SILXTRA (VÉGA) – Pierre Monnet

« Les extraterrestres m'ont dit », Pierre Monnet. Sur les extraterrestres de Silxtra autour de Véga.

Sommaire cliquable de liens internes :
◻️ Planète d'origine des contacts
◻️ Identité du contacté
◻️ Époque et lieu du contact
◻️ Publication de l'histoire
◻️ Comment a eu lieu le contact
  ➳ Une façon d'être différente depuis ses 4 ans
  ➳ Lévitation mystérieuse observée à ses 7/8 ans
  ➳ Objets mystérieux qui apparaissent/disparaissent à ses 9 ans
  ➳ Des sauvetages sous protection invisible de Pierre Monnet
  ➳ La 1ère rencontre extraterrestre à ses 19 ans, qui est le début des contacts
  ➳ Sauvetage à ses 23 ans
  ➳ Contact avec le divin à ses 25 ans
  ➳ Résurgences mémorielles des contacts
  ➳ Comment sont reçus les messages télépathiques
  ➳ Deuxième rencontre mais de façon anonyme et éclair avec des extraterrestres infiltrés parmi les humains en 1974
  ➳ Expérience de conscience sortie hors du corps à 52 ans
◻️ Apparence des habitants de Silxtra
◻️ Description de leur monde et de leur civilisation
  ➳ Description physique de leur planète
  ➳ Nature
  ➳ Villes
  ➳ Transports
  ➳ Loisirs
  ➳ Agriculture
  ➳ Nourriture
  ➳ Système social
  ➳ Religion
  ➳ Énergie
  ➳ Sciences
  ➳ Santé
  ➳ Conceptions sur le cosmos
  ➳ L'amour comme concept de base

Extrait 1 : vaisseaux spatiaux
  ➳ Description du vaisseau observé sur Terre
  ➳ Description du vaisseau lors du voyage spatial en connexion télépathique
  ➳ Invisibilité de leurs vaisseaux
  ➳ Voyage interdimensionnel et systèmes de propulsion
  ➳ Téléguidage et télé-alimentation des disques d'exploration
  ➳ Pilotage par la pensée des engins volants
  ➳ Combinaisons de vol
Extrait 2 : le pourquoi du contact avec la Terre
  ➳ But des voyages spatiaux des Végans
  ➳ Leur raison d'être ici
  ➳ Avertissements sur l'usage du nucléaire
  ➳ L'étoile d'argent
  ➳ Les contactés, relais des extraterrestres pour nous amener au contact total
  ➳ Le programme proposé par les Végans pour que l'humanité soit acceptée par leur communauté galactique
  ➳ Résumé des différents types de contacts extraterrestres selon Pierre Monnet
  ➳ Le contact de Eisenhower avec les extraterrestres de Véga
  ➳ Les végans sont pacifiques
  ➳ Bases de Véga dans notre système - 10 millions d'entre eux présents pour évacuer la Terre en cas d'urgence
  ➳ Avertissement pour les terriens si ils ne changent pas leur attitude
Extrait 3 : récit d'un voyage en vaisseau vers leur monde et visite en vol par connexion télépathique sensorielle
Extrait 4 : les extraterrestres de Véga infiltrés sur Terre
Extrait 5 : mémoire d'une salle dans le vaisseau - régénération cellulaire
Extrait 6 : les prédictions des êtres de Véga
  ➳ Séisme
  ➳ Prédiction d'une évacuation planétaire de masse suite à des évènements graves sur Terre
  ➳ Prédiction de perturbations géologiques majeures
  ➳ Prédictions sur les interventions des Végans sur Terre
  ➳ Prédictions sur la disparition de la vie sur Terre au long terme
Extrait 7 : le triangle des Bermudes
Extrait 8 : les lois universelles de la vie et de l'immortalité selon les Végans
Extrait 9 : histoire des premières civilisations humaines selon les Végans
  ➳ Découverte et implantation de la vie sur la Terre
  ➳ Création d'une nouvelle race d'hommes par manipulation génétique
  ➳ Jésus de Nazareth
  ➳ Qu'est-ce que Dieu
  ➳ Les religions et sectes
Extrait 10 : les ondes-pensées et les corps d'énergie
Extrait 11 : ne pas craindre la mort
Extrait 12 : les annales Akashiques et l'évolution spirituelle

🔗 Liens vers des documents plus complets sur ce contact

Les Végans ont donné cette information à Pierre Monnet, que je mets ici car elle n'a sa place dans aucune section en particulier, et qui peut être utile : « Une plante qui s'appelle "prêle" et qu'on trouve partout dans le monde guérit le cancer. »

Planète d’origine des contacts :

Planète "SILXTRA" du système stellaire de Véga dans la constellation de la Lyre (étoile Alpha de la Lyre). Ils donnent aussi le nom de "SILXTRA" pour le planétoïde dans leur système stellaire où ils construisent leurs vaisseaux. Leur vaisseau principal porte aussi le même nom de "SILXTRA".

Étoile Véga, dans la constellation de la Lyre.
Étoile Véga, dans la constellation de la Lyre.

Leur planète est l'une des 9 planètes habitées parmi les 14 planètes de leur système selon leurs dires. Leur planète fait plus de 20 fois le volume de la Terre.

Toutefois ils ont des bases dans le système solaire, et ils viennent interagir avec nous depuis ces bases et pas nécessairement depuis leur planète directement.

Message télépathique reçu le 9 juin 1976 par Pierre Monnet : « Nous venons d'une base située à l'intérieur même de l'anneau, de la planète que vous nommez Saturne. »

Il diront à Pierre Monnet avoir aussi des bases sur la Lune, Mars, Vénus, Jupiter, et des milliers de vaisseaux un peu partout dans le système solaire avec un contingent de 10 millions des leurs en tout dans notre système, réparti un peu partout.

Identité du contacté :

Pierre Jean Marius Monnet est né à Orange (France) le 27 juin 1932 à 21 heures. Il était le cinquième enfant d’une fratrie de six, mais il est resté fils unique : la plupart de ses frères et sœurs étaient morts-nés, les autres sont décédés peu après leur naissance.

Il a grandi dans une famille ouvrière modeste, vivant dans une pauvreté légèrement inférieure à la moyenne, mais dans un environnement qu’il décrit comme heureux. Sa mère était médium, ce qui l’a exposé dès l’enfance à des expériences inhabituelles.

Ses études à l’école primaire n’ont pas été une réussite. Il explique cet échec par une prise de conscience précoce : selon lui, dès la naissance, l’être humain est soumis à un conditionnement fondé sur l’illogisme et l’exploitation. Il estime que l’homme est enfermé dès le départ dans des schémas d’égoïsme et d’hypocrisie qui l’empêchent de voir les vérités essentielles.

À l’âge de 14 ans (âge légal minimal de l'époque pour cela), il quitte l’école pour travailler dans une miroiterie, comme graveur sur verre, attiré par l’aspect artistique du métier, lui qui s’est toujours senti attiré par les formes d’expression artistique de création. Mais il doit abandonner ce travail à cause de rhumatismes déformants.

Depuis toujours, Pierre Monnet a cherché à comprendre les vérités universelles à travers la réflexion. Le sens profond de l’existence humaine a longtemps été pour lui une question centrale, sans réponse claire. Il affirme que cette réponse lui a finalement été donnée, à un moment où il ne s’y attendait pas, à partir de son contact extraterrestre de juillet 1951, à l'âge de 19 ans. Il vit alors une soucoupe volante flottante et 4 êtres de grande taille environ 1m90, blonds, en combinaisons argentées moulantes qui lui parlèrent par télépathie pendant 20 minutes environ.

Pierre Monnet, en 1954, 3 ans après son contact avec les êtres de Silxtra / Véga.
Pierre Monnet, en 1954, 3 ans après son contact avec les êtres de Silxtra / Véga.

Il indique qu'il a été amené par la suite à rejoindre une religion, une secte et un parti politique, dans une démarche d’étude. Il pense que tout cela faisait partie d’un programme destiné à l’aider à mieux cerner la nature humaine.

À 21 ans, au moment de rejoindre l’armée, il reçoit ce qu’il considère comme sa première mission d’observation. Son but, selon lui, était de mieux comprendre les humains et la société dans laquelle il vivait. Il part donc faire son service militaire. Il ne reprendra plus son ancien métier de miroiterie, car il sent qu’une autre direction s’impose à lui. Il parle de « directives venues d’en haut » et explique qu’il a été guidé pour accomplir une mission : voyager, observer d’autres continents, d’autres peuples, d’autres cultures. Il prolonge volontairement son service militaire pendant quatre ans en se réengageant trois fois. Ce n’est pas par attachement à l’institution militaire, mais parce qu’il estime que cela faisait partie de la mission qui lui avait été confiée.

De retour dans le civil, il enchaîne différents emplois, sans s’installer durablement dans l’un d’eux. Finalement, il trouve un poste qui lui laisse assez de temps pour réfléchir et écrire (il était employé au service du personnel dans une société). Ce qu’il observe autour de lui dans la vie quotidienne continue à nourrir sa réflexion. Les métiers qu’il a exercés ne l’ont pas gêné, mais il a souvent été frappé par le comportement des gens qu’il rencontrait, ce qui l’amène à s’interroger sur l’homme et ses choix de vie.

Pierre Monnet explique qu’il a gardé le silence pendant 12 ans après son contact de 1951, par peur d’être pris pour un fou et interné. Lorsqu’il commence à en parler en 1962, il devient la cible de moqueries et s'arrête d'en parler. Il évoque également une impulsion intérieure irrésistible qui l’a poussé à témoigner, malgré ses craintes. Ce silence prolongé s’explique aussi par le fait que les informations reçues lors du contact lui sont restées partiellement incompréhensibles, et qu’il lui a fallu des années pour les traduire peu à peu en langage clair. Ce n’est qu’en fonction de ce qu’il parvenait à assimiler qu’il pouvait s’exprimer sur son expérience.

En 1974, il retrouvera dans un nouveau contact physique deux êtres, de manière anonyme, dans une station-service, mais d'une apparence totalement différente du contact de 1951 (ils sortaient d'une voiture R16 neuve immatriculée en WW aux vitres exagérément fumées bleutées, leur taille était normale dans les 1m70 et quelques, très bien habillés dans des costumes du type représentant de commerce tirés à 4 épingles, bruns avec les temps légèrement grisonnantes, paraissant 45 à 50 ans). Il a entendu d'eux télépathiquement "à bientôt", ce qui lui a permis de comprendre qu'ils étaient des extraterrestres, sinon rien ne les différenciait d'une personne de ce monde.

Pierre Monnet : « Les êtres que j'ai rencontrés me contactent souvent depuis 1974 ; ces contacts sont télépathiques. Je ne puis douter de leur réalité. »

Il a commencé à parler publiquement de son contact à partir de 1974, qui est une nouvelle période de contact télépathique pour lui, c'est-à-dire 23 ans après le contact de 1951.

Il a publié un premier livre en 1978, "Les extraterrestres m'ont dit" pour raconter tous ses contacts, et leur contexte, jusqu'à cette publication.

Pierre Monnet, vers 1978.
Pierre Monnet, vers 1978.

Il prendra sa retraite le 1er juillet 1992, ce qui lui permettra d'avoir le temps de finir l'ébauche de son deuxième manuscrit commencé depuis 1985, qu'il a complété pour donner le deuxième livre publié en mai 1994 intitulé "Contacts d'outre-espace".

Il décèdera à l'âge de 76 ans le 30 janvier 2009, à l'hôpital de Tarascon (France).

« Ce jour de juillet 1951, je fus attiré, par je ne sais quel moyen psychique, dans une carrière de gravier où des informations historiques et scientifiques m'ont été données télépathiquement, de la part de quatre Êtres humains Extraterrestres, auprès de leur vaisseau qui flottait à quatre-vingts centimètres au dessus du sol. Un engin magnifique, lumineux et de forme lenticulaire discoïdale.

Pourquoi moi, qui ne suis rien?... J'y ai longtemps pensé ; et je ne puis attribuer ce "privilège" qu'à cette soif de connaissance réelle et spirituelle qui m'habite et que ces êtres ont dû capter en moi.

Toutefois, je puis affirmer que ce contact était bien réel et non le fruit d'une hallucination, comme ont l'habitude de rétorquer les réfractaires aux O.V.N.I.

J’ai une preuve en moi et je démontre la véracité de mon aventure dans mes écrits, qui contiennent les indices de la réalité de mes contacts ; indices qui parlent d'eux-mêmes et que les véritables chercheurs ne manqueront pas de reconnaître au passage, car ces indices sont d'ordre scientifique ; et aucun affabulateur, aussi malin soit-il, ne pourrait les inventer.

De plus, pourquoi prendrais-je le risque d'être la risée du monde entier et de passer pour un fou, si ce n'était pas vrai ? Qui irait jusqu'à monter un canular de cette ampleur ? J'aurais trop à y perdre : ma réputation d'être sensé, mes Amis, ma place, ma femme et que sais-je encore... »

Pierre Monnet, dont les premiers contacts remontent à 1951 et se sont renouvelés à plusieurs reprises durant les années 1970, a connu des conséquences lourdes pour avoir partagé ses expériences liées aux extraterrestres. Il a failli perdre son emploi, s’est vu rejeté par certains de ses amis et a même risqué de se retrouver sans ressources, simplement pour avoir osé divulguer ces informations.

« Après avoir disséqué point par point les affirmations de Pierre Monnet, j'ai la certitude que ce CONTACTÉ ne ment pas. Les réalités les plus fantastiques sont souvent les plus mal connues et parfois les moins crédibles...

Nos confrères américains ont classé ces récits dans la catégorie « ACCEPTATION A CONTRE COEUR ». Cependant, aucun chercheur digne de ce nom, ne peut refuser de s'affronter à ces faits, volontairement censurés par des esprits encore peu éveillés ou partiellement bloqués.

J'ai personnellement la certitude que nous vivons le « TEMPS DES MANIPULÉS ». Le contact de Pierre Monnet avec des entités venues d'AILLEURS a été physique et psychique. Il fut « aimanté » vers le lieu de la rencontre, c'est-à-dire choisi et désigné en fonction de critères qui nous sont inconnus.

Les UFONAUTES qui l'ont attiré à eux, se sont manifestés partout dans le monde. J'admets sans réserve les révélations de Pierre Monnet, car « ses » extraterrestres me sont sympathiques. Ces cathéchistes de la planète SILXTRA ont quelque chose de rassurant, de trop rassurant sans doute pour être totalement réel... Sans vouloir adopter le vocabulaire des spécialistes du renseignement, je me demande quand même si les « Anges Blonds » de SILXTRA ne font pas de « l'intox » à haute dose ! L'intoxication consistant à brouiller les cartes par des actions psychologiques conduites en profondeur. Depuis l'affaire Adamski, ce type d'Ouraniens est passé maître dans cet art difficile, CE QUI, POUR MOI, AUTHENTIFIE ET REND LE RECIT DE PIERRE MONNET PLUS REEL ENCORE !

Quelle mission accomplissent ici-bas ces « Messagers Célestes » ? Le proche futur nous l'apprendra, car elle transparaît déjà en filigrane dans ce livre. »

Époque et lieu du contact :

Le contact direct avec les êtres extraterrestre eut lieu en juillet 1951 dans une carrière en bord de la route allant de Courthézon à Orange, vers 1h30 du matin, alors que Pierre Monnet rentrait chez lui à vélo.

Situation géographique de Orange où allait Pierre Monnet à vélo, en France.
Situation géographique de Orange où allait Pierre Monnet à vélo, en France.
De Courthézon à Orange par la Nationale 7, chemin sur lequel la rencontre extraterrestre a eu lieu en 1951 pour Pierre Monnet, la nuit.
De Courthézon à Orange par la Nationale 7, chemin sur lequel la rencontre extraterrestre a eu lieu en 1951 pour Pierre Monnet, la nuit.

Publication de l’histoire :

Le premier livre couvre les contacts de Pierre Monnet jusqu'en fin 1978 :

« Les extraterrestres m'ont dit », Pierre Monnet, éditions Alain Lefeuvre, janvier 1978. Contact avec les êtres de Silxtra / Véga.
« Les extraterrestres m'ont dit », Pierre Monnet, éditions Alain Lefeuvre, janvier 1978. Contact avec les êtres de Silxtra / Véga.

Précisions de Pierre Monnet sur l'écriture de son premier livre paru en 1978 :

« Je ne suis pas écrivain ; je n'ai d'ailleurs pas l’intention de le devenir et cela pour plusieurs raisons. Tout d'abord, la médiocrité de mon instruction ne me le permettrait pas. Ensuite, parce que le temps me manque, et que je fais souvent preuve de négligence et ne suis pas constant dans mes travaux d'écriture... Et pour finir, j'estime qu'il est difficile de remplir trois cents pages d'un livre sans broder ou raconter n'importe quoi - d'inexact et de faux - afin de noircir des feuilles blanches pour arriver tant bien que mal au nombre de pages prévues.

A l'instant même où j'écris ces mots, je ne sais combien de pages je vais rédiger ; je sais seulement que je ne m'arrêterai que lorsque j'estimerai ne plus rien avoir à dire. Je n'ai pas l'intention d'allonger le contenu de ce livre avec des mensonges ou des histoires inventées de toutes pièces. Tout ce qui va suivre est réel et n'est absolument pas le fruit d'une imagination débordante. »

« L'auteur souligne également qu'une grande partie du message écrit, lui est souvent difficilement compréhensible et qu'il ne peut développer de détails scientifiques, psychologiques et idéologiques, pour la raison majeure que ce livre a graphiquement été fait (écriture automatique) sous l'impulsion extérieure de ces Etres, qui lui ont transmis télépathiquement les informations au moment de son contact, sans tenir compte, semble-t-il, du manque d'instruction terrestre du contacté. »

Le deuxième livre couvre les contacts de Pierre Monnet de fin 1978 à 1994 :

« Contacts d'outre-espace », Pierre Monnet, éditions Amrita, 1994.
« Contacts d'outre-espace », Pierre Monnet, éditions Amrita, mai 1994. Contact avec les êtres de Silxtra / Véga.

Outre la continuation des contacts et la richesse de leur contenu, Pierre Monnet révèle aussi un peu plus sur lui et son enfance avec des choses anormales (paranormales), qui montrent qu'il n'est sûrement pas un contacté par le pur hasard.

On retrouve aussi du contenu déjà présenté dans le premier livre.

On pourra citer ceci qu'on trouve dans ce deuxième livre :

« Dans tous les cas de rencontres du « troisième type » dont nous avons eu connaissance, il st apparu que celles-ci n’étaient ni fortuites ni dues au hasard mais toujours « programmées » et déterminées ; les contactés étant comme « aimantés » et dirigés vers des points déterminés à l’avance.

Henri Perret, Docteur-ingénieur, lauréat de l’académie des Sciences, Prix Edouard Belin 1968 »

Comment a eu lieu le contact :

Pierre Monnet : « A l'âge de quatre ans, lorsque j'étais à l'école maternelle, j'observais mes camarades. Aux récréations, je m'asseyais sur un banc et je pensais profondément à l'immensité de l'univers.

Tout en regardant jouer mes camarades et en levant les yeux vers le ciel, je pensais: « … Que font les autres "moi-même" sur les autres mondes… Jouent-ils? pensent-ils eux aussi? »

Et, à propos de mes camarades: « Pourquoi jouent-ils de façon aussi désordonnée, de façon aussi incohérente et agressive… Ils ne pensent pas, leur cerveau est brouillé, ce sont des coquilles vides…

Cette façon de penser pour un enfant de quatre ans vous paraît impossible ! Je puis vous assurer que je n’invente rien. Peut-on attribuer cette angoisse latente, cette profonde nostalgie d’un « ailleurs vécu », à des influx intuitifs ? A des restes mémoriels issus de vies antérieures ? Nul ne saura jamais…»

L'événement se déroule alors que Pierre Monnet est âgé de sept ou huit ans, dans le jardin de l’une des deux maisons jumelles récemment construites. Tandis que ses parents s’affairaient au premier étage, lui restait à jouer dehors, à l’ombre contre un mur, en raison de la chaleur estivale. Il était immobile, absorbé dans ses pensées d’enfant, le regard naturellement posé sur un lézard allongé au soleil sur une brique posée sur une murette située à cinq ou six mètres.

Pendant plusieurs instants, il observe distraitement l’animal. Soudain, le lézard saute de la brique sur la murette et la longe rapidement, comme s’il avait été dérangé. Une fois le lézard hors de vue, son regard revient instinctivement sur la brique.

C’est alors qu’il est témoin d’un phénomène inattendu : la brique se soulève lentement, d’environ quarante centimètres, reste en suspension durant deux ou trois secondes, puis redescend doucement à sa position d’origine.

Face à cette scène, il est saisi de peur. Incapable de crier ou de bouger, il reste figé, les yeux fixés sur l’objet. Sa frayeur s’intensifie progressivement, jusqu’à ce qu’un frisson lui parcoure tout le corps. Il finit par se lever brusquement d’un bond, sous l’effet de la panique.

En 1941, alors qu’il avait neuf ans et demi, Pierre Monnet vivait une soirée ordinaire dans la cuisine familiale. Sa mère, comme à son habitude vers 22h, lisait à l’un des bouts de la table, tandis que lui, assis à sa propre table de travail, effectuait ses devoirs. Dans la pièce régnaient un calme ponctué par le tic-tac d’une vieille horloge provençale, le ronronnement du chat sur le lit et les parfums familiers de fournitures scolaires.

Concentré sur un texte qu’il lisait en soulignant quelques mots et phrases, Pierre Monnet tendit le bras pour saisir sa règle sans quitter le texte des yeux. À sa grande surprise, sa main rencontra un objet inconnu. Sans lever la tête, il tâta l’objet, qui roulait légèrement sous ses doigts. En relevant enfin la tête, il découvrit un objet sphérique, dur, léger, de couleur argentée mate, ressemblant à un alliage d’aluminium ou de duralumin. L’objet dégageait une chaleur douce et une faible vibration, ce qui le déstabilisa. L’incompréhension et la crainte s’installèrent alors qu’il se demandait d’où venait cette sphère et comment elle avait pu apparaître là.

Il reposa rapidement l’objet à sa place, inquiet, d’autant plus qu’il réalisa que sa mère avait quitté la pièce pour aller se coucher. Il tenta de reprendre ses devoirs, bien que troublé, gardant un œil sur la sphère. À un moment donné, sans qu’il s’en rende compte, l’objet disparut. Il le chercha longuement, en vain, sous ses cahiers, livres et dans son cartable.

Après avoir abandonné les recherches, il reprit son étude. Environ une demi-heure plus tard, alors qu’il ne pensait plus à l’incident, il voulut saisir à nouveau sa règle. Cette fois, il trouva sous sa main non pas la sphère, mais un cube présentant les mêmes propriétés : chaleur, texture et vibration. Il l’examina, le reposa, et le vit disparaître sous ses yeux, en s’effaçant lentement.

Moins effrayé que la première fois, il choisit néanmoins d’interrompre sa soirée et d’aller se coucher. L’agitation intérieure l’empêcha toutefois de trouver le sommeil. Il n’a jamais parlé de cette expérience à quiconque, jugeant qu’on ne l’aurait pas cru.

Premier sauvetage : Le premier événement de sauvetage inexpliqué rapporté par Pierre Monnet remonte à son adolescence, alors qu’il était apprenti vitrier à Orange. Il travaillait dans une miroiterie située dans l’avenue de l’Arc de Triomphe. L’entreprise possédait deux ateliers, l’un de chaque côté de l’avenue, qui était en réalité la nationale 7, une voie à grande circulation. À cette époque, Pierre Monnet avait environ quinze ou seize ans et traversait cette avenue entre vingt et trente fois par jour pour passer d’un atelier à l’autre.

Un jour, alors qu’il était distrait, il traversa la rue derrière un camion en stationnement, sans regarder. Il se retrouva brusquement face à une voiture, une traction avant Citroën lancée à vive allure, qui ne s’arrêta qu’une cinquantaine de mètres plus loin, après un freinage violent. Il compare rétrospectivement la situation à celle évoquée par les panneaux de la S.N.C.F. : "Ne traversez pas, un train peut en cacher un autre".

Au lieu de réagir dans la panique, Pierre Monnet ressentit au contraire une étrange sensation : il se sentit littéralement soulevé par une force invisible. Il eut l’impression que son corps était saisi par la ceinture et déposé sur le pare-choc de la voiture, les pieds posés, le visage tourné vers le conducteur. Il parcourut ainsi cinquante mètres sur le capot, les mains agrippées aux volets d’aération sur les côtés, avant que la voiture s’immobilise. Il en ressortit seulement avec un léger bleu sous le nombril.

Selon lui, s’il avait raconté à cette époque qu’une main invisible l’avait sauvé, on ne l’aurait pas cru, tout comme aujourd’hui encore, certains doutent des récits des personnes se disant contactées par des intelligences non humaines.

Deuxième sauvetage : Le deuxième sauvetage rapporté par Pierre Monnet eut lieu alors qu’il travaillait avec deux collègues sur le toit d’une maison, au-dessus d’un puits d’escalier de cinq étages. Ils intervenaient pour revitrer un « ciel-ouvert » et, comme cela se faisait souvent, ils marchaient directement sur les ferrures métalliques pour appliquer le mastic. Pierre Monnet se tenait debout, un pied sur chaque ferrure, lorsqu’il glissa soudainement. Ses mains étant couvertes d’huile de lin, il ne put se rattraper et chuta dans le vide, au centre de la cage d’escalier, sur environ vingt mètres.

