KORENDOR - Robert Renaud

UFO contact from planet KORENDOR

Sommaire cliquable de liens internes :
Planète d'origine des contacts
Tentative de décrédibilisation du contact par falsification d'informations provenant d'agences de l'ombre
Identité du contacté
Epoque et lieu du contact
Publication de l'histoire
Comment a eu lieu le contact
  ➳ Voici son récit fait par lui-même dans ses livres
  ➳ Deuxième rencontre, racontée par Robert
  ➳ Premier contact par vidéo, décrite par Robert
  ➳ Première rencontre physique avec les Korendiens, sur Terre, décrite par Robert Renaud
Apparence des habitants de Korendor
Description de leur monde et de leur civilisation
  ➳ Emplacement de Korendor
  ➳ Description physique et géographique de Korendor
  ➳ Energie
  ➳ Les villes
  ➳ Leur vie et leurs échanges
  ➳ Leur confédération
  ➳ Alphabet
Extrait 1 : vaisseaux spatiaux
  ➳ Déplacement supra-luminique en mode dématérialisé ou 4-D
  ➳ Système de propulsion
  ➳ Description d'un vaisseau de Korendor de taille importante, celui de son premier contact
  ➳ Contrôle de la gravité
  ➳ La gravité elle-même comme le véritable magnétisme
  ➳ Equipage
Extrait 2 : le pourquoi du contact avec la Terre
Extrait 3 : la situation de la Terre est discutée en assemblée galactique
  ➳ Conclave des Maîtres Anciens sur Arcturia par le Maître Kren-Lor de la planète Arcturia
  ➳ Rejoindre l'alliance mondiale universelle (UWA)
Extrait 4 : un très sérieux avertissement sur l'annihilation totale qui a eu lieu d'une planète comme la Terre
Extrait 5 : conceptions spirituelles et philosophiques
  ➳ Conceptions de Korendor sur l'esprit et ses capacités
  ➳ Conceptions de Korendor sur le divin cosmique
Extrait 6 : la téléportation
Extrait 7 : démonstration d'utilisation de gadgets extraterrestres
  ➳ Appareil de modification de la gravité
  ➳ Arme laser de démonstration qui leur sert de force de dissuasion
  ➳ Générateur énergétique produisant de la lumière ambiante
Extrait 8 : montée à bord d'un vaisseau Korendien de voyage personnel à antigravité
Extrait 9 : les sondes espionnes psychiques pour infiltrer les services officiels et la prise de contrôle psychique d'une personne
  ➳ Projet Terra
Extrait 10 : somnivision - l'imprégnation du cerveau dans le sommeil par un faisceau dirigé
Extrait 11 : les anciennes interactions avec la Terre par le passé
Extrait 12 : visite d'une base souterraine
Extrait 13 : visite d'une base sous-marine extraterrestre Korendienne et expérience de téléportation personnellement vécue par Robert Renaud
Extrait 14 : sortie dans l'espace avec une combinaison spatiale
Extrait 15 : visite d'une base lunaire
Extrait 16 : les premiers voyages interstellaires de Korendor et la toile des contacts stellaires tissés
Anecdote : amour Terrien-Korendienne et visite de 2 jours sur Korendor, dernier rapport de contact
Fichiers Arkay : un habitant de Korendor qui parle aux terriens de 1988 à 2004
🔗 Liens vers des documents plus complets sur ce contact

Planète d’origine des contacts :

Ils sont originaires de la planète KORENDOR, située à environ 400 années lumière de la Terre. Ils donnent des informations très détaillées sur leur position avec une localisation précise sur une carte stellaire, donnée plus loin dans cet article. Ils disent étudier notre niveau d'évolution intelligente. Ils étaient au même stade que nous dans leur progression il y a 3000 ans.

Ils appartiennent à une confédération de planètes qu'ils souhaitent que nous puissions rejoindre dans le futur si nous ne nous sommes pas détruits d'ici là.

"L'Alliance des Mondes Unis" (United World Alliance ou UWA en anglais), dont Korendor est un monde membre est ici sur Terre pour répondre à notre besoin de maturité diplomatique et spirituelle, ainsi que pour entraver les plans d'un groupe rétrograde d'ET connus par les Korendiens sous le nom d'Omegans, qui tentent de transformer l'humanité terrestre en une race hostile et violente, que les Omégans peuvent entraîner à devenir des guerriers pour combattre et piller en tant que mercenaires contre des civilisations pacifiques au profit du syndicat Omégan.

Cette alliance a été créée il y a 655 ans en années terrestres. C'est une confédération différente de celle appelée la "Fédération galactique" par les Terriens, qui est une autre fédération avec des règles plus strictes sur la non ingérence que leur confédération à eux. Voir à ce sujet d'autres informations, vers la fin de l'article.

Tentative de décrédibilisation du contact par falsification d'informations provenant d'agences de l'ombre :

Comme beaucoup d'autres cas de contact étudiés/enquêtés, ce cas comprend également une surveillance étroite de la part du « pouvoir caché d'arrière-plan » (les gens du gouvernement secret) – qui a manifestement intercepté son courrier. La même chose s'est produite avec le courrier adressé à Billy Meier (les contacts avec Semjase, dits les "Pléiadiens") en Suisse dans les années 1970 – où « ils » avaient forcé le bureau de poste local à les laisser filtrer son courrier et ainsi intercepter les films de retour du laboratoire de développement et autres. Une fois qu'ils ont révélé cela, il a été clairement vu sur le film qu'il a reçu – il était en miroir, vu par le poseur de film. Donc « ils » ont gardé les originaux et il n'a reçu que des copies, mais ils ont fait preuve d'une négligence à faire des copies en miroir. De la même manière, ils ont changé les photos de ses femmes de contact et ont utilisé ce système contre lui plusieurs années plus tard.

Dans le cas de Renaud, ils avaient apparemment examiné son courrier : quand il écrivit et imprima plus tard un livre sur ses contacts avec l'aide de John Dean, ils découvrirent, après l'avoir imprimé, que quelqu'un y avait modifié des informations astronomiques. Cela avait apparemment été fait dans l'intention de le démentir plus tard - de le traiter de menteur, et de le ridiculiser ainsi qu'ils ont l'habitude de le faire dans de tels cas - avec l'aide de journalistes stupides et égoïstes - qui ne recherchent que la superficialité.

Renaud a découvert plusieurs occasions de modifications de ses textes, qu'il indique d'ailleurs quand il les retrouve, dans son site internet de publication sur Korendor (qui est en lien en fin d'article)

Aussi, en 2004 une analyse a permis de découvrir que des transmissions étaient faites faussement au nom de Korendor de façon subtile, intercalée dans des vraies transmissions, avec une imitation de voix, afin d'immiscer de fausses informations. Cette affaire est expliquée ici (traduction FR automatique).

Identité du contacté :

Robert Renaud, appelé "Bob" (diminutif usuel de Robert dans les pays anglo-saxons). À ses 18 ans, il travaillait chez General Electric et était un magicien de l'électronique et inventeur. Il habitait chez ses parents dans les Berkshires, dans le Massachusetts aux USA, dans sa chambre au sous-sol, transformée en laboratoire et studio de radio-amateur.

Il était radio-amateur et c'est en tant que tel, à l'âge de 18 ans, en 1961, qu'il a capté un bip bizarre et gênant sur son poste, qui est devenu une voix qui lui a parlé personnellement : les gens de Korendor.

Il a parlé de son histoire publiquement une seule fois, en 1966, à une convention d'ufologie. Les retours acides de gens totalement incrédules et blessants l'ont convaincu de ne plus jamais parler publiquement de ce contact par la suite.

Robert Renaud face à son matériel de radio-amateur qui lui permet de parler avec ceux de Korendor
Robert Renaud avec ses appareils de radio-amateur avec lesquels il a été contacté par les Korendiens

Par contre il a diffusé ses notes de contact par écrit de diverses façons (par des publications dans des revues ufologiques ou dans des livres).

Les Korendiens continuaient encore à donner des informations à Robert Renaud en 2007, donc 46 ans après le premier contact. Et cela a probablement continué ensuite, je n'ai simplement pas d'informations sur la suite.

À lui seul, Robert Renaud a enterré l'ensemble des autres divulgateurs d'informations extraterrestres en terme de volume d'écrit produit : il a écrit en tout 12 livres de 500 à 600 pages au total. Les Korendiens donnent le détail sur toute leur civilisation, leur planète, leurs villes, leur vie et les relations avec les autres races extraterrestres, leur technologie (dans les limites de la non reproductibilité par les humains sur la base des informations fournies).

Robert Renaud a été emmené par les Korendiens dans plusieurs de leurs vaisseaux (un vaisseau personnel de transport de petite taille qu'il a pu piloter un peu, un vaisseau de reconnaissance de type soucoupe volante faisant la navette vers le vaisseau-mère qu'l a pu aussi piloter un peu, dans le vaisseau-mère de 16,5km en forme de cigare). Il a été emmené par les Korendiens en visite de bases souterraines, de base sous-marine, d'une base lunaire, et en sortie dans l'espace avec combinaison. Il a vécu l'expérience d'être téléporté aussi. Ses expériences ont bien sûr été très nombreuses, et il a pu avoir aussi des démonstrations de fonctionnement d'appareils d'envoi d'ondes de gravité pour faire flotter des objets, de rayons de désintégration, et autres. Il a pu voir de nombreux Korendiens et parler avec eux, physiquement. Ses expériences ont été exceptionnelles et variées.

Dans le deuxième contact, les habitants de Korendor lui ont également dit ceci des gens qui sont des contactés sur Terre : « (les gens) qui racontent des récits de vaisseaux formidables, de voyages vers les planètes et de conversations avec les Maîtres ne sont pas des gens ordinaires. Chacun d’entre eux a été soigneusement sélectionné, comme vous, et choisi pour sa tâche particulière sur la base de ses capacités et de sa croyance dans la cause de la Fraternité Universelle. Ces gens sont les prophètes des temps modernes, les intermédiaires entre vous et nous. Ils vous donnent des informations que nous pensons que vous devez avoir. »

Les korendiens ont d’autres contactés sur Terre, mais ils ne donneront pas les noms car ces contactés eux-mêmes ne savent pas que c’est avec les Korendiens qu’ils sont en contact, et les Korendiens ne souhaitent pas qu’ils le sachent (peut-être qu'ils se font passer pour d'autres civilisations dans leurs contacts !?) Voir ici.

Gabriel Green et Wendelle Stevens ont tous les deux enquêté sur Bob Renaud et ont chacun conclu à sa totale sincérité et sa grande crédibilité.

Epoque et lieu du contact :

Le 8 Juillet 1961, dans les terres du Berkshires, dans l'état du Massachusetts, aux USA. C'est là qu'habitait Robert Renaud lors du premier contact et des années de contact qui suivirent.

Localisation de la résidence de robert Renaud, qui est aussi l'endroit d'où il est contacté par les extraterrestres de Korendor par sa radio
Localisation du lieu du contact

Publication de l’histoire :

• John W. Dean a été le premier à publier un livre sur les contacts de Robert Renaud, après avoir mené son enquête personnellement sur cette affaire. Les extraterrestres de Korendor ont noté son intérêt pour eux et se sont mis à le contacter lui aussi. Il a publié un livre très connu d'ufologie en 1964 et a publié ensuite un livre sur le cas spécifique du contact avec Robert Renaud en 1969, intitulé "Flying saucers, close up" (Soucoupes volantes, vu de près) après des années de travail en lien avec Robert Renaud et les Korendiens.

Livre de John Dean sur le contact avec Korendor
Le livre de John Dean sur le cas des extraterrestres de Korendor

• Les éditeurs du seul journal Ufologique qui existait dans le monde à l'époque, un couple nommé Carl et Annie Veit de Wiesbaden, ont invité Robert Renaud à venir chez eux en Allemagne. Ils ont trouvé son histoire si intéressante qu'ils ont publié ses notes de conversation avec les Korendiens en Allemagne, et en langue allemande dans leur revue.

Robert Renaud leur a envoyé beaucoup de matériel écrit complémentaire ensuite et ils ont publié trois livres contenant toutes ces notes, intitulés "Mein ferenseh, radio und direktkontakte mit auberidischen", tomes 1,2 et 3.

• Gabriel Green a mis une partie de l'histoire de Robert Renaud sous la forme d'une histoire à suivre dans des revues du AFSCA (Amalgamated Flying Saucers of America, organisme à but non lucratif fondé en 1959 et actif durant les années 1960 surtout et début des années 1970, qui publiait des magasines sur l'ufologie aux USA). Cela a été publié dans les revues "UFO International" et "Flying Saucers International magazines", n°18 de juin 1963, au n°29 de mars 1969.

• Le magazine FATE (mars 1986, p.52) contenait un article sur l'affaire Korendor écrit par Allen Griese. Il a pensé, lorsqu'il en a entendu parler - comme la plupart des autres - que tout cela relevait de la pure science-fiction. Mais après avoir rencontré Renaud en 1967, il n'a plus cru qu'il s'agissait d'un canular, comme il l'a écrit « …si Renaud était engagé dans une fraude, c'était de toute évidence une tâche peu gratifiante. »

Grise rendit donc visite à Renaud à son domicile et trouva, comme l'affirmaient les écrits du contacté, une pièce au sous-sol remplie d'équipements électroniques, y compris le téléviseur et la radio à ondes courtes par lesquels les communications étaient censées avoir été effectuées.

Matériel radio-amateur de Bob Renaud pris en photo par Grise
Matériel de radio-amateur de Robert Renaud pris en photo par Grise chez le contacté

Grise, ingénieur de profession et radio-amateur lui aussi, a constaté que tout semblait logique. Les circuits étaient tous appropriés pour étendre la portée de la réception.

Grise à propose de Robert Renaud : « En d'autres termes, s'il recevait des messages d'une source aérienne, il disposait de l'équipement nécessaire pour les recevoir. »

Grise a écrit : « Renaud a une grande collection de cassettes prétendument sur ses communications spatiales » : Grise en a écouté quelques-unes et a entendu ce qui était censé être la voix de la femme du premier contact, Lin-Erri. Il se souvient : « Il s'agissait d'enregistrements de bonne qualité, sur bobines. La voix de la femme avait une sorte d'hésitation dans les schémas d'élocution suggérant une personne étrangère se débrouillant bien en anglais. Elle avait une qualité chantante et mélodieuse ».

Lorsque Grise demanda s'il pouvait rencontrer les extraterrestres en question, malgré un profond cynisme naturel, il était presque prêt à y croire : Renaud répondit qu'il pouvait demander une rencontre mais qu'il ne pouvait pas garantir que les Korendiens l'accepteraient…

Peu après, Renaud a rompu leur brève association et lui a dit de ne plus l'appeler ni lui rendre visite. Il a vraisemblablement compris qu'il ne servait à rien d'essayer de convaincre quelqu'un qui n'était pas prêt ou mûr spirituellement.

• Quatre livres d'enquête diffusés en 2004 par Wendelle Stevens dans la série des contacts extraterrestres traitent de ce contact. Ils s'appellent "UFO contact from planet KORENDOR", volume 1, 2, 3 et 4.

UFO contact from planet KORENDOR, volume 1
UFO contact from planet KORENDOR, volume 1

➳ Le contenu du volume 1 provient essentiellement des publications de Gabriel Green (qui publiait les notes de Robert Renaud), et c'est lui, ainsi que Robert Renaud et Wendelle Stevens qui sont mis comme co-auteurs du 1er des deux livres.
➳ Le contenu du volume 2 a été essentiellement constitué des informations de Arta-Dorrec, un Korendien en contact avec Robert Renaud.

Comment a eu lieu le contact :

Bob Renaud était un radioamateur âgé de 18 ans quand la nuit du 8 juillet 1961, alors qu'il scannait la bande des ondes courtes de 25 mètres à la recherche d'une émission de la radio de la BBC.

"Le premier contact avec ces gens a eu lieu le 8 juillet de cette année. Comme d'habitude, je parcourais les bandes d'ondes courtes à la recherche de quelque chose d'intéressant. C'était une journée assez bonne pour la réception DX, et il y avait beaucoup de fouillis autour du cadran, mais finalement mon choix s'est porté sur la station BBC dans la partie supérieure de la bande des 25 mètres.

Je me suis installé confortablement, j'ai pris un livre d'astronomie et j'ai commencé à parcourir les photographies. Je n'en avais lu que quelques pages quand le haut-parleur de la radio a émis un bip-bip-bip aigu. C'était assez ennuyeux, inutile de le dire, et comme il se situait à quelques kilocycles de la limite supérieure du signal de la BBC, j'ai essayé de l'éliminer en réglant le volume vers le bas. Cela n'ayant servi à rien, et ma curiosité ayant été ébranlée, j'ai décidé de découvrir ce que représentait ce bruit désagréable. À peine étais-je aligné qu'il s'est arrêté, remplacé par une voix féminine douce et cristalline qui a prononcé la phrase : « Bob, nous aimerions que tu restes sur cette fréquence pendant un moment. »

Bien sûr, cela m'a frappé en plein dans les yeux, durement. Il m'a fallu une minute entière pour me remettre du choc. Dès que j'ai repris mes esprits, elle a continué :

« Bob, mes associés et moi avons passé de longues heures à réfléchir à ce contact. Nous avons décidé qu'il serait dans notre intérêt de mettre nos plans à exécution, c'est pourquoi je vous parle aujourd'hui de la première d'une longue série de voyages fructueux dans le monde de la connaissance, nous l'espérons.

Vous êtes notre premier contact avec les gens de votre monde. Nous avons déjà essayé auparavant, mais aucun résultat n'a jamais été considéré comme réussi. Ces tentatives précédentes étaient télépathiques. À l'époque, nous pensions que, comme notre manque de connaissance de l'anglais était très évident, les images mentales seraient le seul moyen de communiquer.

Cependant, il semble que nous nous trompions sur ce point. Vous n’avez pas développé vos facultés mentales au niveau dont elles sont capables. Certains de vos concitoyens ont des capacités télépathiques, mais votre société, dans son intolérance, les a qualifiés de lunatiques ou d’inoffensifs cinglés, pour reprendre un terme courant dans votre langage quotidien.

Ainsi, pour vous contacter, il a fallu des semaines de recherche sur la langue anglaise. Il a fallu corréler la parole avec l'image mentale. Nous avons pensé que cela ne serait pas difficile, puisqu'il nous suffisait de surveiller vos transmissions radio et télécran à cette fin.

Nous n'étions cependant pas conscients de l'utilisation extensive des enregistrements dans ces deux médias, et nous ne considérions pas non plus que ces enregistrements, contrairement aux nôtres, ne conservaient pas les impulsions télépathiques ni les impulsions audiovisuelles. Pendant dix jours, nous avons surveillé toutes les fréquences disponibles en utilisant votre langage, mais cela n'a abouti à rien, car nos analyseurs n'étaient efficaces qu'avec des stimuli sensoriels-extrasensoriels simultanés.

La situation semblait désespérée. Nous ne pouvions pas atterrir et entrer en contact directement, en raison des différences atmosphériques, et nos études à longue distance sur le langage, études entravées par le manque des impulsions susmentionnées dans les transmissions, n'avançaient nulle part à la vitesse de la lumière.

En désespoir de cause, nous avons décidé de déposer des dispositifs de détection spéciaux parmi vous. Ceux-ci nous donneraient les impulsions psychosensorielles nécessaires avec les sons correspondants. Cependant, les implanter était une tâche difficile. »

Elle a ensuite expliqué comment ils ont utilisé la transmission électronique d'objets, appelée par nos scientifiques téléportation, pour placer les capteurs à distance dans des endroits connus pour être actifs pendant la journée. Plusieurs d'entre eux étaient situés dans les différents bâtiments du gouvernement de Washington, le reste dans des installations publiques. La tâche était très difficile en raison de l'absence de récepteurs. D'ordinaire, la téléportation se fait entre deux stations, où l'objet est transmis ici et reçu et décrypté là. Dans ce cas, cependant, ils ont dû matérialiser les capteurs sans aucun récepteur à l'emplacement de la centrale. D'une manière ou d'une autre, ils y sont parvenus et ont atteint leur objectif.

Continuant : « Maintenant que nous avions ces impulsions corrélées, l'analyse a commencé, pour se poursuivre pendant deux semaines. Nous avons réussi à déchiffrer le sens de 7432 mots les plus couramment utilisés, mais nous n'avons pas pu aller plus loin.

Ce fait a été relayé par transmission subspatiale à notre planète natale. Quelques jours plus tard, notre récepteur de téléportation de la station lunaire nous a apporté un concept entièrement nouveau en matière d'analyseurs. Celui-ci nous a été livré en toute hâte dans notre vaisseau, à l'époque stationné au-dessus de la Californie. Grâce à cet appareil, notre vocabulaire de mots anglais s'est rapidement élevé à plus de 50 000 termes, ce qui nous a permis d'acquérir une connaissance pratique de votre langue.

Pendant ce temps, nous avons découvert quelque chose qui nous intéressait dans les montagnes des Berkshires et avons immédiatement réinstallé notre vaisseau dans ces environs. »

Note : mise à jour du 06/09/2008 : ce « quelque chose » était un gisement assez important de platine, un métal rare dont ils avaient besoin pour les appareils électroniques.

« C’est à cette époque, au début de juin de cette année que vous appelez 1961, que nous avons découvert votre intérêt pour nous, pour la paix dans le monde et pour l’avenir de l’humanité.

« Depuis ce jour jusqu'à aujourd'hui, nous avons réfléchi à ce contact. Aucun d'entre nous n'y était opposé, mais la question était de savoir comment l'établir. Certains ont suggéré l'empreinte de transe ; d'autres ont pensé que la vision en sommeil [Note : rêve] serait la meilleure ; et les autres ont pensé que le contact par transmission radio à ondes courtes serait la meilleure méthode. Cette dernière proposition a été accueillie favorablement et nous devions maintenant nous assurer que vous ne manqueriez pas cette transmission. »

Elle a ensuite expliqué comment ils ont procédé. Ces paragraphes techniques sur la façon d'émettre leurs bips spécialement à l'intention de Robert Renaud, n'est pas reproduit ici.

Pendant la demi-heure qui suivit, on me donna des instructions détaillées sur la façon de construire un convertisseur subspatial pour mon récepteur et un émetteur subspatial complémentaire, afin que je puisse établir une communication bidirectionnelle avec eux. En notant l'heure, je fus étonné de voir que près d'une heure s'était écoulée en un éclair.

Continuant : « Il est maintenant temps de discuter de questions d’intérêt et d’importance pour le bonheur et l’avenir de l’humanité.

Notre principale préoccupation est maintenant la possibilité que votre peuple s'engage dans une guerre nucléaire, ce qui signifierait inévitablement la fin de votre race. En d'autres termes, nous ne pouvons pas vous en empêcher. Nos codes ne permettent pas d'interférer dans la vie des hommes au point de prendre des mesures énergiques. Nulle part dans la galaxie civilisée il n'existe de races qui s'imposeraient à une autre race au point de modifier réellement les conditions d'un monde sans le consentement express des habitants de ce monde.

Nous ne pouvons donc que vous avertir que votre politique actuelle ne peut mener que dans une seule direction : la destruction définitive de votre peuple. Nous sommes quelque peu encouragés par le moratoire volontaire sur les explosions d'armes nucléaires actuellement observé par les principales puissances sur votre planète.

Nous pensons cependant que ce moratoire ne peut pas durer éternellement, et il n'y a qu'une seule réponse à cette question : le désarmement complet. Lors de futurs contacts, nous discuterons de la manière dont cela peut être accompli, mais pour l'instant nous dirons seulement qu'il n'y a pas d'autre solution si votre course doit continuer. »

Elle indiquera plus tard s'appeler Lin-Erri, et elle a dit qu'elle et les siens venaient d'une planète appelée Korendor, mais qu'ils étaient en ce moment-même dans leur vaisseau spatial, à de nombreux kilomètres au-dessus de la Terre. Ils nous avaient découverts depuis 2 ans avant ce message, et ils avaient reconnu une technologie en développement avec notre activité satellite.

Après de nombreuses informations délivrées le premier contact se conclue par une date de RDV donnée par les Korendiens à Robert, avec possibilité de son côté de pouvoir leur parler s'il effectue le montage technique proposé à cet effet :

« Nous avons dépassé quelque peu le temps prévu pour ce contact et devons donc nous déconnecter dans un instant. Si vous construisez l'émetteur et le convertisseur décrits plus haut, notre prochain contact du 5 août sera beaucoup plus utile pour nous deux. »

Et ainsi se sont poursuivis les échanges pendant un moment.
Mais les échanges n'ont pas eu lieu que par radio vocale. Par la suite ils enverront des images vidéos d'eux par transmission, ainsi que de l'intérieur de leur vaisseau. Et ils organiseront des rencontres physiques dans des endroits tranquilles où Robert a vu des engins spatiaux et des manoeuvres à son intention.

Photo de Bob Renaud parlant avec son matériel de radio-amateur
Photo de Robert Renaud pendant qu'il utilise son matériel de radio-amateur avec lequel il peut communiquer avec les Korendiens

« La date était le 5 août. Cela faisait exactement trois semaines depuis cette soirée mouvementée de juillet, cette nuit des nuits où les Gens de l'Espace m'ont informé de ma soudaine promotion ce jour-là d'ufologue loup solitaire à porte-parole officiel des Korendiens, le Représentant Terrien de l'Alliance des Planètes.

L'heure approchait à présent de 2 heures du matin. Mon équipement était en parfait état et j'attendais en silence les événements importants qui allaient suivre ce soir-là.

Le nouvel émetteur dans le sub-espace, dont le tube de l'étage final brillait d'une douce et joyeuse luminescence rouge, était posé avec impatience au centre de la table à ma gauche. J'avais passé trois heures entières la veille au soir à aligner soigneusement ses circuits selon les instructions reçues lors du premier contact, et dans quelques instants, il allait connaître son moment de vérité.

[...]

À 2 heures du matin, le contact a commencé.

« Kalo (note personnelle : c'est un mot en langage Korendien qui signifie une salutation), frère Bob. Si tu es prêt avec ton émetteur, envoie une courte transmission pour nous permettre de nous aligner sur ton signal. »

J'ai actionné l'interrupteur de transmission. Le moniteur NE-2 s'est allumé et, selon la vieille tradition, j'ai dit : « Test - test - un deux trois - trois deux un. » Le récepteur est revenu à la vie. « Nous sommes maintenant alignés. Votre signal est excellent. Vous obtenez un « A » pour la construction de l'émetteur. »

Et s'en sont suivis comme je le disais, de nombreux contacts ainsi, en bi-directionnel, Robert pouvait poser des questions et plus seulement écouter.

Le 3 décembre 1961, j'ai reçu une communication expliquant comment convertir l'un de mes téléviseurs pour recevoir les transmissions vidéo de leurs appareils. Il fallait apporter de nombreuses modifications aux composants du téléviseur pour modifier ses fréquences de fonctionnement. J'ai également reçu par courrier un adaptateur qui se connectait aux bornes de l'antenne (pas de prises de type F ni de câble RG-59 en 1961). Après avoir terminé les modifications environ une semaine plus tard, il ne restait plus qu'à attendre. Et attendre. Et attendre.

Appareil de TV rond sur la gauche, modifié par Bob Renaud pour voir les images envoyés par les extraterrestres de Korendor
L'appareil de TV rond sur la gauche est celui avec lequel Robert Renaud pouvait voir les images diffusées par les extraterrestres de Korendor pendant qu'il leur parlait par radio

Une éternité plus tard, le 6 janvier 1962 arriva enfin. L'heure du test était arrivée.

Il était 2 heures du matin. La « neige » sur l'écran résultant de l'absence de signal disparut brusquement lorsque l'écran s'éteignit. Dix secondes plus tard, la première image transmise était une image fixe de leur insigne. Cela dura environ cinq minutes et fut accompagné de divers sons, qui servaient tous de signaux de test pour l'alignement final du circuit du récepteur converti.

À la fin de la transmission, l'écran redevint noir pendant 10 secondes. Puis, nous avons eu une vue impressionnante de la Terre vue de très loin. On m'a dit plus tard que l'image avait été transmise par un satellite télévisé sans pilote situé à quelque 150 000 kilomètres de la surface de notre planète.

