VÉNUS – Howard Menger (résumé)

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Sommaire cliquable de liens internes :
Planète d'origine des contacts
Identité du contacté
Époque et lieu du contact
Publication de l'histoire
Comment a eu lieu le contact
Apparence des habitants de Vénus, Mars et Saturne
Description de leur monde et de leur civilisation
  ➳ Description physique
  ➳ Gouvernement
  ➳ Usines
  ➳ Fermes
  ➳ Écoles
  ➳ Cités
  ➳ Maisons
  ➳ Vêtements
  ➳ Familles
  ➳ Travail
  ➳ Religion
  ➳ Repas
  ➳ Énergie
  ➳ Téléportation
  ➳ Télépathie
  ➳ Apprentissage des langues

Extrait 1 : vaisseaux spatiaux
  ➳ Description
  ➳ Fonctionnement
  ➳ Vaisseau électro-gravitique X-1 construit par Howard Menger et ses tests fonctionnels
  ➳ Le HMX-4, engin volant antigravitique fabriqué par Howard en partenariat avec l'armée de l'air
  ➳ Description de l’intérieur d'un vaisseau Vénusien
Extrait 2 : le pourquoi du contact avec la Terre
  ➳ Partenariat extraterrestres/humains
  ➳ Infiltration dans la société humaine
  ➳ Influence des cerveaux humains par des technologies
  ➳ Appareil radiosonde de détection des états mentaux
Extrait 3 : l’aide logistique apportée par Howard aux visiteurs extraterrestres
Extrait 4 : première rencontre avec un engin spatial et photographie autorisée
Extrait 5 : les photographies et leur développement
Extrait 6 : première invitation à monter à bord d’un vaisseau spatial et envol
Extrait 7 : deuxième montée à bord d’un vaisseau spatial et envol – appareil modifié pour moins perturber les photos
Extrait 8 : des témoins amenés par Howard sur demande des visiteurs de l’espace
Extrait 9 : expérience de téléportation par capacités paranormales développées
Extrait 10 : la musique de Saturne
Extrait 11 : analyse des pommes de terre lunaires
Extrait 12 : en orbite autour de la Lune avec d’autres terriens (Howard n’était pas le seul terrien !)
Extrait 13 : autre sortie vers la Lune pour s’y poser et visiter des installations – 10 jours à bord du vaisseau vénusien, vie à bord et cabines (toujours en compagnie d’autres contactés)
Extrait 14 : 30 min aller-retour vers Vénus et vol dans son atmosphère pour voir leur civilisation
Extrait 15 : ceux de la conspiration de l’ombre
Extrait 16 : rencontre avec un grand instructeur spirituel extraterrestre
Extrait 17 : rencontre avec George Van Tassel et reconnaissance télépathique – rencontre de Marla
Extrait 18 : mémoire de vie antérieure retrouvée – Howard Menger était un Saturnien et est arrivé comme walk-in sur Terre (avant que ce terme ne soit inventé)
Extrait 19 : moteur magnétique « à énergie libre » construit par Howard suivant des instructions de l’espace
Extrait 20 : matérialisation d'un véhicule par la pensée de Howard avec un policier et d'autres comme témoins

🔗 Liens vers des documents plus complets sur ce contact

Planète d’origine des contacts :

Ils sont originaires de plusieurs planètes: Vénus, Mars, et en moindre quantité Saturne, entre autres cités (il semble aussi que certains viennent de Jupiter, Howard en parle une fois indirectement). Sur un plan vibratoire plus élevé, du même genre que le plan spirituel sur Terre, qui n'est pas visible pour nous.

Les vaisseaux spatiaux sont vénusiens semble-t-il, mais ils transportent des habitants de Vénus, Mars et Saturne parmi ce qu’a pu savoir Howard Menger. Il est possible que des habitants d’autres planètes encore fassent partie des personnes transportées sur Terre par ces vaisseaux mais Howard n’a mentionné que ces 3 planètes, qui sont manifestement amies et en échange les unes avec les autres.

Howard : « Ceux qui m’ont contacté viennent de Mars, de Saturne, de Vénus, et
vraisemblablement de Jupiter. »

A noter que Omnec Onec parle aussi d'une alliance des "frères de l'espace" dont les peuples humains tout à fait identiques aux Terriens, vivent sur les plans vibratoires plus élevés de Vénus, Mars, Saturne et Jupiter. En parfaite concordance !

Howard dira aussi : « Ils viennent De Mars, de Vénus, de Saturne, de Jupiter, et de quelques planètes à l’extérieur de notre propre système solaire. Certains astronefs viennent d’au-delà de notre système solaire. Et quelques vaisseaux-mères sont venus de lointaines galaxies. »

Identité du contacté :

Howard MENGER est à Brooklyn dans New York, USA, le 17 février 1922. Il passe une partie de l’enfance à New York jusqu’à ses 8 ans, puis dans le New Jersey.

Il fera ses premières rencontres extraterrestres dans la nature du New Jersey à High Bridge, dans la campagne autour de son habitation. Sa première rencontre est une femme disant venir de Mars, en 1932.

De 1932 à 1942 Howard Menger n'aura aucun autre contact. 

Il sera pris dans l’armée à l’issue de son lycée en 1942 et il aura plusieurs rencontres extraterrestres avec des hommes, et une femme qui lui dira venir de Vénus.

De retour à la fin de la guerre en 1945 aux USA, il crée une entreprise de pose d’enseignes qui fait vivra sa famille, lui, sa femme Rose et son fils Eric. Il aura ensuite une fille, Heidi.

Howard Menger et sa femme Rose Menger, discutant avec un groupe à l'extérieur de chez eux à High Bridge
Howard Menger et sa femme Rose Menger, discutant avec un groupe à l'extérieur de chez eux à High Bridge, dans le New Jersey, USA

Il aura à nouveau de nombreuses rencontres extraterrestres dans des lieux isolés, atterrissage de vaisseaux avec sortie d’êtres et rencontres.

Howard raconte ses difficultés personnelles de vie : « Ensuite je subis un deuil et divers autres malheurs. En 1954, le plus âgé de mes fils, Robert, tomba malade. Il avait au cerveau une tumeur cancéreuse. Rose fut une infirmière patiente et aimante, qui lui fut complètement dévouée.

Howard Menger vers les années 1950
Howard Menger vers les années 1950

En septembre 1955, mon plus jeune frère, Alton, fut tué dans un accident d’automobile. Quelques semaines plus tard, ma mère quitta cette terre.

Les bouleversements familiaux ont profondément marqué Howard, lui apprenant l'humilité et la petitesse de l'homme face aux grandes forces de l'univers. À cette époque, il croyait que si les projets des êtres de l’espace étaient réalisés rapidement et avec engagement, le monde s'améliorerait. En octobre 1955, son père, se sentant seul, leur demanda de revenir vivre avec lui.

Une nuit, alors que son fils, gravement malade d'une tumeur, semblait au bord de la mort, une lumière étrange apparut dans sa chambre. Toute la famille la vit avant qu'elle ne disparaisse. Le lendemain, l’enfant était étonnamment en bonne forme et plein de vitalité. Le médecin, stupéfait, parla de miracle. L'enfant n'a pas été guéri de sa maladie, mais a connu un répit. Plus tard, les visiteurs de l’espace expliquèrent à Howard qu’ils étaient intervenus pour l'aider. Bien qu'ils aient cru pouvoir le guérir complètement, leur capacité de guérison était limitée par leur niveau vibratoire plus élevé. Malheureusement, son fils mourra finalement du cancer des os.

La plupart des évènements eurent lieu de 1946 à 1958.

Howard a beaucoup de preuves physiques, il dira (et les montrera !) : « J’ai des films en couleur d’astronefs en train d’atterrir et de décoller, des gens en train d’entrer dans un astronef et d’en sortir. J’ai aussi des photos polaroid. »

En dépit de leurs divergences, sa première femme, Rose, l'a beaucoup soutenu dans ses affirmations extraordinaires. En plus de l'aider à expliquer les détails de ses histoires aux journalistes, elle a même déclaré avoir vu une soucoupe après avoir eu une « forte impulsion » pour sortir, le même genre d'impulsion qui a conduit de nombreuses actions d'Howard.

Howard, Rose et son jeune fils Robert. Ils s'expriment dans cet interview pour témoigner de leur observation d'un vaisseau en forme de cigare observé depuis chez eux à High Bridge dans le New Jersey, USA

Howard Menger se remariera avec Connie en 1958, qu’il reconnaitra comme étant une Vénusienne incarnée sur Terre qui était sa compagne sur Vénus dans leur vie précédente, cause de la rupture de son ménage avec Rose. La femme de Vénus rencontrée en 1932 quand il avait 10 ans, qu’il rencontrera de nouveau en 1946, lui avait dit qu'il rencontrerait une soeur de Vénus incarnée sur Terre appelée Marla et qu'il la reconnaîtrait immédiatement. De fait Connie a pour pseudonyme Marla Baxter en tant que sculptrice. Ils auront un fils en 1959. Leur mariage durera 51 ans jusqu’au décès de Howard. Donc on trouve parfois l’information qu’il s’est marié avec Marla, mais c’est la même personne que Connie !

Howard Menger et Connie/Marla son épouse à partir de 1958
Howard Menger et Connie/Marla son épouse à partir de 1958

En fait Howard aura le souvenir de sa vie passée où il était un Saturnien du nom de Sol do Naro, qui avait épousé Marla rencontrée sur Vénus. Il est arrivé sur Terre en incarnation comme walk-in, en entrant dans le corps en train de décéder d’un enfant appelé Howard Menger, âgé de 1 an. Lui et Marla s’étaient promis de se retrouver sur Terre dans l’incarnation pour reformer le couple qu’ils étaient dans leur vie précédente.

Elle l’aura certainement beaucoup aidé à écrire son livre « From outer space to you » paru en 1959 où il révèlera toute son histoire (racontée ici d’après ce livre), car elle venait d’écrire un an auparavant un roman d’amour avec un saturnien (racontant son histoire avec Howard en fait sous forme romancée), elle était à l’aise avec l’écriture (et lui pas).

Au début des années 1960, Howard et Connie Menger ont trouvé leur vie dans le New Jersey un peu trop envahissante. Les gens campaient sur leurs pelouses et voulaient qu'Howard soit leur « Dieu » au lieu de chercher leur salut à l'intérieur d'eux-mêmes. Le gouvernement fit pression sur le couple en affectant Howard à des projets dont Connie ne pouvait avoir connaissance. Le côté sombre de l'ufologie : des gens avides de pouvoir et cupides sont sortis du bois et ont harcelé Howard et sa famille.

Les Mengers déménagent en Floride. Howard et Connie, ainsi que leurs deux enfants, Eric et Heidi, commencent une vie « loin de tout ». Howard a travaillé pour une entreprise de signalisation, puis a créé sa propre entreprise. Celle-ci a prospéré et est devenue la plus grande de la région. Les Menger ont essayé de rester à l'écart du domaine des OVNI. Pendant 35 ans, ils ont gardé le silence sur de nombreux sujets. Jusqu'à leur nouveau livre de 1991 publié.

Il décèdera à l’âge de 87 ans le 25 février 2009 en Floride aux USA où il avait emménagé depuis plusieurs décennies. Connie décèdera en 2017.

Connie/Marla et Howard Menger, plus âgés
Connie/Marla et Howard Menger, plus âgés

On trouve sur certains sites internet l'information que Howard Menger aurait révélé dans les années 1960 que son histoire était finalement une fraude, ou que les contacts qu'il a eus étaient une manipulation gouvernementale et qu'on l'a trompé. C'est une information que Howard a dû donner sur ordre de la CIA, de faire une dénégation publique car ses propos avaient top d'influence sur l'opinion publique. 20 ans plus tard, quand manifestement la pression n'existait plus sur lui, il a pu révéler que ses propos étaient commandités sur menace gouvernementale et qu'ils étaient faux. Ils sont toujours utilisés par des sites web enclins à débunker l'affaire et vouloir réfuter l'histoire en ayant bonne conscience.

« En 1962, Menger surprend tout le monde en annonçant qu'il quitte le domaine des OVNI et qu'il a été trompé par les extraterrestres. Il affirme que ses contacts faisaient partie d'une expérience de la CIA visant à manipuler son esprit et sa mémoire. Il a également déclaré que certains des extraterrestres ne venaient pas d'autres planètes, mais du futur de la Terre ou de dimensions parallèles. Il s'est installé en Floride avec sa femme Connie, elle aussi contactée, et a mené une vie tranquille, loin des médias.

Cependant, à la fin des années 1980, Menger retira sa rétractation. Il a déclaré que la CIA avait fait pression sur lui pour qu'il nie ses contacts, mais que ceux-ci étaient réels et authentiques.»

Howard continue à clamer la véracité de ses contacts dans le livre publié par lui en 1991 (écrit en 1988) qui reprend toute son histoire et la complète encore.

Il indiquera dans une confidence en 1995 avoir fait des croquis de certaines observations, croquis ensuite pris en photo, pour remplacer certaines photos qui lui ont été volées. Ceci sera utilisé ensuite contre lui pour refaire la vérité en disant que ses photos d'origine sont falsifiées et que c'est un fraudeur. Encore de la déformation de faits avec une intention de debunking.

Les debunkers cherchent à faire oublier à tous que Howard Menger n'a pas été le seul à voir les vaisseaux spatiaux et les voir atterrir au sol et en sortir des gens qu'il a rencontrés. Sa première femme a été témoin, son père aussi. Ils ont témoigné à la radio. Mais ses amis de l'espace lui avaient demandé d'amener de nombreux témoins à diverses occasions pour observer les vaisseaux et atterrissages. Ces témoins étaient des gens de la ville voisine, un professeur d'université etc, et eux aussi ont été témoins et ont parlé dans les médias et confirmé l'histoire vue de leurs propres yeux. On retrouvera plusieurs de ces témoignages dans l'article qui suit. L'histoire d'une fraude est complètement décrédibilisée avec l'existence de nombreux témoins de ces faits, en plus des diverses photos et films sur pellicule réalisés aussi par Howard Menger (à une époque où l'informatique n'existait pas). On a des extraits de ces films diffusés aussi dans l'article.

Époque et lieu du contact :

Essentiellement le contact a lieu dans les années de 1946 à 1958 dans la région du New Jersey. Il habitait à High Bridge, dans une ferme en campagne avec du terrain (l'ancienne maison familiale de ses parents). Les lieux de contact n°1 et n°2 où il recevait des rendez-vous télépathiques ne sont pas précisés mais sont dans les environs.

Emplacement de High Bridge dans le New Jersey, à l'Ouest de New York, USA
Emplacement de High Bridge dans le New Jersey, à l'Ouest de New York, USA
Environs de High Bridge au New Jersey, USA, où résidait Howard Menger dans les années des contacts de 1945 à 1960
Environs de High Bridge au New Jersey, USA, où résidait Howard Menger dans les années des contacts de 1945 à 1960

Publication de l’histoire :

A noter que Connie Menger (la femme de Howard à partir de 1958) avait écrit en 1958 un roman racontant son amour avec un Saturnien (la vie précédente de Howard et Connie sur Vénus), appelé « My Saturnian lover » publié sous le pseudonyme Marla Baxter.

Howard Menger publiera en 1959 son livre récit de ses contacts : « From Outer Space To You » (De l’espace à vous).

C’est ce contenu qui est utilisé pour présenter le contenu de cet article, depuis sa version française « Mes amis, les hommes de l’espace » paru aux éditions Dervy en 1965, traduit par J.P. Crouzet.

Une republication du livre de 1958 de Connie Menger sera fait en 1968 avec un nouveau titre : "The song of Saturn", et probablement du contenu additionnel aussi.

Puis, lui et Connie publieront ensemble « The High Bridge Incident » en 1991, qui reprend les principaux chapitres du livre de Howard de 1959 en 1ère partie, les principaux chapitres du livre de Connie/Marla Menger de 1968 « The song of Saturn », et en troisième partie les résultats de recherche et expériences menées par Howard en terme de propulsion à antigravité (avec son vaisseau électro-gravitique X1), énergie libre (avec son moteur magnétique) et autres provenant de l’aide et connaissances des visiteurs de l’espace. Ce livre est extrêmement intéressant car il est une matière complète recouvrant 35 ans de travail.

Quand exceptionnellement le contenu est repris depuis ce troisième livre « The High Bridge Incident », cela sera indiqué. Sinon le contenu vient du livre de 1959 traduit en français en 1965 pour cet article.

Un dernier livre écrit par Connie et Howard intitulé "Threads of light to you" est paru en 1995 :

"Threads of light to you", paru en 1995, de Howard et Connie Menger

Comment a eu lieu le contact :

Howard MENGER arrive à ses 8 ans dans le New Jersey, et réside avec ses parents dans un bungalow en campagne, sur le terrain d’une ferme. Tout autour ce sont les bois, les champs, la pleine nature. Howard décrit à propos de ces jeunes années pour lui et son frère Alton qui avait 4 ans de moins :

Howard Menger : « Ce fut dans ce cadre pastoral, dans l’extravagance chaude et abondante de juin et de juillet que je commençai à ressentir d’autres sentiments que je ne m’expliquais pas. Je commençai à me rappeler des souvenirs flous de scènes, de lieux et d’événements qui, je ne sais pourquoi, m’étaient familiers, mais hors du cadre de mes expériences réelles. Ils semblaient être d’un autre monde. C’est vers ce moment que nous commençâmes à voir des disques dans le ciel. Nous les regardions glisser à travers les cieux, planer, et parfois disparaître. Mes camarades ne les voyaient pas d’une façon constante, mais on eut dit que je sentais quand exactement regarder. Alton les voyait aussi, et quand nous le disions à nos parents, ils se contentaient de sourire d’un air condescendant, comme devant des envolées de notre imagination. »

Howard Menger raconte une expérience vécue avec son frère lorsqu’ils aperçurent plusieurs objets volants lumineux dans le ciel. Un petit engin en forme de disque, d’environ trois à quatre mètres de diamètre, atterrit près d’eux. Intrigués mais prudents, ils s’approchèrent et remarquèrent un autre engin plus grand flottant au-dessus, semblant les observer. Alors qu’ils tentaient de se rapprocher davantage, l’aéronef le plus grand disparut, et le disque au sol se mit à vibrer avant de décoller à une vitesse fulgurante dans un éclat de lumière. Enthousiastes, ils racontèrent l’événement à leurs parents, mais leur témoignage fut perçu comme le fruit de leur imagination.

Howard Menger raconte une expérience marquante de son enfance en 1932, lorsqu’il était attiré par une zone spécifique de la forêt. Un jour, à l’âge de dix ans, il y fit une rencontre extraordinaire : une femme d’une beauté éblouissante, assise sur un rocher près d’un ruisseau. Elle avait de longs cheveux blonds scintillants sous le soleil et portait une tenue translucide sans coutures visibles. Fasciné et subjugué par son apparence et l’aura lumineuse qu’elle dégageait, Howard ressentit immédiatement une chaleur intense, un amour profond et une attraction inexplicable. La femme lui adressa un sourire bienveillant et l’appela par son prénom, affirmant avoir voyagé de loin pour le voir et lui parler.

Howard Menger se souvient avec précision des premiers mots prononcés par la mystérieuse femme, bien que son esprit ait été submergé par l’émotion. Elle lui parla comme à un adulte, affirmant qu’elle connaissait son origine et sa mission sur Terre. Elle révéla que ses semblables l’observaient depuis longtemps, bien qu’il ne comprenne pas encore leur nature extraterrestre.

Fasciné par sa grâce et la lumière émanant d’elle, Howard écouta ses paroles, dont le sens lui échappait alors, mais qu’il comprendrait plus tard. Elle lui expliqua qu’ils « contactaient les leurs » et que ses paroles resteraient ancrées en lui, comme un enregistrement destiné à se révéler au fil du temps. Certains concepts, tels que fréquence et vibration, étaient incompréhensibles pour lui à cet âge. Tout au long de leur échange, elle souriait, riait et semblait deviner ses pensées avant même qu’il ne les exprime.

Howard Menger ressent une profonde tristesse lorsque son énigmatique interlocutrice évoque de sombres événements à venir, tels que des guerres et des destructions causées par l’incompréhension des peuples. Elle lui assure qu’en grandissant, il comprendra mieux sa mission : aider les autres à découvrir la leur, en accord avec des lois universelles et un certain niveau d’évolution.

Lorsqu’elle se lève, Howard comprend qu’elle doit partir. Elle lui prend la main avec douceur et lui promet qu’il pourra la revoir, mais pas avant de nombreuses années. D’autres comme elle viendront le visiter et le guider. Malgré son chagrin, elle le réconforte en lui rappelant qu’ils seront toujours proches, veillant sur lui.

Avant de partir, il lui demande s’il pourra se retourner pour la voir une dernière fois. Elle acquiesce, et lorsqu’il le fait, elle est toujours assise sur le rocher, souriante et lui faisant signe. Bouleversé, il s’éloigne en pleurant, ses sanglots résonnant à travers la forêt.

Après avoir quitté le lycée en 1941, il a travaillé dans un arsenal dans le Nord du New Jersey pendant plus d’une année. Puis il est entré dans l’armée en 1942. Il a travaillé dans une usine d’équipement pour l’armement dans le Sud-Ouest des USA.

Howard Menger raconte une expérience étrange lors d'un campement près du Rio Grande. Il ressentait souvent la présence d’observateurs invisibles et apercevait des objets volants qu’il identifia plus tard comme des « disques d’observation ». Il garda ces observations pour lui, ne sachant pas si ses camarades les avaient remarquées ou confondues avec des avions militaires.

Quelques jours après son retour, un événement marquant bouleversa sa vie. Alors qu’il marchait, il entendit son nom être appelé sans voir personne qu’il connaissait. Peu après, un homme en uniforme kaki s’approcha de lui et l'appela de nouveau, cette fois par télépathie. Intrigué, Howard se demanda si cet homme pouvait être l’un des êtres venus d’une autre planète que la mystérieuse femme blonde lui avait annoncés.

Surpris par la communication télépathique, Howard ressentit une brève peur avant que l’homme ne l’aborde, lui tendant la main et prononçant son nom. Lorsqu’il lui serra la main, une chaleur intense l'envahit, ravivant en lui des sensations similaires à celles de sa rencontre avec la femme blonde.

L'homme avec qui Howard Menger converse lit ses pensées et confirme sa rencontre passée avec la mystérieuse femme, ajoutant qu'il la reverra dans le futur. Il dégage une sagesse et une bonté extraordinaires, et malgré son apparence de soldat ordinaire, il rayonne d'une présence lumineuse et d'un développement spirituel bien supérieur à tout ce qu'Howard avait connu. L’homme révèle également un certain humour qui surprend agréablement Howard.

