ZETA RETICULI – William Herrmann

UFO contact from Reticulum, William J. Herrmann et Wendelle Stevens.

Vidéos détaillées : Youtube, Odysee
Vidéos abrégées : Youtube, Odysee

Sommaire cliquable de liens internes :
◻️ Planète d'origine des contacts
◻️ Identité du contacté
  ➳ Qui est William Herrmann
  ➳ D'autres témoins
  ➳ Sur les crashs de vaisseaux récupérés par les USA
  ➳ Interception et espionnage flagrant de son courrier
  ➳ Conséquences néfastes dans la vie de William Herrmann
◻️ Époque et lieu du contact
◻️ Publication de l'histoire
◻️ Comment a eu lieu le contact
  ➳ Première observation le 12 novembre 1977
  ➳ Deuxième observation le 27 novembre 1977
  ➳ Troisième observation le 2 décembre 1977
  ➳ Quatrième observation du 4 décembre 1977
  ➳ Cinquième observation du 22 janvier 1978
  ➳ Enlèvement dans le vaisseau du 18 mars 1978
  ➳ La visite mystérieuse d’un faux « Tom Olsen »
  ➳ Soutiens et intimidations
  ➳ Évènement extraordinaire sur un écran d’ordinateur
  ➳ 2ème enlèvement à bord du vaisseau le 16 mai 1979
  ➳ Observation du 4 avril 1980, et 3ème engin photographié par Herrmann
  ➳ 5 janvier 1981 : prédictions d’observations et nombreux témoins
  ➳ Observation du 4 octobre 1981
  ➳ Observation et message du 24 novembre 1981
  ➳ William Herrmann veut arrêter tous les contacts
  ➳ Découverte d’une barre de cristal transparent
  ➳ Troisième montée à bord vers mi-juillet 1982
  ➳ Quatrième montée à bord du 29 juin 1983 et première discussion réelle
  ➳ Cambriolage chez Wendelle Stevens en août 1983
  ➳ Arrêt du contact vers la fin de l’année 1983
  ➳ Carl Harper : un autre témoin qui a vu et photographié
◻️ Apparence des habitants de de Zeta Reticuli
◻️ Description de leur monde et de leur civilisation
  ➳ Description physique de leur monde

Extrait 1 : vaisseaux spatiaux
  ➳ Apparence
  ➳ Indications sur le système de propulsion
  ➳ Technologie Réticulienne de propulsion
  ➳ L’antigravité par déviation du champ gravitationnel
  ➳ Schématique de l’unité d’alimentation de la propulsion
Extrait 2 : écriture symbolique et transmissions en anglais de Zeta Reticuli
  ➳ Écriture en langue semblant extraterrestre
  ➳ Transmissions de Zeta Reticuli en anglais compréhensible
Extrait 3 : le pourquoi du contact avec la Terre
  ➳ Régression hypnotique
  ➳ Les Réticuliens sont des explorateurs spatiaux qui nous observent
  ➳ La découverte de la Terre par les Zeta Réticuliens
  ➳ Comment est perçue la situation sur Terre par eux et leur action
  ➳ L’autorité à laquelle obéissent les Zeta Réticuliens concernant la Terre
  ➳ Barney et Betty Hill : les premiers enlevés probables par eux
  ➳ Un autre enlevé entre les Hill et Bill Herrmann
  ➳ Interception par les services de renseignement
  ➳ Explication du pourquoi de l’inculcation mentale à Bill Herrmann
  ➳ Histoire de la race Réticulienne
  ➳ Récit d’un conflit lors de l’exploration d’une autre planète
  ➳ Une entente de plus de 17000 mondes : invite à les rejoindre
  ➳ La Terre est autodestructrice à un point inattendu par eux
Extrait 4 : récit détaillé lors de l’enlèvement initial du 18 mars 1978
Extrait 5 : récit détaillé lors de l’enlèvement du 16 mai 1979
Extrait 6 : montée volontaire à bord du vaisseau du 29 juin 1983
Extrait 7 : apparition d’un objet de provenance extraterrestre
  ➳ Bill Herrmann voit un des extraterrestres dans sa chambre
  ➳ Analyse de la barre en métal
Extrait 8 : d’autres informations techniques transmises par le Réseau
Extrait 9 : connexion avec les Pléiadiens de Billy Meier
  ➳ Réticuliens et Pléiadiens vont à la même réunion
  ➳ Une autorité supérieure commune aux Réticuliens et Pléiadiens
  ➳ Les Pléiadiens de Billy Meier parlent de Zeta Reticuli

◻️ Compléments
  ➳ Un témoignage de rencontre de Zeta Reticuli avec W. Wirth
  ➳ Enlèvement de Barney et Betty Hill

🔗 Liens vers des documents plus complets sur ce contact

Planète d’origine des contacts :

Ils sont originaires des étoiles du système binaire Zeta Reticuli : Zeta 1 Reticuli et Zeta 2 Reticuli dans la constellation du Reticulum (du Réticule en français), constellation visible depuis l'hémisphère sud de la Terre seulement. D’après la cartographie stellaire cette étoile double constituée de deux naines jaunes est à 39 années-lumière de la Terre.

Zeta Reticuli : Zeta 1 Reticuli et Zeta 2 Reticuli dans la constellation du Reticulum. On note aussi les constellationd du Diorado et de l'Horlogium à côté, dont on parlera dans l'article aussi.
Zeta Reticuli : Zeta 1 Reticuli et Zeta 2 Reticuli dans la constellation du Reticulum. On note aussi les constellationd du Diorado et de l'Horlogium à côté, dont on parlera dans l'article aussi.

Identité du contacté :

William James Herrmann (surnommé Bill Herrmann) est né en août 1952 à Newport, dans le Rhode Island. Sa famille a vécu un certain temps dans le Rhode Island, puis a déménagé en Californie avant de revenir dans le Rhode Island, pour finalement s’installer en Caroline du Sud.

Il est arrivé à Charleston avec son père membre de la marine US, qui a fait emménager la famille en 1959. Après avoir obtenu son diplôme d'études secondaires, il a suivi une formation dans le cadre du programme ROTC de l'armée de l'air, puis a épousé la sœur d'un de ses camarades du ROTC.

Ses parents sont toujours en vie et en bonne santé. Il a deux sœurs, vit avec sa femme Patti et il est père d’une adorable fille appelée Mandi de trois ans à l’époque où le livre est écrit, vers 1981.

Il a un emploi de mécanicien automobile. Le parc de maisons mobiles (mobil homes) où Bill Herrmann résidait dans la rue Floyd Circle comptait environ une centaine de caravanes. D’après lui, la plupart des habitants étaient des célibataires ou des familles de militaires, avec aussi quelques policiers et ingénieurs. Il y vivait avec sa famille depuis mars 1977. Il décrivait le lieu comme respectable, généralement calme et bien entretenu. Lui et sa femme Patti appréciaient y vivre, mais aspiraient à posséder un jour leur propre maison. Leur objectif était de concrétiser le rêve américain : non pas une demeure luxueuse, mais un foyer qui leur appartienne, dans lequel ils puissent véritablement investir leur amour et leur vie.

William Herrmann, vers 1980.
William Herrmann, vers 1980.

Bill ne croyait pas aux ovnis avant que ses propres expériences ne commencent en 1977, car il pensait que l'armée de l'air avait donné une explication satisfaisante à ce phénomène. Il aurait raillé quiconque aurait professé une croyance sérieuse en ce sujet ridicule. Il pensait que les conclusions du Comité Condon répondaient à toutes les questions et n'a plus réfléchi à ce sujet jusqu'en 1977.

Son monde et toutes ses croyances ont été profondément ébranlés par les événements qui se sont déroulés autour de lui depuis lors.

Il a pu observer des engins volants du type soucoupe volante et en dessiner le détail, mais aussi il a pu prendre quelques photographies qui servent de preuve matérielle. Il y a eu aussi des nombreuses observations des mêmes engins volants par d’autres personnes comme témoins, et ceci a été publié dans les journaux locaux.

Photo de William Herrmann, utilisée dans un journal local parlant de son expérience. Il a été enlevé par les occupants de l’appareil avec qui il a pu parler, visiter l’intérieur de l’appareil.

Il a été enlevé par les occupants de l’appareil avec qui il a pu parler, visiter l’intérieur de l’appareil. Il sera interviewé par une équipe TV, et l’enquête menée par Wendelle Stevens durera plusieurs années. Il montera plusieurs fois dans le vaisseau, 4 fois sont mentionnées dans les livres.

Chaque fois qu’il est monté à bord du vaisseau, il est revenu avec une conscience élargie de nombreuses choses, et sa sensibilité psychique semble s’être améliorée. On s’attend à ce que les données nouvellement inculquées soient libérées dans son esprit conscient par des signaux, objets ou événements programmés pour déclencher le rappel.

Bill Hermann, extrait d’une vidéo documentaire TV d’enquête sur son cas.
Bill Hermann, extrait d’une vidéo documentaire TV d’enquête sur son cas.

Wendelle Stevens insiste sur le fait que les êtres observés et décrits par William Herrmann ne sont absolument pas les petits gris, qui ont été largement mis à publicité par Bud Hopkins. Ils ont de grosses têtes et sont de petite taille, mais tout le reste diffère des petits gris aux larges yeux noirs. Les êtres vus par Herrmann ont la peau très blanche, des yeux normaux même si un peu plus grands que les terriens, ont un nez peu protubérant mais existant. Pas de pilosité. : ni cheveux, ni cils ni sourcils.

De plus le commandant de bord du vaisseau, qui sera le guide de William Herrmann à chaque montée à bord, se montre gentil et prévenant. Il a un comportement bienveillant. Tout ceci n’a rien à voir avec le comportement des « gris ». Ainsi il ne faut pas faire la confusion, les Zeta Reticulien ne sont absolument pas des « petits gris ».

Ces êtres sont la deuxième race la plus observée dans les contacts extraterrestres après ceux ayant une apparence semblable aux terriens.

Un homme noir appelé Tony Martin, marié à une femme blanche nommée Melina sont devenus eux aussi partie prenante de cette affaire pendant un temps. Tony Martin, habitant Summerville, avait contacté William Herrmann et a fait des sorties avec lui où ils ont observé ensemble des vaisseaux. Puis Tony est devenu témoin de ces vaisseaux qui le suivaient parfois et apparaissaient au-dessus de son domicile, sans la présence de Herrmann. Il y aura le cas où une barre de cristal apparaîtra dans la voiture fermée à clef de Tony, après une observation. Lui et sa femme sont témoins tous les deux de ces observations. Ce couple mixte rappelle le cas de Barney et Betty Hill.

Tony Martin, qui a été témoin avec Bill Herrmann.
Tony Martin, qui a été témoin avec Bill Herrmann.

D’ailleurs les extraterrestres de Zeta Reticuli en contact avec Herrmann lui parleront du fait qu’ils avaient mené un contact avec deux personnes 18 ans auparavant, ce qui amenait exactement à la date de l’enlèvement des Hill, dont le contact on le rappelle leur avait dit venir de Zeta Reticuli.

Un autre témoin qu’on ne connaîtra que des années après, le docteur Harper qui habitait Charleston, a vu les vaisseaux lui aussi et en a pris en photo, plusieurs fois, les mêmes vaisseaux à la même période. Il a même reçu des injonctions télépathiques de ces vaisseaux parfois. Mais il n’a pas été enlevé. Il n’avait pas connaissance du cas de Herrmann et ce sera seulement en 1987 qu’il apprendra son existence.

Les extraterrestres du « Réseau » comme ils l’appellent expliqueront que ce réseau est constitué aussi d’autres races extraterrestres que la leur, tous travaillant dans ce « réseau » d’opérations avec la Terre.

Les cas d’enlèvement de Barney et Betty Hill au New Hampshire, mais aussi de Travis Walton en Arizona, et de Charles Moody à Almogordo au Nouveau Lexique correspondent à des êtres décrits exactement semblables à ceux du contact avec William Herrmann. Sauf que lui est un contacté récurrent sur plusieurs années, ayant un statut pour eux de contacté-diffuseur à qui ils donnent des informations au long terme, statut qu’ils ont appelé dans leur langue « Andbhati ».

Plusieurs vaisseaux appartenant au réseau se sont crashés aux USA et ils expliquent qu’ils ont déterminé que c’était un faisceau d’énergie qui mettait hors contrôle leur ordinateur, ils ont pensé à une attaque des terriens, avant de comprendre que c’était dû aux faisceaux radar. Notamment on sait qu’un radar de forte puissance avait été installé au Mont Telluride à l’époque et qu’il était si puissant qu’on retrouvait des animaux morts partout dans son voisinage. Il couvrait une bonne partie du territoire Ouest américain, là où les vaisseaux ont été crashés principalement. Ils ont adopté une stratégie de vol par sauts pour ne pas rester dans les faisceaux du radar depuis, et n’ont plus subi de perte d’appareil. À noter que cette information sur la déstabilisation des appareils volants extraterrestres ayant conduit à des crashs a déjà été donnée aussi par d’autres sources de contact extraterrestre. Mais cela a été solutionné par eux, ils ont été surpris au début et ont pris le temps pour comprendre la nature du problème.

Le courrier qu’il envoyait à Wendelle Stevens contenant des photos et des textes de messages télépathiques reçus était intercepté et ouvert, des annotations de services de renseignement apparaissant clairement dessus, sans se cacher. Les courriers étaient envoyés avec plusieurs semaines de retard dans des enveloppes parfois différentes et parfois avec des pages manquantes. Les services de renseignement ont parfois proféré des intimidations aussi sur les notes écrites qu’ils laissaient sur les courriers. Des négatifs envoyés par Herrmann à Stevens ont été interceptés et des morceaux coupés dessus, certains complètement disparus.

Alors que le cas de William Herrmann devenait connu localement, il a reçu de nombreuses menaces, par des gens qui considéraient qu’il était en contact avec le démon, surtout des personnes religieuses. Mais aussi d’autres menaces. Les pneus de sa voiture seront crevés. Ses amis ne veulent plus avoir de contact avec lui et ses voisins deviennent infectes.

A cause de ce contact il va être licencié de son travail, son employeur ne voulant pas de la mauvaise publicité, et plus personne ne voulait lui donner de travail.

Sa maison sera cambriolée, et finalement entièrement brûlée.

Comme sa femme et lui étaient très impliqués dans leur communauté religieuse qui a vite considéré ceci comme un contact démoniaque ils ont été sommés de tout arrêter sous peine d’excommunication pour hérésie. William Herrmann a subi la pression de son église et de son épouse très croyante.

Le 10 novembre 1981 a été évincé de sa fonction d’enseignant aux enfants de l’église de l’école paroissiale car il venait de donner une interview à la TV sur les Ovnis. Son église lui a dit qu’il marchait dans les pas de Satan. Il ne lui a pas été donné l’occasion de leur parler, il a été jugé et condamné par eux. Les gens de son église lui ont pris la barre de métal qui lui avait été donnée par les Réticuliens comme signe du lien entre eux et Herrmann, et l’ont jeté dans la baie, comme acte de repentance qu’il a accepté, pour essayer de regagner son acceptation auprès d’eux et de sa femme qui était très croyante. Wendelle Stevens s’indignera à juste titre contre ce comportement de sous-développement religieux profond de son église.

Son mariage a été brisé à cause de tout cela et sa vie est devenue un enfer. Au point qu’à la fin de 1983 il arrête de parler à quiconque et veut oublier ce contact et refuse d’aborder le sujet de nouveau.

Époque et lieu du contact :

La première observation visuelle a eu lieu le du 12 novembre 1977, depuis la zone des Ferry B et la zone de la rivière Ashley à Charleston. S’en sont suivies 4 autres observations émaillées dans les mois qui suivent dans les mêmes zones, jusqu’au 18 mars 1978 où la 6ème observation a été aussi suivie d’un enlèvement juste aux bords de la rivière Ashley, par les êtres pilotant l’appareil, faisant de lui un contacté.

Emplacement de Charleston et Ashley River, Caroline du Sud, USA.
Emplacement de Charleston et Ashley River, Caroline du Sud, USA.
Ferry Bees, Ashley River, près de Charleston, USA.
Ferry Bees, Ashley River, près de Charleston, USA.
Rue Ozark où habite William Herrmann et sa famille dans un mobilhome près de Ashley River, Charleston, USA. Il réside à côté d’une zone de marécage bordant la rivière.

Publication de l’histoire :

Wendelle Stevens a publié le cas détaillé et volumineux en détails du contact de William Herrmann dans un livre intitulé « UFO contact from Reticulum », paru en 1981.

« UFO contact from Reticulum », William J. Hermann, édité par Wendelle Stevens en 1981. Contacts de Zeta Reticuli.
« UFO contact from Reticulum », William J. Hermann, édité par Wendelle Stevens en 1981. Contacts avec Zeta Reticuli.

Puis, comme Bill Herrmann a continué à être en contact, Wendelle Stevens a publié plus tard un second livre avec du nouveau contenu supplémentaire provenant des nouveaux contacts dans un autre livre intitulé « UFO contact from Reticulum, update », paru en 1989.

« UFO contact from Reticulum », William J. Hermann, édité par Wendelle Stevens en 1989. Contacts de Zeta Reticuli.
« UFO contact from Reticulum », William J. Hermann, édité par Wendelle Stevens en 1989. Contacts avec Zeta Reticuli, la suite.

Le cumul de ces deux livrex couvre environ 800 pages et c'est ce contenu source qui sert à l'article actuel. Et il y a de la matière dedans, donc l'article est fourni.

A savoir que c'est Wendelle Stevens qui a écrit les deux livres, avec du matériel écrit envoyé par William Herrmann (ses réceptions de messages, ses photographies, ses schémas) et avec l'enquête sur terrrain de Wendelle Stevens qui complétait en parlant aux témoins, allait voir les lieux, parlait évidement beaucoup avec Herrmann. Mais ce dernier n'a rien rédigé dans les livres de lui-même. D'ailleurs quand Stevens voulait publier le deuxième livre, Herrmann ne voulait plus entendre parler de son contact qui lui avait posé beaucoup de problèmes, Stevens n'a même pas pu avoir ni son accord ni son désaccord pour qu'un deuxième livre sur son cas soit édité. Herrmann avait donné son plein accord pour la publication du premier livre sur son cas, à ce moment-là il parlait publiquement à qui le voulait de son affaire.

Des articles de journaux paraîtront sur son cas à plusieurs reprises. Un exemple ici :

Article du National enquireer sur William Herrmann et son hypnose régressive pour retrouver la pleine mémoire de son enlèvement par un Ovni.
Article du National enquireer sur William Herrmann et son hypnose régressive pour retrouver la pleine mémoire de son enlèvement par un Ovni.

Comment a eu lieu le contact :

William Herrmann a commencé a observé un premier Ovni en forme de disques volants argentés avec un dôme, après quoi les observations se succèderont avec des disques dont la forme est différente selon les fois. Il les prendra plusieurs fois en photo.

Il ne sera pas le seul témoin de ces observations, qui seront reportées dans des journaux locaux durant cette période par d’autres témoins. Le phénomène semble l’observer à partir d’un moment donné, et il finira par être enlevé lors d’un contact rapproché avec un engin spatial observé. Il a le souvenir de ce qu’il a vécu et vu à bord de l’appareil. Il sera enlevé une deuxième fois ultérieurement, mais cette fois-ci préparé à la chose. Il attendait un troisième enlèvement lorsque le livre 1 d’enquête de Wendelle Stevens été bouclé. Un livre 2 de mise à jour sur les contacts et enlèvements depuis le livre 1 a été publié après par Wendelle Stevens plus tard.

La première observation d’engin volant de type Ovni par Herrmann date du 12 novembre 1977, depuis la zone des Ferry B et la zone de la rivière Ashley à Charleston dans le secteur où il vivait.

L'OVNI a été observé à l'aide de jumelles qui montrent une hauteur de 314 pieds à 1 000 mètres. Un disque argenté brillant a d'abord été vu se déplaçant derrière un petit avion privé (Cessna à voilure fixe) alors que le Cessna monomoteur s'inclinait et tournait en direction de l'aéroport municipal de Charleston. L'OVNI dépasse le Cessna et continue sur une trajectoire rectiligne, puis s'arrête et la luminosité augmente en intensité. Soudain, l'OVNI prend rapidement de l'altitude, se déplaçant vers le haut hors de portée visuelle.

Dessin de l’observation du 12 novembre 1977 dans le premier livre.
Dessin de l’observation du 12 novembre 1977 dans le premier livre.
Dessin de l’observation du 12 novembre 1977 dans le deuxième livre.
Dessin de l’observation du 12 novembre 1977 dans le deuxième livre.

L'OVNI a été observé à l'aide de jumelles. Au cours de l'observation, l'OVNI a été photographié avec un appareil Instamatic 126 utilisant un film couleur. L'OVNI a d'abord été observé depuis ma maison (Trailer Home), et a été vu en vol stationnaire au-dessus du pylône électrique de SC&G qui se trouve près de B's Ferry et au-dessus de la région de la rivière Ashley et du pont de chemin de fer. L'OVNI s'éloigne ensuite lentement de la tour électrique et semble suivre les lignes électriques.

« J'aurais aimé avoir un appareil photo pour le photographier. Je me suis alors souvenu que l'Instamatic se trouvait dans la boîte à gants depuis la fête d'anniversaire de notre fille. Mais je pensais que ma femme l'avait déjà ramené à la maison. J'ai ouvert la boîte à gants et l'appareil photo était là ! Je me suis dit que personne ne croirait jamais cela. J'ai vu qu'il restait sept photos couleur dans l'appareil.

Muni d'un appareil photo et de jumelles, je suis monté dans ma voiture et j'ai quitté le parc de caravanes pour descendre l'avenue Montague Ouest. Du côté passager de la voiture, je pouvais voir l'OVNI juste au-dessus des lignes électriques et au niveau de la cime des arbres. À ce moment-là, l'OVNI se trouvait au-dessus de la subdivision de Wando Woods. J'ai pensé que si l'OVNI continuait sur sa trajectoire actuelle, les lignes électriques l'amèneraient au-dessus du champ de foire du comté de Charleston, et j'ai donc accéléré jusqu'au champ de foire. Je me suis garé dans le champ de foire juste au moment où l'OVNI traversait Dorchester Road. Alors qu'il entrait dans le champ de foire, l'OVNI a commencé à se déplacer de façon triangulaire.

L'objet se trouvait désormais au-dessus du parc des expositions et se déplaçait de manière erratique en formant un triangle, montant... descendait... tournait sans inclinaison... se déplaçant en un large cercle au-dessus du champ de foire.

C'est à ce moment-là que je me suis précipité. J'ai pris les sept photos, puis j'ai jeté l'appareil photo sur le siège de la voiture (je n'avais que 7 photos dans mon appareil en raison de l'utilisation de cet appareil photo lors de la fête d'anniversaire de notre fille Mandi), j'ai vu l'OVNI découper un triangle étroit, s'élever dans les nuages et disparaître en l'espace de quelques secondes. »

Dessin de l’observation du 27 novembre 1977.
Dessin de l’observation du 27 novembre 1977.
Charleston, Caroline du Sud, 27 novembre 1977, de 17h30 à 17h45. Photos numéros trois des quatre clichés pris par William J. Herrmann au parc des expositions du comté, à North Charleston.
Charleston, Caroline du Sud, 27 novembre 1977, de 17h30 à 17h45. Photos numéros trois des quatre clichés pris par William J. Herrmann au parc des expositions du comté, à North Charleston.
Charleston, Caroline du Sud, 27 novembre 1977, de 17h30 à 17h45. Photos quatre des quatre clichés pris par William J. Herrmann au parc des expositions du comté, à North Charleston.
Charleston, Caroline du Sud, 27 novembre 1977, de 17h30 à 17h45. Photos quatre des quatre clichés pris par William J. Herrmann au parc des expositions du comté, à North Charleston.
27 novembre 1977, 17 h 30, County Fairgrounds, North Charleston, Caroline du Sud. Ces photos ont été prises sous un ciel nuageux et couvert en fin de journée et ne sont pas très réussies. Elles sont sombres, mais l'objet est clairement visible, ce qui a convaincu le témoin de la réalité de son expérience. Il s'agit de la première version des vaisseaux Réticuliens vus et photographiés par Bill Herrmann.
27 novembre 1977, 17 h 30, County Fairgrounds, North Charleston, Caroline du Sud. Ces photos ont été prises sous un ciel nuageux et couvert en fin de journée et ne sont pas très réussies. Elles sont sombres, mais l'objet est clairement visible, ce qui a convaincu le témoin de la réalité de son expérience. Il s'agit de la première version des vaisseaux Réticuliens vus et photographiés par Bill Herrmann.
Schéma de la version de l’appareil volant observé et photographié par Bill Herrmann le 27 novembre 1977.
Schéma de la version de l’appareil volant observé et photographié par Bill Herrmann le 27 novembre 1977.
William Herrmann montre lors d'un documentaire  TV, son dessin représentant la première version du vaisseau spatial de Zeta Reticuli , vu à plusieurs reprises et photographié le 27 novembre 1977.
William Herrmann montre lors d'un documentaire TV, son dessin représentant la première version du vaisseau spatial , vu à plusieurs reprises et photographié le 27 novembre 1977.

« Je dormais à la maison. Ma femme, Patti, était partie en ville avec des amis. Notre fille Mandi dormait également dans son parc. Soudain, j'ai été réveillé par une secousse et je me suis immédiatement rendu compte que la caravane tremblait. J'ai d'abord pensé qu'un train avait déraillé ou qu'un avion s'était écrasé dans le parc, tant la secousse était intense. J'ai sauté du lit et j'ai regardé par la fenêtre. À mon grand étonnement, tout semblait aller bien, pas de fumée, pas de personnes à l'extérieur, rien qui ne sorte de l'ordinaire. Alors que je regardais par la fenêtre, la secousse s'est intensifiée et j'ai soudain remarqué un disque argenté brillant planant au-dessus du deuxième pylône électrique (celui de gauche). J'ai commencé à aller chercher mes jumelles dans le salon. Avant que je puisse le faire, une plaque de céramique s'est détachée du mur et s'est écrasée sur le sol. Mandi s'est alors réveillée en pleurant. Je me suis penché sur le parc pour enfants et l'ai prise dans mes bras, en essayant de la réconforter. J'ai pris les jumelles et je suis retournée à la fenêtre. Lorsque j'ai tiré le rideau pour regarder, les secousses ont cessé. Lorsque j'ai regardé la zone de la tour électrique, l'OVNI a disparu. (Des informations ultérieures ont révélé qu'un OVNI a été observé par M. W. P. de Charleston vers 15h30 le 2 décembre 1977, au-dessus de la région de West Ashley). »

Dessin de l’observation du 2 décembre 1977. Le vaisseau était positionné ainsi lorsqu'un très fort bang produisant une secousse aérienne dans le ciel fut perçu, qui a secoué aussi assez fortement son mobilhome et a effrayé sa fille Mandi.
Dessin de l’observation du 2 décembre 1977. Le vaisseau était positionné ainsi lorsqu'un très fort bang produisant une secousse aérienne dans le ciel fut perçu, qui a secoué aussi assez fortement son mobilhome et a effrayé sa fille Mandi.

Note du livre :

Les secousses ressenties ont eu lieu souvent lors de l’observation de l’engin volant et ont été reportés par de nombreuses personnes habitant la ville. C’était des sortes de Bang sonique dus au déplacement rapide de l’engin dans le ciel semble-t-il.

En effet Bill Herrmann dit dans son livre : « Je lisais la chronique d’Ashley Cooper lorsque le bulletin spécial est arrivé, et le journaliste télévisé parlait des « détonations », des « séismes aériens »... tout Charleston avait ressenti les « vibrations »... il y avait une sismologue au Baptist College, Joyce Bagwell, dont l’appareil avait effectivement détecté les vibrations... l’Armée de l’air avait déclaré ne rien savoir... « à leur connaissance, ce n’étaient pas des bangs soniques ». »

Dessin de l’engin volant observé en détail le 2 décembre 1977.
Dessin de l’engin volant observé en détail le 2 décembre 1977.

Toujours depuis sa maison, Ovni observé par sa femme, Patti, qui l'a vu se déplacer en forme de triangle.

« Le dimanche 4 décembre, nous avons décidé de décorer notre sapin de Noël. Nous avons tous deux décidé de mettre de côté toutes les discussions sur les ovnis et de nous mettre dans l'esprit de Noël. Après avoir rendu visite à sa mère cet après-midi-là, nous sommes rentrés à la maison, avons dîné, avons rassemblé le sapin et les décorations, et avons écouté de la musique de Noël, chanté des chansons et passé un bon moment.

Vers 20 h 35, Patti a mis la touche finale au sapin et a commencé à balayer le désordre sur le sol. Elle a ouvert la porte pour balayer l'excès de poussière et les décorations. J'étais assis et je jouais avec Mandi. Soudain, Patti m'a appelé à la porte. L'objet était à nouveau visible et se déplaçait selon les motifs triangulaires désormais familiers au-dessus de la zone de B's Ferry. Il était en forme de disque, de couleur argentée, et dégageait un effet scintillant semblable à celui d'une étoile. Il se trouvait dans la zone des pylônes électriques à haute tension et du pont ferroviaire à B's Ferry. Après environ 15 minutes, l'objet s'est précipité vers le haut, hors de vue, et a disparu. C'était la première fois que Patti voyait le disque. Elle a éprouvé un sentiment d'émerveillement. Nous avons alors remarqué un phénomène étrange... même si le parc de caravanes n'autorise pas les animaux et les animaux de compagnie, on pouvait entendre les chiens des zones voisines hurler et aboyer. Cela a continué jusqu'au petit matin, vers 3 h 30. »

Observation de puis la zone de Cross-Country Road et la zone de Dorchester Road, près de la base aérienne de Charleston.

« Note : Parmi les avions en vol au moment de l'observation, il y avait un Boeing 727 d'Eastern Airlines et trois Lockheed Starlifters C-141 de l'USAF.

En me rendant à l'église, j'avais quitté Dorchester Road pour emprunter Cross-Country Road, qui débouche sur Ashley Phosphate Road, près de notre église (Northside Baptist). Un objet argenté brillant en forme de disque a traversé la route et a filé vers le haut. J'ai fait demi-tour pour revenir sur Dorchester Road et j'ai accéléré pour remonter Dorchester Road en direction de Summerville.

J'ai cherché l'OVNI du côté passager de ma voiture et je l'ai vu juste au moment où j'arrivais au Majik Market. L'objet se déplaçait de façon triangulaire de l'autre côté de l'autoroute, au-dessus d'un champ. Il était de couleur argent vif et avait la forme d'un disque. J'ai fait entrer ma voiture dans le champ et je me suis garé à côté d'un atelier de transmission. Je suis sorti de la voiture, mon appareil photo et mes jumelles à la main, et je me suis dirigé vers le milieu du champ où l'OVNI se déplaçait. L'objet décrivait un large cercle autour du champ. Puis il est descendu à la hauteur de la cime des arbres, a accéléré et est sorti du champ sur ma gauche, toujours à la hauteur de la cime des arbres.

En une ou deux secondes, l'OVNI a de nouveau suivi une trajectoire en triangles et s'est déplacé gracieusement à travers le champ. En regardant à travers des jumelles, j'ai vu l'objet changer de couleur. La seule façon dont je peux le décrire est que c'était presque comme si la couleur avait baissé (comme un variateur de lumière réglable dans un salon ou une salle à manger), avec la luminosité argentée diminuée, l'objet avait l'air métallique et était un mélange d'orange et d'argent, comme des guirlandes de Noël, et le disque avait l'air très propre.

Exemple de type de trajectoire en triangles qu’a suivi l’appareil le 22 janvier 1978, et plusieurs autres observés se déplaçant dans le même style de trajectoire.
Exemple de type de trajectoire en triangles qu’a suivi l’appareil le 22 janvier 1978, et plusieurs autres observés se déplaçant dans le même style de trajectoire.
William Herrmann montre pour le documentaire TV l'étrange trajectoire triangulaire suivie par le vaisseau spatial extraterrestre.
William Herrmann montre pour le documentaire TV l'étrange trajectoire triangulaire suivie par le vaisseau spatial extraterrestre.

Il y avait un dôme étendu au centre du disque, sur le dessus, et je n'ai pas vu de fenêtres ou de hublots d'aucune sorte. La surface était très polie et, je le répète, d'apparence propre. J'ai été frappé par le fait qu'il n'y avait aucun bruit, seulement la brise qui soufflait dans le champ.

L'objet se déplace dans un champ ouvert près de Dorchester Road alors qu'il exécute d'étranges trajectoires triangulaires dans les airs. L'objet avait une surface argentée brillante avec une lueur coronale orange qui circulait autour de lui selon un motif constant, en particulier au niveau des rebords. La couronne orange variait de manière intermittente en densité tout au long de l'observation.

22 janvier 1978, de 10h20 à 11h05, Dorchester Road à Forest Hills. La photo numéro 5 présentée ici montre l’objet au plus près. Remarquez les petites protubérances sous la partie inférieure de l’appareil. Il y en avait trois.
22 janvier 1978, de 10h20 à 11h05, Dorchester Road à Forest Hills. La photo numéro 5 présentée ici montre l’objet au plus près. Remarquez les petites protubérances sous la partie inférieure de l’appareil. Il y en avait trois.
22 janvier 1978, de 10h20 à 11h05, Dorchester Road à Forest Hills. Agrandissement de la vue numéro 6 prise avec l’Instamatic. Remarquez les structures en forme de nacelle visibles sur la face inférieure du vaisseau dans cette photographie.
22 janvier 1978, de 10h20 à 11h05, Dorchester Road à Forest Hills. Agrandissement de la vue numéro 6 prise avec l’Instamatic. Remarquez les structures en forme de nacelle visibles sur la face inférieure du vaisseau dans cette photographie.
22 janvier 1978, de 10h20 à 11h05, Dorchester Road à Forest Hills. La photo numéro 7 ci-dessus montre l’objet avec une forte inclinaison vers la droite, se déplaçant selon le désormais familier schéma de vol triangulaire, fait de virages brusques et anguleux.
22 janvier 1978, de 10h20 à 11h05, Dorchester Road à Forest Hills. La photo numéro 7 ci-dessus montre l’objet avec une forte inclinaison vers la droite, se déplaçant selon le désormais familier schéma de vol triangulaire, fait de virages brusques et anguleux.
22 janvier 1978, de 10h20 à 11h05, Dorchester Road à Forest Hills. La photo numéro 8 montre un objet argenté surmonté d’un dôme blanc, avec une collerette rouge orangé autour du rebord et des protubérances sous la surface inférieure du vaisseau incliné vers la gauche.
22 janvier 1978, de 10h20 à 11h05, Dorchester Road à Forest Hills. La photo numéro 8 montre un objet argenté surmonté d’un dôme blanc, avec une collerette rouge orangé autour du rebord et des protubérances sous la surface inférieure du vaisseau incliné vers la gauche.

Les versions couleurs des photos dont je dispose sont des scans plutôt flous par rapport aux versions noir et blanc précédentes, mais les voici :

Seconde variante le 22 janvier 1978 près de la rivière Ashley par William Herrmann. Zoom image 1.
Seconde variante le 22 janvier 1978 près de la rivière Ashley par William Herrmann. Zoom image 2.
Seconde variante le 22 janvier 1978 près de la rivière Ashley par William Herrmann. Zoom image 3.
Seconde variante le 22 janvier 1978 près de la rivière Ashley par William Herrmann. Zoom image 4.
Seconde variante le 22 janvier 1978 près de la rivière Ashley par William Herrmann. Zoom image 5.

Recadrage du détail de l’appareil sur 5 des 12 photographies en couleur prises du vaisseau de la seconde variante le 22 janvier 1978 près de la rivière Ashley par William Herrmann.

