
L'extraterrestre dira à Joelle : « Nous ne sommes pas ici uniquement pour des raisons philanthropiques »
Contactée : Joelle Marchemont, qui relate qu’elle a par hasard été intégrée à un contact qui avait lieu avec des scientifiques, dont un certain Jack (pseudonyme) à Londres qui était le contacté depuis 8 ans, qu’elle a interféré par curiosité
Planète du contact : non donné par les extraterrestres, mais dans un autre système stellaire que le nôtre, dans un état invisible pour nous (pas sur la même fréquence vibratoire)
Nom du contact principal : Mark (le nom qu’il avait donné pour le désigner, certainement pas son nom dans son peuple, mais le nom utilisé par lui sur Terre) et Val (surnom donné pour lui par Joelle à cause de sa ressemblance avec l’acteur anglais Valentine Dyall)
Sommaire cliquable de liens internes :
◻️ Planète d'origine des contacts
◻️ Identité du contacté
◻️ Époque et lieu du contact
◻️ Publication de l'histoire
◻️ Comment a eu lieu le contact
➳ La rencontre à Blue John
➳ Rencontre au domicile du scientifique Jack
➳ Bases extraterrestres
➳ Des contacts répétés sous diverses formes
➳ Leur planète d’origine
➳ Une visite du ministère de l’intérieur
◻️ Apparence des habitants de ce monde
◻️ Description de leur monde et de leur civilisation
➳ Description physique de leur monde
➳ Transport
➳ Vie dans les logements
➳ Population
➳ Gouvernement et lois
➳ Économie
➳ Repas
➳ Agriculture
➳ Croyance et spiritualité
➳ Espaces naturels
➳ Technologies de communication
➳ Médecine et physiologie
➳ Relations avec les terriens
➳ Vêtements
➳ Art et culture
➳ Présence dans le système solaire
➠ Extrait 1 : vaisseaux spatiaux
➠ Extrait 2 : leur contact avec la Terre et leur influence
➠ Extrait 3 : des informations sur le contact avec Adamski
➳ Base à Pine Gap
🔗 Liens vers des documents plus complets sur ce contact
Planète d’origine des contacts :
Ils sont originaires d’une planète d’un autre système que le nôtre, mais l’emplacement n’est pas spécifié, sauf que c’est dans un autre système et qu’ils peuvent faire le voyage de manière quasi-instantanée du leur au nôtre.
Les visiteurs expliquèrent à Joelle que, si elle se rendait sur leur planète, « il se pourrait que tu ne nous voies pas ». Cela pourrait suggérer qu’ils existent dans une autre dimension ou « fréquence ».
Timothy Good : « Mais Joelle penchait plutôt pour l’idée que nos sens physiques, peu développés, limités à une faible portion du spectre électromagnétique, en seraient la cause. Elle me rappela toujours que, malgré leur développement technique, mental et spirituel, ses amis extraterrestres étaient des êtres physiques, ayant besoin de nourriture et de moyens de transport physiques. »
Commentaire personnel :
Cette interprétation de Joelle, qu'on pourrait les toucher sur leur monde, mais juste pas les voir car ils seraient en quelque sorte dans l'ultraviolet par exemple, et en simple camouflage optique, est à mon avis très limitée. Elle n'a manifestement pas de connaissance dans le domaine des plans de fréquence de matière et des domaines spirituels, et elle a essayé de se raccrocher à ce qu'elle connaît car elle n'imagine pas qu'un corps matériel puisse devenir immatériel pour nous en changeant de plan de fréquence, tout en restant matériel pour lui dans le plan dans lequel il se transfère. En tous cas ce n'est pas une information donnée par ses amis extraterrestres, c'est son idée à elle, et je n'y souscris pas le moins du monde.
Identité du contacté :
L’identité de la contactée est demeurée anonyme selon son souhait, même après sa mort, dans la divulgation publique faite par Timothy Good, mais une divulgation privée faite par un autre enquêteur a permis d’obtenir son nom complet. C’est Timothy Good, enquêteur ufologue très sérieux, chercheur de vérités en confrontant les éléments, et écrivain de livres en ufologies qui a rapporté publiquement ce cas dans son livre « Alien Bases », car il connait personnellement la personne contactée comme amie, avant de savoir qu’elle était contactée (et donc il connait son identité réelle). Il l’a appelé « Joelle », mais sans le nom de famille associé.

