
Publié le 8 novembre 2025, mis à jour le 08/11/2025
Contacté : Preston Nichols.
Planète du contact : Planète Alderon dans la constellation des Pléiades, située à 450 années lumières environ (mais ils lui parlent de deux autres mondes pléiadiens existant : Arian et Aldebaran).
Nom du contact principal : non donné.
Date et lieu du contact : en 1961, à ses 15 ans, alors qu’il habitait chez ses parents à Long Island, il a été emmené en vaisseau par des Pléiadiens.
Présentation complète du contact par vidéo détaillée d'accompagnement :
Vidéos détaillées : Youtube, Odysee
Vidéos abrégées : Youtube, Odysee
Ici il y a 2 cas de contactés différents étudiés : Preston Nichols, contacté par les Pléiadiens, et Stewart Swerdlow contacté des Siriens mais qui a été mis en relation avec Preston Nichols et ils sont pu croiser des informations, notamment avec les contacts croisés Pléiadiens et Siriens, et leurs opposants Dracos et gris. On a donc deux contenus dans le même article. Voir le menu principal pour trouver le contact de Swerdlow en Extrait 6.
Durée de lecture de l'article entier : 3h35
Sommaire cliquable de liens internes :
◻️ Planète d'origine des contacts
◻️ Identité du contacté
◻️ Époque et lieu du contact
◻️ Publication de l'histoire
◻️ Comment a eu lieu le contact
➳ Premières rencontres et expérimentation électromagnétique
➳ Rencontre avec les Pléiadiens
➳ Voyage sur la planète Alderon
➳ Les Pléiadiens à la rescousse
➳ Transmission pléiadienne et projet Montauk
◻️ Apparence des habitants de Alderon
◻️ Description de leur monde et de leur civilisation
➳ Description physique de leur monde
➳ Fraternité et bienveillance
➳ Gouvernement et lois
➳ Économie
➳ Repas
➳ Histoire de l’évolution de leur civilisation
➳ Les villes
➳ Transport
➳ Vie dans les logements
➳ Vêtements
➳ Agriculture
➳ Production
➳ Croyance
➳ Espaces naturels
➳ Repères sociopolitiques
➠ Extrait 1 : vaisseaux spatiaux
➳ Vaisseau observé dans une base de l’Air Force en rétro-ingénierie
➳ Vaisseaux observés lors de ses contacts directs avec les Pléiadiens
➠ Extrait 2 : le pourquoi du contact avec la Terre
➳ Colonisation de la Terre par les Pléiadiens
➳ Confédérations extraterrestres qui interagissent avec la Terre
➳ Le Projet KOALA : contrepoids lumineux à Montauk
➠ Extrait 3 : autres informations de Preston Nichols
➳ Implants physiques et psychiques
➳ Détection et élimination des implants
➳ Réseau Star Wars, ondes et génétique
➳ L’arme secrète : la connaissance et la vérité partagée
➳ Retour vers la ligne du Créateur
➳ Enlèvements extraterrestres et manipulations humaines
➳ Défense psychique et gestion des traumatismes liés aux abductions
➠ Extrait 4 : l’expérience de Philadelphie et les liens avec Montauk
➳ Description de l’expérience sur l'USS Eldridge
➳ Récit de Carlos Allende
➳ Récit du témoin von Gruber de l’expérience de Philadelphie
➳ Récit du témoin Edwad Cameron (identité actuelle Alfred Bielek)
➳ Projet Phoenix et référence du zéro temporel
➳ Qu’est-ce que la base Montauk
➳ Lien entre expérience de Philadelphie et le projet Montauk
➠ Extrait 5 : matérialisation et manipulation du temps à Montauk
➳ Les recherches menées sur la base de Montauk
➳ La chaise de Montauk, technologie liée aux Siriens
➳ Expériences de matérialisation par la pensée et de manipulation mentale
➳ Découverte de la distorsion temporelle
➳ Les voyages temporels
➳ Les voyages vers Mars via les portails spatio-temporels de Montauk
➳ La connexion avec le vortex de l’Expérience de Philadelphie
➠ Extrait 6 : rétro-ingénierie extraterrestre de Preston Nichols
➳ Introduction sur la dissimulation des extraterrestres par les militaires
➳ Affectation secrète et étude technique d’un vaisseau extraterrestre
➳ Le crash de Moriches Bay et le brouilleur électromagnétique pour abattre des OVNI
➳ Principe de fonctionnement des vaisseaux extraterrestres et ingénierie de la réalité
➠ Extrait 7 : science de voyage inter-dimensionnel et supraluminique
➳ Formation d’une réalité artificielle : le rôle des « twisters » et des « spinners »
➳ Des origines alchimiques à la physique moderne : disparition du concept d’aether
➳ Albert Einstein, ses origines méconnues et l’influence cachée sur la physique moderne
➳ Vitesse de la lumière et principes pour la dépasser dans une bulle de réalité
➠ Extrait 8 : Stewart Swerdlow – siriens, pléiadiens, et Montauk
➳ Un contact majeur à ses 6 ans
➳ Adolescence
➳ Enfants hybrides
➳ Un implant qui sert de caméra à distance
➳ Embrigadé de force dans le projet Montauk
➳ Le contact avec les Siriens
➳ Flammes jumelles
➳ Le contact avec Preston Nichols et d’autres révélations extraterrestres
➳ L’irradiation mortelle
➳ Ambassade interstellaire et héritage sirien
➳ Contact avec un enfant hybride d’une vie passée
➳ Souffrances et coup monté judiciaire
➳ Une vision d’instrumentation christique
➳ Le langage de l’hyperespace
🔗 Liens vers des documents plus complets sur ce contact
Planète d’origine des contacts :
Selon Preston Nichols, les êtres avec lesquels il a été en contact provenaient du système des Pléiades. Leur société regroupe six planètes principales (3 d'êtres physiques et 3 d'êtres énergétiques) organisées en une confédération harmonieuse, mais c’est sur la planète Alderon qu’il affirme avoir séjourné physiquement. Alderon est décrite comme un monde d’une grande beauté, verdoyant et parfaitement équilibré, où la nature prime sur la construction.
Alderon représente le centre technique et scientifique de la civilisation pléiadienne. C’est là que sont menés les projets de recherche et de développement, en lien étroit avec Arian (le centre spirituel et philosophique) et Aldebaran (le centre de défense). L’éducation y est hautement avancée : Nichols y aurait reçu un enseignement équivalant à plusieurs doctorats terrestres, notamment en physique, électronique, psychologie et divinité.
Commentaire personnel :
« Alderon » ressemble beaucoup à « Alderaan » (ou « Alderande » en français), que tout fan de Star Wars reconnaîtra comme étant le nom d’une des planètes pacifiques et peuplées de la saga d’où provient Léïa et le sénateur Organa, des éléments clefs de la rébellion contre l’empire du mal, et qui sera détruite par l’arme redoutable de l’étoile de la mort afin de démonstration de terreur par l’empire galactique alors qu’ils interrogent la princesse Léïa capturée. L’expérience de Preston Nichols où lui fut révélé ce nom date de 1961 et les films de Star Wars sortirent à partir de 1977.
Donc le nom est soit proche par hasard soit par inspiration télépathique de George Lucas ou information qu’il a récupéré sur le nom depuis des contacts pléiadiens autres auxquels il aurait eu accès. Ce n’est pas le même nom de toute façon, mais cela ressemble.
Alderon est mentionnée comme l’un des trois mondes physiques habités :
- Arian, centre philosophique et spirituel
- Alderon, centre technique et scientifique
- Aldebaran, centre militaire et de défense
Commentaire personnel :
Arian est aussi le nom d’une planète de contact par le contacté Martin Wiesengrün, qui lui ont indiqué être en orbite de l’étoile Aldebaran. Or selon Preston Nichols, Aldebaran est aussi le nom d’un des mondes Pléiadiens (le même nom que l’étoile ? Parce que c’est une planète en orbite de l’étoile Aldebaran ?). Ce monde pléiadien est indiqué comme étant une branche négative des pléiadiens, qui agit comme certaines factions d’Orion pour avancer leur agenda de contrôle de la Terre de manière interventionniste.
Ces chassés-croisées de noms qui en appellent d’autres dans un ensemble qui est lié n’est probablement pas dû au hasard.
Le texte écrit de Preston Nichols précise aussi que ces planètes orbitent autour des « sept sœurs » que nous appelons les Pléiades, et que leur civilisation est issue d’un peuple ayant migré d’un « ancien univers » pour s’installer dans ce groupe stellaire.
Ainsi, bien qu’aucune étoile pléiadienne ne soit nommée directement, Alderon orbite clairement autour d’une étoile du système pléiadien, sans localisation plus précise.
Identité du contacté :
Une grande partie de ce que nous savons sur les recherches menées à Montauk nous vient de Preston Nichols, un homme qui a participé à ces expériences de contrôle mental à la fois comme praticien et comme victime. Il a coécrit plusieurs livres sur ce sujet avec Peter Moon.

Né en 1946 à Long Island (New York), Preston Nichols était diplômé en parapsychologie, en psychologie et en génie électrique. Passionné très tôt par l’électronique et la radio, il entra après ses études dans le secteur de la Défense, travaillant notamment pour Brookhaven National Laboratories et pour AIL (Airborne Instrument Laboratories), deux institutions liées à des recherches militaires confidentielles.
On lui a montré de près des véhicules non humains dans une base de l’US Air Force dans le cadre de son travail technique comme contractant de la défense,et il a travaillé sur la production d’ondes électromagnétiques pour activer la technologie extratererstre récupérée.
À partir de 1968, il fut impliqué dans les projets de recherche de Montauk (transmissions psychoactives, contrôle mental, expérimentations temporelles), présentés comme la continuité des expériences de furtivité et de manipulation électromagnétique amorcées après l’« Expérience de Philadelphie ». Nichols affirme avoir lu le rapport final du Project Rainbow, où figuraient les frères Cameron comme agents de liaison de la Navy.
Au sein du projet Montauk, il aurait participé aux travaux sur les « sciences mentales », cherchant à interfacer l’esprit humain avec l’ordinateur. En collaboration avec Al Bielek, il travailla sur la « Montauk Chair », un dispositif utilisant des champs quantiques subtils pour capter et amplifier les ondes cérébrales. Le système traduisait les pensées en signaux numériques et, par le biais du grand radar de la base, permettait de matérialiser ces formes mentales dans la réalité.

Nichols déclara également avoir supervisé l’entraînement de jeunes sujets psychiques dans le cadre du « programme Montauk Boys », destinés à devenir des « guerriers PSI ». Les expériences auraient inclus la création de vortex temporels et l’exploitation énergétique des émotions de peur. Beaucoup de ces jeunes, selon lui, ne seraient jamais revenus des expériences.
En parallèle de ces activités, il raconta avoir vécu depuis l’adolescence des contacts avec des êtres des Pléiades, dont il se disait l’un des ambassadeurs sur Terre, porteur d’un message de non-violence et d’évolution spirituelle. Même après la fin officielle du projet, il affirma être périodiquement « rappelé » dans des programmes secrets, sans que ses révélations publiques ne suscitent d’intervention pour le réduire au silence.
Son parcours personnel mentionne de sérieux problèmes de santé dans l’enfance (langue, souffle au cœur, troubles neurologiques de type paralysie cérébrale) « résolus » à l’adolescence, période où débutent ses observations d’OVNI et l’apparition d’une « voix » intérieure.
Il relate des contacts bienveillants avec des Pléiadiens, une prise en charge médicale « hors Terre » et une formation avancée (physique, électronique, psychologie, divinité).

Époque et lieu du contact :
Les premiers contacts de Preston Nichols avec les Pléiadiens remontent à son adolescence, vers 1961-1962, alors qu’il vivait encore chez ses parents à Islip, sur Long Island (New York). C’est à cette époque qu’il observa pour la première fois un objet discoïdal lumineux au-dessus de sa maison, phénomène accompagné d’une panne électrique généralisée dans le quartier. Peu après, il commença à percevoir intérieurement une voix bienveillante et à faire des rêves récurrents d’un grand être blond aux yeux bleus, qu’il associera plus tard aux Pléiadiens.



Selon ses souvenirs sous hypnose, le contact direct aurait eu lieu vers l’âge de quinze ans (donc en 1961). Il aurait alors été transporté à bord d’un vaisseau spatial jusqu’à une base sur l’une des lunes de Jupiter, probablement Europe, pour y subir des examens médicaux, puis conduit sur la planète pléiadienne Alderon. Là, il aurait reçu des soins qui mirent fin à ses troubles neurologiques et cardiaques, ainsi qu’une formation scientifique et spirituelle avancée. Il décrit leur civilisation durant un court séjour effectué sur leur monde.
Ses expériences de contact se seraient poursuivies tout au long de sa vie, parfois sous forme de communications mentales, de rêves lucides ou de rencontres physiques ponctuelles sur Terre. La plus marquante sur Terre eut lieu en 1991 dans un centre commercial de Long Island, où il affirma avoir été momentanément « déphasé dans le temps » avant d’entrer en contact avec trois Pléiadiens.
Publication de l’histoire :
Peter Moon présente Preston Nichols comme un ancien membre du complexe militaro-industriel américain qui, en 1986, a publiquement révélé son implication dans un programme secret connu sous le nom de « Phoenix Project ». Ce projet, mené sur Long Island et plus précisément à Montauk (New York), devint célèbre sous l’appellation « Montauk Project ». Nichols y aurait participé à des expériences de recherche hautement confidentielles portant sur des domaines tels que le contrôle du climat, le contrôle mental, la téléportation et, finalement, la manipulation du temps lui-même.
Ces révélations furent relatées dans le premier livre, « The Montauk Project : Experiments in Time», de Preston Nichols coécrit avec Peter Moon.

Ce succès suscita des enquêtes et donna lieu à deux autres ouvrages, « Montauk Revisited » et « Pyramids of Montauk », destinés à vérifier la véracité des événements évoqués. Selon Moon, de nouveaux témoins ont continué à se manifester, confirmant l’existence d’activités anormales à Montauk, dont certaines se poursuivraient encore.


Malgré les controverses entourant Nichols, même ses détracteurs reconnaissent sa compétence exceptionnelle dans le domaine de l’électromagnétisme et son implication réelle dans des programmes de recherche gouvernementaux classifiés. Ses connaissances continuent d’être sollicitées par des milieux liés à la recherche secrète.
Dans l’ouvrage, « Encounter in the Pleiades: An Inside Look at UFOs », Preston Nichols se concentre sur une autre facette de ses activités : les contacts et interactions avec les OVNIs et les extraterrestres. Preston Nichols y relate ses expériences directes avec des vaisseaux et des entités non humaines. Il y raconte notamment comment il fut invité par l’armée à monter à bord d’un OVNI pour en analyser la technologie et comprendre son mode de fonctionnement. Le texte détaille progressivement ses découvertes techniques et ses observations, cherchant à rendre ces notions accessibles sans jargon excessif, tout en conservant un caractère narratif d’aventure. Il y relate ses contacts depuis enfant avec des Pléiadiens qui l’ont emmené hors de la Terre et montré leur vie ailleurs.

Lorsqu'aucune autre source n'est mentionnée, le contenu de cet article provient de ce livre "Encounters in the Pleiades", qui décrit le contenu central de ses contacts avec les pléiadiens.
Nous parlerons aussi des expériences du contacté Stewart Swerdlow qui a été victime des expériences de Montauk et depuis enfant contacté par les Siriens et d’autres races, car elles rejoignent celles de Preston Nichols, avec qui il sera d’ailleurs en contact en cette raison et ils travailleront ensemble un moment à de nouveaux contacts extraterrestres.

Comment a eu lieu le contact :
Premières rencontres et expérimentation électromagnétique
Preston Nichols commence par évoquer sa première expérience paranormale, survenue lorsqu’il avait cinq ou six ans. Réveillé au milieu de la nuit, il vit dans l’encadrement de sa porte un visage qu’il prit pour celui de Dieu. Le visage, très pâle, entouré de longs cheveux blancs, ne ressemblait pas à celui de ses parents. Il dit avoir revu plusieurs fois cette apparition dans son enfance, sans en comprendre la nature, et ignore encore aujourd’hui si elle est liée à ses futurs contacts avec les OVNIs.
Son premier véritable contact avec un phénomène aérien non identifié eut lieu en 1961 ou 1962, alors qu’il avait quinze ou seize ans. Passionné d’électronique, il possédait un petit atelier rouge construit par ses parents au fond du jardin, où il passait ses soirées à expérimenter avec des radios, amplificateurs et vieux téléviseurs. Une nuit, alors qu’il travaillait, il remarqua un bourdonnement étrange qui envahissait ses récepteurs. Soudain, toute la puissance électrique fut coupée et les lumières s’éteignirent. Sortant de son atelier, il observa un disque lumineux planant à environ 200 pieds (soixante mètres) au-dessus du sol, d’un diamètre estimé à quinze mètres, brillant d’une lumière blanche intense. L’objet survola sa tête avant de s’élever et d’effectuer des manœuvres impossibles, puis disparut verticalement dans le ciel.
Au même moment, l’électricité était coupée dans toute la maison et le voisinage. Quand le courant revint, sa mère sortit, affolée, confirmant avoir vu elle aussi le phénomène et remarquant que la télévision s’était éteinte. Preston lui répondit que ses appareils radios avaient également cessé de fonctionner. Il qualifie cet épisode de « rencontre rapprochée du premier type », c’est-à-dire l’observation directe d’un OVNI sans contact ni atterrissage. On rappelle la classification ufologique : deuxième type pour un atterrissage observé de près, troisième type pour une interaction ou un embarquement, et quatrième type pour un enlèvement.
D’autres observations suivirent. Vers 1964, alors qu’il était au lycée, un engin en forme de boomerang d’environ un mètre de diamètre apparut au-dessus du terrain de sport, effectuant des manœuvres inhabituelles avant de s’éloigner. Plus tard, lorsqu’il étudia à la Suffolk Community College à Selden, de nombreux étudiants assistèrent collectivement à des apparitions dans le ciel. Utilisant ses compétences en électronique, Nichols installa des récepteurs radio, analyseurs de spectre et caméras afin d’enregistrer les phénomènes. Une nuit, son équipe parvint à filmer plusieurs objets lumineux, obtenant des images très nettes.
Cependant, au matin, il découvrit que tous les films avaient disparu. Quelqu’un au sein de l’établissement avait signalé leurs activités, entraînant l’intervention d’agents gouvernementaux venus confisquer le matériel et les enregistrements. Cet épisode marqua le début d’une surveillance officieuse de ses recherches.
Malgré la perte de ses preuves visuelles, Nichols poursuivit ses analyses et réussit à identifier les signatures électromagnétiques spécifiques générées par les soucoupes volantes. Selon lui, ces objets produisent des interférences caractéristiques sur les bandes radio courtes, VHF et UHF. Sur un analyseur de spectre, ces signaux apparaissent sous forme de bosses ou de collines. En mode détection AM, avec le contrôle automatique de gain désactivé, ils se manifestent sous la forme d’un bourdonnement, d’un sifflement ou d’un bourdonnement électrique distinctif. Il apprit ainsi à les reconnaître à l’oreille, notamment au casque, en repérant certains motifs dans le bruit de fond.
Nichols souligne que ces activités restaient parallèles à ses études et à ses projets professionnels. Il participa ensuite à divers travaux techniques, dont un projet antigravité commercialement avorté et stoppé sous pression extérieure. Après cette période, il ne connut plus de contact notable avant 1974, où une nouvelle rencontre spectaculaire allait marquer un tournant dans son parcours.
Rencontre avec les Pléiadiens
Preston Nichols raconte que son enfance fut marquée par de graves problèmes de santé. Né avec une malformation de la langue, il resta muet jusqu’à cinq ans, avant qu’une opération chirurgicale ne lui rende immédiatement la parole. Malgré cette amélioration, il connut de nombreuses maladies et souffrit d’un souffle au cœur qui le fit s’évanouir à douze ans. Durant l’adolescence, il fut aussi atteint d’une forme légère de paralysie cérébrale qui perturbait la coordination entre son cerveau et ses muscles. Son corps était maladroit, bien que son esprit restât vif.
Vers l’âge de dix-sept ans, tous ces troubles disparurent brusquement, sans explication médicale. Cette guérison soudaine amena son médecin à le classer « 4-F », inapte au service militaire, sans même un examen. Nichols suppose aujourd’hui que cela était peut-être lié à une orientation déjà décidée pour lui, en lien avec les futurs travaux du projet Montauk.

C’est à cette même période, vers seize ou dix-sept ans, qu’il commença à faire des rêves étranges. Il voyait régulièrement une grande figure humaine, un être aux cheveux blonds et aux yeux bleus, qu’il percevait comme une sorte de « dieu ». Cet être l’emmenait visiter d’autres lieux ou mondes. En parallèle, Nichols commença à entendre dans sa tête une voix calme, intelligente et bienveillante, capable de dialoguer avec lui. Ces phénomènes le déconcertèrent profondément : il se demanda s’il devenait fou et décida de faire des études de psychologie pour comprendre ce qui lui arrivait.
À l’université, il devint le sujet d’expérimentations dans son cours d’hypnose. Sous régression, il décrivit avec précision ses expériences avec de grands êtres blonds, mesurant environ deux mètres dix à deux mètres vingt. Son professeur d’hypnose jugea ses récits sincères. Nichols affirma qu’ils n’étaient pas agressifs et se distinguaient des « Zetas » (Gris), connus pour leurs examens médicaux intrusifs. Le « dieu » blond lui expliqua que sa race n’avait pas besoin d’intervenir physiquement pour étudier un humain : un simple dispositif vertical leur permettait de lire son état biologique complet sans contact.
Ces séances d’hypnose, au nombre de huit, confirmèrent qu’il se souvenait d’avoir été « pris sous la protection » des Pléiadiens vers l’âge de quinze ans. Ils l’auraient emmené sur leur planète pour une réhabilitation physique et une instruction plus avancée. Nichols reste incertain du niveau de réalité de ces expériences, rêves, voyages spirituels ou déplacements physiques, mais leurs effets furent incontestables dans sa vie.
Après ces événements, il développa spontanément une compréhension poussée de l’électronique et des systèmes complexes, au grand étonnement de ses parents. Il continuait aussi d’entendre la voix intérieure qui l’orientait dans ses recherches et lui indiquait où trouver les réponses techniques qu’il cherchait. Sa santé s’améliora totalement : son cœur cessa de poser problème, et la paralysie cérébrale sembla disparaître.
Nichols soulignant que ces faits personnels : sa guérison soudaine, son savoir technique inexplicable et la guidance mentale qu’il reçut, doivent être gardés à l’esprit lorsqu’il rapporte les enseignements que les Pléiadiens lui auraient transmis sur leur civilisation et leur planète.
Voyage sur la planète Alderon
Preston Nichols affirme qu’à l’âge de quinze ans, il aurait été transporté à bord d’un vaisseau spatial jusqu’à une base installée sur l’une des lunes de Jupiter, probablement Europe. Là, il fut soumis à des examens et à divers tests médicaux. L’expérience ne comportait aucun souvenir négatif, au contraire : il décrit des conditions agréables, une alimentation abondante et raffinée, et des formes de divertissement très proches de celles des humains, comme les films ou les jeux vidéo. Ces détails renforcèrent son impression que les êtres rencontrés étaient d’apparence humaine et partageaient de nombreux goûts avec les Terriens.
Après cette première étape, il fut conduit à bord d’un autre vaisseau pour un voyage qui lui parut durer environ une journée terrestre. Il atterrit sur un monde splendide appelé Alderon, qu’il identifie comme l’une des planètes des Pléiades. Le paysage était luxuriant, verdoyant et exempt de pollution. Le ciel bleu, l’air pur et les eaux limpides donnaient au lieu un caractère paradisiaque. Les Pleiadiens lui expliquèrent qu’ils avaient jadis connu des problèmes écologiques, mais qu’ils les avaient résolus en restaurant l’équilibre de leur chaîne alimentaire et en rétablissant un écosystème entièrement sain. L’atmosphère d’Alderon contenait environ 28 à 30 % d’oxygène, soit un taux supérieur à celui de la Terre, et la distance entre leur planète et leur soleil était semblable à celle de la Terre au Soleil.
Nichols décrit un environnement où la nature domine l’urbanisme : forêts, prairies et jardins s’étendent entre des constructions harmonieuses qui semblent intégrées au paysage. La priorité absolue est donnée à l’oxygène, aux plantes et à l’équilibre de la biosphère. Les villes sont conçues pour s’effacer dans l’environnement, non pour le dominer. Les bâtiments, faits de matériaux lisses et continus, aux coins arrondis, se fondent dans le décor. Certains paraissent métalliques, d’autres minéraux, avec des fenêtres en demi-sphères intégrées à la surface. Nichols s’interroge sur leur méthode de construction : il ne voit ni jointures, ni vis, ni traces d’assemblage, comme si les structures avaient été moulées d’un seul bloc.
À l’intérieur, le style est sobre et uniforme : une couleur dominante, aucun motif complexe. Le mobilier, tout aussi minimaliste, semble coulé dans une seule matière, sans éléments visibles d’assemblage. Les maisons, majoritairement familiales, rappellent des pavillons terrestres mais parfaitement intégrés à la nature. L’art mural représente essentiellement des paysages locaux et des scènes agricoles. Certains foyers possèdent des fermes, mais la majorité des aliments sont synthétisés. Les habitations disposent aussi d’écrans de visualisation et de systèmes audio sans haut-parleurs apparents, peut-être connectés directement aux sens.
Il n’existe pas de routes ni de véhicules. Les déplacements se font à pied ou via un système de transport instantané accessible depuis chaque domicile, permettant de rejoindre n’importe quel point du monde.
Nichols fut conduit dans un centre d’éducation où, selon ce qu’on lui expliqua, on lui transmit l’équivalent de quatre doctorats terrestres : en physique, électronique, psychologie et spiritualité, grâce à un procédé accéléré. Parallèlement, il fut soigné dans un centre médical où ses troubles neurologiques et cardiaques furent définitivement guéris, ce qui expliqua sa soudaine amélioration de santé à son retour sur Terre.
Les Pléiadiens, décrit-il, ressemblent à des humains parfaits : grands, blonds, aux yeux bleus, exempts de maladies et au physique harmonieux. Leur longévité atteint environ mille de leurs années, soit environ sept cents années terrestres. Leur société, extrêmement stable, est organisée sans hiérarchie oppressive ni monnaie. Chaque individu choisit librement son activité selon ses aptitudes naturelles et sa volonté personnelle, et la communauté veille à ce que chacun soit pourvu de tout le nécessaire.
Pendant son séjour, Nichols fut logé chez le « Chef scientifique », son principal guide. Sa maison comportait un vaste laboratoire de trente mètres sur dix, d’une propreté exemplaire, rempli d’appareils électroniques très avancés, dont certains rappelaient des instruments terrestres. Ce chercheur collectionnait les technologies anciennes comme un loisir, certaines datant de plusieurs millénaires. Nichols constata une parenté frappante entre certains de leurs dispositifs et ceux du complexe de Montauk, notamment des fauteuils semblables à la « chaise de Montauk ».