La scène commença à se dérouler à mesure que la caméra se déplaçait, et une multitude d'étoiles devinrent visibles sur l'écran avec une mise au point parfaite, nette et stable. (Pour les lecteurs à l'esprit technique, la fréquence de balayage horizontal du récepteur avait été augmentée pour donner une image de 1000 lignes par image, et le balayage vertical était à 120 images par seconde, offrant des images exceptionnellement nettes par rapport à la technique de télévision standard de 525 lignes et 60 images par seconde de la télévision américaine.)

Le panoramique a été balayé par le Soleil, brillant dans son éclat et encadré dans le halo chatoyant de la lueur coronale. Ensuite, la Lune, austère et froide sur fond noir, et pourtant à sa manière belle à contempler, avec le croissant éclairé par le soleil se détachant comme une couronne de feu blanc sur le fond étincelant. [Remarque : la lune était nouvelle à cette date, mais la position de l'appareil photo « à l'ouest » de celle-ci a montré un croissant égal à environ deux jours après sa naissance.]

Mes yeux étaient rivés sur l'écran, essayant d'absorber tout ce qui se passait. L'affichage panoramique a duré environ 3 minutes et demie. En raison de la modulation complète du signal des Korendiens, les parties noires étaient complètement dépourvues de lignes de balayage et les blancs étaient brillants, comme sur une photographie nette.

L'écran noir réapparut pendant dix secondes. Lorsque l'image revint, elle provenait de l'intérieur d'un vaisseau spatial non identifié mais manifestement énorme. On m'avait dit que Lin-Erri serait mon guide touristique et j'attendais sa voix douce. Il n'y avait rien d'important dans le haut-parleur.

La caméra balaya une grande pièce circulaire au plafond bas qui semblait doucement illuminée. Apparemment, Lin-Erri surveillait mes pensées et dit : « Vous connaissez les petits disques circulaires vendus comme veilleuses sur votre monde sous le nom commercial « Panelescent ». Le plafond n'est qu'une version plus grande et plus efficace de cette lumière. »

Elle décrit ensuite la pièce. « Dans ce vaisseau, tous les compartiments sont disposés perpendiculairement à l'axe du vaisseau, pour des raisons pratiques. Cela permet d'utiliser toute la capacité du vaisseau. De plus, n'importe quel niveau peut être atteint par la cage d'ascenseur centrale qui longe l'axe. La cage d'ascenseur a un diamètre de 20 pieds, et vous pouvez voir qu'elle n'occupe qu'une petite partie de cette pièce, qui fait environ 200 pieds de diamètre.

"C'est dans la partie centrale du vaisseau. Il a un total de 11 "étages", comme vous les appelleriez. Celui-ci est situé deux niveaux au-dessus du pont de contrôle au niveau central. D'ordinaire, c'est la salle sociale, où l'équipage se détend pendant ses loisirs, pour jouer à des jeux, ou simplement pour discuter ou regarder des programmes de nos deux principaux services de télécrans dans l'espace sur les deux écrans que vous pouvez maintenant voir sur le vôtre." Sur la photo, il y avait deux panneaux de 15 pieds de large allant du sol au plafond, tous deux sombres à l'époque, chacun ayant une petite zone de contrôle sur la droite.

"Pour l'instant, cette pièce est vide, car l'équipage est en service et se prépare à un départ précipité vers notre propre monde pour recevoir des instructions trop critiques et importantes pour être envoyées par SSR. Elles concernent notre futur travail dans votre système. Je peux vous en révéler beaucoup. Je ne peux pas en dire plus, car je ne suis pas plus au courant que vous de ce que peuvent être ces ordres.

[...]

À ce moment-là, la caméra s'est tournée directement vers Lin-Erri. C'était une femme blonde d'une beauté à couper le souffle qui semblait avoir une vingtaine d'années. Elle est restée là, silencieuse, pendant quelques instants, sachant, sans aucun doute, que je voulais m'imprégner de tous les détails.

Ses cheveux lui arrivaient aux épaules et étaient légèrement ondulés. Sa peau semblait claire et elle était une femme dans toute sa splendeur ! Je lui avais demandé par radio de se décrire. « Je mesure 1,63 m, je pèse 55 kg, je fais 37-24-36 ans. Et j'ai l'équivalent de 74 ans de votre âge. Dans notre société, c'est la fleur de l'âge. »

Après cela, je ne savais pas trop à quoi m'attendre, mais j'avais hâte de la voir à la télévision. De toute évidence, les femmes vieillissent très gracieusement sur Korendor. Ses vêtements étaient amples et en deux pièces - un peu comme le haut et le pantalon des vêtements de ski, mais dans un tissu plus doux et plus transparent. La taille était cintrée par une bande qui indiquait sa position par sa couleur, qui, selon elle, était jaune. Elle portait une broche sur le col droit et une petite chaîne et un médaillon autour du cou. Les chaussures faisaient partie intégrante du pantalon et étaient attachées par une sorte d'élastique juste au-dessus de la cheville. L'ensemble formait une combinaison inspirante !

J'ai été informé de leur intention de me contacter le 30 décembre 1961. J'ai reçu des instructions complètes pour la préparation par courrier le 22 décembre 1962. À 02h00 EST, je les ai rencontrés devant chez moi et nous avons roulé vers le sud pendant plusieurs kilomètres. Nous avons tourné sur une longue route de terre labourée et nous avons parcouru son extrémité. J'ai supposé qu'ils avaient organisé le déneigement et je n'ai pas demandé. Devant nous, au bout, se trouvait un abri en forme de tente, fait d'un matériau transparent qui servait d'isolant contre le froid glacial. Il était ouvert à une extrémité, mais il faisait néanmoins assez chaud à l'intérieur. Une fois que nous nous sommes assis sur les chaises basses, Orii-Val, un mathématicien que je connaissais grâce à des contacts télévisés antérieurs, a commencé la réunion.

« Bob, notre rencontre personnelle est enfin devenue essentielle et, comme notre base d'adaptation est presque complète, elle est tout à fait pratique. Bien que nous puissions fournir beaucoup d'informations et de conseils grâce à notre équipement radio et télécran, certaines choses ne peuvent être accomplies que par des réunions comme celle-ci.

Je suis accompagné de Gery Sol, un de nos ingénieurs électroniciens, et de Sen Kor, un linguiste venu avec nous au dernier moment, pour nous aider dans les éventuelles difficultés de communication liées aux barrières linguistiques.

Nous avons apporté plusieurs négatifs photographiques à développer. Les images obtenues ne seront pas publiées pour le moment.
[Note : il y a eu des doutes par la suite et je lui ai rendu les négatifs. Ils montraient beaucoup trop de choses.]

Nous avons également apporté plusieurs appareils qui pourraient beaucoup vous intéresser. »

Apparence des habitants de Korendor :

Ils ont indiqué à Robert Renaud que la vie humaine existe partout dans l'univers et est universelle. Beaucoup des civilisations humaines sont bien plus avancées que la nôtre, quelques unes sont plus en retard que la nôtre.

Ils ont l'apparence humaine, et sont indiscernables d'un Terrien quand ils sont sur des missions sur Terre. Mais en fait ils font une désintégration et réintégration de la matière (comme les habitants de Apu disent le faire), qu'ils appellent la "téléportation" de leurs corps, pour produire un corps correspondant à la structure et apparence nécessaire à la planète où ils vont. Ils sont humains, mais leurs corps sont adaptés à une forte gravité de 3 fois celle de la Terre, et pas du tout adaptés à la Terre. On apprendra dans le voyage de Bob Renaud à Korendor de 2007 qu'ils ont une taille moyenne de 1,20 mètre (petite taille cohérente avec une forte gravité).

Leur corps physique est vu par eux comme étant un container physique pour l'âme, comme une simple combinaison spatiale peut l'être par exemple, et il est matérialisé et ajusté pour être adapté à la planète visitée.

NOTE au sujet de la téléportation des corps : auparavant, ils utilisaient un système qui envoyait le corps sous forme d'image atomique qui était copiée sur le lieu récepteur, mais souvent ce corps n'était pas adapté à cet endroit, alors maintenant ils laissent un ordinateur construire un corps adapté. Ils semblent utiliser les implants pour "synchroniser" tout cela. L'image de données/le "fichier" peut également être stocké pour faire une copie en vue d'une éventuelle réincarnation ultérieure - ou pour des périodes plus courtes, ils peuvent stocker le "corps vide en attente de son propriétaire". Les fichiers de données corporelles des différentes personnes utilisant le système sont ensuite stockés aux endroits où elles se téléportent/"voyagent" le plus - identifiés par le code de l'implant - et ainsi le système est beaucoup moins dépendant du transfert de grandes quantités de "données de construction corporelle". Toutes les visites sur Korendor doivent être effectuées uniquement via un système où les corps appropriés sont téléportés de la manière décrite ci-dessus et le corps approprié est ensuite composé là-bas. Ainsi, leur forme et leur apparence sur Korendor seraient différentes de la façon dont ils apparaissaient sur leurs bases terrestres.

Remarque : les Korendiens avaient indiqué, pour certaines longues rencontres entre eux et Robert Renaud, avoir copié le corps physique de Robert Renaud atome pour atome, et un remplaçant avait été chargé de "le conduire" (en connexion psychique à distance), en pénétrant dans le corps copié. Cette copie devait alors prendre sa place pendant que Bob était "loin là-bas", pour que son absence ne se remarque pas.

Selon une source, Robert Renaud affirmerait que plus de 150 000 extraterrestres d'apparence humaine vivent aux États-Unis, dont plus de 30 000 en Californie seulement.

Lin-Erri dit : « Bien que Korendor ait une population indigène, beaucoup de nos gens descendent d'un certain nombre de planètes dans ce secteur de l'espace. Ils sont arrivés une fois que nous avons réalisé un vol interstellaire et fait connaître notre présence. Tous sont de forme humanoïde. Il n'y a, à notre connaissance, aucun des "monstres aux yeux globuleux" qui font rage dans les pages de vos livres de science-fiction, où que ce soit dans la galaxie. »

Une homme et une femme de Korendor représentés tels que vus dans une base
Dessin de deux Korendiens tels qu'observés dans les bases terriennes ou lunaires, mais c'est l'apparence matérialisée sur Terre, pas forcément celle qu'ils ont sur leur planète d'origine

Description de leur monde et de leur civilisation :

Ils disent effectuer des voyages dans l'espace depuis 3000 ans déjà et ils disent appartenir à une confédération de mondes, et qu'il existe beaucoup de ce type de fédérations dans notre zone de l'univers.

Ils sont 8 milliards d'habitants sur Korendor, dont 37 millions dans leur capitale nommée Vrell.

Ils sont positionnés dans la constellation du Bouvier, à environ 3° d'Arcturus, sur une ligne reliant Arcturus et le centre de l'amas globulaire M3, à 411 années-lumières de nous. Leur étoile est visible dans des télescopes de grand diamètre, mais n'a pas été nommée ou ne porte pas de numéro connu par nos astronomes.

Carte spatiale indiquant la position de Korendor
Voici une carte donnée par les Korendiens sur requête qui leur a été faite par John W. Dean, où ils donnent l'emplacement de Korendor sur une carte stellaire Terrienne.
Korendor est en orbite de l'étoile Korena, pointée par la croix rouge dans la carte spatiale ci-dessus

Leur planète, Korendor, est similaire à la Terre mais elle est 2,74 fois plus grande avec 3,2 fois sa gravité. Elle est la 3ème planète d'un système de 12 planètes, orbitant autour de leur étoile dénommée Korena. Korendor est située à 528 millions de kilomètres de leur étoile environ.

Leur journée dure 24,325 heures terrestres, qu'ils divisent en 20 intervalles. Leur année dure 4,54 années terrestres. Leur planète possède 4 lunes en orbite. L'atmosphère de leur planète est un peu plus riche en oxygène que la nôtre (mais à peine, 21,7% d'oxygène). La température moyenne est de 27,3°C et la pression atmosphérique est 2,36 fois celle de la Terre.

Ils soulignent que pour les gens normalisés de la Terre, Korendor n'est pas une planète vivable, car pas adaptée à leurs corps comme ça l'est pour les habitants de Korendor, et inversement ils ne se sentent pas à l'aide avec leurs corps sur Terre. L'une des raisons est la gravité. Ils donnent l'exemple des poissons des profondeurs qui ne sont pas « faits » pour vivre dans des lacs peu profonds.

Ils n'ont pas de grandes montagnes en raison de la forte gravité, au maximum 2700m d'altitude. Une planète montagneuse comme la Terre est rare dans le cosmos, selon les Korendiens. Ils ont de nombreux grands lacs et rivières comme le Nil sur Korendor. Les eaux sont utilisées pour la détente. Ils ne pêchent pas, car cela heurte fortement leur éthique et ils sont ébranlés par les gens qui font des choses comme chasser sur Terre.

Il existe également d'énormes cavernes sur Korendor, si grandes qu'elles pourraient abriter de grandes cités terrestres à l'intérieur, et ils admettent ne pas savoir comment elles se sont formées.

Carte de Korendor
Carte de la géographie physique de Korendor donnée à Robert Renaud

Dans un passé lointain (il y a 1000 ans), ils utilisaient les forêts et le bois comme matériau de construction et le brûlaient pour produire de l'énergie. Cette exploitation impitoyable a mené à une quasi-catastrophe écologique, mais cela a été arrêté. Après la période de chauffage au bois qui a engendré tant de pollution, ils ont utilisé pendant un temps des centrales solaires dans la zone de leur équateur (et elles existent toujours là-bas). Et ils ont ensuite développé l'énergie de fusion.

◻️ La plupart des villes de Korendor sont construites comme des « roues » d'anneaux concentriques de bâtiments situés dans chaque roue. Environ 25 anneaux par ville. Ces roues font à leur tour partie de roues plus grandes (placement concentrique des diverses villes dans un schéma global en anneau). Le centre de cette grande roue est le complexe de la capitale où se trouve le gouvernement planétaire : appelé Vrell - prononcé « virell ».

Il y a de nombreux parcs et jardins, et vous êtes toujours à proximité de l'un d'eux. Il n'y a quasiment pas de circulation dans les rues, seulement quelques voitures électriques. La plupart des gens marchent lorsqu'ils ne prennent pas l'équivalent du métro ou les tubes aériens reliant la plupart des bâtiments.

En dehors de la ville se trouve un anneau de forêt/prairie - environ 21 km de large - avec des animaux sauvages qui n'ont pas peur des gens.

À l'extérieur de cet anneau se trouvent les maisons des habitants et au-delà, les terres agricoles avec des arbres fruitiers de plusieurs centaines d'espèces. Et l'agriculture se fait par récolte automatique.

◻️ Le Spatioport est situé à 8 km au-delà de la ceinture forestière, et au nord-est : il abrite un parking pour des milliers de vaisseaux de différents modèles : certains sont également ailés ou triangulaires. La plupart sont en forme de disque, de quelques mètres à plus de 800 m de taille. Il y a des « colonnes d'air » pour le trafic entrant et sortant. L'ancien avion de type musée ailé fonctionne à l'hydrogène. Un musée de l'aviation de 15 km2 retrace l'histoire de vol remontant aux 800 premières années et contient 35 000 vaisseaux provenant de nombreuses planètes de l'Alliance ! Il dit que beaucoup de ces avions-musées sont encore bien plus avancés que nos avions les plus modernes ici !

◻️ Les hôtels et restaurants pour les visiteurs d'autres planètes sont nombreux, tous conçus pour que les visiteurs se sentent chez eux et s'épanouissent, avec le type de nourriture auquel les visiteurs sont habitués, mais bien sûr pas de viande abattue. Une partie de la capitale est liée aux opérations liées à l'alliance et il y a un musée de l'alliance qui accueille plus de 8 millions de visiteurs par an. Il existe de nombreuses institutions consacrées à la musique et à l'art.

◻️ Le centre mondial de l'alliance : il montre la vie et les choses des 740 000 planètes de l'alliance sur des photos, des fichiers de données, etc. L'holographie et la haute technologie montrent la vie et les conditions. Ils prétendent avoir également ajouté la Terre à la collection là-bas - car ils exploitaient des bases d'aide/surveillance ici et ils disent que les gens là-bas étaient très intéressés par la Terre.

En ce qui concerne la télépathie, on dit que de nombreuses races cosmiques utilisent UNIQUEMENT cette capacité, mais celles-ci sont généralement liées à un groupe, n'ayant aucun trait singulier et aucune vie privée.

L'Alliance l'utilise à certains degrés, et apprend également à ses enfants à l'utiliser d'une manière ou d'une autre.

Arkay (Korendien) dit : « La télépathie est innée chez les Korendiens, mais nous comptons sur la technologie pour communiquer au-delà de la capacité limitée de la télépathie.

La télékinésie peut être maîtrisée par les Korendiens, mais pour tout ce qui va au-delà d'un simple mouvement de faible masse et de courte portée, seule la technologie suffira.»

À des fins d'information, etc., ils utilisent des implants bioélectroniques, reliant tous les citoyens comme un téléphone personnel dans le cerveau : faire des conférences, apprendre et faire des recherches. Ils se connectent également aux ordinateurs des navires et aux ordinateurs communs. Plus une identification personnelle. Toute utilisation est bien sûr gratuite. Ici, nous avons peur de ces implants car nous voyons le danger que ceux qui sont au pouvoir ou ailleurs en fassent un mauvais usage.

Leur fédération/alliance cosmique a été formée en l'an 1334.

Notre galaxie compte plus de 5 000 planètes parmi les membres de la fédération à laquelle ils appartiennent. Ils ont découvert notre civilisation sur Terre vers 1959 (Note personnelle : plutôt découvert notre civilisation moderne à cette époque mais pas la Terre, car à la fin de cet article j'ai mis des extraits où ils parlent de leur interaction avec la Terre dans le lointain passé, et ensuite au Tibet, et il semble que leur dernier passage sur Terre date de 970 ap. JC)

Ils disent que les autres planètes ici ont de la vie, mais ne disent pas exactement lesquelles.
Ils disent que notre civilisation est de troisième ordre ici sur Terre - comme la Lémurie et l'Atlantide - toutes deux détruites par les guerres.

L'alliance dispose d'un comité central mondial élu parmi les représentants : deux maîtres sont élus de chaque planète et ceux-ci élisent le comité central, qui sont situés sur la planète Arcturia"

Les vaisseaux de cette alliance ont été donnés à la coopération et avaient des équipages provenant de la même planète. Il y avait une sorte de compétition amicale pour faire rejoindre de nouvelles planètes membres à l'alliance, et en particulier la Terre maintenant.

L'alliance dispose naturellement d'une force de police appelée la Patrouille Gardienne.

Leur travail = protéger les planètes de l'Alliance des forces hostiles, et avoir le droit de se déplacer librement sur toutes les planètes et d'arrêter d'éventuels criminels - ce qui est très rare, car ils ne revendiquent aucun crime en 610 ans.

C'est parce que toutes choses sont en abondance sur ces planètes et qu'elles n'utilisent pas d'argent - mais utilisent le TEMPS produit comme mesure - sans convertir ce temps en argent, qui peut être mal utilisé par d'autres. Ils disent que si NOUS ICI avions ce système, 95% des crimes seraient éliminés !!!

Les Korendiens ont donné à Robert Renaud l'alphabet utilisé par eux sur leur planète et celui utilisé dans la langue commune de leur alliance de mondes, qui est appelée Galinguan. Voici le tableau des symboles pour leur alphabet et de la prononciation associée ci-dessous.

Alphabet de Korendor et alphabet de Galinguan
Alphabet comparatif de Korendor et du Galinguan (langage galactique de leur alliance)
Vaisseau d'exploration de Korendor, 1er type
Vaisseau d'exploration de Korendor, 2eme type
Vaisseau personnel de Korendor, appartenant à Bob Renaud

On trouve ici une explication plus détaillée de leurs informations techniques au sujet du voyage dématérialisé (ou en 4-D) : cliquer ici

Ils ont trois modes de déplacement plus rapides que la lumière, appelés les modes Alpha, Bêta et Oméga.

Mode Alpha :

Dans le mode de déplacement Alpha, la vitesse est une constante en 4-D, quelle que soit la vitesse lors de l'entrée en 4-D. Tout, des vaisseaux spatiaux aux ondes lumineuses, voyage à la même vitesse. Dans ce mode ils peuvent voyager d'une distance inférieure ou égale à 0,89 années-lumières. Les Korendiens ont calculé qu'il faut 7,5 secondes environ dans ce mode de déplacement pour parcourir les 0,89 années-lumières [note : souvent arrondi à 1 année-lumière dans les informations de contact], en mettant le vaisseau dans ce mode de déplacement 4-D.

Pour être plus précis, c'est une constante physique, qu'ils appellent la limite de Varn-Lian et qui indique une durée de 7,54663s pour parcourir 0,8944237167 année-lumière. Ils peuvent parcourir des distances inférieures à cette distance là, mais pas en un temps proportionnellement inférieur. Il y a une fonction, qu'ils appellent la fonction alpha, qui donne la durée de parcours selon la distance variant entre 0 et 0,89 années-lumière.

Mode Beta :

Dans ce mode, le déplacement est possible sur une distance allant au maximum à 113,6 années-lumières. La limite de durée reste la même, de 7,5 secondes, mais pour un déplacement de 113,6 années-lumières cette fois. Si ils parcourent une distance moindre dans ce mode, le temps sera moindre mais pas de façon proportionnelle. C'est la fonction beta qui donne la durée.

Courbe du déplacement en 4D, reproduite par Bob par scan depuis un dessinqui lui avait été montré de cette courbe, en rapport avec le déplacement supra-luminique de leur technologie extraterrestre de Korendor
Courbe du déplacement en 4D, reproduite par Bob par scan depuis un dessinqui lui avait été montré de cette courbe, en rapport avec le déplacement supra-luminique de leur technologie extraterrestre de Korendor
Courbe de Alpha et Beta, expliquant les durées de trajet selon le déplacement allant de 0 à 1 fois le maximum selon le mode. Le maximum étant d'environ 1 année-lumière en mode alpha (0,89) et d'environ 100 années-lumière en mode beta (113,6)
Courbe de Alpha et Beta, expliquant les durées de trajet selon le déplacement allant de 0 à 1 fois le maximum selon le mode. Le maximum étant d'environ 1 année-lumière en mode alpha (0,89) et d'environ 100 années-lumière en mode beta (113,6)

Orii-Val : « Le premier diagramme est une représentation des Fonctions Alpha et Bêta. La courbe que nous vous avons envoyée au début de ce contact est la représentation graphique de la courbe de la Quatrième Dimension, et c'est une hyperbole ; l'obtenir est une question de géométrie simple, nous n'en parlerons donc pas pour le moment.

Sur ce diagramme, le demi-cercle ou l'arc représente une section de distance linéaire dans l'espace normal ; on lui attribue une longueur dépendant de la fonction, Alpha étant 1 année-lumière et Bêta 100 années-lumière.

Dans un voyage spatial normal, le vaisseau démarre à l'origine et tourne autour de l'arc jusqu'à ce qu'il atteigne sa destination à un certain point de l'arc. Dans l'espace normal, le temps nécessaire pour parcourir une distance X est la distance X divisée par la vitesse Y, allant au maximum à la vitesse de la lumière.

Au-delà de la vitesse de la lumière, le vaisseau, ou le rayonnement dans le SSR, bascule dans la quatrième dimension, représentée par la zone dans les limites de l'arc. Il s'agit d'un arc de 180 degrés, et le point opposé à l'origine est appelé le point limite, ou la limite de rupture fonctionnelle. À ce stade, l'effet 4-D disparaît et le vaisseau revient simplement depuis sa vitesse supérieure à la lumière, tout en étant dans l'espace normal, et non en 4-D. »

Mode Omega:

La distance pouvant être atteinte est infinie pour la même durée limite de 7,5 secondes. Ce mode de déplacement est le plus rapide et demande un raffinement technologique. C'est dans ce mode, Oméga, que s'effectuent tous les voyages et toutes les communications interstellaires des Korendiens.

Courbe de Gamma, expliquant les durées de trajet selon le déplacement allant de 0 à l'infini. La durée de déplacement reste de 7,5s au maximum, et est moindre pour des distances inférieures, donnée par le graphique

Orii-Val dit à ce sujet : « Tout d'abord, parlons du voyage spatial en mode Oméga. Pour commencer, nous dirons qu'il est entièrement sous contrôle informatique, de l'entrée à la sortie. Avant d'entrer dans l'une des portes dimensionnelles de voyage dans l'univers, un parcours est chargé dans l'ordinateur du vaisseau. Ce parcours est un ensemble de repères pour l'ensemble du voyage, et guide le vaisseau en 4-D. Ceci est effectué par les RBM, les moniteurs de radiobalise et l'équipement intégrateur associé.

Dans des positions connues avec précision à tout moment, se trouvent des millions de balises émettant des signaux radio de fréquence absolument constante. Chacune d'elles transmet un ensemble codé d'impulsions de données qui lui sont propres.

Au fur et à mesure de la progression du voyage, ces signaux codés sont reçus par les six antennes RBM du navire. Chacune d'entre elles est réglée sur une balise différente et suit en permanence les signaux, et transmet leurs alignements à l'ordinateur. L'ordinateur compare les entrées des capteurs de positionnement incrémentiels de l'antenne avec les relèvements enregistrés, corrigeant le cap si nécessaire pour maintenir un ensemble exactement égal de relèvements, à partir des données enregistrées et des capteurs. Tout écart calculé par rapport à la trajectoire est lié à l'ordinateur de guidage, qui agit pour corriger l'erreur. Cela se produit en quelques nanosecondes et se produit continuellement.[Remarque de Bob : comparez-le à notre système GPS.]

Lorsque la destination est atteinte, le vaisseau est automatiquement conduit vers une sortie dimensionnelle et apparaît dans l'espace normal, puis vers sa destination.

[...]

Nous pouvons également noter que l'énergie nécessaire à un vaisseau pour parcourir une distance X en 4-D est la même que pour parcourir une distance X dans l'espace normal. Encore une fois, rien n'est gratuit, et le seul avantage est le facteur temps.

Pour conclure sur ce sujet, le temps passe pour ceux qui sont à bord du vaisseau exactement au même rythme que pour ceux qui se trouvent dans l'espace normal. Si un vaisseau disparaît dans la 4-D ici et réapparaît sept secondes plus tard dans la galaxie d'Andromède, les personnes à bord du vaisseau et celles qui l'observent depuis l'espace normal remarqueront le même passage du temps. Ce n'est pas une forme de voyage dans le temps, juste un raccourci vers le voyage spatial. »

Orii-Val : « Deuxièmement, la communication interstellaire. Ici, les signaux sont transmis dans la quatrième dimension par des circuits spéciaux. Ils obéissent aux mêmes lois temporelles que tout le reste. Les récepteurs captent le signal en 4D, le convertissent en énergie électromagnétique standard et le traitent par les moyens habituels.

Maintenant, même si la durée n'est que d'environ 7,5 secondes pour 0,89 années-lumières, cette distance reste la même distance. Par conséquent, tout comme dans l'espace normal, le signal perd de sa force en fonction du carré inverse de la distance.

[...]

Les récepteurs doivent donc être aussi sensibles en 4D que dans l'espace normal, bien qu'il n'y ait pas d'interférence "statique" et que les signaux faibles soient bien plus facilement reçus. Le seul avantage est le temps. Au lieu de plusieurs années, cela représente quelques secondes, et une personne à vingt millions d'années-lumière peut écouter la même chose que vous, à toutes fins pratiques, simultanément.

Avec ce type de communication, aucun coin de l'univers n'est isolé. Ce type de messagerie rapide a conduit à une grande compréhension entre tous les peuples de l'univers, Alliance ou non-Alliance, puisque tous sont au courant de tout ce qui se passe n'importe où dans l'univers habité où il y a du SSR (note : Sub-Space Radio = Radio Sub-Spatiale). »

Lin-Erri : « Nous avons développé le vol spatial il y a environ trois mille ans de votre époque. Nous avons d'abord utilisé des fusées, mais elles étaient considérées comme inutiles, il fallait donc un meilleur système de propulsion. Des millions de kole (note personnelle : unité monétaire de leur époque sur leur planète) ont été investis dans un projet de recherche sur la gravité, et dans un éclair de génie aveugle, nous avons eu notre réponse douze jours après l'ouverture officielle du projet.