Timothy Good, né à Londres en 1942, a mené une carrière remarquable dans deux domaines distincts. Musicien de formation, il est devenu violoniste professionnel, jouant pendant de nombreuses années avec des orchestres renommés et collaborant comme musicien de studio auprès de grandes stars. Parallèlement, son intérêt pour les ovnis, né à l’âge de 14 ans, l’a conduit à se lancer dans des recherches ufologiques dès ses 20 ans. Il est devenu une figure reconnue dans ce domaine, notamment grâce à son livre « Above Top Secret », considéré comme l’un des ouvrages majeurs de l’ufologie britannique.
Timothy Good : « Joelle est née à Saint-Pétersbourg, en Russie, de parents français et russes, en 1914. Durant la Seconde Guerre mondiale, elle fut membre passive du Maquis, la résistance française à l’occupation nazie. Après la guerre, elle travailla à Paris pour le Ministère de l’Armement, puis vint s’installer à Londres avec sa famille. Par une étrange coïncidence, ses deux filles, Frédérique et Isabelle, étaient camarades de classe et amies avec moi à l’Arts Educational School (à Londres), où, en plus du programme classique, elles étudiaient le théâtre et la danse (1952-53). C’est à cette époque que je rencontrai Joelle pour la première fois. Nous ne devions nous revoir qu’en 1967, en compagnie de son mari et de Lou Zinsstag, de qui j’appris l’histoire de contact de Joelle. »
Timothy écrira que c’est en 1952 qu’il a rencontré Joelle. C’était à ce moment-là une mère de camarade de classe qu’il connaissait, mais rien d'autre. En 1967 il apprend son aventure. À l’époque de son contact extraterrestre de 1963, Joelle habitait à Londres, près d’Earls Court.
Timothy Good : « Parmi tous mes dossiers impliquant un contact prolongé avec des êtres extraterrestres quasi humains, rares sont ceux que j’ai trouvés totalement convaincants. Le cas suivant concerne un témoin que j’ai connu en tant qu’amie pendant 30 ans : un cas convaincant de contact, et l’un de ceux dans lesquels je crois que les extraterrestres n’ont transmis aucune information erronée. Cela ne veut pas dire que je crois à chaque mot, car quelques incohérences sont apparues au fil des années dans le récit du témoin, en raison d’une tendance occasionnelle à enjoliver les faits. Comme elle était réticente à voir l’histoire publiée même après sa mort (survenue en 1995), je ne la désignerai que sous le prénom de Joelle. »
Joelle est donc décédé à l’âge de 81 ans, en voulant rester anonymece qu’a respecté Timothy Good en ne donnant que ton prénom. L’anonymat de Joelle assure que sa famille ne sera pas ennuyée par des importuns au sujet de cette histoire.
Les extraterrestres rencontrés par Joelle lui ont aussi parlé de Adamski, et on en parlera donc dans cet article :
Timothy Good : « Un indice important concernant le mystère entourant Adamski me fut fourni par Joelle que j’ai rencontrée pour la première fois en 1952, et dont je peux garantir l’intégrité. Joelle, affirma qu’en 1963, elle avait rencontré le même groupe d’extraterrestres - ou un groupe similaire - que celui qu’Adamski avait connu, à la suite d’une série de circonstances fortuites. »
Cette histoire extraordinaire a suscité peu d’attention publique, et aucun ufologue ne l’a véritablement approfondie, à l’exception de Norman Oliver. Celui-ci a publié un résumé de l’affaire, enrichi de quelques détails supplémentaires, dans le magazine britannique Gemini (vol. 1, n° 3, juillet-septembre 1972, p. 9-13). Le manque de suivi s’explique, selon une lettre de septembre 1991, par une demande explicite de la témoin : « À ma connaissance, elle n’a répété sa déclaration concernant les événements de Blue John qu’à trois ou quatre personnes, et a expressément demandé que l’affaire ne soit pas vérifiée davantage. »
Dans une lettre antérieure, datée du 1er septembre 1989, Norman Oliver évoquait d'autres éléments intéressants non inclus dans son article. Il y écrivait : « Aucun suivi n’a été possible, car “Joan” (alias Joelle) affirmait que les personnes concernées avaient quitté le pays peu après, tout comme elle-même. Il est intéressant de noter, en passant, qu’elle ne possédait aucune nationalité. La région a été visitée à plusieurs reprises, et il ne semble exister aucune raison apparente, compte tenu du terrain, pour que les événements ne se soient pas déroulés tels qu’elle les a décrits… »
C’est l’enquêteur ufologue Norman Oliver qui révèle en 1989 à Håkan Blomqvist le nom de famille de Joelle : Marchemont. Håkan Blomqvist publiera cette information sur un blog en 2017. Norman Oliver, avait également été impliqué dans l’affaire (lettre du 1er septembre 1989 que Håkan Blomqvist a eu en copie). Timothy dit plus tard : « J’ai présenté plusieurs ufologues à “Pixie” (comme je l’appelais), dont Norman Oliver » (email du 23 mars 2008). Donc Timothy avait pu mettre quelques ufologues en contact avec Joelle pour enquête avant son décès, sinon il aurait été la seule source d’information.
Le principal problème avec ce cas réside dans le fait qu’il repose uniquement sur le témoignage de Mme Joelle Marchemont, sans véritables preuves circonstancielles pour l’étayer. Pourtant, Norman Oliver mentionne dans son article un détail troublant : Joan aurait ensuite rencontré les trois visiteurs, et l’un d’eux aurait affirmé avoir envoyé quelqu’un rencontrer Waveney Girvan, alors rédacteur en chef de Flying Saucer Review, peu avant sa mort. Selon Håkan Blomqvist , en 1970, de manière inattendue, un orateur venu à une réunion à Kensington rapporta avoir déjeuné avec Waveney quelques semaines avant son décès prématuré. Celui-ci lui aurait alors raconté avoir reçu la visite d’un homme se prétendant extraterrestre, qui lui avait évoqué l’épisode de Blue John.
Il s’agit d’une coïncidence des plus étonnantes, à moins, bien sûr, qu’elle n’ait été « fabriquée » dans le but de monter un canular. Cela reste toutefois peu probable. Si tel avait été le cas, il paraît probable que Waveney l’aurait découvert s’il avait pu poursuivre ses recherches. D’ailleurs, l’un des deux invités présents à ce déjeuner contribue à ce même numéro de Gemini, et l’autre est également une figure bien connue.
Époque et lieu du contact :
Le contact a eu lieu le 16 septembre 1963 à 16h30 près des grottes Blue John, près de Castleton dans le Peak District du Derbyshire.




Publication de l’histoire :
Timothy Good a fait paraître plusieurs ouvrages dans lesquels il rend compte de ses enquêtes sur terrain auprès de témoins et de contactés, et de matériel de divulgation divers dont il a pu prendre connaissance.
Il a co-écrit un livre d’enquête sur Adamski en 1983 : « George Adamski: The Untold Story », de Timothy Good et Lou Zinsstag.

Son livre best-seller qui l’a fait vraiment connaître est « Above top secret : the worldwide UFO cover-up » publié en 1987.

Puis il a écrit « Alien liaison » en 1991, « Alien contact : Top-secret UFO files revealed » en 1993, « Alien update » en 1993, « Beyond Top Secret » en 1996, et on arrive à « Alien Base » en 1998. Il a continué à écrire d’autres livres après, mais c’est dans « Alien Base » qu’il écrit l’histoire de Joelle.