Schéma de la version de l’appareil volant observé et photographié par Bill Herrmann le 22 janvier 1978, qui est identique à celui vu aussi par lui lors de son enlèvement du 18 mars 1978.
Schéma de la version de l’appareil volant observé et photographié par Bill Herrmann le 22 janvier 1978, qui est identique à celui vu aussi par lui lors de son enlèvement du 18 mars 1978.
Herrmann décrit la deuxième version du vaisseau métallique argenté entouré d'une couronne de lumière orange.
Herrmann décrit la deuxième version du vaisseau métallique argenté entouré d'une couronne de lumière orange.
Vue de côté de la seconde version de disque volant observé par Herrmann, comme celui du 4 décembre 1977. Le dessin montre le flux lumineux orange de type halo comme une couronne au-dessus de la surface de type métallique du vaisseau. Remarquez la structure en forme de capsule sur le dessous et le dôme élevé sur le dessus. Les 3 protusions du dessous en forme de cloche tournaient dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. L’apparence de surface du disque est orange et argenté, métallique.
Vue de côté de la seconde version de disque volant observé par Herrmann, comme celui du 4 décembre 1977. Le dessin montre le flux lumineux orange de type halo comme une couronne au-dessus de la surface de type métallique du vaisseau. Remarquez la structure en forme de capsule sur le dessous et le dôme élevé sur le dessus. Les 3 protusions du dessous en forme de cloche tournaient dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. L’apparence de surface du disque est orange et argenté, métallique.
22 janvier 1978. Le vaisseau spatial réticulien revient après avoir suivi le transport aérien C-141 de l'USAF lors de son approche finale vers la base aérienne de Charleston. Il s'est approché à une distance équivalente à la moitié de la longueur de l'avion, juste derrière l'empennage en « T » du turbopropulseur.
22 janvier 1978. Le vaisseau spatial réticulien revient après avoir suivi le transport aérien C-141 de l'USAF lors de son approche finale vers la base aérienne de Charleston. Il s'est approché à une distance équivalente à la moitié de la longueur de l'avion, juste derrière l'empennage en « T » du turbopropulseur.
22 janvier 1978. Le vaisseau est passé au-dessus lors de sa dernière descente dans cet épisode de contact, a effectué un changement de trajectoire vertical, puis a disparu en s’élevant droit vers le ciel jusqu’à sortir de vue.
22 janvier 1978. Le vaisseau est passé au-dessus lors de sa dernière descente dans cet épisode de contact, a effectué un changement de trajectoire vertical, puis a disparu en s’élevant droit vers le ciel jusqu’à sortir de vue.
Le croquis de profil réalisé par le témoin représente le second type de vaisseau, utilisé lors de son premier enlèvement. On notera le halo de lumière autour de la face inférieure du vaisseau. Cette couronne ne touchait pas l'appareil.
Le croquis de profil réalisé par le témoin représente le second type de vaisseau, utilisé lors de son premier enlèvement. On notera le halo de lumière autour de la face inférieure du vaisseau. Cette couronne ne touchait pas l'appareil.
Dessous de l’appareil tel qu’observé par Herrmann à plusieurs reprises y compris le 22 janvier 1978. On y observe une boite pulsante de couleur orange et argent contenant 4 triangles pulsant selon des séquences de nombres de pulsation 1-2-3-4-3-2-1. Des sortes de tube sont visibles connectés à la boite séparant les zones triangulaires. Les protusions circulaires tournent dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Un halo lumineux argenté intermittent avec un éclat orange qui s’étend en forme de cercle est visible sur le bas du disque.
Dessous de l’appareil tel qu’observé par Herrmann à plusieurs reprises y compris le 22 janvier 1978. On y observe une boite pulsante de couleur orange et argent contenant 4 triangles pulsant selon des séquences de nombres de pulsation 1-2-3-4-3-2-1. Des sortes de tube sont visibles connectés à la boite séparant les zones triangulaires. Les protusions circulaires tournent dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Un halo lumineux argenté intermittent avec un éclat orange qui s’étend en forme de cercle est visible sur le bas du disque.
Autre dessin avec explicatif du dessous de l’appareil observé le 22 janvier 1978 par Herrmann.
Autre dessin avec explicatif du dessous de l’appareil observé le 22 janvier 1978 par Herrmann.

L'OVNI a parcouru un autre triangle et a pris rapidement de l'altitude... avant de retraverser le champ en décrivant un autre grand cercle. Je prenais des photos et, sous l'effet de l'excitation ou de la nervosité, j'ai eu du mal à stabiliser l'objet dans le viseur. L'OVNI est retombé juste au-dessus des arbres, a ralenti et a brusquement changé de direction pour se diriger vers l'endroit où je me trouvais. Un sentiment d'immense curiosité m'a alors envahi. En y repensant, je me demande pourquoi je ne me suis pas enfui. Tout ce que je peux comprendre, c'est que j'avais l'impression d'être observé. Lorsque l'OVNI est passé au-dessus de l'endroit où je me trouvais, j'ai pu voir clairement un spectacle que je n'oublierai jamais. Un mélange de lumière et d'activité qui m'a fait prendre conscience de la petitesse de l'homme et de l'humanité. »

Dessin de l’observation du 22 janvier 1978. Le disque volant a volé pendant 2 minutes en direction de l’avion C-141 puis a inversé son sens de parcours.
Dessin de l’observation du 22 janvier 1978. Le disque volant a volé pendant 2 minutes en direction de l’avion C-141 puis a inversé son sens de parcours.

Confirmation par le pilote de l’avion du C-141 :

Le capitaine de l’Armée de l’air Samuel F. Eskew, pilote de transport aérien âgé de 28 ans basé à la base aérienne de Pope, a appelé Herrmann dans la soirée du 29 novembre 1978 pour s’enquérir d’une rumeur qu’il avait entendue : selon celle-ci, Herrmann aurait photographié un OVNI accompagnant un avion de transport Lockheed C-141 Starlifter lors de son approche finale vers la base aérienne de Charleston le 22 janvier. Eskew souhaitait vérifier cette information et discuter de la description de l’objet ainsi que de son comportement à proximité de l’appareil. Le capitaine connaissait le lieutenant-colonel Gary Henderson, que l’on a identifié comme étant le pilote du C-141 en vol ce 22 janvier, entre 09h50 et 10h05.

Un rapport intitulé Mission Record and Flying Hours Report, daté du 22 janvier et portant le numéro local S-1, issu d’un dossier de plusieurs pages déposé à la section des opérations de l’escadron de transport Starlifter à la base aérienne de Charleston, indiquait que le lieutenant-colonel Gary Henderson et son équipage avaient piloté un C-141 dans la région locale entre 09h10 et 11h00. Le seul autre C-141 durant cette période avait décollé puis quitté la zone. De gros efforts avaient été déployés pour tenter de contacter Henderson, qui avait eu vent de l’enquête et en avait parlé au capitaine.

Ce capitaine confia à Bill Herrmann qu’il avait lui-même vécu une expérience en vol avec un OVNI au cours de ce même mois de janvier, dans les environs de la base aérienne de Charleston. Il parla longuement avec Herrmann par téléphone, pendant plus d’une heure, au sujet d’un engin circulaire en forme de disque qui avait accompagné son vol à bord d’un avion de transport Lockheed C-130 Hercules, près de Charleston.

L’ingénieur de vol avait été le premier à apercevoir l’objet, à l’arrière de l’appareil et légèrement sur la gauche. Il en informa les autres membres de l’équipage, qui purent eux aussi l’observer. Lorsque l’ingénieur prévint le pilote, celui-ci fit pivoter la queue de l’avion vers la droite pour tenter de le voir, mais au même moment, l’objet se déplaça lui aussi vers la droite, passant derrière la queue de l’appareil et s’élevant vers le ciel. Le capitaine ne fit donc qu’apercevoir brièvement l’objet, mais les autres membres de l’équipage lui fournirent les détails de l’événement.

Au cours de cette conversation, le capitaine expliqua à Bill Herrmann que, depuis son expérience, il avait interrogé d’autres équipages au sujet d’incidents similaires et avait constitué une liste assez fournie de tels cas, avec les noms des pilotes, des membres d’équipage et les références des vols, qu’il comptait lui envoyer par courrier.

« Alors que j'observais un OVNI se déplaçant de façon triangulaire, j'étais debout et je me suis dit que j'allais essayer de voir l'objet de plus près.

Autre schéma du type de vol en triangles effectué par les appareils observés. Herrmann reçut l’information d’un des occupants de l’appareil lors de ses enlèvements que cette trajectoire de vol des vaisseaux de Zeta Reticuli était destinée à réduire l’effet d’un certain type de radar sur leur système informatique de navigation (à priori il parle de la perturbation de leur contrôle à bord par les radars humains au sol, et la trajectoire évite de rester dans le faisceau du radar trop longtemps).
Autre schéma du type de vol en triangles effectué par les appareils observés. Herrmann reçut l’information d’un des occupants de l’appareil lors de ses enlèvements que cette trajectoire de vol des vaisseaux de Zeta Reticuli était destinée à réduire l’effet d’un certain type de radar sur leur système informatique de navigation (à priori il parle de la perturbation de leur contrôle à bord par les radars humains au sol, et la trajectoire évite de rester dans le faisceau du radar trop longtemps).

J'ai donc marché jusqu'à l'extrémité du parc de caravanes et j'ai traversé une zone où je connaissais un raccourci. Le chemin menait à la voie ferrée et à la zone des tréteaux, tout près des pylônes électriques, et à la zone générale sous l'OVNI. Mais lorsque je suis arrivé au bout de la rue (Floyd Circle), la clôture où se trouvait le raccourci n'était plus ouverte... elle avait été réparée. J'ai donc quitté le parc de caravanes en courant et je me suis dirigé vers le sentier. Je marchais le long de la voie ferrée sur une courte distance et je pouvais voir l'OVNI planer au-dessus du pylône électrique gauche de SCE&G. Je me suis arrêté de marcher et je suis resté là pendant que l'OVNI se dirigeait vers la voie ferrée.

Cerclée de rouge la zone approximative où a eu lieu l’enlèvement de William Herrmann le 18 mars 1978.

J'ai arrêté de marcher et je suis resté debout pendant que je voyais l'objet commencer une autre figure triangulaire. Puis l'OVNI a soudainement chuté... pendant un moment, j'ai cru qu'il allait toucher la rivière ou le marais. Au lieu de cela, l'OVNI est resté là, juste au-dessus de la rivière Ashley. Puis la luminosité a disparu... instantanément, comme si une lumière s'était éteinte. Avant que je puisse compter jusqu'à quatre, j’ai vu un mouvement flou et l'objet s'est précipité vers l'avant à une vitesse incroyable, en direction de l'endroit où je me trouvais. Il a débordé de l'espace entre deux buissons, mesuré plus tard à 60 pieds (20 mètres). L'OVNI n'était plus qu'à 10 ou 15 pieds (3 à 5 mètres) devant l'endroit où je me trouvais et juste au-dessus d'un grand buisson qui me faisait face.

J'ai été très surpris, j'ai perdu pied et j'ai commencé à tomber, perdant l'équilibre. Je me suis rapidement retourné pour voir sur quoi j'allais tomber... à cet instant, un certain nombre de choses ont commencé à se produire. Je me suis rendu compte qu'il y avait une brume de lumière bleue qui semblait partir de la base du disque et un contour sombre. J'ai vu les roseaux du marais se balancer, mais je n'ai pas senti de vent. Un sentiment mêlé de curiosité et de peur m'a envahi. J'ai essayé de passer mes mains à travers la brume bleue... et à ma grande surprise, j'ai pu passer mes mains à travers. Je semblais également conserver mon équilibre... et je n'avais pas l'impression de tomber. À ce stade du récit, mon esprit est flou et je ne me souviens pas exactement de ce qui s'est passé ensuite. Tout ce dont je me souviens, c'est d'un son... plutôt lointain... et pulsant... une sorte de bourdonnement, et la première impression est que la source du son se trouve en bas... dans un sous-sol. À partir de là, les détails sont vagues. Je me souviens m'être réveillé... allongé sur un lit ou une table... et dans une petite pièce rougeâtre... et il y a trois individus debout près d'une boîte. »

A partir de là Hermann décrit ce qu’il a vu et vécu dans le vaisseau, mais il y a des trous et du flou sur certains évènements vécus.

Grâce à l'accord de Jim et Coral Lorenzen de l'APRO, le docteur James Harder, qui s'est forgé une réputation considérable pour sa capacité à récupérer des informations dans les niveaux de conscience les plus profonds et à les ramener à la conscience de veille des personnes contactées, est entré dans l'affaire et a commencé à travailler avec William Herrmann. Grâce à ses efforts par une série de sessions d’hypnoses, Hermann est capable de se souvenir consciemment de la plupart des événements qui se sont produits cette nuit-là et peut y faire face à un niveau rationnel. Voici le récit de Herrmann de ce qui s’est passé :

« La chose suivante dont je me souviens est d'être allongé sur une table ou un lit d'environ deux mètres de long. Je me réveille après ce qui m'a semblé être un très long sommeil. Mes jambes semblaient encore endormies. Je n'arrivais pas à comprendre où j'étais. La pièce ressemblait à une chambre d'hôpital, très propre, très ordonnée. L'air semblait même pur, comme si de l'oxygène y circulait, un peu comme une brise, mais il avait une odeur différente, sensiblement différente. En ouvrant les yeux, j'ai regardé au-dessus de moi. La pièce et le plafond étaient de la même couleur. Directement au-dessus de moi, il y avait une barre rectangulaire de lumières qui clignotaient dans une séquence régulière de 1-2-3-4-5-4-3-2-1, bleu-vert-rouge-vert-bleu. J'ai regardé à mes pieds, et à gauche et à droite de mes pieds, j'ai pu voir trois individus d'apparence orientale mesurant entre 1m40 et 1m50, vêtus de combinaisons rouges ressemblant à des uniformes. Les uniformes n'avaient ni ceinture ni boutons et je me suis demandé comment ils les mettaient. Le rouge correspondait à la couleur de la lumière dans laquelle baignait la pièce. Deux des « personnes » étaient à ma gauche et une à ma droite ; elles me regardaient, regardaient la barre de lumière et regardaient une boîte qui se trouvait au pied de la table. Des fils ou quelque chose du genre la reliaient, et j'ai d'abord pensé qu'il s'agissait d'une sorte de télévision parce que je pouvais à peine voir une sorte d'écran ou de graphique dessus.

Bill montre son croquis du membre d'équipage extraterrestre de Zeta Reticuli, réalisé peu après son premier enlèvement à bord du vaisseau spatial.
Bill montre son croquis du membre d'équipage extraterrestre de Zeta Reticuli, réalisé peu après son premier enlèvement à bord du vaisseau spatial.

Les « personnes » se déplaçaient entre la boîte et la table. Ils étaient très pâles et avaient la peau douce, un peu comme une éponge. Leurs yeux marrons foncé étaient très distincts, parfaitement ronds et austères. Leur tête était anormalement grande et bombée, avec une petite bouche et une mâchoire presque inexistante. Ils avaient un air oriental et pourtant familier. Ma première réaction a été la panique, mais je me suis senti rassuré par leur regard. J'ai remarqué qu'ils n'avaient pas de cils non plus, et je me suis demandé qui je regardais et ce qui se passait. Celui qui était le plus proche de mes jambes s'est approché, a posé sa main sur mon épaule et je l'ai « entendu » dire : « Vous pouvez vous asseoir maintenant ».

J'ai été surpris, car il n'a pas bougé les lèvres. Il a de nouveau touché mon épaule et a répété la même chose. Ses mains avaient cinq doigts, deux bras, deux jambes et il était de petite taille. Je me suis redressée. Je me sentais comme hébétée, mais j'avais l'impression de pouvoir leur faire confiance. Je ne peux pas l'expliquer, mais au bout d'une minute, j'ai commencé à me sentir plus clairement éveillé et conscient de ce qui se passait.

Je dois être à l'intérieur de l'objet. Ce doit être une sorte de sas ou quelque chose comme ça. « Qui êtes-vous ? « Qu'est-ce que vous faites à Charleston ? « Je n'ai pas obtenu de réponse à ces questions. J'ai décidé de ne pas être trop pressant ou impoli, de rester calme et d'essayer de me souvenir de tout. Je me sentais encore claire, mais dans un état d'hébétude, un mélange des deux. On m'a dit : « Venez avec nous. « Je me suis levé de la table. Les lumières au plafond, sur l'objet en forme de barre, ont cessé de clignoter. Deux des « personnes » sont passées derrière moi et une à côté de moi. C'est tout ce qu'il y avait dans l'embrasure de la porte et dans le couloir, qui était incurvé et identique à la pièce. J'ai remarqué que toute la zone semblait moulée dans une feuille continue de matériau semblable à de la tôle, et qu'elle baignait dans une couleur rouge, ou luisait, comme l'autre pièce. Nous avons fait 10 ou 20 pas et avons tourné dans une porte, entrant dans une pièce remplie de machines et de ce qui ressemblait à des ordinateurs. Une longue console s'étendait à environ un pied et demi du mur incurvé. Il y avait trois chaises, une de chaque côté de la console et une au milieu.

Il y avait ce qui ressemblait à un damier de lumière au milieu de la console. Il y avait trois autres « personnes » dans cette pièce.

Lorsque nous nous sommes approchés du mur et des machines, ces « personnes » se sont levées et ont fait un pas en arrière. On m'a dit qu'il s'agissait de la salle de contrôle, mais il y a un autre terme qui donne une signification plus spécifique. Je ne m'en souviens pas, « Centre de Console de Contrôle » ou quelque chose comme ça. Nous faisons le tour de la salle. Les machines sont en pleine activité et les individus actionnent des leviers et des boutons, ou ce qui en tient lieu, selon un schéma ou une séquence bien définis. C'était très visible. Cette pièce était également baignée de lumière rouge. Tout le vaisseau doit être ainsi.

On me dit : « Le temps est compté, venez », et nous quittons la pièce pour entrer dans le couloir, faire le tour du couloir et entrer dans une autre petite pièce, aussi exiguë qu'un placard, et la porte se referme. Il y a une pause, puis la porte s'ouvre à nouveau et nous entrons dans une pièce plus grande, vide à l'exception d'une immense quantité de machines et d'objets lumineux, de grosses boules rondes et de leviers, de boutons et de molettes de toutes les couleurs. Un bourdonnement sourd s'échappe de la masse de machines en argent poli. « C'est notre chambre de manipulation de l'équilibre qui nous permet d'atteindre le vol libre », dit l'un d'eux. Je demande : « Pourquoi me le dire ? Pourquoi ne pas vous manifester au monde ? « Je n'ai pas obtenu de réponse, ni de réponse à ces supplications. « Venez, le temps est compté. Il sera bientôt terminé », dit l'un d'eux.

Je demande : « Est-ce que je m'en souviendrai ? Êtes-vous un chef, un responsable ? « et je comprends que je peux le penser si je le souhaite. Nous sortons de cette pièce et retournons dans la salle des cabines. Les portes se ferment, il y a une pause, puis elles s'ouvrent à nouveau, nous marchons dans le couloir incurvé et nous entrons à nouveau dans la pièce avec la table.

« Qu'est-ce que c'est ? « Je demande, en montrant la barre de lumières qui clignote à nouveau dans la même séquence qu'auparavant. « Le moniteur d'inculcation », entends-je. Vais-je m'en souvenir ? Pourquoi me le dire ? Pourquoi me montrer tout cela ?

On me dit de m'allonger et je le fais. « Tout sera expliqué un jour ou l'autre. Il y a une raison. Vous finirez par comprendre », entends-je. Je regarde la barre de lumière. Il y a quelque chose de relaxant là-dedans. Je regarde autour de moi, une dernière fois, puis je suis à nouveau désorienté, très détendu, presque endormi, et je perds conscience. Tout s'estompe. Mes yeux ne parviennent pas à se concentrer. Mes jambes s'endorment. Je m'évanouis.

La chose suivante dont je me souviens est que je me trouve dans un champ ouvert et qu'une lueur orange apparaît à mes pieds. Je regarde lentement vers le haut et je peux voir le contour de l'objet qui s'élève lentement à la verticale. La partie inférieure de l'objet est animée de pulsations argentées et orangées. La couleur orange est identique à celle du sol. Je regarde autour de moi et j'ai soudain très peur, presque terrifié. Je ne reconnais pas l'endroit où je me trouve, en fait, rien ne me semble familier. Je me mets à crier à l'aide et à courir dans tous les sens... hystérique.

Pour une raison étrange, je me sens en sécurité dans les limites de la lueur orange à mes pieds. Je lève les yeux et je vois l'objet à environ 3 000 à 5 000 pieds d'altitude, se déplaçant de façon triangulaire, en direction du nord-ouest. Puis il prend de la vitesse et disparaît, perdu de vue. La lueur à mes pieds n'est plus aussi brillante et je me tiens dans le champ. Il y a des arbres et des buissons sur les quatre côtés. Le champ est parfaitement carré et semble labouré.

Après ce qui me semble être des heures, j'aperçois un éclair de lumière sur ma gauche et une voiture qui passe à toute allure. Je cours vers les feux et me retrouve sur une route. Au bout de 5 ou 10 minutes, une voiture arrive et je lui fais signe de s'arrêter. Je demande de l'aide. Où suis-je ? Quel jour sommes-nous ? Je me sens très désorienté. Je n'ai plus de sens de l'orientation. Je ne sais pas du tout où je me trouve. On me dit que nous sommes le samedi 18 mars, à minuit cinq, et que je me trouve près de Summerville, sur Bacons Bridge Road. Je leur demande d'appeler un policier, « il y a quelques instants, il était 21h30. Cela veut dire..., Oh mon Dieu ! »

Le récit du souvenir détaillé de ce qui a été fait dans le vaisseau avec beaucoup de dessins détaillés de ce que Herrmann a vu est disponible dans un Extrait dédié spécifiquement à cela, plus loin dans l’article.


Après son enlèvement, Bill Herrmann est conduit au poste de police par un agent qui appelle sa femme pour venir le chercher. Plus tard, Bill apprend que le policier a interrogé sa femme pour savoir s’il avait des antécédents de troubles mentaux ou d’hallucinations. En quittant le poste, ils se rendent à un magasin Quick-Stop où sa femme viendra le récupérer. L’agent lui confie qu’il a patrouillé toute la soirée dans le secteur sans rien remarquer d’inhabituel. Bill, bouleversé et en larmes, ne répond rien. Il se sent profondément seul. Son père accompagne sa femme pour venir le chercher, puis ils le ramènent à la maison. Épuisé, Bill se couche en tentant d’oublier ce qui s’est passé. Il se sent souillé et se lave avant de dormir. Les vêtements qu’il portait sont placés dans un sac.

Dans les semaines qui suivent, il souffre de fortes migraines et de nuits agitées sans sommeil. Il ne parvient pas à se souvenir clairement de l’événement avant d’avoir reçu de l’aide. Il est alors suivi par le Dr James Harder, qui l’aide à faire face à son enlèvement à travers plusieurs séances d’hypnose.

Un mois après l’intervention du Dr. James Harder, Bill réalise plusieurs croquis qu’il juge aussi fidèles que possible à ce qu’il a vécu. Bien qu’il admette que ces événements paraissent incroyables, il ressent un besoin intérieur inexpliqué de les partager, malgré la peur du ridicule. Il ne sait toujours pas qui étaient ces « gens » rencontrés durant son enlèvement et reste sans réponse.

Note de Wendelle Stevens :

Au cours de mon enquête, une reconstitution de la montée sur la table d’examen et de la visite du vaisseau spatial a duré moins de 20 minutes. Or, Herrmann avait disparu pendant environ 2 heures et 45 minutes. Rien n’a encore été retrouvé en mémoire concernant ces 2 heures et 45 minutes manquantes. Rien n’a encore été rappelé non plus concernant la période de plus de 2 heures entre le moment où il s’élevait dans le faisceau lumineux et celui où il s’est réveillé sur la table d’examen.

Quelques semaines avant l'enlèvement du 18 mars 1978, Bill reçoit un appel d’un certain Tom M. Olsen, prétendant faire partie d’un groupe de recherche nommé UFOIRC (UFO Information Retrieval Center, basé à Riderwood, Maryland). L’homme souhaite le rencontrer pour enquêter sur les observations d’OVNIs à Charleston.

Vers 15h30 un samedi, un homme d’environ 50-55 ans, bien habillé et ressemblant à un homme d’affaires, arrive dans une Chevrolet bleue. Il présente plusieurs pièces d'identité : permis de conduire, carte militaire (USAF, à la retraite), carte d’identification du UFOIRC. Les photos correspondent à son apparence.

L’homme conduit Bill vers différents lieux d’observation d’OVNIs, prenant de nombreuses photos avec un appareil Nikon. Après 2h30 d’excursion, il propose un test au détecteur de mensonges. Bill accepte, pensant que ce sera pour une autre fois, mais l’homme le conduit immédiatement à l’hôtel The Mills House, où deux autres hommes les attendent : l’un est un examinateur au polygraphe de l’État du Maryland, l’autre un médecin.

Dans la chambre d’hôtel, Bill reçoit une injection d’un liquide clair et est soumis à un test long et répétitif portant sur son expérience d’OVNI. Le test dure à nouveau 2h30. À la fin, l’homme propose un dîner, mais Bill, fatigué, décline et demande à rentrer chez lui.

Durant le trajet retour, Bill interroge l’homme sur la nature de ce qu’il a vu. Il évoque l’hypothèse d’un projet militaire, mais l’homme réplique froidement : « N’y comptez pas trop. »

Trois jours plus tard, Bill reçoit un courrier du UFOIRC contenant des formulaires à remplir, une note signée de Thomas M. Olsen demandant l’envoi de données, photos et croquis. Bill renvoie les documents avec une lettre de remerciement.

Mais une semaine plus tard, il reçoit un Mailgram signé également de Thomas M. Olsen, indiquant de manière choquante :

« Je ne vous ai jamais rendu visite. Je ne sais pas qui l’a fait. »

Cette déclaration le plonge dans le doute. Par la suite, il discute de l’affaire avec des ufologues, notamment Jim Lorenzen, qui confirme que la description donnée ne correspond pas au véritable Tom Olsen. Depuis, Bill n’a plus reçu aucun contact d’aucun Olsen et se montre très prudent sur les personnes à qui il parle.

Le faux Tom Olsen possédait des cartes d’identification parfaitement crédibles l’établissant comme le Tom Olsen de l’UFOIRC, y compris une carte de membre, un permis de conduire et une carte d’identification de retraite militaire, toutes prouvant qu’il était Tom Olsen. Bill a même demandé à revoir les pièces d’identité et on les lui a montrées de nouveau ; il a vérifié que les photos correspondaient aux traits de l’homme prétendant cette identité. C’était le cas. Et les documents d’identité des deux autres hommes semblaient tout aussi valides.

Wendelle Stevens dit : « Lorsque nous avons découvert plus tard que le véritable Tom Olsen ne savait rien des activités de l’imposteur, n’était pas allé à Charleston à la date en question, et n’avait autorisé personne à agir pour lui ou en son nom de cette manière, nous avons été déconcertés. Nous pensions que cela marquait la fin de cette tromperie, mais nous avions tort.

Même après que Bill Herrmann ait su qu’il avait été dupé par des imposteurs, ils sont revenus et l’ont de nouveau averti. Ils ont continué à réapparaître dans cette affaire durant les deux années où elle fut sous enquête, et ce qui nous a encore plus déroutés, c’est qu’ils semblaient savoir tout ce qui s’était produit, presque en même temps que nous. Nous étions certains qu’ils obtenaient des informations sur presque tous nos appels téléphoniques entre nous, puis nous avons découvert que notre courrier était intercepté dans le service postal des États-Unis en toute impunité. Des lettres avaient été ouvertes et lues, et des documents avaient été retirés, le reste de la lettre étant envoyé comme prévu. Nous étions presque sûrs de savoir qui faisait cela, mais comment avaient-ils eu accès à tous nos téléphones, même lorsque l’un ou l’autre utilisait une « ligne de secours » pour décourager la traçabilité ? Qui qu’ils aient été, ils possédaient également les passe-partout du service postal et pouvaient accéder à n’importe quelle boîte de dépôt, peu importe où elle se trouvait ou à quelle heure. Ce n’était vraiment pas une petite opération.

Nous avons consigné tout cela en détail dans notre rapport initial et l’avons étayé par une documentation substantielle. C’était en 1981.

L’année 1982 avait à peine commencé que les interférences devinrent plus flagrantes. »

Dans les semaines suivantes, Bill Herrmann reçoit de nombreux appels étranges, certains anonymes et menaçants, d'autres très encourageants. Plusieurs témoins affirment avoir vu les mêmes types d’objets volants, mais préfèrent rester discrets. L’un d’eux, W. P. Jr, a vu un objet identique à celui que Bill a photographié. Un autre homme l’a longuement appelé pour raconter l’observation d’un OVNI à quelques mètres au-dessus de son yacht près de Folly Beach. Malgré le scepticisme officiel, des dizaines de personnes confirment les mêmes observations dans la région.

Le 25 avril, le journal local The Evening Post publie un article d'opinion écrit par Dr. Robert Boxer, professeur de chimie à Georgia Southern College, intitulé « Nous sommes vraiment seuls ». Il y nie catégoriquement la réalité des visites extraterrestres.

Profondément heurté par cet article, Bill rédige une réponse qui est publiée dans la rubrique « Lettres au journal », accompagnée d'une de ses photos. Il y exprime son désaccord avec Dr. Boxer et affirme qu’il partageait lui aussi ce scepticisme… jusqu’à ses propres observations. Il déclare avoir vu un OVNI au-dessus de la région de Charleston à sept reprises, et en avoir photographié deux fois (le 27 novembre 1977 et le 22 janvier 1978, voir précédemment).

Dans la soirée du 8 mai 1979, Bill Herrmann et sa femme s’étaient rendus à Charleston Square pour acheter des enveloppes pour cassettes audio afin d’envoyer un rapport enregistré à Ron Spanbauer, et Bill était entré dans le magasin Radio Shack pour se procurer ces enveloppes. Il remarqua qu’un terminal informatique domestique Model 80 était en vente et s’arrêta pour le regarder. L’appareil était allumé et un affichage apparaissait sur l’écran vidéo. Soudain, l’écran s’effaça complètement et l’ordinateur commença à épeler : « ZETA 1 RETICULI », « ZETA 2 RETICULI », « WILLIAM HERRMANN », puis il y eut un espace et il recommença à épeler exactement la même chose, comme ci-dessus. Une fois l’affichage terminé, il resta visible un instant, puis l’écran s’effaça à nouveau et l’affichage initial réapparut sur l’appareil.

Herrmann était stupéfait par cet événement incroyable et regarda autour de lui pour voir si quelqu’un d’autre l’avait remarqué ; il vit que personne ne prêtait attention à ce qui s’était passé. Comme l’étrange affichage avait déjà disparu, il décida de ne pas en parler au personnel du magasin.

Le soir du 16 mai 1979, Bill Herrmann appela en urgence Wendelle Stevens pour signaler que le vaisseau spatial était revenu dans la région et qu’il l’avait déjà vu deux fois ce soir-là. Il avait un pressentiment très fort qu’un événement important allait se produire, sans savoir quoi. Seul dans son mobilhome, tandis que sa femme veillait sa mère malade, il ressentait une grande appréhension.

Depuis son premier enlèvement, il avait surmonté sa peur et, après avoir retrouvé la mémoire complète de l’événement, il avait développé un respect, voire de l’affection, pour les petits occupants de l’OVNI. Il s’était mentalement préparé à remonter à bord si l’occasion se représentait, et il pensait que ce moment pourrait être proche, d’autant plus que les messages écrits continuaient de lui parvenir, y compris la veille.

Sa principale inquiétude concernait sa famille, au cas où il serait à nouveau emmené et ne reviendrait pas tout de suite. Il demanda donc qu’en cas d’enlèvement, quelqu’un vienne veiller sur sa femme Patti et sa petite fille. Stevens lui promit de le faire et d’attendre son retour chez lui.

Rassuré, Herrmann déclara qu’il était prêt à sortir pour voir ce qui se passerait, emportant son appareil photo et un carnet. Ils convinrent qu’il appellerait dès son retour, même s’il ne se passait rien. En cas de silence prolongé, des appels seraient faits à son domicile, et des mesures seraient prises pour sa famille.

Enfin, Herrmann confia qu’il avait reçu la veille (15 mai) plusieurs pages d’écriture extraterrestre, suivies d’une formule. Il n’avait aucune idée de ce qu’elle signifiait et peut-être n’avait-elle aucun sens.

Formule reçue. Tentative de lecture :
DONNÉES DU PLAN D’INTERSECTION 167°O – 29°S
ENTRÉE DANS LE CHAMP DE LA MAGNÉTOSPHÈRE. TRAJECTOIRE RÉGLÉE ET ACTIVÉE. ONDE ÉLECTROMAGNÉTIQUE – 1500 MPS.
COMPRESSION DU FLUX D’ÉNERGIE : 675 × LS
ECCENTRICITÉ ORBITALE PLANÉTAIRE : 0.0167
Formule reçue. Tentative de lecture :
Données du plan d’intersection 167°O – 29°S
Entrée dans le champ de la magnétosphère. Trajectoire réglée et activée.
Onde électromagnétique : 1500 MPS (Miles Par Seconde)
Compression du flux d’énergie : 675 × LS
Excentricité orbitale planétaire : 0,0167
Voici les coordonnées du point à 169°Ouest et 29°Sud, dans l’Océan Pacifique Sud, si cela correspond bien à des coordonnées dans la formule précédente, qui serait des données sur le flux d’énergie de l’appareil de Zeta Reticuli entrant dans la magnétosphère terrestre à cet endroit. Quelle utilité ?
Voici les coordonnées du point à 169°Ouest et 29°Sud, dans l’Océan Pacifique Sud, si cela correspond bien à des coordonnées dans la formule précédente, qui serait des données sur le flux d’énergie de l’appareil de Zeta Reticuli entrant dans la magnétosphère terrestre à cet endroit. Quelle utilité ?

Lors du deuxième enlèvement à bord du vaisseau, ils furent rejoints dans l’espace par un vaisseau plus grand de conception similaire, que l’on dit à Bill provenir tout juste d’un projet de recherche sous-marine mené par ces Reticuliens dans la région du Rio Salada, au nord de Santa Fe. Ils dirent qu’ils menaient là des expériences hydromagnétiques à cause d’une différence entre notre eau et la leur. Le Rio Salada est une rivière lente, large et profonde à l’endroit indiqué, et pourrait facilement accueillir un projet de recherche sous-marin de grande taille.

Le détail du récit de William Herrmann dans ce deuxième voyage dans le vaisseau est situé dans un extrait dédié plus bas dans l’article.

Une nouvelle observation avec photos a eu lieu le 4 avril 1980.

William Herrmann ressentait ce sentiment familier de malaise cet après-midi-là et il est monté dans sa voiture pour faire un tour. Il a été poussé par une impulsion à se rendre à un endroit situé à une courte distance à l'est de la tour de contrôle civile de la base aérienne. Il s'est arrêté vers 17h30 pour observer les avions et est sorti avec son appareil photo à la main, un petit Instamatic 120 en plastique à mise au point et vitesse d'obturation fixes. Il a remarqué qu'il était étrangement le seul spectateur présent, ce qui lui a semblé un peu inhabituel à ce moment-là, car il s'agit d'un point d'observation très fréquenté.

Il regarda autour de lui, puis aperçut un reflet provenant d'un objet se déplaçant rapidement dans le ciel à l'est, loin de la base. Il volait de manière erratique, tantôt vite, tantôt lentement, tantôt haut, tantôt bas, et descendait parfois derrière les arbres à l'arrière-plan. Il leva son appareil photo et commença à prendre des photos dès qu'il put cadrer l'objet dans le viseur. Il pouvait « sauter » d’une position à une autre, de manière très saccadée, au point que le témoin a manqué l’objet sur trois vues en essayant de le capturer dans le champ de l’image.

C’est la troisième variation du vaisseau spatial photographié par William Herrmann dans la région de Charleston.

Au cours des quelque 30 minutes d'observation, un avion de transport C-130 Hercules de l'armée de l'air est arrivé par l'est à basse altitude et a traversé la scène.

À mesure que l'avion à turbo-propulsion se rapprochait, l'objet est descendu derrière la cime des arbres et a disparu jusqu'à ce qu'il soit passé, puis il est remonté au-dessus des arbres et a recommencé à voler en suivant des trajectoires triangulaires erratiques. L'objet était circulaire et en forme de disque, et avait un aspect métallique brillant avec parfois une lueur orange à rougeâtre autour du bord. Son diamètre était estimé à environ 40 à 50 pieds et sa surface était parfaitement lisse et sans défaut.

Il a enregistré un bourdonnement émis par ce vaisseau.

C’est la première version qui émettait un bruit notable, celle-ci produisait parfois un fort bourdonnement. Comme les versions précédentes, ce vaisseau suivait d’étranges trajectoires de vol triangulaires, se déplaçait rapidement ou lentement, et montait ou descendait selon un mouvement irrégulier et imprévisible. Ce vaisseau était de couleur argentée très réfléchissante, avec une faible lueur jaunâtre qui ne ressortait pas bien sur les photos.