Il décrit cette chute comme rapide et verticale, comparable à une aspiration dans un tourbillon. Il se rendit compte qu’il tombait trop vite pour même formuler une prière. C’est alors qu’un événement inattendu survint : un ancien câble rigide en fer, suspendu verticalement dans la cage d’escalier, croisa sa trajectoire après 3 étages de chutes sur les 4 étages de hauteur dont il tombait. Ce câble providentiel, probablement utilisé autrefois pour un lustre, se terminait par un crochet métallique. Celui-ci s’accrocha exactement à la ceinture que Pierre Monnet portait ce jour-là.

Cette ceinture, achetée auparavant dans un stock américain, était large, en toile tressée, renforcée par un passant de cuivre et équipée d’un système de fermeture inspiré des sangles de parachute. Le crochet remonta la ceinture violemment sous ses bras, provoquant un choc douloureux le long de ses côtes et de sa colonne vertébrale, mais il ne subit ni plaie ni déchirure de sa chemise ou de la peau, ce qu’il jugea par la suite incompréhensible sur le plan physique. Selon lui, tout indiquait qu’il aurait dû être gravement blessé (éventré par le crochet ripant son corps lors de l'accrochage) ou tué. Mais il n'avait rien.

Une fois suspendu dans le vide, il fut rapidement secouru. Il demanda à ses collègues de ne rien dire à leur patron, par crainte d’être renvoyé. L’incident amena cependant toute l’équipe à modifier leurs habitudes : ils cessèrent de marcher sur les ferrures et utilisèrent désormais une planche posée en travers, méthode plus sûre et plus répandue chez les vitriers expérimentés.

Pierre Monnet conserva cette ceinture en souvenir. Il se rappela avoir failli ne pas l’acheter, ce qui renforça chez lui l’impression d’un sauvetage orchestré par une force invisible ou supérieure.

Après avoir raccompagné sa fiancée à son domicile au petit village de Courthézon (dans le Vaucluse) peu après 1h du matin, comme à son habitude, Pierre Monnet fait un petit détour rituel à vélo autour du village sur la nationale 7, s’arrêtant un moment sur une place avec une fontaine. Alors qu’il s’apprête à rentrer chez lui à Orange, à 7 ou 8 kilomètres de là, il regarde sa montre qui indique 1h30 après avoir vérifié son exactitude en comparant à l'heure du clocher du village qui marquait 1h30 aussi (pour mesurer sa performance retour, comme à son habitude, il vérifiait cela). Au moment précis où il veut redémarrer, et avant le premier coup de pédale, il se retrouve instantanément transporté, cinq kilomètres plus loin sur la Nationale 7. Sa montre indique toujours 1h30, ce qui exclut un déplacement classique ou une perte de temps. Interloqué par cette téléportation inexpliquée, il décide après quelques instants de stupeur, de continuer son trajet. Mais au lieu de suivre la route normale, il bifurque sans raison apparente dans un chemin de terre menant à une carrière de sable et de gravier. Cette action lui semble tout à fait naturelle comme si c'était le chemin normal, bien qu’elle soit illogique (le retour chez lui s'effectuant en continuant tout droit sur la nationale 7), comme s’il était guidé. Arrivé en bas de la carrière, il descend de vélo et marche à pied, vélo en main à côté, là à nouveau comme si cela lui était normal. C’est à ce moment-là qu’il va vivre sa rencontre extraterrestre, voyant au détour d'un monticule un disque qui flottait en l'air près du sol, de couleur pulsante et irradiante à la fois blanc, argent et bleuté, lui paraissant très métallique. Captivé par la beauté de cet appareil lumineux lui paraissant très grand, d'environ 25 mètres de diamètre, il le contemplait, et il n'avait d'abord pas réalisé que 4 êtres étaient debout, sur la droite du vaisseau. Il pose son vélo au sol. Voici son récit :

« Cela se passa une nuit de juillet 1951. J’étais à Courthézon, petit village de Provence. Je me trouvais sur le bord de la Nationale N° 7 qui traverse le village et passe devant une porte romaine sur laquelle était encastrée une grande horloge électrique qui marquait, à cet instant : 1h30 du matin. À cette période de l'année, la circulation était intense pour ce temps-là et par rapport à l'habitude ; car c'était non seulement la période touristique, mais aussi le festival d'Orange, ville voisine, à huit kilomètres au nord de Courthézon. Je devais me rendre à Orange, où se trouvait mon domicile.

La route entre Courthézon et Orange est rectiligne à partir du premier kilomètre. Je la parcourais habituellement en quinze à vingt minutes, à bicyclette, deux fois par semaine, les mêmes jours et approximativement aux mêmes heures, pour rendre visite à ma fiancée.

Dans l'esprit de vérifier mes performances, avant de partir et à l'arrivée, je comparais toujours l'heure de ma montre par rapport aux horloges des lieux où je me trouvais ; c'était devenu une habitude. Il est bien connu que lorsqu'on est jeune, on cherche toujours à se surpasser. Ce jour-là, je ne fis pas exception et, après les vérifications habituelles, j'enfourchai mon vélo. Mais cette fois, cela ne se passa pas comme les autres jours. J'eus l'ahurissante surprise d'être instantanément transporté cinq kilomètres plus loin, à l'entrée d'une vaste et profonde carrière de sable et de gravier... Cette carrière était située en bordure de la route, à une distance d'environ dix à quinze mètres. Entre la route et la carrière s’élevait une haie épaisse de hautes broussailles et d’arbustes.

Ce transport instantané me laissa pantois. Je me sentais le cerveau presque vide. J'étais comme hébété. Puis, à la manière d'un automate, comme si j'étais dirigé par une force irrésistible, j'empruntai le large chemin en pente qui pénétrait, dix mètres plus bas, dans la carrière. Je ne sais pourquoi je descendis de vélo et me dirigeai plus avant à pied.

Je me sentais d'une extrême légèreté ; j'avais l'impression que mes pieds ne touchaient pas le sol ; mais ce n'était qu'une impression. J'étais très calme et décontracté ; une certaine paix s'établissait peu à peu en moi.

Plus j'avançais et plus j'avais l'impression de ce que l'on ressent lorsqu'on entre dans l'eau jusqu'aux épaules pour la première fois, c'est-à-dire comme une légère oppression au niveau des poumons. Malgré l'absence totale de fatigue, j'avais le souffle court.

Puis, à un détour de la carrière dans laquelle je me dirigeais comme si je savais avec précision où j'allais, j'aperçus, à une soixantaine de mètres devant moi, derrière un îlot de terre, une certaine lueur. J'approchais toujours et, arrivé à douze ou quinze mètres à côté de l'îlot, je vis devant moi, à une quinzaine de mètres, flottant entre cinquante à quatre-vingts centimètres au-dessus du sol, un disque de quinze à vingt-cinq mètres de diamètre, surmonté d'un renflement central en forme de dôme. De la base au sommet, l'engin devait bien avoir aux environs de trois mètres de haut. Ce disque irradiait, par pulsations lentes, une lueur de couleur blanc-argent-bleuté éclairant nettement les parois de la carrière, distantes de dix mètres.

Cette irradiation semblait prendre sa source dans « l'âme » même du « métal » dont semblait fait cet engin extraordinaire, d'une beauté fascinante. Émanait une puissance difficilement concevable pour qui n'a pas vu cet engin de ses propres yeux. Le « métal » de ce disque semblait à la fois matériel et immatériel ; ou tout au moins d'une structure interne constamment en mouvement... Presque quelque chose de vivant. C'était impressionnant, inquiétant et beau à la fois.

Illustration générée par IA : le vaisseau observé par Pierre Monnet dans la carrière en juillet 1951.
Illustration générée par IA : le vaisseau observé par Pierre Monnet dans la carrière en juillet 1951.

Je remarquais que plus j'approchais et plus les bruits extérieurs s'estompaient. Lorsque je ne fus plus qu'à six mètres du disque, je n'entendis plus le bruit de la circulation des voitures qui n'étaient pourtant qu'à soixante mètres (à vol d'oiseau) du lieu où je me trouvais. Un silence total s'établissait au fur et à mesure que j'approchais. Je n'entendais même plus le chant des grillons, ni même le bruit de mes pas sur le gravier.

Je me sentais bien... Émerveillé par ce que je voyais, j'avançais toujours très calmement. Probablement fasciné par cet engin, je ne m'étais pas aperçu, devant et un peu sur le côté de celui-ci, que se tenaient debout quatre Êtres humains Extraterrestres, en combinaisons collantes, formées d'écailles métalliques gris-argent, qui éclairaient ces « hommes » dans un rayon de cinq mètres autour d'eux.

Illustration générée par IA : les 4 êtres grands aux longs cheveux blonds en tenue métallisée moulante que Pierre Monnet voit à côté du vaisseau dans la carrière, dont l'un lui fait signe.
Illustration générée par IA : les 4 êtres grands aux longs cheveux blonds en tenue métallisée moulante que Pierre Monnet voit à côté du vaisseau dans la carrière, dont l'un lui fait signe.

Je n'étais plus qu'à quelques pas d'eux et j'avançais calmement en les examinant. Je ne sentais plus mon corps... Arrivé à trois mètres devant ces Êtres, je m'arrêtais et les contemplais... Ils étaient pieds nus. Ils étaient grands ; ils devaient bien mesurer au moins un mètre quatre-vingt-cinq et c'est un minimum, parfaitement proportionnés et chacun de corpulence identique aux autres. Leur chevelure était à la fois blonde et blanche et descendait, bien ordonnée, jusqu'aux épaules.

Aspect général des extraterrestres de Silxtra / Véga de la Lyre rencontrés par Pierre Monnet lors de son contact de 1951. Dessin provenant de son livre "Les extraterrestres m'ont dit".
Aspect général des extraterrestres de Silxtra / Véga de la Lyre rencontrés par Pierre Monnet lors de son contact de 1951. Dessin provenant de son livre "Les extraterrestres m'ont dit".

Leur visage était très beau et très fin. Leur regard était d'une clarté, d'une franchise et d'une douceur que je n'ai encore jamais vu chez l'un de nos semblables terriens. Ils étaient d'une si grande beauté que, sur le moment, mis à part qu'ils n'avaient pas les seins développés des femmes, j'étais embarrassé pour déterminer s'ils appartenaient au sexe féminin ou masculin. Mais, après une courte hésitation, on ne pouvait se tromper : c'étaient bien des « mâles » ; il émanait d'eux une impression générale de grande force et ils étaient bâtis comme des athlètes. Malgré cela, ils souriaient et étaient rayonnants de tranquillité, de gentillesse et de bonté ; une paix profonde semblait les habiter.

Dessin des extraterrestres de Silxtra / Véga rencontrés, provenant du livre de Pierre Monnet : "Les extraterrestres m'ont dit".
Dessin des extraterrestres de Silxtra / Véga rencontrés, provenant du livre de Pierre Monnet : "Les extraterrestres m'ont dit".

Puis ils levèrent leur bras droit dans ma direction, presque à l'horizontale, et la paume de la main tournée vers le haut. Ils avaient fait ce mouvement presque ensemble et toujours en silence.

J'eus un léger mouvement de recul et un grand frisson me parcourut de la tête aux pieds, car ils venaient de s'exprimer en moi sans ouvrir la bouche ; j'entendais très fort leur pensée à l'intérieur de mon cerveau. C'était d'une netteté, d'une clarté extraordinaire.

En admettant même que nous trouvions dans notre langage les mots précis capables de traduire parfaitement ce qui m'a été « dit » (exprimé est un mot plus juste) pendant ce contact que je qualifie maintenant de télépathique, la quantité de ce qui m'a été dit en un bref laps de temps (que j'évalue à une vingtaine de minutes) ne pourrait être réexprimée dans notre langage, que dans un temps beaucoup plus long... (que j'évalue à un an ou deux), à la cadence de huit heures de

Discours par jour. Il a été déposé en moi, non pas des mots, mais des pensées codées sous forme d'impulsions, pour lesquelles je ne trouve les mots de traduction que très lentement au cours des années ; sauf pour quelques phrases isolées que j'ai pu traduire instantanément. La traduction des concepts qui ont été déposés en moi ce jour-là n'a commencé à se faire que deux ans après mon contact.

Voici quelques phrases éparses que j'ai pu comprendre immédiatement au moment où elles ont été prononcées :
« …Nous sentons de la crainte en toi… Que cette crainte te quitte, nous voulons le bien de tous les êtres vivants, surtout s'ils ne sont pas agressifs… »
« …Ne t'approche pas davantage de notre véhicule ; il est dangereux pour tout être vivant qui n’est pas accordé à sa longueur d'onde. Les vibrations qu'il émet détruiraient les cellules de ton corps… »
« …Cette entrevue avec nous va, par la suite, te causer des désagréments qui influeront sur ta santé ; tu auras des troubles nerveux pendant un certain temps et cela passera. Après quoi, notre conversation s'éclaircira, et tu pourras transmettre aux hommes de la planète ce que nous t'avons dit… »
« …Nous savons que vous employez entre vous le langage par le canal de l'écriture. Si ce mode te paraît le plus rapide, emploie-le, mais fais très attention de ne pas te laisser aller par l'adoption de tes concepts habituels, notre message en serait faussé par déformation… »
« …Nous t’avons longuement parlé… Tu mettras longtemps pour traduire, mais quand tu l'auras fait, dis aux hommes de ta race ce qui t'est permis de dire… »
« …Nous sommes là pour le bien des hommes de cette planète... Fais-leur comprendre… »
« …Ce message est déposé en toi de façon indélébile... Sache t'en servir avec sagesse et nous serons heureux de ta collaboration… »
« …Tu n'es pas le seul de ta planète à avoir conversé avec nous... Hélas, la plupart refusent de parler de nous et les autres ne sont pas crus par les tiens… »
« …Au fur et à mesure de ta traduction, écris et fais savoir qui nous sommes et ce que nous sommes… »
« …Ne crains pas, mais sois prudent envers les tiens, lorsque tu parleras de nous… »
« …Nous te protégerons du mieux possible, à condition que tu gardes le contact avec nous, comme nous te l'avons appris… »
« …Tu n'aurais pas eu assez de la longueur de ta vie actuelle. Pour cette raison, nous nous proposons de régénérer les cellules de ton corps pour que tu vives la valeur de cent vingt de tes années. Nous ne pouvons faire mieux pour toi. Nous pratiquerons cette régénération à l'intérieur même de ce véhicule, après notre entrevue. Veuille nous pardonner : nous avons jugé nécessaire (et agi en ce sens), que tu ne te souviennes pas de l'opération… »

Ces Êtres s'étaient arrêtés d'émettre leurs pensées. Très attentif jusque-là à les recevoir, je ne m'étais pas rendu compte qu'une ouverture était apparue sur le devant de la coupole. Cette ouverture pouvait contenir deux hommes de front dans son encadrement. À l'intérieur, régnait une lumière de couleur blanc orangé presque insoutenable au regard. Les quatre Êtres étaient là, « silencieux »...

C'est alors que, sans même les saluer, je fis demi-tour, relevai mon vélo et remontai la pente à pied jusqu'à la route. Arrivé à la nationale, j'enfourchai mon véhicule à deux roues et, une fois de plus, je me retrouvai instantanément transporté à l'entrée de la ville où je devais me rendre.

Instinctivement, je consultai ma montre et fus stupéfait de voir qu'il était toujours 1h30 du matin. J'entrai vite au centre-ville pour comparer avec l'heure de l'horloge de la mairie qui marquait, elle aussi, 1h30 plus 5 minutes de trajet pour m'y rendre. Ma montre marquait elle aussi 1h30 plus 5 minutes.

C'était pour moi une chose impensable. Mais ce qui l'était encore plus, c'est que je ne me souvenais pas du trajet de ces huit kilomètres ; exactement comme si je ne les avais pas faits... D'ailleurs, contrairement à l'habitude, je n'étais même pas fatigué, même pas essoufflé du voyage.

Je ne m'étais rendu compte de rien ; ni des phares des multiples voitures qui, habituellement, me gênaient beaucoup, ni du défilement du paysage, ni du chant des grillons…

Je devais me faire une raison… Le temps ne s'était pas écoulé...! Le temps s'était arrêté pendant le trajet et le contact lui-même, que j'évalue à vingt minutes ; et si l'on tient compte qu’habituellement je mettais environ vingt minutes pour faire le parcours total, cela faisait théoriquement 40 minutes où le temps ne s'était pas écoulé !

[...]

On peut remarquer qu'apparemment ce dernier paragraphe est en contradiction avec le premier. La contradiction est flagrante :
1°) Je ne dois pas approcher de l'engin sous peine de mort.
2°) Je suis régénéré à l'intérieur même de celui-ci.

[...]

Pour moi, le contacté, tout cela me paraît normal et logique, car je sais que pour les Êtres que j'ai rencontrés, rien, absolument rien, ne leur est scientifiquement impossible. Alors, pourquoi n'auraient-ils pas le moyen de me faire entrer dans leur vaisseau sans que me soit causé le moindre dommage ? Alors que, si je m'aventurais seul aux abords de certaines limites de l'engin, j'y perdrais la vie ! D'où leur avertissement.

Quoi que je ne me souvienne absolument pas être entré dans l'engin (sauf un fait bizarre dont je parlerai plus loin, et mis à part quelques petits détails), après cette régénération cellulaire qu'ils auraient pratiquée sur ma personne, je ne me sens pas physiquement tellement différent des autres hommes de ma planète. Ce seul fait pourrait faire naître en moi l'ombre d'un doute.

Malgré l'aspect fantastique que revêt cette « opération régénératrice », certains détails m'incitent à penser qu'ils m'ont dit la vérité. Par exemple, au début du contact télépathique, l'engin n'était muni d'aucune ouverture. Or, à la fin du contact, une large et haute ouverture était là... béante, sur la droite du dôme.

Pendant que j'entendais leurs pensées, j'étais parfaitement conscient de ce que je voyais autour de moi. Pourtant, je n'ai pas vu s'ouvrir cet orifice d'où provenait une lumière blanc-orangé presque insoutenable au regard ; et aucun des quatre Extraterrestres ne s'était absenté pendant le contact. Ils étaient toujours là, souriants et toujours à la même place. Mais le contact télépathique était terminé.

Tout cela laisse à penser que j'ai été rendu momentanément inconscient ; que l'ouverture est apparue ; qu'on m'a transporté à l'intérieur et protégé par un moyen quelconque contre les vibrations mortelles de l'engin ; qu'on a pratiqué cette « régénération » et que j'ai été de nouveau rendu conscient à l'emplacement même où je stationnais avant d'avoir un « trou » de mémoire. Il semblerait qu'on ait pratiqué une coupure d'un morceau de ma vie — comme on coupe un morceau de film — ce morceau étant l'entrée, la régénération et la sortie de l'engin ; on a jeté le morceau et on a recollé le bout du film représentant mon passé, avec le bout du film représentant mon futur. »

Note :

Dans une vidéo, Pierre Monnet indique que l'information qu'il entend par télépathie n'est pas seulement reçue dans sa tête, il a l'impression que la voix entendue remplit tout l'espace intérieur de son corps.

Il indique aussi que pendant 20 minutes il lui a été donné une quantité fantastique d'informations à un très haut débit, que c'était un monologue car il n'a fait que recevoir ce qu'ils ont dit, cela n'a pas été une discussion. Il ressentait que les êtres trouvaient dans son cerveau les mots en français pour habiller les pensées qui lui étaient délivrées, et il entendait cela sous forme d'une voix lui parlant en français donc.

Au bout des 20 minutes environ, quand ce qui était à dire était fini, immédiatement, il reprend son vélo posé au sol et sort de la carrière et repart vers chez lui sans au-revoir et sans question, comme si cela lui paraissait aussi naturel. Il était entièrement sous influence télépathique là aussi pour le contrôle de sa réaction.

Durant le temps où il a reçu toutes ces informations (qu'il estime à 20 minutes environ), la montre de Pierre Monnet, qui fonctionnait toujours, n'a malgré tout pas compté de temps, il était toujours 1h30 durant tout ce temps. Il est arrivé chez lui quand il était 1h45 du matin (il lui fallait 15 minutes pour rentrer). Donc tout ce temps de rencontre ne s'est pas écoulé sur sa montre. Toutefois ce n'est pas un arrêt de la montre car lorsqu'il arrivé chez lui à Orange, sa montre était à la même heure que l'horloge du clocher du village d'Orange, qu'il consulte en arrivant, car cette histoire de temps perdu le perturbe. Il fera dès le lendemain des allers-retours à vélo entre les deux villages pour consulter la synchronisation de sa montre avec les heures des horloges des clochers des deux villages de Courthézon et de Orange, et constate que sa montre est bien à la même heure que chacune de ces deux horloges ,qui sont bien elles aussi à la même heure entre elles.

Donc la seule conclusion est que le temps était suspendu (ou ralenti à l'extrême) dès lors qu'il a été téléporté, pour cette rencontre.

En 1955, Pierre Monnet était militaire, affecté à la base de Than-Son-Yut, un vaste complexe situé dans le faubourg de Saïgon, en Extrême-Orient. Cette base regroupait différentes unités des forces armées et s’étendait sur un grand terrain plat, traversé par de nombreuses routes peu fréquentées. On y trouvait quelques bâtiments anciens, délabrés et abandonnés, jugés trop dangereux pour être utilisés.

Pierre Monnet faisait partie de la soixante-cinquième escadre d’hélicoptères, installée à l’une des extrémités de la base. Il avait l’habitude de se rendre deux fois par jour dans un bar situé à l’extrémité opposée. Pour cela, il empruntait toujours le même itinéraire, longeant notamment un bâtiment abandonné à deux étages, probablement non construit par l’armée mais utilisé un temps par celle-ci. Pendant quinze mois, il avait répété ce trajet sans jamais en changer.

Un jour, alors qu’il s’engageait de manière routinière sur cette voie, il ressentit une gêne intérieure difficile à définir, une impression persistante qu’il ne fallait pas passer par là. Ce ressenti se transforma rapidement en une sorte de voix intérieure, claire et insistante, lui ordonnant de changer de direction. Il fit alors demi-tour et emprunta la rue parallèle. Dès qu’il changea d’itinéraire, il sentit son malaise se dissiper.

Peu après, alors qu’il avait parcouru une cinquantaine de mètres sur cette nouvelle voie, un bruit violent attira son attention. En se retournant, il aperçut un nuage de poussière s’élevant dans les airs : le bâtiment abandonné qu’il longeait habituellement venait de s’effondrer complètement. Des militaires étaient déjà rassemblés sur les lieux, observant les décombres. Pierre Monnet comprit qu’il venait d’échapper à un accident potentiellement mortel.

Pierre Monnet : « Restons toujours dans l’insolite et rendons-nous beaucoup plus tard dans le courant de ma vie.

En ce mois de juillet 1957 (j’avais 25 ans), il était six heures et demie du matin et j’éprouvais l’envie irrésistible de me rendre dans le parc public où j’avais passé le plus clair de mon enfance jusqu’au début de mon adolescence.

Ce matin-là, cela sentait à la fois le printemps et l’été. Les mêmes essences d’arbres, les mêmes essences de fleurs que j’avais connues lorsque j’étais enfant, dégageaient les mêmes effluves parfumés. À cette heure-là il n’y avait personne dans le parc. J’étais assis sur un banc, j’étais bien. J’avais renversé ma tête sur le dossier, je fermais les yeux et me laissais pénétrer les paupières par les rayons du soleil matinal. J’entendais les oiseaux chanter, et, doucement, lentement, je respirais l’air du matin. J’aurais voulu que ce moment ne s’arrête jamais...

Puis, peu à peu, je perçus, tout d’abord de façon ténue, une musique ; un chant d’une harmonie, d’une pureté et d’une perfection que je n’avais encore jamais entendues. Cette musique, cette symphonie, paraissait venir d’en haut et de partout en même temps et même de l’intérieur de moi. Cela m’apporta une paix, une sérénité inconnues jusqu’à ce jour. J’étais bien et n’osais pas bouger un cil, de peur que cela ne cessât. Je mis tout cela sur le compte d’être là, hors du monde, seul avec Dieu, car je me surpris à lui parler mentalement, à le remercier de m’apporter ces bonnes choses, de me faire ressentir ces sensations sublimes qui semblaient me régénérer, le remercier de me mettre en communion étroite avec la nature, si belle.

J’entendis un crissement sur le dossier métallique du banc. J’ouvris un œil, oh... surprise et joie, un petit oiseau était là, à cinquante centimètres de mon visage. Il me regardait et semblait ne pas avoir peur... Je retins mon souffle, de peur que ce petit animal ne s’envolât.

La musique harmonieuse venant de partout et de nulle part augmentait de volume et m’emplissait tout entier. Plus attentif, j’ouvris les deux yeux, redressai mon buste ; l’oiseau s’envola. Je me mis debout pour mieux détecter le lieu d’où venait l’harmonie sublime et je me sentis soudain heureux et léger. Les choses autour de moi étaient plus belles, plus lumineuses et légèrement irisées.

À ma grande stupéfaction, je vis que je lévitais doucement et que je n’avais aucune crainte de ce phénomène insolite... Je regardais le bleu du ciel qui s’illuminait aussi. Je montais, debout, verticalement... Au bout d’un temps, je me rendis compte que mes pieds se trouvaient à la hauteur du faîte des arbres, c’est-à-dire environ douze à quinze mètres au-dessus du sol... Et là, sans que je m’y attende aucunement, j’entendis au plus profond de moi une voix qui me parlait, me disant ceci :
«... Bienheureux fils de la Terre... Je te remplis de Mon esprit. Sache t’en servir et le conserver dans la vérité... Qu’il en soit ainsi... »

Puis cela cessa. J’étais heureux comme jamais je ne l’avais été. Mes larmes ont coulé ; des larmes de joie intense, car je savais que l’esprit de Dieu était entré en moi... Le temps semblait s’être arrêté... Après ces quelques minutes, ou secondes, suspendu entre ciel et terre au niveau du faîte des arbres, je redescendis comme j’étais monté, tout songeur, tout tremblant de joie, tout ému. Je descendis très lentement. Jamais je n’avais connu un tel bien-être... L’air était bon, encore frais et vivifiant et remplissait mon être. J’entendais toujours la musique et les oiseaux. Pendant ma descente, je voyais toujours tout ce qui était autour de moi, irisé, presque luminescent, presque clignotant. Je sentais intérieurement la présence de Dieu ; le bien-être que cela me procurait était intense... immense...