Comment a eu lieu le contact :
Timothy Good : « C’est en septembre 1963, alors que Joelle effectuait une enquête de terrain porte-à-porte dans la région de Sheffield pour une entreprise d’études de marché (dont elle était associée principale), que ses aventures extraordinaires commencèrent. Le sondage incluait des questions sur les appareils électroménagers, et dans une maison, elle fut frappée par la quantité d’appareils très modernes dans le salon, dont aucun n’était commercialisé. Interrogée à ce sujet, la maîtresse de maison (que j’appellerai Rosamund) expliqua que son mari était scientifique et testait régulièrement les appareils les plus récents pour en évaluer la praticabilité.
Joelle remarqua un grand émetteur-récepteur radio, et Rosamund lui dit que son mari était radioamateur et parlait avec des gens du monde entier. Pour le prouver, Rosamund alluma l’appareil, puis quitta brièvement la pièce. Joelle entendit alors un message très bref en anglais, qu’elle nota au dos de son carnet d’enquête. Lorsque Rosamund revint, Joelle lui dit qu’un message était passé, sans mentionner qu’elle l’avait écrit. Rosamund, visiblement choquée, éteignit immédiatement l’appareil, expliquant que son mari ne lui pardonnerait jamais de l’avoir allumé sans son autorisation.
Plus tard, à l’hôtel, Joelle réfléchit au message : « Will be at Blue John tomorrow, 4.30 p.m. - Mark » (« Serai à Blue John demain, 4.30 p.m. – Mark »). Cela ne signifiait rien pour elle sur le moment, mais elle fit quelques recherches. « Blue John » désignait les grottes Blue John, près de Castleton dans le Peak District du Derbyshire, leur nom venant du français bleu-jaune, en référence à la fluorine bleue trouvée dans la région. Pensant peut-être avoir mis au jour un réseau d’espionnage (influencée par son habitude des réseaux d'espionnage, dans son passé dans la résistance française), Joelle décida d’aller voir par elle-même. »
La rencontre à Blue John :
« L’après-midi du lundi 16 septembre 1963, Joelle partit en voiture vers Londres, en passant par les grottes Blue John. Elle arriva vers 14h30, se gara sur un promontoire dominant une vallée en pente douce, mangea son déjeuner, puis attendit.
Peu avant 16h30, elle aperçut une lumière brillante dans le ciel, qu’elle prit d’abord pour le soleil. Mais comme elle se déplaçait, puis s’immobilisa à quelques centaines de mètres, la lueur cessa. Elle vit alors un engin en forme de disque, d’environ 6 mètres de diamètre, reposant sur trois jambes d’atterrissage se terminant par des sortes de patins en forme de champignon inversé. Sous une coupole, elle distingua plusieurs hublots circulaires. »

« Un homme (probablement « Mark ») en sortit, vêtu d’une combinaison bleue et d’un casque en tissu. Simultanément, un autre homme descendit d’une voiture garée plus loin et se dirigea vers l’appareil. Joelle reconnut la voiture comme étant celle vue chez Rosamund. Les deux hommes se saluèrent chaleureusement, puis Mark fit un signe vers l’appareil, et tous deux montèrent dans la voiture et partirent. L’engin se mit alors à briller, rétracta son train d’atterrissage, flotta un instant, puis s’éleva à une vitesse prodigieuse. »

Rencontre au domicile du scientifique Jack :
« À l’époque, Joelle ne croyait pas aux soucoupes volantes. Elle pensa avoir vu un avion très avancé, peut-être soviétique, et que son occupant était un espion en lien secret avec le mari de Rosamund. Elle décida donc d’attendre un peu avant de se rendre chez eux, pour en apprendre plus, voire prévenir la police.
Une demi-heure plus tard, elle frappa à la porte. Le scientifique (que j’appellerai Jack) ouvrit prudemment et lui demanda ce qu’elle voulait. Joelle prétexta un besoin de vérification concernant le sondage. Jack s’apprêtait à refermer la porte, quand Mark - désormais vêtu comme un homme ordinaire - intervint : « Ça va Jack, laisse-la entrer. »
À contrecœur, Jack l’introduisit dans le salon.
— « Pourquoi ne nous dites-vous pas la vraie raison de votre visite ? », demanda Mark.
— « Parce que j’ai besoin de revoir certaines réponses avec Rosamund », répondit-elle.
— « Ce n’est pas vrai, Madame… »
Joelle jura intérieurement.
— « Tsk, tsk », dit Mark en plaisantant. « Il ne faut pas jurer comme ça. »
Comment savait-il qu’elle avait juré en silence ?
— « Vous êtes venue ici parce que vous avez vu mon vaisseau et que vous vouliez comprendre ce qui se passait, n’est-ce pas ? »
Joelle finit par avouer. Dès lors, elle fut « admise » dans le secret du lien extraterrestre. La discussion dura une bonne partie de la nuit. D’abord incrédule, elle finit par accepter la vérité : Mark était bel et bien un homme d’un autre monde. »

« Pendant environ 15 mois, Joelle eut environ huit heures et demie d’entretiens avec Mark et un autre membre de son espèce, un homme à la voix grave surnommé Val (car sa voix rappelait celle de l’acteur Valentine Dyall). Ces rencontres auraient eu lieu en divers endroits d’Angleterre, dont au moins deux fois dans l’appartement londonien de Joelle, près d’Earls Court. »
Bases extraterrestres :
« Joelle me confia qu’elle avait commencé par poser des questions « plutôt idiotes », faute de connaissances sur le sujet. Après avoir lu quelques livres, ses questions devinrent plus élaborées. La première concernait bien sûr l’origine des visiteurs. Mark et Val refusèrent de répondre précisément, disant seulement qu’ils venaient d’une planète semblable à la Terre, dans un autre système solaire. Ils affirmèrent aussi que nous ne sommes pas seuls dans notre système solaire, et suggérèrent qu’ils avaient des bases sur deux lunes de Jupiter (non spécifiées). »