Nous avons immédiatement adapté ce système aux vaisseaux spatiaux et nous avons découvert que les vitesses proches de la lumière ne posaient aucun problème. Cependant, nous étions atteints du mal de l'exploration et voyager plus lentement que la lumière n'était pas un moyen efficace de le faire. Nos équipes de recherche se sont donc remises au travail. Ce n'était pas si simple et il nous a fallu 7 ans pour obtenir ce que nous voulions. Nous y sommes finalement parvenus.

Ce principe utilisait la propulsion magnétique à l'unisson avec un dispositif pour obtenir une accélération presque instantanée à des vitesses dépassant la vitesse de la lumière. Nous avons découvert, à notre grande consternation, qu'au-delà de la vitesse de la lumière, on pouvait se retrouver à une distance fantastique de sa trajectoire en quelques secondes. Cela s'est avéré être la distorsion en quatrième dimension dont on parle souvent, et dont on fait si souvent l'hypothèse dans votre science-fiction. Il a fallu plusieurs années pour contrôler notre trajectoire une fois dans cette " distorsion ", mais nous y sommes parvenus, et maintenant nous voyageons d'un souffle à travers la galaxie et retour.

Bien sûr, il y a encore quelques pilotes avec une expérience insuffisante qui partent pour Sirius et finissent dans M31. Finalement, le contrôle des engins est devenu entièrement automatique, le pilote définissant la destination sur une série de commandes et appuyant sur un bouton, pour y arriver une seconde plus tard. [Note : formulé au niveau de technologie des années 1960, où les claviers, les écrans et d'autres termes courants aujourd'hui étaient pratiquement inconnus.]

Photo d'un vaisseau de Korendor prise par Robert Renaud
Photographie prise par Robert Renaud le 20 juillet 1963 à 7h du matin depuis la fenêtre du cellier de son logement. L'appareil est resté stationnaire environ 15 secondes quand Robert l'a remarqué, et il a eu le temps de prendre deux photos avec un appareil bon marché qu'il avait sous la main, avant que le vaisseau ne fonce à toute allure vers le ciel d'un seul coup en disparaissant de la vue à grande vitesse.

Le 4 mars 1964, Bob attendait sous les étoiles après avoir reçu des instructions lorsqu'une « étoile » est tombée – le vaisseau éclaireur. Le pilote à bord était le familier Orii-Val qui a dit qu'ils allaient dans « l'espace ». Comme il l'a dit, ils ont construit leurs éclaireurs pour voyager dans n'importe quel milieu, des eaux profondes à l'espace lointain.

Ils montèrent à bord d'une sorte de porte-avions avec un hangar tubulaire à l'intérieur de 30 mètres de diamètre et (comme on le dit plus tard) de 16,5 kilomètres de longueur ! Un porte-avions de reconnaissance tubulaire de bonne taille pouvait être garé dans ce grand espace !

Ils ont dit que c'était le vaisseau à partir duquel il avait obtenu les premiers contacts radio en 1961. Il s'est avéré qu'il s'agissait d'un grand vaisseau avec plusieurs étages.

Schéma de coupe du vaisseau mère de Korendor de 16,5km de long
Schémas en coupe de section de l'énorme vaisseau de formule tubulaire de Korendor (on dirait "en forme de cigare" en jargon ufologique) où il est monté. 30 mètres de diamètre et 16,5km de long !

[...]

Dans une autre pièce, il observait des gens se téléporter vers Andromède, une galaxie située à quelques millions d'années-lumière de là ! Il dit qu'on lui a dit que tout le contrôle et la communication à l'intérieur et à l'extérieur de ce vaisseau étaient contrôlés par des ordinateurs + un seul homme : le co-capitaine, Quinn-Tatrill.

Il y avait aussi de grands écrans + un mur à mur montrant tout l'extérieur comme de vraies fenêtres, car ils montraient aussi la profondeur. Les images étaient composées de plusieurs milliers d'images individuelles composées par des ordinateurs et montrées sur les écrans. Certaines montraient également des images en direct agrandies de la lune et du soleil - la dernière en lumière tamisée, où les taches solaires étaient visibles.

« …une pièce spéciale abritait toutes les informations de contrôle et d’entrée/sortie des disques télémétriques. Sur le mur de droite, un télécran segmenté, divisé en quatre parties, surveillait les transmissions vidéo des disques. Un seul d’entre eux était utilisé, montrant une vue claire du Pentagone à Washington. On m’a dit qu’il surveillait également les ondes cérébrales depuis l’intérieur du centre de commandement militaire à cinq côtés. Ces schémas étaient affichés sur le support de sortie. »

Il a également vu un homme de la Terre qui a été téléporté à l'intérieur de ce vaisseau dans l'intention d'exploiter son subconscient, car il travaillait dans une institution militaire et ils devaient avoir une vue d'ensemble de tous les événements les concernant, car ils ont négligé le développement dangereux de la course aux armes. (Je n'ai pas lu si cet homme était réveillé - mais c'est écrit comme s'il s'était porté volontaire 🙂 "… Il travaille dans une base militaire, sur des appareils Top Secret que nous devons connaître afin de faire avancer nos recherches. Lorsqu'il sera ramené sur Terre, sa mémoire de tout cela sera effacée. Nous avons dû le récupérer alors qu'il était en vacances dans les montagnes, afin d'éviter tout soupçon. "

Dans ce grand navire, il y avait 700 chambres privées, toutes avec beaucoup d'espace et de meubles. Au cours de cette dernière visite, il a pu rencontrer d'autres personnes (+ d'autres) qu'il avait entendues auparavant à la radio, par exemple « les maîtres ».

Lin-Erri : « Pour revenir à votre question, l'intérieur du vaisseau est protégé par des écrans de gravité qui font partie intégrante du vaisseau et affectent tout ce qui s'y trouve. Ainsi, lorsque le vaisseau accélère, toute la zone à l'intérieur de la grille accélère simultanément, comme si la puissance était directement appliquée à chaque atome du vaisseau. En fait, c'est exactement ce qui se passe.

Il ne s'agit PAS d'un négateur inertiel. Il n'existe aucun moyen connu d'éliminer la masse sans la convertir en énergie. Mais cela donne l'effet que le vaisseau entier est une masse homogène qui s'accélère mutuellement, un peu comme si vous tombiez d'un avion. Dans ce cas, vous accéléreriez de 9,81 m par seconde au carré, mais je doute très sincèrement que cela ait tendance à vous enfoncer les globes oculaires dans la nuque. C'est parce que la gravité affecte chaque atome simultanément, tout comme notre mécanisme d'entraînement.

S'il n'y avait pas l'accélération simultanée des occupants et du vaisseau, les occupants ressentiraient une force qui s'approche d'une valeur maximale de 7 500 G. À ce niveau, un homme pesant 150 livres subirait une pression de 562 ½ tonnes ! Il est évident qu'une telle pression n'est pas de nature à améliorer l'état de santé d'une personne ! »

Kylen-Rex (Korendien) dit : « Vos chercheurs ne voient pas les liens fondamentaux entre la gravitation et le magnétisme. En guise de suggestion : la gravitation est en réalité le véritable magnétisme. Ce que vous appelez magnétisme n'en est qu'une variante.

Étudiez les propriétés des énergies subatomiques sous l'influence des fréquences de rayonnement plus élevées. À certains moments, il y aura une résonance. Cela peut être utilisé pour générer ou annuler le flux gravitationnel, en fonction du phasage. L'expérimentation montrera comment contrôler les angles de phase du magnétisme.

Étudiez également la possibilité que les matériaux diamagnétiques soient également diagravitiques. Il existe plusieurs isotopes qui agissent comme des isolants pour créer un différentiel de flux, à la fois magnétique et gravitationnel. »

Lin-Erri décrit son équipage actuel : « Les vingt-cinq d'entre nous qui forment ce groupe de paix, pour ainsi dire, sommes tous originaires de la planète Korendor.

Vaisseaux de reconnaissance de Korendor
Représentation dessinée selon la description des vaisseaux spatiaux de reconnaissance de Korendor, il y en a de plusieurs tailles et arrangements intérieurs

Ma profession est le domaine de la psychologie. D'autres dans ce groupe sont actifs en terratologie, l'étude de votre monde ; en anthropodynamique, l'étude des humains et de leurs motivations, qui confine à la psychologie ; en sociologie, que vous connaissez déjà ; en chimie et en physique, que vous connaissez également ; en parapsychophysique, qui par analyse serait considérée comme l'étude de la physique des parapsychiques, y compris la télépathie, la psychokinésie, la clairvoyance, la clairaudience, l'ESP et les autres domaines de l'activité mentale au-delà des cinq sens physiques. Nous expliquerons certains d'entre eux en détail lors de contacts ultérieurs. Il y a également deux généticobiologistes, intéressés par l'évolution et la biophysique de votre peuple. Comme d'habitude, il y a aussi l'équipage des différents vaisseaux, les analystes, les mathématiciens, les opérateurs de console et les autres associés à une aventure dans l'espace interstellaire. »

Schéma d'un vaisseau de Korendor de 20 mètres de diamètre
Vaisseau spatial de reconnaissance de Korendor de 20 mètres de diamètre dans lequel est monté Robert Renaud le 4 janvier 1964

Voici le plan d'un vaisseau Korendien de 50 m de diamètre environ :

Vaisseau de reconnaissance de 50 mètres de l'Alliance, vue de côté
Ce schéma du vaisseau de reconnaissance de l'Alliance qui a ramené Bob Renaud et Lin-Erri de la base sous-marine située sous l'océan Pacifique a été dessiné par Bob après son retour chez lui, dans le Massachusetts. Il était très impressionné par ce qu'il avait vu et constaté au cours de ce long voyage. Image tirée du livre. Il fait environ 50 mètres de long.
Vaisseau de reconnaissance de 50 mètres de l'Alliance, vue de dessus
Plan du même vaisseau de reconnaissance de l'alliance de 50 mètres en vue du dessus, avec légende

Les habitants de Korendor ont parlé de la jalousie qui régnait dans les nombreux groupes d'OVNI qu'ils surveillaient, ainsi que des idées religieuses. Ils dirent encore que les gouvernements n'avaient pas le droit de cacher les énormes informations qu'ils avaient recueillies sur les OVNI, qui devaient être révélées à un moment donné, et que la panique redoutée n'était pas le problème.

Ils affirmèrent aussi que le diplomate des Nations Unies Dag Hammerskjold, avait été contactés trois fois par des Vénusiens, comme de nombreux autres dirigeants mondiaux avaient été contactés par des astronautes. (Remarque ne venant pas des informations de Bob : la vie de Vénus n'est pas dans notre vibration/dimension, mais ils peuvent techniquement ou psychiquement s'adapter à la nôtre).

Lin-Erri de Korendor : « Dans notre Alliance des Planètes, la guerre est formellement interdite, mais personne sur aucune planète de l'Alliance ne pourrait sérieusement envisager une quelconque forme de combat comme moyen de parvenir à une paix. Cela est contraire non seulement aux lois de l'homme, mais aussi aux lois de l'Univers, aux lois de l'Intelligence et aux lois du Créateur des Lois.

C'est avec une grande consternation que nous vous regardons courir comme des fous sur une route qui ne mène qu'à votre destruction. Nous avons vu d'autres planètes suivre le même chemin que celui que vous empruntez actuellement. Cela a toujours conduit à la guerre et au même suicide racial auquel vous êtes confrontés aujourd'hui.

Nous avions espéré que le fait de voir nos vaisseaux dans vos cieux vous ferait prendre conscience que votre race n'est pas seule dans l'univers. Avec cette énorme révélation, nous avons pensé que toutes les querelles internationales seraient réduites à néant et que vous verriez la folie de vos actions.

Nos frères ont survolé cette planète en grand nombre depuis 1947. Ces frères, des planètes locales, ont ressenti comme nous que votre mode de vie vous porterait un grand préjudice. Ils vous ont contactés en nombre non négligeable. Beaucoup de ces contacts doivent encore être révélés aux habitants de la Terre par ceux qui ont été contactés.

Malheureusement, notre cause n’a pas été facile. Nous avons rencontré un scepticisme imprévu de la part de votre peuple. Certains sont même allés jusqu’à qualifier de fous ceux qui ont vu notre artisanat.

Bien que nos frères de la Confédération aient régulièrement contacté certains de vos frères de la Terre, ce scepticisme et ce ridicule ont poussé beaucoup d’entre eux à cacher leurs expériences. Le nombre de ceux qui sont maintenant en vue publique en tant que contactés ne représente pas 10 pour cent du total de ceux qui ont été contactés. Parmi ceux qui vous révèlent leurs expériences, certains le font pour leur propre bénéfice financier, et non pour la cause de la paix et de la vérité pour laquelle ils ont été contactés. Quelques-uns des contactés ne sont pas du tout en vérité ce qu’ils prétendent.

C’est une situation qui porte atteinte à la cause de la fraternité et de l’amour, car leurs histoires font que beaucoup de ceux qui soutiendraient notre cause tombent dans l’incrédulité.

Nous voudrions que tous les hommes entendent nos paroles, qu’ils reconsidèrent leur vie et qu’ils fassent quelque chose pour leur prochain plutôt que pour eux. Tous les esprits ne sont pas sourds à la menace d’annihilation. Beaucoup de gens entendront ces paroles ainsi que celles de nos frères et les écouteront. Ils ne se laisseront pas tomber dans la même antipathie envers leur prochain, qui semble être un mode de vie pour beaucoup de vos gens.

Bien sûr, ils seront accueillis par l'incrédulité, le ridicule et le déclassement, mais s'ils ont foi dans la bonne voie à suivre, s'ils s'en tiennent à leurs tâches, alors leur persévérance portera son effet. Les gens ne sont pas si indifférents qu'ils ignoreraient à jamais les supplications de leurs semblables pour vivre dans l'harmonie et l'amour.

Si les gens qui lisent ces paroles de lumière qui leur sont données par leurs semblables croient, et s'ils les transmettent à leurs semblables, et ainsi de suite, alors bientôt il n'y aura plus de haine, car tout le monde aura reconnu la fatalité de la poursuite du bellicisme.

Cependant, votre peuple ne pourra jamais espérer être éveillé à la Lumière Universelle s'il est continuellement assailli de toutes parts par des discours de guerre, de bombes, de meurtres, de tout sauf de la véritable sérénité et de l'amour qui viennent de la conscience des Grandes Vérités.

Nous, qui venons d’autres systèmes solaires, sommes donc venus sur cette planète dans l’espoir de renforcer les paroles de nos frères. Il est choquant pour nous de constater que même un événement aussi important que le contact avec des gens de l’extérieur de votre propre monde n’a pas eu de grand effet sur votre façon de penser. Il est déconcertant de voir que malgré nos avertissements, votre peuple est tellement ancré dans ses façons de penser qu’il peut ignorer le fait qu’il se dirige vers la ruine à moins que des changements drastiques ne se produisent.

Nous vous contactons donc avec nos avertissements et nos suggestions à votre peuple, et nous espérons au-delà de tout espoir que les informations et les paroles de paix que vous recevrez à l'avenir serviront à faire ce que d'autres n'ont pas réussi à faire, à éveiller les peuples de la planète Terre aux dangers des armées continues et des races folles pour les armes parfaites. Nous ne pouvons pas faire plus, car comme nous l'avons déjà dit, nous ne pouvons pas vous empêcher de vous tuer si vous le jugez nécessaire.

En tant qu'êtres humains, membres de la race humaine, vous êtes nos frères autant que ceux de nos mondes, et eux et nous sommes également les vôtres. Vous voyez donc que nous portons un grand intérêt à votre peuple et à son bonheur du point de vue de la parenté.

Votre peuple doit tout faire lui-même. Il doit se rallier à la cause de la véritable paix sans soutien extérieur. Il doit tenir compte des paroles de ses frères extraterrestres, il doit prêcher cela à ses semblables et il doit être ferme dans ses croyances ; il ne doit pas se laisser influencer même par la plus intense des tentations ou des menaces.

Votre peuple peut le faire, mais il doit avant tout y croire. Aucune cause ne peut atteindre son but grâce aux efforts peu enthousiastes de ses partisans. C'est tout ou rien dans la quête de la paix et de l'amour dans le monde. Nous, des autres mondes, surveillons votre planète. Votre échec à ce moment crucial serait un coup porté à la Paix Universelle qui se ferait sentir dans toute la Galaxie habitée.

Nous allons vous donner dans le futur des informations, de nature à la fois scientifique et sociologique, qui, si elles sont suivies, serviront à éliminer de nombreuses tensions qui mettent en danger les habitants de la Terre. Certaines de ces informations seront immédiatement révélées, tandis que d'autres devront être gardées secrètes jusqu'à ce que les hommes soient prêts à les recevoir. Toutes contribueront à votre amélioration.

Nous vous avons contacté, Bob, pour que vous transmettiez notre message à vos semblables par le moyen que vous jugerez approprié. Vous serez notre voix auprès de vos frères de la Terre et, à votre tour, vous serez leur canal de communication avec nous. De cette façon, nous pourrons vous donner toute information dont vous pourriez avoir besoin et, de la même manière, nous pourrons obtenir des informations qui seront utiles à nos recherches. Nous pensons que vous accepterez de le faire, car nous ne doutons pas que vous soyez aussi intéressé que nous à voir votre race vivre en paix. »

Note : Les Omegans (venant de la planète Kaldan, orbitant l'étoile Sirius) sont un peuple venu sur Terre pour essayer d'asservir et contrôler les populations, cherchant sans cesse à créer de nouvelles guerres pour empêcher toute unité des peuples, qui les empêcherait de nous utiliser. Ils sont alliés aux Kalrans (provenant de la planète Kalran orbitant l'étoile Véga dans la constellation de la Lyre), un autre peuple qui eux ne cherchent que la guerre et le conflit partout comme occupations de vies. Ces deux peuples sont en conflit avec l'alliance à laquelle apppartiennent les Korendiens mais aussi avec la confédération qui a la Terre sur son territoire d'influence, et qui est un autre groupement de races totalement différent de l'alliance.

Pour note les Korendiens indiquent que des races extraterrestres capables de vol interstellaire ont décidé de n'appartenir à aucune alliance ou confédération, tous les peuples ne font pas partie de l'un ou de l'autre et il doit exister de nombreuses autres forces d'alliances ou de fédérations de diverses tailles dans notre univers.

Ils savent que ceux qui ont aboli Dieu dans leur vie seront vaincus. Ceux qui sont dans la décadence morale. Ils parlent de ceux qu’ils appellent les OMEGANS qui sont là pour détruire les codes moraux et l’éthique. « Nous ferons notre part en vous débarrassant de l’influence des OMEGANS, mais nous ne pouvons pas vous ramener du chaos moral. Cela doit venir de l’intérieur de chacun d’entre vous. … Nous vous donnerons la lumière que vous recherchez, mais en fin de compte, c’est vous qui devez piloter le navire vers la sécurité et la sûreté de votre port d’attache. »

Et… « le but de l’Alliance est d’éliminer l’influence des Omégans de votre monde. Une fois que nous aurons atteint cet objectif, nous nous retirerons pour agir en tant qu’observateurs. »

Ils disent qu'ils ne sont là que pour nous protéger contre ces forces obscures qu'ils appellent les Omégans, qui auraient aussi inspiré le développement des armes atomiques. Mais il est également dit dans ce document que les mêmes Omégans essaient d'empêcher une autre guerre majeure - en faisant en sorte que les petites guerres se poursuivent continuellement, partout sur la terre où cela est possible.

« Nos nombreux siècles de paix nous ont rendus franchement peu préparés au mode de vie militaire qui nous a été imposé au cours des trente dernières années par les initiatives de Kalran et d'Omegan contre l'Alliance. »

Les Korendiens admettent (fin 1988) qu'ils tentent de créer un mécontentement dans les dictatures / pays dits communistes. Ils affirment qu'ils ont inspiré l'ère de la glasnost en Union soviétique à la fin des années 1980.

Bob en 1987 : « L'Alliance n'a plus le sentiment optimiste et optimiste de la situation sur Terre. Elle a adopté une posture militaire, qui n'est pas le résultat de nos propres actions, mais plutôt de forces extérieures dont l'ampleur dépasse notre compréhension limitée.

Pour simplifier peut-être un peu trop, notre planète, en apparence sans importance, est le point central d'une lutte permanente pour le pouvoir interstellaire qui pourrait littéralement déterminer la gouvernance de cette galaxie pour les millénaires à venir. Les Omégans, connus grâce à mes premiers contacts, sont la « force obscure » opérant sur Terre, mais derrière eux se cache une vaste organisation, avec ce que nous pourrions très bien appeler des tendances criminelles.

L'Alliance, la Confédération et un certain nombre d'autres « forces de la lumière » se sont nécessairement unies pour combattre cette menace extraordinairement dangereuse pour la paix et la sécurité galactiques. Parmi elles, seule l'Alliance est activement impliquée dans la lutte sur Terre, simplement parce que, de tous les groupes, elle a abandonné sans préavis les directives de non-ingérence qui ont inhibé les actions de la Confédération et consorts.

De plus, seule l'Alliance dispose d'une capacité militaire bien développée et d'un réseau sophistiqué de renseignements, d'infiltration et d'espionnage. La Confédération et d'autres pays fournissent un soutien économique et humain dans les domaines qui n'impliquent pas directement la Terre, mais dans ce cas, l'Alliance est livrée à elle-même. »

D'après cette page de Bob.

Actions entreprises par Korendor pour aider l'humanité dans le bon sens :

Les Korendiens ont dit à Robert Renaud qu'ils commenceraient une "empreinte subconsciente" - un processus graduel de changement des traits de personnalité de base pour les rendre moins agressifs à partir du 1er janvier 1963 sur quelques personnes sélectionnées. (Note personnelle : je suppose que ceci est fait sur des personnes qui ont un impact majeur potentiel sur les décisions prises sur Terre)

Une autre chose importante était la construction de bases souterraines, dans des endroits stratégiques : 4 aux États-Unis, 1 dans les Alpes suisses et 1 en Asie et en Sibérie. Ils ont dit qu'ils avaient prévu plus de 100 bases de ce type où des agents d'apparence humaine des planètes de l'Alliance seraient conditionnés au climat, à la gravité, à la température et à d'autres facteurs. Après avoir reçu une instruction sur la langue, les coutumes, les croyances et les réactions émotionnelles de la population de ces zones, ils devaient être envoyés dans les zones qui leur étaient assignées pour travailler sans être découverts parmi les gens afin de promouvoir la compréhension, la fraternité et la paix. Et agir comme relais d'informations concernant la science, la sociologie, les sentiments, etc. « En aucun cas, ils ne révéleront leur véritable identité à votre peuple. »

Commentaire du webmaster du site Rune : cela correspond bien aux informations des gens de Koldas qui sont également arrivées en partie par radio à la même période, apparemment organisées par un groupe de pilotage supérieur d'ET bienveillants (de plus haut niveau spirituel que la Terre) mais l'un d'eux a révélé son origine "extérieure".

Ils ont également dit qu'ils avaient prévu quelques débarquements publics en 1962 ou1963 dans des endroits reculés pour tester les sentiments des gens et découvrir comment faire l'approche - mais le livre raconte que cela a été arrêté plus tard à cause de la crise atomique et des discours de guerre.

Ils avaient prévu nos prochains vols d'essai vers la Lune et avaient donc décidé de déplacer sous terre leurs bases lunaires existantes et visibles. Ils ont également informé que les dirigeants mondiaux devaient être contactés en 1965 pour tester s'ils admettaient le contact. Et comme d'autres contacts avec les ovnis l'ont également dit, ils ont dit qu'ils boycotteraient nos programmes spatiaux tant que ceux-ci resteraient dans l'esprit de la guerre : "... jusqu'à ce que vous ayez dépassé vos mauvais instincts guerriers et que vous soyez prêts à vivre dans la Fraternité Universelle".


Voici une série de Questions et réponses posées à un maître Korendien, concernant les contactés.

"Q : Merci. Commençons. Les Korendiens et/ou l'Alliance ont-ils modifié leur politique de non-engagement de longue date envers les autres contactés ?

R : Cette politique reste inchangée. Nous n’avons pas l’intention de valider ou de discréditer d’autres personnes contactées. Nous savons lesquelles sont au moins partiellement honnêtes et lesquelles sont, comme vous le dites, aussi fausses que des billets de trois dollars. Leur propre tromperie sera leur perte. Ce qui est plus inquiétant, c’est que certaines parties extérieures à votre monde exploitent certains d’entre eux comme des agents de désinformation involontaires.

Q : Faites-vous référence aux Omegans ?

R : Dans deux cas, oui. Dans plusieurs autres cas, la Confédération elle-même désinforme ses contacts sur Terre, soit en leur donnant de fausses informations lors de contacts réels, soit en utilisant ce que votre monde expert en informatique appellerait la « réalité virtuelle », en utilisant l'impression directe d'images et d'informations dans le cerveau. L'adhésion rigide de la Confédération aux directives de non-ingérence, de par sa nature, nécessite l'enrôlement de natifs des planètes concernées. Cela, malheureusement, offre des possibilités d'utiliser des méthodes que nous, de l'Alliance, interdirions comme intolérables.

Nous ne parvenons pas à saisir les intentions de ceux qui se livrent à cette duplicité. Il est possible, je suppose, que le commandement de secteur de la Confédération ait un objectif valable en employant cette tactique, mais cet objectif nous échappe.

Q : La désinformation est-elle dangereuse ?

R : Pas à notre connaissance jusqu'à présent. Au contraire, cela sert à discréditer la Confédération en créant une image d'incrédulité et d'absurdité. C'est pour le moins contreproductif."

Préalable donné par les Korendiens : "Qu'est-ce qui fait un Maître ? Pour simplifier un peu trop, on devient un Maître en servant l'humanité."

« En paix, Kalo, frère. Ce matin, nous devons vous informer de la convocation du Troisième Conclave des Maîtres Anciens sur Arcturia, de la raison de cette convention et de ses possibles résultats.

Tout d'abord, il convient de décrire brièvement un Conclave. J'ai mentionné qu'il s'agissait du Troisième. Le premier a abouti à l'Assemblée de Formation, qui à son tour a effectué l'unisson d'un grand nombre de mondes habités dans l'organisation maintenant connue sous le nom d'Alliance Galactique Unie, également appelée Alliance des Mondes Unis, Fédération de Tous les Mondes et Unisson Galactique. [Note : ils n'utilisent que "Alliance des Mondes Unis" dans leurs communications avec moi. Les quatre variantes sont toutes des traductions tout aussi précises du terme Galinguan.]

La seconde s'est tenue 450 de vos années après la première, ce qui la place en votre année 1784, et a été convoquée pour discuter de la méthode de traitement des Khorelliens, qui à l'époque harcelaient les vaisseaux interstellaires, perturbaient les communications et commettaient des actes de piraterie dans l'espace lointain. Nous vous dirons plus tard ce qu'ils sont devenus.

Le Troisième Conclave a été convoqué hier, pour durer un cendrol, 100 de vos jours. Le sujet : la Terre.

Des maîtres de quelque 5000 planètes sont présents, dont quatre de votre propre système [Note : l'installation de Mars]. Plus précisément, la discussion portera sur la question suivante : « Que doit faire l'Alliance en cas de guerre atomique sur la planète Terre, et que peut-on faire dans les limites de la Loi universelle pour empêcher une telle catastrophe.

[...]

C'est pourquoi nous avons lancé ce Troisième Conclave afin de déterminer jusqu'où nous pouvons aller pour aider votre planète dans sa lutte pour échapper aux liens de la déraison et du traitement antipathique de vos frères. Nous souhaitons vous voir un jour entrer dans notre Alliance en tant qu'égaux, socialement, éthiquement, culturellement et scientifiquement. Nous vous offrirons toute l'aide raisonnable afin que vous puissiez atteindre cet objectif.

Nous ne pouvons pas vous forcer à accepter notre alliance si vous souhaitez nous rejeter. Cependant, jusqu'à présent, nous ne voyons aucune preuve de l'existence d'une telle attitude négative, et aucun d'entre nous n'a perdu confiance en votre peuple.

Toutes nos connaissances sont à votre disposition, si vous pouvez apprendre à les utiliser avantageusement pour le bien de tous les hommes sur Terre. Nous ne pouvons pas permettre que des informations utiles à tous soient contrôlées par une minorité.