Herrmann montre à Jun-Ichi Yaoi de NTV Tokyo son croquis de la troisième version du vaisseau de Zeta Reticuli de 40 pieds qui émet un bruit de bourdonnement, observé le 4 avril 1980.
Herrmann montre à Jun-Ichi Yaoi de NTV Tokyo son croquis de la troisième version du vaisseau de Zeta Reticuli de 40 pieds qui émet un bruit de bourdonnement, observé le 4 avril 1980.
4 avril 1980, de 17h30 à 18h00, à Wildwood, à l’est de la base aérienne. Il s’agit de la photo numéro 1 du vaisseau de Zeta Reticuli de troisième variation photographié par William Herrmann de Charleston, Caroline du Sud.
4 avril 1980, de 17h30 à 18h00, à Wildwood, à l’est de la base aérienne. Il s’agit de la photo numéro 1 du vaisseau de Zeta Reticuli de troisième variation photographié par William Herrmann de Charleston, Caroline du Sud.
4 avril 1980, de 17h30 à 18h00, à Wildwood, à l’est de la base aérienne. Sur la photo numéro 2 ici, on observe une inclinaison plus prononcée ainsi que la surface argentée brossée assez nettement. Cette version possédait un dôme sur le dessus et un autre similaire en dessous.  Vaisseau de Zeta Reticuli.
4 avril 1980, de 17h30 à 18h00, à Wildwood, à l’est de la base aérienne. Sur la photo numéro 2 ici, on observe une inclinaison plus prononcée ainsi que la surface argentée brossée assez nettement. Cette version possédait un dôme sur le dessus et un autre similaire en dessous. Vaisseau de Zeta Reticuli.
Quatrième image d'une série de douze photos prises par William J. Herrmann le 4 avril 1980, à seulement un demi-mile à l'est de la base aérienne de Charleston, en Caroline du Sud.  Vaisseau de Zeta Reticuli.
Quatrième image d'une série de douze photos prises par William J. Herrmann le 4 avril 1980, à seulement un demi-mile à l'est de la base aérienne de Charleston, en Caroline du Sud. Vaisseau de Zeta Reticuli.
4 avril 1980, photographie utilisée comme première de couverture des livres de William Herrmann édités par Wendelle Stevens.  Vaisseau de Zeta Reticuli.
4 avril 1980, photographie utilisée comme première de couverture des livres de William Herrmann édités par Wendelle Stevens. Vaisseau de Zeta Reticuli.
Il s'agit de la dernière photo prise le 4 avril 1980 à l'est de la base aérienne de Charleston.  Vaisseau de Zeta Reticuli.
Il s'agit de la dernière photo prise le 4 avril 1980 à l'est de la base aérienne de Charleston. Vaisseau de Zeta Reticuli.
4 avril 1980, à un demi-mile à l’est de la base aérienne de Charleston. Il s’agit de la onzième vue de la séquence de douze prises réalisées ce jour-là.  Vaisseau de Zeta Reticuli.
4 avril 1980, à un demi-mile à l’est de la base aérienne de Charleston. Il s’agit de la onzième vue de la séquence de douze prises réalisées ce jour-là. Vaisseau de Zeta Reticuli.
4 avril 1980. Cette douzième et dernière prise de la série de photos a capturé le vaisseau de Zeta Reticuli alors qu’il commençait à s’élever avant de quitter la zone. Il est parti dans un arc diagonal rapide, hors de portée visuelle. Bien que le vaisseau semble apparaître à l’envers ici, cela est dû uniquement à l’angle du soleil couchant frappant le dessous de l’appareil, qui possédait également un dôme surélevé en métal similaire, apparemment de taille égale à celui du dessus.
4 avril 1980. Cette douzième et dernière prise de la série de photos a capturé le vaisseau de Zeta Reticuli alors qu’il commençait à s’élever avant de quitter la zone. Il est parti dans un arc diagonal rapide, hors de portée visuelle. Bien que le vaisseau semble apparaître à l’envers ici, cela est dû uniquement à l’angle du soleil couchant frappant le dessous de l’appareil, qui possédait également un dôme surélevé en métal similaire, apparemment de taille égale à celui du dessus.
4 images extraites agrandies depuis les photos couleurs du 4 avril 1980 par William Herrmann. Zoom 1.
4 images extraites agrandies depuis les photos couleurs du 4 avril 1980 par William Herrmann. Zoom 2.
4 images extraites agrandies depuis les photos couleurs du 4 avril 1980 par William Herrmann. Zoom 3.
4 images extraites agrandies depuis les photos couleurs du 4 avril 1980 par William Herrmann. Zoom 4.

4 images extraites agrandies depuis les photos couleurs du 4 avril 1980 par William Herrmanndu vaisseau de Zeta Reticuli.

Il s’agit du troisième engin circulaire en forme de disque de Zeta Reticuli observé et photographié par Bill Herrmann. Celui-ci a été filmé à moins d’un demi-mile de la tour de contrôle civile de la base aérienne de Charleston. La journée était ensoleillée, sous un ciel bleu clair. Herrmann a enregistré les sons émis par ce vaisseau. Finition argentée brillante et brossée, sans jointure, parfois recouverte d’une couronne orangée lumineuse qui ondulait à la surface. Structure en dôme translucide ou transparente sur le dessus Aucune saillie, ouverture ni marque ne venait altérer la surface lisse. La petite structure inférieure en dôme était de couleur argent opaque, avec une tache sombre en son centre. L’espace visible entre les rebords de la jante était rempli d’une lueur orange vive.
Il s’agit du troisième engin circulaire en forme de disque de Zeta Reticuli observé et photographié par Bill Herrmann. Celui-ci a été filmé à moins d’un demi-mile de la tour de contrôle civile de la base aérienne de Charleston. La journée était ensoleillée, sous un ciel bleu clair. Herrmann a enregistré les sons émis par ce vaisseau.
Finition argentée brillante et brossée, sans jointure, parfois recouverte d’une couronne orangée lumineuse qui ondulait à la surface. Structure en dôme translucide ou transparente sur le dessus
Aucune saillie, ouverture ni marque ne venait altérer la surface lisse. La petite structure inférieure en dôme était de couleur argent opaque, avec une tache sombre en son centre. L’espace visible entre les rebords de la jante était rempli d’une lueur orange vive.
Herrmann sur le site photographique où la troisième série de photos a été réalisé le 4 avril 1980, pour un documentaire TV.
Herrmann sur le site photographique où la troisième série de photos a été réalisé le 4 avril 1980, pour un documentaire TV.

Bill Herrmann conduisait en voiture avec sa femme, le frère et la sœur de sa femme et le petit ami de sa sœur, le soir du 5 janvier 1981. Ils ont tous été témoins de l’observation d’un vaisseau spatial volant, qui volait à environ 1km d’altitude vers une trajectoire qui allait vers la rivière. Ils étaient donc 5 témoins de l’observation.

Suite à cela, Bill a senti l’intuition de choses qui arriveraient plus tard. Il a senti qu’il y aurait une observation d’engin volant qui allait avoir prochainement lieu associé à une coupure de courant, dans leur région. Il a aussi senti que les militaires allaient perdre un de leur jets Fantôme F4 lors d’une mission de routine. Il explique même le détail de comment cela va se produire : les militaires vont envoyer un F4 pour aller voir ce qu’ils penseront être un bombardier soviétique suite à détection radar, mais c’est en fait un vaisseau spatial qu’ils vont trouver. L’un des jets va poursuivre l’engin volant et il sera perdu.

Bill a envoyé ses visions dans un courrier écrit son histoire du 5 janvier 1981 à Wendelle Stevens, pour avoir trace écrite en amont de ses propos avec une lettre postale datée.

Et en effet le 27 décembre 1981, un article parait dans la presse locale sur la disparition d’un F4, qui est présumé crashé en mer car il a disparu et n’est pas retrouvé. L’article n’indique aucune poursuite d’engin volant extraterrestre, dont l’armée s’est bien gardée de parler, sur les causes de la disparition.

Et en effet des observations d’Ovni auront lieu au-dessus de la centrale électrique de Childs en Arizona qui donneront lieu à des coupures de courant. Ça sera une petite communauté de travailleurs de la centrale électrique qui témoigneront de ceci, qui sera publié dans un journal que 6 octobre 1981.

Le 3 octobre 1981 Wendelle Stevens avait reçu un message de Bill parlant d’engins volants à Childs nommément, avant que l’information à ce sujet ne soit publiée dans la presse. Il a indiqué avoir eu un sentiment profond qu’une activité de disques volants allait avoir lieu au-dessus de Childs avec de nombreux témoins, de façon volontaire. Herrmann voit plusieurs petits vaisseaux effectuant des vols depuis un vaisseau-mère qui stationne au-dessus d’une zone de désert.

Wendelle Stevens et une équipe ont enquêté auprès de Child et trouvé plusieurs témoins qui ont vu divers engins volants (témoin Jerry Wills), en forme de disque volant et un en forme de cigare (Cathy Soulages et Mme Clarence Hale) dont est sorti un petit vaisseau en forme de disque qui est descendu et a atterri près de la rivière dessous. Elles ont même vu des formes sortir de l’appareil récolter des roches et d’autres choses le long de la rivière.

Certains résidents de Childs ont même reçu des messages télépathiques dont ils savaient que cela venait d’êtres à bord des vaisseaux observés. Un article de journal paraîtra pour parler de ces informations reçues par des habitants. Le journaliste parle de 14 résidents qui ont reçu ces messages, loin d’être un cas isolé donc.

Wendelle Stevens commente cet article : « Ce premier rapport rendu public sur les activités d’OVNI en cours et observées dans et autour de Childs, en Arizona, ainsi que sur les principales lignes électriques traversant cette zone, a été publié par le Weekly World News daté du 6 octobre 1981. Il n’aurait pas été possible pour Bill Herrmann d’avoir connaissance de cet article avant sa publication. Notre enquête a confirmé les détails mentionnés dans cet article ainsi que les pertes d’énergie fortement anormales et les pannes de courant franches sur les lignes de cette zone. Nous avons également découvert que le reste des commentaires de Bill Herrmann sur la situation là-bas, non mentionnés dans l’article, étaient eux aussi totalement exacts à tous points de vue, et que le caractère et la nature des personnes étaient tels que Herrmann me les avait décrits dans sa lettre datée du 3 octobre 1981. L’exactitude de la situation prédite semble phénoménale si l’on considère le fait que Herrmann ne savait même pas exactement où se trouvait Childs, en Arizona. C’est un endroit si petit qu’il n’apparaît même pas sur la plupart des cartes de l’Arizona. Cette activité OVNI continue encore là-bas à intervalles indéterminés. »
Wendelle Stevens commente cet article : « Ce premier rapport rendu public sur les activités d’OVNI en cours et observées dans et autour de Childs, en Arizona, ainsi que sur les principales lignes électriques traversant cette zone, a été publié par le Weekly World News daté du 6 octobre 1981. Il n’aurait pas été possible pour Bill Herrmann d’avoir connaissance de cet article avant sa publication. Notre enquête a confirmé les détails mentionnés dans cet article ainsi que les pertes d’énergie fortement anormales et les pannes de courant franches sur les lignes de cette zone. Nous avons également découvert que le reste des commentaires de Bill Herrmann sur la situation là-bas, non mentionnés dans l’article, étaient eux aussi totalement exacts à tous points de vue, et que le caractère et la nature des personnes étaient tels que Herrmann me les avait décrits dans sa lettre datée du 3 octobre 1981. L’exactitude de la situation prédite semble phénoménale si l’on considère le fait que Herrmann ne savait même pas exactement où se trouvait Childs, en Arizona. C’est un endroit si petit qu’il n’apparaît même pas sur la plupart des cartes de l’Arizona. Cette activité OVNI continue encore là-bas à intervalles indéterminés. »
Wendelle Stevens commente cet article : « Cet article découpé du National Enquirer daté du 25 janvier 1983 donnait des détails mentionnés dans la lettre de Herrmann du 3 octobre 1981 qui n’étaient pas du tout mentionnés dans l’article du Weekly World News, mais en fait décrits dans la lettre de Bill Herrmann un an et un quart plus tôt. Notre propre enquête a révélé que toutes les allégations de cet article étaient en grande partie vraies et valides telles que décrites. Nous avons également interrogé un certain nombre de témoins non mentionnés dans aucun de ces articles. Nous n’avons jamais coordonné nos informations avec Bill Herrmann par crainte de « contaminer » cette source. Bien qu’une forme de contact télépathique se soit développée avec certains des témoins à Childs, nous n’avons jamais trouvé aucune preuve de lien avec Reticulum. »
Wendelle Stevens commente cet article : « Cet article découpé du National Enquirer daté du 25 janvier 1983 donnait des détails mentionnés dans la lettre de Herrmann du 3 octobre 1981 qui n’étaient pas du tout mentionnés dans l’article du Weekly World News, mais en fait décrits dans la lettre de Bill Herrmann un an et un quart plus tôt. Notre propre enquête a révélé que toutes les allégations de cet article étaient en grande partie vraies et valides telles que décrites. Nous avons également interrogé un certain nombre de témoins non mentionnés dans aucun de ces articles. Nous n’avons jamais coordonné nos informations avec Bill Herrmann par crainte de « contaminer » cette source. Bien qu’une forme de contact télépathique se soit développée avec certains des témoins à Childs, nous n’avons jamais trouvé aucune preuve de lien avec Reticulum. »
4 octobre 1981, au coucher du soleil, Dorchester Square. Il s’agit de la 12ème vue de la pellicule photographiées à l’ouest de Dorchester Square, au nord de North Charleston, près de la rivière Ashley. C’était un engin de Zeta Reticuli de quatrième variation pour Bill Herrmann.
4 octobre 1981, au coucher du soleil, Dorchester Square. Il s’agit de la 12ème vue de la pellicule photographiées à l’ouest de Dorchester Square, au nord de North Charleston, près de la rivière Ashley. C’était un engin de Zeta Reticuli de quatrième variation pour Bill Herrmann.
4 octobre 1981, au coucher du soleil, Dorchester Square. Il s’agit de la 13ème vue de la pellicule photographiées à l’ouest de Dorchester Square, au nord de North Charleston, près de la rivière Ashley. C’était un engin de Zeta Reticuli de quatrième variation pour Bill Herrmann.
4 octobre 1981, au coucher du soleil, Dorchester Square. Il s’agit de la 13ème vue de la pellicule photographiées à l’ouest de Dorchester Square, au nord de North Charleston, près de la rivière Ashley. C’était un enginde Zeta Reticuli de quatrième variation pour Bill Herrmann.
4 octobre 1981, au coucher du soleil, Dorchester Square. La 14ème vue de la pellicule a été prise par Bill Herrmann de ce vaisseau de Zeta Reticuli de quatrième variation.
4 octobre 1981, au coucher du soleil, Dorchester Square. La 14ème vue de la pellicule a été prise par Bill Herrmann de ce vaisseau de Zeta Reticuli de quatrième variation.
4 octobre 1981, au coucher du soleil, Dorchester Square. La 15ème vue de la pellicule a été prise par Bill Herrmann de ce vaisseau Réticulien de quatrième variation. Le vaisseau est ensuite passé juste au-dessus de lui, et le dessous a été photographié de près, entièrement composé de lumière tourbillonnante.
4 octobre 1981, au coucher du soleil, Dorchester Square. La 15ème vue de la pellicule a été prise par Bill Herrmann de ce vaisseau Réticulien de quatrième variation. Le vaisseau est ensuite passé juste au-dessus de lui, et le dessous a été photographié de près, entièrement composé de lumière tourbillonnante.
Il s’agit du quatrième type d’engin spatial de Zeta Reticuli différent photographié par Bill Herrmann, et il en a vu encore d’autres. Dans ce cas, un autre engin non identifié similaire a été photographié par un couple à Beaufort la veille, et un autre le même jour à Charleston.
Il s’agit du quatrième type d’engin spatial de Zeta Reticuli différent photographié par Bill Herrmann, et il en a vu encore d’autres. Dans ce cas, un autre engin non identifié similaire a été photographié par un couple à Beaufort la veille, et un autre le même jour à Charleston.

Dans la nuit du 23 au 24 novembre, à 2h45 du matin, Bill Herrmann se réveille soudain avec la très forte impression que quelque chose va se passer. Il ne pouvait pas se rendormir. Il s’est dit que cela pouvait avoir rapport avec un nouveau contact extraterrestre. Alors il sortit de chez lui dans le froid de la nuit et vit un appareil volant lumineux qui était dehors, et qui se rapprochait de lui.

L’appareil s’est arrêté à environ 400 mètres d’altitude exactement au-dessus de sa maison mobile et est resté stationnaire. C’était un grand vaisseau, qui tournait sur lui-même. Une lumière ambrée tournait autour du bord extérieur du vaisseau. Il a alors ressenti l’impulsion forte de rentrer chez lui et prendre un papier et un stylo, il s’est assis et a noté 2 pages de cet étrange écriture symbolique qu’il a déjà plusieurs fois reçu ainsi. Mais juste à la suite de cela, il a reçu un message en anglais qu’il a écrit tel que reçu, dont il a su longtemps après que c’est du style d’une transmission provenant d’une unité de traduction de l’ordinateur du vaisseau.

Ce message liste des informations techniques sur des positions terrestre (par longitude et latitude) avec des élévations d’altitude au-dessus du sol, des manoeuvres de route et de jonction à un vaisseau-mère, des indications de mesure du champ magnétique terrestre, de mesure de rayonnement cosmique etc.

Aucune information intéressante en soi mais ces informations analysées en détail montrent que les Réticuliens parlent en fait de bases terrestres qu’ils ont établies pour faire des mesures (ils parlent de vecteurs de mesure qui sont situés à des endroits qui correspondent à la station Byrd à Marie Byrd Land, en Antarctique et à 50km au nord de la station soviétique de Sovietskaya). Donc près du pôle sud, et de ce que dit le message reçu, afin de mesurer les incursions de rayons cosmiques jusqu’au sol et leurs effets sur le champ magnétique terrestre. Ils indiquent que ce flux de mesure est transmis continuellement au « Réseau », et leurs analyses de ces données sont transmises au vaisseau du « Réseau ».

Des informations techniques sur la hauteur de la glace au-dessus du niveau du sol et les vitesses des vents étaient donnés sur ces emplacements. Je rappelle qu’à l'époque internet n’existait pas ! Wendelle Stevens a dû demander à ses anciens contacts dans l’armée des informations sur les bases de l’Antarctique et il lui a été confirmé que la hauteur de la glace au-dessus du niveau de la mer donné (14000 pieds) était exacte et que les vents donnés étaient de l’ordre de ce qu’ils mesuraient là bas de manière normale Les informations n’étaient donc pas aléatoires du tout.

Après les premières années de contact, rapidement l’église que les Hermann fréquentaient a convaincu sa femme et lui que ses contacts étaient des contacts avec le démon, et pas avec des extraterrestres. La femme de William a été la première à faire pression forte sur lui pour le convaincre que c’était un contact démonique et qu’il devait cesser.

En 1982, l’église des Herrmann a parlé de jugement d’excommunication pour hérésie pour les Herrmann et sa femme très croyante a fait encore plus pression sur lui. De plus ses voisins et ses anciens amis le traitaient comme une plaie vivante, les gens du coin très religieux le considéraient comme « de mèche avec le diable ». Il avait perdu son emploi à cause de cela, et personne ne voulait plus l’employer car il travaillait pour le démon selon la rumeur. Tout ceci cumulé a conduit au résultat suivant.

Le 20 mars 1982, William Herrmann a envoyé une lettre à Wendelle Stevens où il lui dit qu’il a fini par conclure que les observations d’Ovni qu’il a eu sont des expériences provenant d’une émanation spirituelle de Satan, pour tromper. Il cite de nombreux passages de la Bible. Il a conclu qu’il ne veut plus de cette expérience de contact qu’il veut cesser définitivement.

Wendelle Stevens écrit : « Bill s’est assis et a soigneusement rédigé la lettre de rupture suivante à mon intention, qu’il a terminée en disant qu’il me renvoyait la caméra 35 mm à cadre fractionné, le mini-enregistreur à cassette, ainsi que l’ensemble des diapositives de conférence sur les OVNI que je lui avais données. Il était très sérieux et sincèrement convaincu de chaque mot qu’il disait. Comme la reproduction ne serait pas très lisible, je vais citer un extrait de cette lettre comme suit :

« J’ai beaucoup réfléchi, réévalué, et fait une introspection. En conclusion, j’ai pris une décision très importante. Permettez-moi de le dire, et de le préciser : cette démarche et décision sont entièrement les miennes, et je n’ai subi aucune coercition, persuasion forcée, ni ultimatum. Cette décision, je l’assume entièrement.

J’ai décidé de mettre fin à mon implication active et inactive, mon association et mes contacts avec le phénomène OVNI.

Je suis arrivé à la conclusion que les phénomènes OVNI que j’ai expérimentés sont des phénomènes dont l’origine première est le domaine spirituel de Satan, et qu’il s’agit en effet d’une tromperie spirituelle. Je suis convaincu que les phénomènes OVNI sont un instrument du Diable… et qu’ils pourraient très bien servir à expliquer la Traduction de l’Église, telle que préfigurée par l’apôtre Paul dans 2 Thessaloniciens 2:3-12, événement connu des chrétiens sous le nom d’Enlèvement.

[…] »

Malgré cela il recevra de nouveau une transmission en mode télépathique du « Réseau » le 5 avril 1982, juste après que son ami Tony Martin et sa femme aient observé un engin volant au-dessus de chez eux à Summerville. Prévenu par Tony, William Herrmann était allé les rejoindre chez eux en voiture, et pendant qu’il était de retour sur la route de là bas le soir, l’appareil est de nouveau réapparu dans le ciel. Il a reçu l’information de se rendre chez lui pour recevoir une transmission. Ce qu’il a fait.

Le message qu’il a reçu concernait la propulsion des vaisseaux de Réseau avec l’information que c’était destiné à être partagé aussi au chercheur Wendelle Stevens. Des formules sont incluses aussi dans le message.

William Herrmann est désigné sous le nom de « ANDBHATI » par eux plusieurs fois dans ce message.

Le 19 avril 1982, Tony Martin de Sumemrville qui était devenu impliqué dans les contacts avec les Réticuliens avec Bill Herrmann et qui avait vu lui aussi des vaisseaux à de nombreuses occasions en sa compagnie et tout seul ou accompagné de sa femme Melina, a découvert une barre de matériau transparent semblable à du quartz, en forme de prisme. Ce cristal fur retrouvé sur le sol à l’avant de sa voiture fermée à clef.

Deux jours après, le 21 avril 1982 un autre message est reçu par transmission à Herrmann, qui complète les informations techniques, concernant l’accélération des électrons dans un champ électrique et explique comment ils dirigent le vaisseau avec ces champs électriques. Ils parlent de la façon dont ils utilisent la conversion de sous-niveaux des électrons dans un cristal. Cela semble lié au cristal reçu par Tony Martin.

Un autre message a été reçu par lui qui parle de ses difficultés personnelles à cause du contact :

Transmission du RÉSEAU - 21 avril 1982

« Mise en œuvre du contact avec un sujet secondaire du réseau en préparation. La demande soumise au consensus des Réseaux est en cours d’examen sous tous les angles possibles d’un bénéfice mutuel. La possibilité d’autoriser des sujets à filmer en vidéo les opérations de vol des engins du Réseau est également envisagée. Récupération par le Réseau d’une barre métallique dans une rivière réussie. Le Réseau regrette l’impact négatif sur la relation conjugale du sujet en raison des contacts. L’importance du statut ANDBAHTI n’est toutefois pas remise en cause. Les opérations du Réseau doivent se retirer de la zone régionale du sujet jusqu’au 1er juillet 1982. Résultat de la prise en compte par le Réseau de la demande du sujet devant être transmise à cette date. Les opérations de sondes du Réseau maintiendront la continuité. L’engin du Réseau s’est retiré dans la région de Rio Salada, en Amérique du Sud. »

Ce fut un développement intéressant. En raison de l’hostilité suscitée par les contacts auprès de la famille et des amis, les ET retiraient leurs contacts avec Bill pour un temps, afin de laisser les choses se calmer un peu.

Bill Herrmann a eu une autre rencontre avec un vaisseau Réticulien et a été emmené à son bord. Il y est resté environ 4h.

La rencontre s’est déroulée ainsi : Herrmann était à son travail et s’est mis à ressentir la sensation familière d’anxiété d’un contact à venir. Il finit par se sentir si mal qu’il quitta son travail et prit le volant, ne sachant même pas où il allait.Il était midi, il s’est arrêté en sortant de l’autoroute qu’il avait prise. Il écoutait des nouvelles à la radio. Puis il est sorti du véhicule, a marché un peu et a vu un éclair de lumière du coin d’un œil, la chose suivante dont il se rappelle était qu’il marchait pour revenir vers sa voiture pour y constater qu’il était …. 16h ! Il n’avait aucun souvenir de ce qui s’était passé dans l’intervalle de 4h écoulé en un clin d’œil.

Il n’avait aucun souvenir donc mais eu l’impression qu’il avait été à bord du vaisseau et qu’ils lui dirent qu’ils l’inviteraient à revenir à bord de leur vaisseau encore une autre fois. Ils lui ont dit qu’il avait été élevé au statut de « ANDBHATI », qui correspond peut-être à un titre désignant une sorte de personne contactée par eux de manière plus réccurente et ayant mission de propager ce contact. Mais c’est une supposition car ce terme ne lui a pas été expliqué, car ses souvenirs étaient faibles et flottants. On n’en aura pas plus sur cet enlèvement.

C’était minuit et demi le 29 juin 1983 et Bill Herrmann a ressenti la présence d’un vaisseau du Réseau de manière forte. Alors il est sorti de chez lui et il est allé sur le lieu de son second enlèvement à bord d’un vaisseau. Il a vu là bas de nouveau un vaisseau.

Le récit complet de cette rencontre est à retrouver dans les extraits plus loin dans l’article. Ce contact sera intéressant car il sera amené à pouvoir discuter vraiment et rencontrer des individus qui se présentent à lui et il aura un souvenir total de tout ce qui s’est déroulé.

Pendant qu’il était absent de chez lui, Wendelle Stevens s’est fait cambrioler le 6 août 1983. L’enquête de police a conclu a un travail très professionnel car des outils et techniques sophistiquées ont été utilisées pour s’introduire chez lui. Ils portaient des gants et des traces de nettoyage même des zones où les gants ont touché des objets ont été notés. Une vitre panoramique a été enlevée (et pas cassée) avec des outils pour accéder chez lui, et la porte vitrée a été remise à sa place mais pas entièrement correctement (pas bien dans le rail) ce qui a permis de détecter par la police son démontage comme point d’accès.

Tout son logement a été fouillé méthodiquement et les choses plus ou moins remises en place au fur et à mesure, ce n’était pas un grand désordre à l’intérieur. Tous les tiroirs, casiers avec dossiers de documents ont été déplacés de leur rangement et remis en place approximative, montrant qu’ils cherchaient quelque chose de précis. Le matériel onéreux de Stevens de caméras vidéo et stéréo, très visible, n’a pas été volé. Rien de valeur ne manquait chez lui. C’était une fouille pour aller voler des informations.

La seule chose que Stevens a pu contacter qui a été volée à coup sûr, était une planche de 6 photos couleur de la série la plus récente prise par William Herrmann qui venait d’être dévelopé. Les photos dataient de 1982. Peut-être que d’autres documents manquent, Stevens ne peut pas le dire. Probablement que les documents intéressants ont été pris en photo puisqu’il semblait que c’était une recherche d’information.

De nombreuses fois Stevens avait noté que des lettres envoyées par le passé par William Herrmann dans son courrier avaient disparu (William indiquait les avoir envoyés mais Stevens pas reçus) et ces lettres finissaient par lui arriver bien après, et elles avaient été visiblement ouvertes, avec des annotations dessus parfois. Parfois l’enveloppe originale de Herrmann avait été suffisamment abîmée pour que ceux qui interceptaient le courrier l’aient remplacé par une nouvelle enveloppe différente de celle que Herrmann avait utilisé pour contenir le courrier. Parfois plusieurs pages manquaient dans le courrier reçu par Stevens lors de courriers de plusieurs pages envoyés par Herrmann.

Une des lettres qui a été reçue 3 semaines après l’envoi était marqué d’annotations avec une signature du faux « Tom Olsen » qui s’adressait de plus directement à Stevens dans la note signée de ce faux nom. Ils faisaient en sorte de Stevens et Herrmann sachent que les courriers étaient interceptés, lus, étudiés.

L’une des lettres qui est parvenue sans interception aucune semble-t-il est une lettre que Herrmann a envoyé pendant qu’il était à son église où il fait partie des membres actifs du personnel. Il avait écrit son courrier sur une machine à écrire là bas et envoyé le courrier avec des photos couleurs à Stevens dans une enveloppe de l’église avec marqué comme adresse de retour d’expéditeur l’adresse de l’église dessus. Cette lettre là n’a pas été interceptée, il semble que la surveillance n’ait pas prévu cette chose. La lettre datait du 5 juillet 1983.

Le cambriolage de Stevens a eu lieu 3 semaines plus tard et il semble que les services de renseignement qui se sont rendus compte qu’ils avaient manqué cet envoi sont allés chez Stevens pour y avoir accès spécifiquement. Mais ils ne l’ont pas trouvé (et ils ont volé des photos de Herrmann chez lui datant de 1982) car Stevens avait conservé ce courrier ailleurs.

Ce courrier relate la quatrième montée à bord du vaisseau du réseau par Herrmann du 29 juin 1983.

William a subi cette pression plusieurs années. On a vu qu’il avait déjà conclu à l’envie de cesser tout contact suite à la pression de son église et de sa femme. Mais les extraterrestres ont poursuivi des transmissions et il y a eu une autre montée à bord.

La quatrième montée à bord avec la lettre reçue du 29 juin 1983 ont été le dernier contact de Wendelle Stevens avec Herrmann.

Wendelle Stevens apprendra que des personnes qui avaient tenté de contacter William Herrmann à Charleston rapporteront que cela sera sans succès, il ne voulait plus parler à personne de son contact. Il apprendra aussi qu’il a été selon ses propos emmené à faire un choix entre son église et a famille et les « extraterrestres démoniques », et qu’il a « vu la lumière ».

Pourtant Herrmann n’a jamais pu montrer que ses extraterrestres étaient « démoniaques » car ils ont été chaleureux et amical avec lui et ont donné des avertissements sur le sort de l’humanité pour une meilleur futur. Ils n’ont jamais été une menace pour lui. Ils avaient une technologie qui leur aurait permis facilement de prendre le contrôle de la planète si ils le désiraient

Stevens apprendra aussi que la maison où habitait les Herrmann a entièrement brûlé jusqu’au sol, et qu’ils ont dû déménager, sans savoir si la maison brûlée avait ou pas de lien avec les contacts.

A la fin de l’année 1983, William Herrmann écrit une lettre à Wendelle Stevens lui demandant de ne plus jamais le contacter pour lui parler de son cas et que s’il le faisait il n’obtiendrait aucune réponse de lui ou sa femme.

Wendelle Stevens apprendra aussi que l’autre témoin de plusieurs observations Tony Martin (et sa femme) a déménagé de leur maison à Summerville en ne laissant aucune adresse pour le contacter. Il a manifestement dû subir de la pression lui aussi, n’oublions pas qu’il était ami et en contact avec William Herrmann.

Wendelle Stevens aura contact avec le Dr Carl Harper en 1987. C’est un homme qui avait vu et photographié des engins volants dans le ciel du Nord de Charleston où il habitait vers la même zone que William Herrmann et la même époque. L’engin observé est identique à celui que Herrmann avait vu. Herrmann ne savait pas qu’Harper existait et Harper n’avait pas eu connaissance du cas de Herrmann à cette époque. Harper habitait en Californie depuis.

Harper a observé et photographié un vaisseau en forme de chapeau d’une couleur métallique grise sombre vers fin 1977.Il a observé et photographié de nouveau ce même engin le 17 octobre 1982. Il n’a jamais été pris par les extraterrestres avec eux mais il dit avoir reçu un contact télépathique de leur part.

Wendelle Stevens a donné l’adresse de William Hermann à Carl Harper, pour voir s’il voulait comparer son expérience avec lui. Harper lui a écrit mais sans succès. Il finit par trouver son numéro de téléphone et contacta Herrmann. Carl Harper fit un retour de sa discussion avec Herrmann. Il lui avait parlé par téléphone le 5 février 1988. Dès que Harper a indiqué qu’il avait observé le même engin que lui à Charleston dans le passé, Herrmann a répondu qu’il ne voulait plus parler de tout ceci. Il a expliqué que cette affaire a bouleversé a vie et a détruit son mariage. Il disait que tout cela était derrière lui et qu’il veut même oublier que ça lui est arrivé. Harper a dit à Herrmann qu’il était désolé d’apprendre comme cela avait détruit sa vie. Il a ajouté que cela n’avait pas détruit la sienne et qu’il pense que certaines personnes peuvent gérer cela et d’autres pas peut-être. Herrmann a répondu qu’il faisait partie de ceux qui ne peuvent probablement pas gérer cela. Il a dit qu’il ne voulait plus en parler et a mis fin à la discussion cordialement.

Apparence des habitants de de Zeta Reticuli :

Les habitants de Reticulum ressemblent à des humanoïdes à la peau très blanche et sans cheveux. Ils étaient vêtus d’une combinaison faite d’une seule pièce.

Voici les différents croquis réalisés par William Herrmann alors qu’il essayait de déterminer lequel était le plus fidèle à ce qu’il avait vu (il les a légendés). Être de Zeta Reticuli.
Voici les différents croquis réalisés par William Herrmann alors qu’il essayait de déterminer lequel était le plus fidèle à ce qu’il avait vu (il les a légendés). Être de Zeta Reticuli.
Apparence de l'être qui était le responable et lui parlait. Dessin de Bill Herrmann.
Apparence de l'être qui était le responable et lui parlait. Dessin de Bill Herrmann.
Voici un buste réalisé par un sculpteur sur commande de Herrmann qui lui a fait plusieurs retours de modification jusqu’à obtenir l’apparence exacte qu’il désirait des êtres de Zeta Reticuli.
Vue de face et de profil du buste commandé par Herrmann d’un des êtres de Zeta Reticuli.
Vue de face et de profil du buste commandé par Herrmann d’un des êtres de Zeta Reticuli.

Bill avait reconstitué pour Harry Lebelson un croquis du symbole visible sur le petit appareil fixé à l'uniforme ou au vêtement porté par les extraterrestres à bord du vaisseau spatial. Une reproduction de cet appareil est présentée ici :

C’est un dispositif semblant en métal, incrusté dans le tissu des uniformes sur le côté gauche de la poitrine d'un être de Zeta Reticuli(peut-être un système de localisation, de communication ou de surveillance biométrique ou tout cela à la fois, du genre communicateur starfleet dans Star Trek, ou peut-être seulement un insigne indiquant une fonction sans technologie intégrée).
C’est un dispositif semblant en métal, incrusté dans le tissu des uniformes sur le côté gauche de la poitrine d'un être de Zeta Reticuli (peut-être un système de localisation, de communication ou de surveillance biométrique ou tout cela à la fois, du genre communicateur starfleet dans Star Trek, ou peut-être seulement un insigne indiquant une fonction sans technologie intégrée).
Dessin réalisé dans le deuxième livre, représentant un être de Zeta Reticuli en entier avec sa combinaison.
Dessin réalisé dans le deuxième livre, représentant un être de Zeta Reticuli en entier avec sa combinaison.
Dessin réalisé dans le deuxième livre, morphologie d’un être de Zeta Reticuli.
Les êtres humanoïdes observés à bord du vaisseau spatial réticulien étaient de petite taille et de faible stature. Ils n’avaient pas de cheveux sur la tête, ni de sourcils, ni de cils, et aucune trace de follicules pileux dans leur peau. Leurs oreilles ne possédaient pas de pavillon cartilagineux comme les nôtres. Le nez et la bouche étaient petits et discrets.
Dessin réalisé dans le deuxième livre, morphologie d’un être de Zeta Reticuli.
Les êtres humanoïdes observés à bord du vaisseau spatial réticulien étaient de petite taille et de faible stature. Ils n’avaient pas de cheveux sur la tête, ni de sourcils, ni de cils, et aucune trace de follicules pileux dans leur peau. Leurs oreilles ne possédaient pas de pavillon cartilagineux comme les nôtres. Le nez et la bouche étaient petits et discrets.

Herrmann examina de plus près la tenue portée par les extraterrestres. Les « combinaisons » couleur rouille rougeâtre, qui ressemblaient à du daim, semblaient être d'une seule pièce. Il ne comprenait toujours pas comment ils les enfilaient. Il ne voyait aucune ouverture autre que celles pour les extrémités et ne voyait aucun signe de boutons, de fermetures éclair ou de tout autre type de fermeture. Son escorte portait un petit dispositif sur son vêtement qu'il n'avait vu sur aucun autre. Il s'agissait d'un minuscule disque métallique argenté qui semblait faire partie intégrante du vêtement. Il ne voyait pas comment il était fixé ni comment il se séparait du tissu. Il était orné d'un petit « serpent ailé » ou d'une sorte d'oiseau étrange. Les ailes étaient relevées et partiellement déployées. Le motif n'était ni gravé ni en relief, mais ressemblait plutôt à une gravure réalisée par un expert. Le dispositif avait environ la taille d'une pièce de monnaie. Le vêtement n'avait pas de poches et aucune ceinture n'était utilisée, bien que la taille fût froncée, un peu comme un élastique, mais sans être serrée. Les chaussures ressemblaient à des bottes légères à enfiler, mais elles ne se séparaient pas de l'uniforme, comme si l'ensemble ne formait qu'une seule pièce.

Représentation des êtres de Zeta Reticuli selon le concept de l’illustrateur Chan Johnson pour le livre de Wendelle Stevens sur le cas du contact avec William Herrmann.
Représentation des êtres de Zeta Reticuli selon le concept de l’illustrateur Chan Johnson pour le livre de Wendelle Stevens sur le cas du contact avec William Herrmann.

Il n'a jamais vu la bouche des extraterrestres s'ouvrir, même lorsqu'ils parlaient, bien qu'il soit certain d'entendre les sons avec ses oreilles et non par télépathie. Lorsqu'on lui a demandé s'il pensait qu'ils utilisaient un appareil de traduction, il a répondu que cela semblait plus logique, car il entendait un son surround, en stéréo.

Il observa de plus près leurs mains cette fois-ci et confirma son observation antérieure : ils n’avaient pas d’ongles. Ce qui avait pu faire penser à une forme de palmure entre les doigts fut désormais compris comme une caractéristique nouvelle. Il observa que les doigts pouvaient s’allonger et se rétracter à volonté, donnant une apparence raccourcie et partiellement palmée lorsqu’ils étaient rétractés. Les extrémités des doigts étaient fines et légèrement recourbées vers le haut. Ils étaient articulés différemment également, et bien que fins une fois étendus, ils semblaient solides pour leur taille. Les pouces, en revanche, ne semblaient pas dotés de cette capacité d’extension.

