Abrégés

Une page rassemble déjà des fiches textes de résumés standardisés des contacts, avec des vidéos détaillées plus longues qui complètent pour une compréhension approfondie. Mais pour un accès plus rapide, cette page-ci a été créée : elle propose des vidéos courtes de 4 à 5 minutes qui présentent en abrégé tous les aspects d’un contact, ainsi que la version texte de l'abrégé. Cela permet de comprendre rapidement le sujet avant d’aller l’approfondir via les résumés ou articles. Les vidéos (et textes abrégés) paraitront progressivement sur les chaînes YouTube et Odysee, et seront ajoutées ici.

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En 1969, l’ingénieur et industriel néerlandais Adrian Beers, sous le pseudonyme de Stefan Denaerde, publie le récit d’un contact extraterrestre avec des êtres venus d’une planète appelée Iarga. L’homme, riche et pas porté sur les OVNI, n’avait aucun intérêt financier ou social à relater son expérience. Un soir, alors qu’il navigue sur l’Escault oriental avec son épouse, son bateau heurte un objet immergé. Croyant voir un plongeur en détresse, il s’approche, mais découvre un engin extraterrestre. Les occupants, vêtus de combinaisons en raison des différences atmosphériques, récupèrent l’un des leurs et le remercient en anglais.

Ils expliquent venir d’un autre système solaire, et invitent Stefan à passer quelques heures à bord de leur vaisseau. Sa femme reste sur leur bateau. Dans une salle adaptée à l’atmosphère terrestre, il assiste à des projections mêlant images et transmissions mentales, montrant leur planète, leur société et leurs vaisseaux. Les Iargans, humanoïdes d’environ 1,50 m, vivent sur une planète plus grande que la Terre, à gravité trois fois supérieure et pression atmosphérique de plus de 7 bars, avec une forte proportion d’azote et d’ammoniaque. Leurs jours sont plus longs et la lumière est diffuse à travers une atmosphère épaisse.

Iarga est presque entièrement recouverte d’eau, leur quantité de terre sèche est bien inférieure à la Terre mais la population est cent fois supérieure à celle de la Terre. Ils ont des habitations cylindriques de 300 m de diamètre, pouvant loger 10 000 personnes chacune, avec jardins centraux communs et cultures mécanisées autour. Les transports rapides, semblables à des trains, relient toutes les zones, y compris par d’immenses lignes transocéaniques.

Leur société n’utilise pas d’argent et repose sur une “économie cosmique” garantissant l’égalité totale, sans classes sociales. Les tâches sont partagées, les sexes sont égaux et l’objectif commun est l’amour inconditionnel, l’intégration cosmique et le service désintéressé.

Leurs vaisseaux spatiaux sont de forme discoïdale, ayant une propulsion magnétique dans un concept intégrant gravité et magnétisme. Ils voyagent par groupes de cinq vaisseaux-mères de 300 m, reliés entre eux, dans des trajets lents subluminiques pouvant durer 20 ans, emmenant familles et équipements. Des navettes discoïdales à antigravité permettent de se poser sur les planètes. Les Iargans refusent de transmettre des connaissances technologiques à des civilisations immatures, ce qui serait contraire aux lois universelles. Ils évoquent aussi l’existence d’un univers symétrique au nôtre.

Leur message à l’humanité est un avertissement : sans évolution spirituelle, notre avenir sera sombre. Ils encouragent l’harmonie, l’amour et l’unité, affirmant que notre transformation est déjà en cours et produira des changements visibles dans deux générations. Leur civilisation est proposée en exemple d’équité et de justice, illustrant ce que l’humanité pourrait accomplir si elle adoptait de tels principes.


Edward White, dit Edwin, travaillait dès l’âge de 16 ans dans une usine de radio près de Durban, en Afrique du Sud. Il se lia d’amitié avec un nouvel employé, George, un extraterrestre de la planète Koldas, en réalité nommé Valdar. Celui-ci prouva à Edwin, lors d’une nuit de pêche isolée, qu’il était en contact avec un vaisseau spatial commandé par un nommé Wy-Ora, obéissant à ses ordres via radio. Pendant deux ans, Valdar révéla à Edwin de nombreux aspects de la vie koldasienne, avant de repartir à bord d’un vaisseau, lui laissant une radio modifiée pour poursuivre le contact.