Il informe Howard que les Mexicains connaissent depuis longtemps les soucoupes volantes et ont eu des contacts avec leurs occupants, y compris à l’époque des Aztèques. Ces derniers avaient reçu des connaissances avancées sur l’utilisation du son et de la lumière pour produire de l’énergie et faire fonctionner des machines, mais ces savoirs ont été perdus après l’arrivée des conquistadors, qui se concentraient uniquement sur l’or. Les disques d’or rapportés en Espagne contenaient des secrets de lévitation, mais leur usage fut oublié.

L'homme explique que d'autres civilisations avaient aussi bénéficié de technologies pacifiques, mais ces connaissances ont disparu suite à des guerres de conquête. Malgré cela, il assure qu'ils poursuivront leur mission. Enfin, il annonce à Howard que son groupe sera envoyé à Hawaï, où il aura plus de temps pour accomplir certains devoirs, et y rencontrera quelqu'un qui lui donnera de nouvelles instructions. Un autre membre du camp, un officier de l’armée, a également été contacté, mais leurs chemins ne se croiseront pas.

Howard : « Quelques semaines plus tard nous nous embarquâmes pour Hawaï.

Les prédictions du G. I. s’avérèrent remarquablement exactes. Après que l’on m’eut envoyé à Hawaï, comme il l’avait promis, je fus muté des équipages de tanks et transféré au Quartier Général du Bataillon, affecté aux services de rédaction et, comme il l’avait prédit, je travaillai dans un service en rapport avec la Marine. Lorsque nous nous quittâmes, je ne pus m’empêcher de penser que ces gens d’autres planètes semblaient connaître le passé, le présent, et l’avenir. De nouveau il avait lu ma pensée, et souri, terminant notre conversation avec une autre poignée de mains. Puis il continua sa marche.»

Howard, poussé par une impulsion irrésistible, se rend seul en jeep dans une région rocheuse, persuadé qu'il rencontrera un être de l’espace. Malgré l’isolement du lieu, il ressent une excitation intense plutôt qu'une peur.

Lorsqu'il arrive, il aperçoit une silhouette féminine s’approchant à travers les broussailles. C’est une femme magnifique, avec de longs cheveux noirs et des yeux sombres, vêtue d'une tunique translucide rose et d'un pantalon ample. Son apparence élégante et envoûtante frappe Howard, qui ressent à la fois admiration, respect et une forte attraction physique.

Elle lui tend la main et l'appelle par son nom, évoquant chez lui des souvenirs de la mystérieuse femme blonde rencontrée dans son enfance. Leur connexion semble spirituelle et profonde, mais il éprouve aussi une attirance physique qu’il ne peut réprimer. La femme de l’espace perçoit ses émotions et le rassure, lui disant que ce sentiment est naturel et partagé. Elle souligne que son comportement noble est une des raisons pour lesquelles il a été choisi pour ces rencontres et révélations.

Elle continue à lire ses pensées et évoque un épisode de son passé : son intervention pour protéger une jeune Portugaise menacée par ses camarades. Son courage et son respect avaient été remarqués, et la famille de la jeune femme l’avait accueilli chaleureusement. En mentionnant cet événement, elle renforce l’idée que Howard est digne de confiance et « accepté » parmi eux.

Touché par ses paroles, Howard ressent une immense joie, craignant toujours d’être perçu comme inférieur par ces êtres si avancés.

La femme de l’espace confirme à Howard qu’ils l’ont observé de près et qu’ils lui font confiance, promettant de le contacter à nouveau. Elle lui fait des prédictions, annonçant que son groupe sera envoyé à Okinawa entre le 1er et le 5 avril 1945. Percevant son aversion pour la guerre, elle reconnaît ses sentiments admirables mais lui révèle qu’il devra tout de même y participer, même s’il ne comprendra pas pourquoi. Elle le rassure cependant sur sa survie, tout en l’avertissant qu’il échappera plusieurs fois de justesse au danger.

Howard réalise que ces êtres, bien que supérieurs aux humains sur de nombreux plans, restent néanmoins semblables à eux. Sa conversation avec la femme est si captivante qu’il craint de l’ennuyer avec ses questions incessantes. Elle lui dit venir de Mars.

Howard : « La rencontrerais-je de nouveau ? Elle ne put me le dire d’une façon certaine. Au lieu de cela, elle m’expliqua que nous nous rencontrerions peut-être une seconde fois, et j’aurais à deviner d’après mes sensations internes si c’était réellement elle. Soudain, je m’aperçus que le soleil s’était couché. Je contemplai l’horizon, où luisaient encore une centaine de nuances de rouge, puis je la regardai de nouveau. Elle sourit et me tendit la main. Nous nous dîmes au revoir, et je retournai vers ma jeep. Le ciel était noir quand je rentrai au camp.

Comme la jeune femme l’avait prédit, nous débarquâmes à Okinawa dans le cours de la première semaine d’avril 1945, et dans un royaume d’horreur qu’elle avait charitablement évité de me décrire. »

Plusieurs jours après avoir été blessé aux yeux par un éclat d’obus, Howard ressent l’impulsion de quitter son camp en jeep. Il traverse des villages bombardés avant d’arriver dans une vallée préservée, bordée de grottes où des soldats japonais s’étaient réfugiés. Soudain, son sentiment de guidance disparaît, et il se rend compte que la nuit tombe, rendant la situation dangereuse à cause des Japonais encore présents sur l’île.

Il décide de passer la nuit sur place mais est réveillé par une attaque soudaine. Un soldat japonais tente de l’embrocher à travers sa tente, mais Howard parvient à l’assommer avec la crosse de sa carabine. Deux autres adversaires surgissent alors, baïonnettes à la main, l’attaquant de front.

Howard : « Je pensai que je les avais tués tous les trois ; pourtant dans la chaleur du combat j’étais dominé par le sentiment que je ne devais ni leur tirer dedans avec mon fusil, ni les transpercer avec une arme blanche. Je m’assis pendant un moment, la respiration coupée par ce qui venait d’arriver. Je crois que je pleurai de honte, parce que j’avais peur d’avoir tué trois êtres humains.

[…]

J’allais m’accorder le mérite de la victoire quand je pensai soudain aux rencontres que j’avais faites. Alors je réalisai que j’avais probablement reçu une aide, et une aide très habile en effet ! »

Howard est réveillé en sursaut par une voix qui l’appelle plusieurs fois. Il reconnaît ce mode de communication télépathique comme celui de sa précédente rencontre avec un être mystérieux. Poussé par une forte impulsion, il quitte discrètement le camp et retourne à l’endroit de la veille.

Là, il aperçoit un homme grand et bien proportionné, vêtu d’un uniforme kaki, sans armes. Sous la lumière de la lune, il constate qu’il s’agit d’un Caucasien. Malgré les dangers récents, Howard se sent en confiance grâce à une sensation réconfortante familière. L’homme lui sourit et l’accueille par un simple : « Hello, Howard. »

L’homme mystérieux félicite Howard d’avoir suivi ses instructions et évoque les événements tragiques de la nuit précédente. Bien qu’Howard soit troublé par le fait d’avoir tué trois hommes, son interlocuteur semble tout savoir et le rassure en affirmant que cette expérience était nécessaire.

Il explique que si Howard avait découvert plus tôt leur message, il n’aurait jamais rejoint l’armée, ce qui l’aurait mené à être emprisonné comme objecteur de conscience. Or, pour accomplir la mission qui l’attend, il était essentiel qu’il passe par cette épreuve, car un tel passé lui permettra d’être mieux écouté par les autres. Howard commence alors à percevoir la logique pragmatique de ces êtres, alliant sagesse spirituelle et compréhension du monde humain.

L’homme explique à Howard que leurs affiliés sont sélectionnés en fonction de leur psychologie et de leur réaction face au danger, notamment s’ils préfèrent tuer ou être tués. Il affirme que la mort n’est qu’une illusion : seule la coquille physique disparaît, tandis que l’âme apprend et évolue éternellement.

Lorsqu’Howard lui demande son nom, il répond que cela n’a pas d’importance. Troublé, Howard s’interroge sur la réalité de son expérience et craint de perdre l’esprit. Son interlocuteur le rassure avec humour, lui annonçant que des événements encore plus surprenants l’attendent.

Il prédit la victoire des Alliés, expliquant que sans l’intervention des États-Unis, l’Angleterre et la Russie auraient succombé à la supériorité technologique allemande. Il annonce aussi que le Japon capitulera bientôt sous l’effet d’une destruction d’une ampleur inédite, plus terrible encore que Pearl Harbor.

L’homme explique que la puissance destructrice récemment développée sera aussi utilisée à des fins pacifiques, mais surtout pour la défense. Cependant, il met en garde contre son potentiel de destruction totale de la planète. Il souligne que toute violence, qu’il s’agisse du meurtre d’un individu ou d’une destruction massive, est également condamnable. Il ajoute que Dieu ne punit pas directement, mais que les mauvaises intentions finissent par se retourner contre ceux qui les nourrissent.

Avant même qu’Howard ne puisse poser sa question, l’homme lui annonce que la guerre prendra bientôt fin et qu’il sera rentré chez lui pour Noël. Il révèle aussi que d’autres hommes sur l’île ont été contactés, mais qu’ils ignorent l’existence les uns des autres et gardent le secret. Ces contacts se produisent dans le monde entier pour préparer un avenir plus éclairé.

Il prédit un événement choquant qui éveillera l’humanité, bien qu’il suscitera aussi haine et ressentiment. Il insiste sur la nécessité pour l’homme de comprendre son origine et sa mission sur Terre. Howard commence à entrevoir sa propre mission et réalise que ceux qui ont été contactés partagent une compréhension commune du véritable but de l’humanité.

Enfin, l’homme invite Howard à poser des questions sur leur nature et leur mission, précisant qu’il ne pourra pas tout révéler immédiatement, mais qu’il répondra dans la mesure du possible.

Maintenant plus à l’aise, Howard ose enfin poser ses questions. L’homme lui révèle qu’il vient de Vénus et voyage à bord d’un navire propulsé par une force électromagnétique, similaire à celle qui régit les mouvements des planètes et des galaxies. Cette force, d’origine divine, est utilisée pour des fins pacifiques.

Howard s’interroge alors sur le fait que les scientifiques terrestres ne l’aient pas encore découverte. Son interlocuteur explique qu’ils en ont connaissance, mais qu’ils ne savent pas encore l’exploiter de manière pratique. Tant qu’ils risquent de l’utiliser à des fins destructrices, une barrière divine les empêchera d’en percer les secrets.

Après une longue conversation, l’homme annonce qu’il doit partir et qu’Howard ne le reverra plus. Cependant, d’autres poursuivront son instruction, surtout une fois qu’il sera rentré aux États-Unis. Il insiste sur l’urgence de leur mission sur Terre, avant que la planète et sa population ne soient menacées. Avant de partir, il laisse à Howard une dernière énigme : très bientôt, il comprendra le danger dont il parlait.

Howard : « Je quittai cet endroit quelque peu confus et inquiet. Je ne pouvais pas croire qu’il se passait des choses si graves sur notre planète. Quelques jours plus tard quelqu’un pressa un bouton et un enfer incandescent pulvérisa Hiroshima. »

Après avoir quitté Okinawa en octobre, Howard passe brièvement en Corée avant de rentrer aux États-Unis. De retour à la vie civile, il éprouve d’abord des inquiétudes quant à son avenir et à la responsabilité de subvenir aux besoins de sa famille. Après une période de confusion, il décide de créer sa propre entreprise de peinture d’enseignes. Son affaire prospère rapidement, lui permettant de rembourser ses dettes et d’économiser de l’argent. Il mène alors une vie normale et heureuse avec sa famille.

Cependant, en juin 1946, il ressent une forte impulsion à retourner dans la forêt de son enfance, à High Bridge. Il laisse son camion chez ses parents et se rend dans ce lieu familier. Soudain, il est frappé par un intense éclair de lumière et une sensation de chaleur dans la nuque, ce qui le fait sursauter et se retourner brusquement.

Howard assiste à l'atterrissage spectaculaire d'un immense globe de feu au-dessus d'un champ. L'objet, vibrant de couleurs changeantes, ralentit et prend la forme d'un appareil métallique doté de hublots. Il descend lentement et révèle sa structure en forme de cloche, reflétant la lumière du soleil comme un miroir. D'abord paralysé par la surprise et l'incertitude, Howard se rappelle alors ses précédentes rencontres avec des êtres de l’espace et décide d’attendre.

Une porte, d’abord invisible, s’ouvre sur l’appareil, laissant apparaître deux hommes vêtus de combinaisons gris-bleu, aux cheveux blonds longs et à la stature harmonieuse. Peu après, une femme magnifique en sort à son tour, vêtue d’un uniforme semi-transparent aux teintes pastel lumineuses. En la voyant s’avancer vers lui, Howard ressent une émotion intense, comme si un souvenir lointain et profond venait de ressurgir.

Howard reconnaît avec stupeur une femme qu'il avait rencontrée quatorze ans plus tôt. Étonnamment, elle n'a pas vieilli et semble toujours avoir environ vingt-cinq ans. Lorsqu’elle lui confirme qu’elle est bien la même personne, il exprime son incrédulité. Amusée, elle lui révèle qu’elle a en réalité plus de cinq cents ans.

Elle lui explique que la longévité de son peuple vient non seulement de l’atmosphère de Vénus mais aussi de leur mode de vie, en accord avec les lois du Créateur. Elle insiste cependant sur le fait que la longévité n’est qu’un des nombreux bienfaits de leur mode d’existence.

Alors qu'Howard réalise qu’il a grandi et changé depuis leur dernière rencontre, elle lui révèle avec un sourire qu’il a été constamment observé par eux depuis leur séparation.

La femme extraterrestre taquine Howard sur son comportement passé, soulignant qu'il a fait des erreurs, mais sans le condamner. Elle reconnaît qu'il s'est éloigné des enseignements spirituels à cause de son travail et de sa vie familiale. Elle lui rappelle que les lois humaines sont imparfaites par rapport aux lois universelles.

Lorsqu'il lui demande de connaître son avenir, elle refuse, expliquant que savoir trop de choses pourrait freiner son développement personnel. Elle évoque également la réincarnation, affirmant que la mort n’est qu’une transition, mais ne développe pas davantage le sujet.

Elle lui annonce néanmoins de bonnes nouvelles : il fera de nombreuses rencontres qui enrichiront son savoir et son évolution, notamment en technologie, en sciences et en spiritualité. Des hommes de la Terre, guidés par eux, viendront l’aider à former des groupes d’étude. Un groupe de douze personnes sera constitué pour appliquer et enseigner les lois universelles. Parmi ces élèves, certains auront eux-mêmes des contacts avec les extraterrestres, s’ils s’avèrent dignes de confiance.

Elle donne à Howard l’instruction de révéler son histoire après l’été 1957, en utilisant tous les moyens de diffusion possibles, y compris ceux qu’il ne comprend pas. Elle l’avertit des conséquences : il sera cru par certains, mais moqué et rejeté par d’autres, y compris sa famille et ses amis. Malgré cette mise en garde, Howard accepte sans hésitation. Après un baiser sur la joue, elle rejoint son vaisseau avec deux hommes. L’astronef décolle et disparaît rapidement vers l’ouest dans un éclat de lumière.

Après une rencontre marquante, Howard continue son travail avec un nouvel état d’esprit, cherchant à offrir davantage à ses clients. Son commerce prospère de plus en plus.

Un jour, en 1947, un jeune homme à l’allure étrange entre dans son magasin, prétendant être agent immobilier. Après une conversation banale, il invite Howard à visiter un terrain à Pleasant Grove. Là-bas, une femme l’attend dans une voiture. Alors qu’ils discutent des prix des propriétés, l’homme change soudain de sujet et révèle qu’il sait qu’Howard garde secrètes ses rencontres avec ses « frères ». Pris au dépourvu mais pas totalement surpris, Howard réalise qu’il est en présence d’êtres inhabituels.

Howard est conduit par un homme mystérieux qui, après un moment de silence, lui révèle qu’il comprend sa frustration de devoir garder le secret sur ses rencontres avec eux. Il explique que c’est précisément son désir de partager ces expériences qui a fait de lui un choix idéal.

L’homme annonce qu’il ne s’agit pas d’une transaction immobilière, mais d’une visite à un nouveau lieu de rencontre, qu’ils appelleront « lieu n°2 », situé sur une ferme isolée. Il mentionne pour la première fois un danger lié à leurs vaisseaux : leur force électromagnétique peut neutraliser les équipements électriques. Rassuré que cela ne représente pas un danger direct pour les humains, Howard s’interroge sur la nature de cette énergie, et l’homme, lisant apparemment ses pensées, lui explique qu’ils utilisent différentes formes d’énergie omniprésentes dans l’univers.

L’homme explique à Howard que l’un des types de force utilisés par leurs vaisseaux peut être mortel en raison d’un champ électromagnétique qui entoure l’appareil. L’intensité de ce champ, réglée par un bouton de contrôle, détermine la gravité des effets. Il compare le corps humain à un système solaire miniature, où chaque particule est maintenue en équilibre par une force gravitationnelle.

Il illustre le danger en demandant ce qui arriverait si une planète quittait son orbite, avant de confirmer qu’un contact avec un astronef sous forte puissance pourrait perturber l’équilibre des atomes du corps humain, causant des dommages graves, voire des maladies comme la leucémie.

Howard a alors une idée : si cette force peut détruire un corps en perturbant son équilibre magnétique, ne pourrait-elle pas aussi guérir en le rétablissant ?

Howard est de plus en plus fasciné par les révélations de ses compagnons, qui perçoivent son enthousiasme. L’homme lui explique que sur sa planète, ils soignent les maladies en utilisant une force spéciale depuis des siècles, sans recourir à la médecine traditionnelle comme sur Terre. Les maladies y sont rares, et lorsqu’elles apparaissent, elles sont perçues comme le résultat d’un déséquilibre avec les Lois Divines, souvent dû à une mauvaise alimentation. Un sang sain, issu d’aliments naturels et équilibrés, permet au corps de fonctionner parfaitement.

Curieux, Howard demande comment ils traitent les blessures graves. L’homme esquive la question, suggérant qu’il n’est pas encore prêt à comprendre.

Arrivés au « lieu n°2 », Howard s’étonne du temps mis pour parcourir une courte distance. L’homme révèle alors qu’ils n’étaient jamais réellement des agents immobiliers. Par précaution, ils avaient dissimulé leur identité, car des personnes les écoutaient et les observaient.

Howard découvre que ces êtres n’ont pas de noms comme les humains. Pour faciliter la communication, l’homme choisit de se faire appeler L, et sa compagne T. Ils trouvent amusant de s’attribuer des noms et plaisantent avec Howard en lui serrant la main, ce qui lui procure une sensation inexplicable et agréable.

Ils arrivent au lieu n°2, un champ isolé semblable à celui du premier atterrissage. L lui indique un arbre comme point de repère et lui explique qu’il recevra un appel pour sa prochaine rencontre. Il fait aussi allusion à une ancienne expérience troublante d’Howard à Okinawa, prouvant qu’il connaît bien son passé.

Sur le trajet du retour, qui semble plus court, L mentionne qu’ils doivent voyager profondément en Pennsylvanie, sans donner plus de détails. Howard, de son côté, est impatient d’en apprendre davantage sur la propulsion de leurs vaisseaux et leurs méthodes de guérison, mais il sait qu’il devra garder le secret jusqu’en 1957. Dix années d’attente et d’instruction l’attendent encore, avec d’autres rencontres imprévues.

Avant de disparaître, L lui adresse un dernier regard timide et un geste de la main.

Au printemps 1950, Howard rend visite à son beau-frère, qui lui raconte un événement étrange : alors qu’il conduisait avec sa femme près de Pleasant Grove, ils ont vu une boule de feu exploser dans les airs, illuminant un champ. Effrayés, ils se sont éloignés rapidement.

Intrigué, Howard demande à voir l’endroit. En arrivant, il reconnaît immédiatement le lieu n°2, où il avait rencontré L et T en 1947. L’arbre qu’il avait repéré à l’époque est toujours là, mais légèrement brûlé et avec une branche cassée. Howard en déduit qu’un petit disque d’observation a peut-être perdu le contrôle et a été détruit avant de causer des dégâts.

Sur le chemin du retour, son beau-frère manifeste un intérêt croissant pour les voyages spatiaux et la vie extraterrestre. Howard réalise que ces sujets, autrefois tournés en ridicule, suscitent maintenant de plus en plus d’intérêt. Il comprend alors pourquoi les visiteurs de l’espace lui ont demandé d’attendre avant de révéler son histoire : le moment n’était pas encore venu.

Malgré son envie de partager ce qu’il sait, Howard reste prudent dans ses paroles, testant les réactions de son beau-frère sans dévoiler son propre rôle dans ces événements. Mais il ressent à nouveau la frustration de garder un secret aussi extraordinaire.

Howard reçoit un message télépathique clair de L, l’invitant à le rejoindre au lieu n° 2. Intrigué par cette communication à distance, il se rend immédiatement sur place et retrouve L, qui lui explique que de nombreux astronefs opèrent au-dessus du New Jersey, de New York et de Pennsylvanie, et que des êtres d’autres planètes travaillent en collaboration avec des humains.

L annonce également à Howard qu’il recevra une formation technique pour des missions futures qui lui sembleront incroyables mais pour lesquelles il sera préparé. Il confirme que l’explosion du disque était bien due à un appareil d’observation hors de contrôle, et que malgré l’arbre endommagé, il sera soigné.

L prévient que d’autres observations d’astronefs auront lieu, notamment au-dessus de Washington, N.J., et que des changements importants surviendront plus tôt que prévu. Il promet à Howard d’autres contacts et enseignements, mais lui conseille de ne pas parler de l’explosion du disque à sa famille.

Après leur séparation, Howard, troublé, passe une nuit blanche, assailli de questions : Qui sont ces êtres ? Pourquoi l’ont-ils choisi ? Comment communiquent-ils ? Quelle est leur technologie ?


Les contacts entre Howard et les visiteurs de l'espace ont continué au fil des années, avec des informations et des instructions détaillées. Howard a été chargé de plusieurs missions, notamment la logistique pour les visiteurs (fournir des vêtements) et a eu de nombreux rendez-vous avec eux, où il a eu l'occasion de voir leurs appareils, les photographier et même de voyager avec eux à bord de leurs vaisseaux. Ces derniers ont aussi apporté des appareils pour atténuer les champs d'énergie qui rendaient les photos floues, bien que les résultats restent imparfaits.

Les visiteurs, principalement venus de Mars, Vénus, et parfois de Saturne, ressemblaient à des humains de grande taille, avec des variations de couleur de peau et de cheveux. Ils ont demandé à Howard de présenter des témoins pour valider leurs apparitions, ce qui a permis à plusieurs témoins de témoigner publiquement, notamment dans des interviews radio.

Howard a aussi été emmené en voyage autour de la Lune, a visité des installations lunaires, et a survolé Vénus. Pendant ces contacts, il a reçu des éveils de capacités psychiques, telles que la téléportation et la capacité de jouer du piano sans apprentissage préalable. Il a aussi développé des capacités télépathiques.

