on lui a dit qu'il y avait des sphères géantes allant jusqu'à une incroyable dimension de 200 pieds (61 mètres) de diamètre. Certains disques et sondes sont dotés de sondes flexibles ressemblant à des antennes d'insectes. »







On peut trouver sur internet une version retraitée de l’image, éclaircie et affinée :

Les photos ci-dessous se trouvent sur internet référencées comme faisant partie de la série de photos de ce même contact de 1966. En voyant le fond et l’objet il apparaît que c’est bien le cas, mais elles n’apparaissent pas dans le livre d’enquête de Wendelle Stevens qui publiait aussi les photos, je ne sais pas pourquoi. Leur ordre et leur description n’est donc pas disponible et elles sont données comme complément de photographies à prendre telles quelles :






« Les sphères les plus grandes à proximité des lignes électriques ont provoqué parfois des pannes de courant. Certaines des grandes sphères de 4 à 6 pieds ont été capturées sur les images 6 et 7 vers 9h30.
Vers 10h, une sphère plus grande de 1,80 m s'est déplacée autour de la voiture de Villa, comme si elle l'observait. La sphère s'est ensuite déplacée vers une position à 150 pieds de l’arrière de la voiture. Alors que Villa la cadrait dans le viseur de l'appareil photo pour prendre une photo, elle a soudainement explosé avec un énorme boum et a semblé se vaporiser. Par réflexe, il a pris une photo juste après l'explosion. Il n'y a cependant pas eu de changement de pression atmosphérique tel que l'on pourrait s'attendre à ce qu'il accompagne une explosion. »

« Vers 11 heures, un petit disque de 3 pieds s'est approché. Une petite sphère tourbillonnait au sommet du disque, parfois lentement, parfois si rapidement qu'elle semblait disparaître de la vue.
Vers 12h45, un disque piloté d'environ 42 pieds de diamètre (presque 13 mètres) s'est approché et est resté en vol stationnaire pendant qu'un individu en descendait et s'approchait. Il a parlé avec Villa pendant environ 15 minutes, puis est retourné à bord. Les disques et les sphères éloignées ont volé vers l'engin plus grand, qui s'est éloigné vers le nord-est en quelques secondes. Villa n'a pas pu savoir s'il y avait d'autres personnes à bord. »
Cinquième contact avec photos fournies : 1972
« Vers 15 heures dans l'après-midi du 24 septembre 1972, Paul Villa, cultivateur à Los Lunas, revenait en ville avec son camion après avoir ramassé un chargement de déchets dans un remblai de sable à environ 15 miles à l'ouest.
Il était à environ 6 miles à l'ouest de la ville, conduisant son pick-up sur l'autoroute 46 en direction de sa maison, quand, en regardant vers la droite, il aperçut plusieurs petits objets « voltigeant » à quelques dizaines de pieds au-dessus de la forêt désertique. Il ne s'agissait certainement pas d'avions conventionnels, car ils étaient trop bas et trop lents. Il a ensuite remarqué leur petite taille, moins de 2 pieds de diamètre. Ils volaient comme une nuée d'oiseaux, l'un après l'autre les dépassant, puis retombant lorsqu'un autre les précédait.
Ils étaient d'une couleur argent métallique très réfléchissante, circulaires, avec un large dôme au sommet de chacune d'elles.
Alors que le premier groupe s'éloignait, un second groupe de 5 petits engins volants est arrivé derrière lui. Ils mesuraient environ 15 cm de diamètre et ressemblaient beaucoup aux autres. Ils semblaient tous être intelligemment contrôlés. Il a arrêté son camion et est sorti avec son appareil photo. Au même moment, il a entendu un bourdonnement étrange qui s'éloignait.