Le scientifique et d’autres instructeurs lui enseignèrent la structure de leur système stellaire. La société pléiadienne s’étend sur six planètes principales : trois habitées par des êtres humains et trois peuplées d’entités énergétiques.
Parmi les mondes humains, Arian est le centre spirituel et philosophique, Alderon le centre scientifique et industriel, et Aldebaran le centre de défense. Aldebaran abrite un groupe militaire séparé mais fidèle à la protection de leur confédération. À priori Aldebaran serait le nom d’une planète, mais comme elle est identique à celle d’une étoile connue de nous : est-ce que c’est pour désigner un monde en orbite de cette étoile ?
Sur l’une des planètes énergétiques, siège un Haut Conseil de douze êtres de lumière, perçus comme des guides supérieurs. Chacun possède une autorité égale et agit uniquement pour le bien commun. Les Pléiadiens n’ont jamais contesté leurs décisions, car elles sont toujours jugées justes et harmonieuses.
Selon Nichols, cette civilisation a atteint un état d’unité et de paix grâce à une conscience collective qui relie tous les individus. Chaque Pléiadien perçoit en lui une « voix intérieure » issue de cette conscience globale. Elle ne donne pas d’ordres, ne contrôle pas, mais conseille et oriente. Il la compare à un compagnon spirituel. Les humains posséderaient le même lien, mais à l’état latent. Nichols affirme que lui-même est connecté à cette conscience, même s’il ne perçoit pas de voix claire comme les Pléiadiens.
Leur civilisation, dit-il, remonterait à plus de 100 000 ans terrestres et proviendrait d’un « ancien univers », antérieur au nôtre. Les Pléiadiens auraient franchi une barrière cosmique pour s’établir dans la région des « Sept Sœurs » (les Pléiades). Leur conception de l’Ancien Univers est vague, mais ils le décrivent comme le premier monde créé par le Créateur, à l’origine d’un cycle de réalités successives. Nichols compare cette idée à une réminiscence de mémoire génétique présente dans les rêves humains.
Ils reconnaissent l’existence d’un Créateur unique, dont chaque être vivant porte une parcelle, appelée « âme ». Ils affirment que le Christ fut une projection collective de la conscience terrestre, envoyée pour reconnecter l’humanité au Créateur et rappeler sa dimension spirituelle oubliée.
Nichols résume leurs intentions envers la Terre : d’une part, aider l’humanité, car son évolution représenterait une étape clé pour la galaxie ; d’autre part, étudier les civilisations terrestres à des fins anthropologiques, estimant que l’humanité rejoue aujourd’hui les étapes que leur propre culture a traversées il y a des centaines de millénaires.
Leur philosophie repose sur une directive absolue de non-intervention.
Chacun agit librement tant qu’il contribue à l’harmonie collective. Dans leur société, le crime n’existe pas ; le seul acte véritablement condamnable est d’interférer dans le libre arbitre d’autrui ou d’une autre civilisation. Ce principe est si fondamental que la peine encourue est la mort physique et spirituelle.
Ainsi, lorsqu’ils désirent aider un monde, ils le font indirectement en choisissant des représentants locaux partageant leurs valeurs. Ces ambassadeurs diffusent leurs idées pacifiques sans se révéler publiquement. Nichols se considère comme l’un de ces ambassadeurs parmi des milliers d’autres sur Terre, œuvrant discrètement pour propager des influences de paix et de non-violence.
Il reconnaît toutefois ne pas tout savoir de leurs intentions réelles et reste prudent. Il évoque les controverses sur d’éventuels liens entre les Pléiadiens et le Troisième Reich, affirmant que ses contacts lui ont expliqué qu’Hitler avait initialement reçu de la branche interventionniste (considérés comme trop proches de la façon de faire d'Orion) pour mission de préserver la lignée aryenne (semblable aux Pléiadiens) sans demande de nuire à celle de leurs anciens adversaires, les Draco, identifiés ici aux peuples sémitiques. Hitler aurait perverti cette mission en idéologie raciste et meurtrière.
Commentaire personnel :
Voir une information déjà donnée à ce sujet dans le contact avec Aldebaran où plus de détail sur les informations croisées avec Preston Nichols est donné.
Malgré ces zones d’ombre, Nichols continue à voir dans les Pléiadiens des enseignants bienveillants. Leur but principal serait d’éveiller la conscience humaine, d’encourager l’autonomie intellectuelle et spirituelle, et de résister à toute forme de manipulation mentale organisée. Il affirme avoir examiné son expérience de manière critique depuis l’âge de vingt-cinq ans et avoir reçu une confirmation tangible en 1991.
Cette année-là, il reçut un appel téléphonique lui donnant rendez-vous au centre commercial de Gardiner Manor à quatre heures de l’après-midi. En y entrant, il sentit soudain une rupture temporelle : les lumières s’éteignirent, le lieu se vida, et lorsqu’il consulta une horloge, il était trois heures du matin. Après avoir rencontré un garde, il suivit un couloir lumineux vers trois hommes qu’il identifia comme des Pléiadiens. Il écrivit une note indiquant « J’étais ici à 3:00 a.m. » et la cacha dans un pot de plante pour vérifier plus tard la réalité de l’événement.
Le lendemain, il revint sur place. Le même agent de sécurité se souvenait de sa présence nocturne, sans pouvoir expliquer pourquoi il ne l’avait pas expulsé. Nichols retrouva alors la note exactement où il l’avait laissée. Pour lui, cette preuve confirmait que l’expérience n’était ni un rêve ni une hallucination, mais un véritable contact.
Nichols conclut qu’après toutes ces expériences, il ne doute plus de la réalité physique et spirituelle de ses liens avec les Pléiadiens, qu’il décrit comme une civilisation pacifique, ancienne, unie et profondément bienveillante envers la Terre et l’humanité.
Les Pléiadiens à la rescousse
Au cours de l’été 1995, Preston Nichols poursuit l’analyse d’un mystérieux signal à 1080 MHz qu’il avait détecté dans le Maryland. Ses relevés indiquent que trois points géographiques, Montauk Point, Block Island et Gardiners Island, qui émettent simultanément sur cette fréquence, formant un triangle presque équilatéral au large de Long Island. Il baptise cette zone le « Triangle de Montauk », observant que plusieurs phénomènes inexpliqués s’y produisent, notamment la disparition de deux petits avions jamais retrouvés malgré des recherches intensives. Nichols estime qu’un parallèle avec le triangle des Bermudes est plausible, bien que son étude scientifique ne soit pas encore achevée.
Lors d’une visite à Montauk, il est convoqué par un colonel se présentant comme responsable du programme Star Wars local. L’officier, au courant de ses recherches, admet être préoccupé par l’idée que des transmissions de contrôle mental puissent être intégrées au système de défense spatiale. Il affirme que ce réseau est uniquement destiné à des usages militaires, destruction de météores ou d’engins ennemis, et nie toute utilisation psychotronique. Nichols reste prudent : selon lui, les projets gouvernementaux sont souvent à multiples niveaux, recouvrant des opérations secrètes sous des façades innocentes. Il prend l’exemple d’une organisation humanitaire servant de couverture à des collectes d’ADN, ou d’un complexe industriel abritant en réalité un accélérateur de particules. Le colonel, probablement un officier intermédiaire manipulé, l’encourage à poursuivre ses recherches, sans mesurer l’ampleur des activités qu’il défend.
Nichols continue donc à étudier la corrélation entre le signal à 1080 MHz, le réseau de particules et le triangle de Montauk. En septembre 1995, il est victime d’un grave accident de la route : son van est détruit, son crâne fracturé et sa cavité nasale menacée d’effondrement. Il n’a aucun souvenir de l’impact, seulement un « trou noir » avant le choc. Selon lui, ce type d’accident pourrait être provoqué par des agents du gouvernement. C'est une technique déjà observée dans le milieu patriotique américain où des militants sont éliminés par des « collisions accidentelles » orchestrées. Un ami repère d’ailleurs un véhicule gouvernemental stationné près du lieu de l’accident. Une voisine, témoin d’un homme restant longtemps dans une voiture, en avait informé la police, mais le rapport a mystérieusement disparu.
Craignant d’être victime d’un complot, Nichols s’inquiète de l’opération chirurgicale que lui recommande son médecin pour renforcer sa sinusite fracturée. Redoutant une possible implantation pendant l’intervention, il consulte plusieurs praticiens avant de céder à l’évidence médicale. Il avertit son chirurgien, qui lui paraît sincère et non lié à un programme secret. Par précaution, il installe une caméra dissimulée avec un émetteur, permettant à un ami de suivre l’opération à distance, et place des observateurs à l’extérieur de l’hôpital pour repérer tout véhicule suspect.
Sous anesthésie générale, Nichols vit une expérience qu’il décrit comme une rencontre semi-astrale. Deux êtres pléiadiens très grands, vêtus de tenues médicales, lui apparaissent dans un état proche du rêve. Ils lui disent qu’il est en sécurité, que son chirurgien, bien qu’inconscient de sa mission, est un agent pléiadien, et que la plaque de titane destinée à stabiliser sa cavité nasale le protégera aussi des émissions électromagnétiques de 1080 MHz. L’opération se déroule sans incident, et il quitte l’hôpital dès le lendemain.
Peu après, un policier qu’il connaît lui rend visite, apportant un pistolet à impulsion électrique sophistiqué comportant trois modes : « freeze », « stun » et « limp ». Nichols teste les deux premiers sur lui, observant que l’arme paralyse instantanément le corps sans douleur durable. L’homme lui explique que c’est ce type d’appareil qui a probablement provoqué son accident : un agent aurait attendu dans une voiture à un carrefour, tiré à distance pour le neutraliser quelques secondes, le faisant perdre le contrôle de son véhicule avant qu’une autre voiture ne le percute. Nichols remarque que son sang a éclaboussé sur sa carte précisément à l’emplacement du site de l’accélérateur de particules. Ce qu’il interprète comme un « avertissement de sang », signe symbolique d’un danger occulte. Il affirme qu’une dimension politique sensible de ses découvertes, susceptible de provoquer un scandale majeur sur Long Island, l’oblige à suspendre temporairement ses révélations.
Lors de sa convalescence, Nichols constate un phénomène inattendu : à chaque fois que le dispositif de Montauk fonctionne, il voit habituellement des étincelles scintiller à la périphérie de son champ visuel. Depuis la pose de la plaque, ces lumières ont disparu. Ses amis, eux, remarquent ce miroitement lorsqu’ils s’éloignent, mais plus du tout quand ils se trouvent à moins de six mètres de lui. Il en déduit que la plaque diffuse une zone de protection d’environ vingt pieds autour de son corps.
L’implant métallique, composé de titane, d’or, d’argent et d’un autre alliage non identifié, contient plusieurs perforations. Bien qu’il reste à l’étudier en détail, Nichols estime qu’il agit comme un bouclier électromagnétique naturel contre les faisceaux de particules. Il ajoute qu’il n’est probablement pas nécessaire de subir une telle chirurgie pour se prémunir contre ces émissions, et espère que son expérience servira de leçon. Il conclut que les Pléiadiens ont utilisé l’événement, un accident probablement provoqué, pour lui sauver la vie tout en lui conférant une protection permanente contre les transmissions liées au système Star Wars.
Transmission pléiadienne et projet Montauk
Provenant du livre « Montauk Revisited »
Le récit de la rencontre avec Helga Morrow éclaire certains liens entre le projet Montauk, les expériences de manipulation temporelle et l’implication d’intelligences pléiadiennes dans la récupération d’informations dissimulées. Helga, fille du scientifique allemand-américain Dr. Frederich A. Kueppers, découvre progressivement que son père, impliqué dans le Philadelphia Experiment et dans le projet Montauk, avait travaillé sur des programmes de haute technologie mêlant propulsion magnétique, communication psychique et interaction avec des extraterrestres.
Le Dr. Kueppers aurait notamment participé à des recherches sur la communication mentale avec les astronautes et même à l’entraînement d’extraterrestres à s’intégrer dans la société humaine, ce qui établit un lien direct avec les interventions pléiadiennes dans la sphère humaine. Ces êtres, souvent décrits dans les récits de Montauk comme appartenant à une fédération bienveillante, auraient collaboré indirectement à certaines phases de recherche avant d’intervenir pour corriger leurs dérives.
Lors d’une rencontre organisée en 1993 avec Preston Nichols, Duncan Cameron et Al Bielek, Helga évoque la disparition mystérieuse de son père et son passé dans les laboratoires secrets. Pendant cette réunion, Preston quitte brièvement la pièce, puis revient en déclarant qu’il vient de recevoir un « téléchargement depuis une base de données pléiadienne ». Il livre alors, sans préparation, une série d’informations précises sur la vie et les travaux du Dr. Kueppers. Helga reconnaît la véracité de plusieurs détails, confirmant ainsi la source inhabituelle de la transmission.
Cette scène constitue le principal élément pléiadien du récit : Preston Nichols aurait reçu par canalisation télépathique des données stockées dans un réseau d’information pléiadien, comme si les Pleiadiens avaient enregistré ou observé les événements liés à Montauk et aux scientifiques impliqués. Leur intervention semble motivée par la volonté de révéler la vérité sur les abus des programmes humains et de réhabiliter la mémoire de ceux qui y furent piégés.
Ce contact mental provoque aussi chez Preston une réactivation de souvenirs enfouis : il se rappelle avoir vu au centre de Montauk une porte portant les initiales « F.A.K. », confirmant la présence du père de Helga parmi les chercheurs. Selon ce qu’il reçoit du réseau pléiadien, le Dr. Kueppers aurait été un scientifique passionné mais victime du système, enfermé pour son opposition aux manipulations politiques.
Ainsi, dans ce chapitre, la connexion pléiadienne ne passe ni par une rencontre physique ni par un vaisseau, mais par la transmission directe d’informations à travers un champ de conscience non terrestre. Les Pleiadiens apparaissent comme les gardiens d’une mémoire supérieure, capables de restituer des données effacées du passé humain, notamment celles liées aux expériences temporelles et mentales du projet Montauk. Leur intervention, par l’intermédiaire de Preston Nichols, souligne leur rôle de médiateurs de la vérité et de restaurateurs de la ligne temporelle originelle.
Apparence des habitants de Alderon :
Les êtres rencontrés par Preston Nichols étaient décrits comme des humanoïdes de grande taille, mesurant entre deux mètres dix et deux mètres trente. Ils possédaient des cheveux blonds très clairs, souvent longs, des yeux bleus lumineux, une peau claire et des traits réguliers d’une grande beauté. Leur apparence évoquait celle d’êtres humains idéalisés, parfaitement proportionnés et exempts de toute imperfection physique ou maladie.
Ils portaient des vêtements simples, généralement d’une seule couleur, sans ornement ni symbole distinctif. Leur allure était sobre et élégante, reflétant une culture fondée sur la pureté, la santé et l’harmonie. Nichols souligna que la plupart d’entre eux se ressemblaient beaucoup, presque comme des « copies conformes » les uns des autres, bien que leurs personnalités soient individualisées.

Ces êtres lui apparurent toujours bienveillants et paisibles. Leur attitude était calme, mesurée et empreinte de compassion. Nichols les percevait comme profondément humains, mais d’un niveau d’évolution physique et spirituelle très supérieur, dotés d’une longévité exceptionnelle pouvant atteindre environ sept cents années terrestres.
Description de leur monde et de leur civilisation :
Description physique de leur monde
Le monde visité s’appelle Alderon : un globe très vert, à l’air pur et non pollué, au ciel bleu et aux paysages « à couper le souffle ». La teneur en oxygène de l’atmosphère est plus élevée que sur Terre (28–30 %). La faune et la flore sont proches des écosystèmes terrestres. Leur étoile éclaire avec une lumière comparable au Soleil, à une distance « autour de 93 millions de miles ». L’écosphère est la priorité absolue : l’urbanisme se glisse dans le jardin planétaire et non l’inverse.
Fraternité et bienveillance
Les Pléiadiens sont décrits comme humains d’allure et globalement bienveillants, privilégiant l’épanouissement de chacun dans ce pour quoi il est le mieux doué, sans contrainte ni médication de masse. Leur société est soutenue par un lien de conscience collective qui se manifeste, chez l’individu, comme une voix-conseil intérieure, accompagnante, non intrusive. Leur directive de non-ingérence est centrale : aider sans imposer, favoriser les cours « naturels » des civilisations.
Gouvernement et lois
La société est chapeautée par un Haut Conseil siégeant sur l’un des mondes non physiques : douze êtres de « pure énergie », chacun avec voix égale, réputés infaillibles dans leurs décisions. Au plan pratique, l’unique crime est l’ingérence dans une autre personne ou civilisation ; la sanction est présentée comme la mort, à la fois physique et spirituelle. Cette rigueur coexiste avec une vie quotidienne très libre, guidée par le sens des responsabilités.
Économie
Il n’existe pas d’argent. Chacun fait ce qu’il veut et sait faire dès lors que c’est utile au collectif ; en échange, tout est pourvu. La production (technologique, éducative, médicale) est intégrée au tissu social, sans marchés ni salaires. Les lois de rareté semblent neutralisées par la technologie (synthèse alimentaire, énergie propre) et l’organisation.
Repas
Les repas existent, agréables et abondants quand ils reçoivent (« manger comme un roi » lors du séjour initial). Une partie de l’alimentation est synthétisée, mais on trouve aussi des fermes. Les mets et l’hospitalité rappellent un art de vivre simple, nourrissant et convivial.
Histoire de l’évolution de leur civilisation
Ils se disent très anciens (plus de 100 000 ans d’histoire) et issus de « l’Ancien Univers » : une phase de création primordiale dont ils auraient franchi une barrière pour s’établir dans la région des Sept Sœurs. Leur mémoire de ces origines est floue, génétique ou onirique. Leur société s’est différenciée en six mondes : trois « physiques » (Arian philosophico-spirituel, Alderon technique/industriel, Aldebaran défense) et trois non-physiques (dont celui du Haut Conseil).
Les villes
Tours et flèches élancées, parois lisses aux angles arrondis, surfaces continues sans joints ni vis visibles ; fenêtres hémisphériques en « bulles » sur certaines façades. Les couleurs varient pour compléter le paysage. À l’intérieur : sobriété, tons unis, mobilier moderne au fonctionnement opaque pour un Terrien (mécanismes cachés). L’architecture est pensée pour s’effacer au profit du jardin.

Transport
Aucune rue au sens terrestre et aucun véhicule individuel. Les déplacements courants se font à pied. Les trajets longs via un système public de télé-transport accessible depuis chaque habitation (« port » domestique menant à tout point de la planète). Hors-monde, ils utilisent des vaisseaux interstellaires (Nichols est d’abord emmené sur Europa/Jupiter, puis vers Alderon).
Vie dans les logements
Habitat pavillonnaire dispersé et fondu dans le paysage. Intérieurs épurés, œuvres d’art inspirées des paysages naturels. Écrans-vues avec restitution sonore sans haut-parleurs perceptibles, possiblement stimulant directement les sens. Chaque maison intègre un port de transport. Salles de loisirs/laboratoires chez certains, notamment le Chef Scientifique, dont le laboratoire domestique (environ 10 mètres x 30 mètres) illustre la place de la recherche-passion dans la vie privée.
Vêtements
Unis, simples, fonctionnels, souvent d’une seule couleur. Phénotype fréquemment décrit : grands, blonds, yeux bleus, très bonne santé, longévité d’environ 700 ans terrestres (≈ 1 000 « années pléiadiennes »).
Agriculture
Bien que l’alimentation synthétisée soit importante, on observe des fermes et des paysages cultivés intégrés au mosaïque de prairies, forêts et zones de jungle. L’objectif affiché : priorité à l’oxygénation et à la résilience de l’écosphère (ils indiquent avoir corrigé des problèmes historiques de pollution arrivés jusque dans la chaîne alimentaire).
Production
La production scientifique et manufacturière est concentrée sur Alderon : centres d’État et laboratoires équipés d’électronique très avancée à interfaces minimales. Les instruments de R&D restent parfois analogues à ceux de la Terre, par pragmatisme expérimental (rien ne remplace « un humain à l’établi »). On note des collections d’« anciennes technologies » (sur des millénaires), conservées pour apprendre et comparer.
Croyance
Ils reconnaissent un Créateur et voient toute entité dotée d’une « part du Créateur » (âme) comme un « fils ». Le Christ est décrit comme une projection de la conscience collective terrestre, venue réactiver la connexion au Créateur. Leur philosophie se décline en non-ingérence, liberté de mission personnelle, éducation et étude anthropologique des mondes « jeunes ».
Espaces naturels
Le jardin planétaire prime : plaines d’herbe, forêts, zones de jungle préservées. L’implantation bâtie vise à accentuer la beauté des milieux plutôt qu’à la dominer. Le cycle oxygène-biosphère est explicitement piloté comme priorité écologique.
Repères sociopolitiques
Dans l’ensemble, les repères sociopolitiques pléiadiens se structurent autour d’une Confédération dite « Neverons », régie par une directive de non-ingérence stricte, et d’une société répartie en trois familles complémentaires. On a les Arians, philosophes et fondamentalement non violents. Puis les Alderon, bâtisseurs et opérateurs orientés vers l’action. Et les Aldebaran, branche tournée vers la défense, parfois dissidente et ponctuellement alignée sur des stratégies dites « orioniennes ».
Fidèles à leur éthique, les Pléiadiens privilégient l’influence douce via un réseau d’ambassadeurs. Ils « stockent », c’est-à-dire sélectionnent et accompagnent, des représentants natifs sur les planètes contactées. Tandis que des humains-ambassadeurs, dont Preston Nichols, relaient de manière pacifique leurs principes et leur cosmologie.
Extraits des divulgations, selon une sélection choisie :
Extrait 1 : vaisseaux spatiaux
Vaisseau observé dans une base de l’Air Force en rétro-ingénierie
Dans ses récits, Preston Nichols rapporte avoir été envoyé vers 1974-1975 dans une base souterraine relevant de l’US Air Force, afin d’examiner un engin classé comme « technologie étrangère ». Il s’agissait, selon la désignation officielle, d’un appareil appartenant au « Foreign Aircraft Technology Group », un département chargé d’étudier tout objet volant d’origine inconnue. Nichols, alors ingénieur spécialisé en électronique et travaillant pour un grand contractant de la défense, s’attendait à étudier un prototype soviétique ou chinois. À sa grande surprise, il découvrit un disque argenté reposant sur trois trains d’atterrissage, surmonté d’un dôme, dont la structure ne ressemblait à rien de connu sur Terre. L’engin avait été retrouvé intact et placé sous haute sécurité dans un hangar souterrain dépourvu de tout repère extérieur.

Lorsqu’il pénétra à l’intérieur du vaisseau, Nichols fut frappé par la disproportion entre l’espace visible à l’extérieur et l’immensité intérieure. Il avait la sensation que le volume se dilatait sur des centaines de mètres, comme si le vaisseau abritait une réalité propre. Les parois étaient lisses, sans jointure, et tout semblait coulé dans une seule matière uniforme. Il ne vit aucun panneau de contrôle, aucun levier, aucune interface mécanique classique. Les lumières s’allumaient et s’éteignaient à leur approche, et la structure réagissait de manière silencieuse, presque vivante. Au centre de la salle principale se trouvaient trois sièges inclinés, semblables à des fauteuils de repos, dans lesquels des opérateurs semblaient pouvoir s’allonger. Nichols apprit que ces sièges, traversés de fils et de bobines, captaient directement les ondes cérébrales du pilote et traduisaient ses pensées en commandes de navigation.

Dans une autre pièce, il observa un ensemble de cristaux massifs reliés entre eux par des fils d’or, d’argent et de platine. Selon lui, ce réseau formait le cœur énergétique et informatique du vaisseau, capable de générer des champs électromagnétiques complexes. Sous la section principale, il découvrit un vaste compartiment où se trouvaient d’autres amas de cristaux et une grande bobine hélicoïdale reliée à des antennes situées dans quatre sphères externes. Ce dispositif, d’après son analyse, créait le champ gravitationnel et la propulsion du vaisseau, fondés sur des principes d’interaction électromagnétique avancée.

Sur le moment, Nichols ne fit aucun lien entre cet engin et les Pléiades. Il savait seulement qu’il s’agissait d’une technologie non humaine et que le personnel militaire la considérait comme une récupération d’origine extraterrestre. Ce n’est que plusieurs années plus tard, après ses propres contacts personnels avec les Pléiadiens, qu’il fit le rapprochement. En se remémorant la disposition interne, les cristaux énergétiques, les systèmes commandés par la pensée et l’absence de structures mécaniques apparentes, il retrouva les mêmes principes qu’à bord des vaisseaux pléiadiens dans lesquels il disait avoir voyagé. À ses yeux, tout indiquait qu’il s’agissait du même type de technologie, ou du moins d’une conception fondée sur les mêmes lois physiques et spirituelles.
Ainsi, Preston Nichols ne déclara jamais formellement que les engins étudiés dans les bases de l’Air Force provenaient des Pléiades. Il les considérait avant tout comme des objets d’origine extraterrestre inconnue. Mais en comparant plus tard leurs caractéristiques à celles des appareils pléiadiens, il conclut que ces vaisseaux militaires étaient probablement issus du même savoir technologique ou inspirés de la même civilisation avancée.
Vaisseaux observés lors de ses contacts directs avec les Pléiadiens
Dans ses souvenirs de contact, Preston Nichols rapporte avoir été transporté à bord d’un vaisseau pléiadien alors qu’il était adolescent, vers l’âge de quinze ans. Ce premier trajet l’aurait conduit d’abord sur l’une des lunes de Jupiter (probablement Europa), où se trouvait une base d’observation, puis vers la planète Alderon, monde principal de la confédération pléiadienne.
Le vaisseau dans lequel il fut conduit avait la forme d’un disque lumineux. Il précisa que sa surface ne semblait pas métallique, mais qu’elle « émettait sa propre lumière, blanche et argentée, comme si la matière elle-même rayonnait une énergie douce et continue ». La coque émettait une lueur douce et constante, blanche à argentée, plutôt qu’un éclat métallique
Il insista sur le fait que l’appareil n’avait pas de rivets, de joints ou de structures apparentes : « tout semblait coulé d’un seul tenant, comme si le vaisseau était vivant ». La lumière était omniprésente à l’intérieur, mais sans aucune source identifiable : « il n’y avait ni ampoules, ni panneaux lumineux, mais tout l’espace baignait dans une clarté uniforme et apaisante ».