De plus, il a reçu des instructions pour construire un moteur magnétique autonome et un engin volant à propulsion électro-gravifique (X1), qui finira par échapper à son contrôle et disparaître dans les cieux. Ainsi, Howard a été formé et a vécu des expériences extraordinaires grâce à ces contacts.

Un groupe de personnes venues parler à Howard  de ses contacts extratrerrestres chez lui, dans son jardin à High Bridge dans le New Jersey (USA)
Un groupe de personnes venues parler à Howard de ses contacts extratrerrestres chez lui, dans son jardin à High Bridge dans le New Jersey (USA)

Howard se vit confirmer que son instruction continuerait par le biais de nouvelles rencontres et, qu'à son tour, il aurait pour mission de diffuser "les lois de la Sagesse Universelle", afin de sauver la race humaine d'elle-même.

Howard a formé un groupe d’étude spirituelle sous l’impulsion de ses amis de l’espace, réunissant environ quarante personnes chaque jeudi soir chez un couple de Pluckemin, N.J.. Lors de ces rencontres, il partageait ses expériences mais surtout les enseignements spirituels des êtres de l’espace.

Son objectif était d’éveiller la curiosité des membres sur la véritable signification de l’univers, leur origine et leur but sur Terre. Il ne s’agissait pas d’un endoctrinement religieux, mais d’une tentative de faire comprendre que Dieu est omniprésent, omnipotent et omniscient.

Howard espérait ainsi former des enseignants, qui transmettraient ces connaissances à d’autres. Les réunions débutaient à 20 heures et se terminaient vers minuit, suivies d’un moment convivial autour d’un café et d’échanges entre les participants.

Howard Menger chez lui dans une pièce de sa maison de High Bridge dans le New Jersey (USA). Les pièces étaient remplies de monde quasiment tout le temps, une fois qu'il a été connu du public, comme on peut le voir sur cette photo. Des visiteurs venaient sans cesse de partout, tout le temps, pour le voir.
Howard Menger chez lui dans une pièce de sa maison de High Bridge dans le New Jersey (USA). Les pièces étaient remplies de monde quasiment tout le temps, une fois qu'il a été connu du public, comme on peut le voir sur cette photo. Des visiteurs venaient sans cesse de partout, tout le temps, pour le voir.

Howard recevra le souvenir de sa vie antérieure comme Saturnien appelé Sol do Naro, instructeur spirituel, marié à une Marla Vénusienne. Lui et Marla se retrouveront en incarnation sur Terre et se reconnaitront. Il l’épousera, brisant son couple actuel avec Rose.

Dans sa vie précédente comme Saturnien, Howard était un instructeur spirituel des "lois de la sagesse universelle", et c'est pourquoi il a continué ce travail avec les terriens dans son incarnation.

Apparence des habitants de Vénus, Mars et Saturne:

Un récit de Howard rencontrant un visiteur de Mars appelé Suna suggère que leur apparence terrestre peut être modifiée de leur véritable apparence afin de nous êtres vraiment semblable (sur la couleur des yeux au moins).

Howard : « N’importe qui pourrait se faire passer pour un homme de l’espace, surtout quelqu’un capable de communiquer télépathiquement. Il lut immédiatement mes doutes ; sourit ; et puis mon regard fut attiré vers ses yeux. Tandis que je le regardais son oeil droit devint gris très clair, puis de nouveau brun ! Ensuite il fit la même chose avec son oeil gauche.

[...]

Sentant que j’acceptais ce qu’il me disait, il m’expliqua qu’il était sur cette planète depuis quelque temps et qu’il avait pris le teint des hommes terrestres.

[...]

« Je vous ai suivi de loin partout où vous êtes allé : », me dit-il, « et je continuerai. Quand le moment sera venu, je me révélerai à vous et à vos témoins. »

Il dit qu’une photo serait prise, sur laquelle il apparaîtrait avec une foule de gens, et que je pourrais utiliser cette photographie si je le désirais pour mon livre. »

Note : on sait que la couleur de peau est plutôt blanche et l'homme de Mars indique avoir pris le teint des terriens car il est là depuis un certain temps, en référence à sa peau qui a dû bronzer avec le Soleil et ne pas rester blanche.

Menger dit avoir rencontré Valiant Thor en 1957, dans un restaurant de High Bridge, où il s'est présenté comme le représentant d'un conseil interplanétaire qui voulait offrir à la Terre un plan de paix et de prospérité. Menger dit l'avoir reconnu comme l'un des Vénusiens qu'il avait déjà rencontrés, et qu'il avait une marque spéciale sur la poitrine qui prouvait son identité. Menger dit avoir aidé Valiant Thor à diffuser son message auprès du public et du gouvernement, mais que son offre a été rejetée par les autorités.

Voici des photographies de personnes assistant à des conférences de Howard Menger. Sur ces photos, 3 personnes apparaissent qui sont censées être de ces visiteurs de l'espace. La femme blonde et l'homme juste à sa droite sont Jill et Donn (noms utilisés sur Terre, pas leur véritable nom extraterrestre bien sûr) qui sont des visiteurs de l'espace. L'homme le plus à droite est quant à lui Valiant Thor le Vénusien, connu aussi sous le nom de Val Thor, arrivé sur Terre le 15 mars 1957, et qui ira au Pentagone pour discuter avec le président des USA de l'époque, comme cela est connu par d'autres informations de contact extraterrestre. Donc là on a des photos de ces gens :

Jill, Donn (visiteurs de l'espace, Vénusiens et Marsiens probablement) et Valiant Thor de Vénus à droite (plus probablement Marsien de naissance et Vénusien d'adoption au vu de son apparence). Assistant à un exposé de Howard Menger.
Jill, Donn (visiteurs de l'espace, Vénusiens et Martiens probablement) et Valiant Thor de Vénus à droite (plus probablement Martien de naissance et Vénusien d'adoption au vu de son apparence). Assistant à un exposé de Howard Menger.

Dr Frank E. Stranges (parlant de Valiant Thor) : « Peu après son arrivée, avec trois membres de son équipe, il a participé à une « convention » dans l'arrière-cour de la maison de M. Howard Menger à High Bridge, dans le New Jersey.

Nous sommes en avril 1957. Un certain groupe d'individus intéressés par les OVNIs se réunissait ce jour-là. Val et les membres de son équipage, Donn, Jill et Tanyia, avaient revêtu le même type de vêtements que ceux portés par leurs amis terriens. La réunion était très intéressante et ces gens étaient sur la bonne voie.

Il a été consterné d'apprendre la manière indigne dont ces gens ont été traités par la presse. Néanmoins, ces personnes poursuivaient leurs convictions et c'était une bonne chose. Un jeune photographe curieux, August C. Roberts, a pris plusieurs photos, pensant le faire à l'insu de Val. Le photographe semble très troublé lorsque Val tente de lui parler. Pourtant, ce sont ces mêmes photos qui allaient me réunir avec cet homme hors du commun en cette froide journée de décembre.

Tenant le message du Haut Conseil dans sa main, le Président déclare que l'offre de Val d'aider la famille humaine va bouleverser l'économie des Etats-Unis et risque de les plonger dans l'abîme du chaos. En bref, il dit poliment à Val que les habitants de cette planète n'étaient pas prêts à faire face à des conditions telles que celles qui se produiraient si les recommandations de ce visiteur extra-terrestre étaient mises en œuvre. Néanmoins, il fut invité à assister un certain nombre de scientifiques qui travaillaient sur des projets médicaux directement liés aux sciences de l'espace.»

Même scène, autre angle. Val Thor est sur la droite au premier plan, à la conférence de Howard Menger
Même scène, autre angle. Val Thor est sur la droite au premier plan, à la conférence de Howard Menger
  • Les hommes et femmes sont décrits comme grands (de l’ordre de 2m de haut), très beaux, au corps parfaitement harmonieux et bien bâti. Les hommes et femmes de Vénus sont blonds en général (mais certains peuvent avoir été originaires de Mars ou Saturne, qui sont plutôt des bruns de taille plus moyenne, et vivre ensuite sur Vénus, Vénusiens mais pas de naissance)
  • Les hommes et femmes de Mars ont une taille un peu plus moyenne, et ont les cheveux bruns et les yeux noirs.
  • Le seul Saturnien décrit est un homme à la chevelure très longue et brune et la peau très fine et blanche, les yeux noisettes.

La durée de vie de ces êtres est en moyenne de l'ordre de 800 ans selon les informations de Howard.

Représentation de la femme de Vénus que Howard Menger a rencontré à l'âge de 10 ans, sur la couverture de son livre
Représentation de la femme de Vénus que Howard Menger a rencontré à l'âge de 10 ans, sur la couverture de son livre

1) Howard raconte qu'à l'âge de dix ans, en 1932, il a vécu une expérience incroyable en rencontrant une femme d'une beauté surnaturelle. Elle était assise près d'un ruisseau, rayonnant de lumière. Sa longue chevelure blonde brillait au soleil, et son corps délicat était habillé d’un vêtement translucide ressemblant à une tenue de skieur. Howard, stupéfait et figé par l'émerveillement, ressentit une vague de chaleur, d'amour et d'attirance émanant d'elle. Il ne se sentait ni effrayé ni mal à l’aise, mais plutôt comme s’il retrouvait une vieille amie. Le vêtement de la femme semblait d’un matériau unique, brillant et sans coutures visibles. Elle avait une peau translucide, rose pâle, et des yeux opalescents, lumineux. Lorsqu'elle se leva pour s'approcher de lui, chaque mouvement était d'une grâce infinie, et l’environnement autour d'eux semblait briller davantage. Howard n'avait pas encore compris qu'elle venait d'une autre planète, mais il était profondément impressionné par sa beauté et la chaleur rayonnante qu’elle dégageait

2) Howard décrit la scène où deux hommes et une femme sortent d’un vaisseau spatial. Les hommes sont vêtus d’uniformes gris-bleu similaires à des tenues de skieur, sans chapeaux, avec de longues chevelures blondes agitées par le vent. Leur peau est claire, et ils sont de taille moyenne, avec des proportions parfaites et une grande beauté physique. Howard remarque ensuite une femme qui descend du vaisseau. Elle porte un uniforme semi-transparent aux couleurs pastels, qui semble briller. Elle a aussi des cheveux blonds et une silhouette bien proportionnée. Lorsqu’elle le regarde et commence à marcher vers lui, Howard ressent une forte émotion, comme un choc de souvenir, et son cœur commence à battre plus vite.

3) Howard décrit une femme qui lui dit venir de Mars, lors de sa 3ème rencontre : « En m’approchant d’elle je découvris que c’était une fort jolie femme avec une longue chevelure noire et des yeux foncés. Elle avait une sorte de vêtement flottant de teinte pastel. Sous une espèce de tunique flottante rose et translucide, elle portait un pantalon flottant qui ressemblait à un pantalon de pyjama. Elle mesurait environ un mètre soixante-dix. Sa chevelure noire et ondulée tombait par-dessus ses épaules ; sa tunique flottait gracieusement autour de son corps bien proportionné. L’air chaud et moite de cette soirée tropicale semblait caresser ses traits finement modelés. Je m’arrêtai et la regardai avec une admiration sans limites, jusqu’au moment où elle me tendit la main et m’appela par mon nom.

4) Howard décrit deux Martiens lors de sa rencontre avec eux au point de rendez-vous aux USA : « Je fermai la porte de mon auto, me dirigeai vers l’autre auto et y entrai sur l’invitation de deux hommes. Ils ne ressemblaient pas exactement à un homme ordinaire, bien qu’ils étaient de taille moyenne, avaient des cheveux bruns et des yeux noirs, et étaient habillés en costume de travail. Ils devaient avoir remarqué que je le regardais d’un air ahuri, ne fut-ce que du coin des yeux. Aussi ils satisfirent ma curiosité. « Il se trouve que nous sommes des Martiens », dirent-ils. »

5) Autre rencontre de Howard avec des gens de Mars, dans un restaurant : « Quelques jours plus tard, j’allai au Besecker’s Dîner (route 611, en Pennsylvanie) et de nouveau je rencontrai mon ami. Cette fois-ci il était accompagné par un jeune couple. L’homme semblait avoir une vingtaine d’années (plus tard je découvris qu’il en avait 79 !) ; il était de taille moyenne. Ses cheveux étaient coupés court. Sa compagne portait une chevelure blonde rose longue et ses lèvres une trace de rouge. Je découvris plus tard qu’elle était âgée de 69 ans. »

6) Un Vénusien que Howard voit sortir d’un vaisseau : « « Je mis mon appareil photographique dans ma poche, marchai vers lui et serrai la main d’un homme grand et beau, qui avait une chevelure blonde qui tombait sur ses épaules, et qui portait un uniforme d’une seule pièce. »

7) Encore une description d’un autre vénusien sortant d’un vaisseau : « Une porte s’ouvrit et un homme sortit à l’extérieur. Il se tint immobile, sa longue chevelure blonde agitée par le doux vent chaud de l’été. Je pus contempler la magnifique architecture de son corps : ses larges épaules, sa taille mince, ses jambes droites et longues.

Son uniforme qui ressemblait à un costume de skieur recouvrait son corps entier, ne laissant exposées que sa tête et ses mains. Il s’approcha et quand il fut à environ onze mètres je le photographiai. Comme l’autre, je l’avais photographié devant l’astronef lumineux. J’espérais que la photo serait meilleure que la précédente. »

8) Howard décrit sa rencontre avec un Saturnien qui jouait de la musique sur un instrument ressemblant à un piano : « Cet homme n’avait pas l’air étrange, ou guère. Il portait une chemise de laine grossière, comme celle que pourrait porter un campeur, et un pantalon rentré dans des lourdes bottes. Il aurait été assez ordinaire s’il n’avait pas eu des cheveux bruns très longs et bouclés qui descendaient jusque sur ses épaules. Sa peau était fine et blanche, et ses yeux, que je vis quand il me regarda et me sourit, étaient de couleur noisette. Il rayonnait la sérénité et la bonne humeur. »

9) Howard décrit une rencontre faite sur impulsion télépathique pour rejoindre des gens de l'espace à un bar en plein milieu de la nuit, des Martiens : « L’homme était plaisant ; il avait une chevelure brune ondulée, une taille moyenne, un teint rouge de santé, et des yeux souriants. Il me rappelait John Garfield. La femme, elle aussi, avait une chevelure brune ondulée. Ses yeux étaient noirs. Sa peau était claire et de couleur camélia. Elle n’était pas fardée, à part une trace de rouge à lèvres. Elle était petite et svelte ; sa figure était belle et son expression douce. Elle ne parla pas du tout. Lui était Suna, et sa douce compagne, Karma. Tous deux étaient de la planète Mars.»

Petite note sur la pilosité par Howard : « Ils ne sont pas aussi poilus que nous. Dans quelques cas, pourtant, quand une personne de Vénus vient ici, après un court laps de temps, ses cheveux poussent bien plus vite que ceux d’une personne ordinaire de la Terre. Quand ils retournent sur leur propre planète, le phénomène cesse. »

Photo de Marla, dont Howard dit qu'elle ressemble quasiment à la femme de Vénus rencontrée en 1932 puis en 1946, qui lui a dit que Marla lui ressemblerait beaucoup. Ce n'est pas une Vénusienne physiquement, incarnée dans un corps humain, mais quasi identique à une des vénusiennes observées par lui.
Photo de Howard Menger. Il dit que dans le corps actuel sur Terre, il ressemble assez au Saturnien qu'il était dans sa vie antérieure. Le corps est assez ressemblant à ce qu'un Saturnien peut nous apparaître en terme de taille et apparence générale.

Description de leur monde et de leur civilisation :

Howard : « Vénus est une planète légèrement plus petite que la Terre. Elle est au niveau d’évolution où se trouvait la terre il y a des nombreux milliers d’années : jeune et saine, avec des plantes magnifiques, des rivières, des forêts, des vastes étendues d’eau, des montagnes, des collines.

On voit en Californie des endroits qui ressemblent à Vénus. C’est un splendide paradis de plantes. Il y a aussi en Amérique du Sud des endroits similaires à des endroits que j’ai vus sur Vénus. Ils gardent leur planète jeune, belle et saine. Leur atmosphère est très semblable à la nôtre, mais les rayons solaires destructeurs ne peuvent pas la traverser. La population est principalement de couleur blanche et d’un type agréable.

[...]

Les saisons ne sont pas aussi rigoureuses. Par exemple, sur Vénus, comme sur terre, ils ont des saisons, mais la température est généralement la même toute l’année, comme un printemps continuel ; cependant, dans quelques régions, ils subissent des changements de température et des hivers. »

Commentaire personnel :

Il faut garder à l'esprit que comme l'a dit plusieurs fois Howard toute la vie qu'il y décrit n'est pas sur le plan physique. Elle apparaît réelle et physique à ses habitants sur leur plan vibratoire, mais sont dans un domaine fréquentiel qui est du même genre que le domaine spirituel sur Terre et invisible pour le plan physique.

Howard : « Ils n’ont aucun gouvernement officiel. Ils vivent en paix et en harmonie, et tout le monde sait quel est son talent particulier ; ils choisissent leur travail en fonction de lui, et ils aiment leur travail. »

Howard : « Il y a des édifices où ils travaillent ou dans lesquels ils construisent des astronefs ; mais ces édifices sont des endroits magnifiques, qui ne ressemblent pas du tout à nos usines. Ils ne sont pas payés avec de l’argent. Au lieu de cela, ils échangent leurs talents, et tout est partagé proportionnellement à leur talent et à leurs désirs, de sorte que personne ne désire plus quoi que ce soit. Nous travaillons parce que nous devons travailler. Eux travaillent pour servir Dieu. »

Howard : « Les fermes produisent des fruits, des végétaux, des fleurs. Elles n’élèvent pas des animaux de boucherie puisqu’ils ne mangent pas de viande. Les animaux vivent libres et complètent leur cycle de vie d’une façon naturelle. Ils ne sont pas gavés ni produits en excès pour l’alimentation humaine. »

Howard : « Il y a des écoles de sagesse qu’enfants et adultes peuvent fréquenter. Les enfants naissent presque élevés, puisqu’ils renaissent en se rappelant ce qu’ils savaient dans leur vie précédente. Ils appliquent leurs souvenirs dans la vie pratique, pour obtenir du nouveau savoir qui sera utile dans l’avenir.

[...]

La période de formation des enfants est de trois à cinq ans. Un enfant vénusien dès après sa naissance équivaut à un enfant de sept ans sur la Terre.

[...]

Ils ont des écoles communales ou des centres où on leur parle de leur développement spirituel. Presque tout ce qu’ils doivent apprendre est en dedans d’eux-mêmes, et c’est ce que ces écoles essaient de leur faire découvrir. »

Howard : « Ils vivent dans des petites communautés construites dans les forêts à côté des sites naturels. Ils ne rasent pas le pays de tous ses arbres et arbustes pour construire des maisons. Leurs agglomérations ne contiennent pas plus de quelques milliers d’habitants. Ils sont décentralisés. »

Howard : « Sur Vénus, les maisons sont en forme de dômes et semi-translucides pour que la lumière pénètre. Quelques-uns des immeubles ressemblent à nos propres architectures modernes fonctionnelles. »

Howard : « Sur Vénus et quelques planètes, les femmes portent des robes flottantes en forme de tuniques de couleur pastel, qui ne descendent pas au-dessous de leurs genoux. Quelques-unes n’ont pas de manches. D’autres ont des manches longues et amples. Leur taille est parfois ceinte d’une ceinture ornée de joyaux. Les femmes ne portent ni bandeaux, ni gaines, ni sous-vêtements serrés. Les vêtements sont confortables, aérés, flottants, et mettent en valeur les contours du corps féminin.

Les hommes portent un pantalon genre pantalon de ski, translucide et doux, pareil à du nylon. Les vêtements masculins et féminins s’adaptent à la température du corps de façon à les maintenir au chaud ou au frais selon la température. Hommes et femmes portent des chaussures du genre sandales. »

Howard : « Quand deux êtres sont parfaitement unis, ils restent ensemble aussi longtemps que leur désir et leurs progrès mutuels continuent, parfois pendant des nombreuses vies successives. Ils créent des enfants, qui sont aimés par tout le monde. Leurs enfants sont formés très tôt. Leur système social est communautaire. Ils partagent les bienfaits de la vie. Mais, s’ils le veulent, ils peuvent s’isoler et avoir une vie privée, aussi souvent qu’ils le désirent.

[...]

Les enfants sont nourris au sein pendant quelques mois, puis avec des aliments naturels, tels que des fruits et de la pulpe de végétaux. On ne leur donne pas de lait d’animal. »

Howard : « Il n’y a pas de travail tel que nous le connaissons. Ils ont des mécanismes et des appareils complexes qui font le travail vite et efficacement. Tous les autres travaux sont volontaires et accomplis avec amour. Tous les produits sont partagés. Ils ont des immeubles où les gens vont faire ce qui est nécessaire. »

Howard : « Leur religion, ou, plus exactement, leur façon de vivre, consiste à servir Dieu, et à obtenir plus de savoir, pour qu’ils puissent servir Dieu le mieux possible. Jésus était l’un d’eux, arrivé au plus haut degré de développement. »

Howard raconte sa rencontre avec deux hommes de Mars lors d'un rendez-vous aux USA, qui l'emmènent dans un restaurant. Il constate qu'ils ne consomment ni viande ni plats carnés, privilégiant plutôt des végétaux, des jus de fruits et du café noir, ce qui lui suggère un jeûne d'inspiration naturelle. L'un d'eux lui explique que leur régime n'est pas religieux mais fondé sur une loi naturelle, considérant les règles alimentaires humaines comme des interprétations erronées. Ils insistent sur le fait que l'alimentation doit contribuer à la santé et montrer de la considération envers les animaux inférieurs. Ils conseillent ainsi de remplacer progressivement les viandes rouges par le poisson et la volaille, puis d'éliminer ces dernières pour finir par se passer de viande, grâce à des végétaux riches en protéines, comme ils l'ont déjà fait sur leur planète.

Howard explique que les "amis de l’espace" utilisent une approche très différente de celle des humains pour manipuler l'énergie. Plutôt que de produire des électrons de manière artificielle à l'aide de forces brutales, comme le font les humains pour alimenter leurs machines, les êtres de l'espace extraient l'énergie des électrons déjà présents dans l'atmosphère, en exploitant la force entourant chaque électron. Cette méthode leur permet de produire de l'énergie à très faible coût, utilisant ce qu'il appelle "l'énergie libre". Ils n’endommagent pas les électrons, mais les utilisent de manière constructive, et ces électrons continuent à circuler, se rechargeant et restant réutilisables. En revanche, les humains détruisent les électrons en les transformant en chaleur dans divers appareils électriques, un processus qui peut également libérer des éléments toxiques et des rayons nuisibles, en contradiction avec les lois naturelles.