« Fait intéressant : en 1997, on annonça que des signes de vie (molécules de carbone et d’azote) avaient été détectés sur Ganymède et Callisto, deux grandes lunes de Jupiter, selon des données de la sonde Galileo. Des scientifiques avaient déjà supposé que de la vie pouvait exister dans l’eau sous la surface glacée d’Europe, une autre lune.
Selon Mark et Val, leur peuple avait autrefois des bases sur Mars et sur la Lune. Ils révélaient également l’existence de plusieurs bases sur Terre, en Amérique du Sud, en Australie, en Union soviétique et ailleurs (mais pas au Royaume-Uni). Bien qu’Homo sapiens soit né sur Terre, ils expliquèrent être intervenus deux fois génétiquement pour accélérer notre évolution. Bien que similaires en apparence, humains terrestres et extraterrestres ont évolué séparément. Les aliens vivent plus longtemps en raison de leur évolution avancée. Mark et Val étaient très raffinés, à la peau claire, avec une dentition parfaite et un détail subtil dans leurs yeux. Joelle vit aussi un homme à la peau foncée, membre de leur groupe. »
Des contacts répétés sous diverses formes :
« Joelle déclara avoir aidé les visiteurs de plusieurs manières. Une fois, ils lui demandèrent de traduire un manuscrit russe conservé au British Museum. À plusieurs reprises, elle leur prépara également des repas dans son appartement londonien. Mark et Val avaient des « manières parfaites », aimaient boire du vin avec leurs repas et avaient beaucoup d’humour. Ils insistaient sur leur désir d’être traités normalement. « Nous avons peut-être des milliers d’années d’avance sur votre peuple, dirent-ils un jour, mais s’il vous plaît, ne nous considérez pas comme des anges. »
Mark et Val ne comptaient pas uniquement sur la télépathie pour communiquer entre eux ; ils parlaient aussi leur propre langue. Lorsqu’ils devaient s’adresser à distance aux scientifiques, ils utilisaient un type de radio avec des fréquences sécurisées prédéterminées, à l’aide de minuscules radios attachées à leur poignet. Ils pouvaient aussi utiliser des méthodes de communication plus sophistiquées, comme Joelle devait le découvrir. Un jour, en rentrant chez elle, elle fut stupéfaite de voir Val dans son salon.
— « Comment diable es-tu entré ? » demanda-t-elle en s’approchant.
— « Ne t’approche pas — ne me touche pas ! » dit-il. « Calme-toi. Je ne suis pas réellement ici. »
Val expliqua que ce qu’elle voyait était une image projetée, produite par un lien mental pour faciliter la communication à distance. « Peut-être était-ce, comme il le disait, simplement une image dans mon esprit », me confia Joelle. Après une brève discussion et un au revoir, "l’image" s’évanouit simplement. Ce phénomène particulier a été rapporté dans plusieurs cas de contact, y compris celui de Cynthia Appleton. »
Leur planète d’origine :
« Une fois, dans son appartement, à l’aide d’un dispositif technique, Joelle dit que ses amis projetèrent devant elle des images fixes en trois dimensions (semblables à nos hologrammes, mais plus réalistes) de leur planète d’origine. On y voyait certains types d’arbres, ainsi que des habitations, pour la plupart circulaires mais pas toutes de même conception. Des véhicules tubulaires, qui se déplaçaient juste au-dessus du sol, furent montrés. Ils pouvaient accueillir jusqu’à quatre personnes et étaient programmés pour s’arrêter à certains points, sauf indication contraire. Parmi les animaux, il y avait des vaches semblables à certaines de nos races, bien qu’un peu plus petites. »
La suite des informations détaillées sur leur monde et la vie dans leur civilisation est disponible dans la section de description de leur monde de cet article, plus loin, cliquer ici.
Une visite du ministère de l’intérieur :
« En 1967, trois ans après sa dernière rencontre avec Mark et Val, Joelle affirma avoir reçu la visite de deux représentants du Home Office à Londres. Les deux hommes commencèrent par lui poser des questions sur la « disparition » de Jack, Rosamund et d’autres scientifiques, qui vivaient supposément « ailleurs », peut-être dans une base en Amérique du Sud. Joelle pensa qu’ils avaient trouvé son adresse dans le carnet de l’un des scientifiques disparus. En tout cas, ils semblaient bien informés. Joelle refusa poliment de répondre à certaines questions.
— « Vous ne vous attendez tout de même pas à ce que je réponde à ça, n’est-ce pas ? » leur disait-elle, une réponse qui semblait satisfaire les enquêteurs. »
Blocage hypnotique : « Au fil de ses rencontres avec Mark et Val, Joelle dit avoir appris énormément. Elle ne me raconta pas tout, et parfois, au moment où elle semblait sur le point de faire une révélation capitale, elle s’interrompait soudainement. Elle pensait avoir été hypnotisée pour l’empêcher de divulguer certaines informations sensibles - une hypnose effectuée sans méthode conventionnelle. »
Apparence des habitants de ce monde :
Les habitants de leur monde ressemblent à des êtres humains normaux.

Mark et Val, les deux visiteurs principaux rencontrés par Joelle, sont indiscernables d’un humain terrestre. Ils sont décrits comme très raffinés, à la peau claire, avec une dentition parfaite et un détail subtil dans les yeux, sans autre spécificité immédiatement visible. Ils peuvent se fondre parmi les humains, comme l’a démontré Mark en se présentant vêtu de vêtements terrestres ordinaires. Joelle a également aperçu un homme à la peau foncée appartenant à leur groupe, ce qui indique une diversité de teints au sein de leur population. Lorsqu’ils sortent de leur vaisseau, ils portent des combinaisons une pièce bleues accompagnées d’un casque en tissu, probablement destiné aux déplacements dans des environnements non natifs.