Il affirme que l’intérieur du vaisseau était calme, baigné d’une lumière diffuse sans source visible. L’atmosphère y était « parfaitement adaptée à la respiration humaine » et, selon lui, « d’une pureté absolue, légèrement plus dense que l’air terrestre, ce qui donnait la sensation d’être plus léger ». Il précisa aussi que « les sons y paraissaient amortis, comme absorbés par la matière des parois ».
Ce vaisseau, commandé directement par la pensée, était selon Nichols « un véhicule d’observation et de transport appartenant à une confédération interstellaire dont la base principale se trouvait autour de l’étoile Alderon.
Nichols évoque un vol silencieux et sans secousse, marqué par une transition progressive hors du champ terrestre, suivie d’un passage perçu comme instantané à travers un couloir de lumière. Il eut la sensation d’un déplacement non pas à travers l’espace classique, mais à travers un changement de densité ou de plan dimensionnel.
Les vaisseaux pléiadiens qu’il connut pendant ces voyages étaient de petite taille, conçus pour le transport d’équipage restreint. Ils semblaient dotés d’un système d’énergie cristalline et d’un contrôle mental identique à celui qu’il avait observé plus tard dans le vaisseau militaire. L’intérieur, d’aspect minimaliste et lumineux, comportait des sièges profilés et des parois d’un seul tenant, sans jointures visibles.
Lors de son séjour sur Alderon, il vit d’autres modèles, plus grands, utilisés pour le transport interplanétaire et les échanges entre les mondes du système pléiadien. Tous fonctionnaient selon le même principe de propulsion électromagnétique et de distorsion de la réalité, permettant un voyage interstellaire ou interdimensionnel quasi instantané, sans bruit ni émission de chaleur.
Nichols considéra ces appareils comme des instruments vivants, réagissant à la conscience de leurs occupants et intégrés à la structure énergétique du pilote, ce qui rendait le vol à la fois spirituel et technologique.
Extrait 2 : le pourquoi du contact avec la Terre
Il ajoute que les peuples amérindiens constituent une autre branche distincte. Bien que leurs légendes les relient aux Pléiades, Nichols pense que cette association résulte d’une influence culturelle indirecte, issue de l’époque de l’Atlantide, colonie pléiadienne ayant marqué leur histoire. Selon lui, les véritables ancêtres des Amérindiens seraient des êtres humanoïdes à la peau claire, aux cheveux et à la barbe rouges, originaires de la galaxie d’Andromède.
Le mélange des quatre grandes lignées – pléiadienne/aryenne, asiatique, mardukienne/noire et andromédienne – aurait ensuite donné naissance à des populations métissées que Nichols appelle la race brune, issue des croisements successifs entre les groupes précédents.
Il insiste sur le fait que cette classification n’a rien à voir avec une hiérarchie intellectuelle ou spirituelle entre les races humaines. Son propos, dit-il, est uniquement de retracer les influences génétiques extraterrestres ayant contribué à la diversité biologique et culturelle observée sur Terre.
Pour étayer ses affirmations, Nichols cite « The Keys of Enoch » de J.J. Hurtak, qui relie les origines humaines aux Elohim, entités associées aux constellations d’Orion et des Pléiades. Il considère cette interprétation comme juste, estimant que la plupart des interventions dans l’histoire terrestre proviennent de cette région du cosmos.
Ainsi, il conclut ce chapitre en présentant cette chronologie comme une esquisse générale du processus de colonisation planétaire. La suite de son récit examinera les motivations, les objectifs et les orientations propres à chacune de ces races extraterrestres impliquées dans l’évolution de l’humanité.
Colonisation de la Terre par les Pléiadiens
Selon Preston Nichols, les Pléiadiens auraient été à l’origine de la première intervention génétique sur Terre, transformant les singes primitifs en êtres humains et établissant ainsi la première colonie humaine sur la planète. Il affirme que la proximité biologique entre Pléiadiens et humains est si grande qu’un croisement entre les deux espèces est possible sans difficulté, et que l’ensemble de l’humanité actuelle découlerait de cette souche initiale. D’autres civilisations extraterrestres seraient ensuite intervenues pour modifier cette première lignée afin de la rapprocher de leur propre structure génétique.
Nichols décrit les grandes étapes de ces manipulations et la formation des différentes races humaines. D’après lui, la race caucasienne ou aryenne serait la première issue directe du modèle pléiadien, façonnée par leur conscience et leur héritage biologique. Il avance ensuite que les populations asiatiques résulteraient d’une modification génétique du modèle pléiadien opérée par les Gris, une race insectoïde. Cette intervention expliquerait, selon lui, certaines caractéristiques physiques et comportementales propres à ces peuples. Il précise que ces informations reposent sur des sources rapportées et ne doivent pas être interprétées comme discriminatoires.
Il évoque ensuite les habitants de la planète Marduk, mentionnés par Zecharia Sitchin dans « The Twelfth Planet ». Ceux-ci, présentés comme une race blanche, auraient génétiquement créé la race noire terrestre. Nichols affirme que la population noire originelle, les Nubians, serait native de la Terre, mais que leur structure génétique aurait été fusionnée avec celle des Pléiadiens. Il rappelle que le nom Marduk était aussi associé à Nemesis, ou « Bête Noire », dans les traditions anciennes.
Les reptiliens d’Orion seraient également intervenus, modifiant le modèle pléiadien pour donner naissance à la race sémitique. Nichols interprète cette manipulation comme une adaptation du schéma originel à des objectifs propres à ces entités. Il relie à cela l’idée de « race maîtresse » associée aux Aryens, en la présentant non comme une supériorité, mais comme la référence génétique première avant ces transformations.
Il ajoute que les Amérindiens constituent une lignée distincte. Bien que leurs mythes fassent remonter leurs origines aux Pléiades, Nichols estime qu’il s’agit d’une confusion culturelle héritée de l’influence atlante, puisque l’Atlantide était selon lui une colonie pléiadienne. Il avance que leurs véritables ancêtres seraient des êtres humanoïdes venus de la galaxie d’Andromède, caractérisés par des cheveux et une barbe rouges.
Le mélange progressif de ces quatre lignées (aryenne, orientale, noire et amérindienne) aurait donné naissance à la race brune, résultat d’une combinaison génétique multiple. Il insiste sur le fait que ces distinctions n’impliquent aucune hiérarchie d’intelligence ou de valeur entre les races humaines, mais visent seulement à illustrer comment différentes civilisations extraterrestres auraient contribué à la diversité biologique et culturelle terrestre.
Nichols cite « The Keys of Enoch » de J.J. Hurtak, qui relie l’origine de l’humanité aux Elohim, entités issues des constellations d’Orion et des Pléiades. Il considère cette hypothèse comme plausible, soulignant que la majorité des interventions sur Terre proviendrait de cette région du cosmos.
Il conclut en présentant cette synthèse comme une vue d’ensemble du processus de colonisation extraterrestre de la Terre et annonce que la suite de son exposé portera sur les motivations et les orientations des différentes races impliquées dans cette histoire.
Confédérations extraterrestres qui interagissent avec la Terre
Selon Preston Nichols, la galaxie serait structurée autour de trois grandes alliances ou confédérations extraterrestres, chacune possédant sa propre philosophie et son influence sur la Terre. Les noms de ces confédérations proviennent en partie de transmissions canalisées par Duncan Cameron. Les trois groupes mentionnés sont les Neverons, la Confédération Galactique et les Leverons.
Les Neverons désignent en réalité la Confédération pléiadienne déjà évoquée auparavant. Ils sont considérés comme les êtres bienveillants de ce système, souvent perçus comme « les bons ». Leur principe fondamental est la non-interférence absolue. Cette directive interdit toute intervention directe dans les affaires d’autres civilisations, même si des vies pléiadiennes sont en danger. Nichols explique qu’en cas de perte d’un vaisseau sur Terre, les Pléiadiens se contenteraient d’envoyer des agents discrets pour détruire ou récupérer le vaisseau, plutôt que d’employer la force ou de risquer la destruction d’une ville.
La Confédération Galactique, quant à elle, serait un regroupement de nombreuses civilisations ayant formé une alliance comparable à une version interstellaire des Nations Unies. Ce groupe, décrit comme neutre, adhère également à une politique de non-interférence, mais de manière moins stricte que celle des Pléiadiens. Leur code moral autorise certaines interventions limitées dans le but de rétablir un équilibre ou de protéger leurs propres membres en danger. Nichols souligne que ce compromis rend la Confédération Galactique plus souple et pragmatique dans ses actions que les Neverons.
Le troisième groupe, appelé les Leverons, représente la polarité négative de cet équilibre. Le nom proviendrait d’une forme ancienne liée au mot « léviathan », qui signifie serpent. Les Leverons seraient un ensemble d’espèces dominées par les reptiliens et les Gris, dirigées depuis la planète Draco, située dans la constellation du même nom, au sein d’Orion. Cette alliance, également appelée l’Alliance d’Orion ou Empire draconien, serait animée par des objectifs expansionnistes et autoritaires. Elle fonctionnerait selon la philosophie du pouvoir, imposant l’idée que la fin justifie les moyens. Ces entités chercheraient à étendre leur influence à travers la domination d’autres mondes, dont la Terre, qu’elles voudraient intégrer à leur empire.
Nichols mentionne également qu’une faction de Pléiadiens rebelles serait liée à cette alliance orionienne. Ces dissidents, bien que d’origine pléiadienne, se distinguent des Neverons par leur tempérament combatif et protecteur. Il distingue trois branches principales chez les Pléiadiens : les Arians, philosophes et penseurs, considérés comme les plus pacifiques ; les Alderons, plus pragmatiques et actifs, situés entre les deux extrêmes ; et enfin les Aldebarans, qualifiés de « Pléiadiens négatifs », davantage orientés vers l’action militaire et associés à des comportements interventionnistes. Ces derniers auraient, selon Nichols, été impliqués dans les contacts avec Hitler durant la Seconde Guerre mondiale, en croyant protéger la lignée aryenne qu’ils considéraient comme proche de leur origine. Leur interprétation de la mission aurait cependant dégénéré en idéologie extrême et violente.
Commentaire personnel :
Il faut aller consulter ici la section sur les contacts de Maria Orsic avec Aldebaran (donc avec des Pléiadiens négatifs d'Aldebaran) qui ont travaillé en donnant des informations technologiques spatiales (ce que ne font jamais les civilisations positives) ayant permis de réaliser des "soucpes volantes nazis".
Nichols précise qu’à l’intérieur même de l’Alliance draconienne, il existerait plusieurs sous-groupes distincts, dont certains membres paraissent presque humains malgré leur appartenance à une race reptilienne ou insectoïde. Il y aurait au moins trois variantes de Draconiens aux morphologies et aux comportements différents, ce qui témoigne d’une certaine diversité même au sein des factions dites négatives.
Ainsi, il décrit un univers traversé par des tensions permanentes. D’un côté, la Confédération pléiadienne prône la non-ingérence absolue ; au centre, la Confédération Galactique applique une politique de neutralité active avec intervention limitée ; et à l’opposé, les Leverons ou Orions poursuivent un agenda de domination totale. Nichols présente cette lutte comme un reflet cosmique des forces antagonistes de bien et de mal, dont les effets se manifestent jusque dans la vie quotidienne sur Terre. Selon lui, cette guerre d’influence subtile imprègne tous les aspects de la société humaine : la politique, l’économie, la culture, la science, les médias, la consommation, voire la pensée collective.
Nichols dit que la vie sur Terre n’évolue pas librement. Selon lui, des influences extérieures continuent de manipuler l’humanité pour servir des intérêts galactiques divergents. Certaines factions cherchent à contrôler la planète, tandis que d’autres défendent son indépendance. Nichols décrit la méthode la plus insidieuse utilisée pour soumettre la population terrestre : le phénomène des enlèvements extraterrestres et des implants destinés à influencer ou dominer la conscience humaine.
Le Projet KOALA : contrepoids lumineux à Montauk
Peter Moon parle des liens entre Preston Nichols, les Pléiadiens et le mystérieux « Projet KOALA ». Il rappelle que, malgré le rôle ambigu des Pléiadiens dans les expériences de Preston, leur influence ne fut pas négative. Nichols, décrit comme un véritable « récepteur humain », pouvait capter différentes fréquences de la conscience cosmique, y compris des transmissions du passé. Cette sensibilité extrême l’aurait rendu vulnérable aux programmes du complexe de Montauk, mais elle aurait également permis à d’autres forces, d’ordre spirituel ou pléiadien, d’intervenir pour révéler la vérité et rétablir la conscience du temps originel.
Moon relie cette mission à sa propre trajectoire. En 1982, après avoir formulé une intention profonde de « dissoudre les aspects mécaniques et douloureux de la réalité physique », il connut un épisode de temps manquant et se retrouva mystérieusement conduit vers Long Island. Sept ans plus tard, il y rencontra Preston Nichols. Cet événement, qu’il perçoit comme une conséquence directe de sa décision spirituelle, aurait marqué le début de son implication dans une dynamique dépassant le plan terrestre.
Des explications lui seraient parvenues plus tard, notamment lors d’une cérémonie avec la chamane Sharon Jackson, gardienne de la tribu montaukienne. Celle-ci lui aurait révélé qu’il avait accédé à un domaine spirituel interdit à Nichols et Duncan Cameron, mais qu’il avait été bloqué en revenant dans le monde physique. D’autres médiums lui confirmèrent ce message sans qu’il les interroge, l’amenant à penser qu’il avait été « téléporté » après sa décision de purification, sans savoir dans quelle dimension il avait transité.
La compréhension la plus claire vint d’une amie, Maia, qui canalise une entité appelée Tahuti. Elle lui parla du « Project KOALA », une initiative située dans le futur, vers l’an 8885, fondée par un réseau spirituel nommé l’Inner Light Network. Ce réseau regrouperait, selon elle, des êtres humains œuvrant à l’ordre divin sur Terre, sous la guidance d’intelligences ultraterrestres. Le projet aurait deux axes : la restauration de la santé et de l’écologie humaines dans notre époque, et la création d’un « code germinatif » destiné à perturber la matrice temporelle contrôlée par les extraterrestres et la « One World League » (ou OWL), instigateurs de manipulations comme celles du programme Montauk. Ce code, conçu comme un virus spirituel, aurait pour but de libérer le flux métatronique, la lumière primordiale complète de la création, et de reconnecter notre réalité à la spirale originelle de la matière.
KOALA serait donc une organisation parallèle et protectrice, agissant comme un contrepoids à Montauk. Son centre de contrôle existerait dans le futur, mais une interface matérielle, sous forme d’un complexe souterrain près de Golden, au Colorado, opérerait dans notre temps. D’autres points d’équilibre existeraient sur Terre, comme l’île de Pâques ou la zone secrète « Ram-Set » située sous le Pentagone. Ces lieux serviraient de nœuds énergétiques pour stabiliser la trame de la conscience planétaire. Les maîtres du projet Montauk connaîtraient l’existence de KOALA mais seraient incapables d’intervenir, cette organisation opérant depuis une dimension inaccessible, celle du futur monde appelé la « Nouvelle Terre ».
Selon Tahuti, lors de la « Grande Transition », aussi appelée effet du centième singe ou retour à la ligne temporelle d’origine, seule une infime partie de Montauk serait transférée dans cette réalité supérieure. Pour Peter Moon, cela explique pourquoi, à la suite de son vœu intérieur de libération, il aurait été « recruté » par KOALA sans qu’on le lui demande. Son épisode de temps manquant marquerait ce passage. Toutes les expériences de sa vie ultérieure, y compris sa rencontre avec Nichols, son mariage, et la collaboration fructueuse avec son épouse, artiste et illustratrice, lui apparaissent rétrospectivement comme des alignements providentiels orchestrés par cette force positive.
Moon voit dans cette succession d’événements la preuve qu’un principe de rééquilibrage existe : une réponse spirituelle à l’exploitation du temps par Montauk et les forces régressives. Si un tel contrepoids n’existait pas, estime-t-il, l’humanité aurait déjà été engloutie par les distorsions du continuum artificiel.
Pour illustrer la signification du nom « KOALA », il rapporte une légende aborigène dans laquelle le koala, d’abord rejeté par sa tribu, s’élève vers le ciel en emportant l’eau vitale et devient invincible malgré les attaques des hommes. L’animal finit par vivre haut dans les arbres, nourri uniquement des feuilles d’eucalyptus, symbole d’indépendance et d’un état de conscience supérieur. Cette histoire, explique Moon, exprime la victoire de la vie spirituelle sur les forces inférieures : le koala, opiacé et paisible, incarne un état d’éveil détaché des besoins matériels.
Pour lui, le choix du nom « KOALA » pour un projet destiné à restaurer la conscience originelle n’est donc pas anodin. Il représente l’immortalité, la résilience et la reliance à la source de lumière. Moon souligne enfin la cohérence entre cette symbolique et les enseignements pléiadiens évoqués par Nichols dans Montauk Revisited, où la conscience christique inversait déjà les effets du programme de Montauk. Il conclut que, tant qu’aucune meilleure explication n’apparaît, il faut considérer « KOALA » comme le nom codé des forces œuvrant à ramener l’humanité vers la ligne temporelle du Créateur, un mouvement de retour à la maison initié, une fois encore, par les Pléiadiens.
Remarque :
Peter Moon cite ne lettre de son amie Maia, canal de l’entité Thoth, qui liait les mythes à des réalités énergétiques contemporaines. Elle racontait que son école spirituelle avait travaillé en Grèce et en Turquie, précisément sur les terres de Troie, pour « rouvrir d’anciens portails rhombiques ». Thoth lui aurait expliqué que le « cheval d’or » était un marqueur temporel placé dans une « zone morte », à l’intersection de plusieurs ondes temporelles. Ces marqueurs, créés par des voyageurs venus de l’« Âge du Capricorne », contiendraient des champs énergétiques permettant à ceux dont la conscience est alignée sur la spirale métatronique, la lumière intégrale de la création, d’y pénétrer. Ces dispositifs agiraient comme des pièces d’un jeu cosmique, chaque cheval portant les codes et mouvements du continuum universel.
Pour Moon, le cheval de Troie était donc bien plus qu’un stratagème militaire : c’était un artefact lié à la manipulation du temps et à la guerre entre lignes temporelles. La destruction de Troie symboliserait la fin d’un âge de sagesse pléiadienne sur Terre, le basculement vers la chronologie falsifiée et la poursuite de la « fausse ligne du temps ». Derrière le drame mythique, il entrevoit ainsi un conflit cosmique : celui du savoir sacré arraché à la déesse et des portails du temps scellés jusqu’à leur réouverture par les consciences alignées sur la lumière originelle.
Extrait 3 : autres informations de Preston Nichols
Implants physiques et psychiques
Preston Nichols explique que les implants, tout comme les enlèvements, existent sous deux formes : physiques et astrales. Les implants astraux sont décrits comme des unités de pensée insérées dans le champ aurique d’une personne, capables d’émettre des influences ou de recueillir des données de manière autonome. Ces dispositifs immatériels agiraient sur le plan énergétique et mental. Les implants physiques, eux, se divisent en deux catégories principales : les implants inertes et les implants biologiques. Les premiers sont des éléments matériels, tels que des morceaux de métal, de cristal ou de puce de silicium. Ils sont insérés dans le corps pour transmettre des signaux directement au système nerveux. Les seconds, plus sophistiqués, seraient cultivés à partir du propre ADN du sujet. Les ravisseurs prélèveraient un échantillon de cellules, le modifieraient génétiquement, puis feraient croître un transcepteur vivant à partir de cette matière biologique, capable de fonctionner comme un émetteur-récepteur bionique.
Nichols affirme qu’un type d’implant masculin est placé juste au-dessus des gonades et qu’il se déclenche uniquement lors de l’excitation sexuelle, tandis qu’un autre modèle serait relié au centre optique du cerveau et s’activerait en réponse à la stimulation visuelle. Il raconte un cas survenu à Brooklyn, où il aurait détecté chez un homme un signal radio émis depuis son abdomen, correspondant exactement à la fréquence de la chaîne télévisée locale Channel 25. En convertissant le signal sur un moniteur, il aurait constaté que l’implant retransmettait cette chaîne, fonctionnant comme un relais simplex, capable de recevoir et d’émettre simultanément. Selon Nichols, les concepteurs du dispositif auraient utilisé la fréquence télévisuelle comme camouflage pour dissimuler leurs transmissions, en exploitant un aspect peu utilisé du signal vidéo.
L’homme fut ensuite soumis à des examens médicaux : aucune trace métallique n’apparut sur les radiographies, mais une IRM révéla un amas de tissu graisseux traversé par des vaisseaux sanguins, servant de conducteur biologique. L’implant, vivant et alimenté par le flux sanguin, aurait ainsi fonctionné comme une antenne organique.
Nichols évoque également un autre type d’implant beaucoup plus complexe, structuré comme un ordinateur miniature. Selon lui, un petit processeur se situerait sous le sternum, jouant le rôle d’unité centrale (CPU) contenant la mémoire et les programmes. À la base des côtes, un implant biologique agirait comme transcepteur, relié à la puce centrale par un fil extrêmement fin, lui-même connecté à une autre puce à la base du cou. Ce dernier module servirait d’interface neuronale, permettant une liaison directe avec la colonne vertébrale et le cerveau. L’ensemble serait organisé autour de cinq électrodes par nerf : certaines détecteraient les impulsions, d’autres les annuleraient ou les remplaceraient par de nouvelles, assurant un contrôle total du réseau neuronal et des fonctions motrices.
Nichols rapporte avoir découvert par hasard un implant de ce type qui dysfonctionnait. Grâce à des codes mémorisés lors de son passage au projet Montauk, il aurait réussi à interagir avec le système, à le désactiver et même à accéder à des fragments de mémoire. Il se souvint alors avoir participé à la conception de ce type d’implants dans le cadre du programme Montauk, ce qui expliquerait la compatibilité entre les codes et son empreinte énergétique. Il reconnaît avec regret avoir été à la fois programmeur et testeur de sujets dans ce projet secret, tout en admettant avoir lui-même été programmé. Depuis, il s’efforce de déprogrammer d’autres victimes tout en se surveillant étroitement, conscient du risque d’être inconsciemment manipulé.
Outre ces dispositifs biologiques complexes, il décrit d’autres implants plus simples, souvent dissimulés derrière l’oreille gauche et ressemblant à des éclats de cristal ou de pierre noire. Ces transpondeurs, attribués à des technologies extraterrestres, serviraient à localiser les abductés grâce à un signal émis et renvoyé vers une base d’origine. Certains de ces implants sont parfois expulsés naturellement par le corps, apparaissant sous forme de cristaux à la surface de la peau ou même à des endroits sensibles comme le front ou les organes génitaux.
Nichols pense que les gouvernements se sont inspirés des modèles extraterrestres, notamment des implants génitaux, pour développer leurs propres versions, adaptées à la surveillance humaine. La position de ces dispositifs varierait selon les zones du corps à contrôler, notamment les nerfs ou les fonctions sensorielles visées. Ces implants auraient souvent une forme de goutte d’eau, composés de matériaux cristallins ou organiques, parfois munis de filaments reliés aux ganglions nerveux.
Il dit que les implants, qu’ils soient d’origine humaine ou extraterrestre, représentent une technologie d’une complexité remarquable, mêlant électronique, biologie et contrôle neurologique. Leur détection et leur neutralisation exigent une compréhension à la fois technique, énergétique et psychique des mécanismes qui les relient au corps et à la conscience.
Détection et élimination des implants
Preston Nichols explique que les implants, qu’ils soient physiques ou astraux, peuvent être détectés par différentes méthodes, allant des techniques médicales modernes aux approches psychiques. Les technologies d’imagerie comme la résonance magnétique peuvent révéler certains implants, tout comme divers instruments électroniques capables de capter leurs émissions. Cependant, selon lui, la méthode la plus accessible reste la détection aurique. Tout corps étranger crée une perturbation dans le champ électromagnétique humain, appelé aura, considéré comme l’interface entre le corps et l’esprit. En approchant les mains du corps sans le toucher, un praticien sensible peut percevoir ces turbulences énergétiques et localiser la zone affectée. Cette technique, qu’il juge simple mais exigeant de la pratique, permettrait de repérer les implants sans recours à un équipement médical.
Une fois l’implant détecté, Nichols précise que la personne doit être préparée à une montée de l’énergie vitale appelée kundalini, concept issu de la tradition hindoue. Il décrit cette énergie comme une force primordiale, serpentine, qui naît dans les gonades et remonte le long de la colonne vertébrale à travers sept centres énergétiques ou chakras. Chaque chakra représente un stade d’évolution de la conscience : le premier est lié à la survie, le second à la sexualité et à la reproduction, le troisième à la puissance et à la volonté (plexus solaire). Ces trois premiers constituent les chakras inférieurs, indispensables à la vitalité physique. Le quatrième, le chakra du cœur, relie les niveaux inférieurs aux supérieurs et régule les émotions. Le cinquième, situé à la gorge, concerne l’expression verbale authentique. Le sixième, appelé troisième œil, correspond à la glande pituitaire et au développement des facultés psychiques et de la vision intérieure. Enfin, le septième, ou chakra couronne, au niveau de la glande pinéale, ouvre la conscience à l’universalité.
Nichols mentionne également un huitième centre, intermédiaire entre le second et le troisième chakras, qu’il associe à une forme d’intelligence primitive et universelle présente chez les espèces inférieures avant l’apparition de la pensée rationnelle. Selon lui, cette zone est souvent exploitée par les entités ou les manipulateurs pour y placer des programmations, car elle régit des instincts fondamentaux.
Nichols compare le flux de la kundalini à un courant électrique pouvant être branché sur des forces extérieures. Ainsi, le corps humain peut servir de canal à des influences venues d’autres dimensions, de la même manière qu’un récepteur capte un signal radio. Chez la plupart des gens, ce flux est bloqué, empêchant l’accès à un niveau de conscience plus élevé. Nichols reprend la notion d’« organe réducteur » d’Aldous Huxley, selon laquelle le cerveau filtre la majorité des perceptions pour éviter la surcharge sensorielle. Il suggère que ce filtre pourrait avoir été altéré par des interventions extérieures destinées à limiter la conscience humaine. Les implants et les techniques de contrôle mental participeraient, selon lui, à ce blocage, empêchant l’éveil spirituel.
La stimulation de la kundalini, notamment par l’activation du centre sexuel, permettrait de briser ces blocages énergétiques. Au fur et à mesure que l’énergie serpentine remonte, chaque chakra s’ouvre, libérant les tensions accumulées sur plusieurs vies et permettant la connexion avec la conscience universelle. Nichols souligne toutefois que cette pratique, issue d’un mélange de mysticisme hindou, de psychologie moderne et de physique quantique, est puissante et potentiellement déstabilisante. Une montée trop rapide de la kundalini peut provoquer des crises psychiques, car elle confronte l’individu à des niveaux d’énergie inconnus.
Il estime néanmoins que cette libération est essentielle à l’évolution spirituelle. Selon lui, le blocage de la kundalini serait une cause majeure de l’état de conscience restreint de l’humanité, entretenu par des manipulations externes. L’éveil de cette énergie permettrait à chacun de reconquérir son autonomie mentale et d’accéder à des dimensions supérieures de perception. Nichols conclut que la majorité des implants sont de nature énergétique ou psychique et peuvent être neutralisés par des praticiens compétents, tandis que les implants physiques nécessitent une prise en charge spécifique. Toute ce qu’il dit n’a selon lui qu’une valeur de guide général, les véritables méthodes de dégagement demandant un savoir approfondi et de longues années de pratique.
Réseau Star Wars, ondes et génétique
Preston Nichols raconte une enquête menée à l’été 1995 auprès de « Susan DaRe », habitant en face de Fort Meade (Maryland). Adoptée par une famille allemande liée, selon elle, aux réseaux de l’après-Reich et à la communauté du renseignement (CIA/NSA), Susan dit avoir été initiée « magiquement », implantée, puis ciblée par des transmissions de contrôle mental et de maladie. Elle pense être visée à cause d’un héritage industriel (14 millions $) que sa famille et des acteurs de l’intelligence voudraient détourner.
Nichols réalise un relevé électromagnétique en route pour une foire radioamateur en Virginie. En voiture, il capte un signal à 1080 MHz qu’il traque depuis un mois : il apparaît quand il se rapproche de la voiture de Susan et disparaît quand elle s’éloigne, indice que le faisceau est dirigé vers elle (et non émis par son véhicule). Arrivés chez elle, il mesure : (1) un 1080 MHz stable, (2) un 435 MHz typique de Montauk (habituellement « morcelé » à Montauk, ici reconstitué), (3) un fort ELF (50–400 kHz). Il filme les écrans. Il observe que la présence et les déplacements de Susan modulent subtilement les signatures : le 435 MHz varie selon où elle se tient ; le 1080 MHz s’atténue si elle reste immobile dans la voiture et revient quand elle bouge.
Susan lui montre un rapport du Dr Peter Moscow (U.S. Psychotronics Association) concluant à une exposition à des champs ELF/VLF aberrants et à des lésions cérébrales. Une IRM révèle une disparition de la myéline, amorce de sclérose en plaques (SEP), que Susan attribue aux transmissions. Nichols juge l’hypothèse plausible et explicite sa théorie : le réseau 435–1080 MHz.
Selon lui, 24 à 36 sites planétaires tirent des faisceaux de particules (idéalement azote) vers une constellation de « popcorn satellites » (programme SDI – Star Wars). Les satellites combinent/démultiplient les faisceaux et les redirigent n’importe où sur Terre, ou les défocalisent en ondes particulaires. Énigme : à 1080 MHz, même avec des antennes très directives, la puissance reçue est uniforme quelle que soit la portion de ciel visée, ce qui suggère une conversion atmosphérique plutôt qu’une source ponctuelle. Nichols rapproche cela d’HAARP : des ondes HF ioniseraient l’azote (N₂) de la haute atmosphère, qui agirait alors comme « traducteur » non linéaire convertissant un faisceau de 435 MHz (fenêtre de la conscience humaine) en émission autour de 1080–1124 MHz. Il précise avoir vérifié qu’il ne capte pas le GPS (1236 MHz).
Un test psychique de Duncan Cameron estime que 1080 MHz ≈ 2,7 × 435 MHz ; diviser 1080 par 2,7 donne ~400 MHz, bas de la fenêtre 400–450 MHz. Un physicien (« Dan ») lui signale que 2,77 est le rapport masse-air/masse-azote de l’atmosphère, ce qui renforce l’hypothèse d’un rôle de l’azote et d’un faisceau particulaire azote/anti-azote. Dan ajoute qu’à l’annihilation, du xénon est produit. Des tests radioniques sur des personnes ciblées à 1080 MHz indiqueraient effectivement des niveaux élevés d’azote et de xénon ; Susan présente des symptômes proches de la narcose à l’azote (« les bends »).
Nichols étend alors le cadre : si le 435 MHz est la « porte » de la conscience et si le 1080–1124 MHz (≈ 2,7×) baigne une cible, ce faisceau pourrait interagir avec la biologie. Un généticien consulté lui rappelle que la sous-harmonique de la double hélice ADN serait autour de 1100 MHz ; à cette fréquence, on « ouvre/ferme » la molécule, et le motif d’annihilation des particules imposerait un schéma de réassemblage (reprogrammation). Un effet de lampe au xénon est cité dans un ouvrage canadien comme porteur d’un motif régénératif ; ici, le xénon issu du faisceau jouerait un rôle cofacteur. Al Bielek rapporte le témoignage d’un scientifique ayant lu la « blueprint » du réseau : pointé sur toute la population, il détruirait génétiquement l’humanité. Nichols lie cela aux démyélinisations type SEP et avance que l’incidence de la SEP aurait été multipliée par 100 en cinq ans (selon lui). Il note que si la vie est carbone-basée, les protéines (donc l’azote) sont centrales, ce qui rend cohérent l’usage de N₂.
Il en tire des implications : au-delà de la guerre biologique, il s’agirait de « programmation génétique » à large échelle, capable de brouiller/réordonner l’ADN humain. Dans un registre « New Age », certains parlent d’une transmutation dimensionnelle opérée par des entités lumineuses ; Nichols propose une version « terre-à-terre » où un complexe militaro-industriel utiliserait un réseau Star Wars/HAARP pour inhiber une éventuelle « migration dimensionnelle » et préserver le pouvoir en place. D’autres scénarios sont envisagés : aide bienveillante (peu crédible à ses yeux), expérimentation cosmique où « mauvais » et « bons » laissent se déployer le processus avant intervention tardive. Il mentionne Plum Island (au nord-est de Long Island) : autrefois bactériologie/bioguerre, aujourd’hui, selon lui, recherche génétique humaine avec accélérateurs de particules (visibles du ciel).
Pour Nichols, les mesures chez Susan—435 MHz modulé par sa présence, 1080 MHz corrélé au mouvement, ELF puissant, lésion de myéline—collent avec un maillage global capable de ciblage individuel (conscience : 400–450 MHz ; ADN : ~1000–1200 MHz). Il conclut que l’objectif n’est pas d’effrayer, mais d’informer sur des capacités potentiellement déployées contre les populations ; connaître ces mécanismes constituerait la première ligne de défense.
L’arme secrète : la connaissance et la vérité partagée
Preston Nichols affirme que l’humanité entre dans une période où les phénomènes liés aux ovnis et à leurs dimensions associées prennent une ampleur sans précédent. Jamais auparavant les soucoupes volantes n’avaient suscité autant d’attention et de débats publics. Il y voit un signe des temps : l’éveil spirituel collectif annoncé depuis longtemps, correspondant à une libération de l’information qui afflue désormais de multiples sources. Selon lui, cette révélation progressive offre à l’humanité une chance unique de sortir de son « sommeil millénaire ».
Cependant, il constate que les hommes demeurent divisés et enfermés dans des systèmes d’opposition. Pour Nichols, la clé de l’avenir réside dans la compréhension de la nature électromagnétique de l’être humain. En apprenant à reconnaître et à harmoniser cette dimension énergétique, l’homme pourra mieux communiquer avec ses semblables et interagir avec la technologie. L’évolution spirituelle et scientifique passera par une unification entre conscience et machines, conduisant à une technologie respectueuse de la vie, capable de régénérer la Terre et d’éliminer la pollution. Il présente ainsi ses recherches comme un effort vers une civilisation réconciliée avec ses propres forces vitales.
Mais il souligne aussi que cette transformation se heurte encore à une conspiration d’échelles multiples. Les groupes qui tirent profit du secret et du contrôle de l’information ne céderont pas facilement leur pouvoir. Chaque fois qu’un ovni s’écrase ou atterrit, des équipes spéciales interviennent immédiatement pour effacer toute trace : prélèvements magnétiques, détection radioactive, remplacement du sol contaminé, replantation d’arbres, nettoyage total du site. Une seconde équipe vient ensuite retirer tout résidu suspect. Nichols affirme qu’un témoin arrivant après coup ne trouverait rien, pas même un indice qu’un incident a eu lieu. De même, lorsqu’un cercle de culture apparaît aux États-Unis, des unités militaires viendraient neutraliser le champ et faire taire toute diffusion d’information.
Selon lui, cette dissimulation systématique a une raison précise : la connaissance des autres dimensions est un savoir interdit. Les puissances terrestres cherchent à conserver le monopole de la technologie et de la maîtrise des réalités supérieures, empêchant l’humanité d’accéder à une évolution spirituelle libératrice. Si des civilisations extérieures tentaient d’aider l’homme à se hisser vers une conscience plus élevée, les structures de pouvoir en place feraient tout pour les contrer.
Face à cet état de fait, Nichols estime que la seule arme dont dispose la population est la compréhension. Elle doit naître de la communication, du partage d’informations et de la recherche collective. Chacun, selon lui, doit écrire à ses représentants politiques et demander la levée des restrictions qui musèlent les militaires, les scientifiques et les personnels liés à la défense. Beaucoup de ces individus, assermentés au secret, ne peuvent rien révéler même lorsqu’il ne s’agit pas de questions de sécurité nationale.
Nichols appelle à une nouvelle législation, fondée sur la Constitution américaine, qui permettrait de libérer la parole et de contrecarrer la subversion de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act), devenue pratiquement inutilisable en raison de son absence d’indexation par sujet. Il affirme que le peuple n’a jamais eu réellement son mot à dire sur ce qui constitue ou non un secret légitime. Pour lui, seule une mobilisation populaire, alliée à une diffusion constante de la connaissance, peut percer le voile de silence qui entoure la question extraterrestre.
Il conclut en disant que la compréhension, la communication et la persévérance collective constituent la véritable arme secrète de l’humanité. Le combat sera long et difficile, mais il reste convaincu que les mouvements issus du peuple, même fragiles et dispersés, possèdent le pouvoir de faire éclater la vérité et de libérer enfin la conscience humaine.
Retour vers la ligne du Créateur
Selon Preston Nichols la véritable arme de l’humanité est la compréhension. Il estime que la recherche et le partage d’informations ne doivent pas seulement s’opérer sur le plan technique, mais aussi sur le plan de la conscience. Pour lui, le « problème ovni » doit être abordé spirituellement. Il critique ceux qui utilisent le phénomène pour propager une vision religieuse figée et considère qu’il faut dépasser les dogmes.
Il reprend la structure du christianisme pour en donner une interprétation cosmique : selon cette lecture, l’humanité a été séparée du Créateur à cause d’une « chute » initiée par les anges déchus ou Elohim. Ces êtres, ayant quitté le domaine originel, auraient fabriqué un continuum espace-temps indépendant, que les humains habitent désormais. Nichols explique que cet univers artificiel doit être continuellement entretenu pour demeurer stable, par des projets temporels successifs dont le plus emblématique serait celui de Montauk. À ses yeux, Montauk est le projet central de la manipulation temporelle, une reproduction technologique de la création divine. En interférant sans cesse avec la trame originelle, les opérateurs auraient engendré une nouvelle ligne temporelle fondée sur une fréquence de 435 MHz, une version dérivée de la réalité du Créateur.
Dans cette perspective, la « conscience christique » représente le pont entre la ligne originelle et la ligne artificielle issue de la chute. Quand le Christ déclare qu’il faut passer par lui pour atteindre le Père, Nichols y voit l’expression symbolique de cette interface. La « pensée du Créateur » aurait été fragmentée et déformée au point de devenir un univers parallèle où les êtres évoluent dans un écho affaibli de la création véritable. L’humanité, dit-il, vit donc dans la pensée altérée de Dieu, coupée de son intention première.
Nichols relie ce modèle à la théologie chrétienne en affirmant que le retour du Christ correspondrait à un moment géométrique où les deux lignes temporelles, celle du Créateur et celle du monde déchu, se croisent de nouveau. C’est, selon lui, le sens profond du symbole de la croix : la rencontre des deux réalités. Cette jonction, ponctuelle dans l’histoire (comme lors de la crucifixion ou des miracles des saints), pourrait se reproduire à plus grande échelle, annonçant une réintégration progressive dans la conscience originelle.
Il observe que la plupart des hommes ne percevraient pas un tel événement, tout comme, dans l’Antiquité, peu comprirent la portée spirituelle des actes du Christ. Pour la science contemporaine, reconnaître une telle interférence supposerait d’accepter la métaphysique comme partie intégrante de la physique, ce que la communauté scientifique refuse par peur du ridicule. Nichols juge que le terme de « physique hyperdimensionnelle », parfois employé à la place, n’est qu’une tentative pour éviter d’assumer le mot métaphysique, alors que les deux désignent la même réalité.
Selon lui, lorsque les deux lignes se rapprochent, l’humanité commence à percevoir les prémices d’un savoir oublié. Les livres et courants spirituels modernes seraient les premiers signes de ce rapprochement, comparables aux oiseaux aperçus par Christophe Colomb avant de découvrir la terre ferme. La religion ancienne, bien qu’altérée, contiendrait encore des fragments de la vérité primordiale. Nichols pense qu’en poursuivant la quête de connaissance intérieure, les humains peuvent retrouver le « code source » de la création et comprendre la base cosmique de l’existence.
Il affirme que la science actuelle, sous contrôle des manipulateurs, reste prisonnière d’un système dérivé et artificiel. Ceux qui accéderaient à la ligne du Créateur découvriraient un univers sans hiérarchie, sans guerre ni pouvoir, où l’ordre naturel rendrait inutile toute autorité ou gouvernement secret. Ce retour à la conscience originelle, promu selon lui par le mouvement métaphysique et la « Nouvelle Conscience », représenterait une menace directe pour les structures de domination terrestre. C’est pourquoi ces dernières infiltreraient les milieux spirituels et ufologiques, orientant leurs enseignements vers la matérialité, la célébrité et le profit afin de les détourner de leur objectif initial. Les véritables canaux spirituels seraient ainsi discrédités, remplacés par des figures manipulées et présentées comme des imposteurs, entretenant la confusion dans l’opinion publique.
Nichols conclut sur un message transmis, selon lui, par les Pléiadiens : si dix pour cent des êtres conscients de la galaxie parviennent à retrouver la fréquence de la ligne originelle, tous les autres suivront mécaniquement. L’éveil collectif serait donc une simple question de proportion et de propagation de conscience. Il exprime son espoir que ce processus soit réellement aussi simple, et souhaite à chacun un bon voyage « sur le chemin du retour à la maison », c’est-à-dire vers la conscience du Créateur.
Enlèvements extraterrestres et manipulations humaines
Preston Nichols distingue deux grandes catégories d’enlèvements : ceux opérés par des entités extraterrestres et ceux orchestrés par un appareil gouvernemental secret qu’il relie à une structure parallèle et occulte comparable à l’« Illuminati ». Ce groupe fonctionnerait en dehors des gouvernements élus, infiltrant les sphères militaires, industrielles, médiatiques et politiques. Selon Nichols, cette organisation utilise des moyens de contrôle mental sophistiqués et se sert du phénomène des abductions pour mener ses propres expériences, tout en rejetant la responsabilité sur les extraterrestres. Ainsi, une grande partie des enlèvements attribués à des aliens seraient en réalité l’œuvre de ce complexe clandestin, les véritables interventions extraterrestres ne représentant, d’après lui, que 20 à 30 % des cas.
Les enlèvements extraterrestres eux-mêmes se diviseraient en trois formes : physiques, astraux et par induction. Dans les cas physiques, la personne est matériellement transportée à bord d’un vaisseau où des manipulations médicales et génétiques sont pratiquées. Nichols rapporte que ces opérations consistent souvent à prélever des échantillons sexuels ou biologiques : ovules, spermatozoïdes, voire tissus testiculaires ou ovariens, prélevés par des moyens chirurgicaux précis. Il évoque également des biopsies du tube digestif ou de la paroi abdominale visant à extraire des « cellules souches » capables de reproduire un organisme complet. Ces pratiques indiqueraient un programme de recherche génétique et de croisement entre espèces. Nichols suppose que certaines races extraterrestres, notamment les Gris, chercheraient à régénérer leur patrimoine biologique dégénéré en mêlant leur ADN à celui des humains.
De nombreux témoignages de femmes enlevées font état de grossesses mystérieuses suivies de disparitions soudaines du fœtus après quelques mois. Nichols en déduit deux possibilités : une fécondation directe par un être extraterrestre ou une implantation artificielle d’un embryon hybride conçu en laboratoire à partir d’ovules humains et de matériel génétique alien. Dans les deux cas, la grossesse serait interrompue par un nouvel enlèvement, l’embryon étant ensuite transporté ailleurs pour être développé. Ces récits concordent avec les observations d’êtres partiellement humains, végétaux ou reptiliens.
Les implants sont, selon lui, un autre aspect des abductions physiques. Ces dispositifs, souvent miniaturisés, sont à la fois émetteurs et récepteurs, permettant de suivre ou de localiser les individus pour de futurs enlèvements. Les traces laissées par ces interventions sont discrètes : cicatrices fines, marques linéaires près de la colonne vertébrale ou autour des organes sexuels, parfois de petites cavités visibles sur la peau. Nichols indique que les Gris et le gouvernement utilisent tous deux ce type d’implants, mais à des fins différentes : les extraterrestres pour le suivi génétique, les humains pour le contrôle mental et médical.
Les enlèvements opérés par les structures gouvernementales secrètes auraient une orientation plus psychologique et comportementale. Les expériences incluraient des procédures de conditionnement, d’implantation de souvenirs artificiels et de reprogrammation de la mémoire. Sous hypnose, les témoins pensent souvent avoir été enlevés par des extraterrestres, mais une exploration plus profonde révélerait des images de militaires humains, suggérant que le souvenir d’origine aurait été masqué par un scénario de couverture. Les technologies employées comprendraient la téléportation, utilisée aussi bien par les extraterrestres que par certains programmes terrestres, et des opérations physiques classiques de capture, où les témoins présents seraient temporairement rendus inconscients.
Parmi les programmes les plus sombres, Nichols décrit l’enlèvement d’enfants destinés à être formés en secret comme une armée dormante, prête à être activée lors d’une crise mondiale. Il évoque des techniques de conditionnement basées sur l’électrochoc, où la victime est placée dans un état d’excitation extrême avant que sa conscience soit suspendue. Dans cet état de vulnérabilité, des blocs de mémoire ou des ordres comportementaux seraient implantés à l’aide d’ordinateurs portables programmés. Le conditionnement sexuel serait, selon lui, une méthode courante : certaines personnes, notamment de jeunes hommes, seraient programmées pour diffuser inconsciemment des idées ou des comportements à travers leurs relations sexuelles, transformant ainsi la sexualité en vecteur de manipulation sociale. Nichols estime que jusqu’à dix pour cent des hommes de moins de trente ans pourraient avoir subi une telle reprogrammation.
Le conditionnement par électrochoc serait aussi utilisé pour associer des réactions émotionnelles précises à des images ou à des idées, créant des réflexes conditionnés de peur ou de haine. Nichols cite l’exemple d’une personne à qui l’on montrerait une image du président avant de lui administrer une décharge électrique, afin d’associer cette figure à un sentiment de panique ou de rejet.
Les extraterrestres, selon Nichols, n’utiliseraient pas de techniques aussi grossières. Leur mode d’action privilégierait la manipulation subtile des plans énergétiques et spirituels, notamment à travers l’« abduction astrale ». Dans ce cas, l’âme ou le corps énergétique de la personne serait extrait de son enveloppe physique et transporté à bord du vaisseau pour y subir des lectures d’énergie ou des programmations mentales. L’objectif pourrait être de prélever des informations vibratoires ou d’altérer le comportement futur du sujet. Cette méthode serait aussi utilisée dans les programmes du projet Montauk, où l’on aurait appris à séparer la conscience du corps. Nichols note que l’abduction astrale peut être confondue avec un enlèvement physique, tant les sensations vécues sont proches.
Il décrit également des enlèvements mixtes, menés conjointement par le gouvernement et certaines races extraterrestres, notamment les Gris de Rigel, en vertu d’accords secrets passés avec les autorités terrestres. Ces opérations combinées serviraient à mutualiser les ressources technologiques et biologiques.
Enfin, Nichols évoque une troisième catégorie : l’induction. Dans ce type d’intervention, l’entité étrangère ne transporte pas la victime mais entre littéralement dans son corps énergétique pour y opérer de l’intérieur. Ce phénomène serait souvent le fait de races reptiliennes très évoluées, capables de quitter leur enveloppe physique et d’investir celle d’un humain pour manipuler ses pensées ou son organisme. L’intrusion pourrait durer de quelques secondes à plusieurs mois. Il précise que les gouvernements humains ne maîtrisent pas encore cette technique.
Nichols distingue les « walk-ins », où une entité remplace une conscience humaine après un traumatisme ou une mort clinique, des « shove-ins », où une force extérieure expulse l’esprit d’origine pour prendre sa place. Ces processus, qu’ils soient naturels ou provoqués, illustreraient selon lui la complexité des interactions entre plans physiques et spirituels dans les phénomènes d’abduction. L’ensemble de ces observations prolongerait les recherches qu’il dit avoir menées dans le cadre du Projet Montauk sur le contrôle de la conscience et la manipulation multidimensionnelle de l’être humain.
Défense psychique et gestion des traumatismes liés aux abductions
Preston Nichols explique que les expériences d’enlèvements et de manipulations mentales impliquent plusieurs couches de conscience, physiques et non physiques, que la science officielle n’a jamais clairement définies. Selon lui, la compréhension de ces niveaux vient avec l’expérience du travail sur le terrain, même si chacun peut leur donner ses propres appellations. Il affirme que les connaissances exactes sur le fonctionnement de l’esprit humain sont volontairement embrouillées dans les ouvrages courants afin d’empêcher une véritable compréhension des mécanismes de la conscience.
Nichols pense que le nombre de niveaux de conscience non physique dépasse les quatre généralement évoqués. Ces plans subtils sont plus difficiles à atteindre, car la conscience humaine est enveloppée dans des couches physiques denses. Cependant, cette structure joue un rôle protecteur : certaines dimensions spirituelles de l’être restent inviolables, même pour les extraterrestres les plus avancés. Selon lui, aucune force extérieure ne peut agir sur quelqu’un sans son accord conscient ou inconscient. Ainsi, la meilleure protection contre toute forme d’abduction est de refuser intérieurement l’expérience. Dire « non » constitue un acte de souveraineté spirituelle, même si cela demande un fort contrôle de soi. En cas de difficulté, il recommande de consulter une personne de confiance capable d’aider sans exercer de domination mentale, tout en gardant à l’esprit que chacun détient en dernier ressort le pouvoir de déterminer son propre destin.
Il évoque aussi une catégorie d’expériences qu’il qualifie d’« abductions supérieures », où l’individu communique volontairement avec des entités extraterrestres dans un état de conscience élargie, sans traumatisme apparent. Ces expériences, vécues comme des voyages à travers d’autres dimensions, peuvent néanmoins perturber certains sujets qui nécessitent un accompagnement psychologique ou spirituel pour intégrer ce qu’ils ont vécu.
Nichols insiste sur la nécessité d’un travail intérieur préalable, en particulier sur la sphère sexuelle, qu’il considère comme le niveau le plus profond où résident les programmations psychiques. Nettoyer cette zone permettrait, selon lui, de dissoudre les blocages et de libérer progressivement d’autres niveaux de conscience. Il avertit toutefois qu’un praticien doit libérer les traumatismes du sujet avec prudence, par étapes, car une libération trop rapide peut être dangereuse et provoquer des crises psychiques graves.
Il explique que tout être humain porte en lui des traumatismes refoulés, même s’ils ne sont pas conscients. Ces souvenirs, liés à des douleurs émotionnelles anciennes, sont enfouis dans les couches profondes de la mémoire et peuvent ressurgir lors d’un travail de « déprogrammation ». Les programmes mentaux du gouvernement, selon lui, seraient dissimulés derrière ces zones de souffrance psychique, ce qui rend leur détection difficile. De plus, il affirme que cette superposition des traumas sert aussi à limiter les capacités psychiques naturelles : plus une personne porte de blessures émotionnelles non résolues, plus ses facultés extrasensorielles diminuent.
Ainsi, pour restaurer ses capacités intuitives ou télépathiques, il faudrait libérer les couches mentales où ces traumatismes sont stockés. Nichols ajoute que les entités extraterrestres et les agents gouvernementaux exploitent cette structure mentale pour enfouir les souvenirs d’abductions sous les traumatismes. Lorsqu’une personne s’en approche, la panique liée à la douleur émotionnelle l’empêche de poursuivre. Il met en garde contre les pratiques de déprogrammation trop brutales qui réveillent d’un coup tous les souvenirs refoulés, provoquant des déséquilibres graves. Il cite le cas de deux personnes confiantes qui ont tenté ce processus trop vite : toutes deux ont subi de lourdes conséquences psychiques, et l’une d’elles a eu un accident de voiture peu après.
Nichols indique que ceux qui explorent ces couches profondes de la conscience, qu’ils soient thérapeutes ou victimes d’abductions, doivent progresser lentement et prudemment, en respectant la résistance naturelle de l’esprit et les mécanismes de défense qui protègent l’intégrité psychique de l’individu.
Extrait 4 : l’expérience de Philadelphie et les liens avec Montauk
Ces informations proviennent en bonne partie du livre « The Montauk Project – experiments in time » et aussi d’autres documents.
Tout commence en 1943 avec le célèbre « Expérience de Philadelphie » (au large du Port de Philadelphie aux USA), mené sur le destroyer USS Eldridge pour rendre le navire invisible au radar.