En tant que membre de l'Alliance, la Terre assumera des responsabilités différentes de celles qu'elle a connues jusqu'à présent. Par exemple, de nombreux projets de recherche scientifique sont en cours, et il est généralement admis que votre planète et ses habitants sont particulièrement aptes à mener à bien nombre d'entre eux. Nous les laissons donc au temps que vous serez capables et prêts à les entreprendre.

Sur le plan scientifique, nous pensons que vous êtes presque prêt à être admis dans l'Alliance. Nous suivons avec beaucoup d'intérêt vos travaux sur le magnétisme et la gravitation. Lorsque vous aurez résolu ces forces au point de pouvoir utiliser ces connaissances dans des applications pratiques, nous pensons que votre statut scientifique sera plus que suffisant pour être admis.

Cependant, sur le plan social, culturel et éthique, vous n'êtes pas suffisamment avancés. En fait, nous constatons avec tristesse que votre orientation dans ces domaines semble s'éloigner plutôt que de se rapprocher de l'état de paix, d'amour et de fraternité qui est la condition sur tous les mondes de l'Alliance. »

Il semble que ce qu’on appelle le « Conseil des Maîtres Anciens » ait recommandé une aide spéciale pour notre Terre.

Ils soulignent encore une fois que même s'ils peuvent communiquer, ils ne sont absolument pas autorisés à donner des preuves matérielles de leur existence ici (comme le disent toutes les « planètes de contact »).

C'est le premier niveau, celui d'un membre potentiel jusqu'à ce qu'il réponde aux critères d'avancement :

• Cela signifie que certaines conditions sociologiques doivent être remplies
adoption d’un SYSTÈME ÉCONOMIQUE UNIVERSEL (mesurant uniquement le temps de travail au lieu de l’utilisation de l’argent – ​​une unité de mesure PERSONNELLE qui ne peut être échangée et qui a la même valeur pour tous et partout dans l’Alliance.)

• Former un super-gouvernement planétaire : les nations peuvent exister, mais sont unies en un seul.

En étant en protectorat, la civilisation a un usage complet de la haute technologie dans l'alliance, qui en a le contrôle : accès à l'espace, mais pas de vaisseaux spatiaux sous juridiction terrestre, et n'obtenir aucune donnée technique pour les vaisseaux spatiaux que l'on gère.

Le monde devient un monde associé quand la planète en question ne s'oppose à aucune des règles de l'Alliance. À ce niveau, la seule exception est l'absence de vote au sein de l'Alliance, l'absence de possibilités de communication par implants et l'accès restreint aux banques de données de l'Alliance. C'est généralement une brève interruption. Mais certains hésitent à laisser l'Alliance contrôler certaines « questions locales de la planète »

Un problème courant chez les débutants est que l'alliance ne permet pas aux planètes d'avoir leur propre force militaire. Et que les mondes ne soumettront pas toujours facilement leur vieil ego et leur façon de penser et de traiter avec l'écosystème de l'alliance. Sans compter l'entêtement et la fierté planétaire.

Les 740 000 planètes de l'alliance sont passées par cette procédure et les étapes des niveaux « enfance » et « jeunesse », devenant des « adultes » dans l'alliance - avec les devoirs et les plaisirs suivants avec l'aventure de voir toutes les facettes vitales et indispensables du diamant géant qu'est l'alliance.

  • La technologie de l'énergie de fusion permet de se libérer des combustibles fossiles, etc.
  • La capacité à produire de l’antimatière – une énergie pour les vaisseaux spatiaux.
  • Les nouvelles technologies dans le domaine médical - mais eux-mêmes (ET) n'ont aucun problème de maladie, car ces choses sont maîtrisées dans l'alliance.
  • Obtenir des technologies informatiques intelligentes et rationnelles. Obtenir des supraconducteurs.
  • Système de communication couvrant toute la planète, basé sur la fréquence/l'implant personnel, qui ouvre et relie des informations sur « tout » ; cela à partir d'ordinateurs pouvant concerner toutes les planètes de l'alliance. Y compris l'histoire de la galaxie depuis des milliers d'années.
  • Idées culturelles et artistiques.

Un Korendien en contact audio avec Robert Renaud :
« Excellent. Nous ne voudrions pas que vous manquiez les messages de ce soir. Vous parlerez à travers notre relais à l'un de nos maîtres les plus vénérés ce soir. Il est dans son bureau sur Korendor, et est impatient de commencer. Nous utilisons la transmission par fonction S, il y aura donc un délai d'environ 7 secondes entre votre transmission et celle de Korendor. Nous vous confions maintenant à Kalen-Li, Maître Universel. »

Sept secondes plus tard, une voix commença à parler. C’était une voix grave, qui semblait résonner entre les murs de l’infini. Elle m’impressionna énormément.

Kalen-Li de Korendor : « En paix, Kalo, mon frère. Ce n'est pas la dernière fois que nous parlerons ensemble, et je ne suis pas le seul maître avec qui tu converseras. Tu auras le privilège d'écouter des maîtres bien plus sages que moi, mais je crains que pour l'instant tu doives te contenter de moi.

Je voudrais parler en ce moment de votre peuple, de votre monde et de votre destin.

J'ai vu votre planète à travers notre système stéréo. Je suis impressionné par sa beauté, par ses dimensions enchanteresses, petites et personnelles. Contrairement à ce grand globe sur lequel je réside maintenant, le vôtre est un monde avec une touche de nostalgie pour moi. Je suis né sur une planète comme la vôtre, appelée Krystalina. Elle aussi était petite et confortable. Ses habitants étaient merveilleux et amicaux.

Malheureusement, il y avait aussi des dirigeants comme sur votre planète qui se chamaillaient sans cesse pour des questions triviales. Nous aussi, nous avions une course aux armements qui faisait rage entre les nations. Dans notre cas, trois pays, chacun opposé aux deux autres, étaient au cœur de la course.

Comme dans votre monde, les frères des planètes voisines venaient souvent essayer d'enseigner à notre peuple un mode de vie sain et pacifique. Comme le vôtre, mon peuple n'a pas écouté. Et, comme c'est le cas maintenant, les mandats contre toute interférence directe ont empêché nos frères d'intercéder pour nous, ou de nous imposer quoi que ce soit, de quelque façon que ce soit.

[Note de Robert Renaud : la Directive de Non-Interférence est depuis longtemps une source de controverses au sein des différentes organisations interstellaires. Fondée sur de bonnes intentions, elle a été maintes fois démontrée comme ayant des conséquences négatives et parfois catastrophiques. L'Alliance a depuis drastiquement limité leur adhésion à cette directive, au grand dam et malgré les protestations vigoureuses de la Confédération, qui la respecte toujours malgré ses nombreux manquements. Elle était en vigueur au sein de l'Alliance au moment de la rédaction de ces lignes.]

Les conditions sur Krystalina devenaient de plus en plus tendues et explosives. Des hommes sages suppliaient nos gouvernements de mettre un terme à cette course insensée à l'annihilation, mais nos dirigeants étaient têtus. Aucun d'eux ne voulait céder, de peur que les deux autres ne se jettent sur son pays et ne le détruisent.

Cette situation a duré cent ans de votre temps. Pendant ce temps, j'étais pour eux un « contacté », comme le sont tant de vos compatriotes aujourd'hui. Telle était leur ligne de pensée, comme la vôtre, que nous, les contactés, étions également ridiculisés. On nous traitait de tous les noms. On nous raillait et on nous méprisait. Bien que ce fût le fait d'un groupe minoritaire, ces mauvais traitements étaient très préjudiciables à notre cause et incitaient le public, bien qu'il aurait aimé croire en nous, à se méfier de nos revendications.

J'étais l'un des contactés qui prétendaient avoir voyagé dans d'autres mondes à bord de vaisseaux spatiaux. Moi aussi, j'ai contacté des maîtres et j'ai reçu la lumière dorée de l'amour universel. Et j'ai moi aussi été confronté à la même prudence sceptique à laquelle vos contactés sont aujourd'hui confrontés.

Notre planète a finalement atteint son moment de vérité. Tous les contactés étaient rassemblés dans la ville principale de Krystalina, Denekkcol. À la stupéfaction et à l'étonnement de nos semblables, nous avons été emmenés à bord d'un vaisseau spatial, sous les yeux d'un demi-million de personnes, et emmenés dans l'espace. Beaucoup de ceux qui n'avaient pas cru sont tombés à genoux et ont imploré le pardon, tandis que d'autres qui avaient cru se tenaient là, dans un moment d'émerveillement ravi.

Dix minutes après notre départ de Krystalina, la guerre éclata. Trente minutes plus tard, Krystalina avait été transformée en poussière cosmique. C'était le résultat de l'explosion simultanée de dix véritables bombes à hydrogène et de l'acte désespéré final de mon propre pays consistant à activer un dispositif à antimatière.

Cela a tellement stupéfié les contactés et les frères à bord du vaisseau que nous sommes restés silencieux pendant tout le voyage vers Korendor. Certains ont pleuré en eux-mêmes, d'autres ouvertement, et quelques-uns se sont simplement assis en silence, contemplant le sort horrible des trois milliards d'habitants de Krystalina. Nous savions tous dans nos cœurs le terrible prix de l'échec.

Alors, mon frère, tu peux maintenant voir que je m’intéresse personnellement à ton monde et à son avenir.

Votre monde est pour moi une réincarnation de Krystalina. Et lui aussi se dirige vers le même sort que celui qui est arrivé à Krystalina. J'ai donc choisi de parler à travers vous à vos frères à travers votre Terre de cette course à l'autodestruction.

Vous, mon ami, êtes une race très intelligente. Aucun d’entre nous n’en doute. Vous avez progressé scientifiquement à pas de géant. Cependant, vos progrès sociaux et éthiques n’ont pas suivi le rythme. Vous disposez désormais d’armes capables de rendre votre planète Terre sans vie, et à votre désavantage, vous n’avez pas trouvé de substitut approprié à la guerre, ce qui conduirait inévitablement à leur utilisation.

Ce progrès unilatéral ne profite jamais à une race. Vous devez donc vous améliorer mentalement et moralement ainsi que scientifiquement. Vous devez faire face à la dure réalité : à moins que votre peuple ne fasse volte-face, votre Terre dupliquera Krystalina jusqu'à ses derniers instants.

Nous, ceux de Korendor, ainsi que les êtres des autres planètes de la Confédération, avons pris sur nous de vous faire prendre conscience du péril qui vous menace et de répandre parmi vous les paroles de paix et de fraternité qui sont l'essence de la vie dans le reste de la galaxie.

Nous vivons selon un code d'amour total pour toutes choses qui ne laisse aucune place à l'antipathie envers une quelconque créature de l'Infini. Il nous serait impossible de vous nuire de quelque façon que ce soit ou d'interférer avec vous au point de modifier de force votre ligne de conduite.

On vous a déjà dit que nous ne pouvons vous transmettre que nos messages et qu'à partir de ce moment-là, l'avenir de votre monde dépend de vous. »

Sur Korendor, les gens n'ont pas de religions formalisées, pas d'églises, pas de sectes différentes comme ici sur terre. Mais ils se rassemblent pour se concentrer sur Dieu dans des rassemblements joyeux avec des chants de prière et une extase mutuelle. Leurs croyances sont proches de la « philosophie du nouvel âge » et ils savent que la vie se réincarne.

A propos du nNew Age ou nouvel âge, ils disent : « Le concept du New Âge, une ère de Lumières, de croissance et d’évolution de la société, était au départ une noble idée. Cependant, au cours des vingt années qui se sont écoulées depuis que ces mots ont été écrits, il est devenu évident que ce qui a commencé comme une aventure audacieuse a été récupéré et corrompu par des fanatiques, des charlatans, des profiteurs et des fous. Le terme « Nouvel Âge » est désormais synonyme de la frange la plus éloignée de la société, des Shirley Maclaine, des Raéliens et des sectaires de 2012. Tout le bien qu’il aurait pu apporter a été définitivement perdu.

Il est temps de passer à autre chose. Il n’existe aucun équivalent pour remplacer le New Âge, mais la probabilité qu’une telle mesure soit efficace est en effet très faible. Le seul conseil que nous pouvons donner en ce moment aux habitants de votre monde est de vous efforcer d’atteindre le bien et l’excellence dans votre propre vie, et de laisser la « vue d’ensemble » à ceux qui sont équipés pour la gérer.

Gardez toujours à l’esprit la lumière, l’amour, la fraternité, la paix et la conscience spirituelle, mais comprenez que votre monde est sous le contrôle d’une force pour laquelle ces choses sont contraires. Vous pouvez les appliquer dans votre propre vie dans la mesure du possible, mais ne vous attendez pas à ce que votre peuple les adopte avant d’être libéré de l’emprise de fer de la tyrannie des Omégans. »

« Tous les esprits ne font qu'un, et les énergies qui forment la matière en font également partie. L'Esprit Tout-Puissant contrôle l'Univers jusqu'aux limites du possible. Il ne connaît pas l'avenir et ne peut pas provoquer la prédestination… Il peut suggérer, guider et diriger, mais il ne peut pas contrôler. »

Ils ont dit que l'esprit est une forme d'énergie avec une fréquence fixe, différente de toute autre. « Bien que cette fréquence ne puisse pas être modifiée, il en existe une autre, une fréquence universelle, qui peut être activée et désactivée à volonté par l'individu. C'est sur cette fréquence que se produit la télépathie »."

Ils ont également dit que cette télépathie universelle sur la fréquence universelle ne pouvait être captée par aucun moyen électronique, et que le signal d'appel utilisait une forme de radiomessagerie mentale - et que plusieurs pouvaient être couplés ensemble en même temps de cette manière.

Les deux sont au-delà de la portée des sens normaux et sans aide électronique. Et grâce au Tout-Esprit, il n'existe aucune limite à la connaissance, car il englobe tout et est conscient de tout ce qui se passe n'importe où dans l'Univers. « Si donc un esprit conscient souhaite voir à distance, il lui suffit de travailler par l'intermédiaire de l'ultraconscient, en demandant une vue d'une scène, etc. »

Et sur la base de la prescience ou de la prédiction … « l’Esprit Tout-Puissant peut projeter une image de ce qui pourrait très bien se produire si un certain schéma d’événements devait se poursuivre sans interruption » – lui ont-ils dit par le biais de sa radio dans la nuit du 15 septembre 1961."

Dieu est un être qui englobe tout = somme de tout ce qui existe.
Imaginez « le » comme un être spirituel éternel : « l’infini » – sans forme ni substance spécifiques.

« Il » vient en aide à ceux qui cherchent de l'aide et des conseils. Ils disent qu'ils n'ont pas d'autre explication rationnelle à la joie de vivre qu'ils ressentent intérieurement lorsqu'ils « Le » contemplent et « Le » prient. Mais en ce qui concerne la prière : « nous préférons la solitude et le calme dans notre communion quotidienne avec Lui. Dans toutes les maisons Korendiennes, il y a une petite pièce à l'écart des zones de circulation qui est réservée à la prière ».

« … lorsque nous communiquons avec Dieu, nous ouvrons nos cœurs et nous Lui parlons intimement et avec une profonde émotion, un peu comme on pourrait parler avec un compagnon chéri ».

Ils n’avaient pas eu de personnages ressemblant à Jésus, Mahomet ou Bouddha dans leur histoire, car ils ne s’étaient pas éloignés de Dieu dans leur histoire connue.

« Nous croyons que Dieu, dans son infinie sagesse, ne s'imposera à personne. Le libre arbitre élève les humains au-dessus des formes de vie inférieures. Pour maintenir le libre arbitre, nous ne pouvons pas avoir de preuve irréfutable de l'existence de Dieu… »

« Notre foi est vivante en nous, elle est une partie belle et rassurante de notre être » - et « nous n'exhibons pas notre foi pour que tout le monde la voie et l'approuve ». Aucun Korendien ne fera un grand étalage de sa foi.

Notre chemin est une relation profonde, ressentie et intensément personnelle avec Dieu et un engagement profond à vivre selon Ses lois éternelles ».

« … nous savons par les MAÎTRES ascensionnés qu’il existe en fait un certain nombre de niveaux ou de plans spirituels menant, comme ces Maîtres nous l’ont enseigné, au plus haut niveau où l’on trouve une véritable union avec Dieu, devenant en effet une partie de « Lui ».

En ce qui concerne la question du paradis : « le royaume éthérique est l'endroit où l'âme spirituelle d'une personne réside après la mort physique. C'est le niveau le plus bas des différents niveaux, et il est vu par les personnes qui ont subi des expériences de « mort imminente » ou de « sortie hors du corps ». Sachant que l'incroyable beauté racontée par ces personnes n'est que du premier plan, il est impossible d'imaginer les niveaux supérieurs, et impossible de contempler ce paradis ultime ».

« Nous savons que la vie de celui qui fait le mal reçoit une punition dans les plans spirituels sous la forme du déni du droit de s'élever aux niveaux supérieurs... être empêché de progresser vers le haut serait aussi proche de l'enfer que je voudrais le concevoir.

Si cet individu, sachant qu'il ou elle se verra éternellement refuser l'accès aux plans supérieurs, désire avec un repentir sincère renaître pour faire amende honorable, une telle chose est permise. Cela ne réfute en rien ma déclaration précédente. Le retour n'est PAS UNE PÉNALITÉ. Il s'agit plutôt d'une seconde chance, d'une opportunité de rédemption, et est librement choisi par la personne.

Le lieu de cette renaissance et les circonstances sont choisis par les Maîtres Ascensionnés pour être appropriés comme une leçon d'objet pour la personne, impliquant généralement une vie affectée négativement par son histoire maléfique, et la nécessité de rectifier ces torts afin d'atteindre le pardon qui supprimera les obstacles à l'avancement dans les royaumes éthériques.

Je souligne à nouveau qu'il s'agit d'une action purement volontaire. Aucun d'entre eux, aussi malveillant qu'il ait pu être dans la vie, n'est obligé de retourner contre sa volonté. S'ils choisissent de ne pas le faire, ils sont transférés dans un endroit du premier plan spirituel, loin des autres, et c'est leur demeure aussi longtemps qu'ils restent sans contrition, même jusqu'à la fin de l'éternité. Un véritable enfer en effet. »

« Tant que les gens seront assez stupides pour se faire des illusions en pensant que leur société égoïste et sans Dieu est le destin de l’humanité, alors Dieu se contentera de se tenir à l’écart et de leur permettre de découvrir, à partir d’une expérience douloureuse, à quel point ils ont tort.

C'est le comble de l'ignorance que d'affirmer que l'humanité évoluera au-delà des principes universels qui gouvernent tout ce qui existe. Les lois de Dieu font partie de sa nature. Elles ne sont pas arbitraires. Elles existent parce qu'il existe, et ce qu'elles existent est dû à ce qu'il est. »

« … malheureusement pour la race qui se croit au-dessus de ces lois, on ne peut leur désobéir ou les ignorer sans conséquences. La voie de Dieu est l’ordre, et l’antithèse de l’ordre est le chaos. Lorsqu’une race décide d’abandonner l’ordre des lois universelles, elle ressent inévitablement le début du désordre, de la dégénérescence et, à la fin, de l’autodestruction. C’est ce que vous appelez "le salaire du péché".

Votre race se trouve à un stade critique de son existence, mes amis terriens. Dans votre quête pour devenir les maîtres de votre propre destin sans l'aide de Dieu, vous avez invité les forces du chaos dans vos vies et dans votre société. Dieu n'impose rien au libre arbitre des humains. Nos échecs sont les nôtres. Nos succès sont les nôtres avec la présence de Dieu dans nos vies. »

« Comme vous vous en souvenez », poursuivit-il, « la téléportation n'est que la transmission à un récepteur d'un schéma de signaux correspondant à votre structure atomique, où la matière première est construite en un corps, un objet, etc. Cette unité, au lieu de transmettre ces signaux, les enregistre en un bref instant sur un bloc modèle vierge, qui consiste en une structure atomique comprimée contenant autant d'atomes qu'un bloc de dix pieds cubes de la matière naturelle la plus dense. Les signaux imprimés sur ce bloc amènent les atomes à s'aligner d'une certaine manière. Lorsque l'alignement est terminé, une impulsion de verrouillage est envoyée à travers le bloc pour les figer exactement comme ils sont. La photo atomique est alors réalisée. Il y en a une pour chaque personne qui vient sur ce vaisseau à tout moment, et il en va de même pour chaque vaisseau de nos flottes Korendiennes.

L'objectif est très simple. Si le corps d'une personne est endommagé au-delà du traitement médical normal, par accident ou autre, son corps est annihilé et un nouveau corps est construit à partir de "l'image" du bloc de modèles, qu'il occupe alors, et reprend là où il s'est arrêté. On pourrait dire qu'il s'agit d'une sorte de téléportation suspendue. »

Lors de la première rencontre physique de Robert Renaud avec des Korendiens en 1962, voici les gadgets qui ont été mis en démonstration pour lui.

Orii-Val (Korendien) : « C'est le premier, un petit appareil antigrav. Je vais vous montrer comment on s'en sert, puis je vous expliquerai comment il fonctionne, dans les limites imposées par la sécurité. »

En disant cela, il fit glisser un panneau sur ce que je supposais être le dessus et régla deux minuscules commandes dans le renfoncement révélé. En faisant glisser un panneau à l'avant, il révéla un petit réflecteur incurvé et une électrode hémisphérique dans son foyer. Il le pointa vers un rocher voisin et appuya sur un bouton. Puis il régla encore une autre commande. En quelques secondes, le rocher trembla légèrement, puis dérivait vers le haut comme des herbes folles dans une brise du soir. À environ 43 mètres de hauteur, il s'arrêta de bouger et resta immobile.

Orii-Val continua : « En vérifiant le réglage de ce contrôle, je peux vous dire que la roche a une masse de 3 150 livres, avec une marge d'erreur de 20 livres. » Il la redescendit ensuite et la plaça à l'endroit exact d'où elle était montée. Il expliqua ensuite le fonctionnement de l'appareil.

Comme vous le savez grâce à vos propres recherches et à nos contacts, la gravité n'est qu'une autre forme de la force universelle, le magnétisme. Contrairement à ce que vos scientifiques appellent le magnétisme, la gravité est dans son état normal strictement une force attractive, n'ayant aucune polarité en elle-même.

C'est parce que les radiations gravitationnelles, au lieu d'être polaires et invariantes comme le sont les quanta qui forment votre concept commun de magnétisme, oscillent à des fréquences bien au-delà du spectre de la lumière visible. En raison de cette fréquence élevée, la force générale sera attractive.

La négation de la gravité ne peut se produire que lorsque les oscillations dans le champ d'un corps sont exactement à 180 degrés en décalage avec celles d'un autre. À tout angle de phase supérieur ou inférieur à 180 degrés, le résultat net est une attraction mutuelle.

Dans les matériaux ordinaires et dans des conditions moyennes, le nombre d'atomes dont les champs gravitationnels sont exactement opposés en phase avec les atomes d'un autre corps est infime comparé à celui des atomes situés à un autre angle. Dans tous les matériaux, la fréquence d'oscillation gravitationnelle est invariable, et tous les matériaux ont exactement la même fréquence. Vous pouvez donc voir que le nombre d'atomes situés à certains angles avec les atomes d'un autre corps reste tout à fait constant, et donc la force d'attraction mutuelle ne varie pas.

Avec cet appareil, cependant, un champ est induit qui développe une force entre les deux corps qui est suffisamment puissante pour annuler la force naturelle.

Le champ ainsi généré crée une force entre les deux corps qui varie en fonction de nos paramètres de contrôle. Cette force peut varier d'un extrême, dans lequel l'effet net entre les corps serait la résonance exacte de toutes les oscillations en eux, à l'extrême opposé, qui serait une force d'interaction nette qui serait équivalente à la résonance négative exacte de toutes les oscillations.

Dans un premier temps, l’attraction entre eux serait si intense qu’une force énorme serait nécessaire pour les séparer.

Dans la deuxième condition, il n’y aurait absolument aucune force entre eux, ni attractive ni répulsive.

Provoquer un mouvement est l'idée qui sous-tend la plupart des applications. Il faut donc mettre en jeu une troisième force. Cette force est créée en résonance avec la phase du corps que nous souhaitons déplacer et n'affecte que les atomes contenus dans les extrémités de ses limites.

La force est générée par un projecteur en tant que source ponctuelle située à une certaine distance de l'objet, dans la direction de déplacement requise.

Ce petit générateur peut créer ce troisième champ, mais il doit être utilisé en conjonction avec un autre radiateur pour créer l'effet de source ponctuelle. Cet effet est essentiellement obtenu par l'intersection des deux faisceaux séparés à la distance requise. Toute la force dans les faisceaux rayonne alors à partir de ce point.

En raison de la nature des circuits de l'appareil, seul l'objet qui a été dégradé par le premier champ sera affecté par le second. Nous en avons de plus gros qui peuvent gérer plusieurs objets à la fois, mais ceux-ci ne fonctionnent que sur un seul corps à la fois. Dans ce cas, cette roche est le corps.

C'est le principe sur lequel certains de nos petits vaisseaux sont propulsés. Comme vous le verrez plus tard lorsque vous entrerez dans l'un d'eux et l'examinerez, l'ensemble de l'engin, lorsqu'il est prêt à voler, est protégé par un matériau spécialement conçu pour annuler la force gravitationnelle.

[Remarque : cette méthode a finalement été abandonnée lorsqu'il a été découvert que le fait de protéger la moitié d'un vaisseau de la gravité tandis que l'autre moitié restait exposée provoquait une forte accélération due à l'application déséquilibrée de la gravité due à la masse combinée de l'univers. Ce phénomène est limité aux véhicules spatiaux profonds. Les systèmes de propulsion conventionnels sont toujours utilisés sur et autour des corps planétaires.]

Il y a une autre force que je n'ai pas mentionnée, à savoir la force centrifuge. Comme vous l'avez vu, le rocher a plané pendant un certain temps. Nous n'avons pas complètement annulé son attraction, mais l'avons simplement mis en équilibre avec la force centrifuge.

Lorsque nous voulons nous élever directement d'un corps en rotation tel qu'une planète, nous annulons simplement toute attraction, et la force extérieure nous projette comme la boue d'un pneu.

Mais nous avons suffisamment parlé de l'AntiGrav. Nous avons d'autres appareils à vous montrer. »

« Il plaça l'AntiGrav dans une boîte en métal et en sortit un autre, un gadget cylindrique, apparemment scellé. Il mesurait environ un pouce de diamètre et 4 pouces de long. Après un examen attentif, il révéla une ouverture à une extrémité d'environ dix millièmes de pouce de rayon. En le pointant sur le même rocher, il appuya sur l'extrémité opposée. Un long faisceau de ce qui semblait être une lumière blanche frappa le rocher. Au bout de cinq secondes, il l'éteignit et me demanda d'examiner l'endroit où le faisceau avait frappé.

Ce que j'ai vu m'a stupéfié. Le faisceau avait percé un trou dans la roche et était ressorti de l'autre côté. La pierre était blanche et chauffée à blanc sur un demi-pouce autour du trou, et intouchable sur un pouce et demi. L'énergie dégagée par l'appareil devait être de l'ordre de plusieurs mégawatts, pensai-je.

Cet appareil est une version plus efficace et plus petite de ce que vos scientifiques appellent un amplificateur laser. Le nôtre utilise un gaz rare au lieu du rubidium, mais le principe est le même. L'énergie est fournie par des cellules qui convertissent la matière en énergie électromagnétique selon la formule de Maître Einstein, E=MC².

La puissance que vous supposiez être de l'ordre de quelques mégawatts n'était en réalité que de 800 kilowatts. La lumière cohérente contient bien plus d'énergie que la lumière ordinaire. Ces cellules n'ont pas atteint un dixième de leur potentiel avec cette charge. L'énergie a été convertie en lumière infrarouge, qui est apparue blanche en raison du chauffage intense des atomes dans l'air autour du faisceau.

Des versions plus grandes de ce type utilisées sur les satellites de défense du périmètre auraient pu transformer la roche en vapeur en quelques microsecondes. Ces satellites sont d'ailleurs stationnés autour de tous les systèmes solaires pour nous protéger contre toute force hostile qui pourrait vouloir nous attaquer. Ils constituent nos défenses les plus puissantes, car nous n'avons mené aucune action militaire contre quiconque depuis de nombreuses années, et nous ne serions pas prêts si nous étions soudainement attaqués. Ces satellites sont pilotés par des robots, à titre d'information. »

[...]