Description de leur monde et de leur civilisation :
Le monde d’origine des visiteurs rencontrés par Joelle est une planète similaire à la Terre sur certains aspects, mais avec des différences notables dans le climat, l’organisation sociale et les conditions environnementales. Il s’agit d’une société très évoluée, tant sur le plan technologique que spirituel, vivant en harmonie sans divisions sociales ni politiques.
Description physique de leur monde :
Le climat y est plus doux et moins contrasté que sur Terre, avec des saisons différentes. Le paysage comprend des zones naturelles, des arbres spécifiques et des habitations majoritairement circulaires, variées dans leur conception. Il n’y a pas de mention explicite de mers, montagnes ou déserts, mais la présence d’animaux d’élevage suggère un environnement équilibré et fertile.
Transport :
Des véhicules tubulaires se déplacent juste au-dessus du sol. Ils peuvent transporter jusqu’à quatre personnes et s’arrêtent automatiquement à des points préprogrammés, sauf indication contraire. Les vaisseaux spatiaux permettent un voyage quasi instantané entre systèmes solaires. Les équipages doivent néanmoins se réadapter régulièrement à l’environnement terrestre, ce qui suppose des contraintes physiques sur les longs séjours.
Vie dans les logements :
Les maisons sont en grande majorité circulaires, mais non uniformes. Elles semblent adaptées à un mode de vie simple et intégré dans l’environnement naturel. Il n’est pas précisé si elles sont groupées en villes ou dispersées.

Population :
Leur population est composée d’individus très évolués, physiquement semblables aux humains. Les enfants y atteignent la maturité plus rapidement que les humains. Il n’y a pas de classes sociales, et chacun participe aux tâches collectives, même les scientifiques.
Les couples se limitaient à deux enfants, qui atteignaient la maturité bien plus tôt que les humains.
Gouvernement et lois :
Il n’existe ni pays ni gouvernements distincts. À la place, une forme de conseil collectif semble régir la société. Aucune hiérarchie autoritaire ou coercitive n’est mentionnée, suggérant une organisation fondée sur la coopération et la responsabilité partagée. Aucune division sociale ou raciale existe.
Économie :
La société ne fonctionne pas avec de l’argent. Un système de crédits est utilisé, dans lequel chacun doit contribuer à la collectivité. Il n’est pas possible de recevoir sans donner en retour, chacun doit contribuer à la société d’une manière ou d’une autre. Cela implique une économie orientée vers l’équilibre, l’équité et l’autonomie. Même les scientifiques accomplissaient périodiquement des tâches plus modestes.
Repas :
Les habitants mangent peu comparé aux humains. Ils consomment principalement du poisson, très peu de viande de mammifère, et beaucoup de fruits. Ils produisent une boisson fermentée semblable au vin, qu’ils apprécient lors des repas. Mark et Val ont d’ailleurs exprimé leur goût pour le vin terrestre.
Agriculture :
Les habitants élèvent des animaux domestiques, comme des vaches ressemblant à certaines races terrestres mais plus petites. Cela suggère une forme d’agriculture contrôlée ou intégrée, bien qu’aucune mention explicite de culture végétale ne soit donnée, en dehors des fruits.
Croyance et spiritualité :
Les visiteurs expliquent à Joelle que l’humanité est composée d’êtres spirituels qui survivent après la mort. Ils reconnaissent l’importance du développement psychologique et spirituel des civilisations, et considèrent que l’humanité actuelle n’est pas encore prête à établir un contact généralisé avec une civilisation plus avancée.
Ils déclarent avoir influencé spirituellement notre développement à certaines périodes, notamment en facilitant la naissance de figures majeures comme Jésus par des moyens tels que l’insémination artificielle. Ils disposent de pouvoirs télépathiques puissants, qu’ils utilisent de manière ciblée pour influencer l’humanité, tout en évitant les interventions directes sauf en cas de menace majeure, comme une guerre nucléaire. Ils évoquent également l’existence d’autres groupes extraterrestres visitant la Terre, qui ne partagent pas nécessairement les mêmes intentions bienveillantes.
Espaces naturels :
Leur monde semble préservé et équilibré, avec des espaces verts, des arbres et des animaux d’élevage, mais sans industrialisation visible. L’environnement est probablement géré de manière durable, sans pollution ni destruction.
Technologies de communication :
Les visiteurs utilisent différents modes de communication, en fonction des besoins. Entre eux, ils parlent leur propre langue, mais utilisent aussi des radios miniatures fixées au poignet fonctionnant avec des fréquences sécurisées pour leurs échanges avec des scientifiques humains.
Ils possèdent également des technologies télépathiques et de projection mentale. Val est ainsi apparu chez Joelle sous la forme d’une image visuelle vivante, capable de dialoguer avec elle alors qu’il n’était pas physiquement présent. Ce phénomène, considéré par Joelle comme une projection mentale amplifiée, a été signalé dans d'autres cas de contact. Par ailleurs, ils ont montré à Joelle des images fixes en trois dimensions de leur monde, similaires à des hologrammes mais bien plus réalistes.
Médecine et physiologie :
Timothy Good : « Ils expliquèrent néanmoins que certaines différences environnementales rendaient difficile leur séjour sur Terre sans "réadaptation" périodique, un procédé également mentionné par d’autres contactés, comme Howard Menger. D’après les maigres éléments fournis à Joelle, on peut supposer que ces difficultés étaient liées principalement, mais pas exclusivement, à la pression atmosphérique et à la gravité. Pendant leur mission ici, Mark et Val devaient se soumettre à une séance de réadaptation ou de « décompression » environ tous les quatre jours, soit à bord de leur vaisseau (y compris un grand vaisseau porteur), soit dans leurs bases. »