Howard : « Les hommes de l’espace avaient promis de me montrer des instruments avec lesquels ils pouvaient téléporter n’importe quelle sorte de matière, et même des corps humains, à n’importe quelle distance, pourvu qu’il y ait un appareil émetteur au point de départ et un appareil récepteur à l’arrivée.

Ils ne pouvaient pas comprendre, me dirent-ils, pourquoi nous n’avions pas accompli cette prouesse nous-mêmes, puisque nous étions très proches d’elle avec notre transmission d’énergie lumineuse productrice d’images. Dans nos appareils de télévision ordinaires, nous sommes capables de convertir la lumière émise par des corps tridimensionnels en énergie électrique, puis de nouveau, en images. Le secret d’aller beaucoup plus loin et de transmettre la matière elle-même est à notre portée ; quelques savants l’ont même fait secrètement. »

Howard explique que tout ce que l'on crée doit venir de la pensée, influencée par des "reflets vibratoires" contrôlés par l’esprit. Selon lui, l’humain peut réaliser ce qu’il pense. Il mentionne que ceux qui peuvent se téléporter possèdent aussi une puissance similaire. Concernant la télépathie, il précise que cela n'implique pas seulement des ondes mentales envoyées, mais aussi la réalisation, par deux individus, qu’ils ne sont pas limités par leurs corps physiques et peuvent transcender le temps.

Howard explique que ceux qui utilisent ponctuellement des capacités mentales supérieures vivent simultanément dans le monde physique et dans un autre dimensionnel. Il mentionne que des glandes sous le cerveau, autrefois actives, aidaient à la télépathie et autres facultés, mais se sont dégénérées avec le temps. Il décrit également le fonctionnement du cerveau comme un instrument de l’esprit, avec une communication qui commence par l’âme, passe à travers le mental et se transforme en énergie électrique, avant d’être perçue par les sens.

Howard rencontre un couple de Martiens sur Terre, qui lui expliquent qu’ils sont sur la planète depuis une semaine. Ils viennent de Mars et parlent couramment l'anglais, le russe et l'allemand. Ils révèlent qu'ils ont appris ces langues avec l’aide d’un convertisseur transformateur linguistique. Le jeune homme explique que pour apprendre une langue, l’étudiant s’assoit devant un écran avec des électrodes fixées sur ses tempes. Ces électrodes sont reliées à un appareil de la taille d’une radio portable, qui enregistre les pensées et les mots via une voix enregistrée. L’appareil transmet des informations visuelles et auditives, imprimant ces données dans la mémoire cérébrale et permettant une acquisition rapide de la langue.

Apparence de vaisseau Vénusien sur la couverture du livre de Howard Menger
Apparence de vaisseau Vénusien sur la couverture du livre de Howard Menger

Howard : « Les soucoupes volantes ressemblent à des soucoupes, comme le nom l’indique, des disques, des cloches, etc. Ils semblent souvent avoir des formes différentes à cause du champ magnétique qui les environne (note : et qui déforme leur vision).

[...]

Dans l’atmosphère de la terre, ils dépassent 32 000 kilomètres/heure ; à l’extérieur de l’atmosphère de la Terre ils peuvent dépasser la vitesse de la lumière. »

Le vaisseau Vénusien classique qu’il a pu voir en vol est lumineux et rien ne peut être distingué à sa surface, il est vu comme une boule lumineuse tellement il peut irradier. Il pulse avec des couleurs changeantes. Ceci a lieu pendant la phase de déplacement. Mais lorsqu’il cesse de se déplacer, il reste lumineux mais de manière moins vive et on peut distinguer sa surface qui apparait alors comme métallique. Des hublots apparaissent à sa surface quand il n’est pas trop lumineux, et on voit sa forme générale de cloche.

Lorsqu’il est posé au sol il peut rester en « veille » lumineuse ou être en quelque sorte éteint et alors il n’émet plus aucune lumière. Une porte s’ouvre depuis la surface du vaisseau, comme une sorte de diaphragme pour laisser entrer ou sortir les occupants, sur commande. Elle est invisible si pas utilisée.

Description des types de vaisseaux observés par Howard selon lui-même :

◻️ L’astronef de Saturne en forme de cloche : environ quinze mètres de diamètre, cinq à six mètres de haut ; métallique, gris, quelque peu plus plat en apparence qu’un astronef vénusien.
◻️ Le vaisseau-mère, ou transporteur : elliptique, forme de cigare, ou d’oeuf. On en a vu qui avaient un kilomètre de longueur ; mais ils peuvent être plus vastes.
◻️ Les boules de feu vertes : sont des moyens utilisés par des hommes de l’espace pour nous protéger des effets des explosions atomiques dans notre atmosphère.

Howard décrit l’atterrissage de 1946 où il revit la femme de son enfance sortir du vaisseau : « Au-dessus du côté ouest du champ un énorme globe de feu se déplaçait à une vitesse fantastique. Il avait l’air d’un gros soleil tourbillonnant, brillant, vibrant de pulsations et de couleurs changeantes. Tandis que je le contemplais, il plana au-dessus du champ, semblant paralysé. Les pulsations colorées diminuèrent et le globe de feu devint un appareil métallique sur la périphérie duquel se voyaient plusieurs hublots. Il descendit lentement vers le sol. Quand il fut presque sur le sol je pus voir sa forme clairement.

Il avait la forme d’une cloche, et réfléchissait la lumière solaire comme un miroir. Je réalisai que cette machine n’avait pas été construite par quelqu’un de notre planète. Je ne savais pas s’il valait mieux que je coure jusqu’au camion et que je ramène ma petite caméra, que je m’aplatisse par terre, ou que je m’en aille.

Voir un tel événement après ma vie tranquille à la maison était effrayant. Mais soudain je me rappelai mes merveilleux amis, et devinai que quelques-uns d’entre eux devaient être à l’intérieur de la machine. Aussi j’attendis et je regardai, encore incapable de bouger, complètement fasciné. Bientôt, une porte apparut sur le rebord inférieur de l’engin. Il m’est difficile de décrire cette porte, parce que, avant de s’ouvrir, elle était strictement invisible. Le mieux que je puisse dire est qu’elle ressemblait au diaphragme d’un objectif de caméra. »

Photo de vaisseau Vénusien en vol par Howard Menger
Photo de vaisseau Vénusien en vol par Howard Menger

Les boules situées sous l’appareil vénusien peuvent se déformer comme du caoutchouc. Elles ont l’air d’être faites en métal pourtant, mais elles peuvent devenir translucides et avoir l’aspect plastique de déformation. Cette caractéristique est aussi visible dans une des vidéos prises par un témoin proche de Adamski qu’on peut voir dans une vidéo, avec le vaisseau ayant des déformations rapides durant son vol en suspension agité dans le courant magnétique terrestre sur lequel il flotte dans des remous magnétiques.

Howard décrit un atterrissage en 1956 : « C’était le 2 août 1956 à une heure moins le quart par une orageuse nuit d’été.  […]

Au-dessus du côté ouest du champ je vis un engin qui glissait sans bruit à travers le ciel sombre en se dirigeant vers l’est ; il avait l’air d’une goutte de lumière blanc-bleuâtre.

Plus il s’approchait, plus il devenait brillant. Finalement, quand il fut à moins de trente mètres de moi, il descendit lentement et plana à environ cinquante centimètres au-dessus du sol.

Je le photographiai et fus à peine capable d’attendre pendant une minute que chaque photo soit prête ; dans le noir je ne voyais pas très bien œ que je faisais.

J’observai que l’un des trois objets en forme de globe en dessous de l’astronef avait l’air de se déformer comme du caoutchouc ; il sembla s’étendre et s’accrocher au sol. Je pus voir les deux autres globes à travers le rebord translucide.

Je me demandai comment ils pouvaient rendre le métal de leur astronef transparent, et le rendre plastique, phénomène inconnu de notre physique terrestre. Ensuite des hublots par groupes de trois apparurent autour du dôme. Une porte s’ouvrit et un homme sortit à l’extérieur. »

Photo de vaisseau Vénusien en stationnaire au-dessus du sol (à 60cm environ) par Howard Menger. On voit une des trois boules dessous.
Photo de vaisseau Vénusien en stationnaire au-dessus du sol (à 60cm environ) par Howard Menger. On voit une des trois boules dessous.

Mais il a parfois pu observer d’autres types de vaisseau, comme ici décrit.

Howard décrit l’astronef d’un grand instructeur venu sur Terre en août 1956 : « J’allai au lieu n° 1 juste au coucher du soleil et l’astronef, venant de l’ouest, ressemblait à un énorme soleil qui arrivait du ciel. Je me rappelai les récits du miracle de Fatima. Des témoins avaient décrit une énorme boule de feu, qu’ils croyaient être le soleil qui à travers le ciel, se dirigeait vers la terre. Je me demandai si l’événement avait quelque rapport avec les hommes de l’espace.

Cet astronef paraissait très différent du genre usuel. En fait, il ressemblait à une tasse chinoise translucide retournée (mais sans anse !) transformée en soucoupe volante. Ce vaisseau était plus grand que les autres et avait des hublots par séries de quatre. Comme nos propres avions, les véhicules utilisés par les gens de l’espace sont de nombreux types différents. »

Apparence des vaisseaux d'exploration Vénusiens selon description faite par George Adamski (un autre contacté des Vénusiens), on voit que cela est très similaire à ce que décrit Howard Menger :

Compilation de fils vidéos tournés par Howard Menger :
https://www.dailymotion.com/video/xltvvm

Howard n’a pas écrit directement de choses sur le fonctionnement de la propulsion du vaisseau. Mais il a mis dans son livre ce récit de Van Tassel qui parle de lui et dit avoir été dans des vaisseaux identiques, faisant partie des contactés par le même peuple, et il parle de la propulsion telle qu’elle lui a été expliquée.

Van Tassel : « Eh bien, John, c’est une preuve supplémentaire de ce que j’ai dit aux gens depuis longtemps. C’est l’événement le plus important de l’Histoire, qu’il appartient à tout le monde, dans un pays libre comme le nôtre, de connaître.

Vu mon expérience de la caméra Polaroid et des astronefs, je suis certain que ce qu’Howard nous a dit cette nuit est authentique. Ces photos ont été prises à différentes distances, et leur perspective cadre parfaitement avec leur distance. L’astronef émet le même type de lumière que celui avec lequel je suis entré en contact. Il est lui-même lumineux. Des lampes ne sont pas indispensables pour photographier un astronef la nuit.

Maintenant vous avez demandé à Howard si ce type particulier d’astronef tournoyait ou semblait tournoyer, et il vous a dit qu’il avait vu quelque chose qui tournait, ou qui semblait tourner. John, j’aimerais vous lire l’un des messages que j’ai reçus télépathiquement et qui vérifie ce point particulièrement difficile.

Voici le livre que j’ai écrit à propos de mes informations télépathiques, daté du 24 août 1952 : … Dans l’amour et la paix de la lumière éternelle, salutations aux êtres humains de Shan (la Terre). Celui qui vous parle se nomme Ashtar.

Laissez-moi d’abord vous dire que nous vous sommes reconnaissants de vos efforts continuels pour rester en contact avec nous, pour l’information de vos esprits scientifiques de toute votre planète, Shan. Notre astronef ne pivote pas.

C’est l’émission en spirale du rayonnement de notre vaisseau qui produit l’apparence de rotation. Son pôle supérieur positif émet des rayons centrifuges produits par le rassemblement et la concentration de particules lumineuses à travers un canal tourbillonnaire central. Ces émissions lumineuses qui fusent vers l’extérieur ressemblent à des rayures en spirales. La polarité inférieure négative fonctionne en sens inverse. L’émanation de substance lumineuse est contenue dans un champ neutre qui est vide et ovoïde. Votre caméra spectroscopique révélerait le spectre lumineux normal et les éléments de votre atmosphère. Communiquez cela aussi à ceux qui doutent encore. »

Commentaire personnel :

A noter que ce nom d’un visiteur de l’espace, « Ashtar », fut utilisé dans une transmission TV en angleterre fait par piratage d’une antenne relai couvrant toute une zone, avec un message extratrerrestre destiné aux terriens. Que cela soit bien d’origine extraterrestre ou pas, je ne m’exprime pas à ce sujet ici, mais simplement je mentionne le fait que le nom a été repris depuis le récit de Van Tassel. Puis ensuite des channelings divers sont arrivés, reprenant le nom « Ashtar » comme commandant de flotte galactique et canalisant à peu près tout et n’importe quoi sous son nom, avec tout un récit New Age autour. Mais initialement, avant que ce nom ne soit détourné et utilisé, il était donné comme le nom d’un visiteur de l’espace contactant Van Tassel.

Van Tassel : « John, j’ai soutenu depuis le début que la raison du secret est le fait que si le principe de leur énergie motrice était révélé, il est si simple que n’importe quel mécanicien pourrait fabriquer un moteur qui fonctionnerait, et qui n’aurait besoin d’aucun combustible. C’est à mon avis la raison majeure qui empêche que ce principe soit révélé. Cela, et le fait que diverses informations relatives à cette force particulière et les connaissances qui ont été découvertes depuis l’énergie atomique ont rendu désuets tous les ouvrages scientifiques de nos écoles. »

Howard raconte une expérience étrange et perturbante vécue par Howard. Un soir, alors qu'il travaillait dans son magasin, il reçoit un coup de téléphone sans réponse. Après avoir raccroché, il ressent un désir inexplicable de reprendre le récepteur, et entend un bourdonnement étrange avant que la tonalité ne cesse. Ce moment semble marquer le début d'une série d'événements inhabituels.

Un fort sentiment de devoir l'amène ensuite à construire un appareil sans savoir exactement ce qu'il devait créer. Il suit un instinct qui le pousse à assembler des matériaux de manière mécanique, comme s'il avait des plans invisibles. Il utilise du bois, du carbone, du cuivre et d'autres éléments pour fabriquer une sorte de dispositif. L'assemblage consiste en un socle de bois avec un trou dans lequel il place une baguette de carbone et enroule un fil de cuivre autour d'un clou.

Après avoir effectué les connexions avec une petite pile de lampe, il fixe une électrode de cuivre sous un disque d'aluminium et complète le montage avec d'autres connexions. Lorsqu'il met le dispositif sous tension, une lumière bleuâtre apparaît au-dessus du disque, et celui-ci s'élève soudainement, traversant le plafond en un bruit sec avant de redescendre. L'expérience se termine par la destruction du disque, le choc et l'étonnement de Howard.

Il se questionne sur l'origine de l'énergie qui a fait décoller le disque, car la faible puissance de la batterie ne semble pas suffisante pour expliquer le phénomène. Après avoir essayé à nouveau le matin suivant sans succès, il parvient à faire briller le disque, mais il ne bouge plus. Howard termine en espérant qu'un physicien ou un ingénieur découvrira, dans son récit, une piste pour comprendre l'énergie libre qui pourrait alimenter des machines.

Howard Menger réalisant quelques tests avec des générateurs à haute tension sur les principes qui lui serviront à construire un engin volant électro gravitique, le HMX1

D’après le livre « The High Bridge Incident » :

En 1951, Howard construit son premier engin électrique, le X-1, en tentant de reproduire le système de propulsion des vaisseaux extraterrestres qu'il a observés. Il remarque que ces engins semblent contrôler la gravité, ce qui l'amène à développer une théorie révolutionnaire en classe de sciences. Il propose que la gravité ne soit pas une attraction, mais une poussée, suggérant que les particules cosmiques et flux d'énergie traversent tout l'univers et créent un déséquilibre constant cherchant à s'équilibrer. Howard explique que, tout comme la résistance de la lune aux particules cosmiques crée un champ magnétique plus faible et provoque des marées, un engin à voilure circulaire pourrait utiliser ce principe pour s'élever. Bien que sa théorie ne figure pas dans les livres de physique de l'époque, il la considère comme un modèle de base, avec les systèmes de propulsion extraterrestres étant bien plus avancés.


En 1951, après plusieurs années d’expérimentation, Howard construit son premier engin volant circulaire radiocommandé, l’Electro-Craft X-1. Ses observations de la nature, notamment sur la gravité et les nuages, l’amènent à développer une théorie selon laquelle la gravité est une poussée plutôt qu’une traction.

Il découvre que des champs magnétiques variables sont générés par les corps célestes et que l’énergie électrique, circulant à grande vitesse, peut permettre à un vaisseau de décoller verticalement. En contrôlant cette énergie avec des isolants et des conducteurs, il réussit à propulser son engin en utilisant des forces plasmiques.

L’appareil est conçu avec trois couches : une coque extérieure en aluminium, une couche isolante, puis une seconde couche d’aluminium, empêchant l’explosion sous la pression énergétique. Lors du vol, l’excès d’énergie s’échappe par le bord, produisant une lueur spectaculaire, notamment la nuit.

Nikola Tesla aurait mené des expériences sur un engin en forme de disque en utilisant son système de haute tension, mais Howard utilisait une méthode différente pour contrôler les particules cosmiques et alimenter son appareil. Il effectuait des essais à High Bridge, dans une clairière isolée, accompagné de son chien Tassy. Un jour, lors d'un vol d'essai, l'engin s'est perdu après avoir décollé à environ 500 pieds, ce qui a profondément déçu Howard.

Deux semaines plus tard, des agents du FBI sont arrivés avec des morceaux du X-1, retrouvés près de la frontière de l'Ohio et de la Pennsylvanie où l'engin s'était écrasé. Après avoir averti Howard qu'il était illégal de faire voler un appareil expérimental sans permis, les agents ont montré un intérêt pour ses recherches et lui ont annoncé qu'une agence gouvernementale s'intéressait à son système de propulsion. Ils lui ont indiqué qu'il recevrait bientôt des nouvelles du Pentagone.

Cette image ne provient pas du livre de Howard Menger de 1959 ni de celui "de " The High Bridge incident "de 1991. Elle a été trouvée sur internet référencée comme venant du livre The high Bridge incident, mais ce n'est pas le cas dans la version dont je dispose. Peut-être une autre édition ? Ou c'est un lecteur qui a écrit cela? Elle est mise ici à titre informatif.
Cette image ne provient pas du livre de Howard Menger de 1959 ni de celui "de " The High Bridge incident "de 1991. Elle a été trouvée sur internet référencée comme venant du livre The high Bridge incident, mais ce n'est pas le cas dans la version dont je dispose. Peut-être une autre édition ? Ou c'est un lecteur qui a écrit cela? Elle est mise ici à titre informatif.
Article de journal sur son vaisseau de 1951 qui a été reconstruit par lui au moins à titre de maquette visuelle de nombreuses années après pour montrer son apparence  (on sait que l'original a été détruit)
Article de journal sur son vaisseau de 1951 qui a été reconstruit par lui au moins à titre de maquette visuelle de nombreuses années après pour montrer son apparence (on sait que l'original a été détruit)
« ELECTRO-CRAFT » HMX-1 de 4 pieds (1,20 mètres), Photo signée de Howard Menger devant son atelier, appareil original de 1951, ici c'est une réplication qu'il a reconstruite des années après (peut-être seulement comme maquette non fonctionnelle) car l'original a été détruit.
« ELECTRO-CRAFT » HMX-1 de 4 pieds (1,20 mètres), Photo signée de Howard Menger devant son atelier, appareil original de 1951, ici c'est une réplication qu'il a reconstruite des années après (peut-être seulement comme maquette non fonctionnelle) car l'original a été détruit.

D’après le livre « The High Bridge Incident » :

Howard a été contacté par l’Air Force en 1961 pour développer une version agrandie de son prototype HMX-1, baptisée HMX-4. Travaillant sous haute sécurité à Colorado Springs, il a bénéficié de ressources importantes et d’une équipe d’ingénieurs et scientifiques pour concevoir l’appareil, qui fonctionnait sur des principes électro-gravitationnels plutôt qu’aérodynamiques. Après un an de travail intense, le projet aboutit à une machine capable de capter l’énergie ambiante et de la convertir en électricité à très haute tension, sous le contrôle d’un seul pilote.

Howard et son équipe ont testé leur engin révolutionnaire, conçu pour quatre personnes mais piloté par un seul homme. Doté de technologies avancées comme des détecteurs radar, infrarouge et laser, ainsi que d’ordinateurs, l’appareil pouvait être piloté manuellement ou automatiquement. Lors du vol d’essai, Howard et son équipage ont décollé en douceur, atteignant 10 000 pieds d’altitude avec une visibilité parfaite. Après un atterrissage maîtrisé, un film complet du vol a été projeté, confirmant le succès de l’expérience. Une grande fête a été organisée pour célébrer cet exploit, réalisant ainsi le rêve de Howard de créer un engin inspiré des vaisseaux extraterrestres qu'il avait observés.

Après le succès du projet, des millions de dollars ont été investis par des agences gouvernementales, des entreprises et des investisseurs privés. Howard et son équipe ont reçu une part des fonds et un chèque mensuel de 1 500 dollars à vie. Cependant, après un an, les paiements ont cessé sans explication.

Intrigué, Howard est retourné sur le site du projet près de Colorado Springs, mais tout avait disparu : bâtiments, clôtures, postes de garde… comme si rien n’avait jamais existé. Les habitants du coin n’avaient aucun souvenir précis du lieu. En essayant de contacter d’anciens collègues, il s’est heurté à des silences, des décès et des réponses évasives. Un officier lui a confié que le projet avait été abandonné pour des raisons liées à l’état du monde et qu’il fallait attendre le bon moment.

Howard, frustré et perplexe, se retrouva face à un véritable mystère, son rêve s’étant volatilisé sans explication.

Howard décrit en détail sa routine quotidienne à bord d’un vaisseau vénusien durant les dix jours de transformation énergétique de son corps en vue d’un voyage vers la Lune. D'abord, il range ses vêtements et se couche dans une cabine modeste où, malgré une nuit courte de seulement quatre heures, il se sent pleinement reposé. À son réveil, il observe par le hublot d'étranges bulles lumineuses et une gigantesque boule rouge (le soleil, bien que peu brillant). Par la suite, il prend une douche dans un cabinet sophistiqué doté de compartiments automatiques, qui lui offre une expérience vivifiante et ludique, rappelant l’enthousiasme de l’enfance face à une technologie innovante.

Howard entend d’abord un autre passager terrien chanter dans la cellule adjacente et constater que ce dernier a apparemment maîtrisé l’usage de la douche dans un appareil sanitaire futuriste ressemblant à un siège de cabinet en matériau translucide. En se regardant dans le miroir, Howard remarque que sa barbe ne pousse pas, signe que le rasage n’est pas nécessaire durant le voyage. Ensuite, en rejoignant la salle principale, il sent l’odeur de nourriture. L’instructeur prépare alors un repas en extrayant des aliments conditionnés d’un compartiment mural, les immergeant dans un liquide chauffant et les cuisant en quelques secondes grâce à un procédé automatisé, avant de les disposer sur des assiettes en plastique.