« Laissez-moi vous montrer encore une chose, comme une démonstration finale de ce que pourrait être votre destin. » Il sortit de la boîte un appareil qui correspondait en tous points à l’image classique d’un pistolet laser Buck Rogers. Il visa le gros rocher qui avait été précédemment percé par le laser. Un éclair de lumière verte brûlante enveloppa le rocher. La chaleur était intense. Lorsque je regardai à nouveau, les 1 500 kilos avaient été réduits en lave en fusion. La neige avait fondu sur dix pieds et l’eau fumait à moins d’un mètre de la lave.

Notre première arme énergétique. Nous l'avons empruntée au Musée des Sciences Borani, une division des Archives Galactiques sur la planète Boran, spécialement pour cette démonstration. Depuis que cet appareil a été construit, des armes ont été créées qui le rendent totalement insignifiant.

Le fait est que certains de vos scientifiques ont déjà le secret de cette arme dans leurs archives. Ils ne reconnaissent peut-être pas son application en tant que telle, mais si l'un d'entre eux se trouve dans un moment de réflexion inspirée, eh bien, imaginez que ce rocher soit New York, Washington, Londres ou Moscou. »


En mai 1963, un couple d'habitants de la ville où se tenait la réunion se promenait sur le chemin de terre. Ils arrivèrent sur le lieu de la réunion et trouvèrent la roche qui avait fondu. Elle s'était étendue en formant un cercle grossier en refroidissant, formant une anomalie pour laquelle ils n'avaient aucune explication. Ils ont apparemment contacté des autorités autres que la police locale. L'affaire n'a pas été rapportée dans les médias, je suppose donc qu'elle a été étouffée.

Des rumeurs circulaient de bouche à oreille selon lesquelles quelques véhicules militaires auraient été aperçus dans la région le lendemain de la découverte. Le lendemain, un camion à plateau banalisé, équipé d'un treuil et du type utilisé pour transporter les voitures accidentées, a emprunté le chemin de terre et est ressorti avec quelque chose sur le plateau qui était recouvert d'une bâche en toile.

Il ne fait aucun doute que le rocher se trouve dans un entrepôt ou un site de stockage quelque part, et de temps en temps, quelqu'un se demande : « D'où diable vient cette chose ? »

« Le troisième appareil que nous avons est un autre appareil produisant de la lumière. » Il sortit une petite sphère d'environ le diamètre d'un raisin.

« C'est le cœur de l'appareil. C'est une sphère d'un alliage que nous appelons Photonium-3. » Il m'a montré un cube de substance translucide et partiellement transparente. Le cube se décomposait en deux sections, avec des broches de positionnement pour un alignement correct lors du remontage. L'intérieur était creusé pour un ajustement serré avec la sphère. Il a mis la sphère à l'intérieur et a placé les moitiés du cube ensemble. Dès qu'il a été scellé, une lumière douce mais brillante d'une couleur blanc crème a inondé la zone autour de nous comme la lumière du jour. Inutile de dire que c'était extrêmement mystérieux, et j'ai demandé comment cela fonctionnait.

« Les scientifiques de votre monde, après une étude minutieuse, appelleraient cela une forme de fluorescence. En fait, le cube, une fois fermé, forme un champ d'énergie intense dans la sphère. Le cube est constitué de cinq éléments communs, que je ne peux pas révéler, car cette même combinaison d'éléments dans des proportions différentes pourrait être utilisée dans une arme pour éclipser vos bombes nucléaires, ce que nous ne pouvons évidemment pas autoriser.

Pour revenir au sujet, ce champ d'énergie est enfermé dans la cavité sphérique du cube, où il réagit constamment avec la sphère, composée de matériaux hautement fluorescents sous certains types de rayonnement. La lumière ainsi créée est émise à travers le cube translucide.

Vous vous posez des questions sur le cube d'énergie, je le constate. » J'avais effectivement l'intention de l'interroger à ce sujet, et j'en ai déduit qu'ils possédaient, comme nos autres frères de l'espace, un degré avancé de capacité télépathique. « Oui, dit-il, nous sommes télépathes, mais seulement dans la mesure où les principes communs de la pensée privée le permettent.

Le cube contient un isotope de radium très rare dont vos scientifiques sont conscients mais pour lequel ils n'ont pas encore trouvé d'utilisation. Cet isotope particulier émet des formes non nocives de rayonnement à haute énergie, contrairement aux particules alpha, bêta et gamma des émissions radioactives normales. Ces énergies sont appelées Xeori Quanta, du nom de l'homme qui les a découvertes.

La sphère est recouverte de dix millièmes de pouce d'un matériau qui les réfléchit à l'intérieur, une fois qu'ils sont entrés, et ne permet que l'émission de rayonnement lumineux. Le cube est recouvert du même matériau. Dans les deux cas, le matériau est de nature polaire, passant dans un sens seulement et réfléchissant dans l'autre. Ainsi, toutes les énergies créées dans le cube y sont contenues. Ces énergies provoquent un effet de réaction en chaîne, et elles s'accumulent presque instantanément jusqu'à une valeur stable dépendant du degré de l'élément de contrôle dans le matériau du cube.

L'énergie perd progressivement son efficacité et a une durée de vie utile de 35 ans. Le coût de ces dispositifs lumineux équivaut à environ deux dollars sur Terre, c'est donc une forme de lumière vraiment bon marché. Elle est surtout utilisée comme nous l'utilisons actuellement, là où il n'y a pas de source d'énergie disponible.

Ce que vous m’avez montré est, si je puis dire, miraculeux. Pensez-vous que nos scientifiques seront un jour capables de les reproduire ? » Il réfléchit un instant à ma question, puis répondit : « Bob, si vos scientifiques appliquaient ce qu’ils savent déjà, sans faire de recherches supplémentaires, ils pourraient construire ces appareils aujourd’hui. En fait, ils auraient pu le faire il y a cinq ans. Cependant, les applications générales de la science semblent toujours s’articuler autour d’un critère : « Quelle est sa valeur militaire ? Comment peut-on l’utiliser pour tuer des gens plus efficacement ? Prenons l’exemple de l’énergie atomique. Où a eu lieu la première application à grande échelle ? »

Robert Renaud écrit : "Comme vous vous en souviendrez, dans notre dernier épisode, nous avons entendu Orii-Val dire : « Je vous contacterai personnellement le 6 août (note personnelle : 1963) » En fait, avant le début de la réunion personnelle, j'ai eu le scoop officiel à la radio, concernant le lieu de la réunion, l'heure et tout le reste. C'était à 01h30, heure avancée de l'Est.

À 2 heures du matin, je me tenais devant la maison, impatient, réfléchissant à la théorie de la connectivité, à la manière d'un livre de science-fiction que j'avais lu il y a quelque temps. Ma méditation sur cette philosophie imposante fut interrompue par l'éclat des phares dans le virage vers le nord. Quelques secondes plus tard, une Plymouth Fury décapotable blanche de 1963 s'arrêta. Je pris note mentalement de féliciter le conducteur pour son bon goût en matière de voitures. Elle était immatriculée ici, dans le Massachusetts, et le toit était baissé, révélant un intérieur rouge feu et trois hommes assis à l'intérieur, que j'ai tous immédiatement reconnus.

Sur le siège arrière se trouvaient Orii-Val et Gery-Sol, dont on se souviendra de la première communication personnelle en décembre dernier. Le troisième était un homme que j'avais rencontré plusieurs fois dans une ville voisine pour discuter des OVNIs et de la paix mondiale. J'ai été quelque peu surpris de le trouver là, car il n'avait jamais fait allusion à son origine extraterrestre. Il s'appelle Darrin-Sen. Il était le propriétaire de la bête.

Les vêtements des trois hommes étaient des tenues décontractées typiques, comme celles que l'on peut trouver sur n'importe quel homme d'affaires pendant ses heures de loisirs. Gery-Sol portait une chemise blanche, un pantalon gris et des mocassins noirs. Orii-Val portait une chemise bleue, un pantalon noir et des chaussures blanches. Darrin-San était vêtu d'une chemise jaune clair, d'un pantalon marron et de chaussures en toile couleur crème. Il serait impossible de les distinguer des jeunes hommes moyens d'une vingtaine d'années. Je ne leur ai pas demandé leur âge, me rappelant à quel point j'avais été stupéfait d'apprendre que Lin-Erri avait 74 ans.

Je montai à bord et nous reprîmes la route vers le nord après avoir fait demi-tour dans l'allée. Pendant le trajet, nous écoutions de la musique de valse viennoise et j'appris que la musique originale de ce type était en grande partie inspirée par l'empreinte, comme le contact du 28 août 61. Ce ne fut pas non plus une petite surprise de découvrir que la station que nous écoutions provenait de plus de 700 années-lumière de distance, relayée par la base du Massachusetts. Il s'agissait bien sûr d'une radio subspatiale, mais néanmoins, l'idée de signaux voyageant à plus de 700 années-lumière est un concept stupéfiant.

Après environ dix minutes de route, nous avons tourné sur une route secondaire et nous nous sommes garés à environ un kilomètre et demi plus loin. Lorsque nous sommes tous sortis, DS a sorti un petit appareil et a appuyé sur un bouton. « La voiture est désormais protégée électroniquement contre toute forme de dommage. » Il n'a pas donné plus d'explications.

Nous nous sommes ensuite dirigés vers les bois. À environ 500 mètres, nous sommes arrivés dans une clairière entre les arbres.

Maintenant, après plus de deux ans de collaboration avec les Korendiens, je me suis plus ou moins habitué à des expériences uniques, mais cela ne m'a pas empêché de rester stupéfait pendant une bonne demie-minute. À une quinzaine de mètres devant moi, planait un petit engin qui ne ressemblait pas à une voiture futuriste. [Note : voir le dessin à la fin.]

Orii-Val appuya sur un bouton d'un petit émetteur. Alors que je regardais avec fascination, il y eut un sifflement comme si l'air s'échappait, après quoi toute la verrière transparente se souleva sur des charnières à l'arrière. Elle était soulevée par une paire de cylindres hydrauliques, un de chaque côté. En appuyant sur un autre bouton, deux portes d'entrée s'ouvrirent, qui semblaient venir de nulle part, car l'engin était apparemment sans joint jusqu'à ce point. Cette apparition soudaine de portes en métal massif ne surprendra pas les lecteurs familiers des livres d'autres contactés. Comme on pouvait s'y attendre, on ne m'a fourni aucune explication pour ce phénomène particulier, et je n'en ai pas demandé, car le processus aurait probablement été bien au-dessus de mes capacités, de toute façon.

Orii-Val nous fit signe de monter dans le vaisseau, ce que nous fîmes, moi avec une grande excitation. Orii-Val me dit : « Ce n'est pas un vaisseau de reconnaissance à part entière, mais il servira d'introduction à nos vaisseaux. » Je vais maintenant décrire l'intérieur du vaisseau, car il n'y avait rien d'autre à dire pendant quelques secondes.

L'intérieur était luxueusement aménagé, avec des sièges baquets enveloppants, apparemment rembourrés d'un matériau similaire au caoutchouc mousse, bien que plus résistant et beaucoup plus confortable. Les sièges étaient recouverts d'un matériau plastique riche avec la texture et la douceur du cuir de veau le plus fin. La couleur était noire, avec des taches argentées dispersées au hasard. Le sol était recouvert d'une épaisse moquette, également noire. Le reste de l'intérieur était fini dans le même rouge que l'extérieur, avec des garnitures noires et argentées. Aucune finition chromée voyante n'était visible.

Le siège du pilote était situé entre deux consoles, la console extérieure montée sur la porte, la console intérieure à l'emplacement habituel. Chacune était dotée d'un manche de commande chromé et d'un panneau de boutons.

Le tableau de bord était courbé de telle sorte que le groupe d'instruments, les écrans, les voyants, les interrupteurs, etc., étaient tous directement perpendiculaires à son champ de vision. Il était éclairé par une douce lumière rouge qui ne provenait d'aucune source apparente. Les interrupteurs avaient des leviers translucides, avec un éclairage de couleur ambre de l'intérieur. Les aiguilles des jauges brillaient en bleu clair, les graduations en blanc.

[Remarque : les « jauges » étaient en fait des écrans graphiques informatiques, qui pouvaient présenter leurs données sous plusieurs formats. L'un d'eux ressemblait à des compteurs à aiguille rotative standard. Le concept d'affichage par ordinateur m'était inconnu en 1963. Ils n'existaient pas à l'époque.]

Sur plusieurs petits écrans, des motifs colorés étaient en mouvement constant, changeant de forme, disparaissant, réapparaissant dans un tourbillon de mouvements sans fin. [Remarque : d'autres affichages graphiques.]

Toutes les commandes étaient à portée de main du pilote, sans qu'il ait à se pencher en avant. Tous les instruments étaient réglables individuellement pour s'adapter à toute différence de taille si plusieurs personnes utilisaient l'appareil.

Au moment où j'avais fini de faire toutes ces observations triviales, la verrière était fermée et la cabine pressurisée. Orri-Val actionna quelques interrupteurs et déplaça le manche de commande gauche vers l'avant. Je ne sentis aucun mouvement brusque lorsque nous commençâmes à monter, et je n'entendis qu'un vrombissement très faible, comme une immense puissance s'élevant des profondeurs.

L'ascension s'est faite en douceur et sans effort apparent, avec seulement une très légère accélération perceptible. À environ 5000 pieds, nous avons arrêté de monter. Orii a alors déplacé le manche droit vers l'avant et nous nous sommes dirigés vers l'ouest.

Orii dit alors : « C'est mon vaisseau personnel, le dernier modèle, devrais-je ajouter. Je l'ai spécialement équipé. Habituellement, il n'y a pas plus de dix instruments dans ces vaisseaux. Donc, si les choses semblent un peu encombrées, c'est pour ça. Je l'ai téléporté ici depuis Korendor il y a une semaine environ, et j'ai décidé que ce serait une introduction intéressante à vous donner concernant nos vaisseaux. Je vois que vous êtes plein de questions, alors posez-les. »

Vaisseau personnel de Orii-Val de Korendor
Dessin du vaisseau personnel de Orii-Val de Korendor, avec Robert Renaud à bord

J'ai senti une grande opportunité d'apprendre bien plus que ce qui avait été offert jusqu'à présent à un contacté, et je me suis jeté dessus avec passion. « Bon, tout d'abord, qu'est-ce qui maintient ce vaisseau à flot ? Quel type de propulsion est utilisé ? Et aussi, comment est-il dirigé ? »

Pour répondre à cette question, il faut d'abord préciser que les propriétés de lévitation sont obtenues par l'annulation du flux gravitationnel, par un blindage. La surface extérieure de ce vaisseau est constituée de notre alliage, le Neutra-F. Il a été créé spécialement pour la construction de vaisseaux. Dans des conditions normales, cet alliage, qui ressemble à l'aluminium par sa finition et sa masse, ne diffère en rien des autres matériaux. Cependant, lorsqu'on lui applique un champ de radiofréquence d'une certaine fréquence critique, il devient un bouclier efficace contre les champs gravitationnels, magnétiques et électriques, à l'exception de notre radar. Dans ces conditions, il n'y a pas de force d'attraction entre le vaisseau et la planète. Ainsi, le vaisseau s'élève à cause de la force centrifuge et de la poussée d'Archimède. La première est due à la rotation de la planète ; la seconde est illustrée par un dirigeable ou un ballon.

À l'avant se trouve un ordinateur qui vérifie l'altitude par télémétrie radar. Il ajuste le pourcentage de protection pour maintenir une hauteur constante malgré les variations de l'intensité du champ gravitationnel, de la force centrifuge et de la densité atmosphérique. »

On m'a demandé de ne pas révéler la fréquence critique ni la composition de l'alliage, car un individu imprudent les utiliserait et s'anéantirait, ainsi que tout ce qui se trouverait à une quinzaine de kilomètres de là. C'est une arme potentiellement utile, malheureusement.

Prochaine question : la propulsion. Je dois d'abord souligner que ce type d'engin n'est généralement pas adapté aux voyages dans l'espace lointain. Son altitude maximale dans votre atmosphère est de dix milles. Dans l'air de Korendor, elle est de quinze. La raison en est qu'il utilise des réacteurs. Non, pas les monstres bruyants, malodorants et inefficaces qui propulsent vos appareils. Les nôtres sont presque à 100 % efficaces.

Dans ce vaisseau, modifié pour être utilisé par la Guardian Patrol, les jets peuvent fonctionner comme des fusées utilisant des carburants auto-oxydants, et le vaisseau est hermétiquement scellé et renforcé. Il peut opérer dans l'espace lointain pendant de brèves périodes si nécessaire ou souhaitable."

Autre dessin du vaisseau personnel de Orii-Val
Cette image a été recadrée à partir d'un scan de la couverture du numéro 21 d'UFOI. Elle est assez précise, compte tenu du piètre dessin à partir duquel l'artiste l'a rendue.

Robert Renaud : "J'ai poussé le manche d'élévation vers l'avant avec délicatesse, pour le dire gentiment. Nous avons grimpé les premiers cent pieds à environ 200 pieds par minute, selon l'altimètre. Comme ma confiance a pris le dessus sur mon bon sens, j'ai poussé le manche plus loin vers l'avant et nous avons grimpé les 4 900 pieds restants en environ 15 secondes.

Pour tourner, il suffisait de pousser le manche droit vers l'une des extrémités et d'appliquer une légère poussée vers l'avant. Une fois que nous avions effectué une rotation de 180 degrés, j'ai relâché le manche. Il s'est arrêté de tourner instantanément et, après avoir posé la question, on m'a répondu : « La rotation est contrôlée par de petits propulseurs sur les côtés de l'appareil. Elle est surveillée par une unité gyroscopique à trois axes au centre de l'appareil. L'ordinateur utilise ses données pour contrôler l'orientation de l'appareil. »

Avec beaucoup d'appréhension, si ce mot doux pouvait le décrire, j'ai poussé le levier de vitesse vers l'avant. Nous avons commencé à avancer, et j'ai maintenu la vitesse à 500 miles par heure (note personnelle : cela fait 800 km/h), ne voulant pas perdre le contrôle et résistant à l'envie de laisser mon passe-temps de dragster s'exprimer. La conduite du navire était aussi douce que le verre proverbial, silencieuse au-delà de toute croyance pour une propulsion à réaction, sans la moindre trace de turbulence aérienne ou autre. C'était vraiment assez stupéfiant.

[Note : l'absence notable de turbulences était due à l'effet combiné du bouclier de force et du fait que nous n'étions pas soutenus par l'air. On m'a informé de cela plusieurs semaines après avoir tapé et envoyé le rapport du voyage.]

Après quelques minutes de vol, l'opération devint simple, aussi simple que peut l'être le pilotage d'un vaisseau spatial extraterrestre par un Terrien. Nous avons ensuite discuté de diverses questions sans grande importance, à l'exception de l'interdiction des essais. Je vous ferai part du message complet à ce sujet.

Environ trente minutes plus tard, nous arrivâmes à notre point de départ dans la clairière. Nous tirâmes sur le manche de direction et nous nous arrêtâmes assez brusquement, plus que je ne l'aurais cru. Orii rit et dit : « J'ai failli traverser la canopée la première fois que j'ai arrêté un de ces appareils. Courage. » Une fois positionné au-dessus du point de décollage, il ne me restait plus qu'à relâcher le manche d'élévation et à atterrir. Je descendis à environ cinq pieds et progressai petit à petit le reste du chemin. Je n'ai guère confiance en mes capacités dans des moments comme ceux-ci, surtout quand je risque quatre cous dans le processus, bien qu'Orii m'ait dit qu'il s'arrêterait dès qu'il toucherait le sol.

L'atterrissage fut un soulagement béni. Je restai assis pendant une minute entière, stupéfait d'être en sécurité au sol et pourtant toujours en vie et en train de renifler. Plus encore, j'étais impressionné par la confiance évidente d'Orii-Val en moi. Je m'en souviendrai toujours."

Schéma du vaisseau personnel de Orii-Val
Un autre schéma représentant le vaisseau personnel de Orii-Val, depuis le livre de John Dean

Le 30 juillet 1964, entre 2h et 5h du matin, les Korendiens demandent à Bob de sortir une minute plus tard. Puis ils ont télécommandé depuis un plus gros vaisseau au-dessus - un petit vaisseau d'atterrissage - l'invitant à entrer. Il l'a fait, et a été guidé par radio pour décoller et le "piloter" lui-même : mais un peu trop vite - jusqu'à 800 m en une seconde ! Bien sûr, ils auraient pu le télécommander en arrière/en haut, mais ils l'ont laissé essayer de le piloter en direct. Il a finalement réussi à le manœuvrer jusqu'au plus gros, car il avait également essayé d'en piloter un auparavant sous certaines instructions.

Vue d'artiste d'un vaisseau de Korendor de petite taille venu chercher Robert Renaud
Vue d'artiste du vaisseau d'après le dessin de Robert Renaud. C'est le vaisseau dans lequel il a volé dans le contact du 30 juillet 1964, qu'il a piloté avec des instructions données par radio pour le guider, car il avait déjà utilisé des contrôles de vol auparavant dans un précédent contact. C'est le même vaisseau avec lequel il est allé un mois plus tard dans une base Korendienne du Massachusetts pour assister à ce qu'ils y font.

Il dit qu'il n'a ressenti qu'une légère sensation de mouvement lorsque le grand navire a accéléré vers Washington pour une mission spéciale : ils se sont « garés » à 8000 m au-dessus du Pentagone – et étaient invisibles sur les radars. Depuis ce navire, ils ont envoyé de petites « boules espionnes » : 

« Notre but ici », commença Orii, « est de placer trois petits moniteurs psychosondes sur le toit du bâtiment, directement au-dessus de trois bureaux que nous souhaitons observer. Les trois hommes sont au travail maintenant, donc notre travail est grandement simplifié. Allons au panneau de commande et nous commencerons la première phase. »

La sonde de 5 cm a été placée dans le toit (en béton) à l'aide d'un petit appareil qui y a percé un trou, et une fois la sonde en place, elle a été scellée par le même faisceau laser.

Sur les écrans, ils virent tout : « …. J'ai vu une petite sphère de métal soigneusement déposée dans le trou, juste en dessous de la surface du toit. Puis le rayon de chaleur fut projeté et le toit fondit autour du globe. Il n'était plus visible, et lorsque le matériau de toiture refroidirait, il serait indétectable. J'éprouvai un profond sentiment de soulagement que personne à l'intérieur n'ait soupçonné ce qui se passait au-dessus de leurs têtes. Le disque était maintenant revenu à sa place dans le vaisseau, et les panneaux de contrôle (sur le vaisseau-mère) s'éteignirent automatiquement. »

« Ces sondes », a expliqué Orii, « sont accordées à des fréquences mentales spécifiques et ignoreront toutes les autres. Elles surveilleront toute activité cérébrale au niveau conscient, la relayant à nos instruments dans la base située dans l'océan près d'ici. Leur source d'énergie est les radiations faibles, mais utilisables, émises par le câblage du bâtiment. Nous les avons placées aussi près que possible des câbles, pour une sensibilité et une puissance de sortie maximales pour l'émetteur. »

Il est intéressant de constater que les « surveillants » ont pris cette tâche de surveillance au sérieux, car ils affirment ici avoir utilisé dix mille sondes sur Washington seulement ! Mais d’après ce que j’ai lu d’autres « sources » de ce genre – d’autres races ont une technologie de pointe encore plus avancée – et n’ont aucune utilité pour des « sondes physiques » pour faire le même travail.

Mais ceux-là n'étaient pas si « en retard » – comme on peut le lire ici que ces sondes pouvaient également capter les impulsions électriques des nerfs du cerveau des yeux, des oreilles, etc. des hommes à l'intérieur des bâtiments, de sorte que l'équipage du vaisseau pouvait les « traduire » en images (+ son) sur un écran là-haut, ou les traduire directement dans le cerveau des astronautes - qui « vivaient » la même chose !

Et ce n'est pas tout : ils avaient fabriqué une sorte de casque qui était relié au cerveau du porteur via les sondes « là-bas » – et les « hommes-ovnis » expérimentaient alors ce que l'homme « en bas » voyait, entendait, ressentait, etc. – et ce avec une fonction bidirectionnelle. Voici un extrait de cela : « … inutile de dire que j’ai accepté. Orii a branché ses connecteurs sur un panneau et a placé l’appareil en forme de casque sur ma tête. Soudain, je me suis retrouvé dans un fauteuil confortable dans un bureau spacieux. Devant moi, sur un bureau en acajou, se trouvait une copie d’un manuel d’utilisation d’un de nos bombardiers. Une machine à écrire se trouvait à proximité avec une page de texte inachevée. Des papiers divers, des stylos et une paire de téléphones complétaient le tableau du bureau. Orii m'a interrompu momentanément en mettant l'appareil en veille. Il a dit :

« Nous allons vous donner le contrôle de son esprit pendant un certain temps. Ce que vous voulez qu'il fasse, il le fera. Puisque vous êtes un Terrien, vous n'êtes pas affecté par les lois de non-interférence comme nous le sommes. Je vais vous faire changer de rôle maintenant. »

En disant cela, il passa du mode Monitor au mode Control. Le casque reprit alors vie et je fus de retour au bureau. Je remarquai que je ne pouvais le contrôler que lorsque je le voulais directement. Il réagissait néanmoins normalement à son environnement.

Je tournai la tête pour observer la pièce. Elle était assez confortable pour un bureau. Le sol était recouvert d'un tapis qui se mariait bien avec les murs blanc crème. Plusieurs tableaux étaient accrochés au mur, ainsi qu'un certain nombre de documents sur lesquels était inscrit son nom en entier. Comme le donner ici le mettrait en danger, je dirai seulement que son prénom était Joseph. Il y avait beaucoup de lumière dans la pièce, le plafond étant l'un de ceux avec des lampes fluorescentes sur tout le mur. La porte se trouvait à droite de son bureau, avec une chaise d'un côté et un portemanteau de l'autre. L'interrupteur avait une plaque chromée sur laquelle étaient clairement visibles plusieurs empreintes digitales.

Dans la pièce se trouvaient d'autres chaises, une table, un bar, une télévision, une radio et diverses bibliothèques et armoires. Sur l'une des armoires, une photo de sa famille lui faisait face. On y voyait sa très charmante épouse et ses deux enfants, un garçon et une fille.

Une secrétaire entra dans la pièce. Ils conversèrent un moment au sujet d’une visiteuse qui l’attendait, puis elle partit. Quelques instants plus tard, un homme grand et distingué entra, portant une mallette. Ils se saluèrent d’une poignée de main et commencèrent à parler de sujets que je ne comprenais pas. J’enlevai alors mon casque, pensant que ce qu’ils avaient à dire ne me regardait pas.

Dans le haut-parleur, la voix de Joseph résonnait clairement :

« Tu sais, ED, j'ai eu une sensation très étrange il y a un instant, comme si on m'observait. Puis j'ai ressenti une envie distincte de faire des mouvements que je n'aurais pas faits d'habitude. Je ne sais pas, c'était juste une sensation étrange, comme si quelqu'un d'autre était dans la pièce ici ! » Il a dit quelque chose à propos de travailler trop dur, et ils ont tous les deux ri. Joe semblait un peu mal à l'aise, cependant

Je frémis à l'idée des atrocités psychiques auxquelles ce pouvoir pourrait servir s'il tombait entre de mauvaises mains ! On pourrait forcer les gens à se tuer ou à tuer d'autres personnes. Il ne pourrait y avoir aucune intimité. En fait, on pourrait déclencher une guerre simplement en contrôlant les différents dirigeants mondiaux et en les obligeant à déclarer la guerre. Si c'était impossible, alors les chefs militaires pourraient être obligés de déclencher la guerre sans leur consentement. À l'ère des armes atomiques qui n'attendent que la pression de quelques boutons, comme il serait facile de déclencher la fin de l'humanité ! Dieu merci, un tel pouvoir n'est pas à notre portée. Si c'était le cas, cette Terre serait vraiment un enfer pire qu'elle ne l'est actuellement.