Les échanges par radio avec Valdar, Wy-Ora et d’autres durèrent des décennies, ponctués de rencontres physiques sur Terre, de photos d’OVNIs et de multiples témoins. Des centaines d’heures d’enregistrements existent. Plus tard, la communication devint télépathique, après la confiscation de la radio par les autorités.

Koldas appartient à la « Confédération des 12 planètes », dans un univers miroir symétrique très similaire au notre, parfois décrit comme un univers d’anti-matière, qu’on retrouve sous le nom d’univers « DAL » chez les Pléiadiens,. Leur planète mère, Grandor, les a élevés à un haut niveau technologique et spirituel et ils font de même avec d’autres mondes, comme Pyrole dans leur univers. Leur tentative de coopération avec la Terre pour faire de même, échoua face au refus des dirigeants.

Ils voyagent grâce à une propulsion dite magnétique, une forme d’antigravité, qui est subluminique et à une technologie de dématérialisation leur permettant de dépasser largement la vitesse de la lumière, notamment pour franchir la barrière entre univers. Ils utilisent aussi des trous de ver. Leur navigation repose sur le couplage à des courants magnétiques reliant planètes, systèmes et univers, formant tout un réseau de circulation.

Sur Terre, les Koldasiens entretenaient des groupes de contactés appelés par eux Base Q, dont plus de 300 existaient dans les années 1960. Ils affirment connaître la Terre depuis son état primitif, avoir observé l’Atlantide issue d’une colonisation par des maîtres d’un autre univers. Ils disent avoir tenté en 1945 de fonder une colonie de volontaires suisses sur Salamia, planète jumelle de Vénus dans leur univers. L’expérience échoua en raison des différences de mode de vie.

En 1969, après 2000 ans de paix, leur monde subit de graves attaques d’un ennemi masqué manipulant une race plus primitive comme soldats, dont une guerre biologique meurtrière. La victoire obtenue de peu, ils se retirèrent de la Terre, probablement car la guerre a été causée par leur implication avec la Terre.

Les Koldasiens ressemblent aux terriens en tous points physiquement. Ils croient en un Être suprême créateur, en l’âme immortelle, en la réincarnation et en la fraternité universelle. Leurs ordinateurs peuvent retracer l’histoire des âmes et révèlent qu’Edwin, sa femme et plusieurs contactés ont déjà vécu dans leur Confédération. Ils annoncent un prochain changement cosmique majeur : l’arrivée de grands vaisseaux qui instaureront la paix, intégreront la Terre à leur civilisation et inaugureront un Nouvel Âge d’unité et de savoir partagé avec les peuples des étoiles.


Le 12 janvier 1976, près de Matias Barbosa au Brésil, Herminio et Bianca, voyageant de nuit depuis Rio de Janeiro, furent enlevés alors qu’ils s’étaient arrêtés sur le bord de l’autoroute pour un peu de repos. Leur voiture fut aspirée dans un petit vaisseau, lequel rejoignit un vaisseau-mère. Accueillis par deux êtres de 2 mètres, à la peau bronze et à l’allure humaine, ils virent dans le hangar d’arrivée plusieurs astronefs en forme de chapeau de pompier, munis d’un anneau de cristal dont on leur expliquera qu’il sert à capter l’énergie et les électrons de l’air, capable de provoquer des coupures électriques.

Conduits à pied à travers le vaisseau, ils subirent des examens médicaux, virent divers équipements dont un appareil faisant léviter des objets, puis furent équipés de casques reliés à un ordinateur traducteur. Ils discutèrent avec Karran, commandant du vaisseau, qui leur dit que leur planète mère est Klermer. Mais ils parlèrent brièvement aussi à d’autres Klermériens homme ou femme à bord.

Les Klermériens, grands, à la peau bronze et aux yeux verts inversés, portent des combinaisons blanches sans couture. Leur société, sans guerre ni argent, est unifiée sous un seul gouvernement où les femmes dominent. Leurs voyages, subluminiques et limités à cinq systèmes stellaires, suivent des routes magnétiques parfois fermées par des phénomènes stellaires. Ils utilisent l’énergie du vide, et évitent la dématérialisation, jugée risquée car non maîtrisée par eux, recourant aux vaisseaux de peuples amis, capables de voyager en dématérialisé plus vite que la lumière, pour aller plus loin au besoin.