Une fois les pieds au sol, le « charme » se rompit. J’étais là, debout, tout hébété de ce qui venait de m’arriver, mais heureux... Jamais je n’oublierai ce moment... »

Pierre Monnet décrit un phénomène de résurgences mémorielles, survenant de manière irrégulière depuis 1956, par lesquelles lui reviennent des portions traduites du message extraterrestre qu’il a reçu en 1951. Ces épisodes se produisent principalement la nuit, souvent pendant son sommeil, l’obligeant à se lever brusquement pour écrire. Il ressent alors une forte impulsion intérieure, comme téléguidée, accompagnée d’un isolement sensoriel, d’un apaisement profond, et d’une dissociation de la conscience : une partie de lui écrit, pendant qu’une autre l’observe.

Il précise qu’il ne ressent aucune fatigue après ces sessions nocturnes d’écriture et qu’au contraire, il se sent régénéré. Selon lui, le message inscrit en lui se débloque lentement au fil du temps sous l’effet d’une force extérieure qui en régule le flux. Résister à cette force lui cause malaise, insomnie et irritabilité, tandis que céder lui procure sérénité et clarté.

Ces résurgences ne surviennent pas uniquement la nuit. Elles peuvent aussi se produire en plein jour, au cours d’activités ordinaires comme la lecture, l’écriture ou l’écoute de conversations. Dans ces cas, son attention devient confuse, les mots du message se superposent à ses pensées, et il doit finalement tout interrompre pour écrire. Son regard est souvent attiré de façon irrésistible par un point fixe ou brillant, déclenchant le processus.

Lorsqu’il regarde la télévision, un phénomène similaire se produit : son attention se fige, l’image devient floue, le son s’éteint, et il est contraint de quitter la pièce pour écrire dans un autre endroit. Il décrit ces moments comme étant déclenchés par une force extérieure qui neutralise sa volonté, tout en lui apportant un profond sentiment de paix.

Enfin, il rapporte que pendant ces épisodes, une chaleur interne envahit son corps, suivie d’un bref refroidissement lorsque l’état se dissipe, ce qui renforce chez lui le sentiment d’avoir été énergétiquement transformé.

Pierre Monnet rapporte l’un de ses contacts télépathiques survenu en présence d’un ami ufologue belge. Alors qu’ils étaient tranquillement installés chez lui, en train de discuter de sujets sans rapport avec les extraterrestres, Pierre entra soudain dans un état second. Il se figea, les yeux grands ouverts, sans cligner, et perdit toute perception de son environnement. Il se sentit comme projeté dans une sphère grisâtre formée de brouillard mouvant, dans laquelle il restait pleinement conscient.

Durant cette expérience, il perçut un message télépathique d’origine extraterrestre, exprimé en français, sans entendre de voix : les êtres lui expliquaient que leur monde s’appelait Silxtra, situé très loin, mais que la distance n'avait pas d'importance car l’esprit pouvait voyager plus vite que la lumière. Ils lui disaient aussi qu’ils l’avaient « appelé » et qu’il avait failli entrer en contact plus direct avec eux, ajoutant qu’ils connaissaient mieux sa fréquence mentale.

Au moment où le message était encore en cours, son ami le toucha au bras pour l’interpeller, ce qui mit fin brutalement à l’état de contact. Pierre fut alors secoué par un violent flash mental et des palpitations. Il se précipita pour écrire le message reçu, afin de ne pas l’oublier. L’ami belge, impressionné, confirma qu’il avait vu Pierre figé avec un regard vide, et qu’il avait été témoin d’un phénomène étrange. Afin de ne pas interférer avec une éventuelle suite du contact, il s’éclipsa ensuite discrètement.

« Je vais vous faire le récit de mon second contact physique avec deux Extraterrestres évoluant au milieu des terriens. Ce contact me confirme ce qu'ils m'avaient déclaré en 1951, lors de ma première rencontre : « Nous évoluons parmi vous, vous nous côtoyez sans le savoir... ».

Cette fois-ci, nous sommes en juin 1974. Ce jour-là, il faisait beau. C'était un samedi matin, vers dix heures, et je venais de faire le plein de ma voiture. Client habituel de cette station d'essence située pratiquement en pleine ville, lorsque mon plein est fait, je déplace mon véhicule de quelques mètres pour laisser la place devant l'unique pompe à essence de la station. Ensuite, je fais mon chèque à l'intérieur, pendant que le pompiste sert le client suivant.

Comme d'habitude, j'entrai de quelques mètres à l'intérieur de la station pour faire mon chèque sur un meuble classeur qui se trouvait là. Le dos tourné à l'extérieur, je n'avais pas encore fini de remplir mon chèque, lorsque, soudain, je me figeai sur place, le stylo à la main. Pendant quatre à cinq secondes, je sentis mon cerveau se vider de presque toutes mes pensées. Un grand frisson me parcourut le long de la colonne vertébrale, de haut en bas, et une sensation de chaleur douce envahit progressivement mon cerveau. Puis, je ne pus résister à l'envie de me retourner, car j'avais la conviction que je devais le faire ; et malgré moi, je me suis retourné.

Ce que je vis alors me frappa à la fois de stupeur et de joie. Ils étaient là. Tous deux me regardant et souriant. Exactement comme en 1951, lors de mon premier contact avec eux ; car — je ne pouvais en douter — je savais qu'ils étaient Extraterrestres et originaires de la même civilisation que ceux que j'avais déjà rencontrés. Venaient-ils de me conditionner pour me le faire savoir de façon intuitive ?

Toujours est-il qu'ils étaient là. En plein jour. En plein trafic, vers dix heures du matin, se faisant faire le plein d'une Renault 16 neuve, reluisante, gris métallisé, munie de glaces exagérément fumées en bleu. Cette voiture était immatriculée en « WW », sur une bande de plastique noir provisoirement fixée par des lacets.

Je restais figé, fasciné, bouche bée ; incapable de faire un geste de plus et de prononcer un seul mot. Comme en 1951, je les regardais avec une sorte d'admiration et de joie intérieure.

Comme en 1951, j'étais en extase devant ces deux hommes. Je me sentais léger et dans un état de bien-être exceptionnel. En un mot, je ressentais presque les mêmes impressions que lors de mon premier contact avec eux.

Comme en 1951, ils rayonnaient de tranquillité, de puissance, de paix, d'Amour et de bonté communicative. Le pompiste avait encore le pistolet de distribution dans la main droite et venait de saisir deux billets de banque que lui avait tendus l'un des deux hommes. Le pompiste raccrocha le pistolet et rendit la monnaie. Puis il rentra dans son bureau pour poser l'argent. Pendant ce temps, les deux hommes me regardaient avec un peu plus d'intensité, mais toujours en souriant. C'est alors que j'ai nettement entendu, dans mon cerveau, une impulsion télépathique correspondant à : « ...À bientôt... ». Les deux hommes n'avaient provoqué aucun son.

Puis, les deux hommes sont tranquillement rentrés dans la R-16, m'ont regardé encore une fois, toujours avec le sourire, et ils ont démarré.

Dans tout cela, quatre choses ont attiré mon attention :
1°) Il ne s'est échangé aucune parole entre le pompiste et ces « clients ». Leurs lèvres n'ont pas bougé.
2°) Les bruits extérieurs s'étaient estompés autour de moi.
3°) Le pompiste avait l'expression de quelqu'un plongeant son regard dans le vide. Il n'a jamais relevé la tête pour regarder le visage de ses « clients ». Il paraissait conditionné comme un automate.
4°) Les glaces de la R-16 neuve étaient anormalement fumées d'un bleu foncé.

Quelques secondes après le départ de la voiture, j'ai fini de remplir mon chèque, je l'ai remis au pompiste qui semblait avoir retrouvé son état normal et j'ai repris la route.

Là aussi, un fait est à noter. De même qu'en 1951 où je ne suis jamais revenu sur les lieux de mon contact, dans le cas présent, je n'ai jamais éprouvé le besoin de demander au pompiste s'il avait remarqué ces deux hommes exceptionnels. En effet, ces deux hommes étaient suffisamment remarquables pour que le pompiste en parle avec moi. Mais le pompiste n'avait-il pas été conditionné pour « ne rien avoir remarqué d'inhabituel » ?...

Lorsqu'un homme est bien habillé, de façon impeccable, l'expression habituelle est celle-ci : « Il est tiré à quatre épingles ». Eh bien pour ces deux Êtres, c'était le cas. On aurait dit des mannequins sortant tout juste de la vitrine d'un grand magasin de confection.

Ils étaient vêtus de complets gris clair de la plus belle coupe classique, avec pochette et cravate gris anthracite parsemée de petits losanges rouges ; une perle montée en épingle à cravate y était fixée. Ils étaient chaussés de chaussures vernies noires. Ces hommes étaient de noble prestance.

Le plus remarquable, c'étaient leurs costumes, pochettes, cravates, épingles et chaussures qui étaient identiques, ainsi que les deux hommes qui étaient également identiques. Mieux encore que des jumeaux : des duplicata.

Ils mesuraient aux environs de 1 mètre 90. Ils étaient de corpulence athlétique. Ils étaient brun cendré sur les tempes. Coupe de cheveux courte, nette et de style très moderne. Ils portaient une petite moustache discrète, fine et droite. Quoiqu'il m'était difficile d'évaluer leur âge, on aurait pu leur donner entre 45 et 50 ans.

Ils étaient très beaux et sympathiques. L'expression de leur regard était peu commune ; il s'y mêlaient paix, Amour et force. C'était l'impression générale qu'ils donnaient.

J'ai donc eu, ce jour-là, la confirmation que la race d'Extraterrestres que j'ai rencontrée en 1951, a mêlé les « siens » à nos populations ; n'en déplaise aux producteurs de films de science-fiction du genre « Les Envahisseurs », les Extraterrestres qui m'ont contacté sont pacifiques et sympathiques. »

Après cette rencontre, des messages télépathiques ont été reçus régulièrement par Pierre Monnet pendant des années, dont il a pris des notes qui sont diffusées par ses livres.

Le 27 octobre 1984 à 18 h 15, Pierre Monnet se trouvait chez lui à Aix-en-Provence. De manière inhabituelle, et malgré la présence d’amis, il ressentit soudain le besoin d’aller en ville, située à environ trois kilomètres. Il se sentait en pleine forme, et comme la météo était agréable, il décida de faire le trajet à pied. Arrivé sur le cours Mirabeau, côté droit par rapport à la Rotonde, il observa l’animation de la ville, ses trottoirs pleins de monde, les éclairages colorés et les vitrines qui contribuaient à une ambiance festive.

Alors qu’il marchait tranquillement, il prit soudain conscience qu’il venait de sortir de son corps. Bien que la situation soit exceptionnelle, tout lui parut naturel. Il comprit qu’il voyait à travers un point de vue situé à environ deux mètres cinquante de hauteur, tandis que son corps physique continuait à marcher, à quelques mètres derrière lui, entouré d’une aura argentée que personne ne semblait remarquer - sauf un jeune enfant qui attira l’attention de sa mère sur ce qu’il voyait.

Pierre Monnet : « Je me rendais bien compte que ma fonction « vue » n’était plus remplie par mon corps et que mes yeux de chair n’y étaient pour rien, car je contemplais mon propre corps déambuler à quatre ou cinq mètres de distance vers « l’arrière ». Celui-ci était entouré d’une aura argentée très lumineuse que personne ne semblait remarquer, si ce n’est un enfant de cinq à six ans qui insistait auprès de sa mère en lui disant : « ... Maman... regarde le monsieur... ». L’enfant avait les yeux grand écarquillés. Était-il seul dans la foule à s’apercevoir de quelque chose de peu commun sur ma personne ? »

Pour la première fois, Pierre Monnet se vit lui-même sans l’intermédiaire d’un miroir, séparé de son corps. Il nota que son corps physique se comportait de manière autonome, avançant calmement, comme s’il était en promenade. Pendant ce temps, son « moi » sans corps avait une vision globale, capable de percevoir dans toutes les directions à la fois, y compris ce que voyaient ses yeux physiques. Il constata également que les sons de la ville avaient disparu et qu’il ne ressentait plus ni température ni inconfort, ni les tensions habituelles des passants. Tout lui apparaissait serein, harmonieux, et vidé de toute négativité.

Il décrivit un sentiment de fusion avec tous les autres êtres humains, comme si chacun faisait partie de lui-même. Il parla d’un état de conscience où le temps, la mort et la séparation n’existaient plus — une impression d’unité totale et de paix, qu’il associait à la véritable vie, à une dimension divine.

Lorsque l’expérience s’arrêta brusquement, il éprouva un malaise immédiat. Le retour dans son corps lui donna une sensation d’étouffement, comme s’il était prisonnier d’un habit trop serré. Ce retour s’accompagna d’une émotion intense, teintée de regret et de nostalgie pour l’état de plénitude qu’il venait de quitter.

Apparence des habitants de Silxtra :

Les êtres vus par Pierre Monnet dans son contact de 1951 mesuraient apparemment 1 m 90, habillés avec une combinaison d'un tissu paraissant être métallisé, très ajuste et serré au corps, serré au niveau du cou et des poignets et sur toute la surface du corps, comme collé.

Ils paraissaient absolument identiques à des humains normaux, mais ils étaient tous les quatre blonds, et paraissaient avoir entre 28 et 30 ans (alors qu'ils étaient âgés de plus de 2000 ans selon les informations reçues ensuite).

Dessins extraits du livre de Pierre Monnet "Les extraterrestres l'ont dit" montrant l'apparence détaillée et globale des êtres de Silxtra / Véga de la Lyre qu'il a rencontrés.
Dessins extraits du livre de Pierre Monnet "Les extraterrestres l'ont dit" montrant l'apparence détaillée et globale des êtres de Silxtra / Véga de la Lyre qu'il a rencontrés.

Pierre Monnet : « Ils sont des Êtres humains morphologiquement et biologiquement approximativement identiques aux terriens, quoique plus grands dans la généralité. »

Description de leur monde et de leur civilisation :

Pierre Monnet : « Les Extraterrestres qui m'ont contacté en 1951 viennent d'une planète qui, d'après traduction en mots français, se nomme « Silxtra ». Selon leurs propres termes, c'est très loin, mais pour eux la distance ne compte pas, car l'esprit voyage dans l'esprit ; le temps d'une pensée est plus rapide qu'un trait de lumière.

[...]

Ils sont contre la notion d'argent, les guerres, les religions et la politique, qui font la pourriture des mondes. Ils sont au courant de tout ce qui se passe sur notre planète, car ils nous étudient depuis plusieurs milliers d'années.

Ils voyagent dans le futur et dans le passé ; il n'est pas exclu qu'ils aient pu contacter un plan "Divin". »

Message reçu le 20 Novembre 1974 - 23 h 20 : « "Silxtra est notre "terre" ; c'est très loin. Mais pour nous la distance ne compte pas, car l'esprit voyage dans l'esprit. Le temps d’une pensée est plus rapide qu’un trait de lu­mière. Malgré cela, nous t’avons appelé et tu as failli venir à notre portée. Nous connaissons mieux ta longueur d’onde de­puis quelques instants. Sois prêt…" »

La planète dont ils sont originaires est, en volume, vingt fois plus importante que la nôtre et ne possède que trois continents dont la surface totale des trois est égale à la superficie de la mer qui les entoure. Le climat de cette planète est maintenu et contrôlé par des rotations artificielles de la masse de l'astre. Ces rotations artificielles sont produites par des techniques scientifiques stupéfiantes, dont nos plus géniaux savants ne pourraient se faire une idée.

Les trois vastes continents parsemés de mers intérieures, de grands lacs et de nombreuses îles, parfois volcaniques. L’atmosphère est d’un bleu pur, quasiment sans nuages, baignée par un soleil radieux. Le ciel en altitude présente des teintes rouge, orange et jaune autour de l’atmosphère, s’éclaircissant vers la surface. Le climat paraît propice à une végétation luxuriante et variée.

Les continents sont recouverts d’immenses forêts, de prairies, de plages larges et colorées (sable jaune ou rouge). On y trouve une flore diverse, mélangeant espèces familières (palmiers, bananiers, pins) et inconnues. L’intérieur abrite aussi des montagnes luxuriantes, des cratères remplis de geysers puissants, ainsi que des ressources minières visibles (minéraux jaunes brillants, métal argent, substances blanches proches de la craie).

Les villes sont intégrées à la nature avec une grande harmonie. Elles comportent des bâtiments de tailles variées au design artistique, mêlant formes, masses et couleurs qui s’accordent parfaitement avec l’environnement naturel. Leur style évoque un Le Corbusier futuriste, en beaucoup plus beau. Certaines villes sont sous-marines, abritées sous d’immenses coupoles translucides reliées par des tunnels, posées sur le fond marin.

Le transport aérien comprend des sphères argentées planant au sommet des forêts et des vaisseaux discoïdaux très perfectionnés. Des ponts d’un kilomètre enjambent des fleuves sans piliers ni câbles, faits d’une simple courbe élégante. Des véhicules terrestres (formes non visibles à l’altitude de survol) circulent sur ces ponts. En mer, flottent des sphères translucides servant de plateformes de détente.

Sur les sphères flottantes, des êtres humains bronzent ou se reposent en maillots de bain, manifestement détendus et joyeux, suggérant une culture du loisir balnéaire et une grande liberté de déplacement.

Des terres cultivées sont visibles entre les forêts et les fleuves, irriguées par des canaux artificiels connectés aux rivières. Le paysage agricole est structuré et organisé, témoignant d’une technologie maîtrisée au service d’une nature préservée.

Message reçu le 20 juin 1979 par Pierre Monnet : « Nous mangeons aussi les pétales de certaines fleurs dont la valeur nutritive est très largement supérieure à la chair des animaux de votre planète. »

Les extraterrestres de Véga se nourrissent, entre autre, d'un aliment qui se présente sous la forme d'un parallélépipède rectangle de douze centimètres de long sur six centimètres de large et deux centimètres d'épaisseur. Cet aliment a l'aspect d'un bloc gélatineux transparent. Il est frais et a très bon goût. Les Extraterrestres de Véga en sont très friands. Cet aliment a des qualités nutritives considérables. Protides, glucides et lipides y sont contenus de la façon la plus équilibrée afin de maintenir un fonctionnement du métabolisme capable de faire vivre un être humain dans l'espace de façon permanente.

Leur système social est basé sur :
1°) L'utilisation rationnelle des valeurs humaines de chaque individu en évolution permanente, au bénéfice de la société toute entière qui restitue au centuple, à chaque individu, le fruit du service rendu.
2°) L'absence totale de la notion d'argent.
3°) L'absence totale de partis politiques.

Ils vivent heureux. Chez eux, la notion d'argent n'existe pas ; seules comptent les valeurs humaines mises au service de l'ensemble de la société, où l'Amour suffit à résoudre tous les problèmes. L'agressivité est quasi inexistante, estimée à un taux de 1 pour 100 000. Il n'existe ni politique, ni syndicats, et les guerres sont impossibles dans leur système social.

Chez eux, il n’existe aucune religion telle que nous la concevons sur Terre. Leur spiritualité repose sur une conscience intérieure universelle, profondément ancrée en chaque individu, qui reconnaît et honore, dans le silence et sans aucun rite, une énergie intelligente et créatrice à l’origine de tout ce qui existe. Ils évitent de nommer cette force suprême, estimant qu’un tel acte en altérerait la nature. Leur vénération se traduit par un profond respect pour la vie, la nature et l’harmonie du cosmos.

Ils ne pratiquent ni culte ni cérémonial, mais célèbrent avec ferveur les saisons, la vie et l’Amour, qui constitue pour eux la valeur centrale. Cet Amour s’étend à tous les êtres vivants, ainsi qu’aux peuples des mondes habités qu’ils ont découverts et accompagnés dans un esprit de fraternité universelle.

Sur leur monde, de hautes tours argentées aux toits sphériques, hérissées d’antennes, peuvent évoquer des centres de communication ou de production d’énergie. Les infrastructures flottantes et sous-marines démontrent une capacité avancée à maîtriser diverses formes d’environnement, y compris aquatique.

Ils sont télépathes, et leurs facultés psychiques naturelles, qu’ils ont su développer, sont mises à la disposition de la science pour soixante pour cent de leurs travaux.

Leurs sciences sont basées sur la recherche, la domestication, le traitement et l’utilisation rationnelle des éléments de la nature, sans employer de procédés polluants, qui n’ont même pas besoin d’être interdits ; chaque individu, sur cette planète, a pour principe absolu le plus profond respect de la vie humaine et de tout ce qui vit sur leur monde.
Leurs sciences sont essentiellement axées sur les ondes : l’électricité, le magnétisme, l’électrostatique, les ultrasons, les infrasons, et plusieurs milliers d’ondes qu’ils ont découvertes et dont ils se servent pour faire avancer la science au service du bien-être de l’espèce humaine.

Relativement, rien ne leur est scientifiquement impossible, tant ils ont su employer leur esprit et leur intelligence dans un sens positif, c’est-à-dire en fonction et au regard des lois universelles régissant le cosmos.

Pour atteindre leur niveau de connaissance, il nous faudrait encore 15 000 ans de progrès spirituel, intellectuel et scientifique. Mais, compte tenu de notre manière d’évoluer en marge des lois naturelles universelles, il y a 99 % de chances que, durant cette période, nous retombions à plusieurs reprises au point de départ, à la suite de catastrophes et de dérèglements planétaires que nous aurons nous-mêmes provoqués par une science constamment orientée dans une mauvaise direction. L’homme refuse encore de faire l’effort nécessaire pour acquérir la sagesse permettant de surmonter son agressivité maladive.

Leur science leur a notamment permis de modifier très sensiblement la durée de leur vie physique. Chez eux, un individu vit en moyenne 2 800 de nos années, grâce à un procédé naturel de régénération cellulaire spontanée, qui stabilise les vibrations vitales des cellules jusqu’à l’âge de 2 400 ans, sans vieillissement ni infirmité héréditaire, tout en conservant l’énergie de dix de nos meilleurs athlètes. Ce procédé a éliminé toute forme de tare héréditaire, supprimant ainsi les maladies et les malformations congénitales.

Pierre Monnet : « Prenez un tiroir. Remplissez-le de sphères transparentes de cinquante millimètres de diamètre. Lorsque le fond du tiroir est plein, jusqu'à ce que les sphères se touchent, déversez une autre couche de sphères identiques, qui viendront se loger dans les espaces libres où elles seront bien calées, en surplomb et entre trois autres sphères. Faites cela autant de fois que vous le pourrez ; trois, quatre, cinq ou six fois, si vous avez beaucoup de sphères transparentes à votre disposition.

Cela fait, observez ce que vous venez de réaliser. Vous avez là la représentation stylisée et approximative de la structure d'une infime partie du cosmos, chaque sphère représentant un univers aussi grandiose que le nôtre. Tous les univers abritent des milliards de systèmes solaires pourvus de planètes habitées.

Entre les univers, comme entre vos sphères transparentes, existent des « vides » qui sont des zones de compression de l'espace et du temps. Ces vides se comptent au nombre de : un, pour cinq univers.

Les vaisseaux spatiaux extra-universels utilisés par les humanités scientifiquement hautement évoluées empruntent ces « vides » pour voyager d'un univers à un autre, ou bien d'un bout à l'autre de la création ou d'une galaxie, à des vitesses dépassant toutes imaginations ; et cela sans utiliser l'énergie produite par le « mobile » en fonctionnement, c'est-à-dire le vaisseau. Le déplacement d'un mobile extra-universel se fait par opposition des forces répulsives colossales produites par le mouvement expansible des univers. »

Message reçu par télépathie le 27 décembre 1976 par Pierre Monnet :

« Toute création naturelle a été faite par amour et pour l’amour : amour du mouvement, amour de la vie, amour de la perfection. La perfection est vie, la vie est amour, et l’amour est perfection dans la création de la vie, conçue pour être une continuité par le Grand Constructeur de toutes choses, auquel il est sacrilège de donner un nom ou une forme matérielle.

Cet ensemble forme un cercle sans fin, représentant le tout de la création. Il est évident que partout où la vie est apparue dans les multiples univers du cosmos, c’est que les éléments nécessaires à cette vie ont été réunis. Ces éléments sont le fruit de l’amour, destiné au bien-être, au développement et à l’expansion de cette vie.

L’exemple le plus concret est celui de votre planète, où la nature est présente pour servir l’homme et entretenir la vie : la chaleur du soleil, la saveur des fruits et légumes, la fraîcheur et la pureté de l’eau qui coule dans les veines de la terre pour abreuver l’homme, la faune et la flore. L’ensemble, y compris l’homme, a été prévu dès l’origine pour vibrer en harmonie. L’homme a détruit cette harmonie par manque d’amour, et il goûte maintenant les fruits amers qu’il a semés sur votre planète. »

Illustration générée par IA : vaisseau du genre de celui observé par Pierre Monnet dans son contact de 1951.
Illustration générée par IA : vaisseau du genre de celui observé par Pierre Monnet dans son contact de 1951.

L'engin aperçu par Pierre Monnet était un disque de grande taille, estimé entre 15 et 25 mètres de diamètre, surmonté d’un dôme central hémisphérique. Sa hauteur totale, de la base au sommet du dôme, était d’environ 3 mètres. Il lévitait au-dessus du sol, immobile, à une altitude de 50 à 80 centimètres, émettant une lueur pulsée blanche, argentée et bleutée. Cette lueur semblait émaner de la structure même du matériau, et non de sources lumineuses externes ou internes. L'éclat pulsé éclairait distinctement les parois proches de la carrière.