Et voici un extrait de la façon dont ils peuvent zoomer sur les sous-consultations d'une personne donnée et tout savoir sur elle, et ils utilisent ces informations pour, par exemple, sélectionner les bonnes personnes pour être des personnes de contact : 

« … Orii tourna une commande intitulée Grossissement, et la scène était exactement comme on pourrait la voir à travers un objectif zoom. Le sol s'éleva rapidement, et bientôt nous pûmes distinguer des personnes individuelles dans la rue, les quelques rares qu'il y avait. Orii dit :

« Choisissez-en un. »

J'ai choisi un chauffeur de taxi qui s'était arrêté temporairement pour faire une pause.

Orii se dirigea ensuite vers un autre panneau appelé la sonde psychologique à distance. Il l'alluma et focalisa son faisceau sur l'homme à trois milles en dessous. Puis il appuya sur un bouton marqué Analyse informatique. Depuis les profondeurs du vaisseau, un bruit de vrombissement retentit qui dura environ cinq secondes. Pendant ce temps, je remarquai que l'homme était apparemment conscient d'une influence invisible, car il arrêta de fumer et regarda autour de lui avec curiosité, comme s'il essayait de comprendre ce qui avait attiré son attention. Lorsque le faisceau s'arrêta, il recommença à tirer sur sa cigarette puis se gratta la tête avec perplexité.

Orii avait la feuille dactylographiée de l'unité d'impression. Il nous la lut.

"Son nom est Peter _ (nom de famille supprimé ici pour des raisons de confidentialité), il a 36 ans, vit à Washington, a une femme et trois enfants, deux garçons et une fille. Il conduit une Chevrolet 1961, blanche et rouge, deux portes, style hardtop, sur laquelle il doit trois paiements. Il quittera son service à 06h00. Il pense que Barry Goldwater est un fou "

Environ un mois plus tard, il fut de nouveau en contact physique avec eux et fut cette fois emmené à la base du Massachusetts, où devait se tenir une conférence réunissant les personnes chargées de contrôler et de coordonner le « Projet Terra ». Une maquette de la Terre était accrochée dans la salle de conférence.

Recherche scientifique et sociologique.
Éducation des Terriens dans les Lois Universelles.
Prévention de la guerre, inévitablement appelée à devenir atomique.

Sinon, il s'agissait d'influencer les peuples de la Terre - des écoles au gouvernement - sur la philosophie universelle, etc. De plus, il s'agissait de montrer les atterrissages et d'inspirer/soutenir les mouvements antiatomiques. Et de soutenir l'établissement d'un gouvernement mondial puissant sous la direction des Nations Unies.

Ils admettent également ici qu'il semble s'agir d'une interprétation différente des lois universelles de non-interférence entre les différents « aides cosmiques » qui sont ici – ceux-ci semblent aller plus loin que les Erra-pléiadiens ayant des contacts avec Meier, qui semblent avoir été très prudents, dans leurs interactions avec les gens ordinaires de la Terre.

On a montré à Bob un film d'une scène de la guerre du Vietnam où l'armée américaine torturait un jeune « soldat ennemi » - et où les Korendiens ont admis avoir violé la loi de non-ingérence : ils ont débarqué et ont effrayé les tortionnaires américains et ont libéré le prisonnier, l'ont emmené avec eux et l'ont soigné, et l'ont ramené à ses parents très reconnaissants.

Ils ont également constaté que l'armée américaine avait des armes atomiques à bord de certains de ses avions et que les États-Unis avaient tiré sur leurs appareils à de nombreuses reprises. Un autre film qu'ils lui ont montré lors de la réunion était celui où un homme de Korendor avait été téléporté à une réunion militaire au Pentagone : (Bob rapporte ce qu'il a vu comme film lors de la conférence 🙂

« …quelques secondes plus tard, on a pu voir l'intérieur du vaisseau. Un homme se tenait dans une cabine de téléportation, vêtu d'une combinaison spatiale, et portait à la main une caméra télécran, de la taille d'un paquet de cigarettes, qui comprenait l'enregistreur et l'émetteur. Un instant plus tard, il a disparu. La vue suivante était celle d'une grande assemblée de militaires dans une salle de conférence. Ils étaient tous bouche bée, les yeux écarquillés et la mâchoire béante devant la silhouette qui était apparue sur la plate-forme devant eux. »

L'intrus a ensuite discuté brièvement avec eux et a démontré la réalité de ce qu'ils avaient vu en faisant flotter l'un des généraux dans les airs - puis l'homme Korendien s'est dématérialisé et est revenu au vaisseau !!

Si cela est correctement arbitré et vrai, il n'est pas surprenant que les militaires aient peur que cela soit connu : ils perdraient leur emploi - ils n'auraient plus besoin d'eux/des militaires, dans une société de haute technologie avec abondance de tout - rien pour quoi se battre !

Les Korendiens ont décrit comment des idées sont imprimées chez des personnes sélectionnées pendant leur sommeil, et ces personnes s'attribuent ensuite le mérite. Ils ont appelé cela la Somnivision :

« En principe, comme nous vous le dirons lors du prochain contact, l'esprit humain est une forme d'énergie. Lorsqu'il est dans le corps, chaque esprit a une fréquence de fonctionnement distincte en fonction des caractéristiques particulières du cerveau dans lequel il habite. Bien que nous ne le comprenions pas complètement, nous savons qu'il s'agit d'ondes magnétiques, comme vous les appelez, de dimensions de circuit électriques à l'intérieur des neurones du cerveau.

L'instrument utilisé pour produire la Somnivision, l'unité de psycho-empreinte omnifréquence, est conçu pour enregistrer cette fréquence caractéristique via un faisceau de sonde, qui est dirigé sur l'esprit à partir d'une unité dans un petit vaisseau de reconnaissance de trois pieds de diamètre. » (Les données techniques détaillées sont omises ici. – N.D.E.)

Chaque fois que la Somnivision doit être entreprise, un faisceau est mis en place à partir de l'éclaireur planant au-dessus de la maison de la personne à impressionner, et un relais est établi à travers lui jusqu'à l'esprit. Étant donné que les fréquences sont en phase, toute modulation sur le faisceau serait considérée par le cerveau comme une impulsion provenant de l'esprit lui-même, et serait traitée comme une autre pensée.

En fonction de la puissance de ce faisceau, nous pouvons faire en sorte que le « rêve » soit simplement un souvenir vague ou qu'il soit enregistré mot pour mot dans le cerveau. On peut comparer cela à une radio alimentant un magnétophone. Lorsque le signal entrant est faible et déformé, seuls quelques bribes du programme sont intelligibles. À mesure que la puissance du signal augmente, davantage de choses sont enregistrées et peuvent être comprises, jusqu'à ce que, à une puissance élevée, la bande soit une copie exacte du programme. »

Puis Bob a remarqué :

« C'est peut-être ainsi que je parviens à retranscrire l'intégralité de leurs conversations, comme ils m'ont dit que je serais capable de le faire. Quand je suis prêt à les écrire, les mots semblent couler d'eux-mêmes, puis ils sont blancs ! Je ne peux pas les écrire avec précision une deuxième fois. Normalement, je pourrais me souvenir de parties d'une conversation, mais raconter une conversation entière de mémoire serait impossible à moins de l'étudier pendant des heures auparavant. »


Ils ont également déclaré : « les grandes inventions de votre époque – la radio, la télévision, l’énergie nucléaire et l’avion, par exemple – sont pour la plupart le résultat de cette empreinte. »

Ce fut l'une des dernières communications de Korendor à ArKay. Il expliqua que la première mission de Korendor ici dans les temps plus récents s'est déroulée de l'an 462 (date du départ de leur vaisseau) à l'an 970 (date d'arrivée sur Terre) après J.-C., lors de l'atterrissage dans les montagnes tibétaines. Il dit qu'ils avaient bien développé la radioastronomie en 456 après J.-C. et qu'ils avaient reçu des signaux, qui provenaient apparemment de civilisations de haute technologie antérieures sur Terre.

Ils avaient sélectionné 500 volontaires pour ce voyage supposé aller simple.

Le vaisseau a été construit avec des moteurs à hydrogène à statoréacteur, qui captent l'hydrogène interstellaire et d'autres matériaux, l'ionisent dans des chambres nucléaires et l'utilisent comme masse de réaction pour la poussée. Il tourne en créant une gravité artificielle.

Oui, il raconte qu'ils sont venus sur notre lointaine Terre après des siècles dans l'espace, mais quand ils sont finalement arrivés, ils n'ont trouvé aucun signe de haute technologie ici - et ils savaient qu'ils devaient être fidèles à la loi de non-interférence, car une nouvelle culture en développement allait recommencer sur cette planète bleue Terre/Terra.

Dans le texte, il est également affirmé que lorsqu'ils sont entrés dans notre système solaire, ils ont été observés par des sondes sans pilote, qu'ils ont ensuite découvert comme appartenant à base d'une autre Fédération, sur l'astéroïde que nous appelons aujourd'hui Cérès.

Le 18 juin de l'an 970, ils atterrirent dans les hautes montagnes du Tibet, après avoir parcouru et cartographié la majeure partie de la Terre. La région possédait des cavernes naturelles qui constituaient un bon camp de base.

Ils ont ensuite transformé la plus grande des cavernes en quartier général principal. Mais la faible pression atmosphérique par rapport à celle de leur planète d'origine était le principal problème, donc après avoir scellé les cavernes, ils ont construit des sas avec une pression beaucoup plus élevée à l'intérieur.

Ils affirment avoir construit en cinq ans une installation très confortable à l'intérieur et avoir creusé de nouveaux tunnels artificiels. Ils affirment avoir été observés par d'autres visiteurs cosmiques au cours de leurs premières années sur Terre, mais ceux-ci n'ont pas pris contact avec eux. Plus tard, ils ont découvert qu'ils faisaient partie de la « Confédération », l'autre groupe de planètes unies dans une ligue avec des lois plus strictes de non-interférence absolue sur les autres planètes, sauf en cas de catastrophes naturelles.

Au cours des 100 années suivantes, la population souterraine du Tibet s'est agrandie jusqu'à atteindre 15 000 personnes et s'est étendue à partir du site d'origine.

Certains habitants de la Terre les découvrirent et d'autres demeurèrent auprès des « dieux ». En 1150, c'était vraiment une colonie terrestre et environ 1000 personnes de chaque sexe se rendirent sur Terre dans le but d'en apprendre davantage sur les habitants.

Dans le sous-sol, il y avait plus tard 80 000 personnes qui avaient également construit une flotte d'engins pour commencer l'exploration du monde extérieur. (*rappelez-vous que ceux-ci étaient bien en avance sur le niveau technologique que nous avons encore ici dans la société « connue » / dominante ici.)

Ceux-là ont dressé des cartes détaillées de la Terre extérieure, à l'époque du Moyen-Âge – l'âge des ténèbres ! Ils étaient bouleversés de voir la classe dirigeante terroriser les gens inférieurs, qui valaient moins que les animaux.

« Nos rêves pour votre peuple ont été rapidement anéantis ».

Ils établirent ensuite des communautés au Pérou, en Sibérie, au Sahara et dans ce qui est aujourd'hui appelé le Wyoming, et attendirent la fin de l'âge sombre. Au 14e siècle , tous les Korendiens d'origine étaient morts, mais les successeurs étaient désormais au nombre de 3 millions ! Mais arriva ensuite la "Peste noire", qui se répandit rapidement également parmi les Korendiens de la terre. La capacité de transporter l'oxygène dans le sang fut endommagée. Et il dit qu'en deux jours presque tous étaient morts. Seuls les enfants de races mixtes s'en sortirent mieux.

Tout cela a été découvert dans la montagne sacrée du Tibet, où, dans un sanctuaire, d'anciens documents ont été écrits à ce sujet. Il y a aussi des cartes menant à d'autres endroits du monde où l'on a trouvé plus de détails à ce sujet.

« Il ne reste plus grand chose de notre présence sur Terre ».

« L'installation souterraine située dans le Massachusetts est l'une des deux installations d'origine sur Terre (bases PT : Planète Terre). L'autre est le complexe de Californie. Comme toutes les bases PT, le complexe du Massachusetts est sous le contrôle militaire de l'Alliance. Robert Renaud a visité au moins ces deux bases.

MassCom (sa désignation officielle) se trouve dans la région connue sous le nom de Berkshires. Les coordonnées exactes ne seront bien sûr pas révélées. Il y avait plusieurs raisons stratégiques pour l'installer à cet endroit, qui dépassent le cadre de ce rapport. Cela n'a rien à voir avec le fait que Bob Renaud y réside. La base avait été construite à son emplacement actuel pendant plus de deux ans avant que nous ne prenions connaissance de l'intérêt de Bob pour les « soucoupes volantes » et la présence d'extraterrestres sur Terre.

MassCom a subi deux remaniements substantiels depuis qu'il est devenu opérationnel au début de 1959. La première a eu lieu après le réengagement de 1984. Il a impliqué une reconfiguration considérable pour une efficacité optimale, y compris la fermeture de zones et l'ouverture de nouvelles. Le second a consisté en une mise à niveau majeure de l'équipement en 1998, mais n'a pas entraîné de modifications physiques importantes.

MassCom est le commandement central sur Terre. Pour se rendre compte de sa taille, il faut savoir que sa superficie est de 278,6 millions de pieds carrés, soit un peu moins de 10 miles carrés (note : 26 km² environ), sur six niveaux qui descendent de près de 800 pieds (note : 244 mètres). Le point le plus élevé de la base se trouve à 285 pieds sous la surface. Certaines entrées pour petits engins se trouvent au niveau de la surface [note de Bob : voir le rapport du 28 décembre 1963], avec des tunnels menant à l'installation principale.

Le blindage rend impossible la détection de MassCom par les technologies terrestres existantes, bien que la majeure partie de la base soit située sous les montagnes. »

Description de l'entrée dans une des bases souterraines : « Nous (dans la « voiture » volante) sommes descendus rapidement à travers cette forme, et lorsque nous étions en dessous d'elle à une trentaine de pieds, elle s'est refermée au-dessus de nous avec un bruit de vrombissement de moteurs électriques. Orii-Val a alors appuyé sur un bouton du panneau de commande. Une paire de portes s'est ouverte devant nous et nous avons glissé à travers. Nous étions maintenant dans une sorte de long tunnel, éclairé par une bande lumineuse brillante sur son plafond. On m'a dit qu'il faisait plus d'un mile de long. »

Entrée dans la base souterraine de l'Alliance dans le Massachusetts appelée MassCom
La voiture-vaisseau de Orii-Val de Korendor avec Robert Renaud à bord, descend vers la bouche d'accès à la base souterrain de MassCom, qui s'ouvre pour les faire entrer, et se referme dès qu'ils sont passés

En bas, il y avait de grands et longs tunnels avec des convoyeurs au milieu. Ils arrivèrent dans une pièce avec un plafond blanc brillant de 6 m de haut et des murs blanc-vert. Là, Bob reçut une carte de contrôle de sécurité et ils montèrent dans des voitures magnétiques pour observer différentes choses. Il pouvait parler par effet technologique et voir son double chez lui (note personnelle : c'est un cas où les Korendiens avaient créé un corps copié de Robert piloté par l'un d'eux pour que son absence ne se remarque pas).

Il y avait également des écrans qui reliaient les autres bases ainsi que les sondes de surveillance autour de notre planète - plus les communications avec leur monde d'origine :
« C'est la console principale, et c'est le lien direct de toute cette planète avec Korendor, Arcturus et d'autres mondes de l'Alliance. Toutes les communications récentes avec les Maîtres d'autres mondes, que vous avez vécues, ont été établies ici même. Cette unité relie les planètes aux bases, aux vaisseaux et à d'autres consoles pour atteindre les individus. Lorsque Maître Kalen-Li vous a appelé depuis Korendor, sa voix est passée par une unité similaire sur Korendor, a été reçue ici et votre voix est allée dans l'autre sens. »

Là, ils surveillaient également tous les signaux radio et TV qui étaient envoyés dans le monde entier. La base entière était conçue de manière à ce que les habitants de Korendor qui y étaient basés se sentent chez eux : des appareils à parfums produisaient des sensations à partir des bois de leur planète natale. La base avait 6 niveaux/étages.

Il a également eu droit à une visite de la Station d'alimentation en énergie de la base - un endroit propre et calme car toute la production d'énergie fonctionnait grâce à la différence de gravité sur les rotors :

« Tous les générateurs ou groupes électrogènes fonctionnent grâce à la gravité. La moitié du rotor est protégée de la gravité, l'autre moitié est exposée. La différence de flux provoque un couple qui déclenche rapidement la rotation. La vitesse est modifiée par des régulateurs et le pourcentage de blindage. »

On lui a également montré une chambre d'acclimatation où le peuple de Korendor pouvait s'habituer aux conditions de notre planète, car ils avaient une pression plus élevée, plus d'oxygène et plus de gravité. Et les salons les plus fantastiques et les plus lumineux, bien qu'il n'y ait aucune source de lumière visible - les meubles étant les plus beaux à penser.

C'est là qu'il rencontra également l'un des sages/maîtres qui lui avait parlé à la radio, et notamment la belle Lin-Erri.

Bob : « J'ai allumé le petit émetteur à ma gauche. Une voix familière s'est fait entendre, celle d'Orii-Val. Il a dit : "Allo, Bob. N'allumez pas votre appareil, car nous ne serons dehors que dans une minute. Nous vous demandons d'être prêt à partir avec nous dans dix minutes. Nous avons une surprise très spéciale pour vous ce matin. Vous n'aurez pas besoin de vêtements lourds, car vous ne serez dehors que pendant un instant."

[...]

Je suis sorti pour faire cela et le temps est passé vite. J'ai passé quelques instants à renouer avec de vieux amis dans les régions célestes et j'ai à peine remarqué l'arrivée d'un énorme disque. Il faisait au moins 60 mètres de diamètre et était complètement noir. Il se distinguait par son absence de lumière, un grand vide circulaire dans les étoiles. Alors que je regardais, un trou est apparu près du bord et un petit vaisseau a jailli et est tombé sur Terre.

Il atterrit dans l'allée à six mètres de moi et lorsque son dôme s'ouvrit, je vis Orii à l'intérieur me faire signe de venir rapidement. Alors que je montais à bord, Orii dit : « Nous devons y aller immédiatement. Il y a une voiture qui approche rapidement. » Au sud, une lueur brillante se dirigeait vers nous. La voiture était à moins d'un quart de mile. Lorsque je fus assis, le toit se referma et se ferma, et Orii poussa le contrôle d'élévation vers l'avant. Nous nous sommes élancés vers le haut juste au moment où les phares de la voiture de police d'État éclairaient l'allée. Zut ! Une seconde de plus et ce serait l'heure des questions-réponses.

Nous étions à bord du grand disque cinq secondes plus tard. Le petit vaisseau se glissa dans l'un des trois compartiments d'une pièce sur le bord extérieur du vaisseau. »

Orii a déclaré : « Ce vaisseau, comme vous le voyez, est conçu pour voyager dans l'espace lointain à des vitesses très proches de la vitesse de la lumière. Cela nécessite une dépense d'énergie prodigieuse, et nous ne la poussons pas souvent à la limite pour cette raison. Habituellement, nous la limitons à environ 90 à 95 % de la vitesse de la lumière pour les voyages interplanétaires. »

Schéma d'un autre vaisseau spatial Korendien
Plan d'un vaisseau de reconnaissance (qui effectue des vols entre le sol et le vaisseau mère en forme de cigare) des extraterrestres de Korendor, visité lors d'un contact avec Robert Renaud le 4 février 1964.

Et le contact suivant était avec une base sous-marine et encore une fois son « remplaçant » a pris sa place (note personnelle : un corps copié de celui de Robert Renaud, mis par les Korendiens chez lui pour que son absence ne se remarque pas). Il a été récupéré cette fois par un engin de 18 m de diamètre en vol stationnaire à environ 170 m au-dessus de la maison - par un rayon antigravité, où deux hommes du vaisseau avaient d'abord été téléportés dans « l'ascenseur » pour le rencontrer. Il y avait une force magnétique à l'extérieur du disque de 1,5 m de diamètre sur lequel ils se tenaient, donc pas besoin de rails.

Bob Renaud : « Planant à environ 150 mètres dans les airs, juste au-dessus de nous, se trouvait un engin scintillant, d'environ 18 mètres de diamètre, lisse et sans particularité sur le dessous, à l'exception d'une petite ouverture directement au centre de sa forme circulaire.

 En levant les yeux, nous fûmes soudain absorbés par un faisceau lumineux bleuté qui traversait l'ouverture. Je me rendis alors compte que nous étions debout sur une plaque métallique d'un métal blanchâtre qui était partiellement cachée par la neige qui tombait. Cette prise de conscience se fit lorsque la plaque se souleva de l'allée et s'éleva directement vers le haut le long du faisceau lumineux.

Inutile de dire que cette situation s'est avérée plutôt inconfortable. Imaginez-vous en train de glisser sur une plaque de six pieds de large, à des centaines de mètres de hauteur, sans rails ni rien pour assurer votre sécurité. C'est une longue descente ! Cette pensée dérangeante venait de traverser mon esprit quand Orii a prononcé un mot : « Observez. » Il s'est tourné vers la gauche et s'est brusquement précipité vers le bord. Je n'ai pas eu le temps d'être étonné de ses actions lorsqu'il a rebondi vers le centre de la plaque.

Il n’y a aucun danger, dit-il. Le champ de couleur bleue est un mur de force. Le champ de lévitation est invisible. »

Il décrivit l'intérieur du vaisseau et mentionna à nouveau les images en 3D sur les murs. La pièce dans laquelle il entra avait un diamètre d'environ 12 m et un plafond incurvé. Après un court trajet, il observa le vaisseau contrôlé par ordinateur descendre dans une base en sous-sol, dans une pièce d'environ 150 m de large. Il y avait aussi ces tapis roulants pour rester/conduire. Là, il rencontra à nouveau la "jeune fille de l'espace" Lin-Erri.

Il pouvait maintenant utiliser une station de téléportation avec différentes « stations finales » vers leurs autres bases terrestres. Après un rapide contrôle médical, il a pu se téléporter avec Lin-Erri vers une base sous-marine quelque part sous l'océan Pacifique (3,2 km sous le fond de l'océan) - à l'extérieur de la Californie.

Son récit de la téléportation telle qu'il l'a vécue :

« C'était une expérience vraiment unique, différente de tout ce que j'avais connu auparavant. Lorsque vous entrez pour la première fois, une sensation de picotement comme un choc électrique vous traverse de la tête aux pieds. Puis, soudain, il y a une sensation que l'on ne peut décrire que comme une désorientation et un vide, accompagnés d'une impression de désintégration soudaine en une vapeur sans poids et sans masse, comme un fantôme !

Pendant un instant, vous ne pouvez pas penser. Tout ce que vous savez, c'est que vous existez. Votre cerveau est à cet instant une masse d'impulsions électriques, qui sont transmises comme une radio. Notre esprit, sans ces sens physiques, existe par lui-même et est indépendant de l'univers. Il voyage via l'Ultraconscient jusqu'au corps réassemblé à l'autre extrémité.

Les picotements reviennent soudainement, puis disparaissent. Vous avez terminé, vous êtes toujours en vie et en un seul morceau. Cette téléportation a pris une seconde ! Une seconde -- et 2 500 milles viennent d'être parcourus !!

L'homme à l'autre bout du fil nous a accueillis et nous a conduits au bureau principal …"

Comme d'habitude, il donne une description extrêmement détaillée de l'équipement de la base qu'il peut voir - par exemple, comment ils obtiennent de l'oxygène et de l'air frais là-bas. Et il entre dans la salle de contrôle de leurs vaisseaux terrestres avec de nombreux panneaux, enregistreurs, télécrans 3D, moniteurs et unités de contrôle de vol. Ici, ils peuvent également observer les disques sans pilote.

(ça devait paraître totalement "très bizarre" d'entendre ça dans les années 60, mais maintenant, par exemple, lanceur d'alerte et militaire à la retraite ; Bob Dean révèle un événement de téléportation similaire dans son interview sur Camelot du printemps 2010/48 min dans cette interview. Commentaire supplémentaire de Rø de 2010)

À cette époque, au début des années 60, il n'y avait pas de télévision couleur, il a donc été impressionné par tout ce qui était "en 3D + couleur". Il a vu un petit avion de 90 cm survoler Los Angeles, et un autre au-dessus d'une base aérienne, où il était délibérément contrôlé pour être vu et pour pouvoir ensuite capter les réactions des soldats grâce à l'équipement.

Dans une pièce, ils surveillaient « toute la Terre » à travers ces disques habités et non habités, d'où ils récupéraient des images et des données sur de grands écrans muraux. Ils pouvaient également contrôler tous les vaisseaux à distance si nécessaire.

Il a également eu droit à une démonstration de la manière dont ils pouvaient facilement téléporter un membre d'équipage du navire dans la base où il se trouvait à partir d'un des plus gros navires au-dessus de l'Afrique du Sud en 2 secondes ! Donc tout ce que Bob a vécu là-bas était presque "trop" pour lui.

Mais il sentit : « Ces êtres merveilleux n'ont pas tourné leurs inventions et leurs découvertes les uns contre les autres dans la haine et la guerre. Au contraire, ils ont appliqué leur savoir au bénéfice de l'homme, pour son confort, pour son service. En raison de cette attitude essentiellement humanitaire et philanthropique, ils ont été les bienfaiteurs de nombreuses forces merveilleuses de la nature qui nous sont cachées - cachées derrière un nuage noir de notre propre création - un nuage composé de notre haine, de notre insincérité, de nos préjugés et de notre cupidité. Regardez vers le haut et voyez ces disques brillants dans notre ciel.

Pensez aux gens merveilleux qui sont en eux et qui ont déjà traversé des moments comme celui que nous traversons actuellement. Par amour et par décence humaine, ils ont surmonté ces épreuves et vivent maintenant dans un monde de vraie liberté et de paix. Lorsque vous réalisez que nous aussi, nous pourrions connaître à notre époque cette vie heureuse, vous faites alors le premier pas pour contribuer à apporter ce merveilleux mode de vie à tous les peuples de notre planète.

Il a également eu droit à une démonstration d'un ordinateur avec lequel il pouvait communiquer d'une certaine manière, et avec une forme de « semi-volonté ». Il a affirmé qu'ils étaient dans des hangars de plus de 3,5 km de long et qu'ils n'avaient pas de colonnes. Les plafonds étaient faits de « lumières » blanches brillantes. Dans ces grandes salles se trouvaient des engins de reconnaissance de toutes sortes, de 10 à 30 m, et des techniciens travaillaient sur certains d'entre eux.

Le livre affirme également que le navire a traversé le fond de l'océan grâce à un tube de champ de force qui retient l'eau : « … Lorsque le navire atteint la surface du fond de l'océan, un écran de force s'ouvre et crée un passage de 200 pieds de diamètre dans l'eau jusqu'à l'atmosphère. Il est possible de faire sortir tous les navires de ce hangar en cinq minutes ! "

Des corps artificiels pour venir visiter les terriens et des avertissements sur notre système destructeur :

"Une autre affirmation est qu'ils ont dit avoir développé des méthodes pour matérialiser des corps faits pour les conditions de la Terre pour « s'incarner » - exactement de la même manière que Lobsang Rampa ( lien qui s'ouvre dans une nouvelle fenêtre - ici le document sur la « location de corps ») a dit que cela était utilisé dans un passé lointain pour que les ET avancés qui viennent ici en toute hâte, car ces corps étaient conditionnés à l'environnement de la Terre. L'un d'eux qu'il a rencontré de cette façon était le « président » de Korendor !

Sortie dans l'espace en combinaison spatiale de Robert Renaud, marche sur le vaisseau de Korendor
Sortie dans l'espace du 4 février A964 de Robert Renaud lors de sa 5ème rencontre en face-à-face avec des Korendiens. Il a marché à l'extérieur du vaisseau de Korendor avec une combinaison spéciale et des bottes magnétiques

Récit de Robert Renaud sur sa sortie spatiale :
« Ils ont reçu un message radio leur indiquant qu'ils allaient prendre contact comme d'habitude la nuit, alors ils sont arrivés dans un vaisseau de plus de 60 m de diamètre qui a libéré un petit vaisseau, est descendu et l'a récupéré. Ils avaient failli être observés par une voiture qui passait quand ils ont volé. Alors le plus gros vaisseau les a récupérés.