Les Klermériens auraient colonisé la Terre avant la vie humaine, mais un cataclysme solaire déplaça la planète et coupa le lien avec ceux restés, les chemins magnétiques restant fermés au long terme. Les humains, leurs descendants, furent affaiblis spirituellement par une dégénérescence cérébrale due aux radiations solaires. Le cerveau, réparé au fil des générations, conserve aujourd’hui ses capacités, mais endormies. Un retour prochain de la Terre sur son axe initial, provoqué par le Soleil, libérerait ce potentiel.

Ils croient en la réincarnation, appelée par eux « échange de matière », qui est une loi naturelle, et conservent le souvenir intégral de leurs vies passées. Karran enseigna à Bianca une technique de sortie hors du corps appelée autoconscience, car ils pratiquent tous la sortie astrale. La technique donnée réactive des zones cérébrales inactives par des exercices respiratoires et de visualisation. Après trois mois de pratique biquotidienne suite au contact, Bianca réussira ses premiers voyages astraux.

L’enlèvement durera 48 heures, sous la direction bienveillante de Karran. À la fin du contact, un liquide destiné à effacer leurs souvenirs leur fut proposé à boire, mais ils refusèrent pour conserver la mémoire du contact. Grâce à la mesure des ondes cérébrales de Bianca par leur ordinateur, un lien télépathique avec Karran, via leur ordinateur, fut établi avec elle après l’enlèvement, permettant des échanges ultérieurs, et des rendez-vous en des lieux isolés, avec lui ou ses alliés.

Sur Terre, un extraterrestre d’apparence humaine d’une autre civilisation, nommé Ziir, traduisit pour Bianca lors de rencontres fixées avec Karran, qui ne parle pas de langue terrienne et ne communique pas télépathiquement avec elle sans technologie. Lors d’un rendez-vous, elle et Herminio rencontrèrent aussi de petits êtres blonds, de taille naine, venus dans un vaisseau hémisphérique.

Herminio s’appropria le contact et les informations, menaçant Bianca si elle révélait, que c’est elle seule qui avait le contact télépathique. En 1981, Karran dénonça ce comportement, rompit avec Herminio, et conserva son lien avec Bianca seulement, qui quitta Herminio. Elle publia deux livres sur ses expériences, dont un édité en anglais par Wendelle Stevens (UFO Contact from Planet KLERMER), ainsi qu’un recueil complet de la technique « d’autoconscience » enseignée par Karran pour les sorties astrales.


En mars 1960, dans les montagnes de l’Ancash au Pérou, Vitko Novi (pseudonyme), technicien serbe à la centrale hydroélectrique de Huallanca, y aperçoit une soucoupe ovoïde suspendue sur trois faisceaux lumineux, avec à côté deux êtres d’apparence humains, jeunes et souriants, qui lui parlent en serbe, sa langue natale. Un collègue témoin, lui précisera que ces êtres sont connus dans toute la région, pour aider les populations reculées. En avril 1960, en montagne, Vitko retombe sur les visiteurs : grands, sveltes, aux traits mêlant toutes les races, vêtus d’une combinaison à cagoule et plastron à quinze boutons. L’un montre qu’elle permet de voler, puis explique provenir de la planète Apu, à la périphérie de la Voie Lactée, qui appartient à la galaxie X-9 après une ancienne explosion, et dit que leur mission est de protéger la vie et aider les êtres.

En mai, en randonnée en montagne avec son collègue Quisspé, Vitko rencontre Ivanka, descendue d’un vaisseau, glissant au-dessus du sol pour ne pas abîmer l’herbe, venue guérir instantanément un enfant mourant chez des bergers. Se présentant comme une ancienne Terrienne intégrée à Apu, « citoyenne de tous les pays de l’univers et sœur de tous les êtres », elle explique soigner en désintégrant les cellules malades puis en matérialisant des cellules saines. Les Apuniens, ayant décomposé l’atome jusqu’au « Minius », contrôlent mentalement les « ions » positifs et négatifs, particules d’énergie à polarités opposées emplissant l’espace. Pour l’illustrer, Ivanka transforme sept moutons en vases, puis en colombes, avant de leur rendre leur forme.