Le matériau composant le vaisseau présentait une apparence métallique à la fois dense et fluide, comme en mouvement permanent, presque vivant. Il donnait une impression de puissance, de mystère et de beauté. Le silence s’intensifiait à mesure que Pierre s’approchait, au point que plus aucun son extérieur n’était perceptible à six mètres de l’engin — ni les grillons, ni la circulation routière pourtant toute proche, ni même ses propres pas. Cette bulle de silence semblait liée à l’activité vibratoire du vaisseau.

L’ouverture d’accès, apparue discrètement au cours de l’échange, était située à l’avant de la coupole. Elle pouvait laisser passer deux personnes côte à côte. Une lumière blanc-orangée très intense régnait à l’intérieur, rendant difficile toute observation détaillée au-delà de l’ouverture.

Un avertissement télépathique précisa que ce vaisseau émettait des vibrations dangereuses pour les organismes non accordés à sa fréquence, capables de détruire les cellules biologiques. L’engin n’était donc pas accessible sans adaptation ou protection particulière.

Le vaisseau dans lequel se déroule l’expérience de voyage par connexion télépathique sensorielle de Pierre Monnet est discoïdal, doté d’un dôme translucide monté sur une sphère centrale mobile, elle-même enchâssée dans un disque métallique légèrement lumineux. Ce système permet des mouvements dans toutes les directions sans modifier l’orientation de l’occupant. Le vaisseau peut accélérer, piquer, planer et changer d’altitude avec une précision absolue, tout en offrant un confort total à son passager.

Message reçu par télépathie le 2 juin 1977 par Pierre Monnet : « Les matériaux que nous utilisons pour la construction de nos vaisseaux spatiaux sont composés de molécules instables de silice et d’alliages métalliques très légers, mais à haute résistance. Ces alliages métallo-silicieux, dont chaque molécule peut être modifiée sous l’effet de manipulations magnétiques agissant sur l’ordre atomique de la matière, peuvent à volonté devenir transparents et, dans certains cas, se laisser traverser par un corps humain sans dommage. Il suffit, pour cela, d’ajuster les vibrations des deux catégories de matière à des fréquences spécifiques, en créant un léger décalage temporel, pour permettre aux noyaux atomiques des deux corps de s’interpénétrer sans se toucher. Ce procédé revient à amorcer le basculement d’un corps solide d’une dimension X vers une autre dimension X ou X+.

Grâce à une dérivation de cette technique, nous pouvons rendre nos véhicules invisibles, qu’ils soient en vol ou stationnaires. Le personnel à bord subit les mêmes effets que la matière constituant le vaisseau. L’opération est sans danger pour le corps humain, mais elle nécessite des précautions extrêmes. La moindre erreur, même de l’ordre du milliardième de micron, dans la manipulation des longueurs d’ondes magnétiques et ultrasoniques utilisées pour la dématérialisation, entraînerait l’anéantissement complet du vaisseau et de son équipage, sans laisser la moindre trace dans le temps ou l’espace. Une telle erreur reviendrait à faire entrer en collision un atome de matière avec un atome d’antimatière.

Les accidents de ce genre sont extrêmement rares. Vous comprenez ainsi pourquoi nos vaisseaux, lorsqu’ils rencontrent des difficultés, ne laissent aucune trace. »

Message reçu par télépathie le 3 juin 1977 par Pierre Monnet : « Contrairement à ce que pensent beaucoup de vos savants, il n’existe pas seulement une troisième, une quatrième ou une cinquième dimension. En réalité, il existe une multitude de dimensions, s’étendant à l’infini par degrés successifs. Pour passer d’un degré dimensionnel à un autre et effectuer des voyages intersidéraux à des vitesses quasi-instantanées, nos vaisseaux modifient leur polarité magnétique, ce qui entraîne un changement de la fréquence vibratoire de la structure atomique de leur matière.

Ce processus provoque un effet de dématérialisation, accompagné d’une force de répulsion entre le champ magnétique du vaisseau et celui de la planète, du système solaire ou de la galaxie que nous quittons ou rejoignons.

Pour un observateur situé à proximité, la scène est spectaculaire. Lorsqu’un disque volant effectue une translation dimensionnelle, il semble vibrer, changer de couleur, puis se transformer en une sphère d’énergie rouge-orangée presque aveuglante, avant de disparaître instantanément. Cette transformation visuelle résulte de l’apparition d’une enveloppe ionisée prenant une forme sphérique autour du vaisseau, générée par l’apport d’énergie magnétique nécessaire à la translation dimensionnelle.

Chaque vaisseau est équipé de quatre types de propulsion :
— la propulsion atomique, utilisée pour les voyages interplanétaires ;
— la propulsion ionique, pour les déplacements à travers une galaxie ;
— la propulsion magnétique, pour les déplacements autour des planètes ;
— et la translation hyper-dimensionnelle, utilisée pour les voyages intergalactiques ainsi que pour les déplacements dans le temps et à travers les univers du cosmos. »

Une autre information des végans : « nous utilisons la propulsion temporelle pour les petites vitesses et la propulsion intemporelle les grandes vitesses. »

Message reçu par télépathie le 4 juin 1977 par Pierre Monnet : « Nos disques d’exploration de surface sont équipés de récepteurs d’ondes magnétiques et ultrasoniques qui captent l’influx nécessaire à leur sustentation et à leur manœuvre. Cet influx provient de nos vaisseaux-mère stationnés aux abords de votre système solaire, lesquels sont dotés de génératrices d’énergie cosmique.

Ces génératrices émettent vers chaque disque un faisceau d’énergie magnétique, capté par les récepteurs. Ceux-ci traitent cette énergie par polarisation ou dépolarisation, positive ou négative, en fonction du magnétisme propre à la planète à explorer.

L’équipage peut quitter l’un de ces disques, qui sera alors automatiquement rappelé par téléguidage vers son vaisseau-mère. Nos disques peuvent accomplir des missions d’exploration de manière totalement autonome depuis les vaisseaux-mère, mais nous privilégions la présence d’un équipage à bord.

Par simple contact télépathique, l’équipage peut rappeler le disque et en reprendre le contrôle, quelle que soit sa position.

Leur rayon d’action couvre uniquement le volume de votre système solaire, tel que vous le connaissez actuellement. »

Message reçu par télépathie le 4 juin 1977 par Pierre Monnet : « La complexité et la précision extrême de nos procédés électro-sensitifs permettent à nos pilotes, spécialement entraînés, de diriger nos véhicules lenticulaires par la pensée.

De la même manière que vos spécialistes enregistrent l’activité cérébrale à l’aide d’électroencéphalographes, nous avons adapté aux commandes électromagnétiques de nos disques un système comparable à vos appareils médicaux. Des électrodes sont placées sur le cuir chevelu des pilotes, qui n’ont alors qu’à penser les manœuvres souhaitées.

Ces ordres mentaux sont transmis à l’ordinateur de bord, qui les convertit en impulsions électromagnétiques. Celles-ci sont ensuite amplifiées et dirigées vers un coordinateur électronique, lequel agit sur des circuits à haute tension pour moduler les champs magnétiques responsables du déplacement du disque à l’intérieur du champ magnétique naturel de la planète à explorer. »

Message reçu par télépathie le 29 avril 1979 par Pierre Monnet : « Nos combinaisons de vol sont faites de matière souple métallisée qui absorbe certaines particules ionisées ayant la propriété d’être lumineuses. L’avantage de ce procédé est de maintenir en bon fonctionnement les flux bio-énergétiques naturels des cellules de notre enveloppe physique qui, de ce fait, ne laisse pas échapper certains éléments bio-chimiques nécessaires à notre organisme pendant les vols à grande vitesse.

Lorsque nous nous posons sur une planète dont les pro­priétés atmosphériques sont approximativement les mêmes que sur notre astre, nous descendons de nos disques, les pieds nus, afin que les particules ionisées induites dans les fibres de nos combinaisons se déchargent au contact du sol.

La décharge au sol de ces particules se fait en quatre heures. Après quoi nos combinaisons ne sont plus luminescentes.

Cette durée de quatre heures est suffisante à nos enve­loppes physiques pour leur permettre une accoutumance aux différents champs magnétiques des planètes sur le sol des­quelles nous évoluons à pied.

Après avoir marché sur une planète, avant de réintégrer notre vaisseau, nous mettons celui-ci en contact direct avec le sol afin de pouvoir y entrer. Car un vaisseau spatial que l’on n’aurait pas déchargé de son potentiel ionisé et électrostatique serait absolument ina­bordable.

L’être humain qui s’en n’approcherait seulement à un mètre, même sans y toucher, serait très sérieusement commotionné. Si ce même être humain avait la possibilité de toucher le vaisseau, il serait littéralement vidé de son énergie vitale.

Puisque nous venons de parler d’ionisation de la matière, nous pensons que vous serez intéressés de savoir que sur notre planète, dans la vie courante de chacun de nous, au cours de nos phases nocturnes nous n ‘avons pas recours à ce que vous appelez l’électricité. Nos éléments lumineux sont faits de masses de différentes formes. Ces masses sont ionisées sous vide et recouvertes d’une matière translucide. Ces élé­ments lumineux sont pratiquement éternels et sans danger pour l’organisme humain.

Nous appelons cela de la lumière froide, car ce principe lumineux ne dégage aucune chaleur. »

Pierre Monnet : « Les multiples personnes ayant été, au même titre que moi, contactées par des Extraterrestres de morphologie semblable à la nôtre, ont pour « mission » le déclenchement d'une prise de conscience mondiale des lois naturelles universelles régissant le cosmos. Si cette prise de conscience ne se fait pas : « ALEA JACTA EST ».

[...]

Ils souhaitent nous transmettre leur sagesse et leur savoir, afin que nous puissions les rejoindre dans le grand rassemblement de la pensée, en adhérant à la confédération galactique des planètes unies, en vue du développement fraternel des espèces humaines réparties à travers les univers cosmiques. »

Leurs techniques aéronautiques et astronautiques leur ont permis de devenir de grands voyageurs cosmiques, évoluant dans les espaces galactiques et intergalactiques à une vitesse bien supérieure à celle de la lumière.

Les buts de ces voyages sont les suivants :

  1. Explorer scientifiquement les différents mondes des univers proches du leur, afin d’approfondir leur connaissance et de satisfaire leur faculté de découverte.
  2. Sauver les vies humaines sur les mondes en péril rencontrés sur leur passage.
  3. Éduquer les mondes en voie de développement et leur apporter une aide technique.
  4. Surveiller et protéger les civilisations ayant perdu toute sagesse, et ayant déclenché des processus d’autodestruction parfois irréversibles, caractéristiques des sociétés évoluant en marge des lois universelles.
  5. Diffuser leur savoir en vue d’une harmonisation galactique et intergalactique des espèces humaines, conçues par le grand constructeur de toutes choses.

À l’échelle de leur évolution, notre humanité est considérée comme une civilisation sous-développée. Ils connaissent les effets nocifs de certaines forces psychiques, encore insoupçonnées de nous, que nos cerveaux possèdent, et avec lesquelles nous créons inconsciemment de véritables catastrophes, faute de savoir, ou de vouloir, contrôler les fréquences de la pensée capable de modifier la matière.

Dans notre secteur galactique, ils n’attendent plus que nous, afin que notre planète rejoigne le grand rassemblement interstellaire de la pensée, en préparation sur le plan galactique.

Ils sont consternés de constater à quel point notre évolution est restée limitée depuis la dernière guerre nucléaire. Ils souhaitent nous aider à accélérer notre développement mental, technologique et scientifique, afin que nous puissions nous en sortir par nous-mêmes, avant la catastrophe naturelle finale qu’ils estiment survenir dans 5 000 ans.

Ils affirment ne pas être les seuls Extraterrestres à visiter la Terre ; d’autres, souvent agressifs et très matérialistes, interviennent également. Cependant, notre planète est protégée par les Extraterrestres rencontrés par Pierre Monnet.

Bien que pacifiques, ils possèdent une puissance difficilement concevable pour un humain. Ils sont capables de neutraliser à distance, sans violence, toute tentative grave de guerre nucléaire.

Message des êtres de Véga : « ...Hommes de cette planète ; vous devez apprendre à remplacer le mot "argent" par le mot "amour". Vous devez apprendre à parler d'Amour au lieu de parler Canons.

Nous vous observons depuis fort longtemps, et nous sommes catastrophés de voir à quel point vous avez si peu évolué depuis les cinq derniers de vos millénaires. Nous constatons que vous êtes comme de mauvais enfants qui ne veulent écouter leur père. Pour cette raison, vous êtes arrivés au bord de l'abîme que vous avez creusé et où vous allez tomber, si vous ne faites pas l'effort de comprendre la valeur de ce que nous vous apportons.

Sous prétexte que nous n'atterrissons pas sur vos places publiques pour vous parler nous-mêmes, vous tournez en dérision et en ridicule l'enseignement que nous transmettons à certains hommes de votre planète. Ces hommes que nous contactons parlent en notre nom.

Si, pour l'instant, nous ne venons pas officiellement au milieu de vous, c'est que nous avons nos raisons, dont la première est de ne pas créer de panique au niveau de la multitude. Vos concepts actuels sont trop peu évolués pour que vous puissiez supporter de nous voir arriver ; certains d'entre vous parlent déjà d'envahisseurs. Vos pilotes d'appareils volants n'ont pas la sagesse d'arrêter à temps la poursuite de nos vaisseaux. Ils ne tiennent pas compte de la fragilité de vos véhicules aériens qui explosent en vol.

Certains de nos vaisseaux, pour ne pas dire tous, sont impressionnants. À la vue de ces vaisseaux à basse altitude ou au sol, certains d'entre vous subissent une frayeur telle, qu'elle leur cause des dérèglements mentaux très souvent irréversibles. Nous voulons éviter cela.

L'enseignement que nous prodiguons à certains d'entre vous (les contactés), que nous sélectionnons en fonction de leur degré le plus élevé d'ouverture d'esprit, et dont la courbe du diagramme d'agressivité est pratiquement nulle ou tout au moins très basse, a pour but de faire d'eux nos porte-parole, afin de familiariser les plus larges couches de votre humanité à notre esprit de paix et de fraternité. Dans quelques-unes de vos années, et selon votre degré de compréhension dans l'enseignement que vous aurez reçu de nos contactés (ils seront des centaines de milliers), nous évoluerons de façon plus fréquente dans vos cieux, afin de vous familiariser à la vue de nos vaisseaux. Lorsque ceux-ci ne représenteront plus aucun danger pour vous, nous jugerons du moment opportun de nous manifester officiellement.

Si, fort de l'enseignement que vous donnent nos contactés, vous vous refusez à comprendre que nous avons parcouru un grand nombre d'années-lumière pour vous apporter les moyens d'accéder à la sagesse et au bonheur, nous ne nous manifesterons jamais ; et c'est avec la plus grande douleur au cœur que nous nous désintéresserons de vous.

D'après les contacts que nous pratiquons en grand nombre dans votre monde, nous savons que certains de vos groupes scientifiques de recherche nous reprochent d’être « puérils ». Cet état d'esprit chez vos scientifiques et vos Chefs de gouvernements est dû au fait qu'ils sont trop enracinés dans la matière, et ne tiennent aucun compte de la place que doit prendre l'esprit pour assurer l'équilibre de l'Être humain dans la sagesse.

Puisque nous vous parlons de l'esprit, nous vous signalons que nous trouvons l'état d'esprit général de vos religions déplorable, absurde et sans fondement. Vos religions ont été la cause à 80 % des troubles qui vous ont menés au bord de l'abîme où vous allez tomber, si vous ne vous reprenez pas. Mais attention. Le temps presse. Vous n'avez plus que quelques décennies pour rattraper vos erreurs, et ceci en commençant immédiatement et en première urgence, à gommer de votre esprit cette « notion argent » qui fait votre malheur. Vous ne devez ensuite tenir compte, uniquement, que des valeurs humaines au service de la vie et du bien-être de votre humanité toute entière... »

Message télépathique reçu le 10 mai 1980 par Pierre Monnet : « Nous savons depuis fort longtemps que les multiples transports de la pensée se font par induction de particules cosmiques simples que vos savants pressentent mais n’ont pas encore découvertes et dont nous avons le contrôle presque parfait en ce qui concerne la direction, la sélection, la vitesse et les fréquences vibratoires.

Les contactés et tous les êtres humains réceptifs de votre planète reçoivent les impulsions de ces particules cosmiques simples qui véhiculent nos pensées et nos concepts de paix, de fraternité et d’amour universel.

Nous utilisons le même procédé quelque peu modifié pour contrôler votre énergie nucléaire.

Dans un précédent message, nous t’avons informé que nous avions le contrôle de votre énergie nucléaire. Nous savions que tu ne pouvais concevoir ce contrôle que par l’application de systèmes scientifiques très élaborés. Nous te signalons, afin que tu en transmettes l’information à tes semblables, que nous effectuons ce contrôle uniquement par une influence psychique ayant une action sur la matière. Il nous suffit de concentrer notre pensée sur l’accélération, la décélération ou la neutra­lisation totale de toute désintégration radio-active.

Nous pouvons donc effectivement contrôler la désinté­gration isotopique par la concentration de notre pouvoir men­tal, ceci étant valable autour et sur votre planète. Nous sommes aidés pour cela par nos puissants amplificateurs d’ondes psy­chiques fixés à bord de nos plus grands vaisseaux interstel­laires et de ceux judicieusement installés sur votre planète.

Nous sommes donc prêts à limiter considérablement les dégâts dans le cas d’un effet catastrophique de réaction en chaîne à partir d’un éventuel conflit nucléaire de votre part ou de vos énergies nucléaires domestiques.

Nous t’informons que nous venons de vérifier les implanta­tions d’usines nucléaires situées en différents lieux de la contrée où tu vis.

Nous sommes atterrés de constater que presque toutes ces installations sont dangereusement situées sur des failles géo­logiques précaires et que les structures de construction de ces installations sont insuffisantes pour assurer la sécurité des êtres humains en cas d’accident.

Pour vous donner une comparaison, vos installations de pro­duction d’énergie nucléaire peuvent se comparer à la cons­truction d’une cuve de deux kilomètres cubes construite en papier fin destinée à contenir de la nitroglycérine, ce puissant explosif que vous avez inventé sans en mesurer le véritable danger

Vous faites avancer votre science de façon inconsidérée en n’ayant aucun respect pour la Vie humaine. Vous êtes, à nos yeux, des enfants qui s’obstinent à manipuler des forces qu’ils savent ne pas pouvoir contrôler totalement.

Paix en toi. Nous te suivons dans ton action. »

Il est demandé à Pierre Monnet de créer une communauté basée sur les valeurs d'amour, de manière urgente, pour aider à élever la conscience des terriens.

Un message télépathique reçu en juillet 1975 lui demande de constituer une communauté basée sur la valeur de l'amour, appelée "l'étoile d'argent" :

« Recherche les êtres épris d’un véritable Amour ; tu les reconnaîtras, car ils sont plus nombreux que tu ne le crois. S’ils n’agissent pas, c’est parce qu’ils n’ont pas de guide. Trouve-les et demande-leur d’abandonner leurs anciens concepts, leur politique, leur religion et leur mode de vie actuel, pour bâtir une grande communauté où chacun offrira le meilleur de lui-même : son Amour, son travail et son savoir. Au sein de cette communauté, la notion d’argent n’existera pas. Pourtant, tu la nommeras : L’Étoile d’Argent. Tu sais de quelle étoile il s’agit. Marche vers cette Étoile d’Argent, et tous ceux qui sont prêts te suivront. »

Autre message télépathique reçu le 1er août 1976 par Monnet : « Tu dois désormais créer la communauté de « l’Étoile d’Argent » le plus rapidement possible, en tenant compte qu’elle doit être une communauté à l’échelle planétaire, afin que le programme de la lumière se réalise.

L’Étoile d’Argent ne doit pas être une association ordinaire, comme celles que vous avez l’habitude de créer dans votre système social. Elle représente le titre universel de la chevalerie de l’Amour, dans laquelle un maximum de tes semblables doivent devenir Chevaliers, pour contribuer au salut de votre planète en péril.

L’Étoile d’Argent est le symbole de l’alliance entre votre monde et la Confédération intergalactique des planètes unies, dans l’Amour et la fraternité entre les êtres humains disséminés à travers les multiples univers cosmiques.

Nous savons que vous avez besoin de stimulation et de soutien moral. Les hommes de ta planète aiment prêter serment avant d’entreprendre une action collective. Tu devras donc créer entièrement le serment des Chevaliers de l’Étoile d’Argent. Pour t’aider, nous te suggérons un modèle :

"Par la grâce de UN, le Grand Constructeur de toutes choses, et à l’image de mes Frères galactiques supérieurs de VÉGA, Alpha de la LYRE, ses serviteurs bien-aimés.

Je jure de mettre, de façon totalement désintéressée, toute mon énergie — jusqu’à la plus infime fibre de mon être — au service de l’Amour :
Amour de mes semblables, de tout être vivant, de tout ce qui vit.
Amour de la vie, de la perfection, de la sagesse, de la justice et de la paix entre les êtres humains disséminés dans les multiples univers cosmiques.
Amour de la pureté, de la beauté et des arts positifs.

Je jure de parfaire mon initiation et de remodeler mon esprit et mon corps par l’observance des lois universelles régissant la vie, afin que mon être se purifie de toute souillure, pour qu’il rayonne du même éclat que l’Étoile d’Argent, qui devient désormais ma raison de vivre et d’agir, pour m’élever en élevant les autres vers la lumière." »

« Dans le courant du mois de Novembre 1975, l'un des messages télépathiques que je reçois depuis 1974, m'informe qu'il existe 296.000 contactés dans le monde.

[...]

Mais au fond, avais-je bien raison de m'étonner, sachant que moi-même je n'ai commencé à parler publiquement de mon contact qu'en 1974, c'est-à-dire vingt-trois ans après.

Il faut dire que le message et les informations qui ont été déposés en moi en 1951 ont fait l'objet d'une longue période d'assimilation et de traduction, qui s'effectuaient progressivement, tout au long des années.

Or, il est très probable et logique de penser que les autres contactés, mis à part quelques-uns, se sont trouvés dans le même cas que moi. Aussi, ils devraient être pratiquement tous en mesure de développer par écrits les informations qui leur ont été communiquées. »


« Les Extraterrestres qui m'ont contacté apportent tout d'abord la sagesse et l'Amour. Un plan est prévu au cours duquel, si nous comprenons l'importance de leur enseignement et si nous essayons de nous efforcer à les appliquer, alors et alors seulement, ils se montreront publiquement et officiellement aux hommes de notre planète.

Pour l'instant, ils se manifestent en évoluant avec leurs vaisseaux dans le monde entier et en contactant certains d'entre nous, les plus ouverts d'esprit, les moins agressifs. Nous étions 296 000 contactés en 1975. C'est à nous, les contactés, de diffuser le message d'Amour, de paix et de fraternité des Extraterrestres. Notre mission est difficile, importante et dangereuse pour notre personne, mais nous ne reculerons devant rien, dès l'instant où nous avons compris l'enseignement reçu de ces Êtres dont la pureté et la bonté ne trompent pas, faisant penser immédiatement que leur mission est d'origine « divine ».

— Ne pas associer ici le mot « divin » à Dieu, mais à un état d'être n'existant plus en l'être humain de notre planète depuis fort longtemps, et qu'il serait nécessaire de rechercher par un retour aux sources —. »

« Il y a quelques années, toujours par le biais de la télépathie, les représentants de la civilisation extraterrestre qui m'ont contacté m'ont également investi de l'organisation d'un programme pour le moins important pour un seul homme, aussi insignifiant que moi, de surcroît ; mais que je devrais mettre sur pied avec l'aide des hommes conscients de la gravité et de la grandeur de la tâche qui nous échoit, à nous les contactés et les hommes de bonne volonté qui voudront bien s'associer à cette tâche. Il s'agit de : stopper la chute de notre civilisation en folie.

Ce programme, le voici :
1°) Rassemblement mondial des « Soucoupistes ». (Il faut entendre par « Soucoupistes » les gens qui conçoivent positivement la présence de vaisseaux extraterrestres dans notre système solaire).
2°) Formation, à l'échelle nationale, puis internationale, d'un groupement de recherche et de sélection des « contactés ». (Il faut entendre par « contactés » les vrais contactés et non les plaisantins, les illuminés, les mythomanes et les escrocs de tous ordres en matière d'affabulation).
3°) Étude approfondie des contacts.
4°) Décryptage précis du message des Extraterrestres.
5°) Colloques internationaux des contactés, avec proclamation publique par ceux-ci, du message des Extraterrestres.
6°) Élaboration d'un programme social, scientifique et spirituel international, en regard des lois naturelles cosmiques enseignées par les Extraterrestres dans le message.
7°) Élaboration et construction effective des « États-Unis du monde ».
8°) Après dix années d'organisation, d'établissement et de bon fonctionnement de l'union totale des peuples de notre planète, l'Organisation des Nations Unies devra faire entrer les « États-Unis du monde » dans la confédération interplanétaire universelle, créée par les Extraterrestres issus des multiples mondes habités qui nous observent depuis déjà fort longtemps.

C'est seulement à partir de la réalisation effective de ce 8ème paragraphe que les Extraterrestres nous contacteront visiblement et de façon officielle, face aux représentants légaux de la sagesse dirigeante de notre planète.

Les Extraterrestres existent bel et bien, et sont catastrophés de voir la manière antinaturelle dont nous nous comportons. Eux, sont pacifiques et fraternels (du moins ceux qui m'ont contacté, ainsi que 296 000 autres terriens). Leur message est simple et clair ; ils veulent que nous nous élevions à leur niveau, en harmonie avec les autres mondes habités qui nous entourent.