À l'intérieur, il a remarqué que les télécrans sur le mur montraient le paysage beaucoup plus clair que celui vu à l'œil nu, et qu'ils couvraient tous les environs du navire, y compris de haut en bas.

Couleur pastel bleu dans les chambres et tapis gris au sol. Une colonne de 2m de diamètre au centre. Équipage de sept personnes dont deux femmes, toutes vêtues d'un uniforme une pièce.

Bob put alors enfiler une combinaison spatiale couleur argent poli. Elle était climatisée et contenait un appareil respiratoire, un dispositif de communication et divers appareils de mesure et de contrôle de la température, de la pression atmosphérique, de l'humidité, des radiations, etc.

Schéma de la combinaison spatiale de Korendor, prêtée à Robert Renaud
Combinaison spatiale de Korendor qui a été prêtée à Robert Renaud pour sa sortie dans l'espace

En le portant, ils pouvaient sortir du vaisseau, car les chaussures avaient une attraction magnétique ajustée sur la coque du vaisseau. Il décrit la difficulté de se déplacer en apesanteur et décrit une vue de l'espace à laquelle nous sommes maintenant habitués depuis les navettes spatiales. Il voyait également la poussière cosmique comme des « lucioles » : « La plupart d'entre elles sont appelées poussière météorique. Elles proviennent de nombreuses sources, parmi lesquelles des comètes, les débris de la cinquième planète de votre système et les innombrables millions de tonnes de matériaux flottant dans l'espace. Elles peuvent présenter un danger si elles sont en quantité suffisante. Nos vaisseaux sont dotés de champs de force de protection pour les dévier . »

Dessin de Robert Renaud et un autre Korendien lors de leur sortie dans l'espace en combinaison

La visite de la base lunaire s'est effectuée pour Robert Renaud le 3 et 4 décembre 1966 pour la première fois et à nouveau le 28 juillet 1967. C'est un cumul de ces deux visites qui est donné par des extraits ci-dessous :

« Elor (l'un des astronautes de Korendor) annonça qu'ils allaient atterrir dans le cratère Platon, leur base spatiale lunaire. Le vaisseau passa au-dessus du terrain accidenté de la Lune et ils remarquèrent de temps en temps un véhicule terrestre sur le sol accidenté, émettant des signaux de bienvenue. Ils arrivèrent à une immense zone annulaire sur Platon. Un iris dans la couverture s'ouvrit et ils descendirent dans un immense hangar. De vastes rangées de vaisseaux se trouvaient dans la vaste chambre. Ils les survolèrent et s'installèrent dans une zone aussi grande qu'un terrain de football, tout à l'intérieur et à l'abri, pressurisé et réchauffé, et ayant une gravité accrue - environ 90 % de celle de la Terre, avec environ 16 % de gravité naturelle à l'extérieur.

Ils descendirent huit étages en ascenseur, puis un couloir jusqu'à la salle d'entrée, la rampe et l'escalier et sortirent sans s'arrêter. Le grand nouveau vaisseau sur son train d'atterrissage massif en trépied était courbe dans toutes les directions à perte de vue ; la coque polie était piquée et terne. Astra indiqua que c'était sa première fois sur la Lune, alors ils en profitèrent ensemble. Une petite voiture s'arrêta. Elle était conduite par Maître Kalen-Li, qui était déjà là pour les accueillir. Il se rendit à l'extrémité du hangar où une porte s'ouvrait sur un long tunnel. Astra remarqua que l'un des gardes était de la base de Nouvelle-Angleterre ; elle l'avait connu (Keri-Aldek) comme un ancien camarade de classe sur Korendor.

Puis ils franchirent une porte et montèrent une rampe jusqu'à un niveau situé à des centaines de mètres plus haut et pénétrèrent dans un garage avec de nombreux véhicules similaires. Puis dans une salle de réception où une jeune femme leur donna des badges. Un garde de sécurité entra et ils le suivirent dans un couloir, puis prirent un ascenseur jusqu'au dernier étage et pénétrèrent dans une grande salle où ils furent accueillis au Contrôle Lunaire. Le garde remarqua que les deux (Bob et Astra - sa petite amie de l'une de leurs bases terrestres) se tenaient la main et s'excusa, les laissant s'émerveiller devant la scène - les myriades d'équipements merveilleux pour toutes leurs opérations lunaires. Apparemment, tous les employés parlaient anglais, car Renaud n'entendit aucun Korendien. Plus tard, il entendit Kalen-Li dire quelque chose en Galinguan (note personnelle : langue d'échange commune utilisée par leur Alliance galactique, différente du Korendien natif).

Ils pénétrèrent ensuite dans une magnifique salle appelée la plate-forme d'observation. Autour du bord extérieur se trouvait une fenêtre de 3 mètres de haut, donnant sur la surface de la Lune. Le soleil était bas sur l'horizon ouest, projetant d'étranges ombres sur le sol du cratère. De leur niveau élevé, ils pouvaient voir la majeure partie du sol de Platon. Il se trouve à environ 1 100 kilomètres du pôle Nord. Dans le ciel étoilé du sud, la Terre se détachait sur eux - une boule azur à l'éclat tamisé sous la lumière du soleil. Ils l'observèrent en toute paix. (Renaud est un vrai poète, mais ce n'est qu'un résumé de son rapport complet.)

Ils remontèrent dans la voiture et reprirent leur route vers la « salle des tubes » où étaient stockés de nombreux véhicules étranges – de courts porte-bagages tubulaires pouvant accueillir plusieurs passagers et dotés d’une entrée sur le côté. Ils étaient propulsés le long de tubes tunnels par des « anneaux magnétiques » dans les tubes. Une grue amena l’un des porte-bagages jusqu’à la plate-forme de chargement. Ils montèrent à bord, avec Orii-Val, Kalen-Li et d’autres, et furent déplacés dans le tunnel tubulaire. Ils savaient quand ils se déplaçaient grâce aux lumières au-dessus d’eux. Les véhicules avaient des rouleaux encastrés dans le boîtier, mais voyageaient comme dans l’air, étant soutenus par la puissance de propulsion, avec environ un pouce d’espace libre tout autour. Pendant le transport, le tube était évacué et scellé pour réduire la friction, même de l’air. Leur destination était le cratère d’Hipparque (base 2) avec les télescopes optiques et électriques, à près de 1 600 kilomètres au sud.

Une fois arrivés à destination, la voiture fut déchargée et le groupe fut présenté à trois hommes, le commandant, le contrôleur et l'officier de sécurité de la base. Ils se dirigèrent vers les niveaux supérieurs et les merveilleux télescopes au-dessus…

[...]

….ensuite, en voiture, jusqu'à une sorte de garage et d'atelier de réparation, où se trouvaient de nombreux véhicules pour une seule personne, comme des scooters sans roues, reposant sur une plaque plate au fond.

Schéma du scooter lunaire à antigravité
Schéma du scooter lunaire utilisé par Robert Renaud et ceux de Korendor sur la Lune

Ils s'habillèrent ensuite pour voyager en extérieur dans des combinaisons spatiales légères, équipées de réservoirs d'air et de purificateurs à recirculation. Bob enfila sa combinaison et en deux minutes avait fixé les bandes d'étanchéité. Le casque léger avait une grande visière permettant un large champ de vision. Au total, il devait peser dix livres, plus six livres pour le bloc d'alimentation et d'air. Poids terrestre ou lunaire ? Orii-Val alluma le climatiseur pour Bob et activa le communicateur de la combinaison. Sa voix actionnerait les commandes nécessaires. Les combinaisons des hommes étaient grises et rouges ; Lin-Erri en avait une bleue claire et celle d'Astra était rose bleuâtre.

Dessin du scooter lunaire à antigravité
Dessin des scooters lunaires utilisés par Robert Renaud et ceux de Korendor, pour se déplacer sur la Lune. D'après un dessin du livre de John Dean fait selon la description de Robert Renaud

Chacun choisit un scooter et s'assit dessus. Il y avait trois interrupteurs, qui se fermaient en séquence. Le premier démarrait le gyroscope stabilisateur ; le deuxième activait la grille de flottaison, ce qui faisait monter le scooter et son pilote et les faisait flotter à environ quinze centimètres du sol. Le troisième interrupteur activait la propulsion, qui était contrôlée par une pédale, ce qui la rendait plus simple que de conduire une voiture. Je crois qu'il y avait un guidon pour se guider, même s'il était peut-être simplement incliné pour les virages.

Ils se dirigèrent vers un petit ascenseur qui s'éleva avec eux jusqu'à ce qu'ils soient à environ trois mètres sous la surface, s'arrêta et un iris s'ouvrit au-dessus d'eux. Puis ils s'élevèrent jusqu'à ce que la plate-forme soit au ras du sol et, lorsqu'ils s'éloignèrent, elle disparut de leur vue et l'iris se referma. Il était si bien camouflé qu'il était à peine détectable.

C'était la première fois que Bob sortait « à l'air libre ». Le soleil était dans le bas du ciel oriental et les ombres étaient d'un noir pur. Il descendit de son scooter et se tint debout sur la surface de la Lune. Elle craquait sous ses pieds comme du gravier fin et tranchant. La faible gravité lui permettait de se tenir debout sans aucun effort. Il ramassa un gros rocher, qui aurait dû peser plus de dix livres, le lança vers le haut à quelques mètres et il redescendit lentement, comme dans un film au ralenti. Il atterrit à quelques mètres de distance, rebondit sur un autre rocher à une dizaine de mètres et atterrit dans une petite bouffée de poussière, qui retomba rapidement, mais il ne sentit aucune trace d'atmosphère. Elle ne serait pas respirable, mais pourrait être capable de transporter de la poussière sur une certaine distance.

Le groupe vit un météoroïde assez gros s'écraser au sol et se précipita sur les lieux. Il ne mesurait que 7 à 10 cm de diamètre, mais il avait creusé un cratère d'environ 4,5 mètres de large et de plusieurs mètres de profondeur au centre. Il présentait 15 à 20 cm de pierres et de cailloux granuleux ; puis le sol devint dur et dense et devint de la roche solide à une profondeur d'environ 60 cm. Il y avait de nombreux cratères, grands et petits ; certains étaient des rainures allongées, indiquant une trajectoire basse.

L'horizon semblait très proche. La Terre était visible, suspendue à mi-chemin du zénith dans le ciel austral, car le cratère de Platon se trouve à environ 1 100 kilomètres du pôle Nord. Elle ressemblait à une demi-lune bleutée, brillant de mille feux au soleil. Du côté obscur, on pouvait presque voir les lumières des plus grandes villes, comme des taches de feu dans l'obscurité. Des éclairs de lumière signifiaient un gros orage électrique…

Quelques temps plus tard, lorsqu'ils pénétrèrent dans une grande caverne souterraine, qui abritait une sorte d'ancienne cité souterraine :

Dessin d'une sortie de Bob Renaud avec Astra de Korendor, sur la Lune en scooter à anti-gravité
Robert Renaud et Astra de Korendor laissés un peu seuls pour parcourir le cratère Platon, lors de la deuxième visite de la base lunaire par Robert

« …ils s'arrêtèrent à l'entrée d'un grand tunnel et y entrèrent, utilisant leurs lumières laser dans l'obscurité intérieure. Ils allèrent aussi loin qu'ils le purent sur leurs « traîneaux » et marchèrent environ trois minutes de plus, arrivant à une grande caverne dans laquelle, des éons auparavant, une petite ville avait été construite. Elle avait été parfaitement préservée bien que son âge devait être de plusieurs millions d'années. Nous avons prudemment emprunté l'étroit escalier jusqu'au « niveau du sol » à trente pieds sous l'entrée du tunnel, et nous sommes dirigés vers ce qui semblait être la rue principale.

Les bâtiments étaient remarquablement bien conservés, on ne voyait que quelques fissures, des manques de maçonnerie ou du mortier émietté. L'architecture n'avait rien d'orné ; tout était simple et sans fioritures. Il semblait que cet endroit avait une vocation commerciale plutôt qu'une simple colonie. Maître Kalen-Li (l'un des hommes de Korendor de la base lunaire) commença à commenter notre environnement.

« Cet établissement a été déterminé comme étant une sorte de base, un quartier général pour une race d'extraterrestres qui sont arrivés sur la Lune il y a des millions d'années. Ils ont été traités comme des dieux par les indigènes arriérés de la Lune, qui ont construit cette section comme un temple à utiliser pendant leur séjour. En raison de son emplacement souterrain, c'est le seul vestige d'une puissante guerre atomique qui a éclaté entre les extraterrestres et un autre groupe d'indigènes primitifs très avancés dont la ville principale se trouvait dans la zone qui est maintenant le cratère Copernic. Cette race s'est offusquée de l'entrée des extraterrestres dans leur domaine et a exigé leur retrait ou leur annihilation. Les extraterrestres ont refusé de partir et ont défié les Lunaires de faire quoi que ce soit à ce sujet, sans être eux-mêmes anéantis.

Les choses atteignirent une impasse et le restèrent pendant une dizaine d'années (en temps terrestre), pendant lesquelles les deux camps accumulèrent de grandes réserves d'armes de plus en plus puissantes et sophistiquées. Finalement, les Sélénites lancèrent une attaque massive et soudaine sur la base extraterrestre située à l'extérieur de la surface, la détruisant presque complètement. Ils ne connaissaient pas l'existence de ce quartier général souterrain, sinon il ne serait pas là aujourd'hui. Depuis divers points entourant la principale cité lunaire, des missiles furent lancés sur elle, chacun transportant des bombes au lithium. Ils se rencontrèrent en plein vol et explosèrent simultanément, dans la plus impressionnante explosion que l'on puisse concevoir. La cité lunaire fut instantanément vaporisée, et l'explosion fit exploser le cratère qui existe aujourd'hui sous le nom de Copernicus. Elle eut cependant un autre effet bien plus mortel.

Nos ordinateurs ont estimé la probabilité à plus de cinquante millions contre un, après de nombreux calculs sur les données disponibles. Néanmoins, l'explosion a agi comme un déclencheur, qui a enflammé l'atmosphère même qui entourait la Lune. Dans une courte flamme brûlante, les atomes de l'air ont été transformés en énergie pure, d'une intensité trop stupéfiante pour être estimée.

Ce mur de furie s'est propagé comme une énorme ondulation à partir du centre de l'explosion, et en moins d'une minute, il a complètement englobé la Lune dans son sillage, provoquant une dévastation totale. Toutes les formes organiques ont été réduites en cendres, sans exception. Les plantes et les animaux ont été réduits à presque rien. Les bâtiments, les véhicules et tout le reste des artefacts humains ont été vaporisés ou simplement pulvérisés en poussière par un choc qui défie toute description : une chaleur de plusieurs millions de degrés et des niveaux de radiation de plusieurs milliards de roentgens.

Tout fut terminé en quelques instants. La surface de la Lune avait été dépouillée de sa vie et de ses constructions. À leur place, il n'y avait qu'un désert aride et désolé, qui se refroidissait lentement dans le froid absolu de l'espace vide. Cette ville est tout ce qui restait. Elle a échappé au mur de feu qui a anéanti le reste de la surface. Cependant, les radiations ont tué instantanément tout et tous ceux qui se trouvaient dans cette caverne, et l'air s'est précipité vers l'extérieur, désormais sans air. Tout est resté calme pendant un moment. Puis les effets de l'explosion ont commencé à secouer la Lune.

Les tremblements du sol, les volcans et les changements internes ont contribué à façonner la surface telle qu'elle est aujourd'hui. Depuis longtemps morte, la surface porte encore les cicatrices de la plus grande tragédie de tous les temps. On peut trouver des radiations résiduelles de cette catastrophe, dans les roches et le sol, comme un rappel de la futilité de la guerre.

Je pourrais ajouter que tout ce que j'ai dit a été déterminé à partir de documents trouvés dans cette ville, qui enregistrent même les derniers moments de la vie et "l'enfer sur Terre" qui l'a terminée si soudainement. »

Alors qu'ils terminent leur visite de la section physique, la base lunaire est attaquée par un détachement Kalran qui est repoussé avec quelques pertes. Il apparaît que tout n'est pas que paix et amour, même à leur haut niveau de développement. Bob a gardé son sang-froid et a donné des conseils stratégiques qui ont été couronnés de succès.
Il a eu la reconnaissance des Korendiens qui lui ont donné un petit disque volant pour son usage personnel avec eux, qu'il a schématisé et dessiné comme le montre l'image suivante.

Schéma du vaisseau personnel de Bob Renaud, qui lui a été donné par Korendor
Vaisseau destiné à l'usage personnel de Robert Renaud, lorsqu'il est avec eux seulement, en remerciement pour des conseils stratégiques hautement utiles qu'il a donnés lors d'une attaque sur la base lunaire. Le disque reste stationné dans un hangar de la base sous-terraine de l'Alliance dans le Massachusetts (non loin de chez lui donc).
Dessin du vaisseau personnel de Bob Renaud, qui lui a été donné par Korendor
Le vaisseau personnel de Robert Renaud, dessiné vu d'extérieur selon la description de Robert

Lors de la deuxième visite faite en 1967, Bob veut avoir des réponses à plusieurs questions concernant la Lune, et voici ce qu'il rapporte. Il pilote un engin strictement identique à son engin personnel qu'il a été habitué à utiliser, pour arriver sur la base Lunaire.

Le Soleil visible sans atmosphère :

Bob : « J'étais à environ quinze minutes de la lune lorsqu'une pensée m'est venue. Il y a eu, dans quelques cas de contact, une référence à un phénomène connu sous le nom de "soleil noir". Selon cette théorie, la lumière du soleil est en réalité invisible et ne devient visible qu'après avoir traversé l'atmosphère. Dans l'espace, il est prétendument impossible de voir le soleil. J'ai décidé de répondre une fois pour toutes à cette idée stupide avec les faits. Je ne pouvais évidemment pas espérer utiliser mes yeux pour une réfutation finale, car après tout, je me trouvais dans une atmosphère à l'intérieur de l'éclaireur.

J'ai donc allumé la caméra télé-écran montée à l'extérieur, et donc sans air, et j'ai observé sur l'écran la boule de chaleur jaune-blanche et flamboyante qui est notre étoile mère. Ce fut la réfutation finale. C'est une chose de voir une conversion de lumière dans une atmosphère, et une tout autre chose que la lumière soit enregistrée et reproduite par une caméra électronique entourée de vide. Cela a servi de dernier mot sur le sujet. Le soleil n'est pas noir, mais il est en effet très chaud et très brillant, malgré l'atmosphère. Je me suis adossé au siège confortable et j'ai apprécié le reste du vol, satisfait de savoir qu'une des théories favorites des contactés marginaux avait été réduite en poussière.»

Concernant une atmosphère sur la Lune et l'absence de vie dessus :

 « Trente-cinq minutes après avoir quitté la Terre, je me trouvais dans le ciel lunaire. Je décidai de tuer quelques instants et commençai une courte croisière à basse altitude pour mettre au repos quelques histoires supplémentaires. Tandis que je survolais les montagnes, les cratères, les ruisseaux et les vallées, je fus impressionné par l'absence singulière de toute forme de vie. Il n'y avait pas de végétation, pas d'insectes, pas d'animaux - juste un paysage aride et desséché, du sable et des rochers à perte de vue.

Les petits cratères étaient en nombre incalculable. Alors que je regardais vers un véhicule habité qui longeait les pentes supérieures d'un mur de cratère bas, une bouffée de poussière attira mon attention. Tandis que je regardais, elle s'éleva à une dizaine de mètres dans les airs et redescendit avec une lenteur anormale, même pour la lune. De plus, elle semblait dériver légèrement en se posant, comme sous l'effet d'une brise. Je laissai tomber mon vaisseau à quelques mètres du sol brûlé, éteignis le bouclier et me mis en vol stationnaire, remarquant comment le nuage de poussière roulait lentement à côté de moi, pour se poser à une vingtaine de mètres au-delà du cratère qui existait maintenant là où un météore venait de s'écraser. Il n'y aurait aucun doute - il existe une atmosphère très fine d'une certaine forme, au moins près du sol.

Lorsque la poussière commença à retomber sur la coque du vaisseau, je décidai qu'il était temps de partir, tandis que mes amis korendiens attendaient mon arrivée. Reprenant mon ancienne altitude, je fis pivoter le vaisseau et me dirigeai vers Platon, guidé par les balises émettrices régulièrement placées le long du chemin. Quelques minutes plus tard, j'arrivai à un endroit familier et m'arrêtai un instant pour regarder avec émerveillement. Directement à ma droite, sur le flanc d'une montagne, une immense fenêtre en verre sans reflet surplombait le paysage à la fois grotesque et charmant. Je me souvenais de ces précieux moments, il y a près de huit mois, lorsque j'avais passé quelques minutes extatiques seul avec ma charmante dame des étoiles, Astra Lari, à contempler les merveilles des cieux et de nos propres émotions. Avec cette agréable pensée en tête, je glissai sur le sol de Platon. Deux minutes plus tard, j'étais au-dessus de l'ouverture des hangars souterrains. »

D'après cette page de Terrakor écrite par Bob.

Une troisième visite plus intensive de la base lunaire de Platon a été effectuée en 1987 par Bob, dont un compte-rendu est donné ici, en plusieurs pages web.

On dit que lorsque les habitants de Korendor se sont lancés dans des voyages interstellaires, ils ont trouvé des civilisations à tous les stades de développement, de l'âge de pierre à celles de la super-technologie. Il y a environ 300 années terrestres (il est facile de mélanger les années Korendiennes avec nos années terrestres dans le texte), ils ont noué des relations avec 30 civilisations « proches d'eux ». Et ils ont vite découvert qu'il était possible de voyager dans le « sub-espace », comme ils l'appellent ici – où les premiers voyages au fil des années pouvaient désormais être effectués en quelques secondes !

Au-delà de leurs rêves les plus fous ! Mais ils ont perdu des navires en apprenant cela, admettent-ils. Ils affirment avoir expérimenté cette technique pendant environ 15 ans (probablement leur année – plus de 60 années terrestres).

Et ainsi, ils purent enfin se lancer dans de nouveaux voyages dans l’espace – entrant en contact avec de nouvelles sortes de personnes – mais découvrant également que tous leurs cohabitants dans l’univers ne partageaient pas leurs points de vue et leurs habitudes.

Il raconte qu'ils ont été accueillis par des armes lorsqu'ils sont arrivés sur une planète de la région d'ORION et qu'ils ont été attaqués avec des armes thermiques - mais les Korendiens n'ont perdu aucun vaisseau. Après cela, ils ont évité cette région de l'espace.

Après 50 ans de voyage spatial, leur réseau de contacts comprenait des milliers de planètes.

Grâce à cette nouvelle technologie, ils pourraient explorer un rayon de plusieurs milliers d'années-lumière et ainsi comprendre l'infinité des variations de la vie. Toute magnificence.

L'écosystème universel a été introduit à cette époque et, en une décennie, la plupart des planètes sur leurs « routes commerciales » l'avaient introduit. Mais ces nouvelles régions d'activité d'échange avec tant d'autres planètes ont représenté une charge lourde pour les ressources naturelles de Korendor, admettent-ils, et ils mettent donc en garde contre cela lorsque nous aurons à l'avenir autant de « nouveaux marchés cosmiques/galactiques ».

Citation : « Nos sondes au cœur de notre galaxie ont continué, et nous avons eu tendance à nous concentrer sur un « faisceau » de voyage plutôt étroit vers le noyau. Alors que nous nous approchions de cet endroit impressionnant, nous avons rapidement découvert la rareté des nouveaux mondes et des nouvelles civilisations, nous nous sommes éloignés de nos chemins habituels et avons littéralement trouvé des milliers de mondes… avec de nouvelles races d'êtres d'une diversité qui nous a vraiment laissés en admiration devant la capacité des dieux à adapter la vie … »

Les Korendiens ont donné à Bob Renaud une liste de 75 étoiles connues de la Terre autour desquelles orbitent des planètes avec des civilisations connues, décrivant succintement la civilisations installées. C'est une sorte de dictionnaire stellaire. Voici ces documents :

Lien 1 : étoiles 1 à 20
Lien 2 : étoiles 21 à 40
Lien 3 : étoiles 41 à 60
Lien 4 : étoiles 61 à 75

Bob Renaud donne la précision suivante concernant la vie sur le plan physique sur les autres planètes de notre système, quand d'autres contactés en parlent :

« En général, les références à des « planètes locales » telles que Vénus et Saturne sont fausses. Comme notre science l’a clairement démontré, aucune de ces planètes n’abrite de vie indigente et elles sont totalement hostiles à toute forme de vie reconnaissable.

L'exception est Mars, qui dispose d'une importante installation souterraine pouvant accueillir jusqu'à un million de personnes, avec une population permanente d'environ 135 000 personnes. Ces personnes ne sont pas originaires de Mars. L'installation est principalement destinée à la recherche scientifique et aux conférences de la Confédération. L'Alliance l'utilise également à intervalles irréguliers et elle est considérée comme un « terrain neutre », où les intérêts et les besoins de la science l'emportent sur les différences politiques et idéologiques. »

A noter que puisqu'il ne parle que de la vie sur le plan physique, cela n'exclue en rien la possibilité de vie sur le plan astrale sur certaines planètes de notre système.


Arkay parlant des mondes purement spirituels sans technologie : « Existe-t-il des mondes qui se sont développés uniquement sur une base spirituelle ? Oui, il y en a, bien qu'ils soient très rares. En général, ces mondes appartiennent à deux catégories de base (beaucoup appartiennent aux deux types à des degrés divers) :

• Ils bénéficient de conditions de vie presque idéales et ne présentent aucun danger physique ou considération environnementale important qui nécessiterait la création de mécanismes de protection ou de blindage.

• Leurs planètes sont pauvres en minéraux et en métaux nécessaires aux avancées technologiques et n’ont donc aucun moyen de développer une technologie significative.

Étant donné qu'ils n'avaient aucun besoin critique de développer la technologie, ils étaient libres de poursuivre les aspects spirituels de l'existence. Il existe des mondes très avancés avec des êtres bien au-delà de notre niveau spirituel. Certains sont de nature purement spirituelle (un parallèle approximatif serait les Organiens de la série originale Star Trek).

Cependant, le développement spirituel ne signifie pas nécessairement une compréhension de l’univers et de la nature. Leur état spirituel peut être époustouflant, mais leur ignorance des aspects physiques de la création est profonde.

Parce qu'ils n'ont jamais développé de science, ils ne peuvent même pas saisir les concepts scientifiques les plus élémentaires, comme la structure atomique de la matière. Leur compréhension de la nature de leurs étoiles mères et des lumières dans leur ciel nocturne est pratiquement inexistante. En général, ils acceptent leur existence et ne les étudient pas réellement.

[...]

On dit que certains êtres extrêmement avancés peuvent « téléporter » leur esprit et, dans quelques cas, leur « corps » spirituel. Cependant, il n'existe aucun exemple connu d'un être capable de se transporter sur des distances interplanétaires, et encore moins interstellaires. Aucun monde où le seul progrès a été dans le domaine spirituel n'est devenu une culture voyageant dans l'espace.

L'Alliance connaît l'existence de tels mondes, mais en accord avec la Confédération, nous entretenons avec eux des contacts très limités. Nous ne souhaitons pas leur poser des problèmes qu'ils ne peuvent tout simplement pas résoudre. Les visiteurs venus des lumières du ciel et les merveilles technologiques qu'ils apportent dépassent leur entendement. »

Robert Renaud est devenue le petit-ami de Astra-Lari, une Korendienne, avec qui il s'était lié d'amitié, et qui travaillait dans la base souterraine du Massachusetts. Il la voyait souvent là-bas. Après qu'il lui ait été donné un vaisseau personnel stationné dans cette base, ils sont partis au moins une fois en voyage personnel Astra et lui sur la Lune. Ils se voyaient peu, car seulement aux occasions où il était emmené à une rencontre physique. Même si elles furent nombreuses, cela ne sera jamais assez au goût des amoureux bien sûr.

Mais c'est aussi plus qu'une anecdote car Robert Renaud raconte sur son site web Terrakor qu'il a pu aller visiter la planète Korendor elle-même pendant 2 jours, du 5 au 7 mars 2007, en compagnie de son amoureuse. Ils sont un couple, mais qui peut se voir de façon épisodique et avec des conditions un peu strictes, et il a la promesse qu'à l'issue de sa vie physique de terrien, il pourra aller vivre avec eux dans leur monde et partager une vraie vie de couple là-bas avec son amoureuse.