Connu sous le nom de code « Projet Rainbow », il visait à créer une « bouteille électromagnétique », c’est-à-dire un champ capable de détourner les ondes radar autour du navire, dans le cadre de la seconde guerre mondiale.
L’expérience alla beaucoup plus loin que prévu : le navire disparut complètement de la vue et quitta la trame de l’espace-temps. Il réapparut quelques instants plus tard à Norfolk, en Virginie, à plusieurs centaines de kilomètres de son point de départ, avant de revenir soudainement au chantier naval de Philadelphie.

Description de l’expérience sur l'USS Eldridge
L’histoire commence en juin 1943, lorsque le destroyer d’escorte U.S.S. Eldridge (DE-173) fut équipé de plusieurs tonnes de matériel électronique expérimental. Selon une source, cela comprenait notamment deux générateurs massifs de 75 kVA chacun, installés à l’emplacement prévu pour la tourelle avant, et distribuant leur puissance à travers quatre bobines magnétiques montées sur le pont. Trois émetteurs radiofréquence de 2 mégawatts chacun étaient également installés sur le pont, ainsi qu’environ trois mille lampes amplificatrices de type « 6L6 » servant à alimenter les bobines des générateurs. À cela s’ajoutaient des circuits spéciaux de synchronisation et de modulation, ainsi qu’un grand nombre d’équipements techniques destinés à produire d’intenses champs électromagnétiques capables, une fois correctement configurés, de courber la lumière et les ondes radio autour du navire, le rendant ainsi invisible aux observateurs ennemis.
L’« expérience », qui se serait déroulée au chantier naval de Philadelphie ainsi qu’en mer, eut lieu au moins une fois sous les yeux du navire marchand S.S. Andrew Furuseth et d’autres bâtiments d’observation. Le S.S. Andrew Furuseth est important car l’un de ses membres d’équipage est à l’origine de la plupart des récits qui ont alimenté la légende du « Philadelphia Experiment ». Cet homme, Carlos Miguel Allende, également connu sous le nom de Carl Michael Allen, écrivit dans les années 1950 une série de lettres étranges au docteur Morris K. Jessup, dans lesquelles il décrivait ce qu’il affirmait avoir vu : au moins une des différentes phases de l’expérience de Philadelphie.

À 9 heures du matin, le 22 juillet 1943, l’alimentation des générateurs fut activée et les puissants champs électromagnétiques commencèrent à se former. Une brume verdâtre apparut lentement, enveloppant le navire et le dissimulant à la vue. Puis, selon les témoins, la brume elle-même se dissipa, emportant avec elle l’U.S.S. Eldridge, ne laissant derrière elle qu’une surface d’eau calme là où le navire se trouvait quelques instants plus tôt.
Les officiers supérieurs de la marine américaine et les scientifiques présents observaient, stupéfaits, ce qu’ils considéraient comme leur plus grand exploit : le navire et son équipage étaient non seulement invisibles au radar, mais aussi à l’œil nu. Tout semblait fonctionner comme prévu. Quinze minutes plus tard, on ordonna d’arrêter les générateurs. La brume verdâtre réapparut peu à peu, et l’U.S.S. Eldridge commença à se rematérialiser. Mais il apparut rapidement à tous que quelque chose n’allait pas.
Lorsque des hommes venus de la base montèrent à bord, ils trouvèrent les marins du pont supérieur désorientés et pris de nausées. La marine américaine retira immédiatement l’équipage de ce premier essai et recruta peu après un nouveau personnel pour un second test. Finalement, la décision fut prise de ne viser que l’invisibilité radar ; les équipements furent donc modifiés en ce sens.
Le 28 octobre 1943, à 17 h 15, l’essai final eut lieu. Les générateurs de champ électromagnétique furent remis en marche, et l’U.S.S. Eldridge devint presque invisible : seule une faible silhouette de la coque demeurait perceptible dans l’eau. Tout se passa bien durant les premières secondes, puis, dans un éclair bleuté aveuglant, le navire disparut complètement. En quelques secondes, il réapparut à plusieurs centaines de kilomètres de là, à Norfolk, en Virginie, où il fut observé durant plusieurs minutes, avant de disparaître aussi soudainement qu’il était venu pour se retrouver de nouveau au chantier naval de Philadelphie.
Cette fois, la plupart des marins étaient violemment malades. Certains avaient disparu sans jamais réapparaître. D’autres devinrent fous. Le résultat le plus terrifiant fut la découverte de cinq hommes littéralement fusionnés avec le métal de la structure du navire.

Si l’expérience fut une réussite technique, elle se révéla désastreuse pour l’équipage : de nombreux marins furent pris de panique, souffrirent de désorientation totale, et certains furent retrouvés partiellement fusionnés avec la structure métallique du navire et sont morts. Les survivants furent déclarés « mentalement inaptes », ce qui permit de discréditer leurs témoignages et de mettre fin officiellement au projet.
Récit de Carlos Allende
Carlos Miguel Allende, né le 31 mai 1925, s’engagea dans le Corps des Marines le 14 juillet 1942 et en fut démobilisé le 21 mai 1943. Peu après, il rejoignit la Marine marchande et fut affecté au navire S.S. Andrew Furuseth. C’est à bord de ce bâtiment qu’il affirma avoir assisté à un événement extraordinaire : l’expérience du navire U.S.S. Eldridge. Selon lui, il aurait vu ce destroyer disparaître du chantier naval de Philadelphie, réapparaître instantanément à Norfolk, en Virginie, puis revenir en un laps de temps de quelques minutes seulement.
Intrigué par ce qu’il avait observé, Allende mena sa propre enquête et découvrit des faits troublants entourant le projet. Il rédigea alors un résumé de ses conclusions dans une lettre adressée à l’astronome Dr. Morris K. Jessup, dont il avait assisté à une conférence. Impressionné par l’homme, Allende choisit de lui confier ses révélations. Ses lettres étaient rédigées de manière étrange : ponctuation et majuscules aléatoires, soulignements inattendus, et écriture multicolore. Dans cette correspondance, il dévoilait des détails effrayants sur le prétendu « Philadelphia Experiment ».
Le Dr. Jessup, déjà ouvert aux phénomènes inexpliqués, ne rejeta pas immédiatement ces propos. Il répondit à Allende pour demander davantage d’informations. Pourtant, l’adresse de retour indiquée sur les lettres n’existait pas, selon le service postal. Malgré cela, Allende reçut bien la réponse du Dr. Jessup et continua à lui écrire. Après plusieurs échanges, Jessup finit toutefois par considérer l’affaire comme une supercherie et cessa la correspondance.
À cette époque, le Dr. Jessup venait de publier son ouvrage The Case for the UFOs. Peu après, un exemplaire de ce livre annoté à la main fut envoyé anonymement à la Marine américaine. Les notes, rédigées dans la même écriture que les lettres d’Allende, contenaient des commentaires techniques détaillés et des réflexions sur des phénomènes électromagnétiques avancés. La Navy demanda alors à Jessup d’examiner ce document.
Reconnaissant immédiatement l’écriture d’Allende, Jessup fut stupéfait. Lui qui croyait à une farce découvrait des annotations encore plus précises et cohérentes que dans les lettres précédentes. Il se remit donc à enquêter, mais ne trouva aucune preuve tangible. Un seul indice apparut : deux marins avaient raconté avoir rencontré, dans un parc, un homme hagard leur ayant confié qu’une expérience militaire secrète avait provoqué la mort ou la folie de nombreux membres d’équipage. Selon lui, le gouvernement avait ensuite déclaré ces survivants fous afin de discréditer toute tentative de révélation.
L’un des deux marins, convaincu par cette histoire, finit par contacter Jessup et lui rapporter les faits. Mais malgré cet élément, les recherches du scientifique stagnèrent et sa réputation se dégrada dans le milieu académique. Déprimé, accablé par le scepticisme de ses pairs et les obstacles rencontrés, Morris K. Jessup mit fin à ses jours le 20 avril 1959, laissant une note mentionnant qu’« une autre existence dans un autre univers serait préférable à ce monde misérable ».
Certains avancèrent qu’il ne s’agissait pas d’un suicide, mais d’un assassinat orchestré par des agences gouvernementales soucieuses d’étouffer l’affaire du Philadelphia Experiment. Ironie du sort, peu après sa mort, un nouvel élément clé fit surface : le témoignage d’un homme nommé Alfred D. Bielek, qui allait relancer toute l’affaire.
Récit du témoin von Gruber de l’expérience de Philadelphie
Sur un navire gris d’acier ancré à l’écart dans un port militaire, une centaine de marins se préparent fébrilement à un exercice secret censé changer l’issue de la guerre. Certains se sont portés volontaires, d’autres ont été désignés, tous convaincus qu’ils participent à une opération décisive pour la victoire. Le bâtiment, le USS Eldridge, abrite sur son pont un centre de commande où ingénieurs et scientifiques terminent l’installation d’un dispositif mystérieux. Sur un quai voisin, une base terrestre sert de poste de contrôle et de liaison constante avec le navire, sous la surveillance d’observateurs gouvernementaux. C’est là qu’arrive discrètement Johannes von Gruber, ancien officier de la marine impériale allemande et décoré de la Première Guerre mondiale. Déguisé en officier américain, il a traversé l’Europe par la Suisse, l’Espagne et le Portugal avant de gagner les États-Unis au printemps 1943. Officiellement déserteur, il agit pour une mission secrète confiée par des réseaux de pouvoir liés au Reich, dans un plan tenu secret jusque pour ses proches.
À bord, von Gruber observe les jeunes marins en poste et médite sur la portée de l’expérience à venir. Il sait que le véritable objectif dépasse tout test naval : il s’agit de rendre invisible un navire entier, puis de le transporter instantanément à un autre port. Des essais sur de petits objets ont déjà eu lieu, certains n’étant jamais revenus visibles. Si la tentative réussit, le pouvoir sur la matière, l’espace et la guerre changera de mains. Les grandes puissances, États-Unis et Allemagne incluses, prévoient alors d’unir leurs efforts pour dominer la planète, éliminer les peuples jugés inférieurs et, à terme, conquérir d’autres mondes. Cette alliance de circonstance s’appuie sur des contacts secrets entre le Reich et des entités non humaines que les Américains espèrent également exploiter.
Lorsque l’ordre est donné, les appareils sont mis sous tension. Le navire frémit et s’auréole d’une lueur verte. Un courant traverse le corps de Johannes, suivi d’un vertige. La puissance augmente, les lumières virent au jaune puis au bleu électrique, jusqu’à ce que le navire entier disparaisse sous les yeux des observateurs à terre. Les caméras enregistrent, au même instant, la présence de deux objets volants non identifiés planant au-dessus du bâtiment avant de s’évanouir avec lui.

Sur l’Eldridge, l’atmosphère devient chaotique. Des vagues d’énergie traversent le corps de von Gruber ; les couleurs se mélangent en spirales vertes, bleues et ultraviolettes. Des arcs électriques claquent, les ordres se perdent dans un vacarme assourdi, et le métal du navire semble devenir liquide. Des marins, pris de panique, se jettent à la mer, mais leurs silhouettes se dissolvent dans les champs d’énergie. D’autres essaient de détruire les machines à coups de marteau. Johannes voit des hommes s’enfoncer lentement dans les parois comme si la matière elle-même les absorbait. Pris de terreur, il hésite entre exploser avec le vaisseau ou disparaître dans le vide. Pensant à sa famille restée en Allemagne, il saute par-dessus bord.
Il se sent alors projeté dans un tunnel de vent et de lumière, son corps dissous dans un champ électrique. Après un moment suspendu entre conscience et néant, il perçoit à nouveau la gravité, des sons, puis un sol sous ses pieds. Devant lui se trouve un bassin sombre entouré de roches taillées. Il comprend qu’il se trouve dans une sorte de grotte artificielle, éclairée sans source visible. Trois silhouettes s’approchent par un escalier taillé dans la pierre : un militaire américain en uniforme bleu foncé et deux petits êtres gris aux grands yeux noirs. Muet de stupeur, il se retrouve incapable de résister alors qu’ils l’entraînent vers un passage dans la paroi, apaisé seulement par une voix intérieure lui répétant de ne pas avoir peur.
Peu après, il se retrouve attaché sur une chaise dans une salle remplie d’appareils. Sa tête est maintenue, il ne peut ni parler ni bouger. Un homme trapu en combinaison verte lui parle en allemand, affirmant qu’il se trouve dans une base souterraine américaine et qu’il est arrivé là par erreur. Il lui annonce qu’il est en 1960, que la guerre est terminée et que sa famille est morte. Johannes croit d’abord à un cauchemar. Puis un autre être entre : grand, chauve, d’une blancheur presque lumineuse, aux yeux bleus immenses. Il ne parle pas mais communique directement dans son esprit, lui promettant de le transférer vers « une situation plus appropriée ». Le géant actionne un dispositif ; une décharge d’énergie traverse le corps de von Gruber qui s’évanouit.
Il se sent alors flotter dans un tunnel de lumière, libéré de toute douleur. Des êtres lumineux, semblables à des anges, l’accueillent et lui prennent les mains. Il revoit sa vie, comprend ses erreurs, ressent à la fois tristesse et paix. On lui dit qu’il a encore quelque chose à accomplir sur Terre. Il voit alors la vision d’une femme en travail dans un hôpital moderne. Puis, aspiré par un tube de lumière, il fonce vers elle.
Ainsi s’achève l’expérience du Eldridge et le destin de Johannes von Gruber, passé de marin du Reich à sujet involontaire du plus célèbre des projets militaires secrets : l’Expérience de Philadelphie.
Récit du témoin Edward Cameron (identité actuelle Alfred Bielek)

Il est le demi-frère de Duncan et était auparavant connu sous le nom d’Edward Cameron. Il se souvient avoir été à bord de l’USS Eldridge avec Duncan lors de l’expérience de Philadelphie, puis avoir sauté par-dessus bord et atterri à Montauk Point.
Al Bielek, né en 1927, disait avoir ses premiers souvenirs à neuf mois, comprenant déjà les conversations des adultes. Élève brillant surnommé « l’encyclopédie vivante », il réussit un test d’électronique avant la fin du lycée, ce qui lui valut d’être recruté par la Navy durant la guerre. Il fit ensuite carrière dans l’électronique pour divers sous-traitants militaires, où il découvrit des informations sur les programmes secrets impliquant des extraterrestres et le contrôle psychique.
En 1956, après une étrange rencontre à Hawaï, il fut recruté pour le projet Montauk. Il menait une double vie : travail civil en Californie le jour, missions secrètes à Montauk via un réseau souterrain ou par téléportation lorsque la technologie du tunnel temporel fut opérationnelle. Dans les années 1970, il devint directeur des programmes psychiques et responsable du contrôle mental, en lien avec Duncan Cameron, Preston Nichols et Stewart Swerdlow.
Dans les années 1980, il participa aux expériences de voyage temporel, se rendant, selon ses dires, sur Mars, à une station située en 100 000 av. J.-C., sur d’autres planètes pour récupérer des énergies lumineuses et obscures, et jusqu’à l’an 6037.
En 1988, après avoir vu le film The Philadelphia Experiment, ses souvenirs lui revinrent. Peu après, il aurait été contacté par le Dr. John von Neumann (qui ne serait pas mort mais vivrait sous un autre nom), comme promis à Edward Cameron si sa mémoire revenait. En 1989, Bielek décida de révéler publiquement son rôle dans les projets Montauk et Philadelphie, devenant un conférencier et intervenant régulier dans les médias.
Il affirma ne jamais avoir été éliminé ni menacé, car ses voyages temporels l’auraient « verrouillé » dans cette ligne de temps, où sa présence contribuerait à stabiliser les effets produits par les expériences passées.
Le film de cinéma reprenant exactement l’histoire de l’expérience de Philadelphie racontée par Edward Cameron s’appelle « L’expérience de Philadelphie ».
Extraits de ce film sur la partie coeur : Cliquer ici
Film complet : Cliquer ici
Des vidéos d’une interview en français par Jimmy Guieu dans un de ses documentaires « Les portes du futur » : Vidéo n°1 et Vidéo n°2
Alfried Bielek (alias Edward Cameron) raconte que c’est Nikola Tesla qui avait été affecté au projet Rainbow de création d’invisibilité au radar de l’USS Eldridge. Suite à l’installation de grande puissance qu’il avait mise en place, il a réalisé que cela allait être très dangereux pour le personnel à bord. Il a alors demandé plus de temps à la Navy pour sécuriser le projet, qui l’a refusé en disant que la guerre était en cours et que l’expérience devait être menée. Tesla a alors saboté le projet en faisant croire qu’il n’arrivait à rien. Le projet lui a été retiré et confié à von Neumann. Jimmy Guieu parle des contacts radios de Tesla avec des extraterrestres (on sait qu’il avait dit en avoir eu de vénus). Selon Guieu Tesla avait reçu des avertissements sérieux par radio provenant de Pléiadiens et c’est pourquoi il avait saboté le projet.
Ci-dessous cet interview et quelques ajouts provenant d’une autre interview sur internet :
Edward Cameron (mix de deux interviews) : « J’étais monté à bord avec mon frère Duncan Cameron. Je ne m’appelais pas Al à cette époque, mais Edward Cameron. Je suis né le 4 août 1916, et lui en mai 1917. Notre père, Alexander Duncan Cameron Senior, servait également dans la marine.
Nous nous trouvions à l’intérieur du poste de contrôle, derrière un blindage en acier. Les portes étaient elles aussi blindées. Tout se déroulait normalement pendant environ trente secondes, puis nous avons vu les tubes électroniques éclater par vagues. Il y en avait environ trois mille, destinés à contrôler les bobinages qui généraient les champs.
Nous avons essayé d’actionner l’interrupteur principal pour couper l’alimentation, mais les manettes étaient bloquées. Impossible de les bouger. Les conditions se sont rapidement détériorées dans le poste de contrôle, et nous avons décidé qu’il était temps de partir.
Nous avons ouvert la porte blindée et couru sur le pont. Les marins paniquaient, mais à ce moment-là, personne n’était encore incrusté dans le métal du navire.
Des personnes couraient en tout sens, totalement perdues. Des gens apparaissaient et redisparaissaient. Quelques uns brûlaient. Tout le monde était complètement désorienté. Les seules personnes qui ont échappés à cette désorientation, étaient celle qui se trouvaient sous le pont qui incluaient mon frère et moi.
Alors, tous deux, nous avons eu le même réflexe : sauter par-dessus bord, espérant plonger dans l'eau, mais au lieu de cela, on s'est retrouvés dans une épaisse brume, nous ne tombions pas, nous avions l' impression de voler.
Nous avons traversé un étrange phénomène, une sorte de tunnel rempli d’éclairs de lumière, ou quelque chose d’approchant. D’après nos estimations, cela a duré environ deux minutes. Ensuite, nous nous sommes retrouvés debout, sur la terre ferme, pas dans l’eau, et il faisait nuit. Nous étions dans une sorte de périmètre militaire. Très vite, nous avons compris que nous nous trouvions sur une base. Des hommes de la police militaire nous ont conduits dans un bâtiment, puis dans un ascenseur. Nous avons descendu plusieurs niveaux jusqu’à une installation souterraine.
Lorsque les portes se sont ouvertes, un civil nous attendait. Il nous a dit : « Bienvenue, messieurs, je vous attendais. Je suis le professeur von Neumann. » C’était, comme nous l’avons appris plus tard, en 1983. Je lui ai demandé : « Qui êtes-vous ? Vous ne pouvez pas être le docteur von Neumann, il est bien plus jeune, et nous l’avons quitté il y a à peine une heure ! » Il a répondu : « Nous ne sommes plus en 1943, mais en 1983, quarante ans plus tard. Et je suis bien le même homme, simplement âgé de quarante ans de plus. »
Et c'est ainsi que nous nous sommes retrouvés en 1983, le 12 août 1983, sur la côte. Et étrangement dans un autre projet, appelé PHOENIX, à MONTAUK (Long Island à New-York, USA).
Nous sommes restés là environ douze heures, le temps qu’il nous parle. Il a fini par dire : « Messieurs, nous devons vous renvoyer vers l’Eldridge. » Je lui ai demandé comment il comptait faire. Il a répondu : « Nous avons ici une maîtrise totale de l’espace-temps, grâce au projet Montauk. Vous devez retourner là-bas et détruire l’équipement, car nous ne pouvons pas le contrôler d’ici. Les générateurs fonctionnent toujours sur l’Eldridge, et il est coincé dans une dimension d’hyperespace. Vous devez donc détruire les systèmes pour que le navire revienne à son époque normale, celle des installations navales de Philadelphie. »
Ils nous ont alors renvoyés. Nous sommes réapparus sur le pont du navire. Nous avons trouvé l’accès au poste de contrôle et détruit l’équipement. Les générateurs ont commencé à s’inverser, et nous avons compris que c’était terminé. Nous sommes sortis du poste de contrôle pour remonter sur le pont, et c’est là que nous avons vu deux hommes incrustés dans le métal du pont, et deux autres partiellement fusionnés avec le blindage. Un cinquième avait la main emprisonnée dans l’acier. Je suis passé au-dessus de l’un d’eux, dont la tête et les bras dépassaient du métal. Duncan, voyant toute cette panique, ces hommes prisonniers de l’acier, m’a regardé avec un air qui disait : « Viens, il faut partir. »
Alors, il a sauté et a disparu. Les champs ne s’étaient pas encore effondrés, et il est retourné en 1983, au projet Montauk.
Mais il avait contracté un gros problème temporelle qui allait l'affecter, mais ceci est une autre histoire. »
Commentaire de Jimmy Guieu : « À la suite de cette aventure, Cameron rejoignit le professeur à Los Alamos, en juillet 1944. Trois ans plus tard, le 4 juillet 1947, il fut arrêté et accusé d’espionnage. C’était bien sûr faux, mais on chercha à l’éliminer. Il découvrit alors à ses dépens que les technologies de manipulation de l’espace-temps étaient désormais entre les mains des militaires. Il en eut la preuve lorsqu’il fut transféré au projet Montauk, situé sur l’île de Long Island, près de New York. C’est là que le fantastique l’attendait. »
Edward Cameron : « On m’a emmené à Montauk. Il y avait une base navale sur place. Après plusieurs heures, on m’a demandé de me placer au centre d’un cercle, comme celui dont il est question dans le livre sur Montauk. J’étais entouré de militaires armés qui m’ordonnèrent de ne pas bouger. Il y avait environ soixante-quinze hommes autour de moi. Puis soudain, je n’étais plus là. Je me suis retrouvé de nouveau au projet Montauk de 1983, dans les souterrains. Von Neumann m’a dit : « Je n’aime pas ce qui va se passer. Ils vont vous renvoyer dans le passé, effacer votre mémoire et vous confier à une autre famille. Vous allez tout recommencer avec une nouvelle vie. Ils espèrent que vous ne vous souviendrez jamais de ce qui s’est passé, et que disparaîtront la mémoire et la personnalité d’Edward Cameron. »
Commentaire de Jimmy Guieu : « Cameron fut donc renvoyé dans le passé. Il régresse jusqu’à l’âge d’un an et est confié à une famille qui ne s’appelle pas Cameron, mais Bielek. C’est ainsi qu’il devient Al Bielek. Il a alors un an. Vous imaginez une telle technologie de translation temporelle ? Ce n’est clairement pas de notre monde.
Dans cette étrange affaire, l’attitude de Tesla apparaît comme celle d’un homme sage. Les contacts qu’il aurait eus avec les Pléiadiens, même si, bien sûr, à l’époque on ne les appelait pas ainsi, car c’est nous qui avons donné ce nom à cette constellation, semblent avoir été motivés par le désir de nous éviter des catastrophes majeures. Il a en effet tenté de sauver l’équipage de l’Eldridge. Il y avait donc, semble-t-il, deux influences : l’une bénéfique, représentée par Tesla, qu’on a ensuite écarté ; et une autre, négative, peut-être liée aux Gris, je ne saurais le dire. Cette influence néfaste a favorisé les recherches militaires, sans se soucier du sort de ceux qui participaient à l’expérience de Philadelphie. »
Projet Phoenix et référence du zéro temporel
À la fin des années 1940, le projet Rainbow, à l’origine de l’Expérience de Philadelphie, fut relancé parallèlement aux recherches du projet Phoenix, qui étudiait alors l’atmosphère et les radiosondes. Les deux programmes finirent par fusionner au début des années 1950 sous la direction du Dr John von Neumann, brillant mathématicien et physicien, inventeur du premier ordinateur à tubes et spécialiste des relations entre espace et temps. Le siège de ces activités se situait au laboratoire de Brookhaven, sur Long Island.
La nouvelle mission confiée à von Neumann consistait à comprendre pourquoi les êtres humains avaient si mal supporté les effets des champs électromagnétiques durant l’expérience de Philadelphie. Le problème principal n’était pas technique mais « humain » : les marins avaient perdu tout repère temporel et mental, certains se retrouvant physiquement désintégrés ou fusionnés avec le métal du navire.
À Brookhaven Labs, von Neumann combina les recherches psychologiques nazies récupérées par les Alliés avec l’électronique et l’informatique naissante, créant les premiers dispositifs capables de capter et de projeter des pensées. Ces travaux, qui liaient l’esprit humain à des machines, ouvrirent la voie au contrôle mental.
Pendant près de dix ans, von Neumann et son équipe étudièrent la nature métaphysique de l’homme et découvrirent, selon ce récit, que chaque être naît avec un « point de référence temporel » inscrit dans le champ électromagnétique terrestre. Ce point ancre la conscience à la réalité de notre univers. Lors de l’Expérience de Philadelphie, ce repère aurait été rompu, projetant les individus dans une réalité artificielle dépourvue de temps, une expérience de désorientation totale.
Pour corriger cela, le projet Phoenix chercha à créer des conditions permettant de placer un être humain dans une « bouteille électromagnétique » tout en maintenant la connexion à son repère d’origine. Des ordinateurs furent employés pour générer artificiellement un environnement électromagnétique semblable à celui de la Terre, donnant l’illusion d’un temps continu et évitant ainsi la folie ou la dissociation entre le corps et l’esprit.
Cette technologie, combinant informatique, électromagnétisme et compréhension spirituelle, fut achevée vers 1967. Le rapport final remit au Congrès affirma qu’il était désormais possible d’influencer la conscience humaine par des champs électromagnétiques et même de modifier les pensées d’un individu. Effrayé par le potentiel de contrôle mental qu’une telle découverte représentait, le Congrès ordonna la dissolution du projet en 1969, craignant que cette technologie puisse se retourner contre ses propres membres.
Qu’est-ce que la base Montauk
À l’extrémité orientale de Long Island se trouve Montauk Point, connu pour son phare et son paysage maritime. Juste à l’ouest, sur le site de l’ancien Fort Hero, s’élève une base aérienne abandonnée, entourée de mystère. Officiellement désaffectée par l’US Air Force en 1969, elle aurait pourtant été réactivée par la suite sans autorisation gouvernementale. Aucune trace budgétaire ne permet d’en expliquer le financement, et même les autorités fédérales n’ont jamais réussi à en identifier la source.