Description de leur monde et de leur civilisation :

Les Réticuliens ont donné très peu d’information sur leur monde. Ils ont plutôt parlé de leur interaction avec nous, mais très peu de leur origine, seulement pour la situer et des informations géophysiques.

Voici le message reçu par Herrmann qui donnera les informations les plus en rapport avec cette thématique.

Message reçu le 15 septembre 1981 par William Herrmann :

« Assimilation de données, planète d’origine et système stellaire réticulien comme suit : période de 18 jours terrestres. Soleil binaire proche. Les soleils sont composés d’une enveloppe de masse gazeuse lumineuse. Le plus petit soleil possède un nuage d’anneaux gazeux qui s’étend vers l’extérieur sur des millions de milles. La planète d’origine est située à une distance d’environ 14 589 millions de milles du groupe binaire. Atmosphère composée de nitrogène/oxygène avec consistance de vapeur d’eau. Dissociation continue avec mutation continue de l’oxygène en résultat, formant un écran atmosphérique moléculaire multiple pour protéger la planète des rayonnements thermiques ultraviolets létaux du soleil binaire. Période de révolution : 2,54 années. Excentricité de l’orbite : 0,036. Vitesse orbitale : 27,9 kilomètres par seconde. Inclinaison de l’axe de la planète : 25° 39". Diamètre équatorial : 15 694 kilomètres. Gravité de surface : 0,97. Masse planétaire : 0,912. Densité : 6,5. Volume : 0,97. Ascension droite : 04h 14,0m. Déclinaison : -62° 33'. Magnitude visuelle : 3,33. Indice de couleur : +0,91. Classification spectrale : type G6 II. Parallaxe : 0,008. Magnitude absolue : -2,1. Distance en années-lumière : 39,0. Mouvement propre : 0,064. Vitesse radiale : +35,6. »

Commentaire personnel :

La distance à leurs étoiles est de 2,348 milliards de kilomètres en convertissant.

Ils disent avoir une atmosphère Azote/Oxygène, avec de la vapeur d’eau, comme nous. Ils ont aussi une couche d’Ozone qui les protège des rayons solaires comme nous.

Leur année dure 2 ans et demi terrestres et ils ont une inclinaison de l’axe de leur planète comme nous. Leur planète a un diamètre de 15 694 km contre 12 756km pour la Terre, elle est à peine plus grande que la Terre donc. Leur gravité est de 0,97 fois la gravité terrestre, autant dire que c’est quasiment la même accélération de la gravité que sur Terre. Ils disent être à 39 années-lumière de la Terre.

Il y a eu 4 variations différentes d’appareils observés par William Hermann. Voici l’une d’elle à titre d’exemple, le vaisseau observé le 22 janvier 1978 et dans lequel il est monté lors de son enlèvement initial du 18 mars 1978 et aussi dans l’enlèvement qui a suivi le 16 mai 1979 :

Dessin du deuxième livre, avec explicatif du dessus de l’appareil de Zeta Reticuli observé le 22 janvier 1978 par Herrmann.
Dessin du deuxième livre, avec explicatif du dessus de l’appareil de Zeta Reticuli observé le 22 janvier 1978 par Herrmann.
Dessin du deuxième livre, avec explicatif du dessous de l’appareil de Zeta Reticuli observé le 22 janvier 1978 par Herrmann.
Dessin du deuxième livre, avec explicatif du dessous de l’appareil de Zeta Reticuli observé le 22 janvier 1978 par Herrmann.

Le 20 janvier 1979, un événement étrange se produisit. Alors qu’il travaillait sur des dessins en couleur représentant les objets et dispositifs vus à bord du vaisseau, Bill Herrmann écrivit soudain, sur une feuille blanche, le message suivant, dont il ne comprend que peu ou pas le sens, et sans savoir s’il est même cohérent :

« Le champ magnétique (instrument) comparé à l’instrument gravitationnel (qui indique) une portance induite par la manipulation de l’équilibre, grâce à la fusion d’électrons positifs sur des électrodes tournant continuellement dans le sens antihoraire pour simuler la circulation des champs électromagnétiques. »

« Des cellules à énergie solaire associées à des boucliers réfléchissants à miroir intense captent l’énergie et stockent l’énergie centrale dans une banque d’énergie. Des tests avec de l’électricité brute exercent une action-réaction de puissance minimale. L’énergie est convertie en charges pour produire une ionisation qui est injectée dans le mécanisme d’adaptabilité de contrôle. »

« L’appareil est orienté, incliné et accéléré selon le point atteint dans l’adaptabilité. L’influence cyclogravitationnelle est manipulée et recyclée en amplification électronique, laquelle est générée et stockée dans les chambres en forme de cloche. »

« C’est ici que la poussée, à la même vitesse que la lumière, est obtenue de manière continue, surveillée et programmée en conséquence. L’appareil est protégé par un alliage métallique qui sert à recycler l’énergie produite. Cet alliage est semblable à de l’acier au chrome et est très raffiné dans son procédé d’élaboration. »

« Les cellules d’énergie sont très similaires aux dépôts de thorium, mais sur une base de masse, ce qui suggère l’activité surveillée. »

Le contenu de ce message dépasse totalement le champ de compréhension de William Herrmann, et des pensées de ce genre ne correspondent en rien à sa personnalité. Il ne sait pas ce que cela signifie ni pourquoi il l’a écrit.

Commentaire personnel :

Si on regarde le contenu, il n’a effectivement pas de sens au regard de la science terrienne. Les électrons ne sont pas positifs, mais négatifs. Mais on peut imaginer que des anti-électrons (donc positifs) soient captés, non pas comme de l’anti-matière réelle mais comme de la matière fonctionnement sur un axe temporel inversé (équivalent en physique théorique comme l’a montré le physicien Dirac à une particule d’anti-matière lorsque l’axe temporel est inversé). Mais évidemment rien n’est explicite à ce sujet. Aussi on ne comprend pas en quoi un champ magnétique serait un « instrument », cela n’a pas de signification. Il est possible donc que ce message soit un mauvais filtrage d’information reçue par télépathie et donc inutilisable. Mais il est donné tel quel.

Dix jours après son enlèvement du 16 mai 1979, le samedi soir 26 mai 1979, Wendelle Stevens un appel de Bill Herrmann lui disant qu’il avait failli être poussé hors de la route ce même après-midi par quelqu’un conduisant une Chevrolet de 1978. Il était certain, à la façon dont cela s’était produit, que c’était intentionnel. Son échappée fut presque miraculeuse. Le numéro d’immatriculation de la Chevrolet fait l’objet d’une enquête privée.

Lorsqu’il rentra chez lui, il fut poussé à écrire de nouveau, et une fois de plus, il rédigea une page entière d’écriture extraterrestre, écrite de droite à gauche avec une grande fluidité. Il semble que cette étrange écriture ait été signée, puis il commença un flux rapide d’écriture automatique en anglais, comme suit :

« TECHNOLOGIE RÉTICULIENNE

Hypothèse évolutive de propulsion :
Une combinaison de manipulation de l’équilibre gravitationnel par conversion électromagnétique de l’énergie-masse à l’intérieur d’un champ unifié de fusions de faisceaux de particules positives et négatives... en utilisant l’énergie cinétique et l’électricité statique captée, une conversion a lieu qui augmente le flux d’énergie dans la chambre de force cohésive de l’onde électromagnétique... ce qui entraîne une base d’action/réaction par fluctuation.
L’effet de manipulation est maintenu par une augmentation et une diminution continues de l’onde électromagnétique MPS (manipulation par séquence). Plus l’échelle MPS est élevée, plus l’efficacité du maintien de la manipulation de la gravité et de l’équilibre est grande.

Un exemple courant est de pointer deux aimants l’un vers l’autre. La force entre les aimants qui repousse ou attire est la même que celle utilisée dans la mécanique ou la propulsion, seulement amplifiée et multipliée à une échelle bien plus grande...
Lorsque la force magnétique est unifiée dans un champ régulé de particules électriquement positives et de faisceaux de particules négatives, alors, selon les besoins, une division constante des particules a lieu pour accroître le flux... Une diminution se produit lorsque le procédé est inversé.

La chambre de force cohésive peut être adaptée pour utiliser des moyens chimiques, des moyens d’induction ou des moyens de friction afin de produire de l’électricité selon la capacité souhaitée... y compris la conversion en accélération de faisceaux de particules électriques chargées nucléaires, ce qui convertit alors l’élément de masse en l’énergie souhaitée, au moyen d’une intégration dans l’onde MPS, et ainsi électrifie le champ magnétique ; l’énergie rayonnante libérée extérieurement est neutralisée par le processus de purification et réduite par les procédures impliquant la re-cyclisation... seule une détection minimale d’énergie rayonnante en résultera, et alors à des niveaux ne présentant aucun danger pour les environnements de manière nuisible.

Une infusion d’un composé raffiné d’hydrogène et d’oxygène sous forme liquide est introduite dans la chambre de force cohésive où est institué le processus de l’hydrodynamique. Le flux maintenu de l’expédition est accéléré en fonction du niveau d’absorption souhaité. La puissance motrice à l’intérieur de la chambre de force cohésive est surveillée pour garantir que le point de capacité ne soit pas excessif, et pour garantir que le degré d’amplification soit généré dans l’ensemble de l’appareil. Une formule typique est la suivante :

La seconde formule, ci-dessus, était accompagnée d’une description de certains termes écrits en anglais. Certains de ces termes n’ont aucun équivalent linguistique sur Terre, et la langue extraterrestre est utilisée, comme dans les 8 derniers caractères de la 4e ligne.
La seconde formule, ci-dessus, était accompagnée d’une description de certains termes écrits en anglais. Certains de ces termes n’ont aucun équivalent linguistique sur Terre, et la langue extraterrestre est utilisée, comme dans les 8 derniers caractères de la 4e ligne.

Transmission d’informations supplémentaires assurée après évaluation correspondante.
Fin de transmission »

Maintenant, si l’autre formule n’avait aucun sens pour Herrmann, celle-ci était du pur charabia — ou bien ne l’était-elle pas ? Étant donné qu’elle a été transmise en anglais, il pourrait en fait y avoir quelqu’un qui parle anglais et qui soit capable de la comprendre et de travailler sur ces équations. Si nous arrivons à ce point, une aide et une extension supplémentaire de ces équations sont assurées. La direction que tout cela prend reste à ce stade purement spéculative pour quiconque.

« RÉSEAU – PROPULSION INFORMATION

La transmutation et l’interaction des réalités physiques constituent la base fondamentale, le rôle essentiel, de la source de puissance matière/énergie. Les champs inertiels et gravitationnels sont non uniformes et non absolus. Le champ magnétique de la planète hôte est manipulé par transmutation physique inertielle. Amplifiés correctement, les résultats sont ensuite transférés dans la chambre d’intégration. L’énergie résultante est libérée en pulsations qui interagissent, créant un mouvement de champ inertiel soutenu. Le contrôle de ce champ peut produire une poussée prolongée, des ascensions angulaires extrêmes et une capacité de vol stationnaire stabilisée.

La construction de la chambre de cellule énergétique est cruciale pour la réussite de la mise en œuvre du processus d’amplification. Toute déviation dans le contrôle précis pourrait conduire à une surcharge totale aux conséquences catastrophiques. Le temps disponible pour corriger une surcharge, une fois celle-ci survenue, est inférieur à cinq minutes. Une surcharge durant plus de cinq minutes provoquera la rupture moléculaire et la désintégration du blindage de dérivation.

Le contrôle de la température au cœur de la chambre rotative à fluctuations doit rester dans les réglages prescrits et ne pas dépasser 5 700 (cinq mille sept cents) degrés Celsius. Dépasser cette limite entraînerait une dispersion rapide et la fusion de la paroi interne de la chambre. L’occupation biochimique et biophysique du niveau inférieur (du vaisseau) deviendrait mortelle au moment de la dispersion et de la fusion. (Le niveau supérieur de la cabine est, dans une certaine mesure, protégé de ces radiations.)

L’augmentation de la distorsion géométrique pour atteindre des vitesses supraluminiques se produira lors de l’interaction de transmutation. Pour maintenir la vitesse supraluminique, le processus de manipulation doit être avancé et réglé d’une demi-longueur spatiale sur la grille de lecture. La rupture du champ gravitationnel augmentera encore d’une longueur spatiale supplémentaire sur la grille. Les cartes indiquant l’emplacement des champs gravitationnels stellaires et planétaires intersystémiques doivent être consultées au fur et à mesure de la progression du voyage interstellaire. La vitesse supraluminique, obtenue par distorsion géométrique, réduira le temps de détection des dangers de collision avec la matière intersystémique. »

Message de transmission reçu le 8 novembre 1980 par William Herrmann concernant la propulsion et d’autres choses :

« DONNÉES SUPPLÉMENTAIRES SUR LA PROPULSION DEMANDÉES :
Les répulsions des plaques de conduction entraînent une annulation du poids et de l'effet gravitationnel.
L'effet résultant est lié à la superposition de l'état de transition, tandis que l'effet de refroidissement structurel externe est relégué aux termes procéduraux appropriés pour permettre à la capacité de sustentation de supraconduire le champ gravitationnel provenant du noyau de la planète... le mouvement perpétuel de la chambre cellulaire de conduction ne permet aucune perte d'énergie, et recycle les électrons dépensés dans la chambre elle-même.

COMMUNICATION :
Le champ magnétique de la Terre est exponentiel, sa désintégration subit une amélioration intensément progressive, les courants électriques dans le noyau terrestre devenant de plus en plus accordés à une génération de résistance croissante. Cela entraînera une perte croissante d’énergie thermique... accompagnée d’un blindage partiel de plus en plus important par les conditions atmosphériques protectrices et le filtrage des rayons cosmiques et du rayonnement solaire.
Le blindage contre les rayons cosmiques et les particules radioactives de haute pureté par le champ magnétique principal de la Terre atteindra des niveaux de tolérance et de capacités limites, avec une endurance réduite. Par conséquent, la dégradation de l’atmosphère mettra en danger et engendrera des circonstances catastrophiques. Le premier signe extérieur de ce processus est la météo erratique et les conditions météorologiques variables des saisons.

L’activité solaire sur la Terre… en conséquence, peut engendrer des résultats dévastateurs.
Les éruptions solaires atteignant la Terre, ainsi que les effets des taches solaires, manifesteront également des phénomènes.
L’activité des éruptions solaires, bien que déviée dans l’espace par le champ magnétique et les Ceintures de Van Allen, avec un résidu minime débordant dans l’atmosphère intérieure, semble, selon une expérimentation analytique partielle, être un phénomène protecteur limité.

Il faut que chacun réalise le fait qu’un effondrement ou une disparition totale, ou un effondrement ou une disparition partielle du champ magnétique terrestre entraînera une destruction catastrophique des organismes vivants biophysiques et biologiques, avec des circonstances de mutations irréversibles en conséquence.
La désintégration totale du champ magnétique terrestre entraînera l’annihilation mutuelle de toute vie biologique et biophysique.

Le phénomène revendiqué d’inversion périodique de la progression descendante et de perte de gravité, et de renforcement immédiat du champ magnétique, ne peut être considéré comme fiable pour éviter l’événement inévitable mentionné ci-dessus.
Le phénomène revendiqué d’inversion périodique ne garantira pas la survie biologique et biophysique.
Ceci est l’opinion déclarée du Réseau et peut être considérée et pesée à la lumière de la réalité factuelle suivante... :
La science terrestre n’a ni pu observer, ni expérimenter, ni documenter une telle inversion périodique de la progression descendante, pas plus qu’elle n’a observé, expérimenté ou documenté un recyclage de champ énergétique ou une telle activité.

Une intrusion directe et ouverte d’Indépendants du Principe du Réseau ne reçoit pas de capacité testamentaire selon les directives des anciens du Réseau.
Pour les anciens du Réseau, une telle intrusion dans le spectre du contact direct ouvert constitue une responsabilité pleinement fiduciaire.
Les anciens du Réseau sont préoccupés par les conséquences universelles découlant de l’effondrement ou de la perte du champ magnétique terrestre...
Aucun précédent n’existe pour autoriser un contact direct ouvert.
Le Réseau examinera donc les différentes étapes nécessaires pour éviter et mettre fin aux événements mentionnés ci-dessus.

Dans le cas où un contact direct ouvert recevrait une autorisation testamentaire, l'information et les données seront transmises via le sujet.

Fin de la transmission. »

Le 14 novembre 1981, Bill reçoit une transmission automatique de ses contacts, et dessine sur leur impulsion télépathique le diagramme de l’unité de propulsion du vaisseau, pour répondre à ses nombreuses précédentes demandes techniques à ce sujet.

Diagramme de principe de l’unité d’alimentation de la propulsion du vaisseau de Zeta Reticuli, 2nd livre sur la cas Hermann (update).
Diagramme de principe de l’unité d’alimentation de la propulsion du vaiseau de Zeta Reticuli, 2nd livre sur la cas Hermann (update).
Diagramme de principe de l’unité d’alimentation de la propulsion du vaisseau de Zeta Reticuli, 2nd livre sur la cas Herrmann (update).
Diagramme de principe de l’unité d’alimentation de la propulsion du vaisseau de Zeta Reticuli, 2nd livre sur la cas Herrmann (update).

Au cours des premières heures de l’entretien enregistré, Bill Herrmann mentionna avoir vu des feuilles de matériau transparent dans ce qu’il pensait être le centre de navigation. Ces feuilles comportaient une forme d’écriture ou de symboles qui ressemblaient à celui qu’il avait vu en plus grand près d’un des appareils. Lorsqu’il s’assit pour tenter de les visualiser mentalement afin de les reproduire, sa main se mit à écrire toute une série de ces symboles en lignes régulières, de droite à gauche. Les symboles s’enchaînaient avec fluidité, comme s’il écrivait une lettre, remplissant toute la page, puis se terminaient par une sorte de signature, le tout dans les mêmes symboles extraterrestres. Au départ ni Bill Herrmann ni Wendelle Stevens ne savaient comment interpréter cela, ils pensaient que c'était des réceptions en langue extraterrestre de Zeta Reticuli.

Il y avait également d’autres feuilles du même matériau transparent avec d’autres motifs, qu’il a essayé de reconstituer. L’une montrait des cercles superposés à des feuilles comportant de petits points rectangulaires irrégulièrement espacés, et une autre sorte de carte présentait également ces points irréguliers. Il en a fait des croquis du mieux qu’il a pu.

C’était vers le 1er décembre 1978, lorsque Bill Herrmann s’assit pour essayer de dessiner l’un des symboles qu’il avait vus sur une fine feuille transparente placée sur un panneau lumineux en dessous, qu’une écriture spontanée ressemblant à l’alphabet des visiteurs se produisit pour la première fois :

Ceci est le premier message reçu par Herrmann dans l’écriture des extraterrestres de Zeta Reticuli. Il essayait simplement de reproduire l’un des symboles vus à bord du vaisseau lorsque sa main s’est mise à écrire d’elle-même, traçant rapidement cette série de symboles, de droite à gauche et de haut en bas. Il n’avait aucune idée de ce que cela signifiait.
Ceci est le premier message reçu par Herrmann dans l’écriture des extraterrestres de Zeta Reticuli. Il essayait simplement de reproduire l’un des symboles vus à bord du vaisseau lorsque sa main s’est mise à écrire d’elle-même, traçant rapidement cette série de symboles, de droite à gauche et de haut en bas. Il n’avait aucune idée de ce que cela signifiait.

La deuxième transcription dans les étranges symboles eut lieu le 6 février 1979, alors que Bill se préparait à écrire une lettre. Les deux pages sous forme de tableau furent écrites rapidement et sans difficulté. Il affirme que l’écriture devient de plus en plus facile, presque comme une seconde langue pour lui désormais. Toutefois, il ne parvient toujours pas à en comprendre le sens et espère que quelqu’un ayant vécu une expérience avec des entités de l’espace y reconnaîtra quelque chose de familier.

À nouveau le 21 avril 1979 il écrit dans ce même langage alors qu’il essaie de se souvenir de ce qu’il a vu dans le vaisseau, et il y aura aussi une matérialisation d’un objet, une barre de métal, immédiatement après cela (voir Extrait plus bas dans l’article) :

Voici la page complète de l'écriture extraterrestre reçue par Bill Herrmann juste avant la livraison de la barre de métal dans une boule de lumière bleue le 21 avril 1979.
Voici la page complète de l'écriture extraterrestre reçue par Bill Herrmann juste avant la livraison de la barre de métal dans une boule de lumière bleue le 21 avril 1979.

Lors de son enlèvement du 16 mai 1979, lorsqu’il a demandé ce qu’était l’écriture étrange qu’il avait rédigée, ils lui ont répondu que cela constituait une préparation à des informations supplémentaires qui lui seraient données, indiquant qu’à un certain moment, il serait capable de lire l’écriture des extraterrestres.

À nouveau le 26 mai 1979 il écrit dans ce même langage :

Message reçu le 26 mai 1979 par William Herrmann dans l’écriture symbolique.
Message reçu le 26 mai 1979 par William Herrmann dans l’écriture symbolique.
Voici encore un extrait de texte en langage extraterrestre écrit par William Herrmann, pas d’information sur la date de sa production pour celui-ci.
Voici encore un extrait de texte en langage extraterrestre écrit par William Herrmann, pas d’information sur la date de sa production pour celui-ci.

Voilà un autre message symbolique reçu le 11 novembre 1981 :

Aucune « transmission » en langue anglaise n’a suivi cette inculcation donnée le 11 novembre 1981. Il semble qu’à ce moment-là seules des données destinées au subconscient aient été reçues. Les visiteurs réticuléens ont désormais dit à Herrmann que cette forme symbolique n’était pas leur langue, mais une sorte de sténographie réflexe résultant des « transmissions ».
Aucune « transmission » en langue anglaise n’a suivi cette inculcation donnée le 11 novembre 1981. Il semble qu’à ce moment-là seules des données destinées au subconscient aient été reçues.
Les visiteurs réticuléens ont désormais dit à Herrmann que cette forme symbolique n’était pas leur langue, mais une sorte de sténographie réflexe résultant des « transmissions ».

Il a été plus tard expliqué par les êtres Réticuliens à William Herrmann que lorsqu’il écrit ces symboles, c’est une réaction réflexe de sa main pendant que le Lexique (l’ordinateur de bord du vaisseau) est en train de l’inculquer à distance, de lui télécharger un message psychiquement. Ce téléchargement de données dans son mental produit un ensemble d’effets physiques, dont ces mouvements de la main, qui ne constituent pas un message en soi et ne sont pas la langue des Zeta Réticuliens.

À la suite de cette écriture symbolique, dans les minutes qui viennent, il reçoit souvent un message en anglais, et c’est alors la traduction par le Lexique qui lui est faite de l’inculcation précédemment téléchargée dans son esprit. Parfois il n’y a pas de message en anglais qui suit car l’inculcation était destinée à son subconscient pour lui ajouter des données de compréhension, mais pas destinées à produire un message à diffuser.

A partir d’un certain moment, William Herrmann s’est mis à recevoir des « transmissions » comme il les appelait. Il sentait un état particulier de contact avec les êtres de Zeta, sentait une connexion se faire et qu’il allait recevoir quelque chose.

Il allait alors se placer face à sa machine à écrire (mécanique). Et alors il recevait le flot d’écrire des lettres une par une, formant un mot, sans avoir l’idée du mot avant qu’il ne soit tapé et sans savoir la suite de ce qui arriverait. C’était une forme de réception automatisée, une forme d’écriture automatique où il était dans une sorte d’état de transe. Comme on l’a déjà précisé, cela arrivait souvent après un première écriture automatique manuelle par sa main en langage symbolique. Mais pas forcément par la suite.

Ces transmissions étaient faites en anglais. Il apprendra plus tard que c’est un ordinateur à bord d’un de leurs vaisseaux, appelé par eux le « Lexicon », qui envoyait un signal télépathique à Bill Herrmann, cet ordinateur traduisant des informations en anglais qu’eux les Réticuliens désiraient lui transmettre. C’était donc une machine qui lui envoyait ces informations, et la façon dont le texte reçu est écrit est en effet toujours un peu particulier, comme des informations transmises seulement de façon technique un peu froide.

Le contenu des informations concernait des choses variées. Cela pouvait être des suppléments d’information sur l’alimentation en énergie ou la propulsion du vaisseau. Un rapport de déplacement dans l’espace proche terrestre ou l’histoire des Zeta Réticuliens.

Le 2 février 1979, John Fielding, un chercheur indépendant anglais spécialisé dans les OVNIs, emmena Herrmann et sa femme à New York pour y être étudiés. Le 3 février, un profil psychiatrique et psychologique de Bill fut établi par le docteur S., diplômé de l’American Clinical Hypnosis Institute, ainsi que par un autre docteur S. du Columbia Presbyterian Hospital, professeur et auteur au sein de l’établissement.

Bill Herrmann dans une autre séance d’hypnose faite pour un documentaire TV d’enquête sur son cas.
Bill Herrmann dans une autre séance d’hypnose faite pour un documentaire TV d’enquête sur son cas.

Il fut déterminé que le témoin était exceptionnellement stable sur le plan mental et psychologique, et en bonne santé. Il s’est révélé très réceptif à l’hypnose et constituait un excellent sujet. Lors de séances hypnotiques d’essai, il montra des facultés remarquablement claires et une excellente mémoire. Il fut régressé sous hypnose jusqu’à l’âge d’un mois et fit preuve d’un souvenir net. Une régression test relative à son enlèvement du 18 mars 1978 révéla un examen médical mené à bord du vaisseau, au cours duquel les « extraterrestres » découvrirent une ancienne fracture du bras, guérie, datant de sa petite enfance, et manifestèrent un intérêt particulier pour celle-ci.

 « Zeta 1 Reticuli et Zeta 2 Reticuli sont la source d’origine “double” et se trouvent à environ 32 années-lumière en espace-temps. La capacité des véhicules à maintenir des communications constantes et des discussions approfondies avec “ceux qui détiennent l’analyse supérieure” est permanente... grâce à une combinaison d’émissions radio et lumineuses, bien que ce ne soit pas exactement de cette façon... mais pour vous permettre de comprendre, cela s’en rapproche beaucoup. »

« Les vaisseaux d’observation poursuivent des expériences hydrodynamiques impliquant la friction des liquides, produisant une énergie intense par émissions électriques... en combinaison avec des tests d’électricité brute exerçant une action-réaction à puissance minimale. Ces expériences utilisent des techniques similaires à l’osmose inverse... et sont absorbées de manière intermittente. »

La plus grande percée de résurgence de mémoire survint toutefois dans la nuit du 18 mars 1979, exactement un an après l’enlèvement — presque à l’heure près. Il était environ minuit, et Bill se trouvait dans la pièce où il recevait habituellement les étranges messages écrits et réalisait ses croquis en couleur. Il regardait les dessins qu’il avait faits ainsi que les agrandissements en 20 x 25 cm des photos prises le 22 janvier, tout en repensant à l’enlèvement et à ses conséquences, lorsqu’il fut soudainement poussé à écrire, et se mit à tracer rapidement des symboles dans cet étrange alphabet.

Il écrivit rapidement quatre pages de droite à gauche, puis... son esprit s’ouvrit brusquement, comme si l’on allumait une lumière, et il retrouva soudainement la mémoire complète et consciente de tout ce qui s’était passé cette nuit-là, un an auparavant. Voici son récit sur les implications des Réticuliens avec la Terre par sa résurgence mémorielle du 18 mars 1979.

« Je peux me souvenir totalement de ce que je crois m’être arrivé, depuis le moment où j’ai été frappé par le faisceau de “transfert” jusqu’au moment où j’ai été relâché dans le champ. Ce champ a déjà été utilisé avec un autre “sujet” auparavant. L’OVNI s’est effectivement posé au-dessus du champ... mais sans toucher réellement le sol lui-même. La lueur orange était un “marqueur” laissé par les occupants, qui non seulement quittaient la zone, mais observaient également mes réactions physiques et émotionnelles à ma libération. Les motifs triangulaires utilisés par l’OVNI de Charleston sont principalement destinés à des manœuvres d’évitement par rapport au suivi RADAR “local”, et font aussi partie du “vol inter-atmosphérique” de la plupart des engins OVNI conformes aux autres véhicules d’“examen et d’observation”. »

« Les extraterrestres qui occupaient le vaisseau impliqué dans mon enlèvement font partie du “réseau” impliqué dans les enlèvements des “18 dernières années” selon le temps terrestre ; l’OVNI lui-même n’est que “l’un des nombreux” actuellement actifs “dans l’hémisphère occidental continental”. L’activité OVNI qui est enregistrée par d’autres humains... est exacte à environ 85 %, et une “activité prolongée” se poursuivra jusqu’à ce que les résultats des “examens et observations” soient terminés. Un contact réel avec la race humaine a été tenté mais a été supprimé et maintenu (secret) par des gouvernements organisés. Il y a eu des cas “isolés” impliquant la “destruction” de “nos vaisseaux” par des puissances gouvernementales terrestres. Le consensus du “réseau” a été de continuer à surveiller les actions gouvernementales. »

« Ils ne nous veulent absolument aucun mal et regrettent le “retour émotionnel lié à l’activité d’observation”. Cela fait à peine un peu plus de 50 ans de temps terrestre que leurs véhicules ont établi le “réseau” d’activité d’observation impliquant le “vol inter-atmosphérique” et “l’observation directe”, ce qui est synonyme d’enlèvement. »

« Des dispositifs d’inculcation, comme la barre de lumières clignotantes, sont en cours de “test” sur divers “sujets d’observation directe” à bord de certains engins sélectionnés. Ce que nous, humains, appelons des expériences “médicales” fait partie de toutes les procédures d’“observation directe”. La sélection du sujet s’inscrit dans une progression de l’activité d’observation. La capacité d’“observer directement” le sujet ne résulte pas d’un acte prémédité d’enlèvement. Elle découle plutôt d’un désir subconscient et d’une conscience de la curiosité de la part du sujet. L’environnement culturel et moral du sujet est surveillé et soumis au “réseau”. Toute décision impliquant une “observation directe” est prise en concertation par “le réseau”. En essence, l’“observation directe” constitue un échange d’informations... un catalogue d’observations personnelles sur des individus qui, bien qu’inconnus et dans 95 % des cas sceptiques quant à leur propre implication, sont néanmoins importants et sélectionnés comme participants. La capacité des sujets à comprendre, saisir et percevoir les implications évidentes de l’“observation directe” se manifeste par le récit de cette “observation directe” ; l’étrangeté à laquelle nous sommes confrontés et que nous essayons parfois de reconstruire logiquement est en réalité la norme véritable concernant les occupants et les “observations directes”. »

« C’est par “l’astronomie stellaire” que la Terre a été “découverte” comme “favorable” à la vie humanoïde. Fondamentalement, des conditions atmosphériques similaires existent à la source d’origine des occupants... mais le progrès de la vie humaine là-bas est bien plus avancé, et continue de progresser en comparaison avec celui des humains de la Terre. L’emplacement de la source d’origine (des extraterrestres) est “double”, et a été discuté en profondeur avec un autre sujet. L’amas stellaire impliqué dans la source d’origine a été en fait inculqué au sujet. »

« Le “vol inter-atmosphérique” de tous les véhicules impliqués dans l’“activité prolongée” consiste principalement en une analyse atmosphérique et en des évaluations tridimensionnelles de la vie et des dynamiques existantes sur cette planète. Les informations et analyses qui ont été recueillies, collectées et soumises sont ensuite “contrôlées” et “programmées” par le “réseau” dans la géodésie continue. La géodésie et l’aéronomie sont des fonctions de base du “réseau des véhicules d’observation”. Les fonctions secondaires sont l’observation.

Comme cela a déjà été souligné, aucun mal n’est intentionné dans la poursuite de l’activité d’observation... toutefois, les motifs triangulaires des véhicules ont conduit à des circonstances malheureuses qui sont regrettées. Ces circonstances ont affecté à la fois les occupants et les avions de reconnaissance des installations militaires gouvernementales. Les mécanismes impliqués dans ces circonstances malheureuses sont complexes et en effet incompréhensibles... lorsqu’ils sont évalués en comparaison avec la technologie terrestre actuelle en matière de “vols inter-atmosphériques”. Cependant, la principale menace provient des émissions RADAR des installations terrestres dirigées vers les véhicules en mouvement du “réseau”... le RADAR terrestre, s’il est centré sur un véhicule pendant plus de 90 secondes, peut interférer avec les programmes et la propulsion, d’où la vitesse observée et les motifs triangulaires... le but principal étant de réduire l’effet des ondes RADAR... ainsi que la détection et l’interception. »

« La plupart, sinon tous les véhicules du “Réseau” entrent dans l’atmosphère par la magnétosphère... attirant ainsi beaucoup d’électromagnétisme et d’énergie... qui est convertie en propulsion. La mécanique (est) trop complexe pour être formulée en équations physiques compréhensibles. Cependant, avec le temps, un “contact ouvert” pourrait peut-être aboutir à des échanges technologiques mutuels, une fois que la menace d’abus aura été écartée. Cela dit, c’est encore très éloigné, ce qui est regrettable. Le temps est limité... pour l’activité d’observation... sur la côte Est des États-Unis continentaux, et se poursuit également sur l’ensemble de l’hémisphère occidental... bien que de manière limitée. »

Il fut expliqué à Herrmann que ces êtres avaient perdu plusieurs de leurs vaisseaux et équipages crashés un certain nombre d’années auparavant et ils ont compris que c’était dû à un rayon d’énergie qui endommageait leur ordinateur et leur système de contrôle. Ils avaient d’abord cru que c’était une arme d’attaque fabriquée par les terriens contre eux, et s’étaient réunis pour discuter de cette menace et de la façon d’y répondre. Ils ont constaté que c’était aussi utilisé par nos avions. Ils ont fini par comprendre que c’était le radar, et que ce n’était pas une arme intentionnelle, et ils ont mis en place une stratégie de vol permettant de rester une fraction de seconde seulement dans le faisceau radar. A partir de là ils n’ont plus perdu leurs vaisseaux et n’ont plus eu de problème avec les radars au sol (ou des avions).

Herrmann n’avait à ce moment là pas la moindre idée que des crashs d’engins spatiaux avaient pu avoir eu lieu et n’en avait jamais entendu parler.

Note : On peut mentionner les crashs d'engins spatiaux suivants

• Crash de Magdalena qui eut lieu le 2 juillet 1947 et découvert par monsieur G.L Barnett. Les témoins rapportent qu’il y avait 6 corps humanoïdes de petite taille avec une grosse tête aux corps peu endommagés retrouvés dans leur engin volant crashé. Le vaisseau faisait environ 10 mètres de diamètre estimé, discoïdal.

• Crash de Roswell a lieu exactement le même jour 2 juillet 1947 à 120 miles de là et découvert par W.W. Brazel le 3 juillet mais rapporté par lui le 5 juillet. Le crash a eu lieu en fait à 120km au Nord de Roswell. Aucun corps n’a été retrouvé immédiatement par Brazel, mais il a été rapporté que deux corps furent retrouvés plus loin par les recherches menées par les militaires une fois avertis (avertis le 5 juillet seulement par Brazel). Les corps étaient en mauvais état de décomposition et mangés par des prédateurs. Ils avaient une grosse tête et un vêtement en une seule pièce. Cela suggère que soit c’est le même engin ont un morceau est tombé à Magadalena et l’autre à Roswell, soit les deux vaisseaux volant en formation ont été pris dans un faisceau radar et se sont crashés ensemble. A Roswelle ce ne sont que des débris qui ont été retrouvés.

• Crash d’Aztec a eu lieu le 25 mars 1948 et a été constaté par radar, un hélicoptère ayant été envoyé dans les minutes qui ont suivi. Les témoins rapportent qu’ils ont trouvé 14 corps de petite taille d’apparence humanoïde dans ce crash. Le vaisseau était resté assez intact et faisait environ 30 mètres de diamètre, discoïdal avec une cabine de 10 mètres de diamètre.

• Crash de Laredo (au Texas, USA)  du 7 juillet 1948, constaté là aussi au radar, et dont la position de crash a été triangulée. En fait le crash a lieu à 50 km au sud de Laredo à Sabinas River dans l’état Mexicain du Nueva Leon. Des forces armées sont arrivées sur le site dans les heures suivantes. Un corps brûlé y a été trouvé à l’extérieur par le personnel de récupération, et photographié par une équipe du personnel de White Sands au Nouveau Mexique, qui témoignera, et des rumeurs parlent d’autres corps récupérés par les autorités mexicaines, en meilleur état, dans le vaisseau. Le vaisseau était très endommagé et brisé en morceau, mais il était visiblement de forme initiale discoïdale, estimé à environ 33 mètres de diamètre approximativement avant éclatement en morceaux.

• Un autre engin similaire à celui du crash de Laredo a été retrouvé lors d’un crash à Svalbard en 1952, retrouvé par le gouvernement Norvégien.