Son voyage de 2 jours sur Korendor, ultra-détaillé, est disponible sur son site web Terrakor. Cela montre aussi que son contact continue encore à notre époque, en 2007 il était toujours actif, presque 50 ans après. Robert Renaud devait avoir dans les 64 ans à ce moment-là.

Voici le début de ce récit :

« Des plans ont été élaborés et une histoire de couverture a été concoctée qui m'amènerait à Korendor pour une réception "diplomatique" et une visite de la ville de Vrell.

L'heure dite arriva, 1 heure du matin, le 5 mars 2007. Un instant, je me tenais debout sous le ciel de fin d'hiver éclairé par la lune, et l'instant d'après, je sortais d'un portail à bord d'un vaisseau qui m'était complètement inconnu. Au-delà de la ligne de sécurité sur le sol, m'attendaient la toujours charmante Lin-Erri, le Maître Kalen-Li RETAN et le non-pareil mathématique des Korendiens, Orii-Val. Leurs expressions m'indiquaient silencieusement leur approbation et leur soutien.

[…]

Nous quittâmes la salle des portails et longeâmes un couloir qui suivait les contours du périmètre extérieur du vaisseau. Je m'arrêtai à une fenêtre d'observation pour regarder la Terre se réduire à un petit demi-disque bleuté, puis disparaître sous la lumière du soleil. Il me vint à l'esprit que, malgré tous mes voyages dans les confins de l'espace, c'était la première fois que j'allais aussi loin en vaisseau spatial. Habituellement, cela impliquait un transfert rapide par portail et, comme par magie, j'étais là. La sensation était à la fois exaltante et troublante en raison du sentiment d'isolement profond que procure le fait d'être entouré de néant.

[...]

Je m'arrêtai à la fenêtre suivante et regardai le reflet qui me fixait, le visage saisissant de Korendien.
« Pas de temps perdu à faire le changement, je vois. Je ne l'ai même pas remarqué. »
« Il n'y a aucune raison pour que vous l'ayez fait. Vous êtes parfaitement adapté à la forme. » Nous tournâmes à droite, dans une courte allée qui débouchait sur le pont de commandement. Trois personnes, deux hommes et une femme, étaient assis à de longues consoles disposées en demi-cercle autour de la plate-forme surélevée du poste de commandement. Le pilote, une femme d'une beauté époustouflante, a hoché la tête pour saluer notre arrivée et nous avons traversé la pièce jusqu'à un canapé segmenté qui occupait la moitié du mur derrière la zone de contrôle.

Une fois assis, le pilote annonça que nous approchions du site de saut. J'observai sur l'écran visuel une grille superposée s'alignant sur un cercle vert projeté au milieu de l'écran. « Acquisition terminée. Saut dans cinq… quatre… trois… deux… un… » Tandis qu'elle prononçait « zéro », j'éprouvai une sensation fugace de choc électrique, à peine perceptible.

Sur l'écran, à gauche de la sphère brillante de Korena, la minuscule tache blanchâtre qu'était Korendor commença à s'agrandir pour former un disque. Je regardai mes compagnons et vis en eux la même impatience qui m'envahissait.

[...]

Une question m'est venue à l'esprit. « Ces sites de saut semblent être bien éloignés des destinations finales. Pourquoi ? »

Orii a pris la parole. « Lors d'une entrée ou d'une sortie dans un sous-espace, l'équivalent d'une annihilation ou d'une création de matière se produit dans l'espace normal. Cela provoque une distorsion inévitable du continuum espace-temps dans la zone entourant l'événement. De plus, l'équipement utilisé pour effectuer le saut crée un large champ d'énergie qui s'est avéré destructeur pour les systèmes de communication et d'alimentation non protégés. L'effet varie comme le carré de la masse du vaisseau effectuant le saut.

« Plutôt que de tenter de protéger les systèmes électriques et électroniques d'une planète entière, nous avons choisi d'établir des points de saut spécifiques et immuables bien en dehors du plan orbital. Cela nous permet également de créer des bases de données standard pour les ordinateurs de guidage, plutôt que de recalculer l'itinéraire à chaque saut. Même avec nos ordinateurs, cela implique un travail de calcul chronophage, comme vous dites. C'est plus facile de cette façon. De plus, la brève sensation que vous avez ressentie pendant que nous sautions était due au champ de stase qui suspend toute activité biologique pendant le trajet. L'effet de la distorsion spatio-temporelle est aigu à l'intérieur du vaisseau et perturbe notre perception et nos processus de pensée. Plutôt que de risquer des erreurs dues à des jugements erronés, nous devrions, disons, nous figer pendant toute la durée du saut et faire confiance aux ordinateurs.

[...]

Nous tournâmes notre attention vers l'écran tandis que les zones continentales de Korendor se résolvaient sur l'image. La planète occupait maintenant toute la vue. Nous ralentissions alors que nous approchions de la frange de l'atmosphère dense. Depuis la console du pilote, des messages et des réponses crépitaient entre notre vaisseau et le contrôle au sol.

Un petit cordon d'éclaireurs nous accueillit et forma une escorte pendant notre descente. Une réception royale, pensai-je. Kalen dit : « Nous traitons chaque ambassadeur avec beaucoup d'honneur et de courtoisie. C'est la première fois que nous avons une véritable opportunité de vous souhaiter la bienvenue officiellement. »

Sur l'écran, les flèches et les dômes de Vrell City se dressaient à l'horizon. Et dans cette grande ville, il y avait un être précieux qui attendait mon arrivée.

[...]

 Tandis que nous parlions, j'étais impressionné par ces gens, non pas à cause de leur rang élevé, mais plutôt parce que malgré leur importance, ils nous rencontraient, Astra et moi, sur un pied d'égalité, amicalement. Avec mes maigres connaissances, j'aurais eu de la chance d'être autorisé à balayer les sols, mais cela ne leur importait apparemment pas le moins du monde. Que ce soit en raison de leur déférence envers moi en tant que visiteur à Korendor, ou simplement de leur capacité illimitée à faire en sorte que tout le monde, aussi important soit-il, se sente le bienvenu et désiré, j'étais complètement à l'aise. Le peuple Korendien n'a jamais cessé de m'étonner et de me fasciner. »

On note que non seulement Robert Renaud a été téléporté depuis chez lui par un portail vers le vaisseau de voyage, mais aussi que sa forme physique a été en même temps modifiée par action sur la reconstitution de la matière afin qu'il ait un corps de Korendien, indispensable pour pouvoir vivre dans le vaisseau et sur la planète Korendor dont les conditions physiques ne sont pas les mêmes. Il ne s'était même pas rendu compte qu'il avait été "reconformé", converti par le portail, avant de voir son visage de Korendien se refléter dans une vitre. A peine arrivé dans le vaisseau, le temps d'aller au poste de pilotage, ils arrivaient sur un site de portail de saut dans l'espace qui les a amené instantanément près de Korena leur étoile, à 411 années lumières de distance.

Plus tard, sur Korendor, il apprend qu'il a été converti dans l'apparence physique d'un jeune et beau Korendien, un corps Korendien ayant été conçu pour lui par leurs techniciens appelés "transtechs". Il avait choisi un nom korendien, "Kal-Thar", depuis longtemps, et est appelé ainsi là-bas.

Dans un extrait on voit que son cerveau a été reconformé lui aussi, pour parler le korendien comme langue maternelle, et il ne comprend même plus l'anglais, sa langue maternelle, qui lui paraît extraterrestre. Dans cet extrait il converse avec une intelligence artificielle qui contrôle la maison de sa compagne Astra avec qui il réside, c'est l'ordinateur qui parle :

« Pas du tout. La communication orale est contrôlée au niveau du sous-système. C'est une fonction secondaire, quand je n'ai rien de plus urgent à faire pendant un moment. En fait, je parle couramment plus de trente mille langues, dont plusieurs dialectes terriens. Seriez-vous intéressé d'entendre l'anglais dans votre voix terrienne ? »
 « C'est une pensée fascinante », dis-je, impatient d'entendre à quoi je ressemblerais sur Terre. L'ordinateur parla pendant environ quinze secondes. C'était étrange et grave, et bien sûr je n'en compris pas un mot.
« Alors c'est moi », demandai-je à moitié quand il eut fini.
« C'est vous, ou plutôt vous dans votre habitat natal. En ce moment, vous parlez couramment le korendien, et votre langue maternelle, comme vous pourriez dire, vous est étrangère, comme le sera notre langue lorsque vous reviendrez sur Terre. »

Lors d'un accueil officiel pour une communication publique l'ambassadeur de Korendor indique quelque chose qui permet de comprendre que comme souvent, les contactés sont des âmes incarnées de la civilisation qui mène le contact des "starseeds" comme on le dit maintenant :

« Mes frères et sœurs, en tant qu'ambassadeur itinérant auprès des planètes qui cherchent à adhérer à l'Alliance, j'ai accueilli de nombreuses personnes de nombreux mondes lors d'événements comme celui-ci. Mais ce soir est unique pour trois raisons. La première raison est que Kal-Thar, notre invité de la Terre, est la première personne honorée de cette manière provenant d'un monde qui n'a pas encore été formellement approché avec une offre d'adhésion à l'Alliance. C'est ce que son peuple appellerait un événement « révolutionnaire ».

« La deuxième singularité est que Kal-Thar est un descendant de la première expédition Korendienne sur Terre qui est arrivée sur son monde en l'an 970 après J.-C. Par conséquent, il est de la lignée Korendienne. »

Un cri de stupeur et de crainte agita les auditeurs lorsque l'impact de la déclaration de Dal-Tren se fit sentir.

Lorsque le public fut de nouveau silencieux, il continua : « Le troisième événement, et à mon avis le plus merveilleux, est que cet après-midi, peu avant de quitter ma maison pour venir ici, j'ai eu le plaisir et l'honneur de donner ma bénédiction aux fiançailles de Kal-Thar et de ma fille bien-aimée, Astra-Lari. »

Comme un seul homme, tous les gens présents dans la salle se sont levés et ont fait une ovation tonitruante qui a duré plus d'une minute. Astra et moi étions debout, main dans la main, nos cœurs débordant de l'amour que son peuple nous témoignait. Des larmes de joie mouillaient ses yeux, et j'ai eu du mal à retenir les miennes. Les grands garçons ne pleurent pas, dit-on.

Il sera dit à Bob Renaud qu'il est de la lignée Korendienne de "Derek".

On y apprendu aussi que Bob Renaud a un implant de communication qui lui a été mis et permet de pouvoir échanger à distance par la pensée :

Astra-Lari dit à Bob : « Et n'oublie pas qu'avec ton implant et ton ordinateur, tu n'es qu'à une pensée ou une frappe de touche. » Cela me donna le réconfort dont j'avais besoin. Ma vie dans le réseau d'implants MassCom et mon accès immédiat à leur système informatique effaçaient les années-lumière.»

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La fin de son voyage se conclue ainsi, indiquant que c'était aussi la dernière de ses communications personnelles de contact avec les Korendiens pour la Terre, et en effet sur son site il n'y a rien de plus depuis (nous sommes en 2025 quand j'écris ces lignes) :

Alors que j'écris ce récit deux ans plus tard, les souvenirs de notre union sur Korendor et du début de notre vie commune restent très clairs. Jamais deux personnes n'ont été aussi heureuses.

Avant que quelqu'un ne le demande, aucun enfant n’est prévu pour le moment. Le processus de conversion par portail présente des risques inacceptables pour les femmes enceintes et leurs bébés, et est donc interdit. Lorsque ma vie sur Terre sera terminée et que je serai enfin libre de ne faire qu’un avec le peuple de Korendor, nous aurons amplement le temps de fonder notre propre petite famille. Nous sommes satisfaits l’un de l’autre pour l’instant.

En conclusion, à moins qu'un événement ne survienne qui l'exige, ce sera le dernier de mes enregistrements de contacts personnels. Grâce aux fichiers TerraKor, l'Alliance et les Korendiens disposeront d'un moyen permanent de communiquer avec les hommes de la Terre. Cependant, le temps de l'écriture d'expériences personnelles est révolu. Cela n'a plus d'utilité.

Que l'Infini vous guide sur tous vos chemins. Allez dans l'amour et la lumière, mes frères et sœurs de la Terre.

Pendant trois ans, un gentleman Korendien qui a choisi de s'appeler ArKay a fourni une série de 21 communications informatives et détaillées sur des sujets allant du gouvernement de l'Alliance des Mondes Unis à l'histoire Korendienne en passant par de nombreux problèmes auxquels notre petite bille bleue est confrontée dans l'espace. Bien que certaines des informations qu'ils contiennent ne soient plus applicables dans le monde d'aujourd'hui, ils servent d'introduction aux Korendiens et à l'Alliance des Mondes Unis.

« Permettez-moi maintenant de me présenter. J'ai choisi le nom "ArKay", qui n'est rien d'autre que la prononciation des initiales du nom que j'utilise lorsque je suis présent parmi vous. Si cela peut vous aider à comprendre mon travail, vous pouvez le considérer comme l'acronyme du titre, "Représentant de Korendor".

J'ai été choisi pour servir de « liaison » entre mon peuple et le vôtre, tout comme Bob Renaud l'a été depuis notre premier contact avec lui en 1961. Maintenant, après 27 longues années passées à servir de source exclusive d'informations sur l'Alliance des Mondes Unis et mon peuple, nous avons accepté sa demande de commencer cette nouvelle ère de communication plus directe avec votre monde.

Pour établir cela, je suis devenu, pour ainsi dire, le « symétrique » de Bob de notre côté. Tout comme il a été votre seul accès à nous, je serai désormais notre principal « canal » pour vous. Si des questions doivent recevoir une réponse ou des informations doivent être présentées, ce sera un privilège pour moi de le faire.

Bob continuera bien sûr à être activement impliqué dans nos opérations sur Terre, mais c'est un honneur pour moi de fonctionner comme « l'intermédiaire » par lequel tous vos peuples pourront avoir accès à nous, avec l'aide compétente de Bob.

Permettez-moi maintenant de vous délivrer un « avertissement équitable ». Si vous anticipez le type de message délivré par d'autres canaux, alors ce qui va suivre ne vous concerne pas. Si vos attentes sont mystiques ou psychiques, n'allez pas plus loin. Nous soutenons pleinement le travail de ceux qui délivrent de tels messages, mais ils ne sont pas au centre de nos intérêts. Si vous voulez que vos extraterrestres soient des êtres parfaits, semblables à des dieux, alors nous, qui ne sommes qu'imparfaitement humains, vous décevrons sans aucun doute.

Si, en revanche, vous vous souciez des événements « en coulisses » qui façonnent actuellement votre société et votre destinée, si vous êtes curieux de la nature de certains de vos visiteurs, alors ce qui est à venir satisfera vos besoins et vous offrira l'illumination que vous recherchez.

Le prologue étant maintenant terminé, je vais utiliser le reste de cette communication pour vous donner un aperçu de l'Alliance et de ses opérations sur votre monde.
Comme je l'ai dit plus tôt, l'Alliance des Mondes Unis est en contact avec vous depuis 1961, bien que notre présence dans ce système ait commencé plusieurs années avant cette date. Au début, notre objectif était d'entreprendre un programme qui vous éduquerait et vous élèverait au niveau nécessaire pour devenir candidat au statut de "Protectorat" dans l'UWA, la première étape du processus menant à l'adhésion à part entière.

A cette époque, nous ne discernions aucun obstacle substantiel à cet objectif. La Confédération (que vous appelez communément la Fédération), bien qu'elle ait été très activement impliquée sur Terre, n'a pas contesté notre présence, mais ne nous a donné ni encouragement ni aide, et nos relations antérieures avec elle ne nous ont pas permis d'espérer une coopération ouverte de sa part.

Il faut expliquer ici que la principale différence entre l'UWA et la Confédération réside dans le niveau d'adhésion à ce que votre peuple appelle les lois de "non-ingérence". La politique stricte et invariable de la Confédération a été de se conformer à ces lois sans exception, quelle que soit la provocation qui nous pousse à agir autrement.

L'Alliance a appris par sa longue expérience qu'une interprétation beaucoup plus souple est souvent nécessaire et a élargi les directives pour permettre des activités sur d'autres mondes qui sont inconnues dans la Confédération.

La situation actuelle de la Terre en est un parfait exemple, comme nous le verrons bientôt. Notre travail ici a créé beaucoup de tensions et de controverses entre nos groupes.

Bien qu'il n'y ait pas d'hostilité ouverte entre nos organisations, il n'y a pas non plus d'autre chose que des relations diplomatiques formelles. C'est la principale raison pour laquelle la présence de l'Alliance n'a jamais été reconnue par la Confédération dans ses contacts avec votre peuple, et pourquoi nous ne corroborerons pas leurs porte-paroles ou leurs communications avec votre peuple.

La Confédération a ses tâches et nous avons les nôtres.

Voici un extrait intéressant du début du premier message de Arkay, qui parle de forces sombres qui ont été laissées s'infiltrer sur Terre par la confédération qui gère le secteur de la Terre :

« Quelles sont donc nos activités sur Terre qui ont généré cette intense division ? Pour répondre à cette question, nous devons maintenant introduire dans la liste des acteurs un troisième groupe, qui au fil des ans (et de son propre gré) est devenu connu sous le nom d'"Omegans".

Historiquement, les Omégans sont les descendants d'un groupe de rebelles qui a vu le jour au sein de la Confédération il y a de nombreuses années. Comme dans toute forme de gouvernement, aussi bienveillante et pacifique soit-elle, il y avait des gens pour qui le pouvoir et la richesse étaient des passions dévorantes. Cependant, les méthodes pacifiques et égalitaires de la Confédération rendaient ces objectifs impossibles à atteindre dans son domaine social et culturel.

Ces mécontents furent donc poussés par leurs désirs insatiables à quitter leurs systèmes. Depuis leur exil, ils travaillèrent au sein de l'infrastructure de nombreuses planètes pour enrôler d'autres personnes ayant des désirs similaires, et leur nombre grandit lentement jusqu'à devenir une force substantielle. À la fin du 18e siècle (la date exacte est inconnue), ils arrivèrent sur Terre.

Bien que ce système solaire soit sous la juridiction de la Confédération, la Terre n'est pas engagée en raison des lois de non-ingérence de la Confédération qui lui interdisent de présenter à votre peuple l'opportunité de se joindre à elle. Votre niveau d'avancement est insuffisant pour permettre le contact complet avec vous qui est un prélude à leur offre.

Ce non-alignement a fait de la Terre un terrain propice aux plans des Omégans. De plus, votre histoire fondamentalement militariste leur a donné un grand avantage, car ils avaient l'intention de manipuler vos instincts guerriers, afin de préparer votre peuple à devenir une force militaire irrésistible capable d'attaquer et de dominer d'autres planètes.

L'invention des armes nucléaires à fission est principalement due à l'influence des Omégans au sein de vos institutions scientifiques et militaires, bien que leur utilisation réelle dans la guerre ait été entièrement de votre propre volonté. En fait, c'est cet événement qui a précipité l'intérêt intense de la Confédération et de l'Alliance pour votre monde, bien que l'UWA n'ait envisagé de véritables programmes sur Terre que des années plus tard.

Après la Seconde Guerre mondiale, la politique des Omégans consistait à empêcher le déclenchement d'une autre guerre majeure, mais à promouvoir de nombreux conflits à petite échelle pour maintenir votre préparation à la guerre pendant que leur apport technologique à votre capacité militaire continuait et devenait plus sophistiqué. Leur arme la plus efficace, cependant, était psychologique.

La principale tactique des Omégans consiste à encourager la méfiance et la haine internationales, afin de maintenir un état de suspicion mutuelle qui empêche les peuples du monde de s'unir dans le bien commun. Rappelez-vous que leur politique est de faire de vous une force militaire puissante et inarrêtable avec laquelle attaquer et dominer les mondes de la Confédération dans de nombreux systèmes.

D'ordinaire, l'Alliance adopte une approche de non-intervention et permet à la Confédération de s'occuper de ses affaires. Cependant, les activités des Omégans ont également été dirigées contre l'Alliance. En fait, leurs attaques contre nous ont conduit à la destruction de leur base sur leur « planète natale », Kaldan, par une force d'invasion de l'Alliance.

Après la déroute réussie de cette base, le Conseil des Maîtres Anciens et d'autres décideurs de l'Alliance ont estimé que l'influence des Omégans avait été écrasée et, comme vous le dites, ils ont baissé leur garde. Ce n'est que plusieurs années plus tard que nous avons découvert que l'installation de Kaldan avait été sacrifiée pour créer exactement l'impression que nous avions reçue.

En fait, leurs organes directeurs ont été transférés sur Terre, qui est maintenant le centre des opérations des Omégans. C'est une mesure très efficace, car votre non-alignement empêche toute organisation extérieure d'intervenir ouvertement dans leurs activités. La vulnérabilité de votre monde à leurs attaques rend également impératif qu'ils ne soient combattus que sur une base clandestine et non militaire.

C'est l'approche de l'Alliance. En opérant dans la « clandestinité », nous sommes capables de contre-attaquer sans les forcer à une confrontation ouverte qui aboutirait inévitablement à la destruction complète de votre monde.

L'un des avantages de notre approche est que, comme les Omégans ont besoin de votre peuple pour leurs objectifs, il est peu probable qu'ils envisagent de vous mettre en danger tant qu'ils ne sont pas confrontés ouvertement. Un autre facteur que je ne discuterai pas pour le moment fait qu'un conflit ouvert avec l'Alliance sur Terre est exactement ce qu'ils ne veulent pas.

[...]

Ces derniers temps, cependant, la Confédération a apparemment commencé à comprendre que le danger posé par les Omégans était trop grand pour l'ignorer et espérer qu'il disparaisse de lui-même.

Des émissaires de leurs Hauts Tribunaux ont contacté les hauts responsables de l'Alliance "sub rosa" pour explorer la possibilité d'un "Accord d'intérêt mutuel" qui conduirait la Confédération à abandonner son opposition aux activités anti-Omegan de l'Alliance et à nous offrir une aide non militaire complète.

En retour, l'Alliance étendrait son égide aux systèmes de la Confédération si des forces hostiles posaient une menace à laquelle elle ne serait pas en mesure de résister. Il y a une résistance nominale dans les rangs élevés de l'Alliance, mais le pacte est attendu sous peu.

Une partie de cet assouplissement de la "ligne dure" de la Confédération est due à sa nouvelle prise de conscience que la Terre n'est qu'une des dix-sept planètes sur lesquelles cette bataille se déroule et que les enjeux de succès ou d'échec sont bien plus élevés que la perte des mondes concernés.

J'ai mentionné plus tôt les Kalrans. Ils sont un autre ennemi majeur de l'Alliance, semblable dans ses objectifs et ses méthodes à ceux des Omégans, mais beaucoup moins civilisés et beaucoup plus agressifs. Apparemment, par intérêt commun (leur haine mutuelle envers l'Alliance), ils se sont vaguement alliés aux Omégans et ont apporté leurs tactiques violentes dans l'arène.

L'Empire Kalran prospère grâce à la guerre. Ils ne se battent généralement pas pour le gain ou le pouvoir, mais simplement pour se battre. C'est dans leur nature de faire la guerre, et ils le font avec une efficacité damnable. Cela suffit à lui seul à nous alarmer, mais les restrictions qui régissent le programme Omegan ici et ailleurs (je les ai brièvement mentionnées dans la première partie) ne s'appliquent pas aux Kalrans.

Laissez-moi maintenant développer ces limites. Elles sont imposées aux Omegans par un puissant groupe extra-galactique que, faute d'un meilleur nom, l'Alliance a surnommé "Le Syndicat" d'après l'organisation criminelle terrienne. Le "Syndicat" a offert aux Omegans son formidable soutien dans notre galaxie, SI ils prouvent qu'ils le méritent. La condition : les Omegans doivent vaincre l'Alliance sur ces 17 mondes ou faire face à l'abandon du Syndicat.

[...]

À l'heure actuelle, une sorte de "gentleman agreement" ténu existe entre le Syndicat et l'Alliance : aucun des deux groupes ne mettra ouvertement en danger l'autre, et le Syndicat ne "renflouera" pas les Omégans s'ils semblent perdre.

Ni eux ni l'Alliance n'ont vraiment envie de tester les capacités de l'autre dans la guerre, et tous deux comprennent qu'une telle rencontre serait extrêmement coûteuse. Cependant, si les Omégans remportent la victoire, le Syndicat les soutiendra avec sa puissance militaire et économique, jusqu'à la fin de la domination des Omégans et du Syndicat sur la galaxie.

C'est cette menace monumentale pour la sécurité de tout ce qu'ils connaissent et aiment qui pousse maintenant la Confédération à repenser ses méthodes.

En bref, la Terre est l'hôte inconscient d'un test interstellaire de puissance et de détermination, pour rien de moins que le contrôle des innombrables milliers de mondes de cette galaxie.

[...]

Les Omégans vous dominent parce que vous n’avez pas adopté un mode de vie et de pensée qui rendrait leur contrôle inefficace. Je dois répéter que la tactique principale des Omégans est de maintenir votre monde en état de préparation constante à la guerre en créant la suspicion, la méfiance et la peur qui contrecarrent toute possibilité d’union pour le bien de l’ensemble.

Les habitants de la Terre ont adopté de leur plein gré les philosophies qui sèment les graines de la guerre et les nourrissent.

Les Omégans sont arrivés pour trouver une condition qui s’accordait parfaitement avec leurs propres plans. Ils n’ont pas déclenché la guerre sur Terre. Votre longue histoire de conflits prouve amplement que c'est une vocation humaine depuis des millénaires.

Ce que les Omégans ont apporté, c'est une manière de faire la guerre basée sur la technologie qui a permis à l'homme de la Terre de s'asseoir dans un endroit sûr et de provoquer la mort de millions de personnes par « contrôle à distance ».

[...]

Les forces d'Omegan, désormais liées par un pacte temporaire de complaisance à une force interstellaire avancée mais impitoyablement militariste connue sous le nom d'Empire Kalran (du nom de leur planète natale), ont atteint un niveau de puissance et de ressources qui dépasse la capacité de la Confédération à les affronter en guerre sans subir de lourdes pertes et des pertes dévastatrices.

L'adhésion légaliste et zélée de la Confédération à la neutralité, sa politique de non-intervention, les a conduits à cet état d'inefficacité et d'impuissance. Il est difficile de les plaindre au vu de ce qui équivaut à une blessure auto-infligée.

[...]

Vous, mes chers frères et sœurs de la Terre, serez leurs pions dans leur jeu d’échecs galactique, et comme de bons pions vous suivrez leur plan de jeu avec enthousiasme et fidélité, convaincus par leurs mensonges et leurs discours que c’est votre destinée de poursuivre votre chemin guerrier vers les étoiles.

Et alors, chers peuples, la vérité vous sera révélée et vous pleurerez pour vos voies violentes et égarées. Et il sera bien trop tard pour autre chose que vos larmes amères et coulantes.

Est-ce inévitable ? NON !!! Vous pouvez commencer dès aujourd’hui, dès cet instant même, à faire une différence. Vous pouvez enseigner les voies de l’amour et de la paix, les mêmes grands enseignements qu’un autre visiteur de votre monde, Jésus-Christ, a autrefois offerts.
»

Voici selon Arkay, des tableaux de données sur les personnels de l'Alliance de Korendor au sol sur Terre, il y a plus de 600 000 agents sur le terrain et 300 000 affectés dans des bases diverses.


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Liens vers des documents plus complets sur ce contact, le tout en anglais :

• Livre complet "UFO contact from planet KORENDOR" publié par Wendelle Stevens, en anglais - format epub: Cliquer ici

Le site web lancé par Robert Renaud lui-même en 2008, toujours en ligne, Hyper fourni et complet, une mine
Terrakor Files :
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☝ Bonne étude de fond complète, résumé de lecture de livres de Robert Renaud :
Galactic.no/rune - Partie 1 :
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Galactic.no/rune - Partie 2
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Galactic.no/rune - Partie 3
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Galactic.no/rune - Partie 4
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Galactic.no/rune - Partie 5
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