Le voyage spatial est marqué par une diversité culinaire et des divertissements interstellaires. Howard se souvient d'un moment convivial où, après avoir récupéré du jus de fruit frais, lui et ses compagnons consommaient divers aliments conditionnés : légumes, céréales, et même des fruits et noix venus d’autres planètes, aux goûts surprenants (par exemple, des pommes de terre ayant une saveur de viande et de noisette). La nourriture était agrémentée d’un sel minéral vert et accompagnée d’une confiture inhabituelle au goût d’avocat mais de couleur blanche. Pendant cette période, ils se divertissaient aussi grâce à de la musique provenant de différentes planètes et à un écran de télévision qui leur permettait de visualiser des scènes de vie extraterrestre et de communiquer avec d'autres voyageurs, rendant leur séjour à bord à la fois riche en découvertes et exempt d’ennui.

Les vaisseaux ont des équipages habituels de maximum 6 personnes selon ce qu’a pu voir Howard, mais il pense qu'ils peuvent voyager dans des nombres de 3, 6, 9, ou 4, 8, 12, cela dépend de leur origine planétaire.

Howard : « Ils disent qu’aucun homme ne devrait être autorisé à quitter sa planète dans l’intention de conquérir ou de contrôler un autre monde. Ils ne sont pas hostiles. Ils viennent nous voir par amour et pour servir l’intention du Créateur. »

« Question : Pourquoi ne contactent-ils que quelques personnes sélectionnées ?
Réponse de Howard : Certains êtres humains naissent en sachant la vérité ; d’autres sont des âmes qui viennent d’autres planètes, auquel cas les leurs les contactent et éveillent en eux la petite étincelle de vérité de façon qu’ils soient « une flamme de vérité ». Ceux-là doivent avoir le courage de leurs propres convictions, et la force d’encaisser, car ils risquent d’être ridiculisés et attaqués. [...]

Question : Est-ce que des hommes de l’espace vivent ici sur la terre parmi nous ?
Réponse de Howard : Oui, des milliers d’êtres humains venus d’autres planètes vivent parmi nous. Certains sont renés dans des corps terrestres, certains sont venus directement de leurs planètes d’origine dans un astronef. Peut-être vivent-ils dans une maison voisine de la vôtre. L’un d’entre eux peut être votre camarade de travail, la serveuse qui vous sert dans un bar ou dans un restaurant. Tous ont un point commun : l’amour de leur prochain. »

Les extraterrestres travaillent avec des humains qui ne savent le plus souvent pas qu’ils sont extraterrestres.

Howard : « Auparavant d’autres hommes de l’espace m’avaient dit que je n’étais pas le seul qui travaillais avec eux. Ceux-ci me le confirmèrent, et m’indiquèrent les noms exacts de gens que plus tard j’ai rencontrés et reconnus. Ils contactaient des gens non seulement dans l’est de l’Amérique, mais aussi dans d’autres régions du pays ; je me rappelle qu’ils mentionnèrent spécialement la Californie, New Mexico et l’Arizona.

Ces gens ne savaient pas toujours qu’ils travaillaient avec des hommes de l’espace, même lorsque leur contribution avait été utile. « Deux hommes ont travaillé avec nous pendant de nombreuses années, indirectement, et, Howard, ils ne le savent même pas ! Ils ont été guidés, aidés, mais ils ne le savent pas. »

Trois autres hommes qu’ils citèrent avaient travaillé indépendamment à des projets scientifiques et furent finalement contactés à cause de leur travail. »

Un des extraterrestres dit à Howard : « Vous savez, Howard, une foule des nôtres sont parmi vous, mélangés avec vous, vous observant et vous aidant chaque fois qu’ils le peuvent. Ils sont partout dans la Société, ils travaillent dans des usines, dans des bureaux, dans des banques. Quelques-uns d’entre eux ont des postes responsables dans des sociétés, dans des services gouvernementaux. Quelques-uns d’entre eux sont femmes de ménage, ou même ramasseurs de détritus. Mais quand vous les rencontrerez, vous les reconnaîtrez ! »

Howard observe que les Martiens possèdent d’étranges boîtiers gris-vert équipés d’antennes, conçus pour être dissimulés dans la nature. Il apprend que leur mission inclut une assistance mentale discrète aux humains, en utilisant des ondes sonores, lumineuses et d’autres moyens naturels.

Les extraterrestres précisent qu’ils ne contrôlent pas les esprits, contrairement aux scénarios de science-fiction, mais qu’ils aident plutôt les individus à révéler des capacités latentes déjà présentes en eux, en accord avec les lois divines.

Howard apprend que les mystérieux instruments seront installés dans quatre États américains et fonctionneront en lien avec des "résonateurs humains" pour influencer l’intérêt des gens pour l’exploration spatiale. Chaque appareil, avec une portée de 39 km, stimulera l’attention des habitants vers le ciel et les poussera à s’intéresser aux vaisseaux extraterrestres et aux expériences de Howard.

Bien que conscient des moqueries et menaces qu’il pourrait subir, il accepte de poursuivre sa mission, malgré les avertissements des extraterrestres.

Howard rencontre un être extraterrestre blond en uniforme après avoir photographié un engin spatial. L’être l’emmène à la lisière d’un bois et lui montre un disque d’observation posé au sol, émettant des couleurs changeantes. Ce dispositif, contrôlé à distance par un vaisseau spatial, capte les émotions et pensées humaines. Lorsque le disque devient blanc, l’extraterrestre rassure Howard en expliquant que cela signifie qu’il réagit bien. Il lui demande de bien observer l’objet, car il servira de preuve pour convaincre d’autres personnes de leur existence.

L’extraterrestre explique à Howard que l’expérience avec le disque d’observation servira aussi de test pour les futurs témoins, qui devront rester à distance en raison des rayonnements émis. Il évoque l’incertitude quant à la réaction des citoyens si un tel objet était révélé au grand public.

Soudain, le disque s’élève et retourne à l’astronef en suivant des rayons magnétiques. L’extraterrestre explique alors que ce dispositif analyse profondément les individus, bien au-delà des méthodes humaines de psychanalyse, enregistrant même les vies passées. Cependant, malgré sa technologie avancée, il ne peut prédire les choix futurs des hommes en raison de leur libre arbitre.

Beaucoup plus tard lors d’un déplacement avec des Martiens en voiture, Howard dira : « Nous nous dirigeâmes vers le mont Effort. En approchant de la région de Blue Mountain, nous bifurquâmes sur une petite route sale et je reconnus un lieu familier. Je me souvins qu’un appareil transmetteur avait été placé quelque temps auparavant non loin de là. Mon ami sortit de son auto pour aller inspecter l’appareil et je le suivis. Je savais que l’instrument était en rapport avec au moins une cinquantaine de gens, dont trois vivaient à Allentown, Pennsylvanie (aux USA). Leurs cerveaux se comportaient vis-à-vis de l’instrument comme des transmetteurs sans qu’ils en soient au courant, et d’aucune façon affecté dans leur santé ni dans leur libre arbitre. »

En mars 1956, Howard reçoit de nouvelles invitations télépathiques. Ces rencontres se tiennent principalement la nuit, souvent entre une et deux heures du matin, pendant que sa femme dort. Il part rencontrer des êtres d’autres mondes pour recevoir des instructions supplémentaires sur son travail. Malgré son emploi du temps chargé et les nuits blanches, le sommeil devient un luxe. Ses rencontres sont parfois mondaines et il apprend à aider les extraterrestres de diverses manières, ce qui lui plaît autant que les périodes d’instruction.

Howard raconte qu'il achetait fréquemment des vêtements pour des visiteurs extraterrestres qui devaient se fondre dans la société terrestre. Une fois, on lui demanda d'acheter des trousseaux de vêtements féminins, mais la situation vira à la comédie. Les visitant, les extraterrestres trouvèrent les soutiens-gorge inconfortables, même hilarants, et ne pouvaient pas les porter. Ils eurent aussi des difficultés avec les talons hauts, mais, malgré leurs plaintes, ils étaient de bonne humeur et admettaient la nécessité d'apprendre à marcher avec.

Howard explique comment il aide les extraterrestres nouvellement arrivés à s'adapter à la vie terrestre. Dans une anecdote amusante, il se retrouve à couper la chevelure d'un visiteur aux longs cheveux blonds, devenant ainsi involontairement coiffeur. Il observe que ces êtres, notamment les Vénusiens, modifient leur apparence (par exemple, en développant des poils et une barbe après quelques mois sur Terre) pour mieux ressembler aux humains, et certains demandent des accessoires comme des lunettes noires, sans que Howard en comprenne toujours la raison. En outre, il les renseigne sur nos coutumes, notre langage et nos habitudes, ce qui le surprend agréablement, car il parvient à rendre service à ces êtres très avancés.

Howard décrit des rencontres avec des extraterrestres demandant des aliments particuliers comme des jus de fruits congelés, des conserves de fruits, du pain complet, du blé germé, etc. Ils évitent le lait et certains agrumes comme les oranges et les citrons. De préférence, ils consomment des fruits mûris sur l'arbre ou des fruits congelés du supermarché. Il leur achète des pommes mûries naturellement, mais les visiteurs constatent qu’elles sont moins nutritives en raison de la qualité du sol, soulignant que les engrais chimiques ne résolvent pas les problèmes de sols appauvris.

Les visiteurs extraterrestres apportent leur propre nourriture déshydratée, offrant des aliments restaurés à leur état naturel. Un tubercule qu'ils mangent est plus riche en protéines et minéraux que nos légumes, ce qui est possible si notre sol est sain. Ils ne demandent jamais d'aide pour le travail ou des documents d'identité, s'adaptant facilement à notre climat et nos coutumes. Howard aide les nouveaux arrivants à s'intégrer, en leur montrant des lieux essentiels comme la poste ou les écoles, prenant plaisir à cette tâche malgré le temps et les ressources que cela implique.

Howard raconte une chaude soirée d'avril 1956, peu après le départ de son père pour le travail, où il ressentit une impulsion à se rendre discrètement sur une colline derrière sa maison. Conduisant à travers un champ dans l'obscurité sans utiliser ses phares, il arriva à temps pour voir un astronef venant de l'ouest. Il le photographia alors qu'il se présentait sous la forme d'une lumière pulsatile aux couleurs changeantes, avant d'émettre une lumière bleuâtre et de révéler des hublots lorsqu'il ralentit et se posa doucement. L’astronef s'arrête à 30 cm du sol à 100 m de sa voiture et émet une lumière bleue, révélant des fenêtres. Un homme en sort et le signe de la main, ayant remarqué sa présence.

Howard se questionne sur le besoin de photographier l'astronef et craint un désaccord éventuel. Un interlocuteur extraterrestre lui explique que ses photos serviront de test : elles seront montrées pour prouver que des êtres venus d'autres planètes existent et ne sont pas hostiles, mais il est important de convaincre progressivement, afin d’éviter un choc pour des peuples moins évolués. Bien qu’Howard insiste pour que les images convainquent immédiatement tout le monde, son interlocuteur précise que, du fait des rayonnements, les photos seront floues et qu’un processus graduel est nécessaire. Il lui rappelle également de ne pas publier son récit avant l’été 1957 pour éviter ridicule et persécutions, et insiste sur le fait que la narration doit être intelligente et structurée. Enfin, lorsqu’Howard demande comment choisir des témoins, on lui répond qu’il devra exercer son bon jugement pour sélectionner ceux qui se manifesteront spontanément ou qu’il décidera d’inclure.

Howard : « Je leur parlai d’un de mes meilleurs amis, Bill Thompson, en qui j’avais une grande confiance. « Oh, Bill, nous le connaissons. En fait, nous avons essayé de le contacter. » Bill me croirait et comprendrait, dit-il, bien que je ne devrais pas lui dire tout. Je fus content qu’il me dise cela, car toujours depuis que avions été au lycée ensemble nous avions ressenti l’un pour l’autre une étroite affinité. Je serais extrêmement heureux de lui confier au moins quelques-unes de mes expériences. »

Howard s'arrête près de l'astronef et ressent un désir intense d’y entrer, mais tente de le transmettre mentalement plutôt que de le demander ouvertement. Son interlocuteur perçoit ce désir mais lui explique qu’un traitement préalable est nécessaire. À chaque séparation, Howard éprouve l’envie de partir avec eux, bien que cela ne soit pas prévu pour lui. Après une poignée de main, on lui promet un prochain contact. Avant le départ, il est invité à s’éloigner de quinze mètres. L’astronef décolle, monte à trente mètres, émet un éclair de lumière et disparaît.

Howard envoie sa pellicule à un photographe avec appréhension, craignant que quelqu’un ne remarque le contenu des clichés. À leur réception, il est déçu : seule une photo est nette, montrant un homme devant un astronef, tandis que les autres sont déformées. Il soupçonne que les négatifs ont été copiés et altérés avant qu’il ne les reçoive. Malgré tout, il montre les photos à sa famille et à des amis. Le lendemain, il confronte le photographe, qui affirme ne pas les avoir modifiées et explique avoir confié le travail à un collègue. Howard reste méfiant mais ne proteste pas.

Howard peine à convaincre son père de la véracité de son témoignage, malgré des photos en guise de preuve, bien que leur qualité soit médiocre. Face au scepticisme ambiant et à ses propres doutes sur le photographe, il décide d’acheter un appareil Polaroid pour obtenir des clichés instantanés. Seul son ami Bill le croit, ce qui lui redonne espoir.

Peu après, dans la nuit du 2 août 1956, il reçoit un message télépathique l’invitant à se rendre à un lieu précis. Sous un ciel orageux, il attend avec son appareil photo lorsqu’un engin silencieux apparaît à l’ouest, brillant d’une lumière blanc-bleuâtre. En s’approchant, il devient plus éclatant avant de descendre lentement et de planer à cinquante centimètres du sol.

Howard : « Je le photographiai et fus à peine capable d’attendre pendant une minute que chaque photo soit prête ; dans le noir je ne voyais pas très bien ce que je faisais.

J’observai que l’un des trois objets en forme de globe en dessous de l’astronef avait l’air de se déformer comme du caoutchouc ; il sembla s’étendre et s’accrocher au sol. Je pus voir les deux autres globes à travers le rebord translucide. Je me demandai comment ils pouvaient rendre le métal de leur astronef transparent, et le rendre plastique, phénomène inconnu de notre physique terrestre.

Ensuite des hublots par groupes de trois apparurent autour du dôme. Une porte s’ouvrit et un homme sortit à l’extérieur. Il se tint immobile, sa longue chevelure blonde agitée par le doux vent chaud de l’été. Je pus contempler la magnifique architecture de son corps : ses larges épaules, sa taille mince, ses jambes droites et longues.

Son uniforme qui ressemblait à un costume de skieur recouvrait son corps entier, ne laissant exposées que sa tête et ses mains. Il s’approcha et quand il fut à environ onze mètres je le photographiai. Comme l’autre, je l’avais photographié devant l’astronef lumineux. J’espérais que la photo serait meilleure que la précédente.

Mais sur la photo, l’astronef paraissait déformé ; on aurait dit qu’un tourbillon de brouillard l’environnait. Quand j’avais levé mon appareil de photo, l’homme s’était arrêté. Ensuite il marcha vers moi et nous nous serrâmes la main. Je sentis une agréable sensation de chaleur et d’affection. « J’espère que ces photos vous aideront dans l’avenir, bien qu’elles puissent être légèrement déformées à cause du flux électromagnétique qui environne notre astronef », me dit-il.

Vénusien qui a permis à Howard Menger de prendre en photo sa silhouette en face du vaisseau illuminé. Les visiteurs de l’espace ne désirent pas des photographies claires d’eux-mêmes car ils pourraient être reconnus ensuite sur Terre (ils sont en infiltration partout). Une aura de champ de force peut être vue autour du vaisseau spatial dans la photo originale, qui assez visible sur cette reproduction imprimée.
Vénusien qui a permis à Howard Menger de prendre en photo sa silhouette en face du vaisseau illuminé. Les visiteurs de l’espace ne désirent pas des photographies claires d’eux-mêmes car ils pourraient être reconnus ensuite sur Terre (ils sont en infiltration partout). Une aura de champ de force peut être vue autour du vaisseau spatial dans la photo originale, qui assez visible sur cette reproduction imprimée.
Photo de vaisseau vénusien prise par Howard Menger, qui flottait à environ deux pieds (60 cm) au-dessus du sol. On voit la boule sous l’appareil dont parle Howard.
Photo de vaisseau vénusien prise par Howard Menger, qui flottait à environ deux pieds (60 cm) au-dessus du sol. On voit la boule sous l’appareil dont parle Howard.

À ce moment je compris que les premières photos n’avaient pas été falsifiées, et je fus gêné d’avoir ennuyé à tort le photographe. « Ce n’est pas la faute de la pellicule ni du procédé de développement », ajouta-t-il. « C’est simplement parce que la pellicule ne voit pas les choses exactement de la même façon que vos yeux. »

Il me suggéra de faire une bonne photo de l’astronef quand je m’en irais, et me promit que je pourrais faire d’autres photos la nuit suivante au lieu n° 2. Il me dit que je recevrais ou bien un message télépathique, ou bien un coup de téléphone, et, pour le cas où ils me téléphoneraient, il m’indiqua un certain mot grâce auquel je pourrais identifier mon interlocuteur et être certain que ce n’était pas une blague. « Votre histoire se répand ; aussi préparez-vous à être en contact avec des gens malicieux », me prévint-il.

[…]

Il me dit aussi que bientôt je rencontrerais un être très hautement évolué, un grand instructeur d’une civilisation avancée d’une autre planète.

Puis il changea de sujet. Il savait que j’étais ennuyé d’avoir révélé certaines informations que j’aurais dû garder pour moi. « Vous êtes inexpérimenté, et, de toute façon le moment de révéler cela est presque arrivé, de sorte que cela n’est pas très important. »

Il me souhaita bonne chance et rentra dans l’astronef. Tandis qu’il décollait, je pus en faire deux excellentes photos. Tout en rentrant chez moi, je m’enfonçai dans mes pensées.

Si je révélais mon histoire, cela expliquerait mes sorties nocturnes à ma famille ; mais comment pourrais-je la diffuser dans la population ? Pourquoi m’avait-on choisi pour cela ? Je me sentais inadéquat, impuissant. J’avais parlé trop tôt parce que ma femme était ennuyée de me voir me lever et la quitter à d’étranges heures de la nuit. Finalement, pour qu’elle ne s’inquiète pas, je lui avais fait voir et à ses parents proches les photos que j’avais prises, et aussi, naturellement, je leur avais dit quelque chose de mon travail. C’est ainsi que bien malgré moi mon histoire avait commencé à être divulguée avant le moment voulu. Cela me tracassait, car on m’avait averti des conséquences que cela entraînerait. »

Voici les photos Polaroïd originales que Howard avait faites. Howard Menger ne laissait jamais personne faire des copies de ses photos et l’auteur de cette photo l’a prise discrètement sans demander à Howard pendant qu’il était occupé.
Voici les photos Polaroïd originales que Howard avait faites. Howard Menger ne laissait jamais personne faire des copies de ses photos et l’auteur de cette photo l’a prise discrètement sans demander à Howard pendant qu’il était occupé.

Howard reçoit un appel nocturne l’invitant au lieu n° 1 pour prendre des photos, mais il pressent que quelque chose de plus important va se produire. Il part discrètement, accompagné de son chien Tassy, un animal intelligent qui sait rester silencieux.

Après une marche difficile dans l’obscurité, ils atteignent le site. Une boule lumineuse apparaît à l’ouest et se dirige lentement vers eux. Howard prend plusieurs photos pendant que l’astronef approche et atterrit en douceur. L’intensité lumineuse de l’appareil diminue, le rendant presque invisible.

Une ouverture s’illumine et un homme apparaît. Tassy court vers lui, mais au lieu d’être effrayé, l’extraterrestre s’agenouille et le caresse. Howard reconnaît alors son visiteur blond aux traits aryens, rencontré lors d’une précédente expérience. L’homme l’accueille chaleureusement et l’invite à monter à bord. Avant d’entrer, il ordonne gentiment à Tassy de rester immobile, ce que le chien semble comprendre parfaitement.

Howard entre dans une grande pièce circulaire au centre de laquelle se trouve une table translucide illuminée par des lumières colorées. Un tiers de la pièce est occupé par un tableau de bord rempli d’instruments clignotants. Deux hommes, concentrés sur un message dans une langue inconnue, le saluent brièvement avant de retourner à leur tâche.

L’homme blond qui accompagne Howard fait apparaître deux chaises d’un simple geste et l’invite à s’asseoir. Il explique que les transmissions ne viennent pas d’une autre planète mais d’endroits sur Terre, car ils communiquent avec des gens du monde entier. Il montre un écran où apparaît un homme blond en uniforme spatial discutant avec un homme en costume et chapeau de cow-boy. À la surprise de Howard, l’homme à l’écran le remarque et lui fait un signe de la main.

Plus tard, il apprend que l’homme en costume est un riche commerçant du Texas, contacté par des êtres de l’espace, et que sa réaction de confusion est habituelle pour ceux qui vivent une telle expérience pour la première fois.

Howard exprime son émerveillement et pose de nombreuses questions, auxquelles ils répondent en grande partie, évitant toutefois certains sujets sans insistance de sa part.

Certaines réponses sont très techniques, et il regrette de ne pas pouvoir enregistrer la conversation. L’homme blond, lisant ses pensées, explique qu’un magnétophone ne fonctionnerait pas à bord de l’astronef, produisant seulement un sifflement. Soudain, une lumière jaunâtre clignote sur le tableau de bord : une voiture approche. L’homme blond ouvre la porte par un geste sur une lumière bleue et demande à Howard de renvoyer son chien, Tassy, et il obéit à contrecœur.

Après la fermeture de la porte, ils s’installent de nouveau, et l’homme blond annonce qu’ils doivent partir. Les lumières s’assombrissent progressivement en bleu puis en pourpre foncé, tandis que les lentilles sous la table s’illuminent. À travers elles, Howard a l’impression de survoler une Pontiac gris foncé.

Récit de Howard : «

— "Nous sommes, sur le toit d’une auto !", m’exclamai-je.

— "Certes pas ; vous êtes au moins à quinze cent mètres au-dessus. La lentille grossit l’image comme un télescope" expliqua-t-il, tandis que nous observions diverses, activités en dessous de nous. La porte de l’auto s’ouvrit et un homme et une femme en émergèrent. L’homme à cheveux foncés avec nous passa sa main au-dessus d’une autre des lumières pulsatiles visibles à travers le dessus de la table, et nous eûmes l’impression de voir comme en plein jour. Je pouvais tout voir clairement : même les brins d’herbe sur le sol étaient clairement distincts. Je poussai un cri de surprise : je reconnaissais les deux personnes au-dessous de moi ! L’homme blond fit un geste à l’homme qui était devant le tableau de contrôle ; celui-ci tourna quelque chose et immédiatement je pus entendre les deux voix comme si les gens étaient dans l’astronef avec nous. Nos visiteurs ne semblaient pas être beaucoup intéressés par la scène au-dessous de nous, mais paraissaient jouir de ma stupéfaction. L’image disparut et de nouveau je les regardai, cette fois-ci sans un mot. »

Howard observe avec émerveillement la technologie avancée des extraterrestres, notamment leur capacité à projeter des images en couleur avec son et lumière. Pourtant, ces prouesses leur semblent banales. Ils expriment leur étonnement que l’humanité ne maîtrise pas encore ces techniques, expliquant que les ressources et capacités existent, mais que l’humanité ne sait pas appliquer les lois naturelles correctement.