Tous ces crash ont eu lie entre la fin des années 1940 et le début des années 1950, sur 5 ans. Il semble qu’ensuite le problème qui a causé les crashs fur réglé. A chaque fois des êtres humanoïdes de petite taille avec de grosses têtes furent retrouvés, la taille étant similaire à celle d’enfants de 8 à 10 ans. La couleur de leur peau allait de blanc pâteux à grisâtre.

Message reçu le 19 mars 1979 par une transmission automatique, à la suite de sa résurgence mémorielle, qui complète bien le panorama :

Les voyages du « Réseau » incluent des points dans NGC 7078 (Messier 15) dans la constellation de Pégase, mais leur véritable foyer se trouve dans Reticulum. Les Reticuliens proviennent d'une civilisation entièrement et sans réserve dédiée à la recherche interstellaire et à l'analyse de la vie. Grâce à cela, leur technologie stellaire a progressé et a permis aux Réticuliens d'établir des routes d'exploration et de commerce, des échanges (de contacts) ainsi que des avant-postes et des sociétés astronomiques. Les états actuels d'observation et de vol inter-atmosphérique sont constitués d'expériences de géodésie et d'aéronomie... Un système avancé d'hydrodynamique est également en service, utilisant des techniques similaires à l'osmose inverse. Ces techniques combinent la filtration sous vide et la séparation. L'énergie cinétique brute fait l'objet d'expériences et d'analyses à l'aide de techniques d'énergie rotationnelle.

Depuis qu'ils ont découvert que la Terre est habitée par des formes de vie biologiques, notamment humaines et animales, les Réticuliens ont mis en place un « réseau » de véhicules d'observation capables de voler dans l'espace interstellaire et inter-atmosphérique. Ces engins sont capables de parcourir de grandes distances à travers les systèmes stellaires. Les trajectoires de navigation sont dérivées des informations obtenues grâce à l'astronomie stellaire antérieure. Les systèmes stellaires ont été cartographiés... et des données précises concernant la trajectoire et les corrections de trajectoire sont étudiées, analysées et soigneusement déterminées avant d'entreprendre un vol interstellaire. La courtoisie du « réseau » est alors recherchée et une approbation ou une désapprobation est émise.

Les véhicules d'observation du « réseau » effectuent des vols inter-atmosphériques sur et au-dessus de la troisième planète depuis environ 50 ans (selon votre calendrier). Dans le passé, des sondes expérimentales, ou « orbes », ont été observées par les humains à intervalles réguliers, mais ces vols « orbes » ont été considérablement réduits et ne sont (désormais) utilisés que dans des cas isolés, et uniquement avec l'approbation des « Anciens ». Le vol inter-atmosphérique est réalisé au-dessus de la Terre grâce à la magnétosphère. Les systèmes de propulsion des véhicules du « réseau » sont optimisés à leur intensité maximale lorsque la trajectoire entre dans la magnétosphère.

Dans le passé, le « réseau » a tenté de communiquer et d'établir un contact direct avec les gouvernements terrestres, mais ce contact a été supprimé et délibérément et préméditamment rejeté par les gouvernements terrestres. Cette suppression a été et est maintenue jusqu'à présent (temps). Le « réseau » considère le manque d'implication de la Terre dans l'astronomie stellaire comme une situation tragique qui ne porte aucun fruit pour la civilisation humaine. Si l'attitude belliqueuse et l'éternelle « guerre » ne sont pas évitées, cela entraînera l'effondrement de la technologie terrestre (et de la société telle que nous la connaissons).

Les progrès vers cet objectif s’accélèrent malgré les protestations des humains de la Terre eux-mêmes. Les fondements culturels et moralistes enracinés chez les humains de la Terre, bien que potentiellement bénéfiques, semblent renforcer la tendance à l’auto-anéantissement. Le « Réseau » continue d’observer des actions conformes à ce schéma. TANT QUE LA DIRECTION N’EST PAS ACHEVÉE OU DÉTOURNÉE, un contact direct est impossible. La science, telle que les humains la conçoivent, est liée et inter-reliée aux réalités physiques et stellaires astronomiques. L’observation directe des humains progresse depuis un peu plus de dix-huit années terrestres...

Des cas isolés d’observation directe par le « Réseau » ont eu lieu dans le passé, mais n’ont été institués de manière régulière qu’il y a un peu plus de dix-huit ans. Les sujets sélectionnés au hasard sont surveillés, observés et suivis. L’observation directe est ensuite déterminée et instituée (si elle est approuvée). Un échange d’informations a lieu, puis le sujet est relâché (sauf si cela est jugé déconseillé), et est de nouveau surveillé, observé et suivi. Toute observation secondaire et consécutive est alors réalisée sur la base d’une implication prédéterminée d’accord mutuel. L’observation directe comprend une analyse médicale pré-transfert et une analyse médicale post-transfert. Le transfert est une expérience technologique à haut potentiel de rendement, actuellement menée de manière progressive... à bord de certains véhicules « Réseau » sélectionnés.

En raison de la machinerie particulaire impliquée dans le transfert par faisceau (être transporté à bord par faisceau)... l’intensité des impulsions particulaires doit être surveillée de très près ; des barres d’inculcation sont construites pour inculquer des données présélectionnées dans un sujet. Ces barres peuvent également exculquer des données déjà présentes chez un sujet. Il n’y a aucun danger ou risque dans l’un ou l’autre processus. LES CAPACITÉS MENTALES PEUVENT ÊTRE GRANDEMENT AMÉLIORÉES PAR UNE THÉRAPIE INCULCATIVE.

Les humains ont des méthodes primitives impliquant l’exculcation (lavage de cerveau), qui ne sont disponibles que par des moyens pharmaceutiques... et qui provoquent parfois des effets secondaires indésirables et des réactions chimiques défavorables. La thérapie d’inculcation avec la technologie réticulienne peut être comparée à des échanges d’informations... sans aucun inconfort ressenti. Seuls certains véhicules « Réseau » sélectionnés possèdent des chambres d’inculcation. Des expériences et des analyses se poursuivent par étapes progressives dans ce domaine de recherche. Tous les sujets d’observation directe reçoivent l’inculcation de la capacité à reconnaître le lien commun qui les relie... la conception de l’observation directe détermine la réaction à l’observation directe. L’incapacité à se souvenir des événements entourant l’observation directe est une suggestion inculquée pour assurer une protection contre la réaction mentale et émotionnelle du sujet face à l’observation directe après sa libération... bien que des mesures soient prises pour assurer une facilité mentale et émotionnelle après une libération. Les sujets individuels diffèrent, donc une explosion émotionnelle suit la libération. Aussi déroutant que cela puisse être... le sujet est autorisé à vivre ce ressenti sans aucune suppression. L’analyse de ce phénomène récurrent se poursuit, bien que des réponses définitives soient encore à venir.

L’activité d’observation directe dans l’hémisphère occidental continental continuera à s’intensifier par une série d’incidents. Le vol inter-atmosphérique se poursuivra également à grande échelle. L’aéronomie et la géodésie intensives continueront d’être des branches d’étude investigatrices... Des recherches géologiques et géophysiques seront menées. L’activité réticulienne dans la région côtière est de la Caroline du Sud, dans la partie orientale des États-Unis, constitue une preuve d’observation et d’observation directe. Cette activité est également due à la présence de gisements minéraux ainsi que de dépôts d’uranium dans un rayon de 90 milles de cette observation directe.

« Les expéditions vers la Terre ont des ‘objectifs analytiques’. Il existe diverses routes commerciales dans cette galaxie, ainsi que dans d’autres. La vie est maintenue ailleurs et de nombreuses ‘activités d’observation’, similaires bien que plus avancées, se poursuivent à d’autres endroits à travers des systèmes stellaires adjacents. Le progrès de la civilisation humaine a d’abord été observé à distance… et comme mentionné, au cours du dernier demi-siècle, à travers diverses étapes d’observation, la plus cruciale étant l’‘observation directe’. Les incidents d’‘observation directe’ vont continuer à augmenter, bien qu’aucun schéma ou routine fixe ne se développera. Les tentatives passées de ‘contact ouvert’ ayant été rejetées, cela a conduit à la politique actuelle maintenue par les ‘Réseaux’ concernés.

« On m’a également dit que je n’allais pas me souvenir des événements de cette ‘observation directe’, et que même si je le faisais, la majorité rejetterait la croyance en mon souvenir. Pourtant, ce n’était pas en vain de s’en souvenir : ‘Ceux sincèrement compatissants envers l’expérience que tu viens de vivre t’aideront. Et d’ailleurs, tu comprendras finalement… et nous avons la capacité de continuer à observer ton ‘implication’. Nous nous reverrons…’ On m’a alors dit de m’allonger sur la table… la barre de lumières s’est mise à clignoter… le faisceau de transfert s’est activé, et j’ai été placé sans douleur dans le champ ouvert. Un marqueur lumineux (a été) placé là, puis l’objet s’est élevé dans les airs. Une fois à l’altitude du RADAR, les mouvements triangulaires ont commencé. Le reste, tu le sais déjà.

« Je suis personnellement convaincu de la validité de ce contact, et des informations transmises. Je suis également totalement convaincu que, même si la formulation et les termes sont étranges, ils sont textuellement exacts. Je me souviens de la conversation aussi clairement que si elle avait eu lieu il y a quelques minutes. »

Wendelle Stevens : « Le 23 février 1982, j’ai reçu une lettre de Bill Herrmann qui avait été écrite le 29 janvier et postée dans une boîte postale à North Charleston le lendemain. Lors d’un appel téléphonique quelques jours plus tard, Bill m’a demandé si j’avais reçu la lettre. Je lui ai dit que non et que je l’en informerais dès que ce serait le cas. Cette lettre est finalement arrivée en courrier de première classe avec un timbre de 20 ¢, oblitérée à Charleston avec un cachet de la poste, daté du 17 février 1982. Le verso de l’enveloppe portait de minuscules marques de timbre, un « P8 » à l’encre violette et un « 61 » à l’encre rouge. La lettre et ses pièces jointes étaient dans une longue enveloppe blanche adressée à la machine à écrire, avec les mêmes caractères que l’une des machines utilisées par Herrmann.

Cette lettre contenait plusieurs surprises. Elle incluait une transmission du « Réseau » datée du 29 janvier 1982. Cette communication était rédigée dans l’anglais maladroit désormais familier du Lexicon, un appareil de traduction à bord du vaisseau spatial. Elle décrivait une association d’intelligences extraterrestres comprenant plus de 17 000 membres distincts, dont la plupart étaient technologiquement plus avancés que nous ne le sommes actuellement.

La société intelligente de la Terre était perçue comme exceptionnellement hostile, et sa structure de pouvoir auto-perpétuée était considérée comme unique. Ils jugeaient très déprimante la concentration d’armes offensives, également capables d’autodestruction. Ils trouvaient aussi l’étendue de la pauvreté et des maladies particulièrement affligeante. N’ayant pas le pouvoir d’intervenir selon leurs lois, ils espéraient, bien qu’ils ne s’y attendissent pas, qu’un changement surviendrait à temps pour sauver la planète de la destruction par ses propres habitants. Le « Réseau » décida de sélectionner divers individus appartenant à différents niveaux de la société terrestre, afin de leur inculquer la connaissance de l’existence du « Réseau » et de la nécessité de changer pour éviter l’holocauste que nous avons préparé nous-mêmes. »

Message reçu le 25 août 1981, Charleston par William Herrmann :

« La capacité du spectre sociologique humain à conceptualiser l’existence du phénomène et son effet résultant sur le progrès culturel de la civilisation humaine se manifestera dans un laps de temps mesurable du continuum espace/temps. Conformément à l’objectif éventuel du consensus du « Réseau », il existe une formulation communicative suffisante dans le programme pour maintenir une observation directe du « Réseau » (contact physique) en soutien à l’implication mutuelle dans le contact. Il peut y avoir des échanges libres d’informations absolument conçus pour favoriser l’occurrence de contacts avec le « Réseau » et le suivi continu des sujets du « Réseau ».

Le cercle des anciens a déterminé un acte fondamental, relatif, multiforme et continu d’expérimentations en observation directe. Les données assimilées concernant ces expériences sont continuellement examinées par les analystes du « Réseau », et les résultats complets sont distribués au sein des opérations du « Réseau ».

La quantité individuelle de données examinées peut être vérifiée et classée dans le centre spatial du « Réseau », et est injectée à des fins de référence dans des banques de récupération à liaisons multicomplexes. Sur approbation du cercle des anciens du « Réseau », les données disponibles sont mises en œuvre dans les procédures progressives d’observation directe. Il ne peut y avoir d’utilisation partielle des données assimilées. Le sujet concerné est alors inculqué des données désirées, qui sont transmises soit en état actif, soit en état totalement dormant.

Il faut prendre d’intenses précautions pour s’assurer qu’il n’y ait aucune altération réelle résultante concernant le sujet du « Réseau ». La capacité du « Réseau » à énoncer les programmes inculqués pour maintenir la dualité continue de but concernant les contacts, est accomplie par un moniteur inculqué intact.

La transmission des symboles linguistiques du « Réseau » a pour but, en partie, de permettre au sujet de communiquer via des données de transmission aléatoire qui contribueront à la compréhension et à l’amélioration de la signification de l’activité du « Réseau ».

Le résultat éventuel, qui favorisera davantage un effort pacifique de coexistence mutuelle entre le « Réseau » réticulien et la population de la civilisation humaine. Les contacts progressifs entre le « Réseau » et les sujets sélectionnés du « Réseau » se poursuivront. Un tracé des zones géographiques impliquées dans les activités d’observation directe fait actuellement l’objet d’une analyse équationnelle approfondie. L’objectif et la sélection seront ensuite examinés selon le consensus du cercle des anciens du « Réseau ». Le contact est alors initié.

Les données sont ensuite intégrées dans le Lexique du « Réseau », et les implications concernant le sujet sont déterminées. Les conclusions sont ensuite transmises à travers tout le « Réseau ».

Les communications du « Réseau » avec les formes de vie intergalactiques planétaires prévalentes existantes sont basées sur la courtoisie universelle et interuniverselle. La reconnaissance des principes interuniversels et de la pensée organisationnelle est dirigée principalement vers la préservation du spectre évolutif et le progrès des civilisations humaines.

L’interférence dans l’ensemble de la direction de l’échelle planétaire de la planète sélectionnée est interdite. Une violation de cette courtoisie interuniverselle entraînera l’éradication totale de la forme de vie responsable. La pénalité de violation est au-delà de tout retour, de toute révocation ou de tout compromis. La race pléiadienne a donné son accord, tout comme le Conseil de Dorado et l’Assemblée d’Horologium. Le cercle des anciens et les autres représentants quadri-universels sont en plein et complet accord avec tous les principes de la comité interuniverselle.

L’observation à venir des véhicules du « Réseau » se manifestera. Le « Réseau » a surveillé le progrès des données inculquées et la documentation résultante. L’utilisation de dispositifs d’amplification de lumière laser pour initier une activité avec l’intention résultante de filmer les véhicules du « Réseau » est considérée comme une activité autorisée et sera permise à condition que l’utilisation des enregistrements vidéo soit protégée et restreinte. »

Ils avaient mentionné à Herrmann qu’ils nous observaient depuis plus de vingt ans, et qu’ils avaient enlevé deux personnes il y a dix-huit ans, ce qui avait attiré trop d’attention. Dix-huit ans avant cette discussion qui avait en 1979, correspondraient à l’enlèvement de Betty et Barney Hill dans le New Hampshire en 1961. Bill ne savait rien de l’enlèvement des Hill au moment de cette conversation, et l’affaire lui fut mentionnée plus tard. En fait, si Bill avait entendu parler de l’affaire Hill avant sa propre abduction, il aurait ri de l’histoire et considéré le narrateur comme un fou.

Voir un complément en fin d'article sur l'enlèvement de Barney et Betty Hill.

Lors de la première abduction de Bill à bord du vaisseau, au moment où il était en train d’être redéposé hors du vaisseau, on lui dit que ces mêmes extraterrestres avaient débarqué un autre homme de cette région, dans ce même champ, à un moment antérieur. Bien plus tard, après que l’histoire de Bill eut été publiée dans les journaux locaux (mais sans inclure de détail, car nous ne l’avions pas encore révélé), un homme de Summerville contacta Bill et lui dit qu’il pensait avoir rencontré les mêmes êtres, ou des êtres similaires, dix ans plus tôt alors qu’il était en permission de l’armée.

C’est le 14 mai 1981, que William Herrmann a été contacté par cet homme, appelé John, enlevé lui aussi par des vaisseaux du « Réseau » provenant de Réticulum. Cet homme avait lu une information publiée sur le cas de Herrmann à New York, et s’était fait connaître à lui pour qu’ils comparent leurs notes. Cet homme n’a pas donné ni son nom, ni son adresse, ni son téléphone mais a promis à Herrmann qu’il contacterait Wendelle Stevens pour témoigner. Il ne veut absolument aucune publicité mais veut en savoir plus concernant ceux qui l’ont enlevé et qui sont en contact avec Herrmann. Il a dit à Herrmann qu’il accepterait une régression hypnotique pour recouvrer la mémoire s’il est accepté que son anonymat soit préservé.

Il a dit qu’il était dans l’armée au moment de son enlèvement. Il était chez lui à Summerville (près de Charleston) et devait repartir pour Scofield Barracks à Hawai en juillet 1965, lorsqu’il a été stoppé sur la route au sud de Summerville alors qu’il roulait avec des amis, avec un autre jeune homme et deux filles, par une lumière qui les suivait depuis un petit moment. Soudain alors que la lumière étrange dans le ciel approchait de la voiture, le moteur de la voiture arrêta de tourner, et les lumières de la voiture s’éteignirent.

Cet homme sortit courageusement et marcha vers la lumière qui était proche d’eux. Un faisceau de lumière provenant de cette lumière apparut et l’homme disparut, avalé par elle. Du groupe, lui seul fut enlevé et amené à bord du vaisseau. Ses compagnons ont attendu un peu à côté de la voiture toujours en panne. Il réapparut un peu plus tard, ses compagnons s’enfuyant en voyant revenir la lumière qui l’avait enlevé, et il leur courut après pour les rattraper. Pendant ce temps la voiture se remit en marche dès que l’appareil est reparti, et tous ont rejoint la voiture. Il ne se souvenait pas de grand-chose et voulait simplement oublier toute l’affaire. Il insista toujours pour rester complètement anonyme.

Après vérification avec William Herrmann, l’endroit décrit où ceci a eu lieu est l’emplacement du premier enlèvement de Herrmann, avec un vaisseau similaire, alors que l’emplacement n’avait pas été rendu public dans les journaux à ce moment là.

Cet homme, John, avait terminé son service pour l’armée et habitait à Summerville de manière permanente. Toutefois il ne donna plus de nouvelles et aucun suivi n’a pu être fait plus loin le concernant.

Mais le plus étonnant dans cette lettre du 29 janvier 1982, c’est l’information additionnelle au bas de la communication de Bill. Il y a deux notes tapées à la machine, avec une machine à écrire utilisant les mêmes caractères que celle de Bill Herrmann, mais PAS LA MÊME MACHINE ! La lettre « a » minuscule de cette machine frappe plus fort que les autres caractères, tandis que celle utilisée par Bill ne le fait pas. Ces pages sont reproduites en réduction pour que vous puissiez les voir vous-même.

Ces notes sont les suivantes :

« Intéressant si cela se vérifie… Pourquoi nos amis communs ne précisent-ils pas le changement radical… ils parlent toujours de manière abstraite…. »
— Tom O.—

« Ne t’embête pas à tenter de vérifier mon implication, tu sembles avoir des problèmes à étayer tes propres affirmations et contacts… Crois-moi, tout cela est dans ton intérêt. Effacer mes traces est relativement facile. Après tout, Herrmann, comment toi ou Stevens pourriez-vous commencer à prouver mon existence, encore moins celle des Zétanautes. Nous ne sommes pas des amateurs. Réfléchis-y bien. »
— T.O.

Mais ce n’était que le début. Les 3¾ pages suivantes de la transmission du Réseau contenaient pas moins de 14 notes supplémentaires écrites sur les pages, apparemment par le même Tom Olsen ou un autre analyste du renseignement (car elles étaient rédigées dans le style de telles annotations), puis ces ajouts furent masqués avec de l’encre rouge dense pour empêcher toute reproduction de cette partie.

Ces annotations étaient dans le style et la forme utilisés par les analystes du renseignement, et semblent être des notes adressées à Tom Olsen, demandant des éclaircissements sur des termes non compris par l’analyste, plutôt que des notes du faux Tom Olsen lui-même. Dans tous les cas, toutes les autres identités impliquées nous sont inconnues.

Les titres de section figurant dans la marge droite de la transcription incluent : COMPRÉHENSION DU LANGAGE RÉTICULIEN, ANALYSE/DÉCALAGE DE TRANSALIGNEMENT, RÉCIPIENDAIRE ANDBAHTI, ANALYSE HISTORIQUE RÉTICULIENNE/ENREGISTREMENT DE DONNÉES [Qu’est-ce que le Transalignement ?]

Ce message étendu est reproduit ici avec les commentaires ajoutés de l’analyste du renseignement, ou du faux Tom Olsen, insérés entre crochets [ ] là où ils apparaissent dans la copie originale. Rappelez-vous que certains termes utilisés peuvent sembler étranges et ne sont pas courants ici. Nous pensons que ce message en langue anglaise est synthétisé à partir d’un vocabulaire présélectionné introduit dans la mémoire d’un dispositif de type informatique qui effectue la transmission proprement dite.

Message reçu le 27 janvier 1982 :

« À travers la multitude des âges temporels/spatiaux, la capacité de la race réticulienne d’astronomes stellaires à communiquer avec les habitants des planètes hôtes fut développée par l’intermédiaire de la branche des sciences du personnel d’inculcation. Les méthodes de communication parallèle étaient, et sont toujours, maintenues sur la base de la thorie du palladium. [Définir en termes abstraits cette base du palladium !] Le système existant d’information inculquée communicative est conduit par des garanties mutuelles ancrées dans le moniteur opératif bidirectionnel, et est activé en permanence ; les données résultantes sont filtrées des impuretés et des éléments non pertinents.

En aucun cas des informations prédestinées ne sont transmises⁵ au sujet d’inculcation. Les données qui sont autorisées à être placées dans la zone de compréhension du sujet d’inculcation ne sont jamais données avec l’intention d’induire en erreur ou d’augmenter l’incapacité de comprendre.

La méthode d’inculcation établie actuellement implique l’activation de la connaissance, le flux d’information et l’action résultante d’un mouvement périodique de la main qui est motivé par l’introduction des données inculquées dans la zone de compréhension du sujet.

Le mouvement manuscrit résultant n’est pas une copie véritable du langage réticulien, mais plutôt la méthode par laquelle l’inculcation de données est obtenue, jusqu’à ce que la capacité mentale et psychique [Quel niveau ?] du sujet atteigne un tel point que la compréhension des événements soit sécurisée dans la conscience et les systèmes de croyance du sujet. Cette méthode d’inculcation sera poursuivie.

Le but de l’inculcation est simplement de transmettre des données utiles et très pertinentes qui seront mutuellement bénéfiques au réseau et au sujet d’inculcation.

Le premier événement d’inculcation, conduit au mois de mars terrestre, le 18e jour, en l’année terrestre 1978,⁷ fut donné et subi avec pour but explicite de relier des données pour d’éventuels événements paramutuels futurs et négociations éventuelles. C’est cela la signification du statut ANDBAHTI. [Enquêter sur l’état d’implication de Herrmann]

Le réseau réticulien désire la paix et la sérénité. Il prône les principes et les aspects de la concodance universelle. La sécurité du réseau sera maintenue. »

« La langue réticulienne était, par le passé, fondée sur des données mathématiques et technologiques. Alors que la race accélérait vers des avancées technologiques et scientifiques, le besoin de subordonner la confusion des divers spectres sociologiques des habitants s’est accru. Ceci, avec une opposition modérée, fut entrepris. La protection de la survie individuelle fut fortement assurée. Un langage de communication double fut conçu et introduit chez les habitants de la planète réticulienne. La communication ainsi produite s’avéra être la porte ouverte par laquelle les confusions et conditions de menaces furent écartées. Actuellement, l’échelle de communication a évolué jusqu’au point du scanning mental, et cela, avec respect pour la liberté privée de l’individu. Il existe ainsi une compréhension totale des pensées. Tous les habitants réticuliens disposent de ce processus, dès la conception et la naissance.

Le processus de scanning mental ne peut être transféré à un non-sujet, ni être inculqué. La possibilité d’accéder à ce processus de scanning mental n’est possible que par la question du renoncement de soi.

  1. ORIGINE DE LA RACE — Désintégration tribale / Unification des masses. [Quelle en était la cause ?]/[Est-ce le résultat ou l’effet du premier ?]
    A. Établissement de la civilisation — 2 000 années terrestres.
    B. Compréhension des Reconnaissances Stellaires — 2 000 AT.
    C. Assujettissement du domaine scientifique et technologique — 900 années terrestres.
    D. Communication Double mise en œuvre — 20 années terrestres.
    [Entre les planètes du système de Zeta ?]
    E. Exploration stellaire entreprise — en continu
  2. ASTRONOMIE STELLAIRE RENFORCÉE — RÉSEAU INSTITUÉ.
    A. Courtoisie universelle déclarée.
    B. Agression hostile interdite.
    C. Conflit de la Zone 50 754dA. [Quelle localité ?]
    D. Résolution du conflit de la Zone 50 754dA.
    E. Commerce et échanges des systèmes stellaires mis en œuvre.
    F. Découverte des effets de distorsion de la matière. [Quelle cause déclenchante ?]
  3. RÉSULTAT FINAL DE L’ASTRONOMIE STELLAIRE — SÉRÉNITÉ UNIVERSELLE.
    A. Éradication de l’hostilité sur les corps planétaires.
    B. Courtoisie universelle établie dans toute la galaxie.
    C. Coopération mutuelle et mise en œuvre scientifique.
    D. Progrès pacifique des échelles évolutives planétaires.
    E. Suppression des entraves sociologiques aux aspects menaçants pour la vie. »

« Note annexe —
Le conflit de la Zone 50 754dA est un incident survenu à la suite d’une exploration interatmosphérique dans le SECTEUR DZASSION de la 754e Section Astrologique de la Zone 50. [D’où vient ce nom ?] [Référence au Lexicon ou linguistique Zéta ?]

À leur arrivée sur la 5e planète dans le SECTEUR DZASSION, le vaisseau du RÉSEAU fut immobilisé et placé dans une cellule souterraine cubique de détention. L’équipage du vaisseau réussit à insérer le Modèle de Recherche dans le Lexicon du Réseau avant leur capture. La cause de l’immobilisation demeure inconnue à ce jour, et l’on suppose qu’un type de rayon à fréquence radar a été dirigé sur le vaisseau lorsqu’il entra dans l’atmosphère de la 5e planète. Lorsqu’une cellule cubique fut placée autour du vaisseau, les tentatives pour restaurer la capacité de vol de l’appareil furent infructueuses. Les habitants de la 5e planète placèrent ensuite cette cellule dans une seconde cellule de détention cubique, et tentèrent de contraindre les occupants du vaisseau à quitter l’engin.

L’amplification de l’audibilité, les méthodes d’augmentation thermique et l’abaissement de la température de l’atmosphère se révélèrent inefficaces... et l’équipage du vaisseau du Réseau resta à son poste opérationnel.

Un second vaisseau du Réseau se trouvait à environ 6 mois de distance de l’emplacement du vaisseau capturé. La sécurité de l’équipage du véhicule capturé était une source majeure de préoccupation. Les habitants de la 5e planète tentèrent avec persistance de contraindre l’équipage du vaisseau capturé à quitter leur appareil. Cette activité se poursuivit durant 4 mois et demi terrestres.

L’arrivée du second vaisseau du Réseau dans le SECTEUR DZASSION fut rendue possible au 5e mois et demi. Le Lexicon du Réseau fut utilisé pour déterminer quelle méthode devait être entreprise pour récupérer le vaisseau capturé, tout en assurant simultanément la sécurité des habitants de la 5e planète. Il fut décidé d’attendre l’arrivée d’un vaisseau-laboratoire (Labship) qui se trouvait à une distance de 1 mois et demi terrestre de la 5e planète. [Définition ou fonction du véhicule ?]

L’arrivée du vaisseau-laboratoire coïncida avec la prise de conscience que les habitants de la 5e planète avaient atteint le niveau de capacité technologique de voyage spatial orbital. Le personnel du vaisseau-laboratoire du Réseau nota les configurations des orbiteurs de la 5e planète. Ils semblaient armés de têtes nucléaires activées par fission et orbitaient autour de la planète à des intervalles empêchant toute entrée dans l’atmosphère. En raison du facteur d’hostilité des habitants, il était évident qu’en cas de transfert vers un vaisseau du Réseau, il était probable que les opérations depuis la planète provoqueraient la détonation des armes des orbiteurs, et peut-être la destruction du vaisseau captif. Ainsi, le dilemme s’accentua.

L’équipage du véhicule du Réseau capturé déclara les conditions supportables et confirma le consensus du Lexicon du Réseau. L’équipage du vaisseau-laboratoire décida qu’une option était d’approcher l’atmosphère par la région polaire sud, évitant ainsi les centres technologiques. Ainsi, le second vaisseau du Réseau entra dans l’atmosphère et se rendit à une position prédéterminée, installa une base d’observation et cartographia géologiquement la zone directe dans toutes les directions. Les habitants de la 5e planète avaient renforcé la sécurité autour de la cellule cubique de détention. Il y avait un grand nombre d’habitants armés.

Lors d’une expédition de cartographie, le vaisseau du Réseau fut intercepté par une flotte d’appareils atmosphériques. Le vaisseau du Réseau venait tout juste d’entrer dans la haute atmosphère de la 5e planète lorsqu’il fut intercepté par l’un des orbiteurs. En tentant de quitter la zone, il fut attaqué par l’orbiteur, et en essayant d’exécuter un motif triangulaire, entra en collision avec l’orbiteur de la 5e planète. Le vaisseau du Réseau se dirigea alors vers un point de rendez-vous et accéléra au moment même où l’orbiteur explosa, et le vaisseau du Réseau… fut baigné dans un rayonnement de fission. Le vaisseau du Réseau, bien que gravement endommagé, rencontra le vaisseau-laboratoire, et l’équipage fut évacué avec des procédures vers un centre de soins à bord du vaisseau-laboratoire. La mort de 5 des 7 membres d’équipage du vaisseau du Réseau résulta de la collision. On suppose que tous ceux qui étaient sur l’orbiteur périrent lorsque celui-ci s’enflamma dans l’atmosphère.

Peu après, 3 vaisseaux du Réseau arrivèrent à l’emplacement du vaisseau-laboratoire et décidèrent d’attendre le consensus du Réseau… avant d’agir indépendamment.

La décision du Réseau fut donnée au 9e mois de capture. Trois vaisseaux du Réseau se placèrent en orbite autour de la 5e planète. Le vaisseau-laboratoire intercepta ensuite les orbiteurs de la 5e planète et les envoya sur une trajectoire les éloignant largement des vaisseaux du Réseau en orbite. Puis, après avoir pris toutes les mesures nécessaires, le vaisseau-laboratoire lança 18 sondes du Réseau sur des trajectoires préprogrammées pour distraire les appareils interatmosphériques, et lança 18 autres sondes pour troubler les centres technologiques. Les trois vaisseaux du Réseau en orbite entrèrent alors dans l’atmosphère, arrivèrent dans la zone de détention et utilisèrent la directive du Réseau …et neutralisèrent les habitants environnants, grâce au Rayonnement Lampe-Torche. [Système d’arme zéta ?] Le cube qui contenait le vaisseau du Réseau fut détruit et le vaisseau fut lancé.

Les quatre vaisseaux retrouvèrent le vaisseau-laboratoire et se dirigèrent ensuite vers le point d’origine… [Base d’attache ?]… où le Conseil d’analyse du Réseau tint débat et déclara la zone 50 754dA exclue de l’exploration du Réseau.

Ceci sera discuté plus en détail lors d’une future transmission de données inculquées. Le mouvement progressif du statut Andbahti se poursuit. Le Réseau poursuit son but commun. Une notification de mise en œuvre sera donnée une fois l’opération complétée.

Fin de la transmission — 27 janvier 1982 »


Note de Wendelle Stevens :

Cela a dû faire tourner la tête de cet analyste du renseignement. La formulation est déjà assez confuse, mais sans toute la préparation de développement et l’information inculquée instillée dans le subconscient de Herrmann, il serait difficile d’en tirer un sens véritable. Les communicateurs réticuléens décrivaient une relation similaire qu’ils avaient avec une autre planète légèrement plus avancée que nous en développement technologique, mais ne voyageant pas encore dans l’espace.

Cela peut avoir été conçu comme une leçon concrète, et un avertissement dans le cas où nous tenterions de capturer leurs vaisseaux ou équipages ici — et réussirions. Ils avaient déjà mentionné la perte de certains vaisseaux ici il y a de nombreuses années, et espéraient apparemment éviter d’autres problèmes à cet égard.

Mais seulement deux jours plus tard, et avant que Bill n’ait eu le temps de m’envoyer cette transmission par courrier, une autre arriva par la même méthode. Ces messages en anglais sont habituellement reçus immédiatement après une longue communication dans l’étrange forme de script, qu’ils lui disent maintenant être un mouvement réflexe de la main pendant qu’il est inculqué à distance par eux. Il est certain qu’il gagne une conscience bien plus étendue après avoir reçu l’un de ces « messages symboliques ».

La transmission suivante du 29 janvier 1982 :

« Les astronomes stellaires réticuléens ont excellé dans les vastes étendues de l’univers connu. Dans l’existence galactique et universelle combinée, le réseau a acquis des compagnons qui partagent les vertus de la courtoisie universelle. Il existe plus de 17 000 membres distincts dans la charte, et parmi ces grands nombres, le pourcentage de civilisations technologiquement très avancées se trouve dans la catégorie supérieure. Ces planètes ne disposant pas de technologie de voyage stellaire progressent au sein de la masse de l’évolution à un rythme qui leur permettra d’offrir à leurs propres civilisations la liberté et la capacité du pacifisme par la non-violence, et permettra à ceux qui dirigent les races de choisir entre la soumission technologique ou la soumission par contrainte.

Les âges nécessaires pour rendre les civilisations productives et passives dans les strates de la comité universelle sont donc garantis pour se manifester. Dans la charte, la responsabilité est claire : apaiser, aider et soutenir ceux qui n’ont pas atteint le niveau supérieur dans leur existence. Ceux de la catégorie supérieure continuent de renoncer à l’hostilité et aux attitudes auto-agressives inhérentes à la guerrerosité. La technologie doit servir à faire progresser la race, non à la détruire. La connaissance et l’information obtenues par la recherche doivent être enracinées dans l’ensemble de la société, et non cachées par ceux qui chercheraient à usurper les niveaux de pouvoir aux dépens de ceux qui ont été légitimement positionnés à travers le spectre de la civilisation et de la société concernées. »

« Dans le passé, il était évident que le contact ouvert entre le réseau et les planètes contactées était le moyen d’introduire l’existence du réseau. Cette voie d’introduction fut annulée après la découverte et l’observation de la Terre. L’unique spécificité et l’implication égoïste dans le pouvoir personnel et la position sociologique de supériorité n’étaient comme aucune autre civilisation précédente.¹⁶ En effet, les concentrations des centres technologiques et des armes offensives d’auto-destruction sont particulièrement déprimantes. Les masses communes n’ont pratiquement aucune voix dans leur droit universel à l’existence, comme manifesté dans la charte. Et l’existence multiple de la famine, de la tolérance médicale des maladies et de la mort continue est particulièrement triste et désolante. Il ne peut y avoir aucune justification compréhensible pour cette persistance. Et pourtant, le réseau est impuissant à intervenir, car le faire assurerait l’auto-éradication suicidaire des centres technologiques, et entraînerait une contamination globale. Il est espéré, bien que peu probable, qu’un changement radical intervienne à temps pour sauver la planète de sa propre mort aux mains de ses propres habitants.

En rétrospective, il a été décidé par le réseau de sélectionner divers individus parmi le spectre sociologique, d’inculquer l’existence du réseau, et de donner aux masses la capacité d’essayer d’influencer le changement radical nécessaire pour éviter l’holocauste final. Ce processus sélectif et ce changement sont actuellement en cours. Il est espéré que le temps ne manquera pas avant que le changement ne se produise. »

Fin de cette transmission — 29 janvier 1982.

Note de Wendelle Stevens : « Lorsque j’ai appelé Bill Herrmann pour vérifier le contenu de cette lettre, j’ai découvert que la lettre de couverture originale de Bill, et une page du script réticulien qui précédait cette dernière transmission, avaient été retirées par quelqu’un, très probablement par celui qui avait ajouté les notes et les questions aux transmissions, ou par celui qui avait ajouté ses propres notes personnelles avec la machine à écrire semblable à celle que Bill utilise, sauf pour le « a » marqué.

Bill a affirmé qu’il n’y avait AUCUNE note de Tom Olsen, AUCUNE phrase surlignée à l’encre rouge, et AUCUN commentaire en ligne fine concernant les phrases surlignées ou encerclées par qui que ce soit jusqu’au moment où il avait déposé la lettre dans la boîte postale. Il a également déclaré qu’il n’avait ni encerclé ni souligné aucune partie de la lettre.