Et là, je m'adresse tout particulièrement aux autres contactés :
« ...Ne laissez pas le message que vous avez reçu s'imprégner de vos passions, de vos croyances et de votre agressivité maladive car, dans ces cas-là, vous en déformez la vérité et la simplicité qui se résument en un seul mot, qui doit être compris de tout le monde : “amour”. Seule de la compréhension de ce mot et de sa bonne application découlera l'évolution véritable de l'espèce humaine, de notre civilisation, de notre planète même. »

« Mes » Extraterrestres m'ont enseigné et fait vivre ceci (ce sont leurs propres pensées) :
« ...Ne haïssez pas... ne haïssez plus... Aimez... Aimez intensément... vous n'aurez plus de problèmes. Tout deviendra simple, facile et tout ce qui vous paraissait impossible deviendra possible. L'amour, c'est la vie... Nous souhaitons que d'ici l'année 2000, l'homme atteigne le degré de sagesse nécessaire qui lui permettra de comprendre et de se servir de l'aide que nous voulons lui apporter, pour qu'il puisse enfin bâtir ce qu'il n'a encore jamais bâti de parfait, de vrai, de beau et de durable sur sa planète. »

1. Signaux d'ondes
Des stations spécialisées ont capté des signaux jugés d'origine intelligente. Bien que non déchiffrés officiellement, ces signaux témoigneraient de tentatives de communication.

2. Contacts psychiques à haute altitude
Des vaisseaux stationnés en bordure du système solaire émettent quotidiennement des influences télépathiques durant le sommeil des humains, visant à les familiariser pacifiquement à la présence extraterrestre. Cependant, la majorité des Terriens restent peu réceptifs à ces transmissions.

3. Contacts visuels
Les extraterrestres effectuent des survols à moyenne et basse altitude pour habituer la population à leur présence. Ces apparitions génèrent encore de la peur, en raison de l’agressivité et de l’étroitesse d’esprit des humains.

4. Contacts avec les gouvernements
Des tentatives de rencontre ont été faites avec des chefs d’État, mais ont été classées top secret. Quelques fuites ont été discréditées, et des campagnes médiatiques, notamment par le cinéma, ont contribué à ridiculiser les témoins et à renforcer l’idée que tout cela relève de la fiction.

5. Sensibilisation psychique de masse
Certains individus réceptifs croient fermement à la présence extraterrestre sans preuve directe. Cette conviction est vue comme une étape préparatoire aux contacts plus directs.

6. Contacts individuels isolés
Devant le refus des autorités, les extraterrestres s’adressent directement à des individus pacifiques, ouverts et réceptifs. Ces contactés doivent agir comme relais, pour favoriser un changement collectif vers une évolution conforme aux lois naturelles universelles. Ces initiatives sont motivées par un double sentiment d’amour et de méfiance à l’égard de notre évolution actuelle.

Pierre Monnet parle d'une information qui lui a été communiquée par télépathie par les êtres de Véga sans révéler le détail des noms, mais qui par ailleurs est très connue aujourd'hui par d'autres sources comme étant le contact du président des Etats-Unis d'Amérique Dwight David Eisenhower avec des êtres d'apparence lyrienne en 1954 à la base d'Holloman :

« Afin de ne pas m'attirer de sérieux ennuis, je ne dirai pas de quels gouvernements il s'agit, et lequel des Chefs d'État a reçu une délégation extraterrestre, en plein jour, sur une base militaire importante, sans que les radars aient eu le temps de détecter l'engin discoïdal qui a atterri en bout d'une piste désaffectée pour ne pas gêner le trafic. Ce Chef d'État a parlé de vive voix, à huis clos, pendant quatre heures, avec cinq extraterrestres de Véga, Alpha de la constellation de la Lyre. Ces Êtres étaient venus le prévenir des dangers que nous faisions risquer à notre planète, avec nos expériences scientifiques. Ces Êtres étaient venus apporter à notre planète les moyens scientifiques de voyager dans l'espace et de guérir 80 % de nos plus graves maladies. Ces Êtres étaient venus aussi et surtout pour nous apporter un système de structure sociale basé sur l'abolition de la notion d'argent, qui entrave notre évolution et notre progrès. Le bien-être de chaque homme de la Terre s'en serait accru de 100 %.

Je sais ce que je risque en dévoilant de tels faits, mais les temps sont venus où tout doit être mis à nu.

Toutes ces informations m'ayant été communiquées télépathiquement, je sais aussi que, n'ayant aucune preuve de ce que j'avance, on me fera passer pour un farceur, un illuminé, un escroc et un fou. À toutes ces atteintes morales (et qui sait... peut-être aussi d'autres, physiques...), j'affirme que tout ce qui est dit dans cet ouvrage est la vérité. »

Pierre Monnet : « Si, comme le pensent certains esprits agressifs, leur objectif était de nous envahir ou de nous dominer par quelque moyen que ce soit, y compris par la force, ils l’auraient fait depuis longtemps, avant même que notre science puisse assurer une quelconque défense.

Ils pourraient le faire sans combattre, simplement par une influence psychique sur notre cerveau. Ils pourraient aussi neutraliser, à distance et à l’échelle planétaire, toutes les formes d’énergies électriques, magnétiques et électromagnétiques. Ils l'ont d'ailleurs déjà démontré aux États-Unis, au-dessus d’une grande ville, où un vaisseau-mère de plusieurs centaines de mètres de long, stationnant à haute altitude, a interrompu pendant de longues heures tous les systèmes énergétiques. Certains films de science-fiction se sont inspirés de cet événement.

Imaginez une telle opération à l’échelle mondiale : l’économie de notre civilisation serait anéantie. Plus aucun véhicule terrestre, maritime ou aérien ne fonctionnerait, pas plus que les matériels militaires, les centrales électriques ou les usines. Cela montre la vulnérabilité extrême de notre planète face à une éventuelle attaque venue de l’extérieur.

Un seul vaisseau-mère, pouvant atteindre plusieurs kilomètres de diamètre, évoluant à seulement 5 000 mètres d’altitude, pourrait provoquer de graves séismes par les seules vibrations ultra et infrasonores assurant sa sustentation. Pour éviter cela, ces vaisseaux stationnent généralement bien au-delà de la couche atmosphérique des planètes qu’ils survolent. C’est aussi pour cette raison qu’ils sont construits directement dans l’espace. »

Dix millions de leurs hommes stationnent aux abords de notre système solaire. Leur présence est répartie de la manière suivante :

1°) Sur Saturne et dans son anneau.
2°) Sur des bases installées sur Mars et sur notre satellite naturel, la Lune, ce qui expliquerait le désintéressement soudain des États-Unis et de l’Union Soviétique à l’égard de la Lune.
3°) De manière surprenante, ils possèdent également des bases sur l’un des satellites de Vénus.
4°) Sur l’un des satellites de Jupiter.
5°) À l’intérieur de 200 vaisseaux-mères, chacun pouvant contenir jusqu’à 3 500 disques volants de différentes tailles.
6°) À bord de 700 000 disques volants évoluant dans notre système solaire depuis plusieurs millénaires.
7°) Sur des bases situées à divers endroits de notre planète.
8°) Ils vivent aussi parmi nous ; nous en croisons dans nos villes sans le savoir.

Un plan d’évacuation des survivants terrestres est constamment prêt, au cas où une catastrophe imprévisible surviendrait sur notre planète.

Message télépathique reçu le 18 août 1979 par Pierre Monnet : « Nous avons des bases dans les Pyrénées et du matériel important dans les sous-sols du Mont-Ventoux. »

Message télépathique reçu le 5 juin 1977 par Pierre Monnet : « Nos bases de surface implantées sur votre planète sont protégées du regard par un puissant champ magnétique, agissant sur les molécules de la couche d'air ambiante enveloppant les lieux où ces bases sont construites.

Le principe de ce procédé magnétique repose sur la déformation des molécules d’air, lesquelles prennent alors la forme de prismes déviant les rayons lumineux. Ce mécanisme rend invisible tout objet étranger à l’environnement, tant qu’il se trouve dans le champ d’action du dispositif d’invisibilité magnétique.

En complément, nous émettons un train d’ondes télépathiques ciblant une zone précise du cerveau des rares promeneurs s’aventurant trop près de nos installations. Ce signal est programmé pour leur faire changer spontanément de direction à l’approche de nos bases.

Ainsi, nos installations terrestres ne sont visibles ni depuis le sol ni depuis les airs, et échappent aux objectifs photographiques de vos missions aériennes de reconnaissance.

Nous tenons à signaler qu’au cours d’une période troublée de votre histoire, l’un de vos appareils aériens, en difficulté, s’est écrasé sur l’une de nos bases, y provoquant d’importants dégâts. Nous avons pu secourir tous les membres d’équipage et les passagers, soit 35 personnes, dont deux enfants. Gravement blessés, ils ont été régénérés et soignés dans l’une de nos unités médicales, à bord d’un vaisseau-mère en orbite aux abords de votre système solaire.

Ces 35 personnes sont aujourd’hui en parfaite santé. Nous leur avons transmis nos principes de vie sociale ainsi que nos concepts cosmiques, et elles ont exprimé le désir de demeurer parmi nous. À leur demande, elles ont été transférées sur notre planète d’origine, où elles vivent heureuses et bénéficient d’une longévité accrue. Elles se sont parfaitement intégrées à notre civilisation. Huit sont aujourd’hui de brillants chercheurs, et cinq autres figurent parmi nos meilleurs explorateurs cosmiques.

Nous comprenons que tout cela puisse vous sembler extraordinaire, voire inconcevable. Pourtant, nous vous affirmons que cela est vrai. Et nous sommes capables de réalisations encore plus stupéfiantes, comme déplacer une planète de petite taille, telle que la vôtre, d’un système solaire à un autre.

N’oubliez pas que notre avance scientifique sur vous est de 15 000 de vos années. Vous ne pourrez la combler qu’en acceptant pacifiquement l’aide que nous vous proposons. »

Message télépathique reçu le 13 juillet 1979 par Pierre Monnet : « Nos frères de Véga qui se mêlent à vous sur votre planète ne dévoilent pas leur véritable identité à vos frères terriens

Ces frères de Véga III sont parmi vous pour vous regarder vivre et s’adapter eux-mêmes aux différents climats de votre planète ainsi qu’à sa pesanteur. Après plusieurs séjours déterminés, ceux-ci sont prévus pour remplacer le personnel vivant sur nos bases installées sur la Terre, en surface et en sous-sol. Cette rotation permanente de notre personnel entre la Terre et les deux cents vaisseaux-mères de Véga qui stationnent aux abords de votre système solaire a pour but de familiariser nos équipes à votre monde, en pré­vision du moment où nous devrons éventuellement intervenir.

Cette intervention ne se ferait que dans le cas d’une erreur de vos savants et chercheurs, présentant le risque d’une catastrophe planétaire imprévue que nous n’aurions pu contrôler effica­cement à son début. Aucun des nôtres vivant parmi vous n’a reçu l’ordre de dévoiler sa véritable identité. Cet ordre est pour bientôt ; tu en seras informé. Car nous allons commencer à familiariser les contactés aux ren­contres physiques avec nos frères vivant parmi vous. Eux vous connaissent. Chaque contacté sera télépathiquement dirigé sur les lieux de rencontres. A bientôt. »

Message télépathique reçu le 13 mars 1981 par Pierre Monnet : « Notre planétoïde artificiel de commandement et de coordination du programme poursuit son itinéraire vers votre planète. C’est à partir de ce planétoïde et de nos deux cents vaisseaux-mères stationnant aux abords immédiats de votre système, que nous allons programmer la dernière phase de votre restructuration sur tous les plans. C’est aussi sur ce planètoïde que seront reçus les plus sages d’entre vous afin d’y recevoir les connaissances cosmiques nécessaires à leur réinstallation éventuelle sur votre Terre après épuration du négatif y existant. Dès lors, tout sera changé pour vous et vous saurez enfin ce que veut dire Vivre. Votre planète et vous-mêmes, régénérés, serez méconnaissables. Mais cette régénération ne dépend entièrement que de vous. Ne dépend que de votre vouloir d'Aimer et de répandre cet Amour autour de vous. Mais aussi, il faut comprendre Amour et non amour. »

« Nous ne venons pas à vous en conquérants ni en porteurs de dogmes. Nous n’apportons ni nouvelle religion ni nouveau système politique. Nous venons en tant que civilisateurs, ayant eu la chance et le bonheur de découvrir le moyen de vivre presque éternellement dans l’Amour, la paix et la joie d’exister.

Grâce à cela, notre évolution, tant matérielle que spirituelle, suit depuis un nombre incalculable de millions d’années une trajectoire ascensionnelle continue, nous permettant de voyager très loin, à des vitesses quasi-absolues, sans altérer notre support matériel — ce que vous appelez corps physique.

Depuis plusieurs millions d’années, nous sommes en contact avec de nombreux systèmes solaires de votre galaxie. Dans ces systèmes vivent des Êtres à la pureté spirituelle élevée, avec lesquels nous entretenons des relations humaines et pacifiques. Ces échanges ont permis la formation d’une confédération galactique, à laquelle nous aurions souhaité que vous vous joigniez.

Votre civilisation, cependant, est encore jeune et a connu une longue période de stagnation avant que nous puissions établir un contact effectif. Il a fallu attendre que votre développement scientifique atteigne un certain niveau, afin que vous puissiez comprendre et accepter l’existence d’Êtres venus d’ailleurs.

Les querelles entre ceux qui croient en notre présence et ceux qui la rejettent entravent sérieusement la mise en œuvre de notre programme. Ce climat conflictuel risque de retarder dangereusement un contact officiel avec les dirigeants de votre monde. Ce danger tient à votre état d’esprit agressif et à la mauvaise orientation de vos sciences, susceptibles d’entraîner une dégénérescence cellulaire accrue et de menacer toute forme de vie sur votre planète.

Rappelez-vous que vous n’êtes pas seuls dans l’univers. Les nombreux mondes évolués et pacifiques de votre galaxie vous observent. Ils n’accepteront pas que vous deveniez un facteur de déséquilibre pour l’ensemble galactique. Votre potentiel en forces négatives est trop important, et notre devoir sera de les neutraliser si vous tentez de les libérer. Nous en avons les moyens.

Puissiez-vous acquérir la sagesse nécessaire pour comprendre la portée de ce message transmis par l’un de nos contactés, et accueillir l’aide que nous vous proposons, afin que votre civilisation ne sombre pas dans la destruction mais rejoigne la confédération galactique de la pensée, dans l’Amour, la paix et la vie.

Considérez ce message télépathique comme le premier d’une série de communications de masse que vous recevrez, sans garantie qu’elles passeront par le même intermédiaire. Mais soyez vigilants face aux faux contactés. »

Pierre Monnet fut connecté une fois de manière télépathique à un être de Véga qui était en vol spatial dans son vaisseau d'exploration, et est allé sur son monde et l'a survolé pendant plusieurs heures pour en voir toute la richesse et la civilisation implantée. Pierre Monnet était connecté sur la vision par les yeux du pilote durant tout ce temps. Une sorte de visio par télépathie. Ce récit permet une description détaillée et fournie de la surface de leur planète. Voyez le long extrait à ce sujet :

« Le jour où ce contact télépathique m'a surpris, il était trois heures quarante-cinq du matin. J'étais sur le lieu de mon travail, assis à mon bureau. La nuit était belle. C'était dans le courant du mois de décembre, je ne puis me souvenir de quelle année, je ne l'ai pas noté ; en tout cas, c'était entre 1974 et 1976. J'étais donc assis à mon bureau où j'effectuais des calculs de pointages sur des fiches horaires, pour le compte du service du personnel de la société qui m'emploie. Ce jour-là, j'étais particulièrement en bonne forme, et je travaillais avec facilité. De temps en temps, je levais les yeux de mes papiers pour effectuer mentalement certains calculs simples, lorsque soudain, je fus pris d'une étrange torpeur qui me figea dans mon dernier geste, et fixa mon regard dans le vide, devant moi. Je dois signaler que, malgré cela, j'étais parfaitement conscient et lucide.

Puis, peu à peu, tout en restant conscient de ce qui m'arrivait, mon cerveau se vida de toutes pensées parasites. Tout devint gris clair autour de moi. Je ne voyais plus la pièce et les meubles qu'elle contenait. Cet espace gris prit de la profondeur. Je me sentis tout à coup très léger. J'avançais, flottant dans cette profondeur de champ de couleur grise, qui se constellait progressivement d'une multitude de points noirs, lointains, qui avançaient de plus en plus vite vers l'arrière.

Puis, je fus stupéfait de constater que je me trouvais soigneusement sanglé sur un siège confortable placé au centre, devant et à l'intérieur d'un dôme translucide hémisphérique ; ce dôme étant en position verticale, afin de pouvoir voir vers l'avant en étant assis, semble-t-il, sur un niveau horizontal (quoi que cela ne voulait rien dire, car je n'avais plus la notion du haut et du bas). Je voyais toujours cet espace gris constellé de points noirs qui défilaient vers l'arrière, maintenant, à une vitesse vertigineuse. Je fus très étonné de ne pas avoir de malaise car, habituellement, je suis sujet au vertige et au mal de mer.

Puis, en l'instant d'une minute, le « tableau » changea progressivement. L'espace devint bleu marine très foncé et les points noirs devinrent blancs lumineux. J'étais moins dépaysé en voyant maintenant les couleurs et l'aspect normal d'un ciel étoilé par une belle nuit d'été. À ma grande stupéfaction, maintenant, je n'en pouvais plus douter, je voyageais dans l'espace. Il y eut manifestement un ralentissement, mais les étoiles n'en défilaient pas moins encore assez vite. Je constatais rapidement que je ne reconnaissais pas les constellations que je voyais.

Je m'aperçus que, devant moi, au centre de la masse d'étoiles qui s'écartaient de part et d'autre, l'une d'elles grossissait très rapidement ; à tel point qu'en moins de cinq minutes plus tard, je ne pus plus regarder l’étoile qu’en clignant fortement des yeux, jusqu’à être obligé de les fermer. Quand je les rouvris, environ dix minutes après, j’eus la surprise de voir que ce n’était plus la nuit au milieu de laquelle trônait l’étoile aveuglante, mais comme une aube qui se levait autour d’une magnifique planète. Cette planète était énorme et avançait vers moi en grossissant lentement, et en se déplaçant vers la gauche. Elle était entourée d’une atmosphère bleue, s’éclaircissant vers la surface. À l’extérieur et autour de cet épais halo bleuté filtrait un ciel, dans la gamme prédominante de rouges, oranges et jaunes ; ceux-ci (les jaunes) étant tournés vers l’intérieur du spectre, c’est-à-dire vers la surface de la planète.

À partir de huit cents mètres d’altitude (appréciation visuelle tout à fait gratuite, les profondeurs, distances et altitudes étant très difficiles à apprécier dans l’espace), je pouvais voir la beauté de l’atmosphère presque sans nuages, d’un bleu pur et très particulier, éclairé par un soleil radieux qui dispensait la chaleur et la vie à d’immenses forêts qui recouvraient la presque totalité de la surface de ses trois gigantesques continents, troués de multiples mers et immenses lacs intérieurs, truffés de petites îles parfois volcaniques.

Pendant que les étoiles s’éteignaient une à une, je m’inquiétais soudain d’une intense luminescence jaune vif, comme du feu, qui entourait le dôme sur l’extérieur de l’encadrement où il paraissait être fixé. Inquiet, je me retournais pour voir ce qui se passait derrière moi (réflexe de panique), mais le dossier rembourré du fauteuil sur lequel j’étais assis confortablement m’empêchait de voir quoi que ce soit.

Pendant ce temps, le véhicule spatial qui me transportait évoluait déjà parallèlement à l’horizon encore légèrement courbe de la planète, en perdant peu à peu de l’altitude. Puis, la nuit tomba rapidement et je vis, ça et là, des paquets de lumières qui défilaient sous moi. Je pensais que c’étaient des villes, mais c’était encore indistinct. Je crois bien avoir aussi survolé la gueule béante d’un volcan.

Au bout de ce qui m’a paru représenter plusieurs heures, l’aube pointa ; et là, ce que je vis était immensément beau. Je n’avais jamais rien vu d’aussi beau. Je me sentais inexistant par rapport à la beauté et à la puissance de cet astre... Mais la vitesse était encore grande, car je fus rapidement ébloui par un énorme lever de soleil sur un ciel bleu azur, presque turquoise, qui monta très vite, pour me laisser voir le sol de la planète en plein jour. Je pus constater que le volume de cette planète était au moins vingt fois celui de la Terre.

À un moment, il y eut arrêt en douceur, stabilisation et basculement du dôme en arrière, pendant que mon siège reculait d’au moins deux bons mètres. Le bord du dôme translucide s’était positionné à 45° vers l’arrière, par rapport à sa position verticale ancienne. Dans la clarté du jour, je pus me rendre compte que notre véhicule spatial avait la forme discoïdale, surmonté d’un hémisphère translucide d’un diamètre d’environ six mètres, appartenant lui-même à une sphère mobile encastrée dans le disque extérieur. Le disque était fait d’un métal argenté légèrement lumineux, pouvant tourner dans tous les sens et à volonté autour de la sphère, sans modifier la position de l’occupant se trouvant en position supposée normale, dans le sens de la marche de l’engin.

L'engin descendit jusqu'aux environs de 500 mètres et cela très lentement. Il s'arrêta et plana pendant quelques minutes au-dessus d'une vaste mer bleue, bordée d'une large et longue plage de sable jaune par endroits et parfois rouge ailleurs. L'engin s'immobilisa de nouveau pendant quelques minutes. Je m'aperçus que j'étais au-dessus d'une mer intérieure dont la côte était bordée de bois. Je pus percevoir au loin des arbres exotiques, palmiers et bananiers, près de la plage, sur une bande de 1 km. À partir de là, et vers l'intérieur, c'étaient des arbres plus grands et de fort diamètre ; ceux-ci me paraissaient être de la famille des cognassiers, s'apparentant assez bien avec les pins à aiguilles de la Terre.

L'engin remonta rapidement jusqu'à environ mille mètres et fonça vers un autre continent. Les minutes passèrent, puis il ralentit et survola un merveilleux continent où se côtoyaient, semble-t-il, toutes les essences d'arbres et de fleurs dont certaines m'étaient familières mais beaucoup d'autres inconnues. Puis apparurent des prairies et des terres cultivées, traversées par des canaux artificiels se jetant dans de grands fleuves naturels, souvent enjambés sur un km et plus par de larges ponts sans arches, sans piliers et sans câbles ; seulement faits d'une fine bande de - béton ? - majestueusement galbée d'une rive à l'autre.

Aux extrémités de ces ponts, on pouvait voir des routes passant sous les arbres des forêts, à l'intérieur desquelles s'élevaient des agglomérations formées de bâtiments de toutes les dimensions. Ces bâtiments, aux allures artistiques, s'accordaient parfaitement avec l'harmonie de la nature. Ces villes s'intégraient en formes, en masse et en couleurs aux milieux naturels dans lesquels elles avaient été implantées. Je n'ai jamais pu dessiner de mémoire, ni même décrire les formes architecturales des habitations, tant cela ne ressemble à rien de comparable à ce que j'ai déjà pu voir sur Terre ; je ne puis dire qu'une chose à ce sujet : c'est qu'en faisant preuve de beaucoup d'imagination, on pourrait, à la rigueur, comparer le style à du « Le Corbusier », en beaucoup plus beau et plus harmonieux.

Sur, ou au-dessus des ponts qui enjambent les fleuves, des véhicules « terrestres » évoluaient. À mille mètres d'altitude, je ne pus voir que les couleurs et non les formes de ces véhicules ; c'était trop imprécis pour pouvoir les décrire. Les fleuves, comme les mers et les lacs intérieurs, étaient bordés de larges plages. À l'intérieur des continents, j'ai parfois survolé des aires de — béton ? — de vingt kilomètres de côté, sur lesquelles pouvaient se voir des bâtiments sobres et cubiques, surmontés de hautes tours carrées aux toits hémisphériques et sphériques, lisses et argentés, hérissés d'antennes et de ce qui pouvait faire penser à des radars.

Parfois, de petites sphères aériennes argentées planaient au faîte des arbres des forêts. À un moment, sortant d'un continent, l'engin fit un piqué rapide jusqu'à 50 mètres au-dessus de la mer où flottaient des sphères translucides de 15 à 20 mètres de diamètre. L'hémisphère immergé était de couleur opaque et coupé de l'hémisphère translucide par un plancher métallique percé d'un orifice circulaire central, entouré d'un petit garde-fou en tube. Sur ce plancher sous globe translucide, se reposaient des êtres humains, hommes et femmes en maillots de bain. Au moment de leur survol, ils me firent de grands signes amicaux de la main. Je ne pouvais, hélas, leur répondre, car j'avais les avant-bras immobilisés aux accoudoirs du fauteuil.

Une vingtaine de kilomètres plus loin, au large, lorsque l'engin fit un « rase-mottes » au ralenti, à 200 mètres d'altitude, je survolais un secteur où des cylindres métalliques mi-transparents flottaient en se balançant doucement. Ces cylindres émergeaient d'au moins soixante mètres au-dessus de la mer. Dans la partie supérieure, qui était faite d'une matière transparente, on apercevait une douzaine d'étages intérieurs. Ces cylindres devaient bien avoir trois cents mètres de diamètre ; on voyait très bien des disques volants posés sur la plate-forme supérieure.