Howard, peu versé en sciences, se sent dépassé, mais ses hôtes le rassurent : des scientifiques sur Terre commencent déjà à comprendre et reproduire certains de leurs instruments. Cependant, ils insistent sur un autre point : si des scientifiques peuvent accomplir certaines tâches techniques, peu sont capables de diffuser un enseignement spirituel comme lui. Ils le comparent à Moïse et Aaron, soulignant son rôle dans la transmission de leur message.

La conversation terminée, les sièges disparaissent dans le sol. L’homme blond guide Howard vers la sortie, où il retrouve son chien Tassy. Avant de partir, l’extraterrestre lui souhaite paix et lumière, le laissant rempli d’émotion et de gratitude d’être impliqué dans une mission de paix et de compréhension universelle.

Une nuit de l'été 1956, vers minuit, Howard reçoit un appel téléphonique avec un mot de passe convenu, lui demandant de se rendre immédiatement au lieu n°1. Il y arrive juste à temps pour voir un petit astronef approcher lentement. L’appareil, d’abord brillant, prend une teinte violette avant de devenir presque invisible. Lorsqu’il atterrit à environ seize mètres de lui, Howard entend pour la première fois un son lors d’un contact au sol. L’engin semble être une masse noire absorbant la lumière, mais une douce lueur blanche-bleuâtre émane de ses hublots.

Une lumière vive s’allume sur le côté du vaisseau, révélant la silhouette d’un homme grand, qui en descend et marche vers Howard. Un second homme reste dans l’ouverture du vaisseau. Le premier lui demande s’il a réussi à prendre une bonne photo, mais Howard, captivé par la scène, a complètement oublié. Embarrassé, il prend alors quelques clichés, comprenant que ses visiteurs veulent coopérer pour qu’il obtienne des preuves photographiques, malgré la difficulté de capturer leur engin.

À sa grande surprise, l’homme lui annonce qu’ils doivent partir rapidement pour le lieu n°2 et l’invite à le suivre. Déconcerté, Howard reste immobile. Son interlocuteur lui indique d’attendre un instant, puis fait signe au second homme, qui descend du vaisseau et lève un instrument vers lui.

Howard est frappé par un rayon de lumière bleuâtre émis par cet instrument tenu par l’un des hommes de l’espace. Il ressent un tintement dans ses oreilles et une agréable chaleur sur son corps. Après cette irradiation, il est invité à entrer dans l’astronef, dont la porte se referme derrière lui.

Déstabilisé par l’étrangeté de la situation, il cherche un repère familier et regarde sa montre, qui s’est arrêtée à une heure moins le quart. En la secouant, il parvient à la remettre en marche. L’homme aux commandes du vaisseau observe cette scène avec amusement.

Soudain, les parois du vaisseau deviennent lumineuses, et une secousse indique qu’ils ont décollé, bien qu’aucun mouvement ne soit perceptible. Peu après, une nouvelle secousse survient, et une ouverture apparaît dans la cloison : ils sont arrivés au lieu n°2.

Howard est stupéfait de reconnaître un arbre qu’il connaît bien, confirmant leur arrivée. L’astronef est posé discrètement, invisible dans l’obscurité. Autour, seule une lumière intermittente brille à environ huit kilomètres, et quelques aboiements de chiens de ferme rompent le silence.

Revenu de son émerveillement, Howard bombarde ses compagnons de questions sur le rayon bleu, la secousse du départ et l’arrêt de sa montre, impatient d’obtenir des réponses.

Howard : « Mes amis se contentèrent de rire, et l’un d’entre eux me ; dit qu’ils essaieraient de répondre à toutes mes questions si je leur en donnais le temps. Il m’expliqua que c’était un voyage expérimental, pour déterminer s’il était possible de faire des photos de l’astronef à l’intérieur de son flux magnétique, d’emmener ensuite l’appareil de photo dans le vaisseau de l’espace, puis de faire d’autres photos sans abîmer la pellicule.

Je me sentis flatté quand ils m’expliquèrent qu’ils avaient équipé ce navire exprès pour moi : ils avaient installé des instruments accessoires spéciaux qui, espéraient-ils, empêcheraient les effets du magnétisme et des rayons qui souvent abîmaient les films, magnétisaient nos montres et affectaient notre équipement électrique.

Je leur dis que je pensais que ma montre s’était arrêtée quand nous étions entrés dans le navire, et il me répondit que oui. Quand l’homme devant le tableau de bord avait poussé un certain bouton, cependant, les conditions magnétiques avaient été neutralisées. C’est pourquoi ma montre était repartie. Il espérait que les nouveaux instruments remédieraient aux conditions magnétiques qui affectaient les appareils photographiques et d’autres instruments, et pouvaient peut-être blesser le corps physique.

 Maintenant, en ce qui concerne votre première question », continua-t-il, « nous avons projeté le rayon sur vous pour conditionner et traiter votre corps physique d’une façon telle que vous puissiez entrer sans inconvénient dans l’astronef. Ce qui s’est produit, c’est que le rayon a changé la fréquence de votre corps physique pour qu’elle devienne égale à celle de l’astronef, de façon que vous soyez à l’aise dans l’intérieur de l’astronef et que vous ne subissiez pas de mauvais effets. »

Howard apprend que le rayon bleuâtre projeté sur lui aurait pu provoquer une sensation de brûlure s’il avait eu peur. Cette réaction chimique est l’une des raisons pour lesquelles les extraterrestres évitent de s’approcher trop près des humains, la peur étant un obstacle à une interaction sûre. Il en conclut que la peur résulte d’un manque d’amour et de confiance.

Après avoir répondu à ses nombreuses questions, les extraterrestres lui suggèrent de prendre d’autres photos de leur vaisseau. Howard perçoit leur enthousiasme, qui lui rappelle celui de son propre enfant lors de séances photo en famille.

Le vaisseau décolle, s’éloigne d’environ un kilomètre, et Howard en profite pour prendre plusieurs clichés. À son retour, il leur montre les images, et ils constatent que le film n’a pas été endommagé grâce à leur nouvel équipement. Cependant, les photos restent floues, nécessitant des ajustements. Intrigué par leur insistance sur ses photos alors qu’ils disposent sûrement de meilleures technologies, Howard leur pose la question. Les deux hommes échangent un regard complice et sourient, laissant planer le mystère.

Howard : « L’un d’entre eux saisit quelque chose dans son uniforme de skieur, bien que je ne pusse voir aucune poche s’ouvrir, et en retira quelque chose de brillant qu’il tint dans sa paume de sa main. Il ouvrit ensuite sa main lentement et me dit de regarder. Le temps d’un éclair, il me laissa voir ce qu’il tenait. Ensuite il ferma sa main et remit l’objet dans son uniforme. Ce bref instant m’avait suffi pour contempler un objet que j’appellerai une photo, mais qui est fort difficile à décrire. C’était une vision où il y avait du vert, du ciel bleu et des constructions fantastiques. L’objet était lumineux et j’avais plus l’impression de regarder à travers une fenêtre une scène réelle à trois dimensions qu’un objet plat. »

Howard comprend que les extraterrestres évitent de révéler trop brusquement leur technologie aux humains, pour ne pas provoquer un choc comparable à celui qu’aurait ressenti son grand-père en découvrant soudainement la télévision. Il cesse alors de poser des questions sur leurs appareils photographiques.

Après un voyage éclair, il est déposé au lieu n° 1. Avant de partir, les extraterrestres lui annoncent qu’un voyage bien plus long l’attend prochainement. L’un d’eux pointe du doigt l’horizon, où une lumière s’élève, sans donner plus d’explications.

Une fois seuls, Howard les salue tandis que leur vaisseau plane au-dessus de sa voiture avant de filer vers l’ouest. Lorsqu’il tente de démarrer son véhicule, il réalise que la batterie est anormalement chaude, probablement affectée par la proximité du vaisseau. Après quelques vérifications, il parvient finalement à démarrer.

En rejoignant la route, il aperçoit une lumière sur l’horizon, qui se révèle être la lune flottant au milieu des nuages. Il se remémore la promesse d’un long voyage et se demande si le geste de l’extraterrestre indiquait qu’il allait bientôt partir… pour la Lune.

Vaisseau de reconnaissance Vénusien flottant au-dessus du champ de la zone de contact n°1
Photo Polaroïde prise par l’auteur
Vaisseau de reconnaissance Vénusien flottant au-dessus du champ de la zone de contact n°1
Photo Polaroïde prise par l’auteur
2 images extraites d’un film tourné par Howard Menger à l’emplacement n°1. Elles sont des images extraites de manière rapprochée du film qui montre un vaisseau spatial qui descend et atterrit (les zébrures  colorées sont dues au fait qu’ici c’est une image scannée depuis une impression papier)
Image 1 - 2 images extraites d’un film tourné par Howard Menger à l’emplacement n°1. Elles sont des images extraites de manière rapprochée du film qui montre un vaisseau spatial qui descend et atterrit (les zébrures  colorées sont dues au fait qu’ici c’est une image scannée depuis une impression papier)
2 images extraites d’un film tourné par Howard Menger à l’emplacement n°1. Elles sont des images extraites de manière rapprochée du film qui montre un vaisseau spatial qui descend et atterrit (les zébrures  colorées sont dues au fait qu’ici c’est une image scannée depuis une impression papier)
Image 2 - 2 images extraites d’un film tourné par Howard Menger à l’emplacement n°1. Elles sont des images extraites de manière rapprochée du film qui montre un vaisseau spatial qui descend et atterrit (les zébrures  colorées sont dues au fait qu’ici c’est une image scannée depuis une impression papier)
Photo extraite d’un film pris au lieu n° 1. L’astronef est photographié juste avant son atterrissage
Image 3 - Photo extraite d’un film pris au lieu n° 1. L’astronef est photographié juste avant son atterrissage
Photo extraite d’un film pris au lieu n° 1. L’astronef est photographié juste avant son atterrissage
Image 4 - Photo extraite d’un film pris au lieu n° 1. L’astronef est photographié juste avant son atterrissage
Le vaisseau atterrit. Il est environné d’une aura circulaire de lumière blanche.
Le vaisseau atterrit. Il est environné d’une aura circulaire de lumière blanche.
Une femme de l’espace vénusienne munie d’une combinaison sortie d’un vaisseau marche vers Howard Menger. Juste après qu’elle ait touché un gadget brillant sur sa ceinture, elle a disparu. Un homme de l’espace qui était à côté d’elle dit à Howard qu’elle est retournée au vaisseau (système de téléportation individuel).
Une femme de l’espace vénusienne munie d’une combinaison sortie d’un vaisseau marche vers Howard Menger. Juste après qu’elle ait touché un gadget brillant sur sa ceinture, elle a disparu. Un homme de l’espace qui était à côté d’elle dit à Howard qu’elle est retournée au vaisseau (système de téléportation individuel).
Deuxième photo faisant suite à la précédente. Une lumière se développe depuis l’objet touché, le système de téléportation s’active et la femme va disparaître ensuite.
Deuxième photo faisant suite à la précédente. Une lumière se développe depuis l’objet touché, le système de téléportation s’active et la femme va disparaître ensuite.

À la fin de l’été 1956, Howard reçoit de ses visiteurs une liste de témoins potentiels et une date pour un atterrissage. Lorsqu’il emmène un petit groupe de personnes au lieu n°1 fin août, la nuit est sombre et orageuse, accentuant l’excitation du moment. Parmi les témoins, principalement des habitants locaux, se trouve un physicien d’une grande université de l’Est. Conscient de la possible réaction des témoins face à une rencontre aussi extraordinaire, Howard leur recommande d’observer calmement sans s’approcher brusquement des objets ou des êtres qu’ils pourraient voir.

Un astronef noir invisible plane au-dessus d’eux, tandis que des lumières pulsatiles apparaissent près des bois. Un message télépathique informe Howard qu’ils peuvent s’en approcher. Ils découvrent alors des petits disques lumineux, de tailles variées, qui enregistrent les pensées et émotions des témoins. Howard leur explique leur nature sans révéler leur véritable fonction et leur demande de ne pas s’approcher trop près, évitant d’évoquer leur champ magnétique.

Quelques nuits plus tard, les visiteurs lui indiquent d’inviter à nouveau les mêmes témoins, estimant qu’ils sont prêts à les voir en personne. Les hommes de l’espace atterrissent dans un endroit boisé, à 400 mètres de la maison d’Howard. Ils rejoignent les témoins en traversant un verger, où Howard s’avance à leur rencontre et engage la conversation.

Vaisseau spatial filmé de nuit
Vaisseau spatial Vénusien filmé de nuit par Howard Menger

Howard : « Mes témoins nous voyaient parfaitement bien. Ces hommes d’une autre planète étaient très grands, ils avaient presque deux mètres dix ! Et je défie n’importe quel homme de notre planète d’égaler les facultés physiques qu’ils déployèrent, à l’a surprise de leurs spectateurs. Une de leurs prouesses fut de sauter tout en donnant l’impression de glisser par-dessus une haie d’un mètre cinquante de haut et en franchissant une distance de six mètres ou plus en un temps anormalement court.

À un moment, la lumière des phares d’une auto qui passait sur la route balaya le verger ; nos visiteurs sautèrent et coururent de-ci, de-là, comme s’ils essayaient d’éviter la lumière des phares. J’appris plus tard que la lumière de nos lampes électriques artificielles, aussi bien que notre vive lumière du jour, trouble, contrarie, et est parfois douloureuse pour quelques-uns d’entre eux. »

Mary Ann Tharp, à l’endroit où un groupe de témoins dont elle faisait partie avec Howard Menger ont observé des hommes de l’espace passer par-dessus les buissons et clôture sur une distance totale de 15 pieds (4,5 mètres)
Mary Ann Tharp, à l’endroit où un groupe de témoins dont elle faisait partie avec Howard Menger ont observé des hommes de l’espace passer par-dessus les buissons et clôture sur une distance totale de 15 pieds (4,5 mètres)
Mary Ann Tharp à l’endroit où elle a vu un disque volant, avec les personnes d’un groupe de témoin et Howard
Mary Ann Tharp à l’endroit où elle a vu un disque volant, avec les personnes d’un groupe de témoin et Howard

Howard : « L’atmosphère totalement brumeuse et nuageuse qui environnait jadis notre planète s’est maintenant dissipée, et il en résulte que nous recevons directement la lumière solaire sans qu’un filtre naturel nous protège. Je marchai vers l’un des visiteurs, lui serrai la main et échangeai quelques mots avec lui en anglais. Ensuite je me retournai et marchai avec lui, qui avait environ une tête de plus que moi, vers nos spectateurs. Il s’arrêta à une distance d’environ trois mètres d’eux. En même temps, les témoins pouvaient observer deux autres hommes et une jeune fille. Je peux décrire les réactions d’un des témoins en reproduisant partiellement une interview radiophonique. Celui-ci allait être un des programmes d’une série de programmes originaux qui allaient amener des milliers de gens à me voir et à entendre mon histoire de ma bouche.

Je parle en ce moment des émissions intitulées : « Party line de Long John », diffusées par la station WOR de New York city, présidées par John Nebel, connu de millions d’auditeurs sous le nom de Long John. »

Howard Menger regarde un astronef qui approche de jour.
Howard Menger regarde un vaisseau spatial Vénusien qui approche de jour.
Vaisseau spatial filmé de jour par Howard Menger
Vaisseau spatial Vénusien filmé de jour par Howard Menger
Howard Menger filme le vaisseau spatial, et il est lui-même pris en photo par un autre témoin qui l'accompagne. Le vaisseau est presque invisible parce qu’il émet de la lumière.
Howard Menger filme le vaisseau spatial, et il est lui-même pris en photo par un autre témoin qui l'accompagne. Le vaisseau est presque invisible parce qu’il émet de la lumière.
Le vaisseau filmé par Howard Menger a atterri. Il émet de la lumière blanche
Le vaisseau filmé par Howard Menger a atterri. Il émet de la lumière blanche

Le père de Howard Menger, initialement assez sceptique et notamment au vu de ses premières photos, fera partie aussi des témoins et voici un échange en tant que témoin qu’il a eu sur la radio aux USA :

Howard : « Je sais que le témoignage de son propre père n’est pas considéré comme aussi acceptable que celui de quelqu’un qui n’est pas membre de la famille, pourtant je cite le témoignage de mon affectionné père, qui est mort en 1957. Voici un extrait de son interview :

Long John (s’adressant à mon père) : « Voulez-vous dire qu’ils avaient une taille normale ?

M. Menger : Oh, non ! L’un d’eux avait environ un mètre quatre-vingt-dix et l’autre avait environ un mètre quatre-vingts.

L. J. – Étiez-vous assez proche d’eux pour voir les traits de leur visage ?

M. M. – Non, je ne l’étais pas.

L. J. – Avez-vous remarqué ce qu’ils portaient ?

M. M. – Jusqu’à un certain point, oui. Autant que j’ai pu le voir, ils portaient quelque chose de semblable à des costumes de ski, étroits aux poignets et aux hanches, et le reste paraissait être… eh bien… je ne sais pas comment dire…

L. J. – Je pense que vous faites un très bon travail. Ne vous inquiétez pas à propos des mots que vous choisissez… Tout le monde a une vision différente des choses, comme les trois hommes aveugles qui examinaient un éléphant. Vous savez ce que je veux dire… chacun dit quelque chose de différent, et je ne veux pas être méchant, M. Menger. Par exemple, cette chemise de sport verte que vous avez sur vous : quelqu’un d’autre pourrait dire : je n’ai pas remarqué qu’il portait une chemise de sport verte, mais j’ai aimé le complet croisé à rayures qu’il avait sur lui. Tout le monde remarque ce qui est exceptionnel. Je pense que vous êtes d’accord. Quelle sorte de nuit était-ce ?

M. M. – C’était une nuit sombre… mais ces gens semblaient émettre de la lumière. C’est ainsi que nous avons découvert qu’ils venaient vers nous : par la lumière qui émanait d’eux. Nous nous sommes rencontrés à un endroit où l’herbe dépassait quatre-vingt-dix centimètres ; je sais cela positivement parce que j’en ai coupé. Ils la traversaient comme s’ils marchaient sur un chemin bien tracé, sans effort du tout.

L. J. – Mais après… le lendemain, quand vous avez examiné ces herbes, étaient-elles foulées ?

M. M. – Je suis désolé, je n’ai pas fait attention.

L. J. – Vous avez vu les astronefs, vous aussi, n’est-ce pas ?

M. M. – Oh oui, je les ai vus dans l’air et dans la journée, et au début j’étais très sceptique.

L. J. – Vous ne l’êtes plus, ou l’êtes-vous encore ?

M. M. – Non, plus maintenant. »

Et j’aimerais penser que mon père a quitté cette terre en sachant au moins une fraction de la vérité. »


Howard : «  « Maintenant je vais produire une autre interview à propos d’une rencontre d’hommes de l’espace : 10 janvier 1957.

Enregistrement d’une conversation entre un M. X. et Long John. M. X. raconte à Long John une expérience avec des extra-terrestres. M. X., après avoir travaillé comme physicien pendant une quinzaine d’années, est maintenant homme d’affaires à New York :

« M. X. – Ainsi nous partîmes tous les cinq, et il nous emmena en pleine campagne. Nous avançâmes au milieu de taillis épais.

L. J. – Vous étiez cinq ?

M. X. – Oui (M. Howard, Rose, une jeune femme et sa mère), et Rose Menger nous désigna du doigt une lumière qui brillait à travers les arbres.

L. J. – Avez-vous réellement vu cette lumière ?

M. X. – Oui, nettement. Elle devenait de plus en plus brillante. Son intensité variait. Elle devenait de moins en moins brillante pendant une quinzaine de secondes, ensuite pendant trente secondes redevenait de plus en plus brillante…

L. J. – À quelle distance était cette lumière de l’endroit où vous vous trouviez ?

M. X. – D’abord à soixante-dix mètres de nous, environ ; peut-être quatre-vingt-dix mètres. On ne pouvait la voir qu’à travers les arbres. Nous nous arrêtâmes dans une clairière d’environ trente mètres de diamètre. Au-delà de cette clairière il y avait des arbres, et c’est à travers ces arbres que nous avons vu la lumière.

L. J. – Qu’est-ce que vous avez fait après ça ?

M. X.- Howard Menger a dit brusquement : attendez ici ! et il a marché vers la lumière. Il n’est pas allé très loin, il a dû avancer d’une douzaine de mètres. Puis il a stoppé et nous avons entendu deux voix masculines qui parlaient ensemble.

L. J. – Était-il dans une clairière ?

M. X. – Non, il marchait au milieu des arbres. Il s’était enfoncé de cinq ou six mètres dans la forêt.

L. J. – Aviez-vous une lampe électrique ou de quelque autre genre ?

M. X. – Oui, nous avions une lampe électrique pour aller à notre rendez-vous.

L. J. – Est-ce que votre lampe électrique était allumée pendant que M. Menger marchait vers ce bouquet d’arbres ?

M. X. – Non, il nous avait demandé de l’éteindre.

L. J. – Vous entendiez deux voix, une que vous avez reconnue comme étant celle de M. Menger… et est-ce que vous avez l’impression que l’autre voix aurait aussi pu être celle de M. Menger ?

M. X. – Non, elle était différente. Elle était plus chantante que la sienne.

L. J. – Est-ce que vous vous souvenez de leur conversation ?

M. X. – J’ai écouté autant que je le pouvais. Mais malgré mon désir je ne percevais pas les mots. Leur conversation a continué au moins une demi-heure.

[…] »


Un soir, alors que Howard et sa famille s’apprêtent à se coucher, quatre hommes frappent à leur porte. Trois se présentent comme des policiers hors service et le quatrième comme un journaliste. Animés par la curiosité, ils veulent entendre directement son témoignage sur ses rencontres extraterrestres.

Howard leur raconte ses expériences, mais lorsqu’ils demandent à voir les photos, il doit avouer qu’il les a prêtées à un ami, ce qui accroît leur scepticisme. Il décide alors d’aller les récupérer. En route, il entend soudain une voix inconnue couvrir le son de sa radio. Celle-ci l’instruit de montrer les photos à ses visiteurs, puis de les emmener sur un site précis où un astronef et un petit disque seront visibles. Trois hommes les y attendront, et il est demandé de ne pas apporter d’armes ni de lampes.

De retour chez lui, Howard montre les photos aux visiteurs, qui restent sceptiques mais intrigués. Lorsqu’il leur propose de se rendre sur le site, ils acceptent avec enthousiasme. Il leur rappelle de ne pas apporter d’armes ou de lampes, ce qu’ils assurent respecter.