Les habitants de ce monde possèdent un organisme biologiquement plus avancé que celui des humains. Ils vivent plus longtemps, dorment seulement quatre heures par nuit et ont un métabolisme plus efficient.
Ils ne possèdent pas d’hôpitaux au sens terrestre du terme. Les blessures, notamment accidentelles, sont soignées à l’aide de machines très sophistiquées. Par ailleurs, ils déclarent avoir procédé à deux interventions génétiques sur l’humanité dans un passé lointain pour accélérer son évolution.
Relations avec les terriens :
Joelle a eu des rencontres régulières avec les visiteurs pendant environ quinze mois, totalisant environ huit heures et demie de conversations en différents lieux d’Angleterre, dont au moins deux dans son appartement londonien. Joelle a servi d’intermédiaire et de personne de confiance pour les visiteurs, les aidant à traduire un manuscrit russe et leur offrant l’hospitalité à plusieurs reprises chez elle, où elle leur préparait des repas.
Elle les accueillait dans son appartement londonien, où elle leur préparait des repas. Ils appréciaient les plaisirs humains tels que la gastronomie et le vin, et faisaient preuve d’humour et de courtoisie.
Mark et Val insistaient pour être traités de manière simple et naturelle, sans admiration exagérée, affirmant :
« Nous avons peut-être des milliers d’années d’avance sur votre peuple, mais s’il vous plaît, ne nous considérez pas comme des anges. »
Vêtements :
Peu d’éléments sur leur mode vestimentaire, si ce n’est les combinaisons portées par Mark et Val, souvent bleues, pratiques et sobres. Il paraît probable que ça soit des tenues spécifiques aux déplacements spatiaux.
Art et culture :
La musique est présente dans leur civilisation, bien qu’elle soit différente de la nôtre. Ils utilisent notamment des instruments à cordes pincées ou frappées, et non frottées. Mark et Val ont exprimé une grande appréciation pour la musique humaine, qu’ils semblent considérer avec intérêt et émotion.
Présence dans le système solaire :
Les visiteurs ont affirmé avoir eu par le passé des bases sur Mars et sur la Lune. Actuellement, ils disposeraient de bases actives sur deux lunes de Jupiter (non spécifiées), ainsi que sur Terre, notamment en Amérique du Sud, en Australie, en Union soviétique et ailleurs, mais aucune au Royaume-Uni. Ces bases sont tenues secrètes et sont le théâtre de coopérations discrètes avec des scientifiques humains
Certains de ces scientifiques auraient voyagé sur la planète des visiteurs, ce qui exigeait parfois qu’ils « disparaissent » pour ne pas éveiller les soupçons. Les visiteurs disposent également d’un grand vaisseau porteur, capable de servir de base autonome, ce qui les rend non dépendants d’une planète pour survivre ou opérer.
Extraits des divulgations, selon une sélection choisie :
Extrait 1 : vaisseaux spatiaux
Les vaisseaux utilisés par les visiteurs sont décrits comme des engins en forme de disque, d’environ six mètres de diamètre. Ils sont dotés de trois jambes d’atterrissage très courtes se terminant par des patins en forme de champignon inversé. Sous leur coupole supérieure se trouvent plusieurs hublots circulaires. L’aspect général de l’appareil est lisse et fonctionnel, sans ornementation particulière. Lorsqu’ils décollent, les pieds d’atterrissage se rétractent, et une lumière intense entoure l’engin, qui s’élève d’abord lentement avant de filer à une vitesse prodigieuse.

Timothy Good : « Joelle raconta qu’à une occasion, elle fut invitée à inspecter un vaisseau de près. Il s’agissait du même engin qu’elle avait vu à distance en septembre 1963. Cette fois-ci, cela se déroulait près de la frontière galloise, alors qu’un des scientifiques devait être transporté vers une base en Amérique du Sud. Joelle avoua ne pas être douée pour évaluer les tailles, mais estima que la largeur des jambes d’atterrissage était d’environ huit centimètres, et que les patins en forme de champignon inversé dépassaient peut-être d’un ou deux centimètres de plus. Hormis une série de hublots ronds, aucun autre détail ne pouvait être distingué, car il faisait sombre. Le point d’entrée n’était pas visible depuis sa position. Elle ne fut pas autorisée à monter à bord, bien qu’elle ait pu toucher la coque, ce qui lui provoqua ensuite une légère sensation de malaise. Peu après, elle et Rosamund montèrent au sommet d’une colline voisine pour observer le décollage du vaisseau. Avec un bourdonnement semblable à celui d’un essaim d’abeilles, l’engin s’éleva verticalement, lentement au début, puis partit à toute vitesse, illuminé, en biais. »
Un grand vaisseau porteur est également mentionné. Il agit comme une base autonome, ce qui laisse entendre qu’il est capable d’abriter plusieurs occupants sur de longues durées et de contenir des installations techniques importantes. Ce type de vaisseau est utilisé notamment pour les opérations prolongées ou les réadaptations physiologiques nécessaires aux visiteurs lorsqu’ils séjournent sur Terre. »