Ce secret a nourri de nombreuses rumeurs parmi les habitants et les visiteurs, mais très peu connaissent la véritable histoire de ce lieu. Selon un cercle restreint d’initiés, la base de Montauk aurait été le prolongement direct de l’« l’Expérience de Philadephie » de 1943, au cours duquel le navire USS Eldridge disparut. Après cet événement, plus de trente années de recherches secrètes auraient permis de développer des technologies de contrôle mental et de manipulation de masses entières de population.
L’un des rares témoins capables d’en parler est Preston Nichols, ingénieur en électronique et inventeur. Son intérêt pour l’affaire naquit de phénomènes étranges dans sa propre vie et de la possibilité d’acquérir légalement une partie du matériel utilisé à Montauk. En étudiant ces dispositifs, il découvrit peu à peu qu’il avait lui-même participé au projet en tant que directeur technique, avant d’en perdre le souvenir à la suite d’un conditionnement mental. Malgré les menaces et les tentatives de le faire taire, il décida finalement de révéler toute l’histoire pour le bien au public.
Confirmation par enquête par Peter Moon :
Peter Moon explique dans son livre sur l’expérience de Philadelphie que Preston Nichols, dans le cadre de son travail au sein de l’industrie de la défense, avait eu accès à un rapport classifié très détaillé sur le Philadelphia Experiment. Cette lecture faisait partie de ses fonctions officielles et l’empêchait d’en divulguer le contenu à cause des accords de confidentialité qu’il avait signés.
Moon rapporte aussi qu’après la parution du premier livre sur Montauk, Al Bielek lui avait affirmé que Nichols avait un jour reçu une bobine de film contenant des images authentiques de l’expérience de Philadelphie. Bien que Bielek se soit indigné du fait que Nichols ait rendu ce document, ce dernier confirma l’épisode, expliquant qu’il y était légalement obligé et que conserver ce matériel aurait violé ses engagements professionnels.
Des années plus tard, une autre source indépendante confirma à Peter Moon que Nichols avait bien consulté un rapport technique complet sur l’expérience alors qu’il travaillait pour la société AIL (Airborne Instruments Laboratory), un important sous-traitant militaire basé à Long Island.
Lien entre expérience de Philadelphie et le projet Montauk
Officiellement arrêté par le Congrès, le programme de Brookhaven Labs sur les effets interdimensionnels liés à l’esprit humain se poursuivit donc secrètement à Camp Hero, sur la base désaffectée de Montauk Point, où un puissant radar opérait sur la même fréquence que celle du cerveau humain. À partir de 1972, on y mena des expérimentations sur des humains, des animaux et d’autres formes de conscience, amplifiant les capacités psychiques de certains sujets jusqu’à créer des illusions matérielles et manipuler le temps lui-même.
En 1983, un vortex temporel aurait relié Montauk à l’année 1943, bouclant le cycle ouvert par l’Expérience de Philadelphie.
Cette histoire fut révélée grâce à Preston Nichols, qui en tant qu’ingénieur en électronique, découvrit que des émissions radio inconnues perturbaient ses expériences sur la télépathie. En les retraçant, il tomba sur Montauk et comprit qu’il avait lui-même participé au projet sans s’en souvenir. Ses souvenirs émergèrent peu à peu, confirmés par Duncan Cameron, un homme formé par la NSA qui se souvenait du site, du matériel et des expériences, y compris de sa présence sur l’Eldridge. Selon eux, le 12 août 1983, Duncan, utilisé comme médium principal, provoqua l’arrêt brutal du projet en matérialisant une créature de son subconscient qui détruisit les installations. La base souterraine fut ensuite murée dans le béton.
Peter Moon décida de publier le récit de Nichols sous forme d’un livre, The Montauk Project : Experiments in Time, sorti en 1992. Les recherches ultérieures aboutirent à Montauk Revisited, qui établissait un lien inattendu entre le projet et l’occultiste Aleister Crowley. Moon découvrit que Crowley aurait tenté, dès 1918, à Montauk, des rituels de magie sexuelle visant à manipuler le temps et les dimensions. Des correspondances troublantes apparurent entre Crowley, la famille Cameron et des frères scientifiques britanniques nommés Wilson, que Nichols affirmait avoir été dans une vie antérieure. Ces liens furent confirmés par Amado Crowley, fils illégitime d’Aleister, qui décrivit un rituel magique effectué par son père le 12 août 1943, jour du Philadelphia Experiment, reliant énergétiquement l’Angleterre à Long Island.
Dans un troisième livre, Pyramids of Montauk, Moon révéla qu’à l’endroit de la base existaient autrefois des pyramides anciennes, et que Camp Hero se trouvait sur un territoire sacré appartenant aux Indiens Montaukets. Leur tribu avait été déclarée « éteinte » par l’État de New York dans une affaire jugée comme l’un des pires dénis de justice envers les Amérindiens. Il nota aussi que la famille dirigeante du peuple Montauk portait le nom de Pharoah, créant un parallèle symbolique avec les Pharaons d’Égypte. Selon lui, Montauk se situe sur un point géométrique sacré de la grille terrestre, un lieu de pouvoir utilisé pour influencer l’évolution planétaire et le « programme morphogénétique » de la vie sur Terre.
Moon évoque les tensions politiques locales entourant cette affaire. Il cite des scandales impliquant des responsables municipaux, des juges et des journalistes accusés d’étouffer les enquêtes sur les abus policiers et les activités secrètes de la base. Il décrit aussi l’arrestation controversée de John Ford, chercheur en ufologie, accusé de complot absurde et maintenu en détention sans procès, symbole selon lui du climat de répression entourant Montauk.
Il relie ces événements à des drames contemporains, notamment le crash du vol TWA 800 en 1996, qu’il attribue à un accident militaire impliquant un faisceau de particules provenant de Brookhaven Labs. Pour lui, cet épisode illustre la confusion du pouvoir aux États-Unis : factions militaires, services secrets et groupes privés agiraient en marge de la loi, tout comme les responsables du projet Montauk.
Il affirme que cette affaire dépasse la simple science ou la politique : elle s’inscrit dans une quête permanente pour comprendre les forces invisibles, les liens entre conscience, technologie, magie et pouvoir. Selon lui, Montauk reste un point névralgique où se croisent les dimensions physique, psychique et spirituelle de l’humanité.
Extrait 5 : matérialisation et manipulation du temps à Montauk
Ces informations proviennent du livre « The Montauk Project – experiments in time ».
Les recherches menées sur la base de Montauk
Après l’arrêt officiel du projet Phoenix par le Congrès, un noyau issu de Brookhaven poursuivit clandestinement des recherches de contrôle mental, hors supervision politique et avec l’appui logistique de l’armée. Pour expérimenter, ils obtinrent la base désaffectée de Montauk et son radar SAGE, émettant dans la bande 425–450 MHz présentée comme une « fenêtre » vers la conscience humaine. L’opération fut relancée sous le nom officieux de Montauk Project (ou Phoenix II). Le financement, non traçable, est décrit comme privé : d’abord un trésor d’or nazi volatilisé en 1944, puis des fonds attribués à la famille Krupp/ITT. La base fut réouverte vers 1971-1972, et les essais commencèrent en 1971-1973, avec un personnel mêlant militaires, civils et contractants (Preston Nichols dit y être arrivé en 1973).
Les premiers essais, dits « four à micro-ondes », consistaient à braquer le réflecteur SAGE sur une pièce blindée où un sujet (souvent Duncan Cameron) était assis, pendant que l’émetteur délivrait de très fortes puissances RF. En variant fréquence, largeur et cadence d’impulsion, les chercheurs observaient des modifications d’humeur et d’états (somnolence, agitation, rires, pleurs). L’exposition prolongée provoqua des lésions graves chez Duncan (cicatrices pulmonaires, atteintes cérébrales), avant que l’équipe ne comprenne qu’il fallait inverser la direction de l’antenne pour n’exposer qu’aux composantes « non brûlantes » tout en conservant l’effet psychophysiologique (une émission de composante éthérique a lieu du côté arrière de l’antenne parabolique du radar, la composante purement électromagnétique de puissance est dirigée vers l’avant de la parabole).

Pour étoffer les données, des unités de soldats furent invitées en « repos et détente » à Montauk, servant à leur insu de sujets d’essai, tandis que des émissions plus larges touchaient des civils de Long Island et des États voisins. L’équipe bâtit une vaste base de corrélations entre paramètres d’émission et réponses humaines, y compris des schémas de « frequency hopping » très rapides, notés ensuite comme clés pour des effets plus profonds (annonçant les futurs travaux sur le temps). À terme, ils disposèrent d’un pupitre permettant de programmer des « pulses » capables d’induire des schémas de pensée, d’augmenter l’agressivité ou la criminalité locales, d’agiter ou d’apaiser une population, et même, découverte fortuite, de neutraliser les systèmes électriques d’un véhicule ciblé.
Ce volet opérationnel s’est déroulé hors cadre légal, avec une sécurité renforcée au nom de secrets technologiques (furtivité, « bouteille électromagnétique »), bien que la finalité alléguée fût le contrôle des esprits plutôt que la défense. Des notes de Peter Moon ajoutent des pistes financières (affaire Sindona, loge P2, liens mafia/Vatican) et rappellent que l’influence des radiofréquences sur l’humeur a été documentée par d’autres chercheurs, indépendamment de Montauk.
La chaise de Montauk, technologie liée aux Siriens
Dans les années 1950, la société ITT aurait mis au point une technologie capable de lire les pensées humaines en détectant les signaux électromagnétiques du cerveau. Le dispositif consistait en une chaise entourée de bobines reliées à plusieurs récepteurs et à un ordinateur Cray 1, qui traduisait ces signaux en données numériques, permettant d’afficher sur écran ce qu’une personne pensait ou visualisait. Progressivement, les ingénieurs auraient obtenu non seulement un texte correspondant aux pensées, mais aussi des images tridimensionnelles de ce que le sujet imaginait.
Selon les récits de Preston Nichols, l’origine de cette technologie serait liée à une aide extraterrestre provenant des « Siriens », censés avoir fourni le principe de base de l’appareil. Fascinée par cet outil de décodage mental, l’équipe du projet Montauk décida d’en faire un émetteur, afin de projeter les pensées d’un opérateur vers d’autres sujets ou même dans un espace artificiel. C’est ainsi qu’apparut le fameux dispositif connu sous le nom de « Montauk Chair ».
La chaise fut connectée au système de bobines d’ITT, au Cray 1 et à un ordinateur IBM 360 chargé de moduler le signal radio du grand émetteur de Montauk. Al Bielek, ingénieur et médium, intervint pour relier informatiquement les deux machines et traduire les données issues des pensées en impulsions radio. Le but était de convertir l’activité mentale d’un opérateur psychique assis dans la chaise en une émission électromagnétique capable de créer ou influencer une réalité.



La Chaise de Montauk utilisait des champs quantiques subtils pour lire les pensées d’une personne. Un médium s’allongeait sur la chaise, entrait en transe, et un ensemble de bobines captait les ondes émises. Une série de récepteurs radio, conçus à l’origine par Tesla, recueillait ces signaux et les numérisait, transformant ainsi la pensée en code informatique. La tour radar servait ensuite à matérialiser ces pensées dans la réalité. Cette chaise fut utilisée à de nombreuses fins, notamment pour ouvrir un vortex temporel. De nombreux jeunes du programme Montauk furent perdus lors des premiers essais de ce vortex temporel.
Cependant, des interférences rendaient la transmission instable. Pour les contourner, la chaise fut d’abord déplacée dans un centre ITT à Southampton : le médium y pensait des images, que l’ordinateur transmettait à Montauk, où elles étaient diffusées par le radar. Cette configuration, décrite comme un amplificateur de pensée, finit par donner des résultats cohérents : les formes mentales du sujet étaient retransmises fidèlement.
Les chercheurs remarquèrent ensuite que ces expériences échouaient lors de « glitches temporels », c’est-à-dire des discontinuités du flux du temps. Une forte émission pendant un tel décalage pouvait provoquer des effets dangereux. Pour stabiliser l’ensemble, la chaise fut réinstallée à Montauk même, mais dans une zone isolée des perturbations électromagnétiques.
Des prototypes inspirés d’une technologie supposée sirienne furent alors réétudiés. RCA remporta le contrat d’un nouveau modèle, intégrant des circuits de réception basés sur les travaux de Nikola Tesla, notamment des structures de bobines dites Delta-T (ou Delta-Time) capables de capter trois axes temporels. Ces nouveaux récepteurs, associés à des bobines de type Helmholtz, créaient un champ constant à l’intérieur tout en étant neutres à l’extérieur.
Ce perfectionnement rendit la chaise indépendante du signal du radar : elle pouvait désormais fonctionner sans interférences ni retour d’onde. Installée dans le sous-sol du bâtiment de transmission, la deuxième génération du dispositif fut opérationnelle vers 1975-1976, après plusieurs mois d’ajustement. Selon Nichols, le système permit pour la première fois de projeter avec une fidélité totale les pensées d’un opérateur, un jalon majeur dans le programme de contrôle mental et, plus tard, d’expérimentations temporelles à Montauk.

Expériences de matérialisation par la pensée et de manipulation mentale
Vers 1977, après plusieurs années de réglages, les ingénieurs du projet Montauk parvinrent à faire fonctionner l’ensemble chaise–ordinateur–transmetteur avec une fidélité totale. Les pensées de Duncan Cameron, le médium principal, pouvaient être lues et diffusées sans interférences. Lorsqu’il se concentrait sur un objet matériel, celui-ci apparaissait littéralement sur la base, comme matérialisé à partir du vide. Selon Preston Nichols, le système permettait de créer des objets solides ou partiellement tangibles, existant tant que le transmetteur restait activé. L’équipe constata qu’elle avait trouvé le moyen de matérialiser la pensée pure.