La maîtrise du Minius leur permet de manipuler la matière, changer d’apparence leur corps ou vaisseaux instantanément, et régénérer les cellules, certains conservant leur corps depuis un million d’années dans une forme d’immortalité. Leurs vaisseaux peuvent atteindre des vitesses de centaines de millions de kilomètres par seconde, mais ils peuvent aussi voyager sur des centaines de milliers d’années-lumière en quelques secondes sans vaisseau, par désintégration contrôlée de la matière, afin de se téléporter.

Invité par Ivanka à bord d’un petit vaisseau, Vitko rencontre un Apunien nommé Zen, et découvre un « écran temporel » montrant passé et futur. Il y voit sa naissance, des scènes historiques, et la vie sur Apu, planète immense de la taille d’un système entier, avant qu’une explosion, il y a des milliards d’années, ne disperse ses fragments, à travers la galaxie. Apu engendra ainsi d’autres mondes que les Apuniens peuplent lorsqu’ils les retrouvent, et sont propices à la vie, comme la Terre. Leur monde actuel nommé aussi Apu est un des fragments anciens. [De juin à août 1960, Vitko les rencontre six fois en montagne, étant suivi.]

Les Apuniens montrent sur l’écran temporel avoir autrefois construit des villes sur Terre, comme Kutzak (futur Cusco), grâce à la lévitation des pierres. Une catastrophe planétaire détruisit la surface, modifia l’axe terrestre, freina irrémédiablement le progrès humain et perturba leurs voyages spatiaux. On a ici une information similaire à celle donnée par Klermer. Vitko rencontre l’Apunien Zay, qui affirme avoir été Jésus et être venu 504 fois sur Terre depuis le déluge, rematérialisant son corps sous diverses apparences.

Les Apuniens vivent dans un espace saturé d’ions positifs, sans ions négatifs nocifs comme ceux produits par le Soleil à notre emplacement, ce qui leur a permis d’être positifs. Ils connaissent plus d’un million de civilisations, mais aucune ne dépassant la leur. Ils accueillent des Terriens sur Apu, certains depuis leur première colonisation de la Terre, ainsi que des habitants d’autres planètes.

Ils constatent que l’humanité terrestre reste arriérée par l’usage de l’argent, des armes, l’exploitation, les guerres, la misère et l’incapacité à vaincre la mort, l’argent étant selon Ivanka la source de tous les maux. Ailleurs, d’autres peuples vivent presque comme eux, dans la paix et l’harmonie. Leur mission est de protéger la vie et d’aider sans distinction.

Les Apuniens œuvrent depuis deux millénaires à magnétiser la Terre avec des ions positifs, et constatent déjà des effets bénéfiques. Ivanka annonce que la Terre atteindra bientôt une position idéale face au Soleil, inaugurant un nouvel âge pour ses habitants. Les derniers contacts ont lieu début 1961, avant le départ en mutation professionnelle de Vitko pour Lima, loin des montagnes de l’Ancash.


Le 8 juillet 1961, Robert Renaud appelé « Bob Renaud », jeune radioamateur de 18 ans du Massachusetts aux USA, capta la voix de Linne-Erri, extraterrestre de Korendor. Choisi par eux pour ses qualités techniques et aspirations pacifiques, il construisit avec leurs conseils un émetteur, puis modifia une télévision, grâce auxquels il vit leur vaisseau-mère de onze étages et Linne-Erri, paraissant vingt ans mais âgée en réalité de soixante-quatorze, âge mûr chez eux.

Korendor, troisième d’un système de douze planètes orbitant autour de l’étoile Korena dans la constellation du Bouvier à 411 années-lumière, possède une gravité triple et une pression de 2,3 atm. Ses habitants, humains de type mais hauts d’1,20 m, ne peuvent vivre sur Terre sans transformer leur corps. Grâce à un portail de téléportation, ils dématérialisent leur corps puis rematérialisent un corps adapté à chaque planète. Sur Terre, ils apparaissent comme des humains indiscernables, bien que ce ne soit pas leur forme d’origine.

Après les transmissions radio, Bob eut des rencontres physiques, notamment avec le scientifique Orii-Val qui lui montra des générateurs d’énergie et rayons désintégrateurs. Il monta dans plusieurs vaisseaux, pilota l’un d’eux avec assistance, visita leur base souterraine du Massachussets de 26 km², une base sous-marine et la Lune, où il découvrit des ruines d’une civilisation disparue. Dans une base terrestre, il rencontra Astra-Lari, avec qui il noua une amitié, puis une relation amoureuse. En 2007, il séjourna deux jours sur Korendor avec un corps rematérialisé adapté à leur monde, et s’y fiança avec Astra-Lari.