Howard emmène les visiteurs au lieu n° 2, où il aperçoit une lueur pulsatile et distingue le contour d’un astronef au-dessus des arbres. Deux des hommes voient la lueur mais pas l’astronef. Il leur demande d’attendre près de la voiture pendant qu’il avance pour rencontrer les visiteurs de l’espace. Sur place, il salue un homme vêtu de façon ordinaire et aperçoit deux autres individus à côté d’un disque d’observation posé au sol.

Soudain, le disque change de couleur, passant du blanc-bleuâtre à l’orange, signe d’un problème. L’homme explique que cela provient de la peur et de l’ignorance d’un des visiteurs, qui porte une arme et pourrait s’en servir sans hésitation. Howard comprend alors que les hommes ont menti en affirmant être désarmés.

Déçu, il remercie les extraterrestres et retourne vers les visiteurs humains, leur expliquant que le disque est bien présent mais qu’ils ne peuvent pas s’approcher. Cependant, ceux-ci restent sceptiques et échangent des sourires entendus, montrant qu’ils ne le croient pas.


Howard : « L’investigation la plus consciencieuse fut menée par Jules Saint Germain, un juge de Lynbrook, Long Island. Cet homme conduisait ses recherches d’une façon si intelligente et si adroite que nous le respections profondément.

Bien que des centaines de gens assiégeaient notre maison, Saint Germain s’arrangeait pour parler seul à seul avec les témoins, et il enregistrait au magnétophone leurs dépositions. La meilleure des dépositions, à mon avis, fut celle du physicien. Les témoins parlaient patiemment pendant deux solides heures dans le micro de Saint Germain, et lui disaient d’une façon complètement impartiale ce qu’ils avaient vu.

Un soir, tandis que Saint Germain, Lee Munsick, et un autre homme quittaient ma maison, ils dirent qu’ils allaient aller au lieu n° 1 avant de rentrer chez eux ; ils espéraient voir quelque chose. Je souris, car je savais que mes amis de l’espace rendaient témoins de leur existence et de celle de leur astronef autant de gens que possible à cette époque et sentais qu’ils pourraient réellement voir quelque chose qui diminuerait leur scepticisme. « Vous allez revenir me voir », leur dis-je quand ils partirent.

Trente minutes plus tard, ils sonnaient de nouveau à la porte. Deux d’entre eux avaient l’air perplexes, la figure du troisième était blanche. Quelque chose s’était produit, mais il me fut impossible de rien tirer d’eux. »

Il y a un récit l’expérience de téléportation de Howard Menger, qui affirme avoir développé des capacités paranormales grâce à son contact avec des êtres extraterrestres.

Dans un premier récit, Howard décrit comment, alors qu’il travaillait tard dans son magasin à peindre une enseigne, il s’est soudainement retrouvé téléporté à un endroit situé à treize kilomètres de là, un site où il avait déjà vécu des expériences extraordinaires de contact auquel il pensait. Il réalise qu’il a quitté son magasin sans moyen de transport et qu’il est réellement présent dans ce nouvel endroit. Après un moment, il parvient à revenir à son point de départ en se concentrant mentalement sur son magasin. La peinture qu’il était en train d’appliquer avant sa disparition ayant eu le temps de sécher, il conclut que son absence était bien réelle. Il explique ensuite que la téléportation repose sur une capacité à visualiser parfaitement un lieu et à s’y projeter mentalement, un savoir que les extraterrestres maîtrisent mais que l’humanité a perdu avec le temps.

Le second récit relate une autre expérience de téléportation, cette fois avec un témoin. Un soir, alors qu’Howard est à plus d’une heure et demie de route pour un dîner, sa belle-sœur Marie, qui dîne chez lui avec sa famille, entend frapper à la porte. Elle ouvre et voit Howard, qui lui tend une pipe sans un mot. Après qu’elle l’a saisie, il fait deux pas en arrière et disparaît sous ses yeux. Dix minutes plus tard, Howard téléphone depuis son lieu de dîner pour demander si elle l’a bien vu, confirmant ainsi son expérience. Marie et d’autres témoins confirment les faits lors d’une interview radiophonique.

Ces témoignages illustrent la capacité de Howard à se téléporter avec des capacités supérieures que l’humanité aurait perdues au fil du temps.

Howard raconte une expérience étrange survenue après qu'il a perdu le contrôle de sa voiture, laquelle l’a conduit mystérieusement jusqu’à une vieille cabane isolée dans les bois. Là, il découvre un homme jouant une musique envoûtante sur un instrument ressemblant à un piano. Cet homme, accompagné de deux autres individus blonds, se révèle être un Saturnien, tandis que les deux autres viennent de Vénus. Ils lui expliquent qu’ils l’attendaient et l’invitent à jouer du piano, bien qu’il n’en ait jamais appris. Sous leur influence, il se met pourtant à jouer instinctivement une mélodie qu’il connaissait inconsciemment.

Par la suite, il découvre que cette musique a un effet profond sur ceux qui l’écoutent, déclenchant une réponse subconsciente et élevant leur niveau de conscience. Encouragé, il diffuse sa musique à travers le pays et finit par enregistrer un disque intitulé Musique d’une autre planète. Cette rencontre marque un tournant dans sa vie, lui révélant des capacités musicales insoupçonnées, qu’il attribue aux enseignements de ses mystérieux visiteurs extraterrestres.

Ecouter la musique de Saturne :

Howard raconte comment des végétaux provenant de la Lune ont été confiés à un de ses contacts humains, un homme d’affaires impliqué dans les échanges avec des extraterrestres. Parmi ces végétaux, une pomme de terre lunaire a été analysée dans un laboratoire de Philadelphie, révélant une teneur en protéines bien supérieure à celle des pommes de terre terrestres.

Howard et ses associés ont ensuite tenté de faire réaliser une datation au carbone 14, mais le coût élevé les en a dissuadés. Un autre laboratoire gouvernemental a ensuite accepté d’examiner les spécimens gratuitement. L’analyse a révélé des propriétés inhabituelles, notamment une surface cristalline observée au microscope.

Cependant, après avoir confié les échantillons à des autorités scientifiques en 1958, ils n’ont jamais reçu de nouvelles des résultats, laissant entendre que ces analyses auraient été classées secrètes. Howard regrette que ces découvertes ne soient pas accessibles à tous et estime que la science devrait être partagée librement.

Howard apprend qu’il a été sélectionné, avec deux autres hommes, pour participer au « Projet Lune », consistant notamment à tester des aliments extraterrestres et des végétaux cultivés sur la Lune. Bien qu’il ne comprenne pas immédiatement l’objectif de cette mission, il est trop enthousiaste à l’idée de voyager jusqu’à la Lune pour poser des questions. Il mentionne également que certains hommes n’ont pas pu participer en raison de contraintes familiales.

Arrivé sur un site de lancement, Howard aperçoit deux astronefs entourés de plusieurs dizaines de personnes. Un jeune homme, utilisant un instrument émettant une lumière pourpre pour enregistrer leurs ondes cérébrales, leur indique qu’ils sont presque en retard. Ils assistent ensuite au démontage rapide d’une structure équipée de lumières rouges pivotantes, dont les sections sont chargées à bord du vaisseau principal.

Howard et son groupe montent par un escalier métallique à bord de l'astronef plus petit, s’installent autour d’une grande table ronde translucide, et la porte se referme. Un sifflement aigu signale les préparatifs du décollage. Ne sachant pas encore leur destination exacte, il apprend par une jeune femme télépathe qu’ils vont probablement orbiter autour de la Lune une ou deux fois. Peu après, l’écran de bord affiche une vue rapprochée de la surface lunaire, comme s’ils étaient à quarante kilomètres de distance.

Howard : « « Est-ce que nous y sommes déjà », demandai-je, me rappelant notre rapide voyage dans l’espace quand nous étions allés observer Vénus.

La jeune femme rit. « Howard, nous n’avons même pas quitté le sol ! Nous pouvons examiner de loin n’importe quelle planète comme si nous la voyions de près avec nos instruments. » Je regardai l’écran. Il redevint momentanément obscur, puis nous révéla ce que je supposai être un cratère.

L’image parut s’approcher et je pus voir, dans l’obscurité du cratère, des lumières bleues et vertes. « Pourquoi est-ce que nos astronomes ne peuvent pas voir ces couleurs ? » demandai-je, et elle répondit : « Vos instruments ont une puissance limitée parce que vous utilisez la lumière, qui est une ferme dérivée d’énergie, et qui est réfléchie sur l’atmosphère, qui elle-même réfléchit un effet de distorsions atmosphériques. Nous n’utilisons pas ce type d’énergie. Notre source d’énergie, bien qu’elle soit dérivée, ne comporte pas de distorsion. Nous pouvons déceler et même photographier dans votre propre atmosphère des formes que la lumière ne révèle pas »

Ensuite l’écran nous montra les environs du cratère. Je vis des constructions en forme de dôme et un astronef qui atterrissait à côté de l’une d’elles. À ce moment je sentis la petite secousse qui accompagnait parfois le décollage et je sus que nous voguions à travers l’espace. L’écran devint sombre. »

Alors que Howard et son groupe sont à bord de l’astronef, un panneau s’ouvre et deux nouveaux arrivants, des hommes de la Terre (que Howard est surpris de reconnaître de plus), accompagnés par un être de l’espace, les rejoignent. Ils s’installent à la table, portant à neuf le nombre de personnes présentes dans la salle centrale. L’éclairage baisse et l’écran de bord affiche de nouveau la Lune, qui semble grandir à une vitesse vertigineuse.

Howard observe des objets foncer vers eux avant de dévier brusquement, protégés par le champ de force du vaisseau. En demandant leur vitesse, il apprend qu’ils se déplacent à 131 962 km/h, ajustant leur allure en fonction des obstacles rencontrés. Le pilote lui explique que ces objets sont des blocs de matière en formation, qui s’agrègent pour créer des planètes, et qu’ils représenteront un danger pour les futures missions spatiales terrestres si un moyen de les repousser n’est pas découvert.

Pendant ce temps, les autres passagers restent silencieux, captivés par la vision détaillée de la surface lunaire. Howard conclut qu’ils ont déjà effectué au moins deux orbites autour de la Lune, reconnaissant certaines régions. Enfin, au loin, ils aperçoivent la Terre, brillant d’un bleu clair avec des taches rouges, flottant comme une balle de tennis dans l’immensité noire de l’espace.

Howard : « Quand je vis la Terre, je saisis ma caméra et attendis jusqu’au moment où je pus voir notre planète par un hublot. Je la visai à travers le viseur de mon appareil de photo et je fis une photo. J’essayai aussi de faire quelques photos de la lune.

Des cinq photos, deux étaient indistinctes. Les trois autres étaient plutôt floues, mais elles sont pour moi des preuves sans prix que nous avons vraiment orbité autour de la lune. « Vous rentrez chez vous » m’annonça l’homme qui accompagnait la jeune femme et l’écran de télévision nous montra notre planète qui approchait rapidement. Quand nous atterrîmes dans le champ d’où nous avions décollé, je regardai ma montre, et vis que nous n’avions été absents que pendant deux heures. « N’ayez pas l’air si désappointé, Howard », me dit la jeune femme pendant que nous nous quittions. « Peut-être la prochaine fois alunirez-vous ! » »

Howard raconte une nouvelle rencontre avec un homme qui avait été organisée par téléphone, qui l’emmène une fois de plus à bord d’un astronef. Cette fois, la destination annoncée est la Lune. À bord, il retrouve des connaissances, dont un vieil ami qui avait été persécuté par des groupes orthodoxes.

L’astronef décolle avec six passagers : deux visiteurs de l’espace et quatre hommes de la Terre. L’un des extraterrestres explique qu’un processus va modifier la structure atomique de leurs corps pour les adapter aux conditions lunaires. Cette transformation, qui changera leur polarité et fréquence vibratoire, durera environ une semaine et demie. Howard et ses compagnons observent la Terre s’éloigner sur un écran tandis que l’instructeur les rassure sur la nature illusoire de la réalité et sur leur sécurité tout au long du voyage.

Howard et ses compagnons subissent une transformation physique à bord de l’astronef, ressentant des sensations amplifiées : pensées plus claires, couleurs plus vives, sens du toucher et de l’odorat accrus. Après cette phase d’adaptation, ils sont conduits à leurs cabines pour se reposer.

Le voyage se poursuit jusqu’au moment tant attendu de l’atterrissage sur la Lune. L’homme au tableau de contrôle donne à Howard un objet contenant des filtres colorés pour prendre des photos. Il capture une image nette montrant des formations nuageuses et l’atmosphère lunaire, mais à mesure qu’ils se rapprochent de la surface, la qualité de ses clichés se dégrade.

La Lune, photographiée de près par Howard Menger lors de son voyage de visite de la Lune en compagnie de plusieurs autres contactés comme lui. Cette photo montre quelques nuages atmosphériques. En haut, à gauche, hublot de l’astronef.
La Lune, photographiée de près par Howard Menger lors de son voyage de visite de la Lune en compagnie de plusieurs autres contactés comme lui. Cette photo montre quelques nuages atmosphériques. En haut, à gauche, hublot de l’astronef.

Howard et ses compagnons approchent d’un immense édifice en forme de dôme translucide, illuminé de l’intérieur, reposant sur une structure blanche. En atterrissant, ils glissent sur une piste cuivrée jusqu’à une large entrée menant à un immense hangar pour astronefs.

Après avoir emprunté des escaliers mécaniques, ils arrivent dans un grand hall décoré de plantes, de fleurs et de bas-reliefs sculptés. Des femmes vêtues de robes pastel leur offrent des rafraîchissements tandis qu’ils s’installent devant des écrans diffusant des programmes éducatifs et de divertissement provenant d’autres planètes. Le groupe attend ensuite l’arrivée de leurs guides.

Howard est séparé de ses compagnons et rejoint un autre groupe. Après avoir traversé un couloir, ils montent à bord d’un train flottant, composé de plateformes sous des dômes en plastique, qui glisse silencieusement au-dessus d’une piste de cuivre.

Le voyage leur fait découvrir une cité lunaire avec de nombreuses constructions, puis des paysages variés comprenant montagnes, vallées et installations souterraines. Les paysages de la face cachée de la Lune rappellent à Howard certaines régions terrestres comme Flagstaff en Arizona ou le Nevada, avec d’immenses falaises et montagnes imposantes. L’émerveillement est constant parmi les passagers face à ces visions spectaculaires.

Photo 23 - Photo prise sur la Lune. Un vaisseau spatial s’approche d’un des cratères.
Photo 23 - Photo prise sur la Lune. Un vaisseau spatial s’approche d’un des cratères.

Howard : « Un certain désert local évoquait la Vallée de feu de notre Nevada. Nous nous y arrêtâmes assez longtemps pour que notre guide puisse ouvrir notre porte et nous permettre de mettre nos têtes dehors pendant un bref moment, ce qui était tout ce que nous pouvions faire, car l’air était terriblement brûlant à l’extérieur, comme l’air d’une fournaise. »

Photo 24 - Apparence typique de terrain lunaire. Au centre du cratère, un édifice en forme de dôme.
Photo 24 - Apparence typique de terrain lunaire. Au centre du cratère, un édifice en forme de dôme.

Howard et son groupe observent l’épave d’une fusée enfoncée dans le sable lunaire, vestige d’une tentative ratée d’exploration spatiale par une civilisation inconnue. Leur guide parle avec respect des astronautes disparus, qualifiant leur mission de courageuse. L’engin, vraisemblablement lancé en 1944, semble s’être écrasé après un dysfonctionnement.

Le voyage se poursuit jusqu’à un autre édifice en forme de dôme, où leur guide leur annonce qu’ils pourront sortir et respirer l’air lunaire avec peu de difficulté, ce qui réjouit le groupe après leur long trajet.

Howard découvre un paysage lunaire désertique, avec un air chaud et sec, un ciel jaunâtre et un horizon étrangement proche. Le sol est constitué de sable poudreux parsemé de rochers et de petites plantes, donnant une impression de beauté sauvage mêlée de désolation.

Il regrette que la fusée écrasée plus tôt n’ait pas atterri sur un autre versant de la lune, où l’équipage aurait eu plus de chances de survivre. Ensuite, les visiteurs sont divisés en groupes selon leur langue et assignés à des guides. Howard se retrouve avec des scientifiques, ingénieurs et astronomes, dont certains lui sont familiers.

Photo 25 - Cette photo prise sur la Lune par Howard Menger montre un astronef atterrissant à côté d’une construction en forme de dôme. L’auteur n’eut l’autorisation de prendre que quelques photos pendant sa visite sur la Lune : quelques-unes d’entre elles ne sont pas publiées.
Photo 25 - Cette photo prise sur la Lune par Howard Menger montre un astronef atterrissant à côté d’une construction en forme de dôme. L’auteur n’eut l’autorisation de prendre que quelques photos pendant sa visite sur la Lune : quelques-unes d’entre elles ne sont pas publiées.

Howard décrit la camaraderie qui unit les membres de différentes nations, malgré les barrières linguistiques. Il n'a pas accès aux aspects techniques réservés aux experts, mais observe des expositions intéressantes. Parmi elles, une exposition interplanétaire où chaque planète est représentée par des œuvres artistiques et technologiques. On lui montre aussi des techniques avancées de culture, avec des plantes poussant dans des cuves contenant une substance ressemblant à de la gelée.

Howard décrit l'émerveillement qu'il ressent lors de la visite des installations lunaires. Ils sont montrés des vêtements nettoyés par des ondes de haute fréquence et des pierres précieuses taillées. Leur étonnement est comparé à celui d'un indigène découvrant une grande ville. Après quatre jours d'exploration, un dîner somptueux les comble de joie, et Howard se demande si tout cela n'est qu'un rêve. Bien qu'il ait pris quelques photos, il n'est pas autorisé à en prendre de nombreuses. Leur voyage de retour se fait rapidement, et ils arrivent bientôt à leur point de départ.

Commentaire personnel :

Howard n’indique pas de ré-adaptation physique au retour. Il semble que le traitement subi a rendu le corps de Howard (et des autres) résistant aux radiations reçues sur la Lune (qui n’a pas d’atmosphère épaisse pour filtrer les rayonnements, ni de champ magnétique déviant les particules ionisées). Le traitement subi n’a semble-t-il pas servi à élever en vibration le corps de Howard vers un autre plan, mais à l’immuniser aux radiations semble plus probable.

Il n’y a besoin de « dés-immuniser » pour un retour sur Terre. Si son corps résistait mieux aux radiations avec ce traitement, inutile de devoir enlever cette résistance de retour sur Terre où ces radiations n’existent pas. Il est aussi probable, que soumis au champ énergétique terrestre, et avec le temps passant, la structure atomique du corps de Howard retrouve peu à peu sa conformation précédente seule.

Commentaire personnel :

Avant de lire la suite, il faut avoir conscience que, comme l’a dit Howard plusieurs fois lors d’interviews, la vie sur Vénus existe sur un autre plan dimensionnel vibratoire que le nôtre. C’est en accord avec des informations données par exemple par Omnec Onec et aussi Anne Givaudan qui racontent la vie sur Vénus dans ce plan vibratoire supérieur.

Les scènes au sol sont filmées pendant le survol de Vénus par leur caméra provenant du contenu du plan dimensionnel supérieur habité, et projeté dans le vaisseau en 3D pour visionnage par Howard avec des images physiques.

Au même endroit où sur le plan physique il n’y a que des roches et du désert, sur un autre plan il y a des constructions, des arbres et des gens qui vivent sur Vénus. On peut appeler cela des plans de vie parallèle si on veut. Les caméras de l’appareil vénusien filment ceci et le rendent visualisable dans le vaisseau pour Howard, qui n’a donc pas à devoir être lui-même monté en vibrations par un processus lent pour réussir à percevoir physiquement de lui-même.

Valiant Thor (Vénusien) : « Les plans éthériques sont quatre plans de matière plus fines que le plan gazeux-physique. Ils sont encore invisibles pour la plupart des gens. Il s'agit du niveau le plus bas de Vénus supportant la "vie", un cran au-dessus de notre niveau terrestre actuel de "matière avec laquelle il faut se battre" ».

Voici la visite d’Howard au lieu n°1, le 1er septembre 1956. Déjà familier des rencontres avec des hommes de l’espace, il arrive avec l’espoir de vivre une nouvelle aventure, notamment celle de voyager dans l’espace, comme cela lui avait été annoncé précédemment.

Lorsqu’un astronef, bien plus grand que ceux qu’il avait vus auparavant, apparaît, il est convaincu que quelque chose d’exceptionnel va se produire. Invité à bord, il découvre une vaste pièce circulaire aux murs lumineux et une table centrale entourée de nombreux sièges. Sur cette table se trouve un grand appareil en forme de spirale, évoquant une relation avec la lentille située en dessous, qui se révèle par la suite transparente et fonctionnelle. Trois hommes composent l’équipage et, bien que d’autres silhouettes brumeuses soient visibles dans le corridor, Howard n’est pas invité à aller plus loin. Les trois hommes prennent place : l’un devant un tableau de contrôle, un autre à ses côtés, et le troisième s’assoit avec lui à la table, sans engager beaucoup la conversation, conformément aux règles tacites de cette rencontre.

Howard est informé qu’il va voyager au-delà de l’atmosphère terrestre, une annonce accompagnée d’une remarque sarcastique sur son insistance télépathique. L’écran du vaisseau s’illumine, révélant une vision magnifique des étoiles et des planètes. En voyant la Lune, Howard réalise qu’ils ont déjà quitté la Terre, sans avoir ressenti de décollage. Amusé par son incrédulité, l’un des hommes lui demande d’observer l’écran, où les étoiles semblent se déplacer lentement. Soudain, un énorme objet apparaît en direction du vaisseau, mais il vire brusquement. Son interlocuteur lui explique qu’il s’agit d’un météore, semblant proche à cause de leur vitesse, mais en réalité éloigné et inoffensif grâce au champ protecteur du vaisseau. Ensuite, Howard est invité à observer un hublot qui s’ouvre comme un diaphragme d’appareil photo. Il y aperçoit une étrange forme blanchâtre et fluorescente dans l’espace, tandis que son guide lui sourit et manipule les commandes du vaisseau.

Howard : « Quand je regardai vers le milieu de la pièce, où maintenant se voyait un film en relief. Ce spectacle n’était pas plat comme dans un film vu sur un écran plat ; au lieu de cela il semblait que nous voguions à quelques mètres au-dessus de la surface d’une magnifique planète. Je vis immédiatement que ce n’était pas la Terre ; ils me dirent le nom de la planète : Vénus !

Le spectacle changeait rapidement. Parfois nous étions à quelques mètres au-dessus du sol ; à d’autres moments, nous étions plus haut, peut-être à trente mètres au-dessus du sol. Je contemplai des magnifiques constructions en forme de dômes avec des paliers en spirales.