Plus loin (30 km environ), l'engin piqua lentement jusqu'à vingt mètres d'altitude au-dessus du niveau de la mer, à un endroit relativement peu profond (25 mètres environ), et je pus voir sous la mer plusieurs — villes ? — sous d'énormes coupoles translucides très légèrement fumées. Ces coupoles devaient bien avoir cinq kilomètres de diamètre. Ces — villes sous-marines ? — étaient composées de bâtiments cubiques et rectangulaires aux angles fortement arrondis. Ces énormes — villes — sous globes, où je ne vis aucun être vivant, étaient reliées entre elles par des tunnels également en matière translucide et semblaient être simplement déposées sur le fond ; mais je ne pouvais pas très bien en distinguer tous les détails, malgré la limpidité de cette mer d'huile.

Sur le sol, à l'intérieur de ces coupoles, on pouvait distinguer, dans les espaces vides entre les bâtiments, de grands tas de ce qui semblait être un minerai de couleur jaune et brillant. Il y avait aussi des tas de métal argent et d'autres, ressemblant à de la craie ou de la chaux ; en tout cas, de la même blancheur mate.

Sur l'un des continents, très montagneux celui-ci, je survolais un énorme cratère d'au moins dix kilomètres de diamètre. Ce cratère se situait au ras du sol, entre des montagnes à végétation luxuriante. La profondeur de ce cratère était d'environ trois cents mètres. Du fond presque plat de ce cratère jaillissaient de nombreux geysers montant en jets d'eau chaude et trouble, jusqu'à cinquante mètres de haut pour les plus puissants.

L'engin dépassa ce cratère et se remit sur la tranche, pour monter à la verticale, à une vitesse fantastique. En moins de trente secondes, il faisait déjà nuit, et les étoiles étaient là de nouveau. Au bout de cinq minutes, la planète était devenue grosse comme une orange, et disparut très rapidement. Je cherchais en vain à reconnaître son soleil, qui avait maintenant pris place parmi les myriades d'étoiles. Puis, je ne me souviens plus de rien d'autre.

Tout s'est terminé par un flash lumineux dans mon cerveau, et je me suis retrouvé assis à mon bureau, exactement dans la même position que j'avais lorsque tout a commencé, c'est-à-dire : le buste vertical, la main gauche posée à plat sur ma feuille de calcul, le coude du bras droit appuyé sur mon bureau ; la main droite, qui tenait le crayon, était suspendue dans le vide, dans son dernier mouvement, à une vingtaine de centimètres au-dessus de ma feuille de calcul. J'avais le regard dirigé horizontalement devant moi. Sans transition (mis à part le coup de flash), tout était redevenu normal. Comme d'habitude, après chaque contact, je me suis empressé de vite écrire ce que je venais de voir, pendant que le souvenir était encore frais.

Ce « voyage télépathique » dans l'espace et autour de cette magnifique planète dura plusieurs heures, alors qu'en réalité il ne s'est matériellement écoulé que cinq à sept minutes. Ce contact télépathique un peu particulier n'était absolument pas un rêve, comme pourront encore le soutenir les sceptiques.

À l'intérieur de l'engin, tout était absolument et parfaitement net ; je sentais mon corps reposer sur le fauteuil ; je ressentais l'état d'apesanteur dans l'espace ; mon odorat percevait, à l'intérieur de l'engin, l'odeur du plastique dont était recouvert le siège sur lequel j'étais assis ; je ressentais parfaitement bien les impressions d'accélérations et de piqués. Ce que je voyais était aussi net et coloré que si j'étais en face de vous, en train de discuter dans ma salle à manger.

De plus, si je m'étais endormi et si j'avais rêvé : à mon réveil, je me serais retrouvé « affalé » sur mon bureau, la tête et les bras reposant sur mes papiers. Au lieu de cela, je me suis retrouvé le buste droit, appuyé nulle part, le regard et donc la tête bien droite, et la main droite, tenant toujours le stylo, suspendue dans le vide, figée dans son dernier mouvement. J'avais les yeux grands ouverts, et lorsque le contact fut terminé, je ne ressentis aucune torpeur, aucune fatigue ni envie de dormir.

Je dois avouer que ce contact télépathique concernant mon « voyage » autour d'une planète lointaine inconnue doit être difficile à « avaler » pour qui n'a pas vécu cette aventure fantastique... Mais je n'y puis rien... moi seul peux croire une chose pareille, puisque je l'ai vécue.

Pierre Monnet : « Ces Êtres venus d'ailleurs m'ont expliqué, entre autres, que beaucoup des leurs sont parmi nous ; nous les côtoyons parfois sans savoir qu'ils n'appartiennent pas à notre planète. En effet, mis à part quelques détails physiques insignifiants visibles de l'extérieur, seule leur grande taille pourrait attirer notre attention. Mais de grands terriens existent également parmi nos semblables, c'est ce qui nous empêche de voir la différence entre ceux-ci et nos « cousins galactiques ».

Seuls les médiums et les gens doués d'un certain degré de faculté télépathique pourraient déceler un certain rayonnement vibratoire émanant du cerveau de ces Êtres venus d'outre-espace. Mais les médiums et télépathes de haute valeur ne « courent pas les rues », et de surcroît, ne sont pas occupés en permanence à régler leurs longueurs d'ondes cérébrales sur d'éventuels Extraterrestres évoluant au milieu des terriens.

Par contre, les personnes ayant eu un premier contact avec ces Êtres peuvent détecter une nouvelle fois la présence d'Extraterrestres dans la foule des passants qui vaquent à leurs occupations habituelles.

Beaucoup de contactés (je veux parler ici des contacts au cours desquels il y a eu transmission télépathique) se sont rendus compte, par la suite, que certaines perceptions sensorielles et extra-sensorielles s'en sont trouvées accrues. D'où l'apparition de certaines sensibilités leur permettant de détecter les présences Extraterrestres. Malheureusement, cette détection ne se fait, le plus souvent, qu'en fonction du bon vouloir de ces Êtres, par exemple, dans le cas d'un autre contact de leur part. »

« Au cours du récit de mon premier contact physique avec « mes » Extraterrestres, nous pouvons remarquer que ceux-ci m'ont déclaré : « ...Nous nous proposons de régénérer les cellules de ton corps, mais veuille nous pardonner, tu ne te souviendras pas de "l'opération"... ».

Cette « opération-régénération » m'a paru si fantastique et impensable que j'ai eu, pendant un certain temps, beaucoup de peine à y croire ; d'autant plus que, pendant de longues années, je ne me sentais pas différent. Puis, de façon relativement progressive, tous mes maux, malaises et maladies passagères ou chroniques ont disparu. Pendant longtemps, je trouvais cela formidable... ne plus souffrir de rien... ne plus être malade et, de surcroît, se sentir peu à peu envahi d'un renouveau d'énergie et d'équilibre physique et moral... n'est-ce pas formidable ? Malgré cela, mon esprit objectif et logique me commandait d'être plus enclin à penser à un heureux hasard ; jusqu'au jour où un fait nouveau arriva.

De 1972 à 1975, j'ai reçu des « flashs-images » deux ou trois fois par an. Ces flashs m'ont convaincu que cette affaire de régénération était certainement vraie et que la disparition de mes divers malaises et maladies n'était pas due au hasard, vous allez comprendre pourquoi.

Ces flashs duraient un ou deux centièmes de seconde, étaient en couleurs naturelles, flous entre 1972 et 1973, nets de 1974 à 1975. Je ne les reçois plus depuis fin 1975. Ces flashs apparaissaient au moment où je m'y attendais le moins, n'importe où et n'importe quand. Lorsqu'ils survenaient, ils effaçaient complètement l'image des réalités physiques de la vie courante que j'avais devant les yeux. L'image que je recevais était toujours la même et d'un « vivant » surprenant ; comme si j'y étais.

Ces flashs représentaient une salle circulaire aux sol, murs et plafond métalliques du genre acier bleuté.

Cette salle mesurait environ dix à douze mètres de diamètre. Au fond, en position avancée, était une cloison rectiligne et plate en acier chromé, lisse comme un miroir. Cette cloison mesurait environ trois à quatre mètres de long et deux mètres cinquante de haut, c'est-à-dire la hauteur totale du plafond. À une hauteur de 90 centimètres, et sur toute la longueur de cette cloison rectiligne, était fixée une partie plate, légèrement inclinée, et mesurant environ 50 centimètres de large, 20 centimètres d'épaisseur côté cloison, et 5 centimètres côté bord. Cette partie plate était aussi en acier bleuté et lisse comme un miroir qui, comme la cloison, reflétait les instruments contenus dans la salle, y compris un escalier d'acier constitué de marches fixées contre la paroi circulaire de la salle.

Ces marches d'escalier s'arrêtaient dans le vide, à un mètre au-dessus du sol. Au centre de la salle, trônait une sphère de matière translucide de 1 m 50 de diamètre, reposant sur un pied de forme tulipe, comme certains supports de télévision de style « design ». À l'intérieur et au centre de cette sphère, tournait, sans aucun support, une masse d'énergie ayant la forme d'un ballon de rugby, de 40 cm de diamètre de large et 60 cm de diamètre de long. Dans l'alignement axial de la masse d'énergie, et toujours sans aucun support, tournait, de chaque côté le plus long de la masse, un disque d'acier bleuté de un centimètre d'épaisseur et 40 cm de diamètre.

Toujours dans l'alignement axial de la masse d'énergie, et fixées à l'extérieur et sur la sphère translucide : deux calottes métalliques en acier, du centre desquelles partait une table électrique descendant verticalement et directement dans le plancher de la salle. La masse d'énergie tournant à l'intérieur de la sphère translucide était d'une luminosité Presque insoutenable au regard ; une lumière d'un blanc éclatant. Autour de la sphère, disposés en carré et à une distance de 3 mètres environ de la masse d'énergie, émergeaient du plancher quatre supports de forme tulipe sur lesquels étaient fixées deux poignées ayant exactement la forme (d'ailleurs assez comique) de guidon de bicyclette. Les « guidons de bicyclette » et leur support étaient en acier chromé. Autour du pied tulipe de chaque support, fixée sur le plancher d'acier bleuté de la salle : une plaque de cuivre de deux centimètres d'épaisseur, 40 cm de large et de forme circulaire. Au bout d'un tube chromé, galbé de façon à se placer 50 cm en arrière de chaque « guidon », et à une hauteur d'environ 1 m 75 : une plaque de cuivre de 6 à 8 cm de large et 20 cm de long, légèrement galbée vers l'avant.

Deux remarques sont à faire au sujet de la cloison rectiligne - ou tableau de bord - et de la sphère translucide.
1°) La cloison et sa plateforme horizontale fonctionnaient toutes deux comme un grand tableau de bord d'ordinateur ; sur toute leur surface s'éclairaient par intermittence irrégulière, de nombreux rectangles de couleurs rouge, vert, bleu, jaune et blanche. Lorsque les rectangles étaient éteints, il ne restait aucune trace de leur emplacement.
2°) Au cours de certains flashs, l'énergie centrale de la sphère n'était pas en activité. Dans ces moments d'inactivité de la masse énergétique, la sphère n'était plus translucide, mais avait l'aspect d'un miroir sphérique, qui reflétait l'image extérieure des appareils existants dans la salle. Rien ne se voyait des éléments intérieurs contenus dans la sphère.

À partir de ces « flashs », depuis que je les ai reçus, je suis enclin à penser que « l'opération régénération » est vraie, et que celle-ci continue son action progressive tout au long des années de ma vie.

Si je crois maintenant « dur comme fer » à cette affaire de régénération, c'est que j'ai le sentiment que ces « flashs » représentent l'intérieur de leur vaisseau. Nous pouvons donc logiquement penser que l'effacement de ma mémoire de la séquence régénération n'a pas tout à fait marché comme ils le voulaient ; ces « flashs » étant la résurgence de ce qui m'a frappé au moment où j'ai vu, pour la première fois, l'aspect extraordinaire, pour ne pas dire « science-fiction », de l'intérieur de leur merveilleux véhicule volant.

Toujours est-il que, d'après « eux », sauf accident mortel de la route, du travail ou autre, mes cellules sont régénérées pour que je vive cent vingt de nos années. Je suis né en 1932. Au moment où j'écris cette phrase, c'est-à-dire le 9 avril 1977, j'aurais 45 ans dans deux mois. Il me resterait donc 75 ans à vivre. J'espère que je les vivrai en bon état... je le crois. L'an 2052 sera pour moi l'un des plus beaux jours de ma vie ; car, en cette année-là, ce sera enfin pour moi le moyen de prouver que j'ai rencontré des Extraterrestres.

La régénération des cellules de mon corps par mes Amis Galactiques est la seule preuve tangible de mon contact et de l'authenticité du message que je retransmets, de leur part, à notre monde en folie... Mais ne sera-t-il pas trop tard, en 2052, pour notre civilisation, lorsque l'humanité dira : « ...Ce n'était pas un fumiste, son contact était vrai et son message était authentique... » ? »

Commentaire personnel :

Pierre Monnet est décédé en 2009 à l'âge de 76 ans à l'hôpital de Tarascon. Sa régénération cellulaire lui assurait de pouvoir vivre jusqu'à l'âge de 120 ans. Toutefois ceci est son âge de mort de vieillesse, ce qui ne protège ni des accidents ni des maladies diverses dont on peut mourir à tout âge indépendamment de la mort par vieillesse. Nous n'avons pas la raison de son décès disponible pour savoir de quoi il est mort en 2009. Il n'y a donc pas forcément de contradiction entre l'information qu'il avait reçue et son décès.

Il voulait se servir de ce décès à l'âge de 120 an comme preuve ultime, il a dû être très déçu de ne pas pouvoir utiliser cet élément comme preuve.

Message reçu le 20 Novembre 1974 - 23 h 40 : « ATTENTION. La conjugaison des pensées nocives des hommes de ta planète forme actuellement une masse d'énergie psychique négative, capable de provoquer très bientôt des bouleversements géologiques considérables. Des failles internes, que vous ne pouvez soupçonner pour l'instant, vont menacer un secteur de votre planète, sur une courbe de 5 000 km, du sud des Indes jusqu'à la mer Méditerranée, où il est possible que de nouvelles îles naissent.

Si les forces psychiques en question atteignent leur paroxysme, de grandes surfaces de la terre seront dévastées. Mais une découverte de vestiges très anciens ressurgissant dans les séismes, ouvrira des horizons nouveaux dans vos connaissances scientifiques, concernant une certaine civilisation disparue depuis plusieurs dizaines de milliers d'années.

Nous t'offrons cette révélation à titre personnel. »

Retour de Pierre Monnet à ce sujet : « Dans la nuit du 22 au 23 décembre, je crois (je ne puis préciser le jour exact pour l'avoir oublié et ne pas avoir gardé les journaux qui en parlaient), cette nuit-là, donc, un séisme d'une ampleur exceptionnelle a fait 4 000 morts au Pakistan.

On peut remarquer la valeur relative du terme : « ...très bientôt... » contenu dans le message par rapport à la date du séisme, soit : 33 jours entre le message et le séisme. »

Commentaire personnel :

Cette prédiction telle qu'annoncée était censée se réaliser sous peu de temps (quelques années à priori à vue de nez) et on voit que cela n'a pas eu lieu 50 ans après. Cela rejoint un grand nombre de prédictions de choses négatives graves sur Terre non réalisées, faites par d'autres contacts extraterrestres auprès d'autres contactés dans la même période des années 1970 à 1980 et qui prévoyaient un problème majeur pour la Terre semble-t-il dans les années 1980 à 1990. La question se pose une nouvelle fois de savoir si la ligne temporelle a changé suite à quelque chose qui a été fait dans ce sens (et quoi ?) ou si ces prédictions sont toutes des manipulations d'intoxication pour générer la peur ?

Message télépathique reçu le 20 avril 1977 par Pierre Monnet, de cette prédiction : « Nous nous adressons à vous depuis un certain temps. Les êtres humains de votre planète que nous contactons sont nos intermédiaires, chargés de vous retransmettre nos messages et nos intentions à votre égard.

Dans l’un de nos nombreux messages, nous vous avons dit, et nous le répétons souvent : « Paix par-delà toutes les frontières ». Nous veillons. Nous sommes là pour vous aider, mais nous ne pouvons le faire sans votre consentement. L’une des lois cosmiques fondamentales nous interdit toute ingérence dans l’évolution des civilisations que nous rencontrons au cours de nos missions, sauf si cela répond à la volonté explicite des entités concernées, dans leur propre intérêt. Si, par bonheur, vous acceptez notre aide, nous vous apporterons sur le plan terrestre des changements définitifs et profonds.

Quoi qu’il arrive, un programme a été établi par nos soins et rien ne pourra faire obstacle à sa réalisation. Nos contactés sont préparés de manière très spécifique, avec une grande précision. Si vous acceptez notre aide, ce sont eux qu’il faudra suivre scrupuleusement, car eux seuls ont reçu les instructions nécessaires pour accomplir ce que nous vous avons promis.

Chaque individu sur votre planète recevra, au moment choisi, la lumière de la vérité sur les grands enjeux terrestres qui le préoccupent. Vous disposez tous d’une loi cosmique essentielle : celle du libre arbitre. Lorsqu’un seuil d’évolution collective sera atteint, chacun devra choisir, à ses risques et périls, comment vivre les derniers moments du court laps de temps qui lui reste sur cette planète.

Dans tous les cas, rien n’échappera à notre contrôle. Rien ne pourra compromettre l’accomplissement de notre mission auprès de vous.

Très bientôt, de grands événements se précipiteront sur votre monde. Ne soyez pas effrayés. Ayez confiance : nous tiendrons de nombreuses situations en main. Par exemple, nous avons déjà le contrôle de votre énergie nucléaire. Par ce biais, nous limiterons au maximum les dégâts. Nous avons d’ailleurs déjà détruit une de vos bases de missiles, qui menaçait dangereusement l’équilibre planétaire. Vos gouvernements ont classé cette affaire « Top Secret », comme ils le font souvent, pour éviter d’alarmer les populations, tout en dissimulant le véritable danger que représente le potentiel élevé de forces négatives que vous détenez.

Le point de départ des événements majeurs sera la Chine, puis ils se propageront vers l’Union Soviétique et l’Europe. Votre planète deviendra rapidement invivable. C’est à ce moment-là que nous déclencherons notre plan d’évacuation des survivants, comme nous vous l’avons annoncé lors de précédents contacts. Ces survivants seront transportés sur d’autres planètes, en dehors de votre système solaire, où nous leur offrirons un enseignement spirituel et la connaissance des lois cosmiques universelles oubliées depuis des millénaires. En parallèle, à bord de nos vaisseaux, débutera pour vous l’apprentissage de sciences vous permettant de reconstruire votre monde. Lorsque vous y serez ramenés, nous vous fournirons tout le matériel nécessaire pour établir une civilisation dix fois plus avancée qu’elle ne l’était avant sa destruction.

Nous savons que de grandes souffrances vous attendent, et vous en serez responsables. Mais vous devez comprendre que nous ne sommes autorisés à intervenir que dans des cas de nécessité absolue ou si vous consentez, dès maintenant et de manière sincère, à recevoir notre aide.

Rassurez-vous. Après l’évacuation, les êtres humains qui en valent la peine retrouveront leur juste place, après avoir reçu l’instruction appropriée. Ayant une vaste expérience de nombreux univers similaires au vôtre, nous devons avoir la certitude que les forces et les connaissances que nous vous transmettrons ne seront pas détournées de leur objectif, qui s’inscrit dans un plan cosmique universel.

Nous vous demandons de croire en notre parole. Il n’y a aucun hasard dans notre manifestation. Ne doutez pas de notre existence. Ayez confiance : vous comprendrez bientôt ce que nous représentons pour vous. Restez calmes. Notre opération de sauvetage a été minutieusement planifiée et ne comporte aucune marge d’erreur.

Des événements prodigieux vont avoir lieu sur votre planète. Vous êtes aujourd’hui incapables d’en saisir la portée, et c’est précisément pour cela que vous n’osez y croire.

Ne soyez pas inquiets. Nous agissons avec précision. Nous savons exactement ce que nous devons vous apporter. Au moment où vous vous y attendrez le moins, tout changera. Vous-mêmes, comme tout ce que vous connaissez, serez transformés de manière si soudaine qu’aucun être humain ne reconnaîtra plus rien. Cela surviendra d’un jour à l’autre.

Beaucoup d’humains sentent venir ces bouleversements et en sont nerveux. Cette nervosité engendre une agitation qui perturbe les fréquences harmoniques de leur existence.

Beaucoup cherchent à fuir une vie qu’ils ont eux-mêmes contribué à rendre difficile. Pour cela, ils recourent à toutes sortes de stimulants, créant des mondes artificiels dans leur esprit. Mais ces moyens d’évasion sont nocifs, car ils éloignent l’homme de la voie naturelle de son évolution mentale, psychique et spirituelle. Nous allons donc remplacer ces palliatifs par un stimulant spirituel, plus efficace, naturel et sans danger pour le corps et l’esprit.

Cette stimulation se fera par télépathie, durant les phases nocturnes de la rotation de votre planète. Nos émetteurs psychiques, installés à bord de nos vaisseaux-mères en orbite proche de votre système solaire, en assureront la diffusion. Il est cependant incertain que votre cerveau, dont 90 % des cellules sont inutilisées depuis plus d’un million d’années, soit réceptif à 100 %. Mais si cette opération réussit ne serait-ce qu’à 30 %, vous recevrez des connaissances et aptitudes nouvelles, ainsi qu’un renouvellement de vos concepts scientifiques et mathématiques.

Vous découvrirez de nouvelles énergies non polluantes, d’une puissance et d’une polyvalence inconnues jusqu’alors. L’une d’elles sera à la base de la redécouverte de la régénération cellulaire spontanée, permettant un rajeunissement et une longévité accrue du corps humain.

Nous ne pouvons toutefois pas vous transmettre ces savoirs tant que vous préparez des événements destructeurs. Votre état de conscience actuel nous interdit de partager nos connaissances : vous les détourneriez pour aggraver encore la situation de votre planète.

Nous vous avons promis de vous aider, et nous le ferons en temps voulu. Votre monde devra d’abord être purifié des éléments humains négatifs. Sur ce point, nous vous faisons confiance : votre agressivité maladive s’en chargera. Mais une fois cette épuration accomplie, vous serez incapables de reconstruire seuls une nouvelle civilisation. C’est alors que nous interviendrons.

Nous vous demandons, avec amour et insistance, de veiller à ne pas en arriver là. Unissez-vous, bâtissez rapidement les « États Unis du Monde », et nous vous y aiderons personnellement. Rassemblez-vous autour de nos contactés. Ceux-ci ont été programmés par nous pour vous transmettre ce qu’il convient de faire afin de bâtir, sur votre planète, un univers de joie, d’amour et de félicité.

Depuis des siècles, nous avons agi de manière à ce que les énergies colossales que nous avons domestiquées — bien avant l’apparition de l’homme sur votre planète — ne tombent pas entre vos mains. C’est pourquoi aucun de vos savants ne pourra accéder à ces réalisations tant que nous n’aurons pas jugé que vous êtes spirituellement dignes d’utiliser les forces cosmiques indispensables à votre expansion galactique. Cela ne sera possible que lorsque vous aurez atteint un degré de sagesse suffisant pour comprendre ce qu’est la Vie et la respecter au plus haut point. Cette compréhension est la condition première de l’immortalité de l’être humain dans le temps et dans l’espace.

Les précurseurs des temps futurs, que sont nos contactés, assistés de vos savants, philosophes, sociologues et hommes de bonne volonté, sont là pour guider votre humanité à reconquérir ses titres de noblesse dans l’amour, la sagesse et la fraternité. C’est ainsi que pourra renaître ce que vos religions appellent, sans jamais y avoir vraiment cru : « le Paradis perdu ».

C’est à vous, hommes de cette planète, par votre amour, votre fraternité, votre travail, votre savoir et votre sagesse, de retrouver votre conscience cosmique, seul véritable lien avec la Vie et voie vers l’immortalité dans l’espace et dans le temps. »

Message télépathique reçu le 10 décembre 1978 par Pierre Monnet : « Tu dois prévenir tes semblables des informations impor­tantes que nous allons te donner : votre planète est à l’aube d’une période de graves perturbations magnétiques et géologi­ques qui vont considérablement changer l’aspect géographique que vous connaissez de votre globe.

En parallèle à cela, la Terre va subir un sensible réchauffe­ment interne provoquant des craquements inhabituels: séismes, apparitions de nouvelles îles et de nouveaux volcans en des endroits inattendus. Toutes ces perturbations vont accélérer le basculement progressif de la planète sur son axe, entraînant des déplace­ments climatiques sur une grande échelle.

Toutefois, malgré l’aspect inquiétant de ces troubles et les désagréments que cela provoquera au niveau de votre écono­mie planétaire, il n’y aura pas lieu de s’alarmer outre mesure. Ce cycle s’est déjà effectué plusieurs fois au cours des longs millénaires que votre humanité a traversés ; vous avez chaque fois paré au pire et vous êtes encore là.

Mais cette fois-ci, l’entraide scientifique internationale devra dès à présent faire abstraction des querelles présentes et à venir, afin de prévoir et limiter les dégâts. Ce sera peut-être pour la paix et la fraternité de tous vos peuples.

Néanmoins, nous avons nous-mêmes mis en circuit un dispositif dont vos meilleurs savants ne pourraient imaginer la complexité. Ce dispositif agit sur les polarités de votre pla­nète, afin d’éviter un basculement trop rapide et trop brusque qui s’avérerait catastrophique. Nous vous demandons de nous croire lorsque nous vous parlons des moyens scientifiques vous paraissant gigantesques, que nous mettons en oeuvre pour vous. Vous ne devez pas nous sous-estimer, sous-estimer notre puissance dans quelque domaine que ce soit. Nous vous l’avons déjà dit dans un précédent message; nous sommes capables de déplacer une planète de petite importance comme la vôtre, d’un système solaire à un autre.