La lévitation repose sur l’alliage Neutra-F qui, soumis à une fréquence critique, tenue secrète, annule champs gravitationnels, magnétiques et électriques. Leur propulsion s’appuie sur le lien magnétisme-gravité comme le disent d’autres civilisations extraterrestres aussi, et ils recommandent aux Terriens d’étudier résonances subatomiques et propriétés gravitationnelles, des matériaux diamagnétiques. Existent trois modes de déplacement 4-D ou dématérialisé, où toute distance, même infinie, est franchie en un maximum de 7,5 secondes pour la plus lointaine, rendant le voyage interstellaire quasi-instantané, proche de la téléportation.

Les Korendiens font partie d’une alliance de 740 000 mondes. Ils sont opposés à l’inaction de la Confédération dont dépend la Terre, qui a laissé des êtres régressifs l’influencer selon eux, et qui désinforme volontairement ses contactés. Ils affirment que divers dirigeants ont déjà été contactés par plusieurs races, dont un diplomate de l’ONU trois fois par des Vénusiens, et que moins de 10 % des contacts réels sont connus. Inquiets d’une guerre nucléaire, évoquant une planète connue d’eux détruite par un tel conflit, ils espèrent voir la Terre rejoindre un jour leur alliance, sous conditions éthiques. Bob, qui parla publiquement une seule fois en 1966, avant de se retirer face aux moqueries, rédigea douze volumes de 500 à 600 pages sur ses contacts. Il a un site web officiel très détaillé, appelé Terrakor.

Bob assista à la pose de psycho-sondes sur les toits de Washington, capables d’espionner y compris l’activité cérébrale, ou de contrôler des individus (uniquement en cas d’urgence grave). Ils téléportèrent même un des leurs en pleine réunion au Pentagone, pour démontrer leurs capacités. Ils pratiquent aussi l’empreinte subconsciente et la « Somnivision » pour influencer discrètement certaines personnes clés. Les Korendiens disent nous avoir ainsi évité une guerre nucléaire. Bob visita également leur vaisseau-mère cigaroïde de 16,5 km, celui de son premier contact avec Linne-Erri, équipé de salles de téléportation vers la galaxie d’Andromède, d’un centre de contrôle aux milliers d’écrans d’espionnage, notamment du Pentagone, et de 700 chambres privées.

Leurs croyances reposent sur la réincarnation et l’unité de tous les esprits en Dieu, énergie infinie et bienveillante. Bob apprit que son âme provenait d’une colonie korendienne installée au Tibet en l’an 970, raison aussi de son choix comme contacté.

Les Omégans, rebelles de la Confédération basés autour de Sirius, influencent la Terre depuis le XVIIIe siècle en favorisant armes nucléaires, méfiance et divisions, avec l’appui pragmatique des Kalrans, civilisation guerrière de Véga. Ensemble, ils utilisent l’humanité comme pion dans leur affrontement galactique contre la confédération. Opposés à l’immobilisme de la Confédération, les Korendiens agissent pour contrer cette influence, surtout nucléaire, avec 600 000 agents infiltrés, 300 000 membres dans leurs bases terrestres et lunaires, et d’autres contactés maintenus dans l’ignorance de la véritable identité de qui les contacte.


Truman Bethurum, mécanicien routier dans le désert du Mojave près de Mormon Mesa aux USA, vécut une série de rencontres avec des êtres venus de Clarion. Dans la nuit du 28 au 29 juillet 1952, endormi dans son camion, il fut réveillé par des voix, et découvrit environ 10 hommes d’1m50, bien proportionnés, d’apparence latine, cheveux noirs, yeux sombres, peau lisse, vêtus d’uniformes gris sans insigne, semblables à ceux des chauffeurs de bus Greyhound. Amicaux, ils le conduisirent à une soucoupe lisse de 90 mètres de diamètre et 6 mètres de haut.

À bord, il rencontra leur capitaine, nommée Aura Rhanes, femme jeune d’apparence, au visage svelte latin, vêtue d’une jupe rouge, chemisier noir et béret assorti, parlant d’une voix chantante et hypnotique. Elle expliqua que les soucoupes vues sur Terre étaient les leurs. Leur planète Clarion, invisible aux télescopes, se trouvait dans notre système. Leur vaisseau, appelé par eux « chaland amiral », utilisait la gravité terrestre pour se propulser.