Il s'est retourné et a vu un cylindre volant plus grand avec trois sections sphériques. Il mesurait environ 10 pieds (3 mètres) de long sur 1,5 pieds (45 cm) de diamètre, trop petit pour contenir l'un de ces engins circulaires. Il volait doucement avec l'extrémité avant inclinée vers le haut d'environ 20 à 30 degrés par rapport à la ligne de vol. Il était également très bas. Les sections sphériques ressemblaient à des boules d'écran autour des extrémités et du milieu du cylindre, et les écrans passaient par les changements de couleur du métal chauffé, et le bourdonnement changeait à chaque changement de couleur. L'objet en forme de cylindre était accompagné de 4 disques plus petits qui étaient complètement silencieux pendant toute la durée de l'expérience.
L'un des derniers disques s'est détaché de la « formation » et s'est dirigé vers lui au niveau du pare-brise, s'arrêtant instantanément devant son camion. Il s'est ensuite dirigé vers le capot du moteur et est resté en vol stationnaire, comme s'il inspectait le véhicule. Il a pu constater que celui-ci ne mesurait qu'environ 18 pouces (45cm) de diamètre. Il avait une finition miroir brillante et lisse et reflétait brillamment les rayons du soleil du milieu de l'après-midi. Son dôme surélevé faisait presque toute la largeur sur le dessus et était entouré d'un mince rebord. Il ne faisait aucun bruit. Il s'est abaissé pendant qu’il planait et tournait lentement autour d'un axe vertical.
Paul Villa a remarqué qu'un petit renflement commençait à se former sur un côté du disque, près de la bordure. Le disque s'est déplacé le long du côté gauche du véhicule et a semblé bien l'inspecter, montant et descendant au fur et à mesure. Il est passé derrière le hayon et a contourné le côté droit, qu'il a également inspecté de la même manière. Le renflement sur le côté de l'objet s'est accentué, et il s'est ensuite séparé en une balle argentée brillante, ronde et miroitante, de la taille d'une balle de golf, qui a fait plusieurs fois le tour du disque bombé avant de s'envoler dans la direction qu'avaient prise les autres. Le disque silencieux s'est ensuite élevé à une altitude plus élevée, a plané quelques secondes, puis a soudainement décollé à la suite des autres. Le témoin a pris toute la pellicule de son appareil photo pendant cet événement spectaculaire, obtenant 7 photos du disque et 4 de l'objet cylindrique. L'une des photos du disque montrait clairement la boule argentée qui émergeait avant d'être relâchée et de s'envoler. »












Sixième contact avec des photos fournies : 1977
« Entre 9 heures et 10 heures, à la fin du mois de mai 1977, un jour qui ne peut être déterminé avec précision, Paul Villa, dont l'épouse était en visite, venait de prendre son petit-déjeuner avec son jeune fils adulte, qui était sorti dans le jardin, au nord de la maison, pour faire quelques travaux.
Paul Villa se tenait à l'évier, devant la fenêtre de la cuisine qui donnait sur la cour arrière. Alors qu'il regardait dehors, il regardait une camionnette qui était posée sur de gros blocs, contre la clôture du côté sud de la propriété car son chassis était en train de bouger. Il a vu que le corps de la camionnette commençait à se renverser lentement sur sa droite (ouest).
Sa première réaction a été de penser que son fils était sorti et avait, d'une manière ou d'une autre, fait tomber l'un des blocs, et que la camionnette se retournait sur lui - mais il ne voyait aucun signe de son fils, et il pouvait voir clairement la zone de la camionnette.
Il aperçut alors un très petit disque argenté brillant qui oscillait dans l'air au-dessus du camion qui était alors couché sur le côté au sol. En courant vers la sortie, il a pris son appareil photo sur une étagère et est sorti à l'arrière à temps pour voir l'objet circulaire brillant planant toujours au-dessus de la carcasse du camion sur les blocs, sur le côté.
Les blocs étaient massifs et très stables et il n'y avait aucune possibilité que cette situation se produise accidentellement. Il a ensuite remarqué que son fils était toujours dans le jardin et qu'il regardait l'étrange objet et son travail. Le père a commencé à prendre des photos rapidement pendant que l'objet planait autour de la cour et des bâtiments.
Il réussit à prendre dix photos en couleur de l'objet volant dans les airs, et une où l'objet vole momentanément à l'intérieur de la cabane à outils avant de s'envoler.