Cette planète était fantastiquement belle. Je n’eus pas l’impression de voir des cités ; au lieu de cela, j’eus plutôt l’impression de voir des banlieues merveilleusement plus belles que les nôtres. Les constructions étaient disposées dans des sites naturels et entourées de grands arbres qui rappelaient nos séquoias et de jardins qui s’étendaient à perte de vue dans toutes les directions.

Ensuite je vis des forêts, des vastes étendues d’eau, des rivières, et aussi des gens habillés de vêtements aux teintes claires et douces. Je vis aussi des animaux quadrupèdes qui ne m’étaient pas familiers. Des véhicules circulaient, apparemment sans roues ; en effet ils paraissaient flotter légèrement au-dessus du sol.

L’opérateur de ce merveilleux spectacle de cinéma vit que je m’intéressais aux véhicules de surface. « Non, ils ne se déplacent pas sur des roues. Nous nous servons très peu de roues. En fait nous n’avons pas traversé l’époque de la roue qui a, en réalité, ralenti l’avance de votre civilisation, au lieu d’avoir été le grand bon en avant que l’on vous dit à l’école. Vous auriez mieux fait de ne pas vous servir de roues, comme nous ! » L’image tourbillonna et devint floue, puis disparut, et de nouveau je pus voir le centre du navire. « Le spectacle est fini », dit-il en riant, « et ne me demandez pas de vous le faire voir une deuxième fois ! »

Presque aussitôt après, la porte s’ouvrit de nouveau sur le lieu n° 1.

Le voyage entier n’avait pas duré beaucoup plus de trente minutes ; j’avais oublié de regarder ma montre quand j’étais entré dans le navire. Je suivis la route familière qui conduisait hors du champ. D’être de nouveau sur la terre après avoir vu un si magnifique échantillon de la vie sur une autre planète me fit l’effet de rentrer dans une prison. »

Howard reçoit un avertissement sérieux d’un couple martien. Ils lui révèlent l’existence d’une conspiration impliquant de faux hommes de l’espace qui pourraient tenter de le tromper en lui présentant de faux témoignages ou en lui proposant un voyage vers la Lune pour discréditer les véritables êtres extraterrestres.

Ils décrivent un individu en particulier, un homme d’âge moyen aux cheveux bruns, portant généralement des costumes marron et fumant des cigarettes ou des cigares. Il vivrait près de Somerville, New Jersey, et utiliserait des lunettes d’écaille pour lire. Cet avertissement met Howard en alerte face aux dangers qui pourraient accompagner sa notoriété croissante.

Ces faux hommes de l’espace cherchent à tromper et manipuler les humains. Ces imposteurs peuvent paraître convaincants, apportant même des preuves matérielles et promettant des voyages en astronef, mais leur véritable objectif est de semer la confusion et de discréditer les véritables extraterrestres bienveillants.

Howard, bouleversé, se demande comment distinguer amis et ennemis, craignant que cette méfiance ne divise ses proches. Son interlocuteur lui rappelle que la Terre est un champ de bataille spirituel où seuls la prière, les bonnes pensées et la prudence peuvent le protéger. La jeune femme ajoute qu’un groupe puissant sur Terre maîtrise des techniques avancées de manipulation psychologique et technologique. Ce groupe, influençant les gouvernements, est décrit comme un ennemi de Dieu, incarnant une force maléfique qui cherche à détourner l’humanité du bien.

Howard se remémore une étrange vieille dame qui l’avait averti lors d’une conférence de la présence de "forces noires" partout. À l’époque, il l’avait prise pour une personne dérangée, mais après les révélations qu’il reçoit maintenant, son avertissement lui semble troublant.

La jeune femme martienne poursuit en expliquant que cette conspiration ne se limite pas à manipuler des humains, mais qu’elle influence aussi des êtres de Mars et même d’autres habitants méconnus de la Terre, un peuple souterrain jamais découvert. Ce groupe infiltrerait les organisations religieuses pour tromper les populations avec une fausse vérité qui domine la planète depuis des millénaires. Son ton devient plus grave et indigné, soulignant la gravité de cette manipulation à l’échelle mondiale.

Howard assiste à l’atterrissage spectaculaire d’un astronef au coucher du soleil, évoquant le miracle de Fatima. Ce vaisseau, différent des soucoupes habituelles, ressemble à une tasse chinoise translucide renversée et possède plusieurs hublots.

Alors qu’il s’approche, deux hommes sortent du vaisseau et se placent de chaque côté de l’entrée, laissant présager un événement inhabituel. Puis un être majestueux apparaît : un homme grand, blond, à l’allure presque irréelle. Il semble flotter plutôt que marcher et avance vers Howard.

Lorsque Howard est à trois mètres de lui, l’être lève les bras pour lui signifier de s’arrêter.

Howard est profondément ému par l’apparition de cet être majestueux vêtu d’un costume blanc brillant et d’une cape bleue fluorescente. Cet homme, d’une beauté androgyne et d’une présence imposante, dégage une aura de compassion et d’amour. Son regard doré exprime une sagesse infinie, et il communique avec Howard par télépathie.

En quelques minutes, cet être lui transmet une quantité de savoir immense sous forme d’images mentales, une « télévision télépathique », bien plus efficace que les mots. Certaines notions sont trop complexes pour qu’Howard les comprenne immédiatement, mais elles restent gravées dans son subconscient. Il pourra les restituer spontanément lors de ses futurs échanges avec d’autres personnes. Cette rencontre marque profondément Howard, qui la perçoit comme une révélation empreinte d’amour et de sagesse.

Ce qui va suivre est un résumé de ce qu'a dit cet instructeur :

Il expose une vision spirituelle et philosophique de la vérité et de la nature de l’existence. Il affirme que la vérité n’est ni une théorie ni une construction mentale, mais une réalité absolue qui existe indépendamment des perceptions humaines. Contrairement aux penseurs terrestres, les "frères de l’espace" considèrent la vérité comme directement liée à la réalité ultime, qui dépasse les simples perceptions sensorielles.

Selon ce message, l’homme est en quête de son origine et de la conscience suprême, qui est fondamentalement amour. Les êtres venus d’ailleurs se présentent comme des missionnaires chargés d’aider les humains évolués à comprendre ce plan divin. Ils expliquent que la perception humaine du monde est illusoire et que les individus sont en réalité des êtres quadridimensionnels, contrairement aux objets inanimés qui sont strictement tridimensionnels.

La pensée est considérée comme un sixième sens indépendant des cinq autres, et elle est associée au temps et au mouvement, qui caractérisent la quatrième dimension. La réalité perçue est une simple réflexion d’une source première plus profonde. Même après la mort, l’esprit continue d’exister, ce qui implique que la fin physique n’est pas la fin de l’être.

Enfin, il réfute l’idée que l’homme est simplement la somme de ses expériences passées, car seules les expériences pleinement conscientes ont une véritable valeur. L’évolution de l’individu dépend donc de sa capacité à assimiler ces leçons et à prendre conscience de sa véritable nature spirituelle.

Il évoque la réincarnation volontaire de certains individus venus d'autres planètes pour aider la Terre à progresser selon un plan universel divin. Ces êtres, ayant une meilleure compréhension des lois divines, subissent un blocage de mémoire dû à la faible fréquence terrestre, mais commencent à être réveillés par des contacts subtils avec leurs guides. Toutefois, cette aide respecte strictement les lois divines, sans interférence forcée ni contrôle.

Il souligne que de nombreuses personnes sur Terre reçoivent des intuitions de leur ego immortel, mais les ignorent par peur de perdre leur statut, leur confort ou leur sécurité. Il établit une opposition entre les figures spirituelles comme Jésus, Moïse, Bouddha et Confucius, qui ont suivi leur mission divine, et les dirigeants autoritaires qui ont causé destruction et souffrance. L’humanité continue de craindre et de suivre aveuglément ces figures de pouvoir, au lieu d’écouter la voix divine en elle.

L'instructeur met en garde contre des épreuves à venir : certains proches rejetteront ceux qui s’ouvrent à cette réalité spirituelle. Cela fait partie d’un processus de "filtrage" supervisé par des êtres supérieurs en orbite autour de la Terre, qui répondent aux prières des peuples de diverses croyances. Leur aide ne pourra être pleinement accordée que si elle est massivement demandée. Enfin, il évoque l’année 1945 comme un moment clé où des forces célestes et des technologies avancées ont été mobilisées pour influencer la Terre de manière bénéfique.

Il décrit comment des êtres extraterrestres, depuis leur astronef, ont observé et enregistré les prières de millions d’humains pendant la Seconde Guerre mondiale. Ils ont constaté avec tristesse que certains priaient pour la paix et la fin de la souffrance (notamment après les bombardements atomiques au Japon), tandis que d’autres demandaient à Dieu d’aider leur armée à détruire leurs ennemis.

Les extraterrestres soulignent l’erreur humaine concernant la nature de Dieu, souvent représenté sous une forme humaine ou matérielle. Pour eux, l’Intelligence Suprême est sans forme, infinie et présente en toute chose. Les hommes, en quête de savoir et de sagesse à travers différentes expériences et réincarnations, sont eux-mêmes des dieux en devenir.

L'instructeur explique que l’esprit humain est éternel et continue d’exister après la mort, qui n’est qu’une illusion. L’esprit enregistre tout et fonctionne en lien avec le mental et le cerveau, mais il peut aussi penser sans support physique après la mort. L’être humain évolue ainsi à travers différentes expériences et réincarnations.

Il critique également les limites actuelles de la science, qui rejette les phénomènes qu’elle ne peut pas prouver objectivement, freinant ainsi le progrès. Une science plus avancée devra émerger pour expliquer des réalités que la science moderne ne peut encore comprendre.

Enfin, il souligne que la communication télépathique permet de transmettre des vérités plus directement que le langage, bien que leur interprétation puisse varier selon les individus.

Howard retrouve dans ses notes une ancienne prédiction annonçant sa rencontre avec un homme de Yuca Valley, impliqué dans des expériences avancées. Intrigué, il remarque que la date de cette rencontre approche.

Peu après, un ami l’appelle avec enthousiasme pour l’informer de la venue à New York d’un conférencier nommé George Van Tassel, connu pour ses contacts avec des êtres de l’espace et dirigeant le Collège de l’Universelle Sagesse. Howard soupçonne qu’il s’agit de l’homme annoncé dans ses notes.

Désireux de le rencontrer, il se rend à son hôtel avec son ami Bill Thompson et l’appelle depuis le hall, attendant une réponse.

Howard rencontre enfin George Van Tassel et ressent immédiatement qu’il est l’homme annoncé dans ses notes. George dégage une chaleur humaine et une profonde sagesse qui lui rappellent les êtres de l’espace.

Après avoir assisté à sa conférence, Howard tente de lui parler en privé, mais la foule l’en empêche. Il réalise cependant qu’ils communiquent télépathiquement et devient convaincu que George est bien celui qu’il cherchait.

Durant la semaine suivante, George visite Howard et donne plusieurs conférences privées. Ils participent aussi à des émissions de radio et de télévision, rendant les récits de Howard très médiatisés. Dès lors, sa maison est envahie par des visiteurs de toutes sortes, et sa vie privée disparaît complètement.

Howard assiste à une conférence privée de Georges Van Tassel chez lui lorsqu’il remarque une jeune femme blonde et attirante nommée Marla. Il se souvient immédiatement d’une prédiction faite par la femme vénusienne, qui lui avait annoncé qu’il rencontrerait une femme ressemblant à cette mystérieuse jeune femme vénusienne qu’il avait vue enfant dans une forêt. Selon cette prédiction, Marla serait une âme sœur d’une autre vie et travaillerait avec lui sur Terre. Bien que Marla ne semble pas le reconnaître, Howard est convaincu qu’elle est celle dont on lui avait parlé. Un ami partage son étrange impression à son sujet. Howard se rappelle alors que la femme vénusienne lui avait dit que Marla était une « sœur de Vénus », incarnée sur Terre dans le New Jersey. Dès leur rencontre, il sait qu’elle jouera un rôle clé dans sa vie et son travail.

Howard reconnaît Marla non seulement par son apparence, mais surtout par une profonde connexion spirituelle. Elle ressemble étrangement à la mystérieuse « demoiselle sur le rocher », bien que ses traits soient légèrement différents. En apprenant qu’elle est récemment devenue veuve, Howard, accompagné de Van Tassel, ose aller à sa rencontre. Van Tassel évoque une cicatrice distinctive sur Marla, suggérant qu’elle appartient à un groupe spécial d’êtres humains d'origine exatraterrestre. Bien que Marla nie tout lien avec des extraterrestres, Van Tassel laisse entendre que ce n’est pas nécessaire.

Howard est bouleversé : il se souvient avoir connu et aimé Marla dans une autre vie, et ressent qu’ils sont destinés à être ensemble. Cependant, cette révélation est douloureuse, car il est déjà marié. Malgré leurs efforts pour résister à cette attraction inévitable, le poids d’une ancienne promesse finit par les submerger.

Howard : « Je ne me rappelle pas complètement la vie que j’ai vécue sur Saturne, mais je me rappelle mes parents, mes frères et mes soeurs. J’étais un instructeur spirituel qui instruisait les jeunes. J’avais à ma disposition un astronef et j’allais d’une planète à une autre dans le double but d’instruire et de m’instruire. Je parlais de nombreux sujets, entre autres : la projection télépathique et l’étude des Lois Universelles Divines. Quand j’étais ce professeur connu, on m’appelait : l’un des fils de Naro, le Soleil de Naro, Professeur de Lumière qui venait d’une planète proche de l’étoile que l’on appelait Naro.

Je devrais dire, entre parenthèses, que l’âme incarnée sur cette planète vit d’une autre façon, qui est fonction de la fréquence vibratoire de la planète, fréquence qui génère les lignes de forces magnétiques qui environnent chaque corps planétaire physique et tout ce qui est construit de la même matière.

Par exemple, sur Vénus et sur Saturne, la fréquence vibratoire est bien plus élevée, et les structures physiques sont plus subtiles ; et si un homme de la Terre dans son corps physique pouvait y aller, il est vraisemblable qu’il ne pourrait pas voir quelques-unes des formes de vie qui vibrent plus rapidement que la sienne, pas plus qu’il ne peut voir les formes de vie spirituelle qui existent sur et dans sa propre planète.

À moins que son corps physique soit préparé et conditionné, il ne pourrait pas voir ces êtres d’une autre planète. Si deux corps planétaires ont une fréquence voisine, dans ce cas les formes de vie sont visibles les unes pour les autres.

Les formes de vie sur Vénus et Saturne, par exemple, peuvent se voir mutuellement, et leurs cultures sont interchangeables parce que leurs fréquences sont compatibles. Quand des âmes s’incarnent sur la terre, leur fréquence doit être ralentie, pour ainsi dire, pour qu’elles puissent s’incarner. Généralement ces âmes renées ne se reconnaissent pas entre elles, parce qu’elles renaissent sans la mémoire de leurs vies antérieures.

Pendant l’un de mes voyages quand j’étais Sol do Naro, je m’arrêtai sur Vénus, et ce fut là que je rencontrai Marla pour la première fois. Grande, souple, avec une longue chevelure blonde qui tombait comme une cascade autour de ses épaules, avec ses yeux verts dorés, était bien plus belle qu’une princesse de conte de fées. Nous tombâmes amoureux tout de suite.

Pendant mon incarnation de Saturnien j’étais physiquement très grand, et bien plus fort. Pourtant mon corps physique d’alors ressemblait au corps que j’ai maintenant ; c’est pourquoi ce corps terrestre a été choisi. Et non seulement il y a une similarité, mais parfois je deviens pareil au Saturnien, en taille, en grosseur et en pouvoirs.

Notre amour sur Vénus fut intense et puissant. Mais nous n’étions pas destinés à rester ensemble ; je savais que je devais voyager jusqu’à la Terre, et y compléter une mission esquissée dès le jour de ma naissance sur cette planète. Je me rappelle maintenant clairement le jour où je la quittai. Tous deux nous disions que nous serions très braves.

Marla faisait des petites plaisanteries et essayait de rire musicalement ; mais elle trouvait difficile de s’empêcher de sangloter en même temps. Quand je me tournai pour la regarder pour la dernière fois, je lui fis une promesse : un jour, quelque part, je la retrouverais.

Quand j’arrivai aux portes de la Terre, un enfant d’un an qui s’appelait Howard Menger venait de mourir. Le corps de cet enfant fut conduit dans une église luthérienne pour qu’on le baptise et que l’on prie pour lui. Moi, Sol do Naro, qui voyais cela, communiquai avec l’âme qui quittait le petit corps. Par agrément mutuel et librement, j’entrai dans ce corps. Pendant que les parents priaient, le petit corps revint miraculeusement à la vie.

Cela me semble étrange, mais je peux me remémorer le contenu de la conscience de l’âme initiale, des fragments de ses souvenirs (qui étaient déjà imprimés sur le subconscient de l’enfant, et me souvenir aussi de ma vie de Sol do Naro.

En tant que Sol do Naro, je me rappelle vaguement quand j’étais dans l’astronef lorsqu’il planait dans l’atmosphère de la Terre, puis que je perdis conscience de ce qui m’environnait et devins comme une bulle de lumière, qui entra dans ce corps terrestre. Grâce à mes contacts avec des hommes de l’espace, ma mémoire de Sol de Naro me revint, et je devins de plus en plus le Saturnien. »

Howard explique les raisons de l’échec de son premier mariage avec Rose. Il réalise que leur union, basée sur l’attraction et les intérêts du moment, ne reposait pas sur une réelle compatibilité spirituelle et mentale. Il évoque le concept des "couples naturels", où l’union parfaite repose sur une harmonie à tous les niveaux : spirituel, mental, affectif et physique.

Il distingue deux lois influençant les relations :

  • Loi de similitude : les âmes au même niveau spirituel et mental s’attirent.
  • Loi de polarité : les opposés s’attirent sur le plan physique et émotionnel, créant un équilibre.

Un couple idéal, selon lui, doit être en phase spirituellement et mentalement, tout en se complétant émotionnellement et physiquement. Il souligne que l’absence d’équilibre peut conduire à des conflits ou à l’inertie.

Howard explique que le couple ne se limite pas à un rôle biologique et social, mais sert aussi au développement spirituel de ses membres. Une union incompatible engendre des tensions et une absence de créativité, rendant la séparation préférable à une cohabitation malheureuse.

Il insiste sur les deux principes de loi de similitude et de polarité. Les êtres de l’espace appliquent ces lois naturellement et enseignent à leurs enfants à choisir un partenaire compatible dès le plus jeune âge. Lorsque des différences majeures apparaissent, la séparation se fait sans conflit, permettant à chacun de trouver un partenaire mieux assorti.

Contrairement aux unions terrestres, souvent influencées par des contraintes sociales, les couples naturels s’unissent par choix et vivent bien plus longtemps ensemble, parfois sur plusieurs vies. Sur Vénus, les enfants se développent rapidement et sont élevés collectivement avec amour.

Howard conclut en évoquant sa propre expérience : ses contacts avec les extraterrestres ont accentué les différences avec son épouse, rendant leur séparation inévitable. Il prône la compréhension plutôt que le blâme face aux évolutions naturelles des relations.

Howard Menger a construit en 1956 un moteur magnétique qui se lance à la main et continue à tourner un temps plus ou moins long en fonction de la précision d'alignement des aimants et donc de réalisation précise du système. Il ne tourne pas indéfiniment, mais bien plus longtemps que cela ne devrait être le cas par la simple force manuelle fournie, démontrant selon Howard une utilisation de l'énergie magnétique pour créer le supplément de mouvement de rotation.

Howard Menger avec son moteur magnétique dans les mains
Howard Menger avec son moteur magnétique dans les mains
Deux photos d’un moteur à énergie libre que l’auteur a construit sous la direction des hommes de l’espace.
Deux photos d’un moteur à énergie libre que l’auteur a construit sous la direction des hommes de l’espace.

Howard Menger a écrit un document expliquant la fabrication et fonctionnement de son moteur magnétique, à lire ici.

Page 1 - Extrait du document de Howard Menger expliquant le montage de son moteur magnétique
Page 1 - Extrait du document de Howard Menger expliquant le montage de son moteur magnétique
Page 2 (une partie) - Extrait du document de Howard Menger expliquant le montage de son moteur magnétique
Page 2 (une partie) - Extrait du document de Howard Menger expliquant le montage de son moteur magnétique
Page 1 - Extrait du document de Howard Menger expliquant le montage de son moteur magnétique
Page 3 - Extrait du document de Howard Menger expliquant le montage de son moteur magnétique

Le texte raconte un incident vécu par Howard en 1957. Lors d'une réunion avec des amis, il s'est détaché mentalement du groupe et a repensé à son ancien camion, qu'il avait échangé récemment contre un modèle neuf. En se remémorant ce camion, il l'a "conduit" mentalement, visualisant chaque détail de la route. Plus tard dans la soirée, vers minuit, il reçoit un appel du poste de police l'informant qu'il avait commis une infraction (griller un feu rouge) dans une ville proche à 11 h 40. Après vérification avec son groupe, il conteste l'incident, affirmant qu'il était avec eux et que son camion était garé et bloqué par d'autres véhicules, ce qui rendait l'accusation impossible. Howard se demande si ses pensées ont pu provoquer une sorte de manifestation de l'incident, un phénomène qu'il n'explique pas entièrement. Finalement, la convocation lui est envoyée chez lui.

Howard décide de comparaître au tribunal avec sept témoins. Il plaide non coupable, affirmant qu’il était ailleurs à l’heure de l’infraction et que la route mentionnée ne faisait pas partie de son itinéraire habituel. Le sergent Cramer témoigne qu’il a vu un camion vert, immatriculé WR E 79, brûler un feu rouge avant de « disparaître » mystérieusement. Ce détail intrigue le juge, qui ironise en évoquant un « véhicule fantôme ». L’enquête révèle que le camion incriminé était toujours dans un garage à Philadelphie,en réparations et vendu à une autre personne car Howard n'en était plus le propriétaire, rendant l’accusation impossible. Le juge, troublé par l’affaire, conclut qu’il s’agit du cas le plus étrange qu’il ait jamais jugé et prononce un verdict de non-culpabilité.

Liens vers des documents plus complets sur ce contact :

• Livre " From outer space to you " de Howard Menger, en anglais - format page web : Cliquer ici
Version originale anglaise scannée empruntable numériquement : cliquer ici

• Livre complet "Mes amis les hommes de l'espace", version traduite en français de "From outer space to you" de Howard Menger en 1965 par J.P. Crouzet aux éditions Dervy - format PDF: Cliquer ici

• Livre complet "The High Bridge incident : the story behind the story", par Connie et Howard Menger, en anglais - format PDF : Cliquer ici


Site officiel de Howar Menger (disparu du web, en archives) en anglais :
Site web officiel de Howard Menger


Autres sites français :

Page sur artivision
Article provenant d'overblog


Autres sites en anglais ou autre + traduction automatique FR quand possible :

Galactic.no/rune :
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Rense, scans photos et lettres Howard Menger :
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