Herrmann a déclaré qu’il avait envoyé les documents dans une longue enveloppe blanche avec l’adresse tapée en lettres majuscules de grande taille et scellée à l’arrière avec du ruban adhésif. La lettre qui est arrivée n’avait jamais été scellée avec du ruban adhésif, et avait à la fois l’adresse et l’adresse de retour tapées en lettres minuscules avec une autre machine à écrire, et elle portait le cachet de la poste 18 jours après le dépôt initial par Herrmann le 30 janvier. On peut se demander à quel point le service postal des États-Unis est vraiment sûr !

J’ai fait une copie de la « transmission » avec les annotations de l’analyste, la lettre d’accompagnement avec les nouvelles notes ajoutées au bas, ainsi que l’enveloppe substituée, et je les ai envoyées à Bill Herrmann le 23 février 1982.

Au 15 mars, je n’avais toujours reçu aucune confirmation de sa réception de cette lettre accompagnée de la preuve de la falsification postale. Mais j’ai reçu une lettre de Bill datée du 15 mars, m’informant de ses efforts pour obtenir des informations sur les OVNI détenues par le gouvernement. De plus, un informateur qui a seulement dit qu’il travaillait dans un bureau gouvernemental a contacté Bill un jour pour lui dire qu’ils avaient un dossier épais sur Bill Herrmann et ses activités dans l’agence de cet informateur. Il a dit que cela ne serait pas accessible, mais que le FBI avait généré certaines informations qu’il pensait que Bill pourrait obtenir via une demande FOIA pour des dossiers le concernant au FBI. Bill a entrepris toutes les démarches pour faire une demande FOIA, et a finalement reçu seulement un rapport anodin d’une page sur l’une de ses observations que le FBI avait examinée. Il n’a rien reçu sur les autres documents qui suggéraient qu’il pourrait devenir une nuisance s’il devenait actif.

Le 20 mars, l’énergie orchestrée contre Bill Herrmann a commencé à porter ses fruits. Son église parle d’un procès pour hérésie, sa femme essaie de le persuader qu’il ne peut rien sortir de bon de tout cela, et ses voisins ainsi que ses amis commencent à le traiter comme s’il avait la peste. Personne ne veut l’employer parce que, dans cette région très religieuse, il est « de mèche avec le diable ».

Bill s’est assis et a soigneusement rédigé la lettre de rupture suivante à mon intention, qu’il a terminée en disant qu’il me renvoyait la caméra 35 mm à cadre fractionné, le mini-enregistreur à cassette, ainsi que l’ensemble des diapositives de conférence sur les OVNI que je lui avais données. Il était très sérieux et sincèrement convaincu de chaque mot qu’il disait. Comme la reproduction ne serait pas très lisible, je vais citer un extrait de cette lettre comme suit :

« Maintenant, laissez-moi en venir au but de cette lettre. J’ai examiné tout le phénomène OVNI à la lumière de l’Autorité biblique ; j’ai également examiné ma propre implication, les suites, les divers ‘renforcements’ paranormaux, et enfin, la connexion directe avec les Phénomènes occultes. »

Après le retour de mémoire spontané de William Herrmann en 1979 un an après son enlèvement, voici son récit détaillé :

« Je vais maintenant re-décrire la séquence des événements du point de vue d’un souvenir complet et conscient :

« L’objet est directement devant moi... à environ trois à cinq mètres de l’endroit où je me tiens... Je suis surpris par le mouvement entrant de l’objet. Je perds l’équilibre et tombe en arrière. Instinctivement, je me retourne. Je vois les roseaux (du marais le long de la voie ferrée) se balancer d’avant en arrière dans un mouvement d’écartement.

Instantanément, je suis entouré d’une lumière de couleur aigue-marine en forme de tube. Elle s’étend en diagonale depuis le bas de l’objet. J’essaie de m’échapper... pendant un instant j’essaie de courir... mais mes jambes ne touchent pas le sol. Je suis tiré vers le haut dans un mouvement de traction. Je tends les mains dans un geste d’autoprotection. Mes mains traversent la lumière bleue... puis un sentiment d’équilibre et de détente m’envahit... presque comme un sommeil reposant... mais mentalement, je suis semi-conscient. Ensuite, des sons m’entourent... pulsations, bourdonnements, sourds et lointains, comme une machinerie en mouvement constant. Cela semble venir d’en dessous de moi.

Dessin du deuxième livre (update), représentant l’enlèvement de Bill Hermann par le vaisseau de Zeta Reticuli, du 18 mars 1978 et le lieu où cela a eu lieu.
Dessin du deuxième livre (update), représentant l’enlèvement de Bill Hermann du 18 mars 1978 par le vaisseau de Zeta Reticuli, et le lieu où cela a eu lieu.

Je me réveille... et je me trouve dans une pièce éclairée d’une lumière rougeâtre. La pièce est petite et a une forme étrange, non carrée... courbée. Je ne peux pas bouger mon corps mais mes yeux sont ouverts et j’essaie de me concentrer sur les structures autour de moi. Directement au-dessus de moi... je suis sur une table ou un lit... il y a une barre rectangulaire de lumières clignotantes de différentes couleurs.

Mes yeux sont fixés sur cette barre. Plus les lumières clignotent rapidement, plus je me sens à l’aise. Je regarde directement au niveau de ma poitrine et je remarque que mes vêtements sont sur moi... mais ma poitrine est visible... mon manteau et ma chemise sont ouverts. Il y a une boîte métallique froide sur ma poitrine. Elle est presque aussi froide que de la glace... mais pas liquide. Je peux voir à ma gauche et à ma droite... mais même si je peux tourner la tête, le reste de mon corps est immobilisé.

Dessin du premier livre. La table d'examen dans la salle d'inculcation à l'intérieur du vaisseau spatial de Zeta Reticuli. Le dispositif d'inculcation est la barre de lumières au plafond. Une boîte sur « roulettes » reliée à la table contrôle le système d'inculcation.
Dessin du premier livre. La table d'examen dans la salle d'inculcation à l'intérieur du vaisseau spatial de Zeta Reticuli. Le dispositif d'inculcation est la barre de lumières au plafond. Une boîte sur « roulettes » reliée à la table contrôle le système d'inculcation.

À ma gauche, je vois deux “personnes”... à ma droite, une. Elles semblent identiques les unes aux autres, bien que tout ce que je puisse voir ce soient leurs dos. Leurs vêtements sont de la même couleur que la pièce. Elles semblent très pâles... je ne vois pas de cheveux... juste une combinaison ressemblant à un uniforme. Les “personnes” regardent la barre de lumières. Puis, pour une raison quelconque, je me souviens soudainement être debout sur les rails en train de regarder l’objet... la peur m’envahit. Puis à nouveau, la barre de lumières attire mon attention... et un effet calmant m’envahit, et je suis apaisé. Les lumières clignotent 1-2-3-4-5-4-3-2-1... 1-2-3-4-5-4-3-2-1... et ainsi de suite. Les “personnes” se retournent et je suis complètement stupéfait par ce que je vois.

Dessin du deuxième livre (update) relatant la même scène du 18 mars 1978, sur la table d’examen dans le vaisseau de Zeta Reticuli.
Dessin du deuxième livre (update) relatant la même scène du 18 mars 1978, sur la table d’examen dans le vaisseau de Zeta Reticuli.

D’une manière détendue... les trois regardent la barre de lumières, la boîte au sol et moi. Ils semblent m’observer... ils ont une apparence presque orientale, frêles mais totalement maîtres d’eux-mêmes. Leurs yeux sont immédiatement frappants... des yeux presque deux fois plus grands que ceux de quiconque que j’aie jamais vu... ils ressemblaient presque à ceux d’un chat lorsqu’une lumière est dirigée dans les yeux d’un chat... pas de sourcils, pas de cils... très intenses dans leur apparence... extrêmement évidents. Pendant un instant, j’ai été repoussé. Puis j’ai perçu une voix en anglais parfait. L’un des « êtres » s’est avancé vers moi et a retiré la boîte métallique de ma poitrine.

Ensuite, ils m’ont fait signe de m’asseoir. Je l’ai fait, docilement. L’« être » parlant en anglais m’a dit de ne pas avoir peur, qu’ils voulaient observer mon bras et mon poignet gauche. J’ai alors enlevé la manche gauche de mon manteau et de ma chemise. Puis une petite boîte rectangulaire a été retirée du dessus d’une boîte posée au sol au pied de la table. Cette petite boîte a été déplacée le long de mon bras gauche, de haut en bas. « Ce membre a été cassé une fois, n’est-ce pas ? », m’a-t-on demandé. J’ai dit : « Oui, quand j’étais plus jeune. Il a complètement guéri »... puis il y a une sensation de picotement et l’on me dit de me détendre... « Il ne doit y avoir aucune tension ». La petite boîte rectangulaire est replacée sur la boîte au pied de la table.

Dessin fait par Bill Herrmann dans son livre, représentant l’arrière de la boite posée au sol dans la chambre d’inculcation du vaisseau de Zeta Reticuli, vue lors de son enlèvement du 18 mars 1978.
Dessin fait par Bill Herrmann dans son livre, représentant l’arrière de la boite posée au sol dans la chambre d’inculcation du vaisseaude Zeta Reticuli, vue lors de son enlèvement du 18 mars 1978.

Ensuite, il y a un léger déplacement parmi les « êtres »... Le chef hoche la tête, cligne des yeux, et regarde la barre de lumières au plafond... les lumières ont ralenti. Je demande ce qui s’est passé. Suis-je à l’intérieur de l’objet ? Il n’y a pas de réponse à ma question... puis on me dit de repenser au moment où j’ai cassé mon membre. Je leur dis que je me souviens seulement de la douleur... elle était intense. Ils semblent satisfaits de cette réponse. On me dit que je peux maintenant remettre ma chemise et mon manteau. Je suis assis et je me sens très détendu... presque paisible.

« Viens, le temps est limité », me dit-on. On m’aide à descendre de la table. Leur toucher est très doux... presque spongieux... leur peau est si pâle... presque de la couleur des guimauves, et pourtant il y a de la douceur, une incitation passive. Je remarque que les lumières de la barre au-dessus ont complètement cessé de bouger. Nous avançons vers l’embrasure de la porte, et je prends immédiatement conscience que ces « êtres » ne mesurent même pas plus de 1,35 à 1,50 mètre. La boîte au sol au pied de la table ressemble à un écran avec une grille métallique d’un côté, et de l’autre côté, il y a ce qui semble être des broches et des cercles que l’on pourrait pousser dans le côté de la boîte. La boîte est montée sur roulettes et reliée à la table par des câbles... quelque chose que je ne pouvais pas remarquer, en étant allongé.

Presque dans un état second, je marche avec eux dans le couloir en dehors de la porte. Il s’enroule en cercle dans les deux directions... gauche et droite. Le « chef » marche à côté de moi et semble être celui qui dirige... les deux autres suivent derrière.

Dessin fait par Bill Herrmann dans son livre, représentant celui qui semble être le chef, et qui est le seul avec qui il converse dans le vaisseau de Zeta Reticuli.
Dessin fait par Bill Herrmann dans son livre, représentant celui qui semble être le chef, et qui est le seul avec qui il converse dans le vaisseau de Zeta Reticuli.

Tout semble être de couleur rougeâtre... éclairé de cette manière. Nous ne marchons pas très loin, puis entrons dans une pièce remplie de machines, de panneaux et de ce qui ressemble étrangement à des ordinateurs avec des cadrans colorés, des boutons, des leviers... et un grand instrument en forme de tube. Au centre de la machinerie se trouve un damier de lumières clignotantes, d’abord d’une couleur, puis d’une autre... rouge-blanc... rouge-blanc. Il y a deux autres des « êtres » dans cette pièce. Ils sont assis à des bureaux, manipulant des leviers. Une version plus petite de l’instrument tubulaire se trouve du côté opposé à la porte. Alors que nous marchons vers les panneaux, les deux se lèvent et reculent derrière nous.

Je demande : « Qu’est-ce que tout cela ?

 — « C’est notre centre de console de contrôle... nous contrôlons les opérations de ce véhicule par manipulation de l’équilibre, maintenant ainsi le vol interatmosphérique. Tous les véhicules d’examen et d’observation remplissent des fonctions similaires qui sont programmées depuis cet endroit par communication avec le « Réseau ». »

Dessin fait par Bill Herrmann dans son livre, représentant le panneau du centre de contrôle avec une chaise au bout.
Dessin fait par Bill Herrmann dans son livre, représentant le panneau du centre de contrôle avec une chaise au bout.
Dessin fait par Bill Herrmann dans son livre, représentant le détail de la machine située sur la gauche du panneau du centre de contrôle précédent.
Dessin fait par Bill Herrmann dans son livre, représentant le détail de la machine située sur la gauche du panneau du centre de contrôle précédent.

Je demande : « Qu’est-ce que le Réseau ? »

— « Le Réseau contrôle l’activité d’observation dans l’hémisphère occidental continental ! »

— « Pourquoi me montrez-vous tout cela ? Pourquoi ne pas établir un contact avec ceux qui sont au gouvernement sur Terre ? »

— « Nous avons tenté un véritable contact ouvert avec la race humaine, mais cette tentative a été supprimée et maintenue secrète par un gouvernement organisé. »

« Tu te souviendras de bien plus de choses qui ont déjà été inculquées en toi. Tu te souviendras et tu comprendras avec le temps... cependant, pendant un certain temps, tu seras empêché de te rappeler. Lorsque le moment sera décidé... alors tu te souviendras de tout... cependant, la croyance en ton souvenir sera rejetée par la majorité... nous en discuterons davantage à ce sujet plus tard. Viens, nous devons continuer, le temps est limité. » Je ressens de la peur pendant un instant, mais la voix calme me rassure... « Nous ne te voulons aucun mal. » Je remarque que leurs lèvres ne bougent pas lorsqu’ils parlent. Cependant, j’entends clairement leur voix... en anglais parfait, sans aucune coupure... « Sois assuré, tout est comme prévu. » Il y a quelque chose chez ces « êtres » qui m’apaise. Ils me semblent familiers. »

Je pose une question sur leurs systèmes de défense... sans m’attendre à une réponse. À la place, on me dit que notre RADAR primitif est néanmoins dangereux s’il reste fixé sur leur engin. Des mesures peuvent être prises, mais elles doivent être immédiates. Des événements isolés passés ont entraîné la destruction de véhicules du « Réseau ».

Le « Réseau » a décidé de continuer à surveiller les gouvernements responsables. Ils disposent de mesures d’autoprotection pour toute action relevant de l’instinct de conservation. Ils n’ont absolument aucune intention nuisible dans les activités d’observation. Ils mènent des activités d’observation depuis un peu plus de 50 ans. L’observation directe (est menée) depuis environ dix-huit ans en temps terrestre. Je suis un sujet d’« observation », sélectionné au hasard à partir des activités d’observation précédentes. Il y en aura d’autres après moi... comme il y en a eu avant moi.

Je demande d’où ils viennent... ils disent que cela a été discuté en profondeur avec un autre sujet antérieur... en fait, un amas stellaire lié à la source d’origine a été inculqué dans ce sujet. Il s’agit de Zeta 1 Reticuli et Zeta 2 Reticuli, pour utiliser des termes terrestres... cependant, ils l’appellent autrement, un nom double. En substance, des caractéristiques atmosphériques similaires existent (là-bas) mais d’importants facteurs contributifs existent aussi. C’est par l’astronomie stellaire que la Terre a été découverte comme étant favorable à la vie humaine. Des expéditions sont venues, ont examiné le progrès et sont reparties, soumettant leurs conclusions aux « Anciens analytiques ». Ainsi commença la progression des « observations directes ».

Le commerce continue dans d’autres systèmes stellaires, et il est approprié que d’autres « observations » existent ailleurs... mais pas à l’échelle des activités du « Réseau » sur et au-dessus de la Terre. Diverses expériences sont menées, impliquant l’hydrodynamique, l’analyse médicale, des expériences d’entrée et de sortie qui ne sont pas destinées à nuire aux humains de cette planète. Malheureusement, certaines circonstances sont survenues comme des accidents impliquant la géodésie et l’aéronomie. Les motifs triangulaires qui te sont familiers ont malheureusement conduit à des circonstances qui ont affecté à la fois les véhicules d’observation et les avions gouvernementaux terrestres présents dans l’atmosphère interne. « Les complexités liées à ces mécanismes sont trop élaborées pour que tu puisses les comprendre... pour l’instant. »

« Viens, poursuivons. » Nous quittons cette pièce, marchons dans le couloir circulaire et passons devant une pièce avec une table et un écran. C’est là que je remarque l’écriture transparente et les marques perforées. « Ceci est notre salle d’analyse-navigation... elle a une double fonction... l’activité stellaire, le tracé des trajectoires. L’analyse des informations est transmise au “Réseau” par des communications élaborées... trop complexes à expliquer, mais je dirai qu’elles sont semblables aux ondes radio et lumineuses ! »

Cette console de table aperçue dans la salle de navigation était délimitée par quelque chose ressemblant à une lumière fluorescente. Elle comportait deux rouleaux de film en mouvement se déplaçant d’avant en arrière au-dessus de panneaux illuminés sur le dessus de la table.
Le rouleau de gauche était une feuille continue de film semi-transparent recouverte de symboles en écriture extraterrestre disposés en lignes horizontales, qui défilaient d’avant en arrière sur les panneaux illuminés du dessus de la table. Les symboles ressemblaient à ceux du message du 26 mai 1979. Certains des symboles de la formule figurent ici.
Cette console de table aperçue dans la salle de navigation était délimitée par quelque chose ressemblant à une lumière fluorescente. Elle comportait deux rouleaux de film en mouvement se déplaçant d’avant en arrière au-dessus de panneaux illuminés sur le dessus de la table.
Le rouleau de gauche était une feuille continue de film semi-transparent recouverte de symboles en écriture extraterrestre disposés en lignes horizontales, qui défilaient d’avant en arrière sur les panneaux illuminés du dessus de la table. Les symboles ressemblaient à ceux du message du 26 mai 1979. Certains des symboles de la formule figurent ici.
Le rouleau droit était une feuille continue de film semi-transparent recouverte de points sombres rectangulaires selon un motif qui se déplaçait lentement de l’avant vers l’arrière au-dessus du panneau éclairé.
Le rouleau droit était une feuille continue de film semi-transparent recouverte de points sombres rectangulaires selon un motif qui se déplaçait lentement de l’avant vers l’arrière au-dessus du panneau éclairé.
Une feuille de matériau avec les mêmes points rectangulaires dans un motif différent était posée sur une autre partie de la table, au-dessus d’une feuille similaire comportant de nombreux cercles.
Une feuille de matériau avec les mêmes points rectangulaires dans un motif différent était posée sur une autre partie de la table, au-dessus d’une feuille similaire comportant de nombreux cercles.
La feuille portant les cercles ressemblait à quelque chose comme ceci.
On a dit à Herrmann qu’elle représentait leur position actuelle dans l’espace.
La feuille portant les cercles ressemblait à quelque chose comme ceci.
On a dit à Herrmann qu’elle représentait leur position actuelle dans l’espace.

Nous entrons ensuite dans une porte qui se referme derrière nous... au bout d’un moment, une porte s’ouvre devant moi... je ne l’avais même pas remarquée auparavant. La porte ouverte donne sur une pièce vide à l’exception d’une énorme quantité de machines. Un autre tableau en damier, semblable à celui du centre de contrôle, se trouve dans cette pièce. Sur deux colonnes, deux grosses sphères sont fixées à gauche et à droite des machines. Les sphères sont transparentes, tournent, et sont remplies de fils et de tiges en leur centre (transparent).

C'était une grande console de machinerie observée dans la salle de contrôle de propulsion dans une partie inférieure du vaisseau.
C'était une grande console de machinerie observée dans la salle de contrôle de propulsion dans une partie inférieure du vaisseau.

Deux autres « personnes » sont assises à un bureau face au tableau en damier. Elles répètent toutes deux la même chose que les deux autres auparavant... elles se lèvent et reculent... « voici notre unité de manipulation de l’équilibre... notre moteur de propulsion... ici nous menons diverses expériences impliquant la trajectoire de vol. » Les machines sont immenses... je regarde les couleurs et les machines pendant que les « personnes » et leur chef échangent entre eux.

Autre dessin fait par Bill Herrmann dans son livre, représentant le système de contrôle de la manipulation d’équilibre, situé dans la pièce d’alimentation du vaisseau.
Dessin original fait par Bill Herrmann dans le livre, représentant le système de contrôle de la manipulation d’équilibre, situé dans la pièce d’alimentation du vaisseau. A servi au redessin plus épuré présenté prcédemment.
Une autre partie de l'agencement de la salle de propulsion et une console de machine y ont été vues. Voici à quoi ressemblait le sol.
Une autre partie de l'agencement de la salle de propulsion et une console de machine y ont été vues. Voici à quoi ressemblait le sol.
Le sol de la salle de propulsion. Ils marchaient uniquement sur les carrés lorsqu’ils se trouvaient dans cette pièce.
Le sol de la salle de propulsion. Ils marchaient uniquement sur les carrés lorsqu’ils se trouvaient dans cette pièce.

« Viens, il faut retourner dans la chambre d’inculcation. Le moment est venu. »

Nous nous retournons, sortons de la pièce, passons la petite porte... elle se ferme... s’ouvre... et nous redescendons le couloir. Nous passons devant la pièce avec la table et l’écran... les feuilles ont été changées... nous passons devant la pièce avec les consoles informatiques... les bobines ont cessé de tourner. Nous continuons le long du couloir... jusqu’à la première pièce. On me fait signe de monter sur la table. La barre de lumières clignote. Lentement, semi-rapidement, puis très rapidement... alors mon esprit est inondé d’informations... comme si je révisais pour un examen... ça fait un peu mal... puis ça devient facile. Les informations concernent l’activité d’observation... elles ne peuvent être extraites sans contrainte. « Tu te souviendras avec le temps... nous regrettons les retours émotionnels... nous t’observerons... un marqueur a été placé pour ta sécurité... ceux qui sont sincèrement sensibles à ton expérience t’aideront... nous poursuivrons l’observation de ton implication... le rayon de transfert te replacera dans la sécurité de ton environnement... nous nous reverrons. »

Note de Wendelle Stevens :

Les occupants décrits par Bill Herrmann sont très similaires aux descriptions des occupants d’OVNI fournies par Barney et Betty Hill, Travis Walton et le sergent-chef Charles Moody.

William Hermann : « Je suis passé devant la zone résidentielle des officiers de Hunley Park... j’ai tourné sur Cross-Country Road et me suis arrêté juste avant une zone dégagée. Je suis sorti de la voiture et j’ai marché dans la zone sur la droite... l’objet était visible, se déplaçant selon un schéma descendant avec un mouvement triangulaire... Il a balayé une clairière derrière quelques arbres... juste au-dessus du sol, puis a stationné... J’ai senti que je devais aller vers la gauche, alors j’ai marché loin de l’objet en montant une colline de terre et un sentier, puis en descendant dans ce qui semblait être une sorte de fosse de terre. Il y avait de l’eau dans la fosse. Je marchai et me tins au pied du monticule de terre ou d’argile... le disque s’éleva alors et se dirigea vers l’endroit où je me trouvais... le son des grillons avait disparu et tout était très calme à mesure que le disque s’approchait.

Je regardai en direction de l’objet lorsqu’il arriva dans la zone de la fosse... et l’apparence de l’objet changea à mesure que sa luminosité diminuait. La lueur orange s’atténua et un arc-en-ciel de couleurs devint visible. Les protubérances en forme de cloche (en forme de cloche inversée) tournaient dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, et le halo de lumière argent-orange était visible au centre du disque (dessous), simplement stationnaire. L’objet s’était maintenant approché en silence à environ 3 à 6 mètres au-dessus de la fosse. L’aspect métallique et la rotation antihoraire étaient très visibles. Alors que j’envisageais les événements imminents, je me sentis inquiet, et la peur commença à monter en moi... je voulais résister... mais je semblais incapable de le faire... puis j’eus le sentiment que quelque chose me disait de me débarrasser de cette appréhension et de me détendre. Je fis ce que l’on me disait... pas par obéissance aveugle, mais, après un moment de réflexion... par confiance.

Puis je le vis, un faisceau de lumière bleu-vert s’étendre lentement depuis le côté inférieur du disque... J’étais déterminé à rester conscient de tout à partir de ce moment-là. Je me sentis tiré vers le haut mais, malgré ma détermination... la conscience me quitta brusquement... une période de semi-obscurité... puis je me réveillai. Je réalisai que j’étais allongé... et que la barre de lumières au-dessus clignotait selon un motif lent. Trois individus se tenaient près de moi... juste à ma droite... immédiatement, je compris que c’était eux ! Je tentai de me redresser mais n’y parvins pas... désorienté... je restai simplement allongé, et juste au moment où je commençais à poser une question... soudain tout devint net et un retour complet à la « normalité », de manière paradoxale, s’opéra. Celui qui était aux commandes me fit signe de m’asseoir et parla... je semblais conscient qu’il était le responsable... le chef apparent. Il parlait clairement mais ses lèvres ne bougeaient pas... Je le regardai intensément... et remarquai un emblème en forme de fente sur son côté gauche, juste au-dessus de la poitrine. Il ressemblait à un emblème médical, sauf qu’il avait des ailes... Il semblait pouvoir être retiré... ce n’était pas un élément permanent. Ses paroles étaient claires et sans accent.

Les mots étaient prononcés avec fluidité et sans hésitation... sa voix me semblait très familière. Je l’avais déjà entendue. J’en étais sûr. J’étais résolu au fait que... c’étaient les mêmes occupants que j’avais vus le 18 mars 1978... c’était le même “être” que j’avais vu auparavant. Je voulais tout interrompre et exiger une explication. L’hystérie surgit... et je pensai : personne ne croira jamais tout cela... personne... La voix du “chef” me détendit... me calma un peu... dans la mesure de ma mémoire, la conversation se déroula ainsi :
« Après tout ce temps, nous nous retrouvons. Nous avons initié ce contact pour des raisons que nous expliquerons. Viens, tu peux être à ton aise. Nous espérons que l’air que tu respires est adéquat et que tu acceptes notre présence. Par cela, tu as montré une disposition et un potentiel. »

Je me suis redressé et j’ai regardé autour de moi. Tout semblait identique (à avant)... la barre lumineuse... les murs incurvés... la table... l’embrasure de la porte... mais la boîte à roulettes avait disparu... c’était la seule chose différente. Je me suis dit que ça devait être le même appareil. À ma surprise, le chef déclara :

« Oui, c’est le même véhicule que précédemment... assigné à ce secteur géographique. Nous allons voyager ensemble pendant un court laps de temps. Nous espérons que ce moment et cette expérience ne perturbera pas tes activités. Ne sommes-nous pas arrivés à un moment inopportun ? » Je commençai à répondre : non... euh pas... et à ma surprise,
« Nous pensions que le moment convenait. »

« Nous avons quitté la pièce et tourné à gauche dans le couloir. Tout était pareil... les murs... le sol... l’éclairage, tout. Nous sommes entrés dans le centre de contrôle... et dans la pièce occupée par les trois autres individus. Elle était en pleine activité. Je me suis avancé vers le damier de lumières clignotantes. Les cases du damier étaient composées de centaines de petits points en relief formant un carré... les boutons et leviers semblaient faits d’un matériau semblable au plexiglas... presque cristallin d’aspect. Les rails sur lesquels les sièges glissaient ressemblaient à de l’aluminium... et l’instrument tubulaire ressemblait à un mélange de cristal et de cuivre... Je regardai tout autour de la pièce et fus stupéfait par l’environnement ordonné et stérile... tout était si propre... si neuf. Le chef semblait observer ma réaction... Il parla.

« Nous avons été très contrariés par la quasi-collision avec l’appareil terrestre lorsqu’il a été dirigé dans notre champ magnétique. Nous étions soulagés qu’il n’y ait eu aucune perte de vie. Nous avons été impressionnés par les mesures préventives prises... Nous avons également pris des mesures pour garantir que cela ne se reproduise pas. Les activités de nos véhicules dans la région inférieure de votre planète ont attiré une grande attention de la part des humains impliqués dans les observations et les événements. Nous avons été quelque peu amusés par les explications proposées. »

Je me suis demandé s’il faisait référence aux observations d’OVNI en Nouvelle-Zélande, et j’ai pensé en moi-même : je me demande s’ils savent pour Valentich. J’ai été très surpris par les mots suivants du chef :
« Oui, le pilote de l’appareil est sain et sauf... avec notre “réseau”... selon son propre désir et sa propre volonté. C’est à lui de décider de son retour. »

Des milliers de questions envahissaient mes pensées... « Tes questions sont nombreuses. Souhaites-tu qu’elles soient toutes répondues ? Souhaites-tu plutôt revoir les instruments et les machines présents dans ce vaisseau ? Tu es libre d’aller où tu veux. Tes questions sont le fruit de ta tentative de compréhension… très prometteuse… très révélatrice de tes capacités. » »

Après environ vingt minutes, nous avons quitté la pièce qu’on m’a dit être la zone de navigation… le chef tendit la main et toucha les feuilles transparentes semblables à des rouleaux. Il souleva une feuille et la plaça contre l’écran. Un amas de multitudes d’étoiles apparut en effet 3D.

« Voici votre système solaire… votre Voie lactée… voici vos planètes… voici votre Terre. » Il toucha un bouton coloré et l’image 3D fut agrandie. La Terre était transparente… et les masses continentales, les océans, les lacs, les rivières… visibles. J’étais stupéfait. Un autre contact et des villes devinrent visibles à l’écran, comme des lueurs vacillantes de bougies… Il fit glisser les feuilles, et un autre amas d’étoiles apparut… Il fit un geste vers la gauche de la feuille.

« La source de notre origine, que vous les humains appelez Reticulum, se situe comme un petit diamant d’étoiles à mi-chemin entre Canopus dans la constellation de la Carène et Achernar dans celle de l’Éridan. Il y a cinq étoiles dans la constellation du Réticulum. Nous venons de deux d’entre elles. Une implosion de supernova s’est produite il y a des éons, avec des implications cataclysmiques. Une implosion similaire a été observée récemment par les astronomes humains… nous en observons également les mouvements. Viens, nous allons bientôt retrouver des amis. »

Nous avons quitté la pièce et sommes retournés vers le centre de contrôle. Un autre occupant est passé devant nous en sens inverse. Il semblait vaquer à ses occupations. Je l’ai regardé en arrière, et mes yeux se sont arrêtés sur ses chaussures. Les chaussures semblaient être des bottes enfilables… un croisement entre des baskets et des bottes… sans lacets, sans fermetures, juste des bottes à enfiler, les pantalons rentrés dans le haut à la manière militaire. Il en était de même pour le chef et les autres.

En entrant dans le centre de contrôle, le damier était de couleur argent uni… le chef me fit signe de m’asseoir au bureau à droite du panneau. Un croisement entre un écran de télévision et une fenêtre ouverte se trouvait au centre du bureau. Le ciel étoilé était visible et un disque argenté de lumière s’approchait en vue. C’était un autre objet (semblable à celui-ci) en vol ! Seulement, il paraissait beaucoup plus grand… immense. Le chef parla, sur un ton neutre…

« Sous vous, vous allez observer un rendez-vous avec un véhicule d’observation similaire. Il est venu d’une zone que vous appelez Amérique du Sud. Vous percevrez immédiatement sa différence de taille. Il mène des expériences en hydrodynamique à un endroit appelé la rivière Salado. Des humains dans la ville de Rosario ont observé le vaisseau lors d’une activité d’expérimentation. Il n’a été observé que brièvement et l’observation sera bientôt oubliée… probablement identifiée et expliquée comme un appareil venant de la zone de Santa Fe. » Étonné par l’information qu’on me donnait, j’observai la taille du vaisseau et sa forme. Les étoiles défilaient lentement, presque à pas d’escargot, tandis que les deux objets poursuivaient leur route… par deux, j’entends celui dans lequel je me trouvais et ce disque plus grand. Le chef fit alors quelques pas derrière moi et déplaça une chaise juste derrière moi… apparemment pour mon confort, je lui fis un signe de remerciement, et m’assis. En vain, ou du moins il me sembla, je demandai à nouveau : « Pourquoi me montrer cela ? Si vous saviez combien d’autres aimeraient voir et confirmer ce que je vois… » Je fus interrompu, non pas de manière impolie mais patiente, presque avec bienveillance…

« Nous avons initié ce contact avec toi pour le bénéfice de ceux qui s’y intéressent… Ta demande d’être placé près de ton associé (note : référence à Wendelle Stevens qui est son associé dans ce contact) est jugée inappropriée… peut-être à une date ultérieure. Oui, nous continuerons notre contact avec toi, par voie de procédures d’observation directe (c’est-à-dire un contact face à face comme maintenant). Comme je l’ai déjà dit, tu manifestes patience et réflexion, des qualités acceptables pour le “Réseau”. Tu dois cependant surveiller tes actions. Il existe des agents dans vos organisations d’enquête qui œuvrent pour la suppression… qui ne travaillent pas pour ton bien, mais uniquement à ta perte… ils cherchent en vain à détruire toute chance ou espoir de contact.

Tu as rencontré ces agents lorsque la barre fut portée par toi à ton associé… Nous avons pu assurer sa sécurité, et toi, par ta réflexion, tu as assuré la tienne… et l’information que tu as reçue, les données intersectionnelles, étaient préliminaires à bien d’autres choses à venir. Tu seras un atout, un facteur dans les préparatifs futurs. Par tes actions et les mesures de protection de tes associés, vous avez fait beaucoup pour améliorer les possibilités continues de contact. Ce n’est pas à moi d’en décider, mais cela sera laissé au consensus du “Réseau”. Tu as notre recommandation et notre soutien. Ton associé, avec qui tu as parlé cette nuit… ce soir… observera nos véhicules en opération à une date ultérieure. Il sera averti. Nous avons les moyens d’avertir ceux que nous souhaitons avertir, à tout moment, en tout lieu. La patience sera sa récompense…

En ce qui concerne la barre, nous avons reçu l’autorisation de l’offrir uniquement et sans préférence à toi. Elle est, comme cela a été dit, un don de respect et d’appréciation. Tu es l’un des rares à recevoir une telle barre. Elle a une grande valeur pour nous… bien qu’elle soit jugée sans valeur pour toi si la valeur est estimée selon ta mesure primitive de compréhension. Déchiffrer sa signification, c’est comprendre notre signification. »

Je me demandai à voix haute où nous étions… et comme pour répondre, le chef parla :

« Il n’est pas nécessaire d’inculquer une perte de mémoire concernant les événements de ce soir… Un fait sera ta capacité à te souvenir. Souhaiterais-tu observer les lumières de votre complexe du centre spatial habité ? (Je regardai l’écran.) Sur la gauche, tu observeras ce que vous appelez la Floride, et voici votre bâtiment d’assemblage… des jouets qui éveillent notre intérêt. Il est ironique que votre centre spatial soit proche d’un océan. D’où nous venons, notre zone opérationnelle pour les véhicules se trouve aussi près d’un océan… bien que composé de manière constante d’un quart d’eau telle que vous la percevez sous forme liquide. Nous allons maintenant tourner. »

Je regardai l’écran et je pus voir les lumières d’une ville en bas dans l’obscurité… puis, il y eut un mouvement à ma droite, et un occupant s’avança et se pencha en regardant un ensemble de lumières et ce qui ressemblait à des cadrans, puis l’occupant alla vers le chef et tous deux se tinrent face à face… J’entendis un son indescriptible… le chef me regarda alors, et je me tournai vers lui. Il parla :

« Nous sommes observés par des individus en bas qui roulent sur une route. »

Je me demandai qui, quoi, où… et le chef fit une pause, apparemment pour observer ma réaction. Il était évident que ce rebondissement me laissait dans un état de profond étonnement. Il reprit :

« Nous allons ralentir pour que tu puisses observer les réactions à notre présence. Tu pourrais trouver cela intéressant… »

Je regardai les instruments et le damier s’illumina et devint brillant… les occupants de la pièce se déplacèrent de manière organisée d’un point à un autre. Un léger bourdonnement se fit entendre, comme un écho. Je ne pouvais en déterminer la provenance. Le chef parla à nouveau :

« Notre vitesse est maintenant réduite de 2 000 à 60. Tu remarqueras que les personnes en bas se sont arrêtées et ont garé leurs voitures pour observer. Nos scanners visuels vont rapprocher les expressions faciales à une distance de cinq pieds. »

L’écran montrait une station-wagon Pinto devant et une Buick Electra juste derrière. Les deux voitures étaient arrêtées sur le bord de la route. Une femme se tenait du côté conducteur de la Pinto, et un homme se trouvait du côté conducteur de la Buick. L’écran effectua alors un zoom vers une image rapprochée. Je me sentais à moins de cinq pieds ! L’expression sur leurs visages restera gravée en moi très longtemps. Le chef parla :

« Te rappelles-tu d’une telle expression de stupéfaction ? Nous allons maintenant monter, observe le changement dans leurs expressions à mesure que nous avançons. Observe la femme retourner dans sa voiture. L’homme fera de même. »

Interprétation de l’artiste Jacques P. Drabier de la scène à bord du vaisseau extraterrestre, lorsque l’être de Reticulum montra à Bill Herrmann une scène au sol, en dessous d’eux, où leur vaisseau avait été repéré par des personnes dans deux voitures qui s’étaient arrêtées et étaient sorties pour mieux voir. Bill apprit alors comment ajuster l’appareil pour zoomer sur la scène et en obtenir une vue rapprochée.
Interprétation de l’artiste Jacques P. Drabier de la scène à bord du vaisseau extraterrestre, lorsque l’être de Reticulum montra à Bill Herrmann une scène au sol, en dessous d’eux, où leur vaisseau avait été repéré par des personnes dans deux voitures qui s’étaient arrêtées et étaient sorties pour mieux voir. Bill apprit alors comment ajuster l’appareil pour zoomer sur la scène et en obtenir une vue rapprochée.