Il a ensuite demandé à son fils de prendre les dernières photos de lui, et a terminé le film. L'objet métallique argenté, en forme de dôme et de disque, mesurait environ 10 à 12 pouces (25 à 30 cm) de diamètre et possédait un dôme proportionnellement large mais légèrement incurvé sur la partie supérieure. Il tournait dans le sens inverse des aiguilles d'une montre lorsqu'il se déplaçait, et lança à un moment donné une boule brillante encore plus petite, qui vola autour de lui pendant un certain temps avant de retourner à l'intérieur. L'objet semblait les inspecter, eux et la cour, et ils avaient l'impression qu'il était plus l'observateur que l'observé.
Il volait de façon erratique dans les airs et changeait parfois très rapidement de direction et de vitesse. Il reflétait le soleil de façon brillante, comme de l'aluminium poli. Ils ont eu le sentiment qu'il possédait une grande puissance, s'il voulait l'utiliser.
L'examen des images n'a révélé aucun signe de falsification ou de fraude, aucune suspension, aucun jeu de pile ou face, aucun montage ou double exposition, aucun écran transparent ou image réfléchie, ni aucune des méthodes de trucage disponibles. Les ombres et l'éclairage sont cohérents avec l'histoire des témoins, et sont cohérents dans l'ensemble de la série d'images. Il s'agit d'images réelles d'objets structurés, enregistrées correctement dans les couches d'émulsion du film.
Les photos ont été prises avec un appareil photo économique à boîtier en plastique, équipé d'un objectif à focale fixe à simple élément, et d'une vitesse d'obturation standard de 1/60e de seconde.
Le témoin insiste sur la protection de son identité et de son adresse réelle tant qu'il est en vie. »
Commentaire personnel :
De fait, lorsque Wendelle Stevens avait publié les photos de Paul Villa dans son livre de photos d’Ovnis, le nom n’était pas mentionné, il était désigné par « AV », pour « Apolinar Villa » (rappelons que Paul est sont appellation usuelle mais son véritable prénom est « Paul »). Donc dire qu’il cherchait de la publicité est le contraire de la vérité, il voulait être tranquille. Il ne faisait aucun argent, aucune publicité avec cela. Quelles auraient pu être les motivations donc ?
Ce n’est qu’après le décès de Paul Villa que Wendelle Stevens publiera le livre sur le cas Paul Villa en mentionnant son nom, avec reprise des photos et des descriptifs de témoignage des situations allant avec les photos.











Apparence des habitants de Coma Berenices :
Les habitants de Coma Berenices observés par Paul Villa ressemblent à des humains. Ils sont grands, de l’ordre de 2 mètre de hauteur. Entièrement humanoïdes, mais plus beaux en général que les Terriens, et leur visage et leur corps étaient nettement plus raffinés. Pas d’autres informations.
Description de leur monde et de leur civilisation :
Nous n’avons aucune information à insérer dans cette section, qui est pourtant importante. Paul Villa avait 800 pages de notes de contact rapportant ses conversations avec les Coma Béréniciens.
Il a aussi expliqué avoir été emmené en voyage dans l’espace et sur d’autres planètes avec eux, où il a pris des photographies.
Il est certain que cette section pourrait être remplie si seulement on disposait des informations de ces notes, que Paul Villa s’était refusé à publier de son vivant étant donné la manière dont il a été attaqué et harcelé pour ses simples photos.
Extraits des divulgations, selon une sélection choisie :
Extrait 1 : vaisseaux spatiaux




Extrait 2 : le pourquoi du contact avec la Terre
Dès leur premier contact physique en 1953, ils ont dit à Villa qu'ils étaient ici en mission amicale pour aider les Terriens, et qu'il y avait une intelligence supérieure qui gouvernait l'univers et tout ce qu'il contenait.
Ils étaient capables de parler plusieurs langues et de communiquer télépathiquement entre eux et avec lui.