« L’intérieur du petit vaisseau n’est pas décrit en détail, car Joelle n’y a jamais été autorisée à entrer. Elle a cependant pu toucher la coque extérieure lors d’une rencontre nocturne, ce qui lui a provoqué une légère sensation de malaise, sans autre symptôme.
En ce qui concerne la propulsion, les visiteurs ont seulement laissé entendre que les voyages entre leur système solaire et le nôtre se faisaient de manière pratiquement instantanée. Aucune explication technique n’a été donnée, et Joelle pensait de toute façon qu’elle n’aurait pas été capable d’en comprendre le fonctionnement. Les engins ne produisent pas de bruit mécanique à proprement parler, mais un bourdonnement semblable à celui d’un essaim d’abeilles a été perçu lors d’un décollage.
Ces vaisseaux semblent être conçus pour l’efficacité, la discrétion et l’autonomie, autant en déplacement qu’en fonction de survie. Ils sont adaptés à des missions discrètes, sans intervention directe, et permettent également aux visiteurs de procéder à leurs réadaptations physiologiques lorsqu’ils séjournent sur notre planète.
Joelle avait aussi l’impression qu’ils n’étaient pas nécessairement dépendants d’une planète, leur vaisseau porteur étant totalement autonome. »
Extrait 2 : leur contact avec la Terre et leur influence
« Si Mark et Val étaient réticents à parler de leur origine, de leur technologie ou du but réel de leur mission, ils étaient parfois plus ouverts sur d’autres sujets. En général, expliquèrent-ils, ils préféraient exercer leurs puissants pouvoirs télépathiques pour influencer l’humanité, bien qu’ils soient parfois intervenus directement. Ils le feraient de nouveau à l’avenir, par exemple si une catastrophe nucléaire menaçait de détruire notre planète - avec peut-être des conséquences qui les affecteraient eux aussi. D’autres êtres extraterrestres venaient également sur Terre, dirent-ils, mais n’étaient pas aussi bienveillants envers nous. Aucun autre détail ne fut donné.
En plus d’avoir, selon eux, « amélioré » génétiquement la race humaine à deux reprises dans le passé lointain, il fut aussi affirmé que certains de nos grands leaders spirituels, dont Jésus, auraient été conçus par une forme d’insémination artificielle, dans le but d’inculquer à l’humanité des notions spirituelles. La réticence de ce groupe d’extraterrestres à entrer en contact ouvert avec l’humanité venait principalement du fait que nous ne sommes pas encore prêts psychologiquement et spirituellement à interagir avec une civilisation plus avancée ; nous devons évoluer de manière indépendante. Essentiellement, expliquèrent-ils à Joelle, nous sommes des êtres spirituels, survivant à la mort.

« Quelle planète magnifique », dirent-ils un jour à Joelle. « Quel dommage que vous soyez en train de la détruire… »
Pour Joelle, ces expériences avec ses amis restèrent un souvenir précieux et vif pour le reste de sa vie.
De nos jours, nous entendons rarement parler de rencontres avec des extraterrestres spirituellement avancés. Ont-ils quitté la Terre pour toujours ? Sont-ils toujours là, mais engagés dans des projets moins ambitieux ? Quoi qu’il en soit, je me demande souvent si la principale raison de leur présence ici n’est pas liée à la survie même de notre planète — en tant que base extraterrestre. »
« Ils disaient coopérer secrètement avec une équipe internationale de scientifiques, les premiers contacts anglais ayant été établis avec Jack huit ans plus tôt. Joelle rencontra deux autres scientifiques, dont un travaillant au centre de lancement de Woomera en Australie. Quant à leur mission, il resta vague : « Nous ne sommes pas ici uniquement pour des raisons philanthropiques », dirent-ils. Certains scientifiques collaboraient dans les bases ou se rendaient (rarement) sur leur planète, ce qui nécessitait parfois qu’ils « disparaissent ». C’est pourquoi ils privilégiaient les personnes sans attaches familiales. »
Extrait 3 : des informations sur le contact avec Adamski
« Un indice important concernant le mystère entourant Adamski me fut fourni par Joelle. »

« Selon ce que les visiteurs lui avaient confié, Adamski avait effectivement été choisi et contacté par ce groupe d’extraterrestres, mais à un stade précoce, il aurait divulgué certaines informations confidentielles qui lui avaient été confiées. Il devint alors nécessaire pour eux de lui fournir de fausses informations destinées à le discréditer, afin de protéger leurs propres intérêts.
Je ne sais pas exactement quelles furent ces désinformations, mais je peux affirmer qu’elles commencèrent à apparaître dans son livre « Inside the Space Ships ». Joelle me dit que le récit d’Adamski sur le contact de Desert Center, tel que décrit dans « Flying Saucers Have Landed », est essentiellement vrai. Les contacts de Jane (note du traducteur : surnom donné à Joelle) confirmèrent qu’Adamski avait bel et bien été à bord de leur vaisseau, mais refusèrent de dire où ils l’avaient emmené. Ils se montrèrent tout aussi réticents à révéler leur origine, se contentant de dire qu’ils possédaient des bases dans notre système solaire, y compris sur Terre. Il ne fut pas précisé dans quelle mesure Adamski était conscient des informations erronées qu’il avait diffusées. »

Carol Honey m’a raconté qu’Adamski avait effectivement trahi une telle confidence à une occasion. En supposant que ses premiers contacts aient été authentiques, les pressions sur lui ont dû être considérables.
« Mon cœur est un cimetière de secrets », confia-t-il un jour à Lou Zinsstag.
Desmond Leslie, cherchant à réhabiliter son ami, propose une explication ésotérique pour justifier les appellations de « Vénusiens », « Martiens », « Saturniens », etc. Les « frères », dit-il, sont capables de se « matérialiser » dans notre environnement, mais leurs propres planètes vibrent à une fréquence plus élevée que la nôtre. C’est pourquoi, selon lui, la vie telle que nous la connaissons n’a pas été découverte dans notre système solaire. Je ne rejette pas cette hypothèse ; cependant, au-delà du fait que les « frères » ne proviennent pas nécessairement de notre système solaire (comme Adamski lui-même l’aurait reconnu en privé, d’après Carol Honey, et comme cela est aussi sous-entendu dans les informations données à Joelle), il y a un autre point qu’il ne faut pas négliger.
Leslie cite Paramahansa Yogananda, le grand maître yogi, et évoque les prouesses extraordinaires attribuées aux avatars et maîtres hautement évolués vivant sur Terre — capables, dit-on, de léviter, de se rendre invisibles, de projeter leur image à travers de vastes distances, de traverser les murs, etc. Mais cela ne change en rien le fait que ces êtres remarquables restent des humains de chair et de sang, bien qu’extrêmement évolués physiquement, mentalement et spirituellement. Il est de ma conviction que de nombreux extraterrestres sont eux aussi capables de telles prouesses, et même d’autres tout aussi fantastiques. En ce sens, je ne vois guère de différence entre les êtres humains très évolués vivant sur notre planète et ceux venant d’ailleurs.
Adamski déclara un jour à Leslie que nous ne pouvions pas visiter des civilisations avancées sur d’autres planètes « dans notre condition corporelle actuelle ». Je pense qu’il y a beaucoup de vérité dans cette affirmation, mais pas uniquement pour des raisons ésotériques.
Lorsque Leslie lui demanda si les êtres de l’espace étaient bien solides, Adamski, en faisant allusion à son premier contact avec Orthon, répondit :
« Ces types n’étaient pas des foutus fantômes. Le pilote s’est éraflé la main sur le rebord quand il a attrapé mon bras pour l’empêcher d’être arraché par le champ de force, et je vous assure que ça saignait rouge, comme vous et moi. »
À d’autres occasions, Adamski insistait sur ce point.
« Pourquoi un fantôme aurait-il besoin d’un vaisseau spatial ? » aimait-il demander.