Bien que je fusse à l’intérieur de l’objet, je ne pouvais percevoir aucun mouvement. En effet, la femme courut autour du côté passager et sauta dans la voiture en verrouillant sa porte. L’homme ouvrit calmement sa portière, entra et verrouilla la sienne. En même temps, le chef dit :

« Un scan à 2 pieds montrera qu’elle maintient le verrou baissé… L’homme va simplement rester assis et observer. Un geste inutile de leur part si nous souhaitions une observation directe, mais tel n’est pas notre objectif… nous allons maintenant poursuivre notre route… nous survolons à présent ton État d’origine. »

On m’indiqua alors de suivre le leader. Je me dirigeai vers l’embrasure de la porte et le suivis dans le couloir. Nous marchâmes un certain temps, puis entrâmes dans une pièce ressemblant à un placard ; la porte arrière se referma, et après quatre ou cinq secondes, elle s’ouvrit juste devant nous, et nous étions dans la salle de propulsion. Elle était identique à la pièce que j’avais vue le 18 mars, ce qui confirmait pour moi que ce vaisseau était le même que précédemment. Je posai une question sur la propulsion, et on me répondit que je ne pourrais pas la comprendre, même si elle m’était expliquée sous forme de formules physiques... « une combinaison de gravité, de manipulation d’équilibre par conversion électromagnétique énergie-masse dans un champ unifié de fusion de faisceaux de particules positives et négatives… basée sur des principes au-delà de votre capacité technologique actuelle ».

Nous sortîmes alors de la salle de propulsion pour revenir dans la pièce en forme de placard, et après environ cinq secondes, nous sortîmes de nouveau dans le couloir. En marchant à nouveau dans ce couloir, nous tournâmes pour entrer dans la chambre d’inculcation, et je posais des questions sur l’énergie utilisée pour faire fonctionner le vaisseau. Le leader parla avec insistance :
« C’est un paradoxe que votre société gaspille des ressources énergétiques… les multitudes de lumières qui consomment de l’énergie continuent de fonctionner même après l’apparition de la lumière du soleil. À cet égard, vos ressources énergétiques sont nombreuses… mais vos scientifiques semblent ignorer la source la plus bénéfique… mais cela suffit… notre temps ensemble est terminé… »

On m’indiqua de m’allonger. Le leader me prit le bras droit et, dans un geste apparent d’amitié, conclut notre échange :
« Le faisceau de transfert te déposera près de ta voiture. Nous espérons que cet échange d’informations mutuel a été satisfaisant. Souviens-toi de nos paroles… pèse-les soigneusement. Va et repose-toi. Nous nous reverrons. »

La barre au plafond se mit à clignoter 1, 2, 3, 4, 5, 4, 3, 2, 1… Je ressentis une intense sensation de relaxation, et la chose suivante dont je me souviens, c’est que je me tenais près de ma voiture… et que la soucoupe montait lentement. L’autre disque se trouvait à une altitude plus élevée. Puis les deux disques se rapprochèrent l’un de l’autre et ensuite, dans un flou de mouvement silencieux, ils disparurent… Je restai là, seul… écoutant le silence. Un sentiment de soulagement et une soif immense m’envahirent. Je montai dans ma voiture et rentrai chez moi. Il était entre 4h15 et 4h20 du matin. Je ne me souviens plus exactement, mais j’appelai Wendelle Stevens à Tucson, bus deux carafes de Kool-Aid… pris une douche et allai me coucher. J’étais vidé émotionnellement. Cela m’avait bouleversé.

Cette déclaration est vraie et exacte au meilleur de ma connaissance.
William J. Herrmann  »


Bill Herrmann demanda des informations au sujet de l'autre homme qu'ils avaient dit avoir pris à bord en Caroline du Sud et qu'ils avaient relâché dans le même champ que Herrmann lors de sa première expérience. Ils lui répondirent qu'il n'était pas approprié d'en parler pour le moment.

Les panneaux d'instruments ne comportaient pas d’interrupteurs ni de boutons comme ceux auxquels nous sommes habitués, mais ressemblaient plutôt à des panneaux tactiles. Les indicateurs étaient également très différents. Ils n’avaient pas de cadrans ni de chiffres comme les nôtres, mais plutôt une sorte d’ondes lumineuses en mouvement, sauf qu’elles étaient en 3D. La chose la plus proche à laquelle il pouvait penser était l’appareil de diagnostic d’allumage qu’il avait vu utiliser. Il n’avait jamais vu d’oscilloscope. Les lignes d’ondes, cependant, étaient colorées différemment.

Lorsqu’il demanda des explications sur l’écriture étrange qu’il avait rédigée, ils lui dirent que cela constituait une préparation à des informations supplémentaires qui lui seraient données, laissant entendre qu’il serait un jour capable de lire cette forme d’écriture extraterrestre.

Il se souvint de regarder de plus près le panneau lumineux en 3D situé sur le mur de gauche, dans la pièce où se trouvaient les feuilles de plastique transparent sur la table éclairée, et il vit maintenant que les cercles étaient de différentes couleurs et placés à différentes profondeurs dans le champ de vision. Les cercles comportaient des inscriptions lumineuses tout autour d’eux, indiquant des informations telles que la vitesse orbitale, la masse, la gravité, les vitesses de rotation, les données atmosphériques, etc. Le guide pointa l’un des cercles et dit : “la tienne”. Il ne parvint à identifier aucun élément de cet affichage.

Lors de la discussion qui suivit sur certains de ces points, Bill revint devant l’écran de visualisation et déclara que l’appareil ressemblait davantage à une fenêtre qu’à un écran de télévision. Il ajouta ensuite que c’était plutôt comme regarder à travers un zoom doté d’une portée supplémentaire.

Voici un interview de journaliste de William Herrmann fait après son deuxième enlèvement mais publié seulement le 28 février 1983 :

Herrmann par les E.T., qui lui ont dit qu’ils venaient du groupe stellaire que nous appelons Réticulum. Début de l'article.
Extrait de journal tiré du Charlotte Observer, Charlotte, Caroline du Nord, daté du 28 février 1983. Cet entretien a eu lieu peu après le second enlèvement de William Herrmann par les E.T., qui lui ont dit qu’ils venaient du groupe stellaire que nous appelons Réticulum. Fin de l'article.

Extrait de journal tiré du Charlotte Observer, Charlotte, Caroline du Nord, daté du 28 février 1983. Cet entretien a eu lieu peu après le second enlèvement de William Herrmann par les E.T., qui lui ont dit qu’ils venaient du groupe stellaire que nous appelons Réticulum.

Transmission du Réseau / avec observation visuelle d’un Véhicule du Réseau en relation avec w/NT.
Date de réception : 29 juin 1983 ; Heure : de 00h45 à 01h30.
Objet de la Transmission / Observation : Transmission de Données pertinentes / MISE À JOUR du statut Andbahti.
Définition de la situation —

Vers 00h30, minuit, le 29 juin 1983, en réponse à une forte sensation de conscience de la présence d’un véhicule du Réseau, je me suis rendu à l’emplacement de Cross Country Road, lieu du second contact (enlèvement à bord du vaisseau), et en arrivant là, j’ai observé un engin du Réseau en position stationnaire sous les pylônes électriques de la SCG&E près de la base aérienne de Charleston.

Je me suis arrêté près du vaisseau et j’ai éteint la voiture, une Plymouth Satellite de 1968. Je suis resté là un moment à observer l’engin alors qu’il flottait juste au-dessus du sol. Il n’était pas illuminé, et depuis l’endroit où je me trouvais, à environ 12 à 20 mètres de distance, il ne semblait y avoir aucun signe de lumière émise vers ou depuis l’objet.

C’était une masse métallique sombre qui lévitait à environ 1,5 à 3 mètres au-dessus du sol... J’ai baissé la vitre et tendu l’oreille pour percevoir un éventuel son venant de l’engin. Il y avait un bourdonnement sourd qui pulsait par vagues depuis l’OVNI.

J’ai ensuite ouvert la portière et suis sorti. J’ai remarqué que la radio de ma voiture, réglée sur l’émission de Larry King sur WTMA, grésillait fortement, alors je l’ai éteinte.

Je me suis dirigé vers l’engin du Réseau, et à mesure que je m’approchais de l’objet, j’étais conscient d’un petit rayon de lumière verte qui s’étendait, peut-être, depuis le centre mort du vaisseau, et s’avançait vers moi. Le « pilier » de lumière éclaira les broussailles à mes pieds, et j’en conclus que je devais suivre la lumière vers le vaisseau. J’ai marché une minute ou deux, et à mesure que je m’approchais du disque, j’ai remarqué que la zone directement sous le disque était illuminée d’une lueur bleu pâle. J’ai estimé le diamètre du disque entre 12 et 18 mètres. En m’approchant à quelques mètres, j’ai noté qu’il tournait dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, très lentement, à peu près à la vitesse de rotation d’un disque vinyle à 45 tours.

J’ai aussi senti une légère brise émanant du disque vers l’extérieur, mais ce n’était perceptible que très près de l’objet. Je me suis tenu directement devant et sous le vaisseau. Je l’ai examiné et j’ai reconnu l’agencement familier de structures, d’appendices, de sphères rotatives, de fond lumineux… mais la lueur de l’engin était fortement atténuée. En commençant à faire le tour de la zone sous le disque, j’ai vu une séparation de la surface, comme si un panneau s’était ouvert, et une extension de fil métallique monta vers les lignes électriques au-dessus du vaisseau, puis toucha les câbles. Il y eut une petite étincelle, puis un fil sortit du câble d’origine, et il s’enroula autour des fils jusqu’à ce qu’il y ait connexion. On aurait dit que le fil avait une vie propre.

Après 3 ou 4 minutes, le fil se déroula, l’extension se rétracta, et il y eut un moment d’immobilité de la part de l’objet. Le bourdonnement continuait. Je restais là, attendant quelque indication de ce que je devais faire ensuite. Jusqu’à ce point, j’étais seulement témoin de la présence du vaisseau. Soudain, toute lumière s’obscurcit autour de l’engin et, à ma grande surprise, un carré de lumière bleu-vert apparut pour recouvrir ma voiture, puis... ma voiture disparut ! Elle se retrouva ailleurs, vers Cross Country Road, au moment où deux voitures passaient à toute allure. Quand le bruit des voitures s’éloigna, je regardai vers l’endroit où ma voiture se trouvait et vis le carré de lumière bleu-vert réapparaître, suivi de ma voiture.

Comme si quelqu’un avait rallumé les lumières, l’objet recommença à luire doucement…

Je restai là à attendre ce qui allait se passer ensuite. C’est alors que j’entendis la voix du Commandant du vaisseau :

« Le Réseau te salue à nouveau en paix. »
Je regardai autour de moi, mais ne vis personne. Pourtant, j’entendis la voix clairement.
« Je suis PROBUS, et je te souhaite la bienvenue. »
J’attendis de voir ce qui allait (se) passer ensuite. Cela ne tarda pas, quelques secondes à peine.

Je sentis une main sur mon épaule, et je me retournai pour trouver le Commandant (le communicateur et escorte lors du premier enlèvement de Herrmann à bord du vaisseau) debout là, un cube de lumière bleu-vert directement derrière lui.

« Viens avec moi dans le module, tu n’as rien à craindre. »
J’hésitai.
« N’est-ce pas ce que tu désirais, mon ami ? » dit-il en tendant la main.
« Viens trouver les réponses à ce qui te tourmente. Notre temps est limité, néanmoins nous chercherons à vous aider, ANDBAHTI. »

Je me retournai pour observer la scène. Me voilà au cœur d’une Expérience de Contact. On m’invitait à entrer dans le vaisseau de PROBUS, ce disque massif ayant parcouru des millions et des millions de kilomètres, et pour un but qui m’était inconnu.

PROBUS resta un moment immobile, il me laissa le temps de réfléchir. Je fis un pas en direction du faisceau cubique de lumière. PROBUS réagit par un sourire.

Une brise tiède glissa sur mes bras. PROBUS entra dans le faisceau (de lumière), et une milliseconde plus tard, j’y entrai aussi. L’instant d’après, je me trouvais dans la chambre d’Inculcation du vaisseau. La barre lumineuse clignotante se déplaçait à un rythme lent. PROBUS me dit alors de rester immobile. Une fraîcheur caressa mes bras. Cela me rappela la sensation de se tenir devant une bouche d’aération d’un climatiseur. Cette sensation fraîche dura à peine trois secondes. Je notai qu’en dehors de ces occurrences, cela représentait l’essentiel de mes réactions au fait d’entrer dans le faisceau de lumière. Je notai aussi que je restais pleinement conscient durant toute la phase initiale du contact.

En effet, ma capacité à tout me rappeler est rétrospectivement très claire. Pourtant (à ce moment), j’hésite à tout révéler de ce qui s’est produit (pendant) et dans les suites de cet épisode entier… toutefois, dans un but de documentation et de compréhension concise (de l’importance de ce contact), je vais tenter d’évoquer les événements essentiels.

PROBUS me conduisit dans une autre pièce, située juste avant la Salle de Contrôle. C’était une salle de type salle de conférence. La pièce contenait une table circulaire qui ressemblait à un beignet sur des pieds. Cela peut sembler absurde, mais la description est assez fidèle. Il y avait trois chaises glissant sur des rails. La table avait une lumière blanche douce intégrée. Elle était fabriquée dans une sorte de fibre de verre.

Le long du mur se trouvait une sorte de tableau noir. En réalité, il s’agissait d’un écran TV ou d’une carte ; il entourait toute la pièce… laquelle était elle-même en forme de section de tarte découpée en triangle. L’écran mural avait presque une texture de velours.

Des images apparurent à l’écran. Cela ressemblait à de l’écriture. Dans le coin de chaque image se trouvait une barre colorée. Des points étaient arrangés en différentes séquences le long des côtés de ces barres colorées.

PROBUS s’assit et me fit signe d’en faire autant. Il regarda les images à l’écran, puis me dit :

« Étudie-les attentivement, mon ami. »

Je regardai les images et pris conscience d’une certaine reconnaissance. Je ne peux commencer à expliquer ce que j’ai reconnu, mais je vous assure que c’était important ! Important en ce qui concerne toute la corrélation des données impliquées dans mon dossier. En effet, important pour l’avenir… du dossier.

J’étudiai les images qui apparaissaient à l’écran, et après quelques instants, PROBUS fit un geste vers l’embrasure de la porte menant à la pièce.

Un autre occupant se tenait là, apparemment en attente de la permission d’entrer. PROBUS me regarda, et je regardai vers l’entrée, qui se trouvait derrière moi… L’occupant entra dans la pièce. Il portait une combinaison comme PROBUS, mais avec une sorte de veste-robe par-dessus la combinaison. L’insigne sur le côté droit fut immédiatement remarqué. C’était une étoile avec une barre colorée en dessous.

PROBUS me regarda et, avant même que je puisse poser la question, répondit presque avec détachement :

« Voici SHAUGEL, l’Ancien. »

Celui nommé SHAUGEL joignit les mains, puis s’inclina en signe de salutation.

« Je te salue dans le Lien de la Connaissance et de la Compréhension, et dans la Paix de l’Ancienneté du Réseau. »
La voix de SHAUGEL était douce et emplie de bienveillance.
Immédiatement, je compris que ce deuxième occupant était un personnage d’une grande importance.

Je demandai à PROBUS si je pouvais m’exprimer librement. Je ne voulais absolument pas offenser. Je réalisai qu’il pouvait lire mes pensées, mais j’essayai malgré tout de communiquer le plus grand respect pour la fonction que SHAUGEL représentait.

« Tu dois comprendre, mon ami, que SHAUGEL est aussi un ami pour toi. »
PROBUS répondit.

J’ai dû bafouiller intérieurement, car je vis que ces Êtres n’étaient pas concernés par les apparences extérieures, mais par les pensées et intentions intérieures.

Pourtant, je commençai à poser toutes les questions typiques :

« Pourquoi moi ? »
« Que faites-vous ici… MAINTENANT ? »
PROBUS écoutait en silence. SHAUGEL répondit :

« Mon but en venant à toi est de répondre à ton émerveillement et à ton manque d’affirmation concernant ta sélection comme Sujet d’Observation Directe (enlèvement). Cela sert aussi, dans une certaine mesure, à t’observer toi aussi… Toutefois, ne laisse pas l’abattement ou le désespoir obscurcir ta compréhension ou ta capacité à accomplir ton statut d’ANDBAHTI. »

« L’Ancien du Réseau sait depuis quelque temps les obstacles qui coexistent dans ta sélection. »
SHAUGEL fit un geste vers l’écran.
« Ce que tu as appris durant ces moments ensemble te préparera mieux à l’éventualité de notre sagesse dans la sélection. »
Il fit une pause, puis poursuivit :
« Laisse ton don s’exercer, dans toute la capacité de tes talents ; exprime l’essai. Mets-le sous forme écrite comme un héritage et un témoignage. »

SHAUGEL plongea son regard dans mes yeux… des yeux remplis de questions subconscientes.

« Le savoir est profondément en toi, et tu t’es uni dans un effort collectif, avec ceux que le Réseau a approuvés. »
Il poursuivit :
« Les cristaux et l’amplificateur n’ont pas été donnés à ton ami en vain. »
SHAUGEL regarda PROBUS, et PROBUS hocha la tête en signe d’approbation.

« La compréhension de ton ami peut dans un effort concerté, déchiffrer le but des cristaux et de l’amplificateur. »
SHAUGEL conclut la conversation :

« Pourtant, la lutte pour y parvenir fortifiera ses propres efforts, ainsi que la manifestation des trésors de la connaissance. »

SHAUGEL se leva de sa chaise.

« Dans l’amitié et la compréhension, je te fais mes adieux… considère la responsabilité de ton propre statut… Notre sagesse est justifiée. Ta croissance suit son cours. »

PROBUS regarda SHAUGEL, et je me levai de ma chaise. SHAUGEL joignit à nouveau les mains, s’inclina, puis quitta la pièce.

PROBUS répondit à la perplexité visible sur mon visage :

« Es-tu encore dans un état de confusion ? Des questions te tourmentent-elles encore ? »

Je regardai PROBUS.

« Que signifie ‘SHAUGEL’ sur votre planète ? »
Probus répondit :
« Cela signifie Sagesse liée à l’Amitié. »

Et je demandai en retour :

« Et ‘PROBUS’ ? »
« Chercheur d’amis, » répondit PROBUS.

Je le regardai et lui dis :

« J’ai appris davantage aujourd’hui, ici et maintenant, que durant toutes les cinq années qui ont suivi notre première rencontre. »

« C’est pour cela que cette rencontre a eu lieu. J’en suis heureux, » dit PROBUS.
Il se leva et fit un geste vers l’embrasure :
« Partons-nous ? »

Je demandai… Nous quittâmes cette pièce et marchâmes jusqu’à la Salle de Contrôle. Trois autres occupants étaient assis à des panneaux. La Salle de Contrôle fourmillait de lumières et d’activité. Je restai juste dans l’encadrement de la porte, observant la multitude de machines et de consoles semblables à des ordinateurs. PROBUS se tenait à mes côtés, étudiant mes expressions.

Je m’approchai d’une console. Les lumières clignotaient dans le calme et le silence. Le silence était saisissant, malgré tant d’activité.

Je sentis que le moment était venu de partir.

« J’aimerais pouvoir rester. J’aimerais pouvoir montrer cela au Colonel Stevens, à Tony, et à Harry. »
Mes paroles semblaient presque suppliantes. PROBUS me regarda et répondit :
« Tout viendra en son temps… mon ami. »

Et je quittai la pièce. J’entrai dans la Salle d’Inculcation. PROBUS me dit de m’allonger sur la table surélevée. Dès que mon corps toucha la table, la barre lumineuse au plafond commença à clignoter lentement. Puis de plus en plus vite… jusqu’à ce que je les voie fusionner. Et dans cette fusion se forma un faisceau de lumière bleu-vert… Il descendit doucement, et une brise tiède caressa mes bras. Ensuite, je me retrouvai debout à côté de ma voiture.

Le disque s’élevait lentement dans le ciel nocturne. Il s’éleva gracieusement et décrivit le motif triangulaire familier jusqu’à devenir un point lumineux haut dans le ciel de la nuit. Je restai là, silencieux et pensif.

Je méditai les choses que j’avais apprises.

Maintenant, la tâche commence.
Peu importe combien de temps cela prendra, peu importe le résultat, je suis déterminé à mettre par écrit le savoir que j’ai acquis du Réseau.

Ma vie a changé. Dorénavant, j’accomplirai cette tâche supérieure et tant désirée. Ma propre preuve en sera la réalisation de ma mission.

Oui, c’est cela, la raison d’ANDBAHTI... le but de tout ce contact avec les Extraterrestres du Réseau de Zeta Reticuli. L’enregistrement et la transmission du savoir... donner librement, compréhension et amitié... accomplir la tâche, et ce, dans le lien de l’amitié pour toute l’humanité.

3 juillet 1983
Charleston, Caroline du Sud
USA / Hémisphère occidental – TERRE

William J. Herrmann
ANDBAHTI pour les peuples...
qui souhaitent savoir. »

Wendelle Stevens témoigne : « À 17 h 40, heure locale (MST), le samedi 21 avril 1979, M. William Herrmann de Charleston m’a appelé pour m’informer qu’il avait de nouveau observé le vaisseau spatial « réticulien » à 16 h 19 ce même après-midi. Il est revenu plusieurs fois pendant qu’il l’observait. Une heure plus tard, il se trouvait dans la chambre de sa maison mobile, là où il avait travaillé sur les croquis des objets vus à bord du même vaisseau ou d’un vaisseau similaire lorsqu’il avait été emmené à bord le 18 mars 1978, et où il avait reçu les écrits automatiques dans l’écriture étrange également aperçue à bord du vaisseau ; lorsqu’il fut soudainement poussé à prendre du papier et à écrire, et il écrivit deux pages supplémentaires complètes de l’écriture « extraterrestre ».

Pendant qu’il faisait cela, la pièce commença à s’éclaircir, comme si on avait monté un variateur d’intensité lumineuse, sauf qu’il n’y avait aucun variateur, et il remarqua alors une lueur bleue dans cette lumière. Il regarda autour de lui et vit une sphère carrée de lumière bleue devant la commode, devenant de plus en plus brillante et plus grande. Elle augmenta en intensité et en taille jusqu’à devenir trop lumineuse pour être regardée directement, et cela lui faisait mal aux yeux. Elle remplit le centre de la pièce… puis elle commença à décroître. À mesure qu’elle faiblissait, il put distinguer une masse centrale floue et sphérique qui s’atténua elle aussi jusqu’à ce qu’en quelques secondes, l’ensemble ait complètement disparu. À sa place, sur le coin de la commode, IL Y AVAIT UN BLOC DE MÉTAL DE COULEUR FONCÉE !

Il s’en approcha, le ramassa et l’examina. C’était un objet rectangulaire — comme une petite barre de métal précieux — d’une taille qui tenait facilement dans la paume de sa main, ET LA PARTIE SUPÉRIEURE ÉTAIT RECOUVERTE DE SYMBOLES gravés dans le métal.

Il resta perplexe face à ce tournant étrange des événements pendant environ 15 minutes, puis me téléphona à Tucson. J’étais l’un des premiers enquêteurs. Je reçus l’appel à 17 h 40 MST et écoutai le récit de Herrmann concernant plusieurs observations récentes de l’étrange objet en forme de disque. »

La petite barre de métal livrée par les extraterrestres dans une boule de lumière blanc bleuté. Les marques sur le dessus ressemblent approximativement à la configuration des étoiles visibles dans la constellation de Reticulum. Du debunkage consistera à dire que c'est une tige de métal de batterie de marque "MAN", telle dérisoire quand on voit l'objet et le fait que les éléments gravés avec étoiles diverses n'ont aucun rapport avec une marque de batterie... Les debunkers sont ptêts à tout dire pour réfuter ce qui sort de leur entendement.
La petite barre de métal livrée par les extraterrestres dans une boule de lumière blanc bleuté. Les marques sur le dessus ressemblent approximativement à la configuration des étoiles visibles dans la constellation de Reticulum. Du debunkage consistera à dire que c'est une tige de métal de batterie de marque "MAN", telle dérisoire quand on voit l'objet et le fait que les éléments gravés avec étoiles diverses n'ont aucun rapport avec une marque de batterie... Les debunkers sont ptêts à tout dire pour réfuter ce qui sort de leur entendement.

Wendelle Stevens : «  Bill me demanda d’informer John Fielding, ainsi que Jim et Coral Lorenzen de l’APRO, envers qui Herrmann se sent redevable parce qu’ils faisaient partie des premières personnes à avoir écouté ses premiers récits de ce qui se passait à Charleston.

J’acceptai de le faire et appelai d’abord John, car il venait de quitter la Californie avec le dernier rapport d’analyse des photos prises par Bill Herrmann le 22 janvier 1978 du même engin extraterrestre, et je voulais de toute façon m’en enquérir. Je pensais aussi que John pourrait descendre à Charleston (depuis New York) dès le matin, rassurer le témoin et transporter l’échantillon métallique pour analyse. John accepta d’appeler Bill pour le tenir au courant des photos, le rassurer quant à sa santé mentale, et organiser une rencontre le lendemain à Charleston.

[…]

J’ai rappelé Herrmann et il était encore plus silencieux et distant qu’auparavant, manifestement bouleversé jusqu’au plus profond de son être. Il m’a dit que, pendant qu’il se tenait dans la cuisine — là où il avait répondu au téléphone — avec l’objet métallique dans la main et John Fielding à l’autre bout du fil, il remarqua LA MÊME LUEUR BLEUE provenant de la chambre, et celle-ci devenait de plus en plus brillante.

Il rapporta cela à John, haletant, alors que l’image de la télévision devint chaotique, puis les lumières de la maison et la télé s’éteignirent — suivies presque immédiatement par les lampadaires extérieurs, puis tout le pâté de maisons.

Fielding encourageait Bill à aller voir si un autre artefact était en train d’être déposé dans la chambre par cette lueur quand — UN EXTRATERRESTRE, le même que celui qui avait guidé Herrmann dans le vaisseau lors de la nuit du 18 au 19 mars 1978, SORTIT DE LA CHAMBRE DANS LE COULOIR PLONGÉ DANS L’OBSCURITÉ, maintenant éclairé par la lueur bleue.

Herrmann, d’une voix à peine audible, dit : « Oh mon Dieu, ils sont ici dans ma maison », et Fielding dit à Herrmann de leur poser une question sur la barre métallique — puis ajouta : « Passe-les-moi au téléphone, que je leur parle. » Herrmann dit : « Sir John Fielding veut vous parler, vous le connaissez ? », et tendit le combiné vers l’extraterrestre. C’est à ce moment qu’un second extraterrestre sortit lui aussi de la chambre, et tous deux se tenaient dans le couloir, baignés par la lumière bleue provenant de la pièce. Ils ne rayonnaient pas et ne portaient aucune source de lumière. Ils étaient vêtus des mêmes combinaisons semblables à du daim que Bill Herrmann les avait vus porter à bord du vaisseau en mars. Le chef dit par télépathie : « Nous le connaissons — il est digne de confiance. »

Puis, à l’insistance de John, Herrmann demanda à propos de la barre métallique et le chef dit de nouveau par télépathie : « C’est un cadeau pour toi... »

Puis ils se retournèrent tous les deux et retournèrent dans la chambre, la lumière bleue devint plus brillante un instant, puis s’estompa. Les lumières du pâté de maisons se rallumèrent, suivies par les lampadaires, les lumières de la maison et la télévision.

John termina cette conversation en disant à Herrmann qu’il arriverait le lendemain pour enquêter sur ces nouveaux événements et aider à prendre en charge l’objet.

Je conseillai alors à Bill de faire des empreintes au crayon des symboles gravés sur les faces de la barre de métal, de tracer chaque côté sur une feuille de papier, de mesurer l’objet avec précision et d’essayer de le peser d’une quelconque manière. Je lui suggérai aussi de rayer ou gratter la surface sombre à un endroit uni pour voir l’aspect du métal. Il le fit et découvrit sous la surface un métal très brillant, de couleur argentée. Il laissa tomber l’objet au sol, et celui-ci produisit un bruit sourd, comme un métal mou. »

Note de Wendelle Stevens sur le développement de capacités psychiques chez Bill Herrmann :

« Bill Herrmann remarqua quelque chose de nouveau à cette époque. Il commença à réaliser qu'il savait quand le téléphone allait sonner, comme s'il pouvait sentir la sonnerie arriver sur la ligne, puis le téléphone sonnait et il savait déjà qui appelait. Il réalisa également qu'il commençait à connaître les événements avant qu'ils ne se produisent, ce qui le consternait beaucoup. »

La barre ne mesurait que 7 centimètres de long, 3,5 centimètres de large et 1,6 centimètre d'épaisseur, et semblait peser environ une livre. Elle était faite d'un métal gris tendre qui ressemblait certainement à du plomb, et comportait plusieurs figures ou symboles gravés sur le dessus. Les figures avaient environ un demi-centimètre de profondeur et n'avaient pas de bords relevés comme on pourrait s'y attendre si elles avaient été pressées dans le métal, mais elles semblaient pourtant avoir été pressées. La barre était légèrement plus petite sur le dessus, ce qui lui donnait une forme de coin, et elle avait une finition argentée brossée. La barre n'était pas parfaitement régulière, présentant des imperfections au niveau des bords, et la surface inférieure n'était pas parfaitement plane.

Wendelle Steven l'a immédiatement apporté au Dr Walter W. Walker, anciennement de l'université d'Arizona, ingénieur et chimiste professionnel, récemment employé par la Hughes Aircraft Company. Le Dr Walker était le scientifique qui avait examiné le fragment métallique d'OVNI d'Ubatuba, au Brésil, pour l'Aerial Phenomena Research Organization il y a quelques années. Walker l'a examiné attentivement, l'a mesuré et pesé dans son laboratoire.

Il a constaté que l'objet mesurait 6,67 centimètres de long, 2,86 centimètres de large et 1,9 centimètre d'épaisseur, et qu'il pesait 12 onces. Il était très occupé et il lui a fallu environ dix jours avant de pouvoir commencer à travailler sur cette barre. C'est un aspect déroutant de cet examen de la barre métallique. Stevens a personnellement mesuré la barre à l'aide d'une balance scolaire et l'a même photographiée avec la balance sur la photo. Ses mesures étaient correctes au moment où il les a prises. Le Dr Walker est un scientifique très précis et il a effectué des mesures très précises dix jours plus tard, obtenant des valeurs différentes pour tous les facteurs. Stevens ne doute pas qu'il ait été tout aussi précis au moment de son examen.

Ceci est la barre métallique, en taille réelle, photocopiée sur une machine Xerox à un rapport de 1 pour 1, avec une échelle en centimètres à côté pour comparaison. Notez que la barre mesure environ 3 centimètres de large selon ma mesure ici.
Ceci est la barre métallique, en taille réelle, photocopiée sur une machine Xerox à un rapport de 1 pour 1, avec une échelle en centimètres à côté pour comparaison. Notez que la barre mesure environ 3 centimètres de large selon ma mesure ici.
Ceci est la même barre métallique, en taille réelle, avec l’échelle en centimètres placée à côté pour une autre mesure. La barre apparaît ici comme mesurant environ 7 centimètres de long au moment de la propre mesure de Stevens indiquée ici.
Ceci est la même barre métallique, en taille réelle, avec l’échelle en centimètres placée à côté pour une autre mesure. La barre apparaît ici comme mesurant environ 7 centimètres de long au moment de la propre mesure de Stevens indiquée ici.

Un autre fait curieux est que les symboles ont été moulés dans le métal, tandis que les lettres MAN ont été gravées à l'aide d'une lame. La série d'événements étranges s'est poursuivie.

L’analyse conclue que c’est un alliage de plomb avec 5% d’antimoine. Les résultats de tous les tests décrits indiquent que l’objet de William Herrmann est composé d’un alliage indiscernable du plomb dur terrestre, qu'on trouve pour fabriquer beaucoup d'objets.

« 30 août 1981, Charleston, Caroline du Sud
Transmission du “Réseau”.
Formulation “Réseau” de données de séquence équationnelle.
TNR x TRC 32 32LY
(TNR) 62/42 186 000 + 32 LY = 25 MO LS Continuum négatif.
TNR x LS Continuum + 32 LY x détermination Compensation TNR.

(note du traducteur : 32 LY signifie certainement 32 années-lumière)

Formulation de données de séquence équationnelle injectée dans le registre de lexique pour une analyse approfondie, en vue de l’acquisition du calcul de trajectoire et de vitesse pour les véhicules du “Réseau”.
Mise en œuvre de la séquence obtenue de façon progressive, mise en œuvre du programme requis initiée comme suit :
formulation positive obtenue lors d’un accès secondaire dans le lexique équivalent à
TNR x TRC⁴ 32 LY (TNR) 64/40 186 000 + 32 LY + position = 28 mois LS Continuum. Fluide.

Production de noyau fluide de champ magnétique de courant, résultant d’une magnitude suffisante pour produire et maintenir un champ isolé magnétique autour des véhicules du “Réseau”.
Génération et régénération du noyau fluide maintenues en conséquence.
Renforcement du deutéron utilisé pour maintenir le processus de génération du noyau fluide.
Le processus de mise en œuvre de la transmutation permet un mode de libération. »

Fin de la transmission.


Transmission du Réseau  du 5 avril 1982 :

Pour analyse et lecture par le Chercheur/Compagnon d’ANDBAHTI. Remise des Données par Consensus du Réseau. 

DONNÉES DU LEXIQUE TECHNIQUE— PROPULSION des Appareils du RÉSEAU, 

Données confirmables par le Compagnon-Stevens. État de l’Arizona, Hémisphère Occidental.  Pour Lecture et Examen 

Les informations suivantes sont données à ANDBAHT par le biais du processus d’inculcation. Elles concernent directement la Mécanique et les Systèmes de Propulsion de tous les Vols Interatmosphériques des Appareils du Réseau. 

Ces données sont confirmables. 

Au cours des mois passés, la Méthode du Réseau d’inculcation des Données et Informations liées aux Informations Techniques du Réseau consistait à distribuer l’information exposée avec intérêt à la conscience et la capacité de compréhension du Sujet du Réseau, ainsi qu’au compagnon-Stevens. 

On espérait que les informations données renforceraient les intentions pacifiques du Réseau. 

Cependant, il est évident que les informations données lors des Transmissions précédentes n’ont entraîné que confusion et incompréhension. Le Réseau regrette cette réalité.

Ainsi, le processus de réévaluation a conduit à ce que les informations suivantes soient données à ANDBAHTI et il est noté que la Confirmation des Données renforcera le Lien entre le Réseau et ANDBAHTI et apportera de la crédibilité à la sélection d’ANDBAHTI pour le bénéfice mutuel du Réseau et des habitants de la Terre. 

Les données ainsi données sont confirmables par ceux dans les domaines connexes, et bien que primitives dans leur nature et leurs origines, la compréhension actuellement établie à travers l’Entier Lexique du Réseau concernant les Données ainsi données dépasse de nombreuses années vos Concepts Terrestres. Cela n’annule pas l’acceptation des Données, ni ne vise à insulter les Sciences existant sur Terre, c’est simplement la Norme selon laquelle le Savoir et l’Apprentissage ont été utilisés par le Lexique du Réseau, et il est espéré que ces Données serviront de preuve des Intentions Pacifiques du Réseau. 

En conséquence, à la suite de la Réévaluation du Réseau et de l’évaluation, tous les termes et aspects ont été placés sur des niveaux primitifs équivalents ou proportionnels à la compréhension des Sciences Terrestres. Encore une fois, le résultat est—Les Informations sont confirmables comme suit : 

E-K²M²/8n²M. KxKyKz = Coordonnées de Répartition de l’Énergie — K² = K2x + K2y + K2z = Surface Sphérique d’Énergie Constante à l’intérieur de la Chambre de Cellule d’Énergie.

La position du Point du Réseau = espace K de l’état stationnaire = 2n/L1.

Accommodation définie de l’Électron Double dans un trajet orbital autour du noyau.

La Quantité est proportionnelle au volume du Générateur Cristallin... et donne lieu à un Facteur d’Écoulement maintenu de plus 7 à la puissance 180.

La Fréquence d’Occurrence pour disséminer les Niveaux d’Énergie est maintenue en conséquence.

Les Barrières de Séparation d’Énergie sont de l’ordre de Grandeur proportionné à la Production du Générateur et au Processus d’Unification, et se relèguent dans l’explosion Pure et Cinétique de l’Énergie dérivée.