Les Coma-Béréniciens ont exprimé le souhait que les Terriens dépassent leurs penchants agressifs et guerriers et vivent en harmonie avec les Lois Universelles du Grand Créateur, comme le font les peuples des autres mondes. Ils ont dit que l'AMOUR est la force la plus puissante de l'Univers, et que si elle est utilisée correctement, elle peut transformer le cœur des hommes et en faire des êtres de lumière et de paix.
Lorsque la loi de l'AMOUR imprégnera l'esprit des hommes de la Terre, alors les peuples des autres mondes viendront en grand nombre partager avec nous leurs sciences avancées, vivant parmi nous comme des amis et des frères dans une paix durable, comme ils le font sur beaucoup d'autres mondes.
Extrait 3 : analyses à la recherche de fraudes
L’article du journal UFO international dans le n°23 concernant les photos de 1963 à 1965 conclue : « Votre rédacteur en chef, ancien photographe professionnel, estime que ces photos sont d'une qualité exceptionnelle pour plusieurs raisons :
1. Elles sont très nettes, comparées à la plupart des photos de soucoupes que nous avons vues.
2. La taille de l'image de la soucoupe est suffisamment grande pour montrer de bons détails sans grain extrême.
3. Il y a une série de photos, au lieu d'une seule, ce qui donne plus de détails pour l'évaluation.
4. Le camion de Villa est au premier plan sur certaines des photos, ce qui permet de comparer la taille de la soucoupe avec un objet connu et d'évaluer la distance qui la sépare de la soucoupe.
5. Le degré de netteté des autres objets au premier plan, ainsi que des nuages et des arbres au loin, indique que l'objet devait être très grand pour obtenir la profondeur de champ observée sur les photos, ce qui exclut la possibilité qu'un petit modèle ait pu être utilisé pour truquer les photos. »
M. Gabriel Green de l'AFSCA, lui-même photographe professionnel ayant travaillé pour les studios de la MGM, a apporté la première série de photos aux laboratoires de la MGM où ils les ont agrandies par étapes progressives pour contrôler la granulation, jusqu'à 30 pouces sur 50 pour l'image seule, et les ont imprimées en clair-obscur, avec un contraste élevé et faible, et par un processus appelé « slow-burn » (utilisant une ouverture plus étroite et un temps plus long), à la recherche de lignes de suspension et de détails fins. Après des jours de travail en laboratoire, ils ont conclu que si ces images étaient truquées, ils ne savaient pas comment cela était possible.
Une autre étude de ces photos a été faite, avec des compléments sur ce qui s’est produit :
« Selon feu Coral et Jim Lorenzen de l'Aerial Phenomena Research Organization (APRO), l'une de ces images (voir photo n°3 dans les planches couleurs) ne montre pas les branches d'un arbre devant l'engin comme cela devrait être le cas s'il mesurait 170 (ou même 70) pieds de diamètre comme on l'affirme, ce qui indique que l'« engin » pourrait être une petite contrefaçon. Cela pourrait être le cas, bien que je n'aie pas été en mesure de l'établir de manière satisfaisante, à partir d'agrandissements que j'ai personnellement reproduits. Villa lui-même a affirmé que les branches de l'arbre se balançaient sous l'effet d'une « énorme poussée de vent » générée localement par l'engin, ce qui pourrait expliquer l'incohérence apparente. Sur d'autres photos de cette série, où la végétation environnante et le camion de Villa fournissent des points de référence utiles, la soucoupe apparaît comme un objet de grande taille situé à une distance considérable de l'appareil photo, ce qui réduit la probabilité d'une fraude. »
Il faut savoir que le fils de Paul Villa fut témoin lui aussi de certaines observations de la fin des années 1970.
Wendelle Stevens a essayé de suspendre des maquettes avec les comportements et angles de vues des photos de Paul Villa, ce qui s’est avéré totalement impossible et a seulement conduit à casser le modèle réduit après le 3ème essai photo.
Wendelle Stevens : « Le jugement que nous avons porté sur les photographies d'OVNI, sur le photographe lui-même et sur sa famille m'a amené à la ferme conclusion que Paul Villa a pris ces photos telles qu'il me les a décrites.