Duncan Cameron, né le 29 juin 1951, a reçu une formation psychique approfondie de la part d’agences secrètes. Il occupait la Montauk Chair lors des expériences de Montauk et se souvient également avoir voyagé entre 1943 et 1983 durant l’expérience de Philadelphie.
Selon les dires de Alfred Bielek, les ingénieurs temporels du projet Montauk remontèrent le temps jusqu’en 1950 et convainquirent le père biologique de Duncan, Alexander Cameron, d’engendrer un autre fils. Une fois cela fait, ils retirèrent l’âme de Duncan et la placèrent dans ce nouvel enfant. Cet individu est celui que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de Duncan Cameron. Le nouveau Duncan reprit alors là où l’ancien s’était arrêté. Il devint l’un des principaux médiums opérant la Chaise de Montauk. Celle-ci servait à générer et maintenir la fréquence nécessaire pour réaliser les expériences de voyage temporel et de contrôle mental.
Ces expériences prirent ensuite une tournure plus expérimentale et inquiétante. Duncan pouvait non seulement faire apparaître des formes, mais aussi percevoir le monde à travers les yeux, les oreilles et le corps d’autres personnes, à distance, grâce à une technique baptisée « The Seeing Eye ». À partir de là, les chercheurs voulurent vérifier s’il était possible d’inverser le processus, en implantant des pensées dans un esprit humain. Les tests montrèrent qu’après un simple contact, Duncan pouvait influencer profondément un individu, lui imposant ses idées ou même ses actes, au-delà de l’hypnose ordinaire. En utilisant les équipements de Montauk, les scientifiques purent littéralement insérer des programmes mentaux, des images ou des ordres dans le cerveau de sujets humains, ouvrant la voie à une forme de contrôle mental total.
Entre 1977 et 1979, les expériences se multiplièrent, touchant aussi bien des personnes que des groupes, des animaux ou des machines. Ils provoquèrent des pannes d’appareils électroniques, des déplacements d’objets, des destructions, et même des phénomènes de masse : animaux fuyant vers la ville, montée de criminalité locale. Ces manifestations étaient attribuées à la puissance psychique de Duncan amplifiée par le système.
Son entraînement aurait reposé sur des techniques de conditionnement extrêmes : plongé dans un état d’extase sensorielle, son « esprit primitif » devenait réceptif et programmable. Les chercheurs pouvaient y inscrire de nouveaux ordres par la voix, des sons, des images ou des stimuli sensoriels. Ce mode d’accès permettait de produire des formes mentales stables et de manipuler à distance les pensées d’autrui.
À la fin de 1978, ces méthodes de contrôle mental étaient, selon Nichols, entièrement opérationnelles et enregistrées sur des bandes destinées à d’autres agences pour exploitation future.
Découverte de la distorsion temporelle
En 1979, les expériences de Montauk prirent une tournure inattendue : les pensées projetées par Duncan Cameron ne se matérialisaient plus immédiatement, mais plusieurs heures plus tard. Les chercheurs comprirent qu’ils venaient d’atteindre un nouveau stade : leurs émissions psychiques pouvaient se manifester hors du flux temporel normal, ouvrant la voie à la manipulation du temps lui-même.
Pour approfondir le phénomène, l’équipe assista à des conférences spécialisées sur la structure du temps, appelées « Sigma Conferences », tenues près d’Olympia, dans l’État de Washington. Leurs conclusions furent que le matériel de Montauk pouvait déjà tordre le temps, mais de manière imparfaite. L’antenne radar employée produisait seulement un effet partiel de « distorsion temporelle ». Les ingénieurs cherchèrent alors une structure d’antenne plus adaptée, capable de créer de véritables « potentiels temporels ».
Après de nombreuses études sur les impulsions électromagnétiques, la géométrie pyramidale et les fonctions dites « Delta Time », un nouveau dispositif fut conçu : l’antenne « Orion Delta T ». D’après une rumeur interne, ce modèle aurait été inspiré par des informations fournies par des entités venues de la constellation d’Orion. L’antenne, gigantesque octaèdre de 100 à 150 mètres de haut, fut installée sous terre, à environ 300 mètres de profondeur sous le bâtiment du transmetteur.
La chaise de Duncan fut placée entre cette antenne souterraine et l’antenne radar supérieure, à un point neutre censé annuler toute interférence. Trois circuits alimentaient le système : deux provenant des modulateurs d’impulsion du radar, le troisième d’un générateur de bruit blanc de 250 kilowatts assurant la cohérence de l’ensemble. Le couplage entre les champs électromagnétiques au sol et souterrains provoquait alors des perturbations dans le continuum espace-temps, proches de celles de l’Expérience de Philadelphie.
Les chercheurs reprirent le concept de « temps zéro » déjà évoqué par Tesla : un point immobile, commun à tous les univers, autour duquel tourne la création. Tesla aurait conçu dès les années 1920 un générateur de référence à zéro temps, un assemblage mécanique de roues et de rotors surnommé « whirligig », qui se synchronisait avec la rotation terrestre. À Montauk, ce principe fut intégré pour stabiliser le champ temporel du transmetteur.
Le bruit blanc, quant à lui, servait de liant énergétique. Il rendait cohérents les multiples oscillateurs du radar, en harmonisant leurs composantes « éthériques » grâce à une modulation aléatoire sur toutes les fréquences. Deux signaux de 30 hertz, issus du générateur de zéro temps, synchronisaient les horloges du système et le bruit blanc, permettant de relier la modulation du radar au centre du temps universel.
Tout cet ensemble devait rendre les transmissions psychiques de Duncan « cohérentes avec le temps zéro ». Von Neumann, cité comme conseiller théorique du projet, aurait insisté sur cette cohérence pour ouvrir une porte temporelle vers 1943, date de l’Expérience de Philadelphie. Après plusieurs ajustements, Duncan fut calibré comme unique opérateur, son esprit semblant conserver un lien naturel avec le « point zéro » depuis son expérience supposée à bord de l’Eldridge.
Vers 1980, l’immense antenne radar au sommet de la base fut remplacée par deux transmetteurs alimentant à la fois l’antenne souterraine et l’antenne omnidirectionnelle supérieure. La chaise fut installée entre les deux, et le centre de contrôle équipé d’un vaste système informatique reliant ordinateurs, modulateurs et terminaux de surveillance.
Lorsqu’on activait le transmetteur et que Duncan se concentrait sur deux dates, par exemple de 1980 à 1990, un « trou dans le temps » apparaissait dans la structure de l’antenne souterraine : un tunnel lumineux, circulaire et spiralé, reliant deux époques. Ceux qui y entraient affirmaient pouvoir voyager d’un point temporel à un autre. Nichols précise qu’il lui était interdit de s’y aventurer, son rôle technique étant jugé trop crucial.
Entre 1980 et 1981, ces portails furent progressivement stabilisés : d’abord instables et dérivant dans l’espace-temps, ils finirent par rester ouverts de façon prévisible. Les chercheurs découvrirent qu’ils se fondaient sur un cycle naturel de vingt ans reliant les dates clés de 1943, 1963 et 1983 : des « ancrages temporels » utilisés pour créer des sous-vortex menant vers d’autres périodes.
Une fois le système maîtrisé, la base fut vidée de la majorité de son personnel. Seuls restèrent quelques ingénieurs essentiels, les directeurs du projet et les psychiques, principalement Duncan, afin de poursuivre dans le plus grand secret les expériences sur la manipulation et la traversée du temps.
Les voyages temporels
Entre 1981 et 1983, le projet Montauk entra dans sa troisième phase, baptisée « Phoenix III ». Une nouvelle équipe, appelée la « Secret Crew », fut recrutée pour remplacer les anciens techniciens. Le but principal n’était plus seulement de créer des portails temporels, mais d’explorer le temps lui-même : observer le passé, sonder le futur, et étudier différents environnements à distance. Grâce au vortex, les scientifiques pouvaient analyser l’air, le sol ou les conditions d’un lieu sans y pénétrer physiquement.
Ceux qui traversaient ces tunnels temporels décrivaient un passage spiralé et lumineux, semblable à un immense tube en forme de tire-bouchon. Une fois engagés, ils étaient aspirés jusqu’à une autre époque ou un autre lieu de l’univers, selon la configuration du transmetteur. S’ils perdaient la connexion énergétique, ils restaient piégés dans l’hyperspace, un espace au-delà des trois dimensions. Beaucoup ne revinrent jamais. Duncan affirmait qu’à deux tiers du parcours, son esprit se détachait du corps, lui donnant une perception étendue et une sensation de contact avec une intelligence supérieure, expérience baptisée « Full Out ».
Pour les expérimentations, le personnel enlevait régulièrement des personnes dans la rue, souvent des sans-abris ou marginaux jugés « non réclamés ». Ils étaient équipés d’appareils radio et vidéo, puis projetés dans le vortex pour observer d’autres époques. Certains revenaient et rendaient compte de leurs observations ; d’autres disparaissaient définitivement.
À côté de ces cobayes adultes, des enfants furent également utilisés. Un réseau de jeunes « recruteurs » en attirait d’autres, surtout des garçons de 9 à 18 ans, souvent blonds et aux yeux clairs. Ils étaient envoyés à travers le portail vers une destination fixe : l’an 6037. Là, ils se retrouvaient dans une immense cité déserte et figée, dominée par une statue dorée de cheval sur un piédestal gravé d’inscriptions mystérieuses. Chaque enfant devait lire ou interpréter ce texte et décrire ses impressions. Selon certains témoignages, la statue contenait une technologie inconnue ; d’autres pensaient qu’elle servait simplement à tester la perception des voyageurs.
Beaucoup d’expérimentateurs furent également envoyés plus loin dans le futur, parfois de plusieurs siècles, et abandonnés. On estime que trois à dix mille personnes auraient ainsi été « perdues dans le temps ».
Outre ces envois humains, les scientifiques auraient utilisé des vortex secondaires pour observer des périodes historiques, notamment les deux guerres mondiales. Ces portails énergétiques, moins solides que les grands tunnels, permettaient d’obtenir des images du passé ou du futur, retransmises sur des écrans via un système de conjugaison de phase. Ainsi, selon Preston Nichols, Montauk aurait disposé d’une véritable fenêtre audiovisuelle ouverte sur l’histoire.
Les voyages vers Mars via les portails spatio-temporels de Montauk
À la fin de 1981 ou au début de 1982, les chercheurs du projet Montauk utilisèrent pour la première fois leur technologie de distorsion temporelle afin d’accéder à des zones souterraines situées sous la grande pyramide de Mars. L’idée reposait sur la conviction qu’une ancienne civilisation y avait laissé des installations scellées depuis des millénaires.
On rappelle les controverses entourant les photographies de la région martienne de Cydonia, notamment celles du « visage » et des pyramides montrées par la sonde Viking dans les années 1970. Le journaliste scientifique Richard Hoagland avait présenté ces images dans sa vidéo « Mars Mission » et plaidait auprès de la NASA pour de nouvelles prises de vue, mais l’agence aurait refusé et même tenté d’interdire la diffusion du film.
Peter Moon évoque le livre et le documentaire britannique « Alternative 3 », qui décrivaient un programme spatial secret américano-soviétique et affirmaient que des humains auraient atteint Mars dès 1962 pour y établir des colonies. Bien que cette histoire ait été qualifiée de fiction, elle servait selon lui de toile de fond aux activités du projet Montauk, dont les responsables savaient, ou croyaient savoir, qu’une colonie existait sur Mars.
Les chercheurs de Montauk étaient surtout intéressés par l’ancienne technologie supposée derrière les structures martiennes. Les civilisations modernes ne parvenaient pas à pénétrer la pyramide principale, mieux scellée encore que celle de Gizeh. L’équipe de Montauk décida donc d’utiliser un vortex temporel pour s’introduire directement à l’intérieur. Duncan Cameron visualisait le lieu depuis la « chaise de Montauk », et ses visions étaient retransmises sur des moniteurs. En ajustant le portail, ils repérèrent un couloir souterrain et purent le stabiliser, permettant à une équipe de passer physiquement de Montauk à Mars.
Le système évolua : les fonctions psychiques de Duncan furent enregistrées, et les ordinateurs purent reproduire ses créations pendant quelques heures sans lui. Une bibliothèque de bandes fut constituée, permettant d’ouvrir des portails sans sa présence directe. Cela permit ensuite d’envoyer Duncan lui-même à travers ces vortex, notamment en 1982 et 1983, pour participer à une mission sur Mars.
Les chercheurs explorèrent le passé de la planète et ne trouvèrent de traces de vie qu’en remontant environ 125 000 ans. Duncan affirma avoir pénétré dans la pyramide et y avoir observé une technologie qu’il appela le « système de défense du système solaire », que les chercheurs auraient cherché à désactiver rétroactivement jusqu’en 1943, date à laquelle aurait commencé l’ère moderne des observations d’ovnis.
Peter Moon indique que le film Total Recall s’inspirerait librement de ces événements, notamment de l’usage d’une chaise mentale comparable à celle de Montauk. Les recherches sur le temps se poursuivirent jusqu’au 12 août 1983, moment où le lien temporel fut établi avec 1943 et 1963. Peter Moon évoque d’anciens textes mentionnant une « race des anciens », ancêtres des civilisations terrestres, thème qu’il développera dans ses autres ouvrages.
La connexion avec le vortex de l’Expérience de Philadelphie
Le 5 août 1983, les techniciens reçurent l’ordre de laisser fonctionner en continu le grand émetteur de Montauk. Pendant plusieurs jours, rien d’anormal ne se produisit, jusqu’au 12 août. Ce jour-là, les appareils semblèrent soudain se synchroniser avec une autre source d’énergie, et le vaisseau USS Eldridge, utilisé pour l’expérience de Philadelphie de 1943, apparut dans le portail temporel. Les chercheurs venaient d’établir une connexion directe entre 1943 et 1983, exactement quarante ans après l’expérience d’origine, en raison des cycles de vingt ans de la Terre mis en évidence par leurs travaux.
À travers cette ouverture temporelle, le Duncan Cameron de 1943 fut aperçu à bord du navire, tandis que son double de 1983 se trouvait sur la base. Pour éviter un paradoxe temporel, on empêcha tout contact entre eux. La situation prit alors une tournure inquiétante. Plusieurs membres de l’équipe, déjà critiques vis-à-vis des dérives du projet, craignaient les conséquences karmiques et cosmiques de ces manipulations du temps. Ils décidèrent secrètement de provoquer l’arrêt du programme en utilisant une procédure spéciale que seul Duncan pouvait déclencher.
Lorsqu’on lui souffla le code « The time is now », Duncan, plongé dans la chaise, relâcha une créature monstrueuse issue de son inconscient. Un être poilu et gigantesque, d’apparence changeante selon les témoins, prit forme sur la base, semant la panique et détruisant tout sur son passage. Pour mettre fin au chaos, les techniciens tentèrent d’arrêter l’émetteur, mais ni la coupure du courant ni les déconnexions successives ne stoppèrent le système, qui semblait fonctionner en mode d’énergie libre.
Finalement, l’un des opérateurs découpa physiquement les câblages et les conduits du transmetteur au chalumeau, jusqu’à ce que l’appareil s’éteigne enfin. La créature disparut alors et le portail se referma.
Après coup, on comprit que les générateurs de 1943 et de 1983 s’étaient verrouillés ensemble, créant un flux d’énergie stable entre les deux époques. Ce lien formait un vortex maître, utilisé ensuite pour voyager dans le temps, les points d’accès variant selon qu’on passait par l’extrémité de 1943 ou celle de 1983.
Trois niveaux de « témoins » rendaient cette connexion possible : d’abord les personnes présentes sur l’USS Eldridge (ou leurs réincarnations, comme Duncan et Al Bielek) ; ensuite les équipements techniques, dont le générateur de référence temporelle conçu par Tesla et des émetteurs radio inter-temporels ; enfin le biorythme planétaire, un cycle naturel de vingt ans correspondant aux rythmes vitaux de la Terre et de l’univers. C’est cette résonance qui expliqua la coïncidence entre les expériences de 1943 et de 1983.
Après ces événements du 12 août, la base fut abandonnée. L’électricité fut rétablie mais les lieux restèrent en désordre. Le personnel fut retrouvé, interrogé, puis soumis à des effacements de mémoire, mettant un terme au projet Montauk.
Extrait 6 : rétro-ingénierie extraterrestre de Preston Nichols
Introduction sur la dissimulation des extraterrestres par les militaires
Les rumeurs de crashs d’OVNIs commencèrent également autour de 1936 et se multiplièrent pendant la Seconde Guerre mondiale, culminant avec Roswell en 1947. À partir de cette période, Nichols affirme qu’un crash surviendrait en moyenne tous les trois à quatre mois. Cette fréquence aurait conduit l’Armée de l’air américaine à lancer le Project Blue Book, un programme à double objectif. Le premier consistait à recueillir toutes les informations sur les observations et les accidents d’OVNIs pour des raisons de sécurité nationale. Le second visait à dissimuler ces informations, à la fois aux ennemis potentiels et au grand public.
Selon Nichols, cette dissimulation ne relevait pas uniquement de la stratégie militaire : elle répondait aussi à une crainte psychologique. Les autorités redoutaient un mouvement de panique générale si la population apprenait la réalité d’une présence extraterrestre. L’exemple du célèbre canular radiophonique War of the Worlds en 1939, où des auditeurs paniqués crurent à une invasion martienne, aurait servi d’avertissement.
Il avance une autre raison plus profonde, d’ordre anthropologique : dans la culture occidentale, beaucoup associent Dieu au ciel. Si une civilisation avancée apparaissait soudainement dans des vaisseaux spatiaux, une partie de la population pourrait les considérer comme des messagers divins ou des anges, entraînant la formation de nouveaux cultes et un effondrement du contrôle social et religieux. Pour Nichols, cette crainte aurait poussé le gouvernement à maintenir le secret, transformant une question de sécurité en un véritable mécanisme de pouvoir et de manipulation.
Preston Nichols situe la naissance de l’ufologie moderne en 1947, avec deux événements majeurs : les observations de Kenneth Arnold dans le nord-ouest des États-Unis et le crash de Roswell au Nouveau-Mexique. Ce dernier cas, largement documenté, a depuis fait l’objet de nombreux ouvrages et d’un film. Nichols précise toutefois que des observations d’objets volants inconnus avaient déjà eu lieu auparavant, notamment dans les années 1930.
Le premier témoignage qu’il dit avoir entendu remonte à 1936, une date qu’il juge significative car elle coïncide avec les débuts de l’expérimentation militaire du radar. Pour la première fois, les techniciens pouvaient vérifier qu’un objet détecté dans le ciel avait une réalité physique et n’était pas une illusion. Ce fut, selon lui, la première preuve scientifique tangible du phénomène. À cette époque, on appelait ces engins des « flying unknowns », mais l’abréviation F.U. n’a pas été conservée.
Affectation secrète et étude technique d’un vaisseau extraterrestre
Au milieu des années 1970, alors qu’il travaillait pour un grand sous-traitant de la défense sur Long Island, Preston Nichols fut désigné par son supérieur pour participer à une mission confidentielle sur une base de l’US Air Force. On lui annonça qu’il s’agissait d’examiner une technologie étrangère, ce qu’il crut d’abord être du matériel russe ou chinois. Il découvrit ensuite que la mission n’était pas facultative.
Avec cinq autres ingénieurs, il embarqua à bord d’un avion depuis Republic Field. Après un vol estimé vers l’Ohio, l’appareil entra directement dans un hangar fermé avant qu’ils soient transférés, à bord d’un fourgon sans fenêtres, vers un lieu inconnu. Après plusieurs heures de trajet, le groupe fut conduit dans un vaste hangar souterrain dépourvu de repères extérieurs. Ils reçurent un briefing de sécurité par des militaires de l’Air Force avant d’être menés vers l’objet à examiner : un disque volant métallique.
Le personnel leur précisa qu’ils se trouvaient dans la division du « Foreign Aircraft Technology Group », une appellation censée dissimuler la véritable nature du projet. Nichols constata que l’appareil correspondait parfaitement à l’image classique d’une soucoupe volante : environ quinze mètres de diamètre, six mètres de haut, une coupole au sommet et trois trains d’atterrissage. Une rampe menait à une ouverture latérale.
En montant à bord, Nichols fut frappé par l’espace intérieur anormalement vaste, sans rapport avec la taille extérieure. Il estima qu’ils avaient parcouru plusieurs centaines de mètres à l’intérieur d’un engin d’à peine cinquante pieds. Il en conclut plus tard que le vaisseau générait une réalité artificielle interne, principe qu’il nomme « reality engineering », c’est-à-dire la création d’un espace autonome interfacé avec la réalité physique.
Le vaisseau ne comportait ni commandes visibles, ni boutons, ni leviers. L’éclairage s’activait automatiquement à leur approche et s’éteignait après leur passage. Les militaires expliquèrent que l’atmosphère interne avait été modifiée pour convenir à la respiration humaine. Dans la salle de commande se trouvaient trois grands fauteuils inclinables, reliés à des fils et bobines destinés à capter les pensées des occupants. Devant eux, quatre écrans permettaient, par simple commande mentale, d’afficher des cartes stellaires, des images ou la vision extérieure du vaisseau. Nichols remarqua la similitude de cette technologie avec celle du « Montauk Chair » qu’il décrira plus tard dans ses recherches.
Derrière les écrans se trouvait une pièce remplie de cristaux reliés par des bobines et des câbles métalliques, formant ce qu’il identifia comme le cœur énergétique de l’engin. L’étage supérieur comprenait des quartiers d’équipage, des laboratoires et une section médicale, avec de grandes tables évoquant d’éventuelles expériences biologiques. À la base du vaisseau, il observa d’autres amas de cristaux interconnectés par des fils d’or, d’argent et de platine, mais très peu de cuivre. Quatre modules hémisphériques, prolongés d’antennes, constituaient les unités périphériques reliées à une immense bobine circulaire entourant la partie inférieure du vaisseau.
D’après ses mesures et observations, Nichols conclut que la propulsion reposait sur des principes électromagnétiques : les antennes des quatre modules généraient le champ électrique, tandis que la grande bobine produisait le champ magnétique. L’ensemble était couplé au réseau de cristaux, qu’il interpréta comme un système d’ingénierie de l’espace-temps. Il observa le vaisseau s’élever de trois à six mètres au-dessus du sol du hangar pour des tests, pendant lesquels son équipe mesura les tensions, courants alternatifs et fréquences. L’équipement de mesure installé autour, analyseurs de spectre, ordinateurs et instruments inédits, dépassait tout ce qu’il connaissait jusque-là.
Nichols supposa que l’intérieur du vaisseau fonctionnait comme un système passif de génération de réalité, ne dépendant pas d’une alimentation électrique continue. Le dispositif entier, combinant fauteuils télépathiques, cristaux centraux et bobine périphérique, constituait selon lui un générateur d’espace-temps autonome.
À son retour sur Long Island, il remarqua que ses collègues ne se souvenaient de rien et refusaient d’en parler. Lui-même éprouva des trous de mémoire, découvrant plus tard qu’il menait, selon ses termes, une « vie enfouie » liée à ses activités dans les laboratoires de Brookhaven et sur le projet Montauk. Dans ce contexte parallèle, il affirma avoir vu un autre vaisseau, ovale et plus simple, comportant des écrans et des fauteuils similaires mais aussi des boutons et cadrans. Il participa à son démontage partiel sans pouvoir en comprendre la conception complète. Ce modèle semblait moins avancé, fragmenté en modules détachables, rappelant les descriptions de soucoupes associées aux « Gris ».
Nichols conclut que le vaisseau étudié sur la base de Wright-Patterson représentait la forme la plus perfectionnée connue, une sorte de « Cadillac » des soucoupes volantes, dépassée uniquement par des véhicules d’ordre spirituel.
Le crash de Moriches Bay et le brouilleur électromagnétique pour abattre des OVNI
En 1989, peu avant son licenciement de la société BJM, Preston Nichols participa à une opération gouvernementale impliquant un dispositif de transmission UHF. L’entreprise, sous contrat fédéral, avait échoué à construire un émetteur à impulsions pour un usage militaire secret. En raison de sa réputation d’ingénieur capable de faire fonctionner des technologies liées à des « projets occultes », Nichols fut chargé de reprendre le travail.
Après avoir discuté avec le commanditaire, il comprit que le système requis devait être à lampes et non à transistors. Il rénova un ancien émetteur d’aéroport capable de produire environ 500 watts dans la bande UHF, le modifia selon les spécifications reçues et y adapta une antenne hélicoïdale montée sur trépied. Le dispositif terminé, il fut invité à le livrer personnellement à la base militaire de Fort Meade, dans le Maryland.
À son arrivée, il fut surpris par la facilité de l’accès : les responsables savaient déjà qui il était et l’orientèrent vers un hangar spécifique. Accompagné de deux agents, il installa l’émetteur et attendit les instructions. Peu après, un petit engin discoïdal apparut et se positionna devant eux. Sur ordre, Nichols activa son émetteur : le disque devint instable, vibra et oscilla avant qu’on lui ordonne de couper la transmission. Les agents confirmèrent que le test était concluant et lui demandèrent de ramener l’équipement à BJM.
Deux mois plus tard, Nichols apprit que le département des récepteurs satellites de son entreprise travaillait sur des dispositifs capables de suivre des OVNIs grâce à leur signature électromagnétique. Ce programme s’inscrivait, selon lui, dans la logique du projet « Star Wars » de l’administration Reagan, officiellement destiné à la défense stratégique contre des missiles soviétiques, mais en réalité orienté vers la détection d’engins extraterrestres.
Le 25 septembre 1989, il reçut l’ordre d’emporter l’émetteur et de le garder chez lui. Le soir même, vers 21 h, il fut appelé : il devait amener le matériel au sud de la William Floyd Parkway à 22 h précises. Deux collègues l’accompagnèrent. Sur place, un barrage de police les attendait, mais les forces de l’ordre confirmèrent qu’ils étaient attendus. Guidés jusqu’à Smith Point Park, ils furent pris en charge par des hommes en tenue militaire et d’autres en civil. On lui demanda d’installer son émetteur sur une jeep, près d’une table de travail entourée de dispositifs : un grand van équipé d’un radar rotatif, une parabole massive dont le centre contenait un bloc ressemblant à un réfrigérateur, et un générateur de 400 hertz alimentant l’ensemble.
Nichols raccorda les câbles de modulation et d’alimentation. Au signal radio donné par un opérateur, il mit sous tension son émetteur. Une lueur bleutée jaillit du centre de la parabole, se reflétant dans le ciel. Le test sembla réussi, et on leur ordonna d’attendre. Vers 23 h, plusieurs hélicoptères arrivèrent depuis le nord et commencèrent à tourner au-dessus de Moriches Bay, entourant un point lumineux dans le ciel. Les lumières et les appareils se déplacèrent ensuite vers le sud, passant au-dessus de leur position. Les projecteurs au sol furent allumés, révélant un immense vaisseau triangulaire d’environ 90 mètres d’envergure. L’objet poursuivit sa trajectoire vers la côte, effectua un virage en U, puis revint au-dessus de la baie.
À cet instant, les équipements de Nichols se mirent à vibrer et bourdonner. Le vaisseau se mit à chanceler, produisant des sons étranges, avant de s’écraser dans la baie dans un grand fracas et une gerbe d’eau. Aussitôt, les responsables au sol annoncèrent la fin de l’opération et ordonnèrent le repli immédiat. Nichols et ses deux assistants remballèrent le matériel et rentrèrent chez eux.
Mais ils furent suivis. Des agents surveillèrent la maison de Nichols toute la nuit et filèrent ses collègues. Sa ligne téléphonique fut coupée, et même depuis chez un voisin, il ne parvint pas à les joindre. Le lendemain, il fut convoqué à une séance de débriefing où on lui ordonna d’oublier tout ce qu’il avait vu. Grâce à ce qu’il décrit comme une méthode personnelle de résistance mentale, il affirme avoir conservé le souvenir complet de l’événement. Ses deux compagnons, en revanche, perdirent toute mémoire de la soirée.
Cet incident devint connu dans la communauté ufologique sous le nom de Moriches Bay UFO Crash. Nichols explique que cet épisode marqua le début de sa rébellion contre le système de contrôle mental interne à BJM, appelé « Forget Me Not », et précéda son renvoi. Selon lui, l’appareil abattu ne pouvait appartenir à l’armée américaine ; il s’agissait d’une technologie extraterrestre perçue comme une menace. Il en conclut que l’Initiative de Défense Stratégique visait en réalité à intercepter des engins venus d’autres mondes, une idée qu’il relie au discours du président Reagan aux Nations Unies évoquant la possibilité d’une menace extraterrestre.
Après cet événement, Nichols s’associa à plusieurs chercheurs, dont George Dickson et John Ford du Long Island UFO Network, pour étudier le crash et d’autres phénomènes similaires dans la région. Il devint consultant scientifique de ce réseau et concentra ses recherches sur la technologie des OVNIs — en particulier la création et le déplacement d’espaces de réalité alternative. Ces aspects techniques, annonce-t-il, feront l’objet du chapitre suivant.
Commentaire personnel :
L'information que des engins spatiaux de type soucoupe volante aient été abattus par des émetteurs électromagnétiques est aussi donnée dans le contact avec Zeta Reticuli. Notamment il est fait état que des soucoupes de Zeta reticuli et de leur réseau (comprenant en plus d'eux d'autres mondes partenaires en visite sur Terre) se sont crashés suite à des émissions d'une énergie électromagnétique puissante pulsée qu'ils avaient d'abord prise pour une arme, avant de comprendre que c'était un nouveau type de radar puissant installé aux USA qui en avait été la cause. Les faisceaux émis par ces radars brouillaient leur ordinateur de bord, et suite à cela ils ont adopté une stratégie de vol par sauts pour ne pas rester dans les faisceaux radars.
Cette information est tout à fait compatible avec celle de réalisation volontaire d'un faisceau d'énergie électromagnétique dans le but de servir cette fois-ci d'arme pour abattre des soucoupes donnée ici.
Principe de fonctionnement des vaisseaux extraterrestres et ingénierie de la réalité
Preston Nichols parle de l’analyse technique du vaisseau qu’il aurait examiné sur la base de Wright-Patterson. Ce qui l’avait d’abord frappé était l’absence totale de commandes visibles : ni leviers, ni boutons, ni instruments de vol. Il en déduisit que le pilotage s’effectuait par la pensée, via les trois fauteuils installés dans la salle de commande et reliés à un système de cristaux et d’écrans. Selon lui, les pilotes pensaient simplement à la manœuvre souhaitée, et un ordinateur, connecté à ces sièges, traduisait leurs impulsions mentales en commandes effectives sur les dispositifs de propulsion du vaisseau.
Nichols explique que les ingénieurs militaires, confrontés à ces engins, peinaient à en comprendre le fonctionnement, car ils tentaient de l’interpréter à partir de la technologie humaine : ordinateurs de vol, moteurs, gouvernes, multiples circuits séparés. Or, dans ces vaisseaux, il n’existait qu’un seul système unifié commandé par un ordinateur central. Il compare ce principe aux simulateurs de vol modernes : des pilotes peuvent aujourd’hui interagir avec des systèmes électroniques simplement grâce à des électrodes reliées à leur tête, une technologie qu’il considère comme dérivée de ces engins. Il évoque aussi la possibilité que certains avions furtifs, comme le bombardier Stealth, utilisent partiellement ce type de commande psychique.
Il aborde ensuite les manœuvres spectaculaires observées chez les OVNIs (changements brusques de direction à des vitesses extrêmes), impossibles à reproduire selon les lois de la physique conventionnelle. Dans une situation normale, un virage à angle droit à plusieurs milliers de kilomètres à l’heure écraserait tout occupant contre les parois. Certaines théories évoquent l’usage de bains liquides protecteurs, mais Nichols estime que la véritable explication repose sur un principe plus simple et radical : la création d’un « générateur d’espace-temps électrogravitique ».
Selon lui, le dispositif principal du vaisseau combine plusieurs fonctions : antigravité, émission d’ondes électromagnétiques et manipulation de la structure même de la réalité. L’engin peut agir en deux modes distincts. Le premier, dit « antigravité », permet de se stabiliser ou de flotter silencieusement en contrôlant la répartition des courants gravitationnels autour du vaisseau. Dans ce mode, le vaisseau reste soumis à l’inertie et ne peut effectuer de manœuvres brutales.
Le second mode, qu’il considère comme le plus avancé, consiste à générer une « bulle de réalité » autonome, comparable à un champ soliton, semblable à celui qu’aurait été produit lors de l’Expérience de Philadelphie. Cette bulle isole le vaisseau de la réalité environnante et supprime toute inertie en ramenant sa masse effective à zéro. À l’intérieur de cette bulle, le vaisseau et son équipage se trouvent en repos relatif, tandis que la bulle elle-même peut se déplacer à des vitesses inimaginables et effectuer des virages à angle droit sans subir d’accélération.
Nichols explique que ce principe permet les voyages interstellaires. En générant une réalité distincte mais compatible avec la nôtre, un vaisseau peut dépasser la vitesse de la lumière par rapport à notre monde, tout en restant subluminal dans sa propre réalité interne. Ainsi, un trajet de plusieurs milliers d’années-lumière pourrait être accompli en quelques jours de notre temps, grâce à un décalage entre les deux cadres de référence.
Dans cette logique, les vaisseaux extraterrestres voyagent à des vitesses apparentes des millions de fois supérieures à celle de la lumière, non pas en franchissant la limite physique de la vitesse lumineuse, mais en manipulant la structure même de la réalité à l’aide de champs électrogravitique et de bulles spatio-temporelles à masse nulle.
Extrait 7 : science de voyage inter-dimensionnel et supraluminique
Formation d’une réalité artificielle : le rôle des « twisters » et des « spinners »
Preston Nichols introduit les bases théoriques de ce qu’il appelle la création d’une « réalité artificielle », concept central selon lui au fonctionnement des vaisseaux extraterrestres et à certaines expériences de Montauk. Pour expliquer ce principe, il introduit deux notions issues des mathématiques avancées : les twisters et les spinners.
Nichols fait une analogie avec les tornades, parfois appelées « twisters » ou « spinners » dans le langage courant. Il souligne que ces phénomènes atmosphériques produisent parfois des anomalies physiques inexplicables, comme des objets encastrés les uns dans les autres (par exemple des pailles plantées dans des vitres), violant les lois connues de la matière. Il rapproche ces anomalies de celles signalées lors de l’« Expérience de Philadelphie », où des marins auraient été fusionnés avec la structure métallique du navire USS Eldridge. Selon Nichols, de tels phénomènes traduisent des perturbations interdimensionnelles, où la matière passe temporairement dans un autre état de réalité. Il rappelle d’ailleurs que cette idée a été symbolisée dans la culture populaire par Le Magicien d’Oz, où un cyclone transporte l’héroïne vers un autre monde.
Passant ensuite à l’aspect mathématique, Nichols définit le twister comme un point abstrait, sans dimension, qui décrit un mouvement circulaire, un concept tiré de l’analyse tensorielle, discipline permettant de décrire des formes dans plusieurs dimensions simultanément. Il mentionne les travaux du physicien Roger Penrose, qui a théorisé les « spinners » et « twisters » dans la géométrie de l’espace-temps.
Une fois un twister (tornade en français) généré, il peut être « capté » et matérialisé à l’aide d’un champ électromagnétique. Le magnétisme, en résonance avec cette particule abstraite, la « tire » partiellement dans notre dimension. En s’étirant, ce twister devient un spinner : une structure en rotation comparable à un cylindre ou un tore, c’est-à-dire une boucle d’énergie orbitante. Nichols décrit ce processus comme une transition entre une onde mathématique et un phénomène physique mesurable.
Les spinners peuvent prendre diverses formes selon le mode de modulation appliqué : cône, sphéroïde, vortex ou structures plus complexes. Un type particulier de spinner relierait ses deux extrémités pour former une sphère énergétique, une forme que Nichols associe symboliquement à la Terre elle-même. Il avance que notre planète aurait été « conçue » à partir d’un tel champ énergétique, ce qui, selon lui, suggère une création dirigée, qu’il attribue à une intelligence supérieure, divine ou extraterrestre. Il oppose cette idée à la théorie du Big Bang, qu’il considère comme une interprétation matérialiste et réductrice de la genèse cosmique.
Les twisters et spinners pourraient être programmés par ordinateur. Lorsqu’ils reçoivent de l’énergie, ils produisent un « pli spatial », une distorsion du tissu de l’espace, qui devient la base d’une nouvelle réalité. À Montauk, ce type d’expérience aurait été réalisé à l’aide d’un puissant émetteur radio couplé à une antenne Delta-T (structure octaédrique à trois axes X, Y, Z). Nichols dit avoir personnellement tenté d’y imprimer des formes-pensées, sans jamais obtenir de matérialisation physique, faute de puissance suffisante.
Il rappelle que la conscience humaine réagit fortement à certaines bandes de fréquence, en particulier entre 400 et 450 MHz. Selon lui, cette fenêtre de fréquence agit comme un canal de transmission mentale : des idées peuvent y être projetées et amplifiées. Si une conscience entraînée utilise cette fréquence pour imposer des formes-pensées à l’intérieur d’un champ énergétique, elle peut stabiliser ces projections et générer une « réalité cohérente ». Cette technique, affirme-t-il, constitue le fondement même de ce qu’il appelle « l’ingénierie de la réalité ».
Ce type de « bulle de réalité », conclut-il, est le principe fondamental qui permettrait aux vaisseaux extraterrestres, et aux expériences de Montauk, de générer des environnements indépendants, se superposant à notre dimension.
Des origines alchimiques à la physique moderne : disparition du concept d’aether
Preston Nichols retrace l’évolution historique de la pensée scientifique, afin de montrer comment la physique moderne s’est progressivement détachée de la vision spirituelle et qualitative du monde héritée de l’alchimie. Avant Isaac Newton, la connaissance de la nature reposait sur l’alchimie, qui concevait la matière selon quatre éléments fondamentaux : terre, air, eau et feu. Cette discipline, davantage centrée sur les correspondances et les forces invisibles que sur les mesures quantitatives, relevait d’une véritable science des relations entre matière et esprit, autrement dit, de la magie naturelle.
Nichols souligne que l’histoire officielle a volontairement réduit l’alchimie à une entreprise naïve visant la transmutation des métaux en or, alors qu’en réalité, sa finalité la plus élevée était la transmutation de la conscience. Les alchimistes considéraient la matière comme une expression de la conscience et non comme une substance indépendante. Transformer un métal revenait donc à transformer un état de conscience. L’alchimie, écrit-il, était une forme de métaphysique, cherchant à comprendre les forces supérieures à la simple matière.
Les écrits alchimiques étaient rédigés en langage codé et réservés à des cercles initiés. C’est sur ce terreau symbolique que naquit la science moderne, lorsque Newton formula les lois du mouvement et de la gravitation. Ces lois, toujours valides dans la pratique, fondèrent l’ère mécanique. Newton, que Nichols décrit comme inspiré par une source supérieure, commit cependant selon lui une erreur fondamentale : il considérait les objets comme étant au repos, isolés du mouvement intrinsèque de l’univers. Malgré cela, ses lois marquèrent la première grande révolution scientifique.
Le second tournant majeur évoqué par Nichols est l’expérience de Michelson et Morley, réalisée en 1887, qui visait à démontrer l’existence de l’éther, un milieu invisible censé emplir l’espace et véhiculer la lumière, concept hérité directement des traditions alchimiques. Les anciens voyaient dans l’éther la substance universelle reliant toutes les formes d’existence, physiques, subtiles et spirituelles. Mais avec la montée du matérialisme scientifique, son sens profond fut réduit à une notion purement mécanique.
Michelson et Morley mirent au point une expérience utilisant deux faisceaux lumineux émis dans des directions opposées pour mesurer la différence de vitesse due au mouvement de la Terre dans cet « éther ». À leur grande surprise, les faisceaux revinrent au même moment : aucune trace de ce milieu n’apparut. Les scientifiques de l’époque en conclurent que l’éther n’existait pas. L’expérience, considérée comme un échec expérimental mais un triomphe théorique, entraîna l’abandon complet de cette notion, désormais tournée en dérision.
Nichols critique cette conclusion, qu’il juge fondée sur une erreur d’interprétation. Selon lui, le fait que l’éther n’ait pas été mesuré ne prouve pas son inexistence, mais seulement l’incapacité des instruments de l’époque à le détecter. Il estime que les scientifiques ont rejeté trop vite ce concept essentiel, parce qu’il échappait à leur méthode de mesure.
Commentaire personnel :
En fait l’expérience de Michelson et Morley n’a pas montré l’absence de différence de vitesse, mais une différence plutôt faible, bien plus faible que ce qui serait attendu si l’éther était immobile par rapport à rotation terrestre, qui était la théorie du portage du flux sur l’éther en vigueur. En clair l’éther était censé être un fluide immobile par rapport à la planète, comme une sorte d’espace fixe, non entraîné par la rotation terrestre. C’est par rapport à cette idée là que le test fut déclaré négatif. Or, il n’était pas négatif, et montrait une différence, comme si l’éther n’était pas immobile par rapport à la Terre et entièrement entraîné comme l’ atmosphère d’air terrestre qui suit le mouvement par friction est entraînée par elle.
Un autre scientifique de l’époque appelé Dayton Miller a refait la même expérience que Michelson et Morlay et a trouvé la même chose qu’eux. Mais ensuite il a mené l’expérience dans un laboratoire en altitude et là il a trouvé des valeurs 10 fois plus importantes que celles faites au sol dans le labo de l’université. Il a fait l’expérience des milliers de fois en essayant de vérifier tous les éléments possibles ayant créé de fausses mesures, différences thermiques locales, mouvement de l’air, etc et tout ce que les critiques pouvaient énoncer, et il a obtenu les mêmes résultats, il a fait ça pendant des dizaines d’années et publié ses résultats. L’expérience de Michelson et Morlay a été faite UNE seule fois en quelques dizaines de minutes au sol et la physique a évacué l’éther. Dayton Miller a été ridiculisé par la communauté scientifique car ses expériences montraient bien l’existence de l’éther et montrait que l’éther était entraîné par l’atmosphère terrestre. Il a pu montrer que l’éther est faiblement entraîné à haute altitude et fortement entraîné près du sol. Plus l’éther était en contact avec de la masse matérielle, en interagissant avec, donc en s’enfonçant vers le sol depuis l’espace, plus il était en friction avec la matière et entraîné par elle jusqu’à avoir un léger différentiel de vitesse au sol et un différentiel énorme en altitude.
Michelson lui-même vint voir les expériences et résultats de Miller des années après et y participa, et publia que les résultats de Miller étaient entièrement exacts, que son expérience initiale avec Morlay était en effet une conclusion insuffisante et qu’il fallait réintroduire l’éther. Mais la physique « officielle » avait décidé d’éliminer cet intrus et de ne pas chercher la vérité mais chercher à imposer son dogme nouvellement refondé. Ainsi depuis cette époque la physique est devenue irrémédiablement une description fausse de la réalité, par la volonté de dogmatiques, et les preuves scientifiques de l’existence de l’éther existent et sont flagrantes.
Albert Einstein était en correspondance avec Dayton Miller et disait que puisque sa théorie de la relativité restreinte partait du postulat que la vitesse de la lumière était fixe et que l’existence de l’éther était incompatible avec cette vitesse fixe de la lumière selon lui, alors c’était l’éther ou sa théorie qui était faux, donc pour lui l’éther n’existait pas. Toutefois l’incompatibilité de l’existence de l’éther avec la vitesse de la lumière fixe n’a en rien été démontré puisque le fonctionnement du fluide « éther » n’a pas été compris (clairement, au vu de son entraînement par la matière, il interagit avec elle) et donc rien n’assure d’une incompatibilité, une théorie correcte de l’éther est à établir. Einstein a préféré faire partie de ceux qui évacuent un possible problème pour sa théorie même si rien ne permettait d’affirmer un vrai problème à ce sujet, sauf dans des pré-conceptions déjà fausses puisque l’éther n’était pas figé.
Voir cet article de Dayton Miller sur le flux d’éther.
Nichols considère l’expérience de Michelson-Morley comme un événement de relations publiques plus que comme une véritable avancée scientifique. Elle marqua, selon lui, un virage idéologique : le bannissement de l’éther symbolisa l’exclusion des dimensions subtiles et spirituelles de la réalité hors du champ de la science officielle. Ce rejet aurait enterré, dans l’inconscient collectif, la vision unifiée du monde que portait l’alchimie. Nichols note enfin que cette expérience n’a conduit à aucun progrès technologique concret et qu’Albert Einstein lui-même, bien qu’il en ait hérité l’héritage intellectuel, reconnut qu’elle n’avait pas influencé sa propre théorie de la relativité.
Albert Einstein, ses origines méconnues et l’influence cachée sur la physique moderne
Preston Nichols dresse un portrait inhabituel d’Albert Einstein, mélangeant faits historiques, anecdotes et hypothèses sur d’éventuelles manipulations autour du savant. Il commence par rappeler que, malgré sa réputation de génie, Einstein était connu pour ses distractions et son manque d’orientation : il se perdait souvent à Princeton, devait être guidé pour se rendre à son travail à Caltech, et une anecdote le décrit même tombant dans une bouche d’égout. Nichols considère ces traits comme des indices d’une personnalité programmée, ou du moins influencée.
Il rappelle qu’Einstein est devenu la figure la plus célèbre de la physique moderne, mais que certains aspects de sa formation sont rarement mentionnés. À Zurich, il fut élève de Hermann Minkowski, mathématicien à l’origine de la théorie de l’espace-temps à quatre dimensions et enseignant d’une forme ancienne de la théorie du champ unifié. Selon des informations rapportées à Peter Moon par le docteur Jean Keating, Einstein aurait été envoyé à l’École polytechnique fédérale de Zurich (ETH) sous le parrainage du consortium bancaire Rothschild. Ayant échoué à l’examen d’entrée, il aurait été admis grâce à leurs appuis. Minkowski, qui le qualifiait de « chien paresseux » peu intéressé par les mathématiques, forma pourtant l’un des fondements de sa pensée scientifique.
Une fois diplômé en 1900, Einstein entra au bureau des brevets de Berne, où il rédigea ses premières théories majeures. Nichols voit dans cette trajectoire un modèle : soutenu par un pouvoir financier, placé dans un poste lui donnant accès à des inventions avancées, puis propulsé par une presse contrôlée par les mêmes intérêts. Il estime qu’Einstein fut constamment promu dans l’opinion publique pour façonner une vision de la physique maintenant l’humanité dans des limites plutôt que dans une ouverture spirituelle.
Il relie ensuite son influence directe à la création de la bombe atomique, fruit des travaux de John von Neumann et du soutien politique d’Einstein, qui écrivit à Roosevelt pour l’encourager à développer ce projet, ce qu’il regretta plus tard. Si ses théories ont contribué à la physique nucléaire, Nichols souligne que les avancées spatiales doivent beaucoup plus à Jack Parsons, ingénieur et occultiste adepte d’alchimie, inventeur du carburant solide et cofondateur du Jet Propulsion Laboratory. Nichols relève l’ironie du contraste entre l’image publique d’Einstein, humaniste et pacifiste, et celle de Parsons, perçu comme un marginal.
Nichols poursuit avec un épisode tiré de l’autobiographie de Theodore von Kármán, autre scientifique majeur lié à von Neumann et Parsons. Dans son récit, von Kármán raconte avoir été hospitalisé à Lake George puis opéré par un chirurgien allemand, le docteur Nissen, qui le laissa avec une hernie. Il précise que deux mois plus tard, le même chirurgien opéra Einstein, avec la même conséquence. Nichols y voit un parallèle troublant : plusieurs savants d’élite auraient subi des interventions similaires, peut-être destinées à des manipulations biologiques ou génétiques. Selon certaines spéculations qu’il relaie, ces opérations auraient impliqué des prélèvements destinés à reproduire artificiellement des cerveaux exceptionnels.
Nichols renforce cette idée en évoquant un homme qu’il identifie comme John von Neumann, rencontré des années plus tard sous un autre nom (Dr. Rinehart). Cet homme, affirme-t-il, présentait la même cicatrice et la même hernie que celles rapportées dans le livre de von Kármán. Pour Nichols, ces coïncidences s’ajoutent aux indices d’un programme secret de contrôle ou de clonage des scientifiques clés du XXe siècle, possiblement orchestré par des intérêts militaires ou occultes.
Malgré ces hypothèses, Nichols précise qu’il ne cherche pas à discréditer les découvertes d’Einstein. Il estime seulement que leur réception publique a été manipulée. Il compare Einstein à Nikola Tesla, qu’il considère bien plus visionnaire et pragmatique, mais dont les recherches furent marginalisées. Einstein, selon lui, ne s’est pas trompé, mais il a omis volontairement de divulguer certains aspects essentiels de ses travaux, notamment sa version achevée de la théorie du champ unifié, qui aurait été classifiée après l’Expérience de Philadelphie. Nichols mentionne un article de Time Magazine du 9 août 1943, retrouvé dans une compilation de bibliothèque, confirmant qu’Einstein travaillait alors pour la marine américaine à l’Institut d’Études Avancées de Princeton sur un projet unifiant la gravitation et l’électricité, les mêmes bases théoriques attribuées à l’expérience de téléportation navale.
Il relève avec humour un détail du même article : Einstein y est décrit portant un pantalon maintenu par une simple ficelle. Nichols note que le prétendu « Dr. Rinehart » qu’il identifiait à von Neumann faisait de même, et s’interroge sur cette étrange coïncidence symbolique, allant jusqu’à plaisanter sur l’idée que l’absence de ceinture puisse influencer l’énergie mentale ou indiquer un conditionnement psychique.
En conclusion, Nichols présente Einstein non pas comme un imposteur, mais comme un savant instrumentalisé, dont les découvertes auraient été détournées et partiellement dissimulées.
Vitesse de la lumière et principes pour la dépasser dans une bulle de réalité
Nichols repart de la relativité restreinte (1905) et de sa contrainte centrale : dans un référentiel donné, aucune énergie ne peut dépasser la vitesse de la lumière. Il rappelle son modèle de « bulle de réalité » : pour un observateur extérieur, un vaisseau peut sembler dépasser c, mais, à l’intérieur de sa propre bulle, il reste sous-luminal. Cette apparente contradiction exige d’examiner ce qu’est la lumière dont parle Einstein : la lumière en vide absolu, non celle que nous voyons au quotidien, déjà « déformée » par le milieu (prisme, atmosphère, champs). Dans un vide parfait, la lumière se comporte comme une onde pure d’énergie ; soumise à un champ magnétique, elle se « granule » en photons (particules), perd sa nature de lumière pure à vitesse c et ralentit. Pour Nichols, le magnétisme est donc un facteur intrinsèque de la création de la matière : notre univers visible serait de la lumière magnétisée, donc une distorsion de la lumière pure.
Il transpose ce principe au célèbre « Philadelphia Experiment » : de fortes bobines de dégaussage auraient démagnétisé la coque et, au sein d’un champ soliton jouant le rôle de vide/bulle, converti temporairement la matière du navire en onde de lumière pure, d’où la « disparition ». Par extension, démagnétiser la matière revient à la reconvertir en lumière pure ; mais pour l’utiliser, il faut la reprogrammer. Nichols avance que la bande 400–450 MHz, fenêtre de la conscience humaine, et en particulier 435 MHz (qu’il dit être un bruit de fond galactique), sert de porteuse pour injecter des « formes-pensées » dans l’onde démagnétisée et la réassembler ailleurs, fournissant le principe opérationnel des voyages spatiaux rapides : on crée le vide/bulle, on démagnétise (onde), on module à 435 MHz (programme), puis on rematérialise.
Il résume ensuite la relativité (points clés tirés d’un dictionnaire) : vitesse de la lumière constante, équivalence masse-énergie, temps relatif, espace-temps quadridimensionnel, gravitation comme courbure. Pour lui, cela entérine que notre monde est une « réalité courbée » d’un niveau plus fondamental. Magnétiser la lumière la fait se courber ; démagnétiser permet de retrouver l’onde pure. Voyager « plus vite que la lumière » exige donc un « warp » : torsion/localisation d’un tunnel/vortex reliant des régions de l’espace-temps, de sorte que le vaisseau, isolé dans sa bulle, bascule vers une autre réalité, y progresse, puis revient dans la nôtre. La comparaison avec les quarks sert d’analogie : ces constituants subatomiques apparaissent/disparaissent, comme s’ils interféraient avec un autre plan de réalité ; elle illustre l’idée de « pont » entre réalités.
Nichols relie cela à la mécanique quantique et à la théorie du chaos : l’imprédictibilité au niveau quantique a conduit à décrire des probabilités plutôt que des certitudes, ouvrant la porte à la notion de chaos au sens de réservoir de possibles. Maîtriser ces forces permettrait de structurer des bulles de réalité et d’opérer les « warps ». En synthèse, dépasser c dans notre référentiel n’implique pas violer la relativité si l’on passe par une bulle/réalité adjacente : démagnétiser la matière en onde de lumière, la moduler (435 MHz) pour l’organiser, puis la rematérialiser après un trajet effectué via une courbure d’espace-temps.
Extrait 8 : Stewart Swerdlow – siriens, pléiadiens, et Montauk
Les informations proviennent du livre « Montauk – the alien connection » écrit par Stewart Swerdlow et édité par Peter Moon.