En supposant qu’il n’existe pas de civilisations indigènes prospères dans notre système solaire, rien n’empêche cependant que des bases temporaires, voire permanentes, puissent y être installées — sur certaines planètes, leurs satellites, ou même sur Terre, par des êtres venus d’autres systèmes solaires. Adamski fut le premier à affirmer que les extraterrestres possédaient des bases secrètes sur notre planète, connues d’un petit nombre de personnes dans les milieux militaires et du renseignement. J’ai rassemblé de nombreuses preuves appuyant cette affirmation au cours de mes recherches. »
Commentaire personnel :
Ce que ces extraterrestres disent à Joelle paraît plausible. Ils affirment, comme l’ont dit les vénusiens à Adamski, qu’ils sont sur une autre fréquence de la réalité, ils ne pourraient pas être vus par nous si nous allions dans leur monde. Ils disent que des mensonges ont été dits à Adamski, probablement sur leur origine réelle. On a déjà vu dans les contacts extraterrestres ils donnent parfois des provenances qui démontrent une incohérence (ils se disent dans notre système solaire sur des planètes inexistantes et invisibles) ou ne donnent pas leur provenance. Quand ils la donnent c’est donc possiblement un mensonge. Ils ne veulent manifestement pas être des cibles ou rester discrets face à d’autres ethnies extraterrestres probablement qui auraient accès à ce contenu des contactés et pourraient aller les surveiller ou les repérer.
Si ils ont des bases sur Mars, Vénus, des lunes de Jupiter, des lunes de Saturne, ils peuvent considérer comme une distorsion de la réalité sans que ça soit un vrai mensonge de dire qu'ils viennent de Vénus, de Mars, de Jupiter ou de Saturne. Dans le fond c'est vrai et ça permet de cacher leur provenance réelle en n'étant pas dans un mensonge total mais une déformation de la réalité pour protéger leur origine. C'est imaginable. Et lorsqu'ils ont dit que leur vie n'était pas sur le même plan que nous, ce n'était pas forcément sur Vénus, Mars, Jupiter ou Saturne dans ce cas qu'ils en parlaient.
On sait que les témoins d'Adamski et de Menger, les grands contactés vénusiens, étaient nombreux. Qu'ils aient été en contact avec des êtres ayant des vaisseaux et des technologies non terrestres est un fait quasi établi. Mais qu'ils aient dit la vérité sur leur provenance est une toute autre affaire, qui revient à celle constatée dans tous les contacts : les extraterrestres racontent ce qu'ils veulent au contacté, qui ne peut que les croire, sans moyen de vérifier, surtout venant d'une source d'autorité. Donc qu'est-ce qui fait partie d'une stratégie de leur côté et d'une manipulation et qu'est-ce qui fait partie de vérités, impossible à dire. Il faut donc comparer les propos des contacts et voir ce qui en émerge pour démêler au mieux les informations convergentes et celles divergentes afin de se faire une idée.
Base à Pine Gap :
« Dans le livre « Alien Liaison », j’évoque une base extraterrestre présumée près de Pine Gap, la plus secrète installation américaine en Australie, à 24 km d’Alice Springs. En 1989, le professeur J.D. Frodsham rapporta le témoignage de trois chasseurs qui auraient vu une porte camouflée s’ouvrir dans l’enceinte, laissant s’élever un disque métallique sans bruit. Pine Gap est officiellement un centre de recherche spatiale conjoint USA-Australie, fondé par la CIA en 1966, exploitant les satellites d’espionnage. Il jouit d’un quasi-statut extraterritorial.

Selon une source de la CIA, Alice Springs serait un « poste de récompense » - ce qui ne prouve pas l’existence d’une base alien, mais de nombreux indices l’évoquent. George Adamski écrivit dès 1951 l’existence d’un laboratoire spatial à 1 400 miles de Sydney, opérationnel depuis 1948, avec des échanges entre terriens et « hommes de l’espace ». Il reçut cette information d’un ancien officier de l’armée de l’air chilienne.
En janvier 1952, avant son célèbre contact en Californie, Adamski aurait aussi parlé avec un ingénieur marin de l’Alaska, qui prétendait voir régulièrement des vaisseaux atterrir là-bas, leurs occupants mesurant entre 90 cm et 2 mètres.
Je cite ces données pour trois raisons :
- Elles précèdent toute publication sur des bases extraterrestres sur Terre.
- Joelle déclara avoir rencontré un groupe semblable à celui d’Adamski (que ces mêmes extraterrestres auraient dû discréditer).
- Une de mes sources fiables affirme que plusieurs bases existent sur la planète, et que les premiers contacts auraient débuté à la fin des années 1940. Deux de ces bases seraient situées en Alaska… et à Pine Gap. »
Liens vers des documents plus complets sur ce contact :
• Livre complet "Alien Base" publié par Timothy Good, en anglais - format PDF: Cliquer ici
☝ Sites web en anglais + traduction automatique FR :
Lien 1
☛ Traduction auto en FR : cliquer ici
Lien 2
☛ Traduction auto en FR : cliquer ici
Lien 3
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