Celles que j'ai fait tester ont passé tous les tests en tant que photographies authentiques, vraiment non retouchées et non altérées par les techniques photographiques connues pour truquer les photographies. Il n'y avait pas de superpositions, pas de doubles expositions, pas d'images réfléchies et pas de collages évidents.
L'utilisation de maquettes pour les plus petits engins n'est pas à exclure, car Paul Villa a effectivement construit une maquette avec deux disques de métal filé joints aux bords, et avec des pieds de manche à balai, comme le suggéraient ses visiteurs. Ceux-ci lui ont demandé de l'emmener dans un endroit désert pour une démonstration.
Soudain, le ciel s'est rempli de boules métalliques brillantes et miroitantes qui volaient tout autour. L'une d'entre elles, d'un diamètre d'environ 10 cm, est descendue et a décrit un petit cercle au-dessus de la maquette, et la maquette s’est alors mise à s'élever dans les airs.
Paul a pris son appareil photo et a photographié l'objet maquette pendant que la sphère brillante planait au-dessus de lui. L'ombre projetée sur le sol sous la maquette montre clairement que le diamètre de l'objet était d'environ 24 pouces et qu'il se trouvait au-dessus de la trace de pneu sur la photo. La petite sphère l'a transporté tout autour de cet endroit et l'a ensuite ramené. C'est le seul modèle que j'ai vu en sa possession. »
Le projet BlueBook américain a conclu que les photos de Paul Villa sont des faux. Rappelons que c'est une commission d'enquête "officielle" sur les Ovnis aux USA mise en place par l'Air Force dont le but a clairement pu être démontré, qu'il était d'enterrer toutes les affaires Ovnis. Ils réfutaient toutes les observations sauf celles qui étaient de vagues lumières au loin. Il est clair qu'on ne peut pas utiliser des conclusions de BlueBook que ce soit à propos de cette affaire que de n'importe quelle autre en terme d'Ovnis.
Dans un cadre différent, le GSW, Ground Saucer Watch, association d'étude des Ovnis fondée par William H. Spaulding aux USA avait été fondée pour faire l'étude informatique de photos d'Ovnis. Eux étaient plus intéressés à chercher la vérité et ont dénoncé des falsifications de l'armée américaine pour cacher l'existence des Ovnis. Ils ont décidé d'étudier certains des cas du projet BlueBook, sachant que le contenu de BlueBook est une désinformation.
La seule information qu'on a est que le GSW aurait conclu que le cas Paul Villa est un faux, sans aucune information à ce sujet qu'une image sur internet censée prouver qu'un fil est visible qui tient une maquette sur une photo. Voyez la seule image publiée accessible sur internet à ce sujet :

Cette seule image publiée n'est pas publiée en regard de la photo originale de Paul Villa qui aurait été l'objet de l'étude, et de plus le trait observé est horizontal, en contradiction totale avec un objet suspendu verticalement contre la gravité. Cherchez bien, l'intégralité des clichés de Paul Villa qui ont été rendus disponibles par les enquêteurs Ovnis (et même certaines photos en plus avec le petit engin avec trépied, non référencées) sont publiés sur cette page, sauf photo éventuellement non référencée par les enquêteurs, ni trouvable sur internet. Il n'y a absolument aucune photo trouvée d'aucun contact, 1963, 1965, 1966, 1972, 1977, etc qui puisse correspondre à la photo fournie "d'analyse de Paul Villa" ci-dessus. Les plus proches sont celles de 1965, les photos 7 et 8. Mais une simple comparaison côte à côte montre que ce n'est pas possible: ce n'est pas la même forme d'objet vraiment, pas la même inclinaison, pas la même distance relative aux arbres. Au final on nous donne une conclusion avec une image "d'analyse" qui ne provient pas des photos de Villa qu'on a et la photo de Paul Villa dont proviendrait cette analyse n'est pas affichée. Donc ça a l'air d'être volontairement fait pour mener à une conclusion dirigée sans aucun élément réel à montrer.