Soyez calmes quoi qu’il arrive dans l’avenir Nous sommes là, nous veillons à la sécurité de votre planète. C’est dans l’in­térêt des systèmes planétaires voisins, qui sont, eux aussi, ha­bités par des êtres intelligents comme vous et nous. A bientôt. »

Message télépathique reçu le 18 décembre 1978 par Pierre Monnet : « Lors de notre dernier contact avec toi, nous t’avons parlé des désordres magnétiques et géologiques qui peuvent avoir lieu pour ta planète. Nous espérons que tu as compris que ces prévisions ne sont seulement que des prévisions théoriques mais très proba­bles, que nos ordinateurs ont calculées à partir de données que nous détenons depuis plus de vingt-cinq mille de vos années, grâce aux appareils de contrôle que nos ancêtres avaient laissés sur votre planète avant de la quitter et dont nous recevons encore actuellement les signaux.

Nous vous le disons encore: les désordres magnétiques et géologiques dont nous t’avons parlé sont essentiellement provoqués par les forces négatives émises par le cerveau de chaque individu de votre planète.

Vous devez modifier les fréquences vibratoires de vos pensées afin qu’elles émettent uniquement sur des gammes positives, propices à une mise à l’unisson de notre esprit avec les concepts universels d’Amour, de perfection et de sagesse. Ces concepts vous donneront la connaissance des lois uni­verselles créant, entretenant, développant et perpétuant la Vie dans l’ordre et la cohérence entre l’esprit et la matière, dans l’espace et dans le temps.

L’esprit commande à la matière; c’est une loi cosmique que vous ne connaissez plus et ne pouvez plus appliquer depuis longtemps, parce que vous vous êtes volontairement coupés de tout contact avec la nature. Vous ne faites plus corps avec votre planète qui est l’un des éléments essentiels de votre vie.

Vous vous êtes coupés de tous les circuits cosmiques et telluriques. Le progrès négatif que vous avez créé pour votre illusoire bien-être a même fait en sorte que votre corps n’a même plus le contact avec votre planète. De cette façon, vous vous êtes transformés en condensateurs d’énergies négatives nocives que votre cerveau et votre corps émettent au détriment de vous-mêmes et de tout ce qui vous entoure. De cette façon, vous dégénérez en ne permettant plus à vos cellules la régénération spontanée qui rallongerait votre vie de façon très sensible : de l’ordre de vingt à trente fois plus. Vous devez apprendre à retrouver le contact direct avec votre planète et avec la nature, car ce sont elles qui per­mettent la continuité de votre vie. Vous devez réapprendre à vous nourrir, à respirer et à penser:

1) Contact énergétique vital direct.
2) Nourriture du corps et de l’esprit.
3) Respiration.
4) Développement de la pensée positive par la méditation.

De ces quatre capacités dépendent la réapparition du pro­cessus de régénération cellulaire spontanée et une plus grande facilité de changement des fréquences vibratoires de votre cerveau, qui prendra alors la maîtrise de la matière et la mo­difiera à son gré. Grâce à cela, vous éviterez les désordres magnétiques et géologiques qui apparaissent sur votre planète et dont vous ignoriez la cause principale.

Nos contactés, et de façon intuitive les êtres de votre pla­nète, conscients de la réalité de ce que nous vous enseignons, devront mettre tout en oeuvre pour changer l’esprit de chaque hu­main, sous peine de dégénérescence accélérée et de destruction, par votre faute, de toute vie sur la Terre. Fais-le leur comprendre.

Vous pouvez les accepter ou les refuser.

Dans le premier cas nous vous aiderons et rétablirons l’ordre en vous aidant en personne; mais nous ne pouvons le faire sans votre consente­ment unanime.

Dans le deuxième cas, c’est avec la plus grande douleur au coeur que nous nous désintéresserons de vous. Car nous ne devons pas nous ingérer trop directement dans le cours de l’évolution d’un monde différent, sans qu’il le veuille vraiment. C’est l’une des principales lois cosmiques. Nous vous aimons; vous êtes nos frères génétiques, mais nous ne devons pas forcer votre libre-arbitre. Amour, Paix et Fraternité. A bientôt. »

Message télépathique reçu le 12 octobre 1979 par Pierre Monnet : « Nous matérialisons des sphères micro-énergétiques à l’intérieur même de la matière constituant votre planète, afin de situer les points où nous devons installer nos appareils de régulation des séismes affectant les couches techtoniques de votre monde.

Nous avons effectué souvent cette opération sur de nom­breuses planètes en catastrophe. Nous pouvons nous tromper, cela nous est déjà arrivé plusieurs fois, mais nous pouvons tou­jours rattraper nos erreurs grâce à notre science très avancée et très complète. le fait d’avoir été nommés " Anges " dans les temps antiques, les fait gentiment sourire quant à l’aspect par trop mystique de cette définition. »

Message télépathique reçu le 22 février 1980 par Pierre Monnet : « Nous te signalons que par rapport à ta planète, l’altitude de nos vaisseaux-mères va changer. Ceci dans un but d’effica­cité plus grande sur la modification des couches supérieures de votre croûte terrestre. »

Message télépathique reçu le 11 mai 1980 par Pierre Monnet : « Nous avons capté les fréquences convenables du sinu­soïde vibratoire de votre planète. Notre planétoïde artificiel de commande est prêt à envelopper votre globe d’un faisceau d’ondes appropriées vous protégeant des effets désastreux de l’in­fluence négative de certains corps célestes de votre système. »

Message télépathique reçu le 12 mai 1980 par Pierre Monnet : « L’onde porteuse de nos pensées peut maintenant sélectionner un plus grand nombre de canaux. Le nombre de contacts parmi les plus purs d’entre vous va devenir de plus en plus grand ; car les évènements vont se précipiter sur votre planète et vous en aurez besoin. »

Message télépathique reçu le 17 juillet 1979 par Pierre Monnet : « Votre monde se meurt. L’être humain qui l’habite le sait et n’a plus la force de réagir, car il n’a plus le courage de re­trouver le chemin de la sagesse qui, pourtant, lui était destinée et qu’il a quittée par une mauvaise utilisation de la loi du libre-arbitre, ce libre-arbitre que le Grand Constructeur de toutes choses a mis à sa disposition pour parfaire son évo­lution vers l’Amour, la Sagesse et la Perfection, seule condi­tion à la création, la propagation, l’entretien et la continuité de la Vie.

Les êtres humains encore conscients et sages de votre pla­nète savent cela. Mais les êtres humains conscients et sages sont isolés au milieu des inconscients et de ceux qui ont perdu la raison au point de ne pas se rendre compte qu’ils partici­pent, par leur consentement silencieux, à la destruction de toute Vie sur votre monde.

Dès maintenant, le premier devoir de chaque être humain conscient et sage est de chercher autour de lui ceux qui lui ressemblent, et de s’unir pour faire pression sur votre civili­sation toute entière, afin de lui ouvrir rapidement les yeux. La survie de votre espèce même en dépend.

Les temps sont venus pour votre planète où l’homme, dans sa multiplicité, doit se rassembler et créer le corps de l’Homme nouveau, l’Homme de demain, l’Homme du futur qui devra s’harmoniser avec la Création toute entière à laquelle il appar­tient. L’Homme nouveau, cet Homme de la race d’aujourd’hui, doit redevenir l’Homme de la race primordiale qu’il était avant de commencer à mésuser de son libre-arbitre.

L’homme doit retrouver sa conscience cosmique…

Nous étudions votre planète de plus en plus près depuis vos années 1934 - 1947, période au cours de laquelle nous pres­sentions les futurs projets de vos sciences. Les recherches qu’ont faites vos hommes de science depuis cette période ont aggravé les choses. Un processus important de déstabilisation s’est déclenché au niveau des éléments magnétiques de votre globe; des réactions chimiques en ont découlé et sont en train de s’accélérer jusqu’à atteindre un point de non-retour si les diri­geants des corps scientifiques des Nations de votre monde ne réagissent pas d’ici vos années 2 200. Après il sera trop tard. Les radiations que vous avez créées ont déclenché le signal " côte d’alerte " de nos ordinateurs. Ces radiations détruisent les éléments bio-chimiques et bio-physiques des cellules vivantes et des cristaux molécu­laires de la matière inerte et vivante au niveau des noyaux ato­miques.

À la suite de ce processus, des mutations cellulaires vont s’effectuer de plus en plus fréquemment sur les êtres hu­mains de votre planète. Ces mutations ont déjà commencé depuis une vingtaine de vos années, mais à une fréquence en­core non alarmante. Toutefois, depuis les cinq dernières de vos années ce processus s’accélère dangereusement. Votre civilisation peut arrêter le processus en marche en suppri­mant très rapidement toute création de radio-activité de tous ordres, y compris les appareillages radiographiques et votre système de télévision que tous les enfants et femmes jeunes capables de procréer doivent cesser de regarder. Il ne vous reste plus que quarante de vos années pour suivre efficacement nos conseils et faire un retour aux sources naturelles de la Vie, ceci très rapidement. Sans cela, vous êtes appelés à subir une période de plusieurs millénaires du plus atroce des cauche­mars vécus par l’homme de cette planète. Nous savons de quoi nous parlons pour avoir rencontré plusieurs planètes contaminées, au cours de nos voyages intersidéraux. C’est un souvenir que nous ne pouvons oublier. »

Message télépathique reçu le 12 octobre 1978 par Pierre Monnet : « Au cours de nombreuses grandes réunions avec plusieurs de tes semblables, beaucoup te poseront des questions à propos d’un phénomène étrange que vous avez nommé « le Triangle des Bermudes ». Nous observons votre belle planète depuis un très grand nombre de vos millénaires, et nous savons de quoi il s'agit. Voici des renseignements à ce sujet, qui préoccupent bon nombre des tiens.

Lorsque la question te sera posée, tu répondras ceci :

La Terre a connu plusieurs basculements sur son axe de rotation. À chaque fois, le magnétisme de la planète est perturbé et change à la fois de position et de polarité, mais cette transition ne s’effectue pas de manière instantanée. L’ancien axe magnétique disparaît progressivement, tandis que le nouvel axe s’établit lentement.

Le phénomène que vous appelez « Triangle des Bermudes » résulte de la persistance temporaire de ce que l’on pourrait appeler « l’empreinte » de l’ancien axe magnétique, qui continue d’exercer une influence à son ancien emplacement. Cette situation engendre des perturbations dans le champ Espace-Temps, dont la compréhension dépasse encore les capacités scientifiques actuelles de votre civilisation.

Nous pouvons seulement vous dire que nous étudions et surveillons en profondeur les effets qui en résultent, notamment sur le plan de la dématérialisation de la matière dans ce type d’environnement énergétique. »

Ce contenu est une synthèse faite par Pierre Monnet des informations qu'il a reçues :

« Les extraterrestres enseignent que le temps n’existe pas réellement, mais résulte de l’ignorance humaine. L’homme possède en lui tout ce qu’il cherche à l’extérieur, mais il ne peut s’en servir sans sagesse. L’univers infini a été créé par le Grand Constructeur pour permettre à l’homme, sa créature pensante, d’évoluer librement vers la perfection et l’immortalité, selon des lois cosmiques immuables.

Chaque planète habitée par l’homme a été dotée d’éléments permettant une régénération cellulaire spontanée, assurant une longévité naturelle. Ce processus a été perdu au fil du temps, à cause de l’éloignement de l’homme vis-à-vis des lois universelles. La courte durée de vie actuelle est due à cette rupture.

Trois lois universelles fondamentales sont nécessaires pour déclencher le processus d’immortalité :

  1. L’instinct de conservation doit s’étendre à l’ensemble de l’humanité, fondant un système moral collectif.
  2. La liberté individuelle est essentielle, mais elle ne doit jamais empiéter sur celle des autres.
  3. La recherche de la perfection est la seule voie vers la continuité de la vie. »

Selon les végans :

  • Nul ne doit attenter à la liberté d'autrui. C'est l'une des principales lois cosmiques.
  • Le savoir scientifique des hommes de la Terre n'est apparu qu'à cause de la perte des pouvoirs psychiques colossaux qu'ils détenaient initialement.
  • Le cycle de réincarnation d'un être humain est de 72 000 ans.

Ce contenu est une synthèse faite par Pierre Monnet des informations qu'il a reçues.

« À une époque très lointaine se situant entre le commencement de l'univers et la première glaciation de la terre, les civilisations humaines disséminées dans les multiples univers cosmiques, étaient scientifiquement très évoluées. Elles avaient 7 000 ans d'avance sur la science de l'homme de 1980. Elles avaient acquis cette évolution scientifique dans le plus profond respect de la nature et dans la sagesse, sans laquelle il n'est point d'évolution possible.

En ce temps-là, ces civilisations connaissaient la jeunesse permanente et une très grande longévité, par la régénération cellulaire spontanée. Ces hommes savaient créer de la matière inerte et de la matière vivante, grâce à la découverte d'énergies naturelles colossales. Ils agrandirent leur civilisation en collaboration étroite avec la nature et développèrent leurs sciences avec amour vers l'avenir de leur race prodigieusement puissante. Ils connaissaient et avaient la maîtrise parfaite de la gravitation et de l'antigravitation.

Ceci leur permit d'effectuer les voyages cosmiques, de découvrir d'autres galaxies, de rencontrer d'autres mondes, d'autres civilisations. Ils connaissaient les principes de la lévitation par concentration et projection des ondes électrostatiques et magnétiques des planètes.

Cela leur permettait ainsi d'effectuer, sans aucune difficulté, toutes les manutentions. L'homme de 1980 serait étonné de voir la facilité avec laquelle ils soulevaient des blocs de pierre, de trente mètres de long, vingt mètres de large, dix mètres d'épaisseur. Ils soulevaient ces blocs à plus de deux cents mètres d'altitude. La commande de ces manipulations se faisait par l'intermédiaire d'un seul homme, au moyen d'un petit appareil électronique très spécial, de la dimension d'un téléphone de bureau. Ils accomplissaient des prouesses dans la précision extrême obtenue au niveau des assemblages de tels blocs. Ils avaient la maîtrise des ondes vibratoires, avec lesquelles ils effectuaient tous les travaux pénibles et salissants, ainsi que dangereux pour l'homme et tout ce qui vit.

Ces hommes voyageaient dans l'espace-temps, aux vitesses « zéro moins X » et « Trois cent mille plus X ».

La « Télévision » était très perfectionnée. Le téléspectateur vivait au milieu du programme de son choix. Les programmes télévisés étaient en RELIEFS COULEURS TRIDIMENSIONNELS, MULTI-SENSITIFS ET MULTIPHONIQUES. La perception des programmes se faisait par un effet électromagnétique, agissant au niveau du cortex cérébral.

Ici n'ont été donnés uniquement que quelques petits détails des grandes lignes, constituant la structure générale de l'ensemble des connaissances de ces Êtres évolués et sages. Ils voyageaient dans le cosmos, afin de connaître encore, et de faire profiter des résultats de leur science, les espèces humaines rencontrées sur leur passage. Ils propageaient leur savoir dans un but d'harmonisation galactique des espèces humaines, conçues par Le Grand Constructeur de toutes choses.

Une très importante expédition fut organisée par l'une de ces civilisations évoluées. Les représentants de cette civilisation rencontrèrent notre système solaire sur leur trajet d'exploration. Ils plantèrent les bases de l'expansion de leur espèce sur différentes planètes du système ; tout d'abord Saturne, puis Vénus, Mars et le satellite naturel de la Terre que ces êtres aménagèrent en station d'observation, servant à surveiller la terre qui était alors en période de glaciation.

Le potentiel scientifique et technologique de ces êtres, leur a permis d'accélérer la fin du processus de glaciation. Ils traitèrent donc artificiellement l'épaisse couche de nuages entourant la terre de tous côtés, afin que le rayonnement générateur du soleil l'atteigne et que la vie animale et végétale réapparaisse à la surface comme dans les mers, après la fonte des glaces et l'apparition des continents qui n'en formaient qu'un seul au départ. Ce travail de transformation colossale d'une planète, dura plusieurs centaines d'années, avant que ces voyageurs de l'espace puissent organiser leurs installations sur la Terre.

Ils déposèrent sur celle-ci d'autres races d'êtres humains peu évolués, qu'ils avaient prélevés sur d'autres planètes ayant été frappées par de gigantesques cataclysmes naturels. Cette importation humaine explique les différences de races, de couleurs et de mœurs, ainsi que les difficultés d'adaptation de certaines races aux divers climats de l'année terrestre.

En parallèle aux millénaires de rééducation de ces « émigrés » importés par les galactiques, il se développa parmi la faune d'origine terrestre, une espèce « animale » de forme presque humaine, à prédominance intellectuelle latente. Cette espèce particulière évolua jusqu'à l'époque actuelle ; ce sont les grands singes d'aujourd'hui... qui seront l'espèce humaine d'origine terrestre de « demain ». Mais il est à craindre que, dans leur ignorance et leur esprit néfaste de « supériorité », les civilisations modernes les exterminent avant qu'ils n'aient eu le temps de devenir des êtres humains à part entière.

Pour rééduquer les hommes importés sur la terre, il fallut beaucoup de temps. Il fallait les modeler, les recréer à l'image biologique, physiologique et intellectuelle de leurs Maîtres Éducateurs qu'ils vénéraient comme des « Dieux venus du ciel », leur apportant la vie, le bien-être, la beauté et les connaissances.

Plusieurs milliers d'années après la fin de la rééducation de ces hommes importés, ceux-ci formèrent à leur tour, de puissantes civilisations. Ces civilisations ne tardèrent pas à montrer des divergences de vues quant à l'utilisation des sciences acquises, en regard des lois naturelles régissant l'évolution de l'homme dans la sagesse. Peu à peu, ils montrèrent des intentions nettement belliqueuses envers leurs éducateurs de toujours.

Voyant que l'homme n'était plus conforme aux lois régissant l'harmonie universelle, les galactiques conçurent un plan de neutralisation, consistant à cacher et effacer la somme des connaissances acquises, et le matériel scientifique, dans le sous-sol de l'unique et gigantesque continent existant, en ce temps-là, sur la planète Terre, qui commençait progressivement à devenir un véritable « enfer ». Les galactiques décidèrent de partir de cette planète ; mais avant de partir, ils laissèrent cinquante mille de leurs hommes en sous-sol, dans le but de surveiller en secret les hommes décadents restant en surface.

Ces hommes décadents qui, avec l'aide des galactiques et malgré les différences de races, étaient arrivés à faire les États-Unis du monde, continuaient à se dégrader. Ils firent rapidement usage de ce qui leur restait encore de leur haut savoir scientifique pour déclencher une guerre d'une telle puissance, que l'aspect physique et chimique de la planète en fut changé.

Les répercussions de cette guerre se firent ressentir pendant près de cinquante mille ans. Le peu de survivants, contaminés et en mutation biologique inappropriée, étaient retombés au rang d'animaux presque sauvages, n'eût été la survivance d'une insignifiante étincelle de la mémoire du passé ; tel un film effrayant retraçant le cataclysme planétaire provoqué par la science de l'homme employée pour la destruction de ses semblables ; film effrayant de la mémoire de ces rescapés fuyant l'enfer de l'unique continent ravagé par les séismes artificiels, qui ont pourfendu ce continent en de multiples morceaux qui dérivent encore de nos jours, et dont les plus gros sont nos cinq continents actuels. La mémoire de cet épouvantable passé sommeilla pendant de longs millénaires, avant que les malheureux rescapés commencent à se réorganiser en créatures humaines à peu près décentes.

Entre-temps, de génération en génération, les tout premiers éducateurs et les quelques milliers de « terriens d'importation » partis avec eux vers d'autres systèmes planétaires, s'adaptèrent très bien aux éléments de ces nouveaux mondes, et y installèrent de brillantes civilisations.

Quatre-vingt mille ans après la réinstallation sur ces nouveaux mondes, un retour aux sources instinctif se fit sentir au cœur des descendants des terriens sages partis avec les galactiques. Ils décidèrent de retourner sur la Terre pour y renouer des relations pacifiques avec ceux qui y étaient restés. Une très importante expédition s'en revint donc sur la Terre pour y refonder une nouvelle civilisation. Ils trouvèrent, à leur arrivée, une planète bouleversée, où l'unique continent était éclaté en plusieurs morceaux, mais où, sur chacun de ces morceaux, la végétation avait très largement repris ses droits, et où les ruines et la radioactivité avaient disparu.

Ils s'installèrent en plusieurs points du globe, où ils rencontrèrent les descendants des survivants ayant échappé à la destruction. Le niveau intellectuel était descendu si bas qu'il fallut les rééduquer de nouveau, car ils avaient effectué le contraire de leur évolution. À l'image de leurs anciens Maîtres Éducateurs, ils ré-enseignèrent la sagesse, l'Amour entre les peuples et les connaissances perdues, aux terriens dégénérés.

Hélas, ces nouveaux éducateurs ne purent terminer leur travail d'éducation, car ces anciens terriens revenus du cosmos, ne purent survivre sur leur planète d'origine, tant les éléments de celle-ci s'étaient modifiés depuis le cataclysme, et tant ils s'étaient modifiés eux-mêmes, au cours de leur séjour prolongé aux confins de la galaxie depuis presque une centaine de milliers d'années. Après leur retour sur Terre, en un seul centenaire, ils furent sur leur déclin, et s'éteignirent sans pouvoir repartir, car ils n'avaient pas prévu l'éventualité d'un retour aussi rapide.

Pour préserver l'initiation, ils eurent tout de même le temps d'effectuer (à contre cœur) leur procréation avec les descendants des contaminés qui continuèrent, de façon très imparfaite, à initier la descendance. Mais l'étincelante nouveauté de l'initiation scientifique l'emportant une fois de plus sur le respect de l'initiation morale, favorisa d'autres destructions humaines, par de multiples guerres nucléaires, ramenant chaque fois tout à zéro, détruisant totalement l'une des planètes de notre système et endommageant très gravement notre satellite naturel, la Lune. Tous ces conflits empêchant, de ce fait, l'évolution de l'homme vers la continuité individuelle de la vie de l'espèce même.

Juste avant cette nouvelle période de conflits, conformément au programme préétabli, ce qui restait des descendants des cinquante mille éducateurs demeurés en sous-sol, remontèrent en surface pour voir si l'homme était devenu raisonnable. Voyant qu'il n'en était rien, ceux-ci quittèrent la planète en laissant le matériel et les connaissances premières dans le sous-sol des cinq continents, où ils sont stockés depuis plus de cent mille ans. Ils regagnèrent la plupart de leurs anciennes bases, c'est-à-dire la Lune (où ils reconstruisirent leurs bases détruites), Jupiter, Saturne ; les bases et les satellites de Mars étant inutilisables, et Vénus étant encore en état de glaciation.

Depuis le retrait des représentants de cette civilisation venue du ciel, ceux-ci et quelques éducateurs venant de VEGA, font quelques apparitions périodiques dans le temps, pour observer et protéger la terre contre d'éventuels conflits irréparables. »

« Plus près des temps actuels, l'homme a reçu un message de survie. Certains Êtres humains de la terre, choisis pour leur haute qualité morale, furent contactés par ces visiteurs du ciel pour préparer la masse humaine à la venue ultérieure d'un messager officiel.

Ce messager rapporta à l'homme les règles et principes de vie assurant sa continuité, en harmonie avec la nature qui l'entoure et l'univers tout entier.

Pour ces visiteurs venus du ciel (ces Extraterrestres dont la présence dans nos cieux est à l'heure actuelle si controversée), le problème était tout d'abord la régénération de certains êtres humains de la terre, les moins décadents, les plus purs. Les galactiques pratiquèrent, de façon plus élaborée et avec un appareillage scientifique beaucoup plus sophistiqué, ce que nos savants actuels appellent de nos jours, la « parthénogenèse artificielle ». Ils pratiquèrent ce procédé sur un certain nombre d'individus, afin que la descendance s'améliore par le canal de l'hérédité.

Des femmes, choisies pour leur pureté biologique correspondant aux normes de l'opération, étaient rendues inconscientes, discrètement enlevées et transportées dans des laboratoires aériens pendant quelques heures, où était pratiqué sur elles la parthénogenèse artificielle. Cette « opération » consistait à l'application d'une séance de rayons projetés à partir d'appareillages très perfectionnés développant sur le « sujet » un flux d'énergie vitale déclenchant la formation d'embryons humains dans l'ovule féminin, sans l'apport d'un spermatozoïde quel qu'il soit. « L'opération » terminée, chaque femme était ramenée sur les lieux où elle avait été momentanément enlevée.

De ces Femmes naquit, avec plus ou moins de réussite, une nouvelle race d'hommes partiellement régénérés, capable d'assimiler le message de survie. Ce message étant une initiation spirituelle et scientifique assurant l'évolution normale de la descendance par la transmission mémorielle héréditaire, au niveau des chromosomes. »

« Ces « Dieux venus du ciel », que le langage hébraïque nommait « les héloïms » (« les héloïms » se traduit par « Les Dieux venus du ciel »...) on les appelait aussi « les anges », c'est-à-dire « messagers », en langage Grec.

Ces anges, nos galactiques, après de nombreuses sélections, contactèrent une femme tout particulièrement biologiquement idéale pour l'opération parthénogenèse. Cette Femme présentait des conditions biologiques parfaitement satisfaisantes pour assurer un succès total de fabrication embryonnaire, provoquée artificiellement, d'un être humain presque idéalement pur. Cette Femme fut rendue à ses foyers, et, effectivement, se trouva enceinte sans avoir « vu » un homme. En ce temps là (il y a presque 2.000 ans), l'entourage de cette jeune Femme connaissant la conduite absolument exemplaire de celle-ci, fut très déçu ; le doute s'installa en la famille de « Marie » (car il s'agit d'elle, vous l'aviez compris), et elle fut obligée de partir au loin, pour éviter le scandale et le lynchage ; les mœurs étaient régies par des lois strictes de bonne moralité ; il était amoral de « connaître » un homme avant le mariage. La faute était extrêmement grave. Pourtant, cette femme était vierge au sens habituel du terme.