Le grand-oncle de Stewart Swerdlow, Yakov Sverdlov, fut le premier président de l’Union soviétique. Afin de s’assurer que la loyauté de sa famille reste acquise au gouvernement américain, il fut « recruté » dès l’enfance pour des expériences spécifiques de contrôle mental menées par le gouvernement.
Stewart Swerdlow nait le 5 novembre 1956. Dès sa petite enfance il perçoit des phénomènes paranormaux : esprits errants, sons constants dans les oreilles, éclats colorés et visions de scènes à venir qui se réalisent toujours. Sujet à des cauchemars, il vit dans la peur et la solitude, malgré d’excellents résultats scolaires. L’école l’ennuie, il feint souvent la maladie pour rester à la maison et s’adonne à des jeux psychiques. Il se sent différent, trouve les enfants immatures, préfère converser avec les adultes et surtout les personnes âgées. Fasciné par les années 1930-1940, il regarde les films de guerre en secret, se surprenant à soutenir les Allemands malgré son ascendance juive, comme il soutient les Indiens dans les westerns.
Ses rêves sont hantés par des créatures venues d’ailleurs qui le capturent, l’examinent et lui transmettent des connaissances. Il a peur d’elles mais, paradoxalement, désire leur victoire dans les films de science-fiction. Les psychologues consultés plus tard ne relèveront aucun signe de pathologie ni de traumatisme d’abus. Il dit n’avoir jamais eu d’enfance : il s’est senti adulte dès sa naissance, détaché des jeux et des fêtes. Incompris, moqué, il se replie sur lui-même. Ses bulletins scolaires soulignent un enfant intelligent mais incapable de sourire, conscient de « terribles événements à venir sur la Terre ».
Des troubles de la vue et de l’audition apparaissent, sans explication médicale. Malgré des lunettes et une ablation des amygdales, rien ne change. Il reste malentendant, sa vision faible, mais il dit voir les auras, les archétypes et les symboles mentaux des gens, ainsi que percevoir des tonalités sonores imperceptibles aux autres.
Les souvenirs les plus marquants sont ceux d’« enlèvements extraterrestres ». Il affirme que certains furent réels, d’autres des expériences hyperspatiales, et d’autres encore des simulations d’origine gouvernementale. Il se souvient d’avoir été sorti de son lit par de petits êtres vêtus de combinaisons sombres, muets et rapides. La nuit, il craignait qu’ils ne le gardent à jamais, lui promettant qu’un jour il vivrait parmi eux. Il aimait sa famille et suppliait de rentrer chez lui, ce qu’ils lui accordaient toujours. Les lieux où il était emmené étaient froids et impersonnels. Parfois, il y voyait des hommes en uniforme bleu foncé, sans insigne, armés, surveillant d’autres humains dans des couloirs métalliques et des salles sans fenêtres. Des véhicules silencieux circulaient, des entrepôts remplis de caisses s’étendaient sur plusieurs niveaux. Un souvenir précis le montre s’échappant nu, courant dans les couloirs avant d’être retrouvé et s’évanouissant de peur.
Un contact majeur à ses 6 ans
Vers six ans, il vit un épisode majeur. Il se retrouve à bord d’un petit vaisseau circulaire, métallique et sombre, accompagné d’un être vert-gris haut comme lui, à la tête en forme de cœur et aux yeux noirs ronds. La peau du visiteur, humide, évoque celle d’une cosse de maïs. Par télépathie, il lui montre un hublot : ils volent au-dessus des nuages, escortés de plusieurs engins semblables. À l’intérieur, l’air est épais et humide. En montant par une échelle vers un dôme transparent, l’enfant a l’impression de se tenir à découvert au sommet du vaisseau, glissant à une vitesse vertigineuse. Il ressent la tension de sa peau, la brûlure du nez, les larmes aux yeux et la nausée. Le vaisseau ralentit par moments pour survoler différentes régions de la Terre. Il reconnaît des océans, des villes comme Paris, Rome et Athènes, les pyramides d’Égypte, les déserts et les sommets de l’Himalaya, puis des paysages évoquant l’Inde, la Chine et le Japon. Des noms de lieux apparaissent parfois dans son esprit, d’autres sur une carte mentale. L’engin survole aussi l’Alaska et l’Antarctique, qui l’attirent particulièrement. Selon le message reçu alors, il aurait survolé la planète trois fois d’ouest en est, puis trois fois du nord au sud, pour des raisons symboliques qu’il ne comprenait pas.
Épuisé, il demande à rentrer chez lui pour ne pas inquiéter ses parents. L’engin monte brusquement. À travers la paroi devenue transparente, il distingue la Terre en dessous, la Lune gigantesque, et au loin un globe lumineux identifié comme le Soleil. En se tournant, il voit dans l’espace une immense plateforme métallique flottant parmi de nombreux vaisseaux de formes variées : disques, sphères, tubes et triangles. Envahi par la somnolence, il perd conscience. Lorsqu’il se réveille, il flotte dans un lieu très éclairé, entouré de créatures de toutes formes et espèces disposées en cercle. Lentement, il redescend au sol, le cœur battant, conscient que ce n’est pas un rêve. C’est à ce moment-là, dit-il, que son éducation a véritablement commencé.
Dans la salle circulaire glaciale, Stewart enfant se retrouve au centre d’un « conseil » rassemblant des êtres d’origines et de morphologies très diverses, observant la Terre au travers d’une large baie. Très vite, il comprend qu’il peut capter télépathiquement le flux mental de chacun et « syntoniser » une conscience à la fois.
Il choisit d’abord un gigantesque papillon luminescent. L’être, ni mâle ni femelle, explique que sa race s’identifie par une fréquence-ton plutôt que par un nom, qu’elle a contribué de l’ADN au « Projet Terre » pour engendrer les papillons terrestres (régulateurs du magnétisme), et que les mites en seraient le contre-pôle instauré par une force sombre. Leur monde, végétal et fleuri aux couleurs inconnues sur Terre, se trouve dans un lointain secteur galactique ; ils voyagent rarement seuls, préfèrent le compagnonnage télépathique des humanoïdes et « adoptent » parfois un élève spirituel. Le papillon dit l’avoir choisi comme disciple et promet d’envoyer des papillons monarques, et parfois un papillon blanc porteur de message, comme signes de réconfort tout au long de sa vie.
Un immense mante religieuse blanche s’avance ensuite. Son cliquetis aigu et sa présence « non-humaine » tétanisent Stewart ; l’être recule aussitôt, non par hostilité mais parce que son mode de pensée insectoïde est trop étranger. Vient alors un être amphibie (peau humide, yeux globuleux, bouche pisciforme), pressé de retourner à l’eau, qui affirme que l’enfant possède des origines ADN marines et en prendra conscience plus tard.
Le décor bascule : Stewart est assis dans un siège trop grand face à un panel de sept entités. Le fauteuil pivote de lui-même vers chaque intervenant.
• Un reptilien massif en uniforme noir, « transfuge » d’un empire galactique expansionniste, détaille une stratégie d’occupation depuis la périphérie vers le centre de la galaxie. Selon lui, la Terre a été envahie il y a des millénaires par ses congénères, arrivés à bord d’un gigantesque vaisseau devenu la Lune ; après la riposte de colons lyriens, les reptiliens se seraient enfouis sous terre (et installés sur Vénus et des lunes externes), attendant la réactivation par un second vaisseau censé arriver avant la fin du siècle. Espèce essentiellement mâle, clonant sa descendance, ils auraient fabriqué des femelles pour la reproduction. Il affirme que l’enfant, ancien émissaire auprès d’eux, pourra un jour infléchir leur trajectoire vers la « Lumière ».
• Un amphibien « créature du lagon » revendique l’antériorité de sa civilisation sur Terre, jadis marécageuse et océanique. Décimés par humains et extraterrestres, les siens subsistent à très grande profondeur et prenaient parfois le soleil à terre (origine des mythes de sirènes). Alliés d’Atlantis, médiateurs entre humains et cétacés (dauphins et baleines, venus d’une autre galaxie), la plupart ont été transférés par des ET bienveillants vers des océans souterrains de Neptune. Il révèle à l’enfant une composante « dauphin » dans son ADN, clé d’une future communication inter-espèces.
• Un petit humanoïde brun aux yeux très sombres parle au nom d’une Fédération de plus de 120 civilisations. La Terre pourrait y être invitée si elle repousse l’invasion reptilienne, faute de quoi elle deviendrait une cible jusqu’à libération. Il explique que l’enfant a été « construit » avec des contributions génétiques de plusieurs espèces afin qu’il appartienne partiellement à chacune et soit entendu d’elles ; son âme a accepté la mission de longue date, avec un savoir mis en sommeil cellulaire qui se révélera par étapes à travers épreuves et pertes.
• Un « gris » provenant de Rigel, contraint d’assister, précise que son peuple, autrefois lyrien et humanoïde, a été génétiquement dégradé par la guerre puis subjugué par l’empire reptilien. Il surveillera l’enfant et dépêchera périodiquement des « petits gris » pour des contrôles dont il ne se souviendra pas. Son corps contient des bio-composants utiles à la régénération rigélienne ; un accord interdit de le blesser, de l’enlever définitivement ou de lui laisser le souvenir des prélèvements. En cas d’effondrement du projet ou de retrait de partenaires, il serait exfiltré vers un lieu sûr pendant que les factions s’affronteraient, possiblement sur Terre. Le gris souhaite l’indépendance vis-à-vis des reptiliens, mais craint l’anéantissement s’il se rebelle.
• Le dernier orateur, assis au centre, est un très grand Sirien (système binaire de Sirius), robe blanche bordée d’un bleu « impossible », peau ivoire, yeux d’un bleu intense, posture évoquant l’ankh. Descendants d’êtres non-physiques de l’hyperspace, les Siriens disent avoir fondé l’Égypte antique, institué le peuple hébreu, transmis la Torah et façonné le Crâne de Cristal. Ils disposent de la technologie la plus avancée et orchestrent des événements pour favoriser l’évolution, parfois en jouant des civilisations l’une contre l’autre.
L’âme de Stewart proviendrait de leur lignée, seule capable d’animer un hybride aussi complexe. Il l’avertit d’un programme d’auto-destruction latent, d’alliés trompeurs, et d’une mission qui ne s’éclairera qu’au rassemblement de « segments » de ses existences parallèles. Il promet un guidage constant, puis se résorbe dans une lumière blanche aux reflets violet, or et argent.
Stewart se réveille alors chez lui en hurlant, terrifié et incapable d’expliquer quoi que ce soit à ses parents. Pendant des années, des cauchemars récurrents ramènent des détails, tandis qu’émergent des perceptions : vision d’« auras », informations de santé en entendant un simple nom, et obsession pour les OVNI et la conquête spatiale. À la puberté, presque chaque nuit, il vit des « classes de lumière » hors-corps sur ses origines, la nature de la réalité et les possibilités de voyage temporel ; il revient épuisé, se désintéresse de l’école et se sent étranger à l’humanité.
Vers onze ans, un nouvel épisode marqué : trois petits gris l’emportent depuis sa chambre à travers la fenêtre jusqu’à une pièce métallique. Devant un écran et un tapis roulant, on lui fait associer des images (animaux, insectes, végétaux… puis un homme) à des morceaux de chair qui défilent, lui imposant mentalement la saveur crue de ce qu’il « accepte » ou refuse. Nauséeux, il interrompt le test et est renvoyé brutalement dans son lit, avec l’impression d’avoir contrarié ses geôliers. L’expérience le hante : plus encore que la manipulation, c’est l’abattage des créatures, culminant sur l’image d’un humain, qui le révulse. L’ensemble de ces rencontres compose à la fois une « ménagerie » cosmique et un briefing télépathique : cartographie d’espèces, de pouvoirs et d’agendas concurrents, et assignation d’un rôle d’intercesseur dont le sens ne lui sera révélé qu’au fil des épreuves.
Adolescence
À l’adolescence, la vie du jeune garçon semble ordinaire à l’extérieur, mais en privé, elle est marquée par des enlèvements récurrents. Ceux-ci surviennent deux à trois fois par semaine, mais il comprend plus tard que seules quelques expériences par an étaient physiques ; la plupart se déroulaient sur un plan astral, où seule sa conscience était transportée. Il dit se réveiller dans une petite pièce métallique, sans jointures, aux murs et plafond courbes, toujours nu, assis parmi d’autres humains. Des images, des symboles et des voix leur transmettent des instructions, souvent en lien avec l’avenir de la Terre. Tous semblent formés pour agir un jour selon un programme précis dont ils ne doivent rien se souvenir avant le moment venu. Il perçoit cette programmation comme sombre et forcée.
À 13 ans, sa famille quitte Brooklyn pour une grande maison du Suffolk, à Long Island. Il se réjouit d’avoir enfin une chambre à lui, mais ses nuits deviennent étranges : il s’endort habillé et se réveille nu, parfois flottant hors de son corps dans une maison lumineuse et vibrante. Des cauchemars répétitifs le hantent : il fuit des hommes en uniforme dans un entrepôt sans fenêtres, se cache sous une table, puis se fait capturer. Chaque fois qu’il se réveille, il voit à sa fenêtre un homme blond baigné d’une lumière rouge qui le fixe et rit tandis qu’il hurle, avant de disparaître. Il a la sensation dérangeante de connaître cet homme, comme un ami ou un parent.
Les phénomènes les plus pénibles sont ceux où il se retrouve paralysé, allongé nu sur une table froide entouré de petits êtres gris. Ils restent impassibles face à sa peur, et bien qu’ils promettent qu’il oubliera tout, il se souvient de tout. Il décrit des procédures médicales douloureuses : sondes insérées dans les organes génitaux et le rectum, appareils fixés aux testicules et aux mamelons, examens du nez et des yeux avec de longs instruments. Il revient souvent avec le nez en sang, et ses parents l’emmènent chez un médecin pour cautériser ses narines. Ses yeux deviennent sensibles ; il pense qu’on lui insère parfois des lentilles ou qu’on retire des masses gélatineuses de sa gorge. Les êtres gris, dit-il, lui affirment qu’il a accepté de participer à leur programme et qu’il travaille avec eux, ce qui le révolte.
Enfants hybrides
Au fil des années, une émotion étrange grandit en lui : un profond manque pour des enfants qu’il sentirait comme les siens. À dix-sept ans, il aurait une expérience décisive. Sur un vaisseau, vêtu cette fois, il voit autour de lui de petits gris, deux militaires humains en uniforme et un grand être blond en tenue bleue qui semble diriger la scène. On lui présente alors un nourrisson malade et frêle, à la peau pâle et au crâne allongé, que l’on lui affirme être son fils. Il apprend qu’il a déjà engendré plusieurs de ces hybrides : certains morts, d’autres transférés sur un monde sûr. Les gris observent si un lien affectif se crée entre le père humain et le bébé. L’enfant, triste et impuissant, demande à rester avec le petit, mais on le renvoie chez lui sans réponse.
Un implant qui sert de caméra à distance
Après cet épisode, il change radicalement. Il commence un entraînement physique intensif, jeûne plusieurs fois par semaine, ne mange qu’une fois par jour et se met à surveiller chaque détail de son corps. Il a la sensation que ses yeux servent de caméras : lorsqu’il regarde, il sent « une autre conscience » observer à travers lui. Cette présence semble s’intéresser surtout aux voyages, aux foules dans les magasins et aux paysages enneigés. Les êtres lui confirment plus tard qu’un implant organique a été placé dans ses cornées pour leur permettre de voir par son intermédiaire, ce qui expliquerait sa baisse de vision.
Lors d’un autre enlèvement, il est assis face à un mur métallique qui devient un écran projetant ses pensées sous forme d’images animées. Il comprend que les gris lisent et enregistrent sa mémoire, son passé et ses probabilités de futur à travers ses schémas mentaux. Il craint qu’ils ne manipulent son destin pour leurs propres intérêts. Ces séances se répètent plusieurs fois avant de cesser soudainement.
Les enlèvements continuent pendant toute son adolescence et jusqu’à l’âge adulte. Parfois, ils servent à des expériences génétiques ; d’autres fois, il est utilisé pour fournir de l’énergie, subir des interrogatoires ou suivre de nouveaux conditionnements. À partir du début des années 1970, les expériences prennent un tour plus sombre : il se retrouve dans un complexe souterrain aux parois de roche humide, sans fenêtres, d’où montent des cris d’enfants. Ces scènes d’horreur marquent profondément sa mémoire et s’ajoutent à l’impression d’être à la fois cobaye, outil biologique et témoin impuissant d’un vaste programme hybride orchestré par les êtres gris et supervisé par d’autres puissances non humaines.
Embrigadé de force dans le projet Montauk
Stewart raconte les souvenirs les plus douloureux de son enfance, liés à son implication forcée dans le Projet Montauk, un programme secret mêlant technologie militaire, manipulations mentales et abus d’enfants. Il explique qu’encore aujourd’hui, il ne supporte pas les pleurs d’enfants et ressent une immense culpabilité. Selon lui, son besoin de protéger les enfants abandonnés vient de ces traumatismes.
Il décrit d’abord sa situation de victime enfantine, utilisée dans les laboratoires de Montauk. Attaché à une table, il subissait des examens, des enregistrements cérébraux, des tests psychiques et des abus sexuels destinés à mesurer et amplifier son énergie vitale. Ces expériences, répétées jusqu’à la puberté, servaient à alimenter des dispositifs informatiques et psychiques utilisés par des opérateurs appelés “mentalistes”.

Il apprendra plus tard que seulement 1% des personnes qui ont participé à ce programme ont survécu.
Parce qu’il avait survécu et ne s’était pas rebellé, on lui confia ensuite un rôle d’encadrant : il devait préparer d’autres garçons aux expériences, leur apprendre à obéir sans poser de questions, à se concentrer mentalement et à supporter la douleur. Certains exercices consistaient à visualiser des symboles ou des couleurs pour canaliser leur énergie, d’autres à accepter la mort sans résistance.
Les chercheurs recherchaient avant tout l’énergie mentale pure d’enfants prépubères, considérés comme “propres” et puissants. Mais la peur, les abus et la fatigue les tuaient souvent. Beaucoup devenaient fous ou mouraient durant les sessions, puis leurs corps étaient éliminés ou rejetés à la mer. D’autres étaient adoptés par des membres du projet qui les faisaient passer pour leurs enfants, après avoir modifié leur apparence et leurs empreintes.
L’auteur explique que les enfants spéciaux, comme lui, venaient souvent de familles liées à l’armée ou à la politique. Ils étaient “préprogrammés” pour des missions précises et portaient des implants oculaires d’origine extraterrestre. Ces implants transmettaient des informations aux superviseurs et pouvaient servir à repérer d’autres enfants à capturer, sans que ceux qui les portaient s’en rendent compte. Il se demande combien de victimes il a ainsi désignées malgré lui.
Les autres enfants provenaient de milieux défavorisés : orphelins, enfants de prostituées, de drogués ou de familles très pauvres. Quand un enfant plus “visible” était ciblé, on provoquait un accident ou une catastrophe pour expliquer sa disparition : incendies, noyades, éboulements ou tornades. Les sans-abris et marginaux adultes étaient utilisés pour des tests de voyages temporels, servant de cobayes à des expériences de déplacement dans le temps et l’espace, dont beaucoup ne revinrent jamais.
Selon lui, les scientifiques savaient déjà plier le temps et l’espace pour déplacer des personnes sans laisser de traces. Ils pouvaient envoyer quelqu’un dans un autre lieu terrestre instantanément, et plus tard vers d’autres époques ou planètes grâce à des “récepteurs” installés dans certains points de l’espace-temps.
Son rôle principal était de préparer les enfants destinés à alimenter Duncan Cameron, un puissant médium au centre du projet. Les jeunes garçons servaient de “batteries psychiques”, amplifiant sa puissance mentale jusqu’à lui permettre d’ouvrir des portails vers d’autres dimensions et d’en rapporter des informations techniques. Les enfants mouraient rapidement d’épuisement, alors les chercheurs déclenchaient artificiellement des réactions de peur ou d’excitation sexuelle pour extraire le maximum d’énergie avant leur mort.
L’auteur affirme que les corps des victimes étaient remis aux “Gris”, une race extraterrestre sans système digestif, qui absorbait les nutriments humains à travers la peau en se plongeant dans des cuves remplies de tissus et de liquides organiques. Selon lui, ces pratiques sont à l’origine des mythes de vampires et d’incubes, et se poursuivent aujourd’hui à travers des créatures modernes comme le chupacabra.
D’autres races extraterrestres, notamment les reptiliens du système Draco, auraient observé ces expériences pour en tirer des méthodes de contrôle mental collectif.
Enfin, Stewart exprime sa culpabilité et son traumatisme durable. Il se souvient des cris d’enfants qui mouraient autour de lui et de son impuissance à les sauver. Ces images le hantent la nuit, le faisant se réveiller en hurlant. Il affirme que, même s’il n’était pas libre de ses actes, une part de lui a dû vivre cette épreuve pour une raison spirituelle qu’il ne comprend pas. Il conclut en priant pour le pardon des victimes et de leurs bourreaux.