De plus il parait plus que suspicieux que cet institut ait pu avoir accès aux négatifs de Paul Villa, qui n'a laissé entrer chez lui que quelques rares enquêteurs en qui il avait confiance (comme Gabriel Green, Wendelle Stevens, Timothy Good). Donc l'analyse se sera certainement basée sur une photo et pas un négatif (si tant est qu'elle ait vraiment eu lieu sur une photo de Paul Villa, ce qui au vu de l'analyse donnée montre que c'est faux). Bref la seule information qu'on ait est finalement une simple conclusion sans élément factuel et contradictoire de plus avec l'affirmation de modèles suspendus pour la seule image qu'on ait. Cela permet de servir de prétexte aux debunkers pour détruire le cas Paul Villa, debunkers qui comme on le sait ne cherchent pas une analyse mais cherchent le moyen de tout rejeter d'un revers de la main, avec de faux arguments.
Il apparaît assez clairement que la photo d'analyse du GSW qu'on nous donne semble être un faux. Seuls ceux qui ne creusent rien se content de cela pour conclure, comme on en voit beaucoup sur internet sur des sites qui se qualifient d'ufologie, qui ne font que reprendre les conclusions sans même chercher à regarder à quelle photos cela pourrait correspondre. Les habituels faux chercheurs sont à l'oeuvre.
Alors est-ce que le cas de Paul Villa peut-être un faux ? Pourquoi pas ? Seule la vérité nous intéresse ici, et la vérité est peut-être que c'est un faux, et le cas sera entériné. Mais dans ce cas cela doit être fait avec de vraies analyses, sur des photos provenant bien des images de Paul Villa qui soient clairement montrées et avec un compte-rendu précis, clair, détaillé et cohérent des analyses et sources photos utilisées. Ici on a l'exact contraire, et les éléments d'analyse effectuées par Gabriel Green et Wendelle Stevens qui ont eu accès aux originaux de Paul Villa chez lui directement, vont dans le sens contraire à une fraude. Jusqu'à preuve réelle du contraire (ce qu'on a du GSW ne le fournit absolument pas), on a seulement des gens qui VEULENT que cela soit faux car ça les dérange.
Extrait 4 : intervention des êtres de Coma Berenices sur la sonde spatiale vers Mars
Les visiteurs observaient nos premières tentatives d'exploration spatiale.
Wendelle Stevens : « Paul m'a raconté que ses amis de l'espace l'avaient réveillé vers 02h00 du matin pour lui faire part d'un événement qu'ils voulaient qu'il communique à nos propres contrôleurs de l'espace, parce qu'ils seraient très inquiets. Paul m'a expliqué que ses amis de Coma Berenice l'avaient réveillé si tôt pour lui dire que notre sonde martienne, alors en phase finale de descente pour atterrir sur Mars, était sur une trajectoire qui l'amènerait à franchir un précipice sur Mars et à se fracasser, et que leur tentative de la repousser un peu pour éviter qu'elle ne s'écrase et se perde, avait déréglé ses gyroscopes qui avaient culbuté et fait faire un saut périlleux à l'engin juste avant qu'il n'atterrisse en toute sécurité sur son propre train d'atterrissage.
La sonde était intacte et n'avait subi aucun dommage, mais ils pensaient que notre centre de contrôle de mission voudrait savoir ce qui était arrivé à leur engin, et comment il avait pu faire une culbute tout en atterrissant en toute sécurité. Voici pourquoi. Paul s'est immédiatement mis au travail sur son téléphone pour appeler le centre de contrôle de Houston et lui transmettre l'information.
Il lui a fallu des heures pour parvenir à joindre quelqu'un au centre de contrôle, puis à parler à un contrôleur de guidage de haut niveau. Lorsqu'il réussit enfin à joindre un responsable et à lui expliquer ce qui s'était passé, le contrôleur lui demanda à nouveau qui il était et comment il avait obtenu cette information, puis il lui demanda où il vivait et quel était l'aéroport le plus proche et comment se rendre de l'aéroport à la maison de Paul Villa.