Les Impuretés sont éliminées au cours du processus de production, et cela concerne l’ensemble de la Console de Contrôle. Le contrôle des Niveaux tolérables d’impuretés est examiné à mesure que le Processus de Répartition est mis en œuvre dans les Systèmes de Propulsion.

Les Niveaux de Température dans la Chambre Cellulaire augmentent ou diminuent les Niveaux d’Énergie des Électrons selon les marges du processus.

L’utilisation de l’Énergie Électronique dans des Fonctions potentielles pour les Systèmes de Propulsion de l’Appareil est justifiée par le processus multiple de séparation de l’énergie depuis les noyaux et la libération résultante placée dans les Chambres de Cellules Énergétiques comme suit :

a2U/ax2i = a2U/ax2J --- M²/8n²M = l’Ordre de Magnitude équivalent du Processus Systémique. L’Utilisation de ces Données en Pratique dépasse la simple théorie et donne l’onction pour l’implémentation.

iL’augmentation de l’Énergie Interne = Fréquence d’Équilibre des Occurrences divisée par l’Énergie des Atomes et l’Énergie des Électrons eux-mêmes, comme suit :

IE - ½ E8/Ee

Une fois le Champ Magnétique établi autour du périmètre intérieur de l’Appareil du Réseau, le rythme de changement et les fluctuations induisent des forces électromotrices continues dans les atomes, multipliant ainsi le champ circulaire composé de courants circulants accumulés à l’intérieur même des atomes. La persistance des courants est maintenue grâce au recyclage du champ lui-même, par l’utilisation des Filaments de Bord étant énergisés en combinaison avec le Champ Magnétique.

La cessation du champ entraînera l’arrêt du flux de courant, et donc, des Filaments de Bord. La Supraconductivité du Bord permettant à la Structure de conserver une tolérance parfaite aux Forces Électromotrices disperse la Température de Transition vers les degrés absolus négatifs. Cette cessation de la résistance est responsable du maintien du Réseau.

Capacité de Vol de l’Appareil.
Les actions indépendantes et coopératives de la Force Électromotrice dans le Champ Magnétique permettent une plus grande flexibilité et réduisent la méthodologie restrictive d’analyse dans le Lexique du Réseau pour les procédures de Vol par sections dans les désignations Interatmosphériques.

L’Atome magnétique dans le Champ Périmétrique Magnétique externe possède son processus d’axe dans le motif circulaire du champ lui-même, résultant en une fréquence chimique directement proportionnelle au champ périmétrique, et à l’intensité du champ micro-onde localisé.

La séparation des niveaux sous-normes d’énergie résultante dans le Champ Périmétrique externe permet l’absorption de la fréquence chimique par les atomes à l’intérieur des courants circulants du Champ Magnétique, créant des niveaux d’énergie du spectre micro-onde. Les bandes à l’intérieur des Filaments de Bord sont surveillées pour déclin structurel ; toute réparation des Filaments de Bord en cas de déclin doit être immédiate.

Aucune compromission ne peut être tolérée concernant les limites structurelles des Bandes de Bord. Toute déviation peut être catastrophique pour le Champ Magnétique, et par conséquent pour la sécurité de la mission de l’Appareil du Réseau.

L’équation d’induction utilisée par le Lexique du Réseau pour l’initiation du Champ Magnétique est intégrée avec respect au Continuum Temps/Espace. Les Niveaux d’Énergie, les Niveaux d’Énergie Hydrodynamique, et l’analyse procédurale sont examinés en profondeur pour une tolérance correcte avant le renforcement.

La Modification des Forces Électromotrices dans le processus de Supraconductivité du Bord permet de purger les intolérances entre les Atomes. Cette Méthode réduit la menace de collisions atomiques pendant que la Circulation du Champ Actuel est mise en œuvre.⁶

L’Interaction des Atomes dans la Chambre de Cellule Énergétique contribue au Processus de réduction de la menace.

La Transition des Niveaux d’Énergie se produit ensuite et l’ensemble du processus se poursuit dans la Phase d’initiation.

La dégradation de la matière & de l’énergie à l’intérieur de la Chambre de Cellule Énergétique est ensuite réduite en une uniformité inerte, permettant l’utilisation de la structure atomique pour la vidange du potentiel énergétique.

Ainsi, l’équation du processus d’Induction est maintenue dans le processus—

La condition d’Équilibre du Champ Magnétique lui-même est proportionnelle au champ magnétique arbitraire. La Fluctuation du Champ est surveillée jusqu’à l’application de l’équation, comme suit :

Fn = Fn - Fs + ½ YoK²

Les Fonctions de Température et le Champ-Constante K conservent leur indépendance ainsi que le Champ Périmétrique Électromagnétique élevé à la puissance deux.

-- Fin de la Transmission --        5 avril 1982


Transmission du Réseau —
21 avril 1982, S.C.
Achèvement des Données

« L’accélération des électrons se conclut par l’action du champ électrique externe, entraînant un élan spatial uniforme continu dans la direction du champ. La continuité de la conversion potentielle de l’énergie électronique au niveau atomique est mieux maintenue. La détermination de l’élan et du flux de courant est le résultat d’une résistance accrue, et le déclin des niveaux d’énergie est compensé par une augmentation multiple de l’énergie du réseau et des dynamiques thermiques au sein du système de propulsion secondaire. Le déplacement se produit à mesure que le champ magnétique décline. L’extension du champ électrique compagnon en directions opposées autour du périmètre de l’appareil produit son accélération des électrons jusqu’au point de décélération. Les orientations correspondent à divers composants du mouvement magnétique dans l’axe et aboutissent à de nombreuses énergies spectroscopiques dans le champ magnétique externe. Le moment angulaire orbital mis en œuvre s’unifie dans sa continuation.

Les 12 sous-niveaux de la conversion électronique sont affectés par le champ rencontré dans un cristal. Le champ extensionnel dans le cristal est dimensionnel dans sa multitude de formes. Dans sa forme simplifiée, il s’agit de la symétrie cubique, et obtient une conversion ouverte, les énergies fonctionnelles d’ondes potentielles de l’interaction magnétique. Le fractionnement supplémentaire des niveaux d’énergie se poursuit selon l’obtention lexicale. Le rapport gyromagnétique de ce processus est inférieur à 2. »

Encore une fois, c’est assez peu compréhensible. Même Bill Herrmann ne comprend pas cela, ni ne sait exactement ce que cela signifie. Il a le vague sentiment que cela a un sens pour lui, mais il n’arrive pas à le formuler d’une manière convenable. Peut-être que plus de connaissances sont inculquées dans son subconscient, mais, n’ayant pas les symboles d’idées ni les mots pour les exprimer, il n’est pas plus avancé que nous.

Reçu par Bill Herrmann dans la soirée du 29 août 1981 :
« 29 août 1981, North Charleston, Caroline du Sud »
Transmission du Réseau, latitude 32°30' N + longitude 137°45' E — position d’entrée du "Réseau".

Séquence de lancement de sonde surveillée jusqu’à l’autorisation de trajectoire.
Données injectées dans le lexique.
Le "Réseau" a été notifié de l’assimilation des données.
Lancement de la sonde individuelle mis en œuvre avec succès.
Sonde isolée de l’observation individuelle, insertion dans la diversification du programme.
Le sujet d’observation directe reçoit le statut d’Andbahti.
Données inculquées à venir.
La mise en culture des données accumulées est mise en œuvre dans les opérations du véhicule du "Réseau"... échelle individuelle augmentée.
Analyse géophysique intégrée au système en cours.
Mesures de protection renforcées en conséquence.

Expédition vers le système stellaire d’Andromède approuvée par décision de l’ancien du Réseau.
Les opérations terrestres sont interrompues pour la période indiquée.
Latitude 32°35' N + 137°46' E = position de sortie du "Réseau".
Vecteur triangulaire inséré dans la chambre de navigation.

Recul du véhicule du "Réseau" engagé... échauffement des deutrons mis en œuvre.

À son retour dans le secteur terrestre, l’Andbahti subira une inculcation extensive en vue d’une communication éventuelle d’un traité plénipotentiaire négocié entre Reticulum et les représentants terrestres.

La communication planifiée est en rapport avec l’escalade actuelle de la détermination de l’ancien du Réseau.

Fin de transmission. »

Voici ce que j’en extrais : « Expédition vers le système stellaire d’Andromède approuvé par décision de l’ancien du Réseau. Opérations sur Terre suspendues durant cette période. »

Or, durant cette même période, dernière semaine d’août 1981, Lee Elders qui menait l’enquête en partenariat avec Wendelle Stevens sur le cas de Billy Meier était en Suisse chez Billy Meier. A ce moment là Billy Meier indiqua à Lee Edlders que ses contacts avec les Pléiadiens étaient devenus très fréquents dernièrement, mais qu’ils venaient de lui dire qu’il y aurait une interruption pour un petit temps car ils devaient aller à une réunion dans la Galaxie d’Andromède concernant les affaires de ce secteur de notre galaxie, qui incluaient aussi le système solaire des terriens. Il n’y aurait qu’une petite équipe d’attente minimale présente pour des opérations limitées en attendant le retour de leur délégation de cette réunion.

Cette concomitance d’une réunion à laquelle les deux civilisations disent devoir aller, au même moment et au même endroit n’est pas un hasard.

Le 25 août 1981 un autre message avait été reçu par William Herrmann dont voici un extrait pour étude :

« ...Les données sont ensuite intégrées dans un lexique du ‘RÉSEAU’ et les implications concernant le sujet sont déterminées. Les conclusions sont ensuite transmises à travers tout le ‘Réseau’. Les communications du ‘RÉSEAU’ avec les formes de vie existantes intergalactiques planétaires prévalentes sont basées sur la courtoisie universelle et inter-universelle. La reconnaissance des principes inter-universels et de la pensée organisationnelle est dirigée principalement vers la préservation du spectre évolutif et l’avancement de la civilisation.

Les interférences dans toute la direction à l’échelle planétaire de la planète sélectionnée sont interdites. Toute violation de cette courtoisie interuniverselle entraînera l’éradication totale de la forme de vie responsable. La pénalité en cas de violation est irréversible, sans possibilité d’annulation ni de compromis. La race pléiadienne a accepté, tout comme le Conseil de Dorado et l’Assemblée de l’Horologium. L’Ancienneté et les autres représentants quadra-universels sont en plein et total accord avec tous les principes de la courtoisie interuniverselle. L’observance prochaine des véhicules du ‘RÉSEAU’ sera manifeste. Le ‘RÉSEAU’ a surveillé les progrès des données inculquées et la documentation résultante… »

Note de Wendelle Stevens : Ce qui me frappe encore plus en tant qu’enquêteur, c’est la référence au « Conseil de Dorado » et à l’« Assemblée de l’Horologium » (termes attribués après corrélation par leur « Lexique »), apparemment d’autres entités voyageant dans l’espace, comme le « Réseau ». Nous avons donc désormais au moins ces trois-là, qui se connaissent mutuellement, et qui sont également connus des visiteurs pléiadiens en Suisse, lesquels font partie d’une autre association de voyageurs spatiaux.

Quand j’ai demandé à Bill Herrmann ce qu’étaient le « Conseil de Dorado » et l’« Assemblée de l’Horologium », il a dit qu’il ne savait pas, mais qu’il essaierait d’obtenir plus d’informations à leur sujet. En consultant les cartes stellaires, j’ai découvert que Dorado et Horologium sont les systèmes stellaires voisins de part et d’autre de Reticulum. Ce qui est particulièrement intéressant ici, c’est l’information selon laquelle ces trois systèmes ont un pourcentage inhabituel d’étoiles de classe « G », tout comme le nôtre, et pourraient donc être très semblables au nôtre. Cela mérite assurément une étude bien plus poussée par ceux qui sont plus compétents pour le faire. Bill fut stupéfait de découvrir que tout cela s’emboîtait d’une certaine manière, qu’il ne comprit qu’après que cela lui ait été exposé. Ce fut également pour moi une agréable surprise.

La Pléiadienne Semjase décrira les Zeta Réticuliens comme ayant l’apparence d’humains mais plus petit et différents avec une autre couleur de peau, et dit que ce sont des êtres pacifiques. Voyezcela dans contact n°37 de Billy Meier avec Semjase du 3 novembre 1975 :

Semjase :

5. Par la suite, j'ai dû quitter le système pour me consacrer à la tâche dont je vous avais parlé en secret lors de notre dernier contact.

6. Ce faisant, j'étais tellement occupée que j'ai dû me bloquer contre vos impulsions de recherche intensives.

Billy :

Oh, cela explique pourquoi je n'ai pas pu te joindre une fois de plus. Et quand tu parles de ta tâche, tu fais référence à l'affaire avec Zeta Ratekalli, n'est-ce pas ?

Semjase :

7. Bien sûr, tant que tu entends Zeta Reticuli par ton jeu de mots ?

Billy :

Bien sûr, c'est ce que je veux dire – je ne me souvenais tout simplement pas de ce nom bizarre. Maintenant, cependant, je veux m'en souvenir. Mais qu'est-ce qui est ressorti de cette affaire, avez-vous découvert quelque chose ?

Semjase :

8. Bien sûr, je peux également vous fournir divers détails, que vous êtes autorisé à mentionner plus en détail :

9. Depuis un certain temps déjà, des intelligences qui nous étaient jusqu'alors inconnues visitent la Terre.

10. Ce n'est qu'en 1961 que nous avons pris conscience de leur existence, lorsqu'elles ont enlevé deux humains terrestres à des fins d'étude, les ont emmenés dans leur vaisseau spatial et les ont soumis à une analyse physico-chimique.[1]

11. Ce faisant, elles...

Billy :

Je suis novice dans ce domaine, pouvez-vous donc m'expliquer à quoi sert une telle analyse physico-chimique ?

Semjase :

12. Il ne s'agit pas d'une seule méthode, mais d'une variété de méthodes permettant de séparer à volonté, quantitativement et qualitativement, des mélanges de substances, après quoi les composés chimiques peuvent être déterminés quantitativement et qualitativement dans leur structure et leur composition en fonction de leurs caractéristiques.

13. Des méthodes très raffinées et ingénieuses, associées à une technologie tout aussi ingénieuse, permettent également d'effectuer ces analyses sur des formes de vie vivantes, sans leur causer aucun dommage.

14. À notre connaissance, cela est encore inconnu sur Terre, mais largement utilisé et répandu parmi certaines races voyageant dans l'espace.

15. Cependant, ils n'utilisent cette méthode qu'en relation avec la télénotique, c'est-à-dire l'hypnose, grâce à laquelle les objets testés ou examinés n'ont aucune conscience de ces tests ou examens.

16. Cela signifie qu'ils n'ont aucun souvenir de cette période, c'est-à-dire du moment de l'examen ou du test.

17. Le souvenir ne s'établit que profondément dans le subconscient, c'est pourquoi il ne peut être libéré qu'à partir de là.

18. Cela n'est toutefois pas possible par le biais de la conscience, mais uniquement par le biais d'un contre-blocage hypnotique puissant, que nous appelons blocage réfractif.

Billy :

Eh bien, même si je ne comprends pas les aspects chimiques, votre explication me semble néanmoins logique. Mais que s'est-il passé en 1961 ? La question n'est pas très claire pour moi. Et pourquoi ne vous penchez-vous sur cette question que maintenant ?

Semjase :

19. C'est ce dont je voulais parler :

20. C'était le 19 septembre 1961, dans les montagnes du New Hampshire, aux États-Unis, pendant la nuit, lorsque deux humains terrestres nommés BETTY HILL et BARNEY HILL, un couple, ont rencontré un vaisseau spatial d'origine extraterrestre.

21. À l'aide d'ondes oscillantes paralysantes, les intelligences ont mis leur véhicule, une automobile, hors service et l'ont immobilisé.

22. En même temps, les deux ont été plongés dans une hypnose profonde par des pouvoirs télénotiques.

23. En conséquence, leur conscience a été paralysée, ce qui a bloqué leur mémoire consciente.

24. Cependant, je vous ai déjà expliqué cela plus tôt.

25. Le but de cette procédure des intelligences n'avait aucune forme malveillante, car leurs aspirations résidaient uniquement dans l'exploration de la forme de vie humaine terrestre.

26. Elles ont donc capturé les deux humains terrestres pendant 127 minutes, les ont emmenés dans leur vaisseau spatial et les ont soumis à des tests et des analyses très précis, au cours desquels elles ont également prélevé divers échantillons sur les deux individus, tels que quelques gouttes de sang, du sperme masculin, des cheveux, de la salive, des ongles et de la peau.

27. Cependant, des échantillons ont également été prélevés sur les chaussures et les vêtements, mais aussi sur divers autres objets importants pour l'analyse des intelligences.

Billy :

Je ne connais pas ce terme ; après tout, qu'est-ce que la radiophotographie ? Je n'en ai jamais entendu parler auparavant.

Semjase :

29. Il s'agit d'un appareil similaire à vos appareils photo 35 mm, grâce auquel les résultats d'analyses physico-chimiques peuvent être enregistrés et photographiés sous forme d'ondes radio oscillantes, ces ondes oscillantes se transformant directement en symboles grâce à des processus liés à l'appareil dans le filtre d'enregistrement.

Billy :

Pour moi, c'est comme un village espagnol, mais cela n'a certainement pas beaucoup d'importance. Un technicien ou un physicien serait certainement mieux à même de comprendre cela.

Semjase :

30. Bien sûr, mais continuez à écouter :

31. Après l'analyse des deux humains terrestres, ils ont été ramenés dans leur véhicule, qui a été libéré du rayonnement paralysant et relâché.

32. L'hypnose profonde a été levée chez les deux, et ils ont continué à rouler sans aucun souvenir du temps passé en analyse.

33. Ils n'en avaient pas le moindre souvenir.

34. Ce n'est que des années plus tard qu'ils ont résolu le mystère de cet événement, lorsqu'ils ont pu révéler leurs connaissances subconscientes grâce à l'hypnose.

Billy :

Je vois, mais pourquoi avez-vous attendu jusqu'à aujourd'hui pour traiter cette question ?

Semjase :

35. Un nouvel incident, dont je ne suis malheureusement pas autorisée à parler, l'a rendu nécessaire.

36. Nos examens en 1961 ont révélé qu'il n'y avait rien à craindre de ces intelligences voyageant dans l'espace.

37. Elles sont de forme humanoïde et ne faisaient en fait que de la recherche.

38. Leur forme est absolument humaine, bien que leurs dimensions corporelles soient quelque peu différentes des nôtres.

39. Leur taille varie entre 126 et 163 cm.

Billy :

C'est intéressant, mais d'où viennent-ils exactement ? Quel type de vaisseaux spatiaux possèdent-ils et comment font-ils face à notre atmosphère, etc. ?

Semjase :

40. Ils proviennent du système planétaire et stellaire ZETA RETICULI, comme je vous l'ai déjà expliqué.

41. Ce système est situé à une distance moyenne de 37 années-lumière de la Terre.

42. Leurs vaisseaux spatiaux sont similaires à nos vaisseaux à rayons et sont extrêmement bien équipés et très adaptés aux voyages spatiaux.

43. L'atmosphère de leur monde d'origine est très similaire à l'atmosphère terrestre, de sorte qu'ils peuvent la respirer sans grande difficulté.

44. Cependant, ils sont équipés de combinaisons filtrantes ajustées qui leur offrent une protection à plusieurs égards.

45. Pour les êtres humains de la Terre, je dirais qu'elles sont similaires aux combinaisons données aux personnages fantastiques Batman et Superman dans les bandes dessinées, sauf que dans ce cas, le visage et toute la tête sont complètement enveloppés dans la combinaison, la zone autour des yeux étant protégée par des « lunettes » de vision et de protection intégrées à la combinaison.

46. Vous connaissez sans doute les films fantastiques français sur un criminel nommé FANTOMAS.

47. Si vous regardez ce personnage fantastique et que vous remplacez la zone des yeux par des lentilles protectrices foncées, vous obtenez une assez bonne représentation des intelligences de Zeta Reticuli dans leurs combinaisons.

Billy :

Oui, je connais ce personnage grâce à la télévision, mais comment le connaissez-vous ?

Semjase :

48. De temps en temps, je m'amuse à regarder ce genre de programmes, que vous diffusez après tout sur vos téléviseurs.

Billy :

Oh, alors vous êtes une fraudeuse.

Semjase :

49. Je ne comprends pas.

Billy :

Chez nous, il faut une licence pour avoir la radio ou la télévision. Si on écoute la radio ou regarde la télévision sans licence payante, c'est illégal, et on dit que cette personne est un fraudeur.

Semjase :

50. Encore une fois, tu aimes plaisanter.

51. Après tout, ce n'est pas possible que tu doives payer pour ça.

Billy :

Mais c'est pourtant le cas, car pour ces choses aussi, on nous prend de l'argent dans les poches, et pas qu'un peu. Fais attention, dès que la PTT se rendra compte que tu es un fraudeur, elle s'occupera de ton cas.

Semjase :

52. Tu es vraiment drôle.

Billy :

Eh bien, tu peux le dire. Mais que dirais-tu de me procurer une image des intelligences de Zeta Reticuli, est-ce que cela serait possible ?

Semjase :

53. Je pourrais te préparer un dessin si tu le souhaites.

Billy :

Ce serait sympa. Pourrais-tu au moins faire un portrait de l'une de ces intelligences et peut-être aussi un dessin de leurs vaisseaux spatiaux ?

Semjase :

54. Bien sûr, mais je n'ai ni papier ni crayon.

Billy :

Dans ce cas, je peux te donner quelque chose – tiens, un crayon –, et tiens – c'est un stylo à bille multicolore, et ça, c'est une gomme. Et – attends un instant, oui, voilà –, est-ce que ce papier suffit ?

Semjase :

55. Bien sûr, je t'apporterai les dessins lors du prochain contact.

Billy :

Bien, mais maintenant, je voudrais quand même savoir s'il y a quelque chose à craindre de la part des intelligences susmentionnées ?

Semjase :

56. Ce sont des humanoïdes pacifiques.

Billy :

C'est tout ?

Semjase :

57. Il n'y a rien d'autre à signaler à ce sujet.

Billy :

Comme tu veux. Donc, en ce qui concerne la Terre, il n'y a rien d'important à signaler au sujet de ces intelligences, c'est bien ce que je dois comprendre de tes paroles, n'est-ce pas ?

Semjase :

58. C'est tout à fait exact.

Billy :

Tu es encore très discrète aujourd'hui. Je dois te tirer les vers du nez pour obtenir la moindre information.

Semjase :

59. J'essaie simplement de ne pas en dire plus que ce que je suis autorisée à dire.

60. Tu as souvent une façon de poser des questions qui m'amène involontairement à en dire plus que je ne devrais.

61. C'est pourquoi je fais attention.

Billy :

Je ne te mettrai plus dans l'embarras, du moins pas avec ces êtres humains de Zeta Reticuli, c'est bien ce qu'ils sont, n'est-ce pas ?

Semjase :

62. Bien sûr, ils ne diffèrent de nous que par leur anatomie, leur taille et la couleur de leur peau.

Wendelle Stevens : «  C’est vers le 20 mars 1983 que je reçus des nouvelles d’un vieil ami et correspondant à moi en Allemagne de l’Ouest, qui, en apprenant mon intérêt pour une affaire d’OVNI à Charleston impliquant des « Reticuliens », m’envoya la communication suivante provenant d’un témoin à Krefeld, Allemagne de l’Ouest :

« En septembre 1980, je rentrais chez moi sur St. Tonis Street, de Krefeld à St. Tonis. Je revenais d’une soirée bowling à Krefeld et j’étais totalement sobre, ce que la police avait confirmé en m’arrêtant 5 minutes plus tôt à un contrôle au Seidenweberhaus à Krefeld, où ils administraient systématiquement un test d’alcoolémie.

Là, pour une raison inattendue que je ne comprends pas, j’ai quitté mon itinéraire habituel et tourné, dans un état de transe, sur la droite en direction de Kokesoath. Soudain, ma voiture s’est arrêtée sur la route et j’ai pu voir clairement à nouveau. Toutes les tentatives pour redémarrer la voiture ont échoué et je suis devenu très nerveux.

Soudain, j’ai remarqué des lumières étranges dans le ciel au-dessus des champs à ma droite. Elles bougeaient ensemble comme un ensemble, comme une chaîne de lumières. Puis j’ai entendu une voix métallique, comme depuis un haut-parleur, et en tournant la tête dans cette direction, j’ai vu une créature à 3 ou 4 mètres de distance dans l’obscurité.

L’être sombre devait être vêtu de couleurs foncées car je n’ai remarqué qu’au niveau de la tête quelque chose ressemblant à un casque de moto, rond et blanc. »

Lorsque Hessmann l’appela au téléphone pour vérifier le casque.

et pour voir s’il était sûr de ce qu’il avait vu, ou si cela pouvait avoir été une tête plus grosse, Wirtz répondit :
« Non, je ne suis pas sûr, mais il aurait fallu que ce soit une tête comme un œuf d’autruche. »

« La voix me dit : ‘Je ne m’approcherai pas plus parce que je vois que tu as peur’.

À ma question : ‘Que se passe-t-il ici ?’, il répondit simplement que je ne devais pas avoir peur.

Puis je me suis soudain souvenu que j’avais vu ‘eux’ une fois auparavant à ce même endroit, mais un peu plus loin.

J’étais avec ma femme une nuit en 1973, à 02h10 du matin, au même endroit, lorsque nous avons vu un engin avec des lumières tournantes comme ça.

Je m’étais arrêté, espérant que l’objet allait atterrir, mais ma femme me pressa, d’une voix effrayée, de continuer à conduire, ce que je fis. Deux ou trois minutes plus tard, dans mon rétroviseur, j’ai vu l’objet ‘filer’ au loin. »

« Mais pour revenir à cette expérience — j’ai demandé d’où ‘ils’ venaient, et je n’ai reçu que deux mots en réponse : ‘CETA RETICULI’.

La créature n’a rien dit d’autre cette fois. Quelques secondes plus tard, la voix me dit que ‘lui’ devait partir maintenant, et que je les reverrais à un autre moment, ce qui aurait lieu début 1981 selon notre chronologie.

Cela n’a pas eu lieu. »

« Soudainement, la créature disparut, les lumières s’éteignirent puis recommencèrent à tourner d’une manière plus rapide et différente.

Elles devinrent beaucoup plus brillantes et l’objet s’éleva dans les airs, et fila dans le ciel nocturne à une vitesse énorme. »

« Quand je me suis un peu calmé, j’ai essayé de redémarrer la voiture, ce que j’ai réussi à faire cette fois sans difficulté.

Je suis rentré chez moi, bien que je n’étais absolument pas en état de le faire car je me suis mis à trembler d’excitation après avoir réalisé ce qui m’était arrivé. »

« Une fois chez moi, je suis allé me coucher et j’ai essayé de dormir, mais je n’y suis pas arrivé.

Je me suis endormi plus tard dans la matinée. Pendant trois jours, j’étais plutôt irritable, me disputant avec ma femme pour des bêtises, et j’ai fini par lui dire ce qui m’était arrivé.

Elle fut bouleversée et me dit d’oublier tout cela et de ne jamais, jamais en parler à nouveau, car elle ne voulait pas avoir à gérer tout ce sujet, disant cela avec un ton anxieux dans la voix.

Jusqu’à aujourd’hui, je ne sais pas pourquoi tout cela m’est arrivé ni ce que je ferais si cela devait m’arriver à nouveau. »

– W. Wirtz

En 1961, Betty et Barney Hill, deux militants des droits civiques, affirment avoir été enlevés par des extraterrestres, un récit qui devient le premier cas médiatisé d’enlèvement aux États-Unis et marque la culture populaire des années 60.

Barney et Betty Hill, avec un article de journal sur leur enlèvement.
Barney et Betty Hill, avec un article de journal sur leur enlèvement.

Barney Hill, un Afro-Américain de 39 ans, et sa femme Betty, blanche et âgée de 41 ans, rentrent chez eux à Portsmouth le 19 septembre 1961 après un séjour à Montréal et aux chutes du Niagara. Sur la route 3, dans le New Hampshire, ils observent dans le ciel les mouvements étranges d’un objet lumineux.

Après s'être arrêtés pour observer la lumière, les Hills ont continué leur route vers Franconia Notch, les yeux rivés sur l'objet dans le ciel. Soudain, l'OVNI s'est abaissé devant leur voiture et s'est mis à planer en silence, comme s'il les attendait. Barney s'est arrêté au milieu de la route et est sorti avec ses jumelles. Cette fois, il a vu une dizaine d'extraterrestres aux yeux énormes et à la peau grisâtre qui le fixaient depuis l'intérieur de l'engin. Ils portaient des uniformes noirs ou bleu foncé brillants avec des casquettes assorties. Ils n'étaient « en quelque sorte pas humains », a déclaré Barney plus tard aux enquêteurs. Il avait l'impression qu'ils communiquaient avec lui par télépathie.

« Il faut qu'on parte d'ici », cria-t-il en se précipitant dans la voiture. « Ils vont nous capturer ! »

Peu après, un son étrange émane du véhicule et en un clin d'œil, deux heures s'étaient écoulées et ils se retrouvaient à 50 km au sud de Franconia Notch, sans savoir comment ils étaient arrivés là. Delsey était recroquevillée sous le siège.

Au lever du soleil, les Hill rentrèrent chez eux, épuisés. Bien qu’en sécurité, ils ne pouvaient se défaire de l’impression que quelque chose n’allait pas.

Le coffre de leur voiture présentait désormais d’étranges cercles brillants apparus sans explication. En approchant une boussole magnétique de ces marques, l’aiguille se mettait à tourner de façon incontrôlable. Leurs montres s’étaient arrêtées, la sangle des jumelles était rompue. Les chaussures de Barney étaient éraflées, la robe de Betty déchirée et recouverte d’une poudre inconnue. Barney, lui, avait l’étrange sensation que son sperme avait été prélevé.

Dessin du vaisseau par Betty Hill, sous hypnose. Apparence de l'appareil volant quand il était en altitude sur le dessin du hait, puis apaprence modifiée lorsqu'il est descendu près de la route où étaient les Hill dans le dessin du bas (quelque chose s'étend depuis l'appareil sur les côtés)
Dessin du vaisseau par Betty Hill, sous hypnose. Apparence de l'appareil volant quand il était en altitude sur le dessin du hait, puis apaprence modifiée lorsqu'il est descendu près de la route où étaient les Hill dans le dessin du bas (quelque chose s'étend depuis l'appareil sur les côtés)

Le lendemain, Betty contacte la base aérienne de Pease ; le major Paul W. Henderson confirme qu’un OVNI a bien été détecté par radar. Barney, lui, aurait préféré rester discret, craignant l’attention négative, surtout à une époque où les mariages mixtes étaient mal perçus.

La régression hypnotique :

Les nuits suivantes, le couple est hanté par des cauchemars identiques : enlèvement, vaisseau, êtres étranges. Interrogés séparément sous hypnose par le Dr Benjamin Simon, psychiatre et neurologue à Boston, ils livreront un récit détaillé qui mettra en lumière la disparition inexpliquée de deux heures entre leur observation initiale et leur arrivée.

Très vite, l’affaire attire l’attention des ufologues de l’époque, notamment le major Donald Keyhoe et le major James MacDonald. Ce dernier suggère aux Hill de se soumettre à des séances d’hypnose. Sous la direction du Dr Benjamin Simon, le processus thérapeutique s’étendra sur sept mois.

Le Dr Benjamin Simon dira : « Il s’agit d’un cas extrêmement intéressant de double amnésie avec l’amnésie de voile levée via une hypnose régressive attentive. Il est très difficile de mentir sous le motif de régression dans lequel je les ai placés. Il est très difficile de mentir sous une hypnose administrée de manière appropriée. Les barrières sont baissées entre le conscient et l’inconscient. Il serait presque impossible pour eux de mentir sous un tel programme intensif couvrant 7 mois. J’ai examiné attentivement les bandes d’enregistrements et je ne pense pas qu’ils hallucinent. Je n’ai détecté aucun signe de psychose autant chez Barney que chez Betty. »

En effet temps met à mal les mensonges, car il est difficile de se souvenir avec précision d’éléments inventés. Les histoires vécues restent claires, contrairement aux récits fictifs qui nécessitent des notes pour éviter les incohérences. Sept mois d’hypnose auraient rapidement révélé un canular, surtout à deux personnes risquant de se contredire.

Voici les souvenirs revenus grâce à l'hypnose :

Sous hypnose, les Hill racontent avoir été stoppés sur la route par un vaisseau, dont les occupants les ont emmenés à bord. Barney remarque des yeux en amande et Betty se souvient d'êtres aux cheveux noirs et au nez proéminent, très différents de l'image popularisée plus tard des extraterrestres gris.

Commentaire personnel :

La peau est grisâtre et les yeux plus grands mais pas du tout les yeux noirs classiques des gris, bien qu'en amande. Un nez proéminent est décrit aussi, pas du tout comme les gris classiques non plus. Et même des cheveux ! En fait tout montre que ce n'étaient pas les classiques petits gris qui les ont enlevés. À savoir que dans des cas de contact avec des vaisseaux crashés semblant provenir du même "Réseau" auquel appartient le Reticulum, la peau des extraterrestres était de blanche à grisâtre. Il y a semble-t-il des variantes de plusieurs races faisant partie de ce même réseau. D'après ce qui a été dit à William Herrmann, c'était un vaisseau du "Réseau" qui avait enlevé les Hill, mais cela ne veut pas dire que c'était exactement la même race que ceux que Herrmann a rencontré. Ils peuvent être plusieurs races voisines habitant dans le système de Zeta Reticuli (émanant d'une race parente avec colonisation de plusieurs mondes et ensuite des différenciations mineurs d'apparence comme la couleur de la peau). Les êtres rencontrés par Herrmann n'ont aucune pilosité, alors que les Hill décriront des cheveux, après avoir commencé par ne pas en voir.

La couleur "grisâtre" a suffi à faire dire à beaucoup de monde que les Hill ont été "enlevés par les petits gris", mais cel ane semble pas être le cas au vu de la description qu'ils ont fait de ceux qui les ont enlevé.,

Betty subit l’introduction d’une longue aiguille dans le nombril, présentée comme un test de grossesse, tandis qu’un échantillon de sperme est prélevé à Barney. Le couple note que ces êtres semblent ignorer la notion de temps et l’existence des couleurs, et qu’ils se montrent intrigués par la prothèse dentaire de Barney.

La carte :

Betty demande d’où ils viennent ; en réponse, on lui montre une carte stellaire et on lui demande si elle peut y repérer la Terre. Devant sa réponse négative, les créatures retirent la carte, jugeant inutile de préciser leur origine.

Photographie du dessin original précis fait par Betty Hill sous hypnose, qui a pu prendre le temps d'un affichage exact de ce qu'elle avait vu sur la carte montrée.

Betty Hill décrit la carte vue à bord du vaisseau comme un hologramme d’un mètre carré, en trois dimensions, d’une précision telle qu’aucun détail graphique n’était perceptible. Les recherches de Marjorie E. Fish conclurent à son authenticité : dans les années 60, personne ne connaissait l’amas de trois étoiles en triangle ni leurs distances réelles, données établies seulement en 1969. La carte de Betty, correcte dès 1961, fut finalement validée et son modèle 3D adopté par le département d’astronomie de l’Université de l’Ohio.

Des recherches ont été menées sur la carte stellaire dessinée par Betty Hill. D’abord, en 1963, elle suscita le scepticisme, car elle ne correspondait à aucune configuration connue, ce qui amena plusieurs experts à discréditer le témoignage des Hill. Huit ans plus tard, cependant, des astronomes de l’Université de l’Ohio, aidés par un ordinateur, identifièrent cette carte comme représentant une portion du ciel récemment cartographiée. Les étoiles désignées par l’occupant du vaisseau correspondaient à Zeta Reticuli 1 et Zeta Reticuli 2, situées à environ 37 années-lumière de la Terre. L’ordinateur reproduisit avec exactitude l’agencement des étoiles, y compris dans leur environnement stellaire, confirmant la précision de la carte. Ainsi, en 1963, Betty Hill avait mémorisé et restitué une carte astronomique dont les étoiles ne seraient officiellement connues que plusieurs années plus tard. Malheureusement, cette correspondance ne fut établie qu’après la médiatisation du cas Hill.

Voici l'interprétation qui fut faite de la carte, qui fit affirmer que les extraterrestres venaient de Zeta Reticuli. Mais les extraterrestres n'ont jamais annoncé cette provenance, c'est une déduction.
Comparaison avec le dessin de la carte par Betty Hill.
Comparaison avec le dessin de la carte par Betty Hill.

Barney Hill décède le 25 février 1969 d’un accident vasculaire cérébral, tandis que Betty Hill s’éteint le 17 octobre 2004 des suites d’un cancer du poumon.

Liens vers des documents plus complets sur ce contact :

• Livre complet "UFO contact from Reticulum" publié par Wendelle Stevens, en anglais - format PDF : Cliquer ici

• Extraits du livre "UFO contact from Reticulum Update" publié par Wendelle Stevens, en anglais - format PDF : Cliquer ici


Sites en anglais + traduction automatique FR :

Site de Patrick Gross
☛ Traduction auto en FR : cliquer ici


Vidéo d'enquête documentaire sur Youtube en anglais : cliquer ici
☛ Activer le sous-titrage youtube auto en FR