En 1983, lorsque la station de Montauk fut détruite (puis plus tard reconstruite), Stewart sombra dans une profonde détresse. Il pensait que la station exerçait un contrôle sur lui, qu’elle le maintenait sous son emprise. Lorsque ce lien fut rompu, il perdit tout sentiment d’identité.
Au cours des dix-sept années suivantes, Stewart travailla intensément pour parvenir à retrouver son identité.
Le contact avec les Siriens
À cette période de son récit, Stewart Swerdlow réside à Holon, en Israël, qui devient son point d’attache. De là, il entreprend de nombreux déplacements, notamment une expédition dans le désert du Néguev, près de Dimona, site de la centrale nucléaire israélienne gardée par les Falashas, des Juifs éthiopiens se réclamant descendants du roi Salomon et de la reine de Saba. Il évoque la légende selon laquelle Salomon aurait caché la véritable Arche d’alliance pour la protéger, envoyant à la reine de Saba une réplique. Celle-ci aurait emporté la véritable arche en Éthiopie, où elle aurait été conservée par ses descendants. Selon Stewart, Israël aurait favorisé la création du nouvel État d’Érythrée afin de récupérer cette Arche, transférée ensuite vers la Terre sainte, événement interprété comme un signe messianique.
C’est près de Dimona qu’il affirme avoir été enlevé par les Siriens. Alors qu’il marchait dans le désert, il fut soudain ébloui par une lumière intense et perdit conscience. Il se retrouva dans une immense salle rappelant un temple antique, sans porte ni fenêtre, éclairée sans source visible. Un être sirien de très grande taille, vêtu d’une robe blanche et bleue, apparut devant lui. Il avait la peau pâle, des yeux bleus en amande, un visage allongé et des traits raffinés. Sa silhouette évoquait la forme d’un ankh égyptien vivant. Le Sirien lui expliqua, par télépathie, qu’ils se dirigeaient vers Mars pour lui montrer quelque chose d’important.
Sur un grand écran, il vit la Terre s’éloigner tandis qu’ils voyageaient sans bruit ni sensation de mouvement. Le Sirien lui expliqua que sa race avait créé les premiers Hébreux à partir de matériel génétique venu d’ailleurs, ainsi que leur langue. Selon lui, cette lignée originelle avait été altérée au fil des millénaires, et les Siriens coopéraient maintenant avec les Israéliens modernes pour réparer et purifier leur héritage génétique, notamment en modifiant leurs schémas mentaux pour les préparer à de futurs contacts extraterrestres.
Le narrateur se retrouva ensuite dans une salle d’examen très éclairée, allongé nu sur une table aux côtés du Sirien et d’un être “Vegan”, hybride issu d’une combinaison génétique entre Siriens et Petits Gris. Paralysé, il sentit qu’on l’examinait à l’aide d’un dispositif lumineux placé sur son visage, ses organes et son torse. Le Sirien lui dit que son corps avait été fabriqué en collaboration avec des forces terrestres pour accomplir un plan interstellaire et que son âme appartenait à une dimension non physique de Sirius, plus élevée que celle du Sirien lui-même. Son ADN contenait des éléments siriens destinés à permettre à son âme d’habiter ce corps humain. Pris entre émerveillement et terreur, il eut des visions de sa véritable nature spirituelle.
Revêtu d’une robe sirienne, il fut ensuite conduit à l’extérieur de l’appareil, dans une vaste grotte rougeâtre sur Mars, sous un plafond très haut. Le vaisseau qu’il venait de quitter ressemblait à une gigantesque perle blanche aux reflets violets. Dans la grotte, il vit des hommes humains réduits à l’état d’esclaves, creusant la roche sous la surveillance de créatures à tête allongée et de petits Gris. Une voix annonça alors qu’un “émissaire de Rigel” allait parler. Un être vêtu de noir, à la tête ronde et aux yeux noirs, apparut sur une plateforme. Il expliqua mentalement que les travailleurs humains allaient être sélectionnés pour des expériences sur Rigel, et que ceux qui ne serviraient pas seraient éliminés. Le narrateur vit les prisonniers enchaînés monter dans un disque argenté. Il ne sut jamais si cette scène était réelle ou une vision implantée.
De retour à bord du vaisseau, il se retrouva en voyage à travers l’hyperespace avec le Sirien et le Vegan. La cabine était sombre, éclairée de manière douce, et il pouvait voir à la fois l’intérieur et l’extérieur du navire. Le paysage spatial avait une teinte bleue et violette, et le vaisseau prenait la forme d’un diamant en déplacement. Le Sirien lui dit qu’ils se dirigeaient vers Khoom, leur planète d’origine orbitant autour de Sirius A.
Sur place, il apprit que Khoom était un monde gelé et sans lune, jadis tempéré, repoussé de son orbite par une guerre très ancienne. Les Siriens y vivaient désormais sous terre, protégés par un système de défense impénétrable. Une autre dimension du même espace abritait un monde non physique gouverné par le Conseil Ohalu, composé de neuf entités. Ce conseil coopérait avec “Les Neuf” évoqués par d’autres médiums, décrits comme des consciences désincarnées transférées dans des superordinateurs incarnant chacune un aspect de la pensée divine. Les Siriens physiques étaient considérés comme les manifestations vibratoires inférieures de ces entités.
Stewart Swerdlow : « J’ai été initialement envoyé sur Terre par le Conseil d’Ohalu, qui a dirigé les Siriens dans la création de mon corps physique. Ils m’ont dit qu’il y a neuf êtres sur Terre qui sont comme moi. Chacun est dirigé par un membre du Conseil. »
Pendant son séjour, il fut conduit sur une autre planète du système de Sirius B, une monde tropical couvert de marais, peuplé de petits êtres trapus vivant dans des huttes, capables de se projeter astralement et communiquant uniquement par télépathie.
Les Siriens lui parlèrent d’une guerre cosmique en cours entre leur civilisation et celle d’Orion, alliée aux Dracos reptiliens. Ils lui dirent que les Siriens avaient autrefois fourni des armes aux Orions, mais qu’ils en conservaient toujours les versions les plus puissantes. Ils considéraient les Orions comme des enfants dangereux qu’ils devaient surveiller, non détruire, tout en laissant les humains et les Dracos suivre leurs propres destins.
Finalement, le Conseil Ohalu décida qu’il devait retourner sur Terre. À son retour en Israël, il constata que seulement trois jours s’étaient écoulés, bien qu’il se sente épuisé, amaigri et déshydraté. Après plusieurs jours de sommeil, il affirma avoir compris que l’Arche d’alliance était en réalité un dispositif de communication entre le monde matériel et l’hyperespace, conçu selon des instructions données par les Siriens. Il mentionne qu’une université américaine aurait tenté d’en construire une reproduction à partir des descriptions bibliques, mais que l’appareil aurait été détruit en raison de son intensité électrique.
Il conclut que les Siriens semblent vouloir contrer les plans des autres factions présentes sur Terre : humains du Nouvel Ordre Mondial, Dracos, Gris ou Blonds, afin de provoquer un point culminant dans les événements mondiaux et d’en prendre finalement le contrôle, peut-être en s’appuyant sur Israël. Il reconnaît cependant que cela reste pour lui une hypothèse, et que seul le temps en révélera la vérité.
Flammes jumelles
De retour aux États-Unis pour reprendre ses études, Stewart continue à vivre des expériences d’enlèvements par des entités grises et à percevoir la présence d’êtres à sa fenêtre pendant la nuit. En parallèle, il ressent un besoin croissant de fonder une famille et d’avoir des enfants, sentiment qu’il ne parvient pas à expliquer.
Une nuit, il est transporté dans un lieu où il rencontre une jeune fille d’une grande beauté, qu’il reconnaît avoir déjà aperçue auparavant lors d’une réunion organisée par les responsables de leur groupe. Ces responsables leur avaient expliqué que certains garçons et filles seraient unis dans un programme appelé « The Marriage Project », destiné à produire des enfants génétiquement particuliers. L’auteur apprend qu’il est assigné à une jeune fille nommée Mia, âgée de quatorze ans, originaire du Massachusetts, dont la fréquence énergétique est identique à la sienne. On leur explique qu’ils sont des « twin souls », ou âmes jumelles, deux moitiés d’une même essence spirituelle.
Des cérémonies de mariage simulées sont organisées et officialisées par des certificats. Chaque couple doit s’unir sous surveillance dans une pièce blanche. L’auteur décrit cette première union comme douloureuse et humiliante pour Mia, observée à travers une vitre par plusieurs scientifiques. Par la suite, ils ne se revoient pas pendant deux ans, mais il continue de la voir dans ses rêves et ses voyages astraux. Dans ces visions, Mia apparaît lumineuse, presque angélique, et sa simple présence semble le guérir.
Lorsqu’ils sont de nouveau réunis, elle a alors seize ans et lui vingt-quatre, les chercheurs leur annoncent que leurs codes génétiques sont complémentaires : Mia porte davantage de gènes pléiadiens, tandis que lui possède un héritage sirien. Leur union doit permettre de créer un enfant doté de facultés psychiques et spirituelles exceptionnelles. Dans une salle blanche, ils ont à nouveau des rapports sexuels à plusieurs reprises. Il sait instinctivement que Mia est tombée enceinte. Peu après, il subit une série d’examens médicaux approfondis.
Un an plus tard, il apprend la naissance de leur fille, Jaime. On l’autorise à la voir peu de temps après, puis une seconde fois lorsqu’elle a deux ans. Ensuite, il n’a plus de contact avec elle pendant une douzaine d’années. On lui interdit d’intervenir dans son éducation pour éviter toute influence psychique jugée indésirable. Il en souffre profondément, conscient que Mia et leur fille ont connu de grandes difficultés durant ces années.
Il comprend qu’il n’aura jamais la possibilité d’élever ses enfants, car les responsables du programme le jugent trop fort de caractère et craignent qu’il leur transmette des valeurs contraires à leurs objectifs. Mia finit par rompre tout lien avec sa famille et mène une existence instable.
Selon lui, Mia et lui forment une véritable flamme jumelle : leurs âmes étaient unies à l’origine, puis se sont séparées il y a des éons, lorsqu’elles vivaient sur Arcturus. Mia a ensuite choisi une vie dans le système des Pléiades, tandis que lui a poursuivi son évolution sur Sirius. Leur rencontre terrestre actuelle est la première où ils se sont incarnés ensemble, signe, dit-il, d’une mission capitale et de la proximité d’un changement d’ère.
Leur fille Jaime possède, d’après lui, une conscience hors du commun : elle pourrait percevoir plusieurs futurs possibles et choisir les lignes temporelles les plus favorables. Il affirme la protéger à distance et l’aider en “hyperspace”, bien qu’elle soit encore trop jeune pour comprendre sa nature. Il lui a consacré un livre, que sa mère garde jusqu’à ce qu’elle soit prête à connaître la vérité.
Dans les années récentes, Stewart et Mia se sont retrouvés. Ils cherchent à guérir leurs traumatismes passés et à se libérer des programmations qu’ils ont subies. Mia traverse une période difficile de purification intérieure et doit choisir entre la voie de la lumière ou celle des forces sombres. Quant à Jaime, elle se montre indépendante et rebelle, un reflet du tempérament de son père. Il est convaincu qu’un jour elle reviendra vers lui, lorsque le moment sera venu, pour recevoir son enseignement spirituel et poursuivre la mission qu’ils partagent tous trois.
Le contact avec Preston Nichols et d’autres révélations extraterrestres
Durant une période éprouvante de sa vie, Stewart Swerdlow se renferme complètement chez lui, convaincu d’être surveillé. Il évite même les fenêtres et vit dans une tension constante. À plusieurs reprises, le téléphone sonne sans qu’aucune voix ne réponde, seulement des bruits de souffle ou de machines. Un jour, il décroche et entend une femme à la voix new-yorkaise marquée, prétendant être une amie d’une connaissance commune. Elle l’encourage à raconter son histoire pour aider d’autres victimes et l’invite à Brooklyn pour rencontrer chez elle un certain Preston Nichols, qui devait donner une conférence sur le Projet Montauk à son domicile.
Le nom seul de Montauk réveille en lui un profond malaise, mais il accepte. Lors de la rencontre, il découvre un public nombreux et surpris par le nombre de personnes intéressées par ce sujet. L’hôtesse, aimable mais vénale, se présente comme coauteure d’un livre set affirme canaliser une entité depuis l’enfance, tout en racontant qu’un reptilien aurait un attachement sentimental envers elle. Peu après, elle lui envoie un colis rempli de documents classés “Majestic-12” : cartes de tunnels souterrains, rapports d’autopsies extraterrestres et même une photo d’un alien mort.
Après la conférence, Preston Nichols raccompagne Stewart chez lui. En voiture, il lui explique que, selon lui, Stewart fait partie des « Montauk Boys », ces enfants utilisés dans des expériences de contrôle mental, de manipulations génétiques et de voyages temporels. Ses descriptions font frissonner Stewart, qui se reconnaît dans les scènes évoquées. Preston lui dit qu’il n’est pas seul et qu’il existe d’autres survivants. Ils conviennent d’une séance privée la semaine suivante, en l’absence de sa famille.
Lors de cette rencontre, Preston utilise une méthode psychotronique inspirée des travaux de Wilhelm Reich, destinée à amplifier l’énergie vitale (“orgone”) et à stimuler les capacités psychiques. Sous son effet, Stewart tombe en transe profonde, son corps devient rigide et il revit brutalement des souvenirs enfouis : il se voit adolescent, attaché sur une table, manipulé par des hommes en blouse qui parlent de prélever son matériel génétique. Il ressent la douleur tandis qu’ils implantent quelque chose dans sa région pelvienne pour accroître sa fertilité. Il se revoit ensuite entouré de petits Gris, sans comprendre leur objectif, puis projeté à travers des champs d’énergie colorée avant de se sentir aspiré dans un vortex.
Revenu lentement à la conscience, paralysé et frigorifié, il apprend de Preston que pendant la transe, son corps s’était raidi “comme une planche” et qu’il avait réagi comme quelqu’un longuement conditionné à ce type de procédure.
Lors d’une séance suivante, Preston revient accompagné d’Al Bielek (lié à l’expérience de Philadelphie) et de Duncan Cameron, son frère. En voyant Duncan entrer, Stewart est saisi d’horreur : c’est le visage qu’il voyait adolescent à sa fenêtre, celui qui riait lorsqu’il hurlait de peur. Il réalise soudain que ces visions étaient réelles. Pourtant, Duncan se montre calme, respectueux et bienveillant, ce qui déstabilise Stewart.
Durant la nouvelle session d’hypnose, un être blanc de type « petit Gris » semble prendre possession du corps de Stewart. L’entité parle d’abord dans une langue inconnue que seul Duncan comprend, puis en anglais. Elle affirme avoir le droit d’habiter son corps car il serait « l’un des leurs ». Preston s’y oppose, déclarant que Stewart est un être humain doté d’une âme divine. Le ton se durcit : la voix dit que Stewart travaille pour eux dans le cadre d’une mission essentielle à leur programme terrestre.
Sous les yeux de Preston et Duncan, la forme physique du corps de Stewart se modifie : ses contours deviennent ceux d’un Gris, ses traits se déforment, et la voix change. La créature se lève, marche dans la pièce, prononce des paroles méprisantes envers les témoins, puis, après des questions insistantes de Preston, hésite. Soudain, une autre entité plus puissante surgit et arrache le Gris du corps de Stewart.
Cette nouvelle présence se présente comme un commandant draconien nommé Gengeeko, membre d’une race reptilienne guerrière. Il annonce qu’une invasion draconienne est imminente et que la Lune, en réalité, serait leur première base, un gigantesque vaisseau arrivé il y a des millénaires pour contrôler la Terre. Selon lui, les Dracos auraient jadis créé la civilisation lémurienne avant d’être chassés par les Atlantes et les descendants de la confédération lyraéenne, avec l’aide des Pléiadiens. Ils reviendraient désormais pour reprendre la planète et en faire un avant-poste militaire pour conquérir la galaxie.
Le commandant met Preston en garde de ne pas utiliser ses technologies ni ses contacts pléiadiens pour s’y opposer, puis, contrôlant toujours le corps de Stewart, il se jette physiquement sur lui. Preston et Duncan parviennent à le maîtriser. Après s’être calmé, l’entité poursuit : les humains, dit-elle, sont faibles et ont besoin de la discipline que leur domination apportera. Sous le règne draconien, l’ordre et la sécurité régneront, en échange des ressources, des travailleurs et de la nourriture nécessaires à leur empire.
Le Draconien révèle que les gouvernements terrestres sont déjà informés de cette invasion et en préparent psychologiquement la population à travers le cinéma et la télévision. Certains dirigeants humains possèdent même des âmes draconiennes et servent leur cause. Il affirme que l’ONU deviendra bientôt le noyau d’un gouvernement planétaire, soutenu par des puissances qui ont déjà établi des plans d’évacuation vers Mars et d’autres planètes. Mars, dit-il, abrite une vaste base souterraine construite par les Siriens il y a 500 000 ans.
Le commandant explique ensuite que Stewart avait jadis été ambassadeur du Conseil Ohalu, gouvernement spirituel des Siriens, et qu’il a été créé à partir de génétiques extraterrestres. Son âme, précise-t-il, ne vient pas de ce système solaire, ce qui explique ses aptitudes mentales inhabituelles et ses capacités multidimensionnelles.
Lorsque la transe prend fin, Stewart revient lentement à la conscience, épuisé, déshydraté et grelottant. Il met près de deux jours à retrouver son équilibre physique. Il souffre alors de saignements internes, de frissons violents et de difficultés respiratoires. L’expérience le laisse profondément choqué, mais convaincu que les révélations du Draconien décrivent une menace bien réelle pour la Terre et pour l’avenir de l’humanité.
L’irradiation mortelle
Une nuit, en croisière dans les Caraïbes avec son épouse, sur le pont, sous un ciel clair et étoilé, Stewart tenta de se détendre lorsqu’un arc de lumière éclatant traversa le ciel du sud au nord, en direction de Cuba. Tous les passagers sur le pont restèrent figés. Un second éclair apparut, cette fois bleu-vert, semblant être un flux d’énergie. Puis, deux sphères argentées surgirent à toute vitesse : l’une passa à quelques centimètres de leurs visages, l’autre survola leur tête avant de s’éloigner au-dessus de la mer. Terrifiés, ils se réfugièrent à l’intérieur.
Lors de l’escale suivante, à Haïti, Stewart fut soudain frappé par une intense chaleur et une lumière aveuglante. Peu après son retour aux États-Unis, il tomba gravement malade. Son corps présenta tous les symptômes d’une forte irradiation : peau rouge et brûlée, fièvre extrême, cloques sur les tissus mous, gorge enflée, lèvres brûlées et écoulement blanchâtre par les voies urinaires. Il ne pouvait plus se lever, manger ni boire, et perdit près de quatre kilos par jour. Son médecin, effrayé, refusa de le toucher ou de prélever des échantillons, craignant une contamination inconnue. Stewart pensa qu’il allait mourir.
Une nuit, dans un état de faiblesse extrême, il vit autour de lui plusieurs êtres gris plaçant des tubes dans ses bras et faisant circuler son sang à travers une machine. Couvert d’un drap métallique, il se sentit apaisé et cessa de résister. Il eut alors un flash de mémoire : il se vit sur une table dans une salle blanche, observant deux petits Gris qui manipulaient son sang dans une installation située, selon lui, sur la Lune, car il voyait la Terre à travers une fenêtre étroite donnant sur un paysage de roches blanches.
Il se réveilla ensuite brusquement dans son lit, parfaitement remis. Ses brûlures avaient disparu, sa fièvre s’était éteinte, et sa gorge ne le faisait plus souffrir. Il se leva, but de l’eau, et constata que son urine était redevenue claire. Les médecins furent incapables d’expliquer une telle guérison.
Stewart Swerdlow affirma par la suite disposer de dossiers médicaux prouvant la réalité de son irradiation et de sa rémission soudaine, mais reconnut ignorer l’origine exacte de cette exposition. Il conclut qu’il ne voulait plus jamais revivre une telle souffrance, tout en restant convaincu que les êtres gris l’avaient maintenu en vie pour une raison précise qui lui échappait encore.
Ambassade interstellaire et héritage sirien
Lors d’une nouvelle séance avec Preston Nichols utilisant les techniques psychotroniques de Wilhelm Reich, Stewart Swerdlow vit son corps secoué par une puissante force lorsqu’une entité se présentant sous le nom de Tubor prit possession de lui. Tubor affirma être un contrôleur draconien, chargé de préparer la Terre à une future occupation reptilienne. Méprisant le corps humain qu’il trouvait faible et émotionnel, il déclara que Stewart avait signé un contrat avec les Draco, leur permettant d’utiliser son corps avant leur arrivée officielle.
Tubor précisa que Stewart serait employé comme intermédiaire entre humains et Dracos lors de l’invasion, afin de faciliter la communication entre les deux espèces. Selon lui, Stewart avait autrefois été ambassadeur sirien auprès de plusieurs mondes, dont Arcturus et Ummo, et avait négocié un accord technologique entre Sirius A et les Draco. En échange de technologies avancées, les Siriens obtenaient le libre passage dans tout l’empire draconien. Cet accord provoqua la colère de la Confédération d’Orion, dominée par les Draco, et entraîna une guerre toujours en cours entre Orion et Sirius A.
Tubor expliqua aussi que le projet Montauk utilisait des technologies siriennes, sous surveillance draconienne. Les Draco observaient surtout les expériences de manipulation génétique et de contrôle mental par la sexualité, fascinés par les espèces sexuées puisque leur propre race est androgyne. L’usage du sexe pour programmer les humains et dominer les masses constituait pour eux une source majeure d’intérêt.
Tubor se montra agressif durant la séance, insultant Preston (“Pressed On”) et Duncan Cameron (“Dunk Can”), et tenta même de blesser le corps de Stewart. Après une heure, une autre entité surgit et expulsa Tubor. Le corps de Stewart s’effondra avant de se redresser sous l’influence du nouvel être, qui se présenta comme Mishka, un Sirien.
Mishka affirma être intervenu pour enseigner à Stewart à se défendre contre les entités hostiles, grâce à son ADN sirien. Il expliqua vivre à bord d’une vaste station spatiale nommée Calumba, située entre la Terre et Mars, utilisée par les Siriens pour surveiller les interférences sur les planètes voisines. Peuple commerçant, les Siriens disposaient des technologies les plus avancées et vendaient leurs armes à de nombreuses races, y compris aux Draco. Selon Mishka, cela permettait d’atténuer les conflits, car sans eux, les Draco auraient recours à une violence plus destructrice.
Au cours des mois suivants, Mishka, son assistant Marshak, Tubor et Gengeeko utilisèrent tour à tour le corps de Stewart pour délivrer messages, avertissements et prophéties. On lui révéla que l’Union soviétique collaborait secrètement avec les Draco, leur permettant d’utiliser des bases militaires. Cependant, cette alliance devait s’effondrer en apparence pour duper le monde. Le démantèlement de l’URSS serait, selon eux, une manipulation destinée à instaurer une fausse paix, les nouvelles républiques restant en réalité coordonnées pour servir les plans draconiens.
Contact avec un enfant hybride d’une vie passée
Lors d’une séance ultérieure, Stewart retrouva un souvenir traumatique refoulé : alors qu’il dormait dans un hôtel de Virginie, quatre hommes armés pénétrèrent dans sa chambre, lui injectèrent un produit paralysant et l’enveloppèrent dans une bâche avant de le transporter dans le coffre d’une voiture. Après deux heures de trajet sur des routes de montagne, il fut conduit dans le sous-sol d’une grande maison de pierre. Nu et attaché sur une table en Y, il fut soumis à de douloureuses procédures médicales et sexuelles par des hommes en uniforme et un médecin appelé Dr Hans, assisté de personnes nommées Jim, Jesse et un colonel. Des électrodes furent placées sur ses organes, des aiguilles insérées dans son abdomen et son rectum, tandis qu’un petit être gris entrait dans la pièce pour le toucher. Il entendit qu’il devait être ramené à l’hôtel avant 4h30 du matin, ce qui fut fait. Preston estima plus tard qu’ils avaient probablement cherché à extraire ou implanter des données biologiques dans son corps.
Les séances se poursuivirent régulièrement chez Stewart, une ou deux fois par semaine. Entre les rencontres, il essayait de retrouver un équilibre grâce à la vie quotidienne, seul moyen de maintenir sa stabilité mentale.
Une nuit, vers deux heures du matin, il fut soudain réveillé par une voix intérieure l’invitant à aller dans le salon. Sans peur, il obéit. La pièce baignait dans une lumière jaune douce. Un tourbillon bleu descendit du plafond, matérialisant deux êtres très grands et minces vêtus de longues capes noires à col haut. Leur peau était d’une extrême pâleur, leurs têtes chauves et allongées, leurs yeux bleus et en amande. L’un d’eux, presque de taille à toucher le plafond, se présenta : c’était Mishka, venu accompagné d’un visiteur spécial.
Le second être, un peu plus petit et d’apparence plus humaine, s’avança et leva la main :
— « Bonjour, Père », dit-il.
Surpris, Stewart demanda qui il était. L’être expliqua se nommer Elsinob, âgé d’environ 400 ans terrestres. Il lui révéla qu’au XVIᵉ siècle, alors que Stewart était incarné en professeur allemand, des Gris avaient prélevé son sperme et l’avaient vendu aux Siriens, qui l’utilisèrent pour créer un hybride. Elsinob était donc son fils biologique, issu de cette expérimentation, et avait suivi l’évolution de son âme à travers le temps pour le rencontrer enfin. Il expliqua que l’ADN se modèle autour de la structure mentale de l’âme, d’où leur ressemblance spirituelle.
Elsinob ajouta qu’il vivait sur la station Calumba, se rendant parfois sur Khoom, leur planète d’origine, désormais glacée mais toujours splendide. Il précisa que les femmes siriennes formaient une société séparée, menue et discrète, voyageant rarement. Il informa aussi Stewart qu’un dispositif avait été implanté dans ses testicules pour accroître sa fertilité, car de nombreuses races recherchaient son matériel génétique. Cependant, il l’avertit de ne plus se laisser manipuler de cette manière.
La conversation s’orienta ensuite vers la création des Hébreux, présentée comme un projet conjoint des Siriens et des Draco à partir d’un ancien stock génétique sirien. Le Conseil Ohalu, entité non physique dirigeant la civilisation sirienne, aurait fourni la Torah, les cinq premiers livres de Moïse, contenant des codes sacrés transmis depuis la “Pensée de Dieu”.
Elsinob expliqua que l’hébreu ancien est une langue géométrique et multidimensionnelle : chaque lettre correspond à une forme, un nombre, un symbole et une fréquence. Les combinaisons de lettres dans la Bible produisent des motifs géométriques précis : tores, diamants, pyramides tridimensionnelles, et finalement un tétraèdre multidimensionnel englobant toutes les lettres de l’alphabet.
Il révéla que quatre lettres hébraïques couronnées pouvaient, à elles seules, reconstituer tout l’alphabet et la structure sacrée de la création. Des chercheurs modernes en Israël et à New York commençaient, selon lui, à découvrir ces motifs codés grâce à l’analyse informatique de la Torah. Une telle complexité, conclut-il, ne pouvait provenir que d’une intelligence non humaine.
Avant de partir, Elsinob demanda à Stewart de retourner se coucher. Dès qu’il posa la tête sur son oreiller, il s’endormit profondément. Le lendemain, à 4h45, le réveil sonna comme d’habitude. Il se souvenait de chaque détail de la rencontre, et c’est à ce moment précis que la peur le submergea.
Souffrances et coup monté judiciaire
À mesure que Stewart Swerdlow recevait directement des visions et des informations par lui-même, il commença à rejeter les séances avec Preston Nichols, qu’il jugeait désormais intrusives. L’usage des procédures psychotroniques de Wilhelm Reich lui paraissait une violation de son intimité. Sur les conseils d’un proche de Preston, il entra alors en contact avec une femme médium du New England, aveugle depuis des expériences d’enlèvement subies dans son enfance. Bien qu’elle eût perdu la vue physique, elle « voyait mentalement » et aidait à déprogrammer les personnes traumatisées par des expériences paranormales.
Après avoir commencé à collaborer avec Preston Nichols pour récupérer ses souvenirs liés aux expériences du projet Montauk, Stewart se retrouva poursuivi par le gouvernement pour des crimes dont il n’avait aucun souvenir clair. À l’époque, il travaillait comme contrôleur financier dans une entreprise. Son nom aurait été falsifié sur des chèques émis avec l’accord de ses supérieurs, mais ensuite utilisés contre lui. Il fut donc accusé d’avoir détourné des fonds (délit d’« embezzlement »). Selon la source, il ne s’agissait pas d’un vrai détournement d’argent, mais d’un piège tendu par des autorités ou des individus liés à l’État, visant à le faire taire ou le discréditer.
Alors que cette affaire judiciaire avançait, le journaliste Geraldo Rivera préparait une émission de télévision consacrée aux enlèvements extraterrestres, où Stewart devait être l’invité principal. Mais peu avant la diffusion, Stewart reçut des menaces de nouvelles poursuites et d’un allongement de sa peine s’il apparaissait à l’écran. Sous pression, il se retira du programme.
Pendant plusieurs mois, avant son procès, Stewart travailla quotidiennement avec elle. Par téléphone, ils passaient des heures à soigner des malades à distance et à explorer ses propres souvenirs enfouis. Elle devint peu à peu sa conseillère spirituelle et son guide, mais aussi une influence dominante. Peu à peu, elle l’éloigna de ses amis Preston et Duncan Cameron, qu’elle qualifia de manipulateurs. Elle lui disait quoi dire, à qui parler et quoi étudier, le transformant, sans qu’il s’en rende compte, en instrument sous sa coupe.
Cette femme était soutenue financièrement par le président d’une grande compagnie pétrolière internationale, que Stewart tenta de guérir d’un cancer avancé. Lorsque celui-ci mourut, les paiements cessèrent. Avec le recul, Stewart comprit qu’elle s’était servie de lui pour ses propres intérêts.
Toutefois, elle eut un geste positif : elle le réunit à nouveau avec Mia et sa fille Jaime, qu’il n’avait pas vues depuis des années. Grâce à Mia, il retrouva son équilibre en hyperspace et ses facultés s’amplifièrent : il pouvait se déplacer mentalement hors du temps et de l’espace, communiquer avec des êtres extraterrestres et pratiquer la guérison à distance. Mais cette montée en puissance le rendit instable. À l’approche de la date de son procès, il devint arrogant, agressif, et se disputa violemment avec sa famille. Sa femme s’éloigna, ses enfants le craignaient, et lui-même sombra dans la confusion.
Envahi par des pensées suicidaires, il tenta un jour de projeter son véhicule contre un arbre, décidant d’en finir. Il perdit conscience du temps et, en rouvrant les yeux, se retrouva miraculeusement sur une autre route, indemne. Miné par l’angoisse, il consulta un médecin qui lui prescrivit du Prozac, puis des tranquillisants. Rapidement, il devint dépendant : euphorisant le jour, sédatif la nuit. Il cessa de manger, perdit le contact avec la réalité et fit une tentative de suicide par automutilation, sauvé de justesse par son épouse.
Peu après, il découvrit que sa femme collaborait avec le procureur et son propre avocat, qui l’incitaient à se déclarer coupable d’un détournement de fonds. Sous chantage, ils menaçaient d’impliquer sa femme si lui refusait d’avouer. Lorsqu’il tenta d’expliquer sa version des faits, son avocat le traita de fou et l’avertit qu’il serait interné s’il publiait son autobiographie. Stewart remarqua même que des hélicoptères noirs planaient près du bureau de son avocat à chacune de ses visites.
Désespéré, il téléphona à Duncan pour lui laisser un message d’adieu, prévoyant de se suicider dans la nuit. Il fit boire ses enfants, les embrassa, puis avala une forte dose de vodka et de Prozac. Il perdit connaissance, certain que la mort viendrait rapidement.
Il fut finalement secouru par Preston, Duncan et Al Bielek, alertés par son message. Ils le trouvèrent inconscient dans sa cuisine, la tête sur la table, et appelèrent les secours. Refusant d’aller à l’hôpital, Stewart fut réchauffé, hydraté et ramené à la conscience après plusieurs heures. Honteux mais soulagé, il comprit qu’au fond, il voulait être sauvé, non mourir. Cette expérience le fit renaître à la vie.
Une vision d’instrumentation christique
Dans les semaines suivantes, Preston vint souvent l’aider à “vider sa mémoire intérieure”, tandis que Duncan l’appelait presque chaque jour. Stewart commença à vivre des visions mystiques : il se voyait à Jérusalem, marchant aux côtés du Christ, ressentant sa présence lumineuse.
Lors d’une séance particulièrement intense, sous transe, il revécut une scène du projet Montauk : allongé sur une table, électrocuté sous surveillance médicale. Puis un écran s’alluma et projeta une vision ancienne. Stewart se retrouva soudain transporté dans une cité romaine du Moyen-Orient. En haut des marches d’un temple, un homme en robe dorée apparut : Jésus. Dans sa tête, une voix criait : « Tire ! Tire ! ». Sentant une arme le long de sa jambe, il résista à l’ordre intérieur, leva le pistolet, puis le laissa tomber et s’enfuit en larmes. Il savait qu’il venait d’être mis à l’épreuve — et que le Christ l’avait pardonné.
La vision se transforma : il se vit au pied de la croix, face à Jésus crucifié. Du sang coulait de son front et de son flanc. Dans ses mains, Stewart tenait une fiole vide et une seringue. Comme poussé par une force extérieure, il piqua le pied du Christ pour recueillir un peu de sang, tandis que le supplicié le regardait avec douceur et compassion.
En un instant, Stewart se retrouva dans un désert rougeâtre au ciel rosé, qu’il reconnut comme la planète Mars. Tenant toujours la fiole, il marcha jusqu’à une colline où se tenait une silhouette encapuchonnée. Il lui remit le flacon ; l’être retira sa capuche : c’était Duncan Cameron, qui l’enlaça et l’emmena vers une ouverture rocheuse.
À son réveil, bouleversé et glacé, Stewart comprit le sens de la vision. Le sang du Christ, selon lui, devait servir à créer un clone hybride doté d’un cerveau androïde, un “faux Messie” programmé par le gouvernement pour une seconde venue fabriquée. Cette copie, génétiquement identique à celle du Linceul de Turin, permettrait de convaincre l’humanité entière de la véracité du miracle, instaurant un contrôle total des consciences.
Stewart affirma que ce projet secret était caché dans les installations souterraines de Mars, utilisées depuis les années 1950 par le gouvernement secret américain. Le vaisseau Aurora, développé à partir de technologies d’OVNI récupérés et basé à Area 51, y effectuerait des vols réguliers.
Selon lui, les autorités cherchaient à réactiver les systèmes de défense de Mars et de la Lune avant l’invasion annoncée des Draco, tout en s’assurant la loyauté des Terriens. Et pour garantir cette confiance, qui mieux que le Christ réincarné, manipulé par le pouvoir, pourrait servir à unir et à soumettre la population mondiale ?
Le procès se poursuivit et eut lieu le 27 février 1992, et le verdict fut sévère. Le jour de sa condamnation, ses parents, sa sœur, sa femme, Preston et Duncan se sont tous présentés au tribunal. Le juge, bien qu’apparemment compatissant et conscient que Stewart n’était pas totalement responsable, affirma être obligé d’appliquer la peine minimale prévue par la loi. Stewart fut donc condamné à trois ans de prison — une peine jugée disproportionnée par rapport à la nature des faits, et perçue par ses proches comme une sanction politique ou punitive, destinée à le réduire au silence après ses révélations sur Montauk et les programmes secrets.
Commentaire personnel :
Ce type de condamnation en « coup monté » gouvernemental pour punir et faire taire le témoin ressemble vraiment à ce qu’a vécu aussile contacté Alex Collier, qui était vraiment du même genre. D’ailleurs comme Alex Collier, il parle des implications des Siriens A et B, Dracos, gris, Pléiadiens, et des interactions exopolitiques de ces races avec nous. Collier avait été condamné en punition en 1991, Swerdlow a été condamné en punition en 1992.
Le langage de l’hyperespace
Stewart Swerdlow explique que son parcours de souffrances et d’expériences étranges avait pour but de le préparer à sa véritable mission : aider les êtres humains à guérir par eux-mêmes en comprenant leurs schémas mentaux inconscients. Selon lui, les pensées et émotions négatives attirent des événements similaires, et la guérison durable ne peut venir que de la transformation intérieure. Il veut enseigner à chacun comment analyser et reprogrammer ses propres structures mentales, plutôt que de dépendre de médecins ou de thérapeutes.
Il s’intéresse à l’auto-guérison et prévoit d’écrire un livre qui inclura des notions de symboles, de valeurs numériques, d’analyse de rêves et de champs auriques, des techniques énergétiques, la radionique, la lecture de l’ADN, la communication avec les plans spirituels et un dictionnaire de la langue de l’hyperspace. L’objectif est d’aider les gens à supprimer les schémas mentaux qui les coupent de leur être véritable.
Swerdlow affirme que la pensée divine ne s’exprime pas par des mots, mais à travers les couleurs, les sons et les formes géométriques, formant un langage universel : la langue de l’hyperspace. Ce langage, antérieur à toute forme écrite, permettrait de communiquer instantanément entre consciences à travers le temps et l’espace. Les archétypes en sont les éléments fondamentaux : ce sont des formes et couleurs représentant directement les pensées et émotions d’un être. Dans certaines expériences de conscience élargie, on peut percevoir ce langage sous forme de symboles lumineux, accompagnés d’un sentiment de connaissance absolue.
Selon lui, ces archétypes constituent la matrice de toute réalité. Ils sont traduits par le cerveau humain sous forme de symboles, puis de mots et enfin de gestes. Les rêves utilisent ce même système pour transmettre des messages du subconscient, que le mental rationnel refuse souvent d’entendre. Tenir un journal des rêves permettrait d’en décoder les significations et de recevoir des informations de l’inconscient.
Swerdlow établit un lien entre les archétypes et le corps humain : les pensées, par leurs formes et couleurs, influenceraient directement la structure de l’ADN. Les quatre protéines de base du code génétique correspondraient à des séquences archétypales. En comprenant et en manipulant ces séquences mentales, il serait possible de modifier l’expression de son ADN et d’agir sur sa santé et son évolution. Il prévient toutefois que ces techniques nécessitent prudence et encadrement, car une ouverture incontrôlée des énergies ou de la kundalini pourrait provoquer déséquilibres ou troubles mentaux.
Il considère également les crop circles comme des messages rédigés dans ce langage universel, chaque formation représentant une phrase ou un paragraphe d’archétypes à interpréter.
Il pense que sa mission est d’aider les êtres humains à devenir conscients, responsables et capables de communiquer avec la conscience universelle. En comprenant la langue de l’hyperspace, chacun peut accéder à la connaissance de soi, à la guérison et à une véritable connexion avec l’esprit divin.
Aujourd’hui, Stewart enseigne à d’autres comment utiliser les techniques mises en œuvre à Montauk à des fins positives. Il donne des séminaires destinés à aligner et à développer les capacités mentales de ses élèves. Stewart Swerdlow s’est marié avec Janet qui est médium, et ils vivent de la dispensation de cours, stages et conférences sur les soins et guérisons et l’éducation métaphysique, du travail avec la neuro-linguistique et d’autres méthodes dans le cadre de l’organisme « Expansion » qu’ils ont fondé.

Liens vers des documents plus complets sur ce contact :
• Livre complet "Encounter in the Pleiades : an inside look at UFO" (1996) de Preston Nichols et Peter Moon, en anglais - format PDF: Cliquer ici
• Livre complet "The Montauk project : experiments in time" (1992) de Preston Nichols et Peter Moon, en anglais - format PDF: Cliquer ici
• Livre complet "Montauk revisited : adventures in synchronicity" (1994) de Preston Nichols et Peter Moon, en anglais - format PDF: Cliquer ici
• Livre complet "Montauk : the alien connection" (1998) de Stewart Swerdlow, édité par Peter Moon, en anglais - format PDF: Cliquer ici
☝ Site web en anglais + traduction automatique FR :
Site complet sur l'affaire Montauk et protagonistes
☛ Traduction auto en FR : cliquer ici
Site d'Alfred Bielek qui raconte l'affaire Montauk
☛ Traduction auto en FR : cliquer ici
Site stealthskater de données techniques sur Montauk
☛ Traduction auto en FR : cliquer ici
☝ Sites en français :
• Histoire complète de Alfred Bielek sur l'expérience de Philadelphie
• Dossier expérience de Philadelphie sur RR0
• Dans le site chercheursduvrai :
Expérience de Philadelphie
Lien extraterrestre de l'expérience de Philadelphie
Informations techniques Montauk