Ce contrôleur a dit qu'il viendrait voir Paul pour lui parler personnellement ce matin-là. Et c'est ce qu'il a fait. Il était retourné à Houston quand je suis arrivé. Paul m'a dit qu'après avoir écouté tous les détails et pris de nombreuses notes, ce contrôleur lui a confié personnellement que le Mars Lander avait effectivement fait un saut périlleux dans sa phase finale de descente, juste avant l'atterrissage, comme Paul l'avait décrit, mais qu'il avait atterri en toute sécurité et que les instruments fonctionnaient tous correctement.
Avant de partir, le contrôleur a donné à Paul Villa un numéro de téléphone discret et lui a demandé de le rappeler chaque fois qu'il aurait des nouvelles de ses amis de l'espace, ce que Paul a fait pendant un certain temps. Des mois plus tard, j'étais dans un avion de ligne entre San Francisco et Tokyo, et j'avais choisi un magazine d'information TIME dans le présentoir. À l'intérieur, dans la section scientifique, j'ai remarqué un article au milieu de la page, entouré d'un bord noir, qui décrivait le saut périlleux « impossible » et l'atterrissage en toute sécurité sur Mars de cette sonde, sans aucune mention de l'information de Paul Villa. »
Extrait 5 : les notes de contact et ensembles de photos sur une autre planète, non publiés
Wendelle Stevens : « Comme les photographies d'OVNI étaient « ma tasse de thé » à l'époque, j'ai posé à Paul Villa de nombreuses questions sur ses diverses photographies de véhicules extraterrestres. Il s'est levé, est allé dans un placard, a sorti un grand casier de l'armée et a sorti un grand classeur marron avec des séries de photographies d'OVNI. Nous avons pris les séries une par une, dans l'ordre où elles avaient été prises, et nous les avons examinées et discutées.
Il m'a donné des copies de deux séries que je n'avais pas vues auparavant, qu'il m'a dit ne pas avoir publiées et m'a demandé de ne pas les publier tant qu'il était encore en vie.
Dans ce dossier de photographies se trouvaient près d'une douzaine d'images que Paul avait prises sur une autre planète où l'avaient emmené ses amis de l'espace. Cette série montrait deux bêtes ressemblant à des dinosaures, de couleur fauve et marron, avec un long cou et une longue queue, broutant la cime d'arbres de taille moyenne. L'un d'eux prend une bouchée de feuillage qu'il arrache à la cime d'un arbre, tandis que l'autre a dans la bouche une bouchée de verdure provenant de la cime du même arbre, tandis qu'il tourne la tête pour regarder le vaisseau spatial en vol stationnaire. On peut voir les muscles ondulants et les rides de la peau de son cou à l'endroit où il a tourné la tête. L'ensemble de la scène, y compris la végétation et l'herbe clairsemée sur un sol presque désertique, était très réaliste et n'était certainement pas une peinture.
Il y avait trois ou quatre de ces photographies dans cette série qui se suivaient de près. Il avait d'autres séries de photographies qu'il ne m'avait pas montrées à l'époque, disant qu'il me donnerait tout le casier de notes et de photographies après sa mort. »
Wendelle Stevens : « Mon seul regret est de ne pas avoir été plus énergique pour obtenir des copies de certains autres, encore inédits, dans ce dossier dans la maison de Paul. Paul Villa est mort de ce cancer de l'estomac pendant mon absence.
Sa femme Eunis s'est sentie si seule sans lui qu'elle a vendu la caravane et les meubles et a déménagé avant mon retour. Depuis, je n'ai pas réussi à la retrouver. J'ai eu un jour l'indice qu'elle avait déménagé à Green Valley, au sud de Tucson, pour rester avec sa sœur qui s'était également installée ici, mais je n'ai jamais trouvé le nom de cette sœur mariée, et Eunis Villa n'est répertoriée dans aucun des systèmes d'enregistrement ici sous ce nom. J'aimerais beaucoup retrouver Eunis et ce casier militaire à reliure métallique rempli de notes de contact, d'objets et de choses que Paul avait collectés lors de ses contacts avec les Coma Bereniciens. »
Liens vers des documents plus complets sur ce contact :
• Livre complet "UFO contact from COMA BERENESIS - The Paul Villa story" publié par Wendelle Stevens, en anglais - format PDF: Cliquer ici
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