Elle trouva un compagnon ; un homme bon, de beaucoup plus âgé qu'elle, qui l'aida matériellement, jusqu'à la naissance de l'enfant.

Pendant ce temps, grâce à leur science très avancée, les galactiques ont médicalement suivi le développement embryonnaire de l'enfant, partout où sa mère se trouvait. Cette surveillance se faisait à partir d'un vaisseau spatial stationnant à très haute altitude, et grâce à des rayons générateurs développant le mental de l'enfant selon un programme prévu et précis. Cet enfant devait être le modèle nouveau de l'être humain, et le messager officiel des galactiques. Dès sa naissance, étant mentalement conditionné pour transmettre les concepts universels oubliés par l'humanité terrestre, il avait pour mission, d'enseigner les lois naturelles universelles régissant la vie dans le cosmos. Incompris, il y sacrifia la sienne. Les hommes de la terre n'ont pas compris et il l'ont cloué sur une croix.

Jésus, le « messager » pour ainsi dire « préfabriqué » par l'intermédiaire de la science hautement élevée des « héloïms », ces « Dieux venus du ciel », naquit donc biologiquement et intellectuellement quasi-parfait, grâce au modelage scientifique de ces biologistes extraterrestres. Ces galactiques n'en étaient pas à leur première expérience de décontamination, par création conditionnée de cellules étrangères pures, formant les embryons de lignées raciales régénérées. Ces Êtres nouveaux étaient prévus pour être capables de comprendre, d'assimiler avec plus de facilité les concepts universels réels, assurant le développement normal de l'espèce humaine de la terre vers l'infini.

Ce grand initié qu'était Jésus, était conditionné par les galactiques pour redonner à l'espèce humaine, les lois lui permettant de vivre en harmonie avec les forces créatrices de l'univers.

Cet homme, dont on a fait un dieu, grandit parmi les hommes, les étudia afin de mieux les comprendre.

Ce Jésus de Nazareth était devenu un homme « grand »... d'une certaine autorité dans ses paroles, lorsqu'il enseignait. Mais il était aussi d'une grande bonté, d'une grande douceur, mais surtout d'une grande sagesse, ceci ne l'empêchant pas d'extérioriser de grandes colères d'indignation devant certains abus. Avec cela, il n'a pas hésité à donner sa vie pour tenter de sauver l'espèce humaine en ré-enseignant aux hommes les lois universelles leur permettant d'arrêter leur chute vers la déchéance, la décadence, et de remonter la pente vers la sagesse et la continuité, dans un avenir éternel.

Les hommes ont réagi d'une certaine façon... Cet homme pur n'a pas été suivi dans ses paroles. Nous savons ce qu'il est advenu de lui.

Peu à peu, l'initiation qu'il tenta de donner aux hommes, commença à se déformer rapidement, jusqu'à ne plus ressembler à rien de réel.

Depuis ce passage des visiteurs galactiques, de multiples superstitions s'implantèrent dans l'esprit de certains hommes prenant les galactiques pour des Dieux, et de là, naquirent les grandes religions.

Au cours de vingt et un millénaires passés, jusqu'au temps de ce Jésus de Nazareth et jusqu'à nos jours, ayant plus ou moins mal assimilé l'initiation des civilisations premières, l'homme s'est égaré en transformant cette initiation en véritables secrets occultes tombés entre les mains de « prêtres », qui ont défiguré ce dépôt initiatique en en poétisant les données, jusqu'à les faire ressembler à des légendes sans fondements matériels, à des fins de domination par la croyance en un Dieu qui punit ceux qui n'acceptent pas les vues des multiples religions dirigées par ces prêtres exploitant la crédulité des masses. »

« Depuis une centaine de millions d'années, les religions et sectes dérivées font fausse route, quant à la petite image de ce soi-disant Dieu qu'elles veulent faire adorer aux hommes... et là aussi, tout est à refaire.

Un très grand nombre de chercheurs ont tenté de vouloir expliquer Dieu et c'est là l'erreur. Car l'homme, cet animal « supérieur » à peine civilisé, a tendance à vouloir expliquer Dieu au travers du filtre de l'imperfection humaine. De ce fait, l'homme ne peut avoir, de Dieu, qu'une vue brouillée, ne lui permettant pas de le concevoir tel qu'il est. Dans la réalité, quelque chose de supérieur existe, mais n'est pas explicable, car c'est incommensurable à tout point de vue. On ne peut et on ne doit pas davantage le nommer. Il est le constructeur de toutes choses, c'est tout ce que l'homme, dans son imperfection, ressent de « Lui », et ce mot est encore faux lorsqu'on dit « Lui ».

Car Dieu est « UN ». C'est cette force colossale, cette énergie pure, VIVANTE et INTELLIGENTE qui nous a permis de VIVRE dès l'instant où ELLE a PENSÉ la création de tout ce que nous connaissons, connaîtrons peut-être ou ne connaîtrons jamais. Car, si « UN » cessait un instant de PENSER la création, plus rien ne pourrait prétendre avoir existé.

Les chercheurs ont échafaudé toutes sortes d'hypothèses qui les ont amenés à se poser les questions suivantes : « Pourquoi cette énergie vivante et intelligente a créé la matière, a créé l'homme ?... » (sous-entendu qu'elle est unique, parfaite en soi, et qu'elle pouvait se suffire à elle-même...), et avec tout cela, qu'est-ce que l'homme ? Qui est l'homme ? À quoi sert-il dans la création ?...

« UN », cette énergie pure et intelligente, crée par esprit de perfection toujours croissante.

Le cosmos n'a pas de dimensions, car il est en permanence et toujours en période de création. De par le mouvement expansif de sa construction, le cosmos ne peut avoir de bornes ; la matière qui le compose se dirige en empruntant des lignes de direction de formes radiantes vers l'extérieur, vers l'infini.

La raison d'être de l'homme réside dans le fait que « UN » étant unique et seul, a éprouvé un besoin de compagnie et d'activités multiples hors de sa masse énergétique consciente et à travers sa création.

Mais « UN » étant indépendant et libre de toute action dans ces mouvements, il fallait, pour s'assurer une compagnie logique, que celle-ci soit créée relativement à son image. C'est-à-dire qu'elle soit également indépendante et libre dans ses actions et ses mouvements.

Pour réaliser cette opération, « UN » divisa une partie de sa masse énergétique en de multiples entités qui se dispersèrent dans le cosmos, et prirent place dans ces enveloppes matérielles que sont les êtres vivants. De ce fait, dès le départ, l'homme est d'essence divine. Je dis bien, dès le départ, c'est-à-dire depuis la création des espèces humaines jusqu'au moment où l'homme prend conscience que la loi de liberté lui est offerte et qu'il commence à en user. Après, c'est autre chose ; fallait-il qu'il sache se servir de cette liberté pour aider à parfaire la création et sa propre évolution, lui permettant de rejoindre son origine divine après son passage dans la matière. »

« De toutes façons, dans tout cela, il n'y a rien qui ait pu motiver la constitution de toutes ces religions compliquées et hors du réel, pleines de mystère, que l'humanité a fait naître dans le monde jusqu'à nos jours actuels.

Le mot religion ne veut rien dire et n'a servi jusqu'à présent qu'à déformer les vérités premières, les vérités cosmiques universelles permettant à l'homme cet imbroglio biochimique d'évoluer vers la perfection dans le temps et l'espace.

Les religions, depuis fort longtemps, n'ont su être que des éléments idéologiques agressifs, visant l'emprise psychologique sur les masses, par des menaces de damnation éternelle après la mort.

Les religions et sectes profitent de la crédulité, de l'imagination et de la confiance des masses à des fins d'exploitation monétaire, assurant de grandes richesses aux groupes de direction de ces religions et sectes. Si l'on veut bien ouvrir les yeux, on peut se rendre compte que la plus grande concentration des richesses matérielles se trouve au sein des religions, alors qu'au vingtième siècle on voit encore de grands pays sous-développés, dont les habitants vivent de façon inhumaine, et où règnent la famine et la maladie.

À côté de cela, on peut voir la stagnation d'argent, de minéraux précieux et d'or dans les coffres et dans les temples, églises et lieux publics de rassemblements religieux. Aux premiers rangs de ces religieux, on peut voir essentiellement les gens dits de « classes supérieures », priant orgueilleusement et égoïstement pour la conservation de leur bonheur, de leur fortune, situation et confort personnel ; fortune et situation leur permettant de ne pas souffrir des fléaux de la cupidité des hommes s'abattant sur les moins favorisés, que les classes supérieures maintiennent volontairement dans l'infériorité, afin que les « réserves d'esclaves » travaillant pour les « gros » et « puissants de ce monde » ne s'épuisent pas.

Contrairement à ce qu'elles auraient dû être, les religions n'ont été pour l'homme, que troubles et désordres de son esprit, parce que celles-ci ne sont pas habitées par l'esprit de « UN », qu'elles refoulent par leur considérable imperfection dans leur savoir des lois cosmiques universelles.

Vu le degré d'évolution matérielle où se trouve l'homme actuel, le concept d'un Dieu cosmique qui n'a besoin, ni de temples, ni d'églises, ni de religions, est difficile à assimiler. Pourtant, l'homme est le vivant témoin de son existence, puisqu'il est lui-même d'essence divine. Mais il n'en a plus conscience. Par suite du mauvais usage qu'il a fait de la loi de liberté qu'il n'a pas su employer pour le développement de son être, l'homme rétrograde sur l'échelle universelle de l'évolution. Il s'est servi de la loi de liberté pour imploser dans la matière, provoquant ainsi une perte considérable d'énergie vitale, s'éloignant aussi des lois cosmiques et donc de l'essence de « UN » dont il est une infime partie.

Le véritable temple de « UN », c'est l'homme, qui a compris que les seules lois permettant l'évolution de l'être humain sont : la loi d'AMOUR, la loi de PROPAGATION, la loi de DEVELOPPEMENT et d'EXPANSION de cet Amour vers la perfection, vers l'éternité, vers « UN », le but réel de cette entité qu'est l'être humain, parcelle de « UN ». »

Pierre Monnet : « Les mouvements des structures atomiques de la matière, sont indirectement liés aux fonctions psychiques de l’être humain.

Le cerveau humain, qu’il soit conscient ou inconscient, engendre une puissance psychique considérable, de qualité nocive ou bénéfique, qui se traduit par l'émission de trains d'ondes-pensées agissant sur tout ce qui l'environne.

De ce fait, sans qu'il en ait vraiment conscience, l'homme agit sur les éléments même de la nature et peut en modifier sensiblement l'action.

Selon le degré de puissance et la direction des émissions d'ondes-pensées qu'il produit, l'homme crée et entretient des charges électromagnétiques statiques.

Il établit ainsi, autour de sa planète, un véritable réseau de forces, agissant par réaction ou contre-réaction sur le processus naturel d'échange énergétique des rayonnements telluriques et cosmiques.

Ce processus est le vecteur d'équilibre vibratoire universel de la matière, et de tout ce qui vit dans l'univers.

Les ondes-pensées de l'être humain s'accordent ou s'interfèrent, dans l'équilibre du processus d'échange énergétique cosmique, l'union des forces psychiques émanant de groupes importants, voire même de nations entières, influe sur le comportement général de l'esprit de toutes les autres nations de la planète d'où, à leur tour, d'autres forces, positives ou négatives sont émises en fonction de la réaction produite.

Le fait se constate même au plus bas échelon des sociétés humaines, c'est-à-dire au niveau de la famille ou foyer familial. Qu’un seul individu de la famille s’écarte des règles morales entretenant l’équilibre de celle-ci et c’est : les ennuis qui commencent, les disputes, la décadence, le déséquilibre. Dans le cas contraire, que l'entente et l'harmonie règnent au sein de cette même famille et c'est : la santé, la joie de vivre et la prospérité de cette famille.

Dans le cas de groupes importants ou de nations, si les groupes ou l'esprit des nations sont animés d'ondes-pensées d'Amour, cette nation deviendra très rapidement le flambeau de la paix et de l'harmonie universelle, dans l'union de tous les peuples. Ce sera alors : l'équilibre total en accord avec les lois universelles ; ce sera la redécouverte du processus de régénération cellulaire spontané ; ce sera la réaction en chaîne de la continuité, de l'immortalité relative de chaque être humain.

Si, au contraire, comme cela se produit de nos jours, les ondes-pensées sont des ondes-pensées de haine, c'est : le déséquilibre social, psychologique et scientifique... C'est alors, la maladie, la pauvreté, la misère au milieu des richesses... C'est : le vol, le viol, le crime, les tortures et les guerres. Parallèlement à cela, c'est le déséquilibre écologique, le désordre climatique et ses multiples réactions en chaîne.

Tout ceci peut être évité. Si l'homme le veut vraiment, il peut rétablir l'ordre universel des choses et atteindre ainsi la plénitude du bonheur qu'il dit, à juste titre, ne jamais avoir eu. Mais pour cela, il faut absolument qu'il fasse l'effort d'être réceptif aux influx de la vie qu'il reçoit du cosmos. Il faut qu'il cesse d'être antinaturel. Il faut qu'il s'ouvre aux dualités internes qui l’assaillent ; qu’il médite ; qu’il étouffe toute agressivité et qu'il prédispose son être à la clarté du message génétique qu'il reçoit en permanence, et qui dit : VIE = AMOUR + PERFECTION... VIE = BONHEUR ET CONTINUITÉ DANS L'ESPACE ET DANS LE TEMPS.

L'homme, depuis fort longtemps, a pris la trop mauvaise habitude de tout prendre sans jamais rien donner à la vie. C'est là, et là seulement, la seule raison de son inaccessibilité au bonheur dont il rêve ; il parle égoïstement toujours pour lui-même, chaque fois qu'il ouvre la bouche, chaque fois qu'il pense.

L'homme subit, à chaque instant de sa vie, la loi de l'action et de la réaction, ceci dans tous les domaines. Si un homme frappe la joue droite d'un semblable, qu'il ne s'attende pas à se voir tendre l'autre joue ; car celui qu'il a frappé ne la lui tendra pas, s'il n'a pas compris que, très souvent, il est nécessaire de le faire...

De même que le pavé lancé dans la mare ne peut manquer d'éclabousser le lanceur, l'homme détruisant l'ordre universel sera détruit par les résultats de ses propres actions et de ses propres erreurs, qu'elles soient « volontaires » ou « involontaires ».

Tout n'est que vibration ; y compris le processus électrochimique de la pensée de l'être humain.

La pensée est une combinaison de multiples fréquences vibratoires, dont le registre est très étendu, et en perpétuelle transformation ; le mot « expansion » conviendrait mieux.

L'être humain, à la fois compositeur et chef d'orchestre et donc créateur de ses propres pensées, compose (sur le registre des diverses fréquences vibratoires dont il dispose à son gré), la mélodie de sa vie.

Selon le jeu du choix des fréquences, la pensée prend corps, se développe et peut être ou ne pas être élevée ; tout dépend du talent du compositeur, qui peut créer une œuvre grandiose, d'une valeur harmonique élevée ressemblant à une pyramide de beauté « musicale » lumineuse, dont le sommet peut quasiment atteindre la perfection...

Par contre, le compositeur peut tout aussi bien créer une œuvre dont les vibrations sont si peu élevées, qu'elles provoquent la destruction de toute harmonie capable de création logique et durable. C'est, hélas ! ce qui se passe actuellement dans le monde où l'homme a composé des vibrations nocives, aux fréquences de mort et de destruction.

Il est tout juste temps que l'espèce humaine change de fréquence et émette des vibrations élevées ; des vibrations de bonté ; des vibrations de beauté et de vie, en harmonie avec les vibrations cosmiques universelles.

Force de la pensée devient force de la matière ; et force de la matière devient créatrice.

Il ne faut pas que les forces de la pensée deviennent créatrices de destruction et de mort. Cela ramènerait tout au néant. »

Message télépathique reçu le 2 juillet 1980 par Pierre Monnet : « Ce que la plupart des témoins de votre planète ayant été en contact avec nos sphères lumineuses parlantes, appel­lent « boules parlantes », est la cristallisation semi-matérielle de certains de nos « corps subtils ».

Nous utilisons ce procédé de sublimation de nos êtres pour faciliter la téléportation ins­tantanée. Cela nous est très facile, compte tenu que l’esprit crée et commande la matière. Tu ne l’as jamais su, mais nous avons utilisé pour toi un procédé quelque peu identique, non visible de l’extérieur et de l’intérieur. Ce procédé supprime ce que vous appelez à tort le Temps. Ces sphères, qui sont une partie de nous-mêmes, se créent à partir de la force de nos pensées, vibrant à des fré­quences très particulières que vous ne sauriez encore atteindre, s’apparentant quelque peu à ce que vous nommez « voyage astral ». Nous concentrons, amplifions et émettons ces forces psychiques au moyen de l’appareillage que nous t’avons per­mis de voir en flash.

Dans votre langage scientifique, vous pourriez appeler cet appareillage : transmutateur à ondes courtes. Celui-ci permet la matérialisation et la dématéria­lisation de certains de nos corps subtils dans le temps et dans l’espace, selon les dimensions à prospecter Nous utilisons la forme sphérique pour des raisons précises et impératives que vous ne pourriez comprendre, mais dont l’une est la suivante:

" le volume sphérique est mathématiquement le volume idéal le plus efficace à la concentration énergétique de la force psychique à utiliser".

Cette forme sphérique est produite par des trains d’ondes mentales que nous captons dans les schémas de procédures constructives des structures atomiques de la matière à tous les niveaux de fluidité. L’infiniment petit et l’infiniment grand étant identiques et intimement liés entre eux, les molécules de cristallisation sphérique qui produisent la matérialisation de nos corps subtils leur ressemblent, d’où la forme sphérique de nos énergies parlantes et porteuses. A bientôt. »

Message télépathique reçu le 20 novembre 1980 par Pierre Monnet : « Vous vivez à l’intérieur de la Pensée créatrice de l’Energie pure et intelligente, que vos religions ont appelée Dieu.

Sur le plan de la description matérielle scientifique, cette Pensée créatrice cosmique est d’ordre chimique et est iden­tique, en tant qu’élément électrochimique, au cerveau humain qui est créé à l’image de l’énergie centrale (Dieu).

Le processus de fonctionnement électrochimique de la pensée humaine est strictement identique au processus élec­trochimique de fonctionnement de l’élément central. Celui-ci crée par Amour de perfection toujours croissante et par né­cessité vitale d’éternité dans la Création perpétuelle de la pensée cosmique dont chaque être vivant est un élément pré­pondérant, agissant sur le maintien de la forme et de la vie de chaque planète ainsi que de la pensée Universelle vitale cos­mique. L’esprit a créé la matière. La matière devenue vivante en la création de l’homme, rejoindra l’esprit dans l’espace et dans le temps, pour l’éternité, à condition que l’esprit de l’homme dans ses possibilités de choix, ne détruise lui-même l’oeuvre du Grand Constructeur de toutes choses… A bientôt. »

Message télépathique reçu le 20 juillet 1977 par Pierre Monnet : « Nous allons te parler de la vie et de la mort. Tu transmettras à tes semblables ce dont nous allons te parler. Nous allons essayer de simplifier au maximum afin que tu puisses traduire ce que vous avez l'habitude de nommer les ondes P.S.I. en mots de ton dialecte.

Nous savons que vous avez très peur de ce que vous appelez la mort. De tout temps, vous avez fait l'erreur de penser qu'après la désintégration de votre support physique, plus rien ne pouvait exister. La réalité est toute autre ; l'un de vos chercheurs avait partiellement raison lorsqu'il vous a enseigné que « …Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme… ».

La réalité est que, l'être humain, quel qu'il soit, ne vit dans le présent qu'un moment seulement des vibrations de son futur, qui devient aussitôt vibrations du passé. Le présent, le futur, le passé, ne sont que des images fictives fractionnant votre temps en moments de vie matérielle. Vos schémas de compréhension ne peuvent concevoir qu'en réalité, le temps n'existe pas.

Le laps de temps de vie dont vous avez conscience, n'est autre que l'une des multiples vibrations de l'acte de vie énergétique que votre moi immortel a imprimé à votre enveloppe physique. Votre moi intérieur, d'origine divine, est le propre créateur de l'être humain tout entier que vous êtes, corps et esprit.

Mais votre enveloppe physique dégénère, par manque d'application des lois universelles cosmiques. En d'autres termes, à chaque moment présent, votre enveloppe se dirige vers le passé, jusqu'à disparition totale.

Dès cet instant, votre moi intérieur, énergie-vie impérissable, rejoint la masse énergétique universelle. Là, elle attend que les éléments matériels soient réunis pour lui permettre de réintégrer : soit une autre enveloppe physique sur le même plan terrestre, soit sur une autre planète, soit dans une autre dimension aux vibrations plus rapides, selon le degré d'évolution de votre conscience individuelle.

Plus la vie physique d'une entité est longue, plus elle a le temps de perfectionner son évolution dans le moment présent, en direction de son prochain futur, constitué par les multiples changements d'état qu'elle subit tout au long des stations qui se succèdent.

Vous ne devez pas craindre ce que vous appelez la mort. En ces termes, vous avez peur de ce que vous êtes en train de subir depuis votre naissance. Aussi incroyable que cela puisse vous paraître, la mort est ce que vous êtes en train de vivre, c'est-à-dire : la vieillesse, la décrépitude et la désintégration progressive de votre enveloppe physique. L'être humain passe sa vie à mourir pour renaître encore et encore ; tel est le cycle de la vie et de la mort.

Dans tout cela, il n'est rien que de très naturel ; et nous ne comprenons pas pourquoi, vous avez créé des religions qui ont déformé et rejeté ce que nous venons de vous expliquer de façon simplifiée. »

Message télépathique reçu le 27 juillet 1980 par Pierre Monnet : « Beaucoup de tes semblables se sont posé des questions sur notre façon de vivre dans la sagesse, dans la connaissance cosmique et dans une notion très poussée de l’Amour Universel.

Ils se demandent souvent depuis combien de temps nous avons atteint ce degré d’évolution. En vérité, s’il nous fallait le dire, nous serions très embar­rassés, car nous croyons sincèrement que nous avons atteint ce degré d’évolution depuis (ce que nous aimons vous enten­dre dire, car nous trouvons l’expression très belle) la Nuit des Temps.

Mais nous n ‘avons aucun mérite ; cela fait partie de notre vie, comme pour vous la fonction respiratoire. Mais aussi et surtout, nous nous sentons infiniment petits par rapport aux êtres supérieurs que nous connaissons et qui sont nos Maîtres, nos guides et nos instructeurs. Le nombre de sphères aux vi­brations supérieures qui sont « au-dessus » des nôtres est infini comme le volume et l’espace cosmique qui nous entourent. Nous ne pouvons nous situer sur l’échelle hiérarchique des niveaux d’évolution par rapport à ce qui est au-dessus et au-dessous de nous.

Nous savons seulement que notre mission est d’évoluer et de faire évoluer tous les éléments de la Création vers le Grand Constructeur de toutes choses. Nous ne nous sentons absolument pas supérieurs par rapport à vous et à tant d’autres sphères que nous devons aider, car nous savons que si vous le vouliez vraiment, vous pourriez instantanément nous rejoindre sur tous les plans. Sur le plan cosmique il n’est point de supérieurs, il n’est point d’inférieurs. Il n’est que des êtres qui retardent leur évolution par manque d’Amour.

Le fait de n’avoir aucun mérite à avoir atteint ce que vous appelez un certain niveau élevé d’évolution est dû à ce que nous avons la faculté, à tout moment de notre vie dans ce que vous appelez le " Présent ", de consulter ce que certains ini­tiés de votre planète appellent " Les Annales Akashiques ". Par ce moyen, nous rectifions constamment le cours de notre comportement et ceci depuis un nombre considérable de mil­liards de vos années. Mais pour en arriver là, depuis ce temps incommensurable, c’est volontairement que nous avons décidé de respecter la loi d’Amour sans laquelle il n’est point d’évo­lution, sans laquelle il n’est point de vraie vie.

Nous vous aimons et nous voudrions pouvoir vous faire comprendre cette loi sans enfreindre la loi du libre-arbitre vous faire comprendre que si seulement l’un de vous le voulait vraiment, c’est instantanément que lui serait donnée la connais­sance. La connaissance cosmique des choses et des êtres par la puissance de l’Amour Universel.

Cet Amour, certains d’entre vous le possèdent, mais ils ne peuvent et ne veulent le montrer, car vos semblables le refuse­raient; ils ne sont pas encore prêts, et ce manque de prépara­tion les aveugle au point de ne pas voir où l’amour se trouve, dans quels yeux il brille et supplie en vain.

A ceux d’entre vous à qui il a été donné de comprendre parfaitement la loi d’Amour, nous disons: ne perdez pas pa­tience, continuez de montrer et de donner l’Amour à chaque minute de votre vie ; car bientôt, très bientôt, des changements vont avoir lieu dans le coeur des hommes et la satisfaction sera grande pour vous ; vous serez récompensés de tout l’Amour que vous aurez donné, car il vous sera rendu au centuple. A très bientôt. »

Liens vers des documents plus complets sur ce contact :

• Livre complet "Les extraterrestres m'ont dit" de Pierre Monnet, éditions Alain Lefeuvre - format PDF: Cliquer ici ou autre version ici


Sites web :

Pierre Monnet sur Eveilhomme

Pierre Monnet, sur des forums


Vidéos Youtube de témoignage de Pierre Monnet :

"Comme un lundi !" (1996) - Invité entre autres : Pierre Monnet (épisodes 3,4,5,9)
Épisode 3 - Épisode 4 - Épisode 5 - Épisode 9