Aura expliqua qu’ils lisaient les pensées et pouvaient répondre à ses appels télépathiques futurs pour les rencontrer. Au total, Truman vécut onze rencontres, toutes initiées par Aura sauf une. Elle promit de façon répétée, de l’emmener sur Clarion, mais après le 11ᵉ contact, le 2 novembre 1952, tout cessa sans explication, sans la visite promise. Il apprit qu’ils vivaient environ mille ans, qu’Aura, malgré ses 25 ans apparents, était grand-mère, que leur société, proche de la nôtre, était à deux jours de voyage pour eux depuis la Terre.

Les Clarionites disent que leur planète est dans notre système mais non visible, ils sont peut-être sur un autre plan vibratoire, ou dissimulés. Ils transitent par Mars, habitée et partenaire pour leurs vaisseaux, faits en acier martien selon eux. Chaque équipage compte 32 hommes, sous l’autorité d’une femme capitaine. Leur propulsion exploite la gravité, et les « chemins magnétiques » créés par le vortex magnétique solaire, procurant gravité artificielle et mouvements, sans ressenti d’accélération. Information sur les chemins magnétiques, semblable à d’autres contactés. Ils avertirent que les explosions atomiques perturbaient ce vortex, menaçant les voyages interplanétaires. Depuis l’ère nucléaire, ils surveillent donc la Terre.

Leur société avait choisi une voie pacifique, mais conservait une monnaie, uniquement comme échange équitable, sans spéculation, ni inégalités. Pas de pauvreté ni richesse, un seul pays, des dirigeants élus pour leur sagesse, chacun formé selon ses aptitudes. Leur planète, plus petite que la Terre, possédait lacs, rivières, océans, animaux divers, et vastes maisons. Essentiellement végétariens, ils vivaient sans conflits, avec une croyance unique, valorisant éducation, fêtes, chants et danses. Ils rejetaient alcool, drogues et tabac, réservaient la sexualité à la procréation, pratiquaient télépathie et loisirs variés. Aura précisa que Mars, industrialisée, fabriquait pour Clarion et d’autres planètes, la Terre étant la seule belliqueuse.

Ils disposent d’un « rétroscope » pour voir et entendre les événements passés, semblable aux écrans temporels des extraterrestres du contact Apu, rappelant aussi le « chronoviseur » du père Ernetti, confisqué par le Vatican. Inquiets du futur terrestre, ils influençent mentalement foules et dirigeants vers la paix.

Ils vénèrent une entité suprême sans religion ni livre sacré, et utilisent la téléportation comme défense afin de téléporter un agresseur à distance. Aura démontra ce pouvoir en téléportant la lampe de poche de Truman. Certains vivaient incognito sur Terre. Truman croisa Aura en public, qui l’ignora pour ne pas éveiller de soupçons.

Grâce à George Adamski, le témoignage de Truman fut diffusé, lui permettant de publier le livre « À bord d’une soucoupe volante » en 1954, puis deux autres livres et de donner des conférences. En voyage le 1er décembre 1955, Aura lui apparut une dernière fois par téléportation dans sa chambre de nuit, pour demander la création d’un sanctuaire de paix ; un voisin de chambre confirma l’événement. Sanctuaire fondé ensuite près de Prescott, mais disparu après la mort de Truman. Peu après, son épouse demanda le divorce, jalouse de Aura, dont l’intrusion de nuit était de trop. Truman se remaria en 1960 avec une passionnée d’ovnis, et vécut heureux jusqu’à sa mort en 1969. Son dernier livre, « Les messages des habitants de la planète Clarion », parut en 1970 à titre posthume.


En juin 1987, Michel Desmarquet, français devenu fermier en Australie à Deeral, se réveille une nuit et il est guidé hors de chez lui. Il s’élève dans les airs, voit sa maison rétrécir et une distorsion apparaît. Surgit Thao, femme de 3 m, qui le rassure : ils entrent dans une dimension parallèle, la même où disparaissent certains dans le triangle des Bermudes. Michel y voit des animaux et hommes de diverses époques. Ce lieu sert de passage au vaisseau pour rester invisible. Thao le mène alors à l’Alatora, immense sphère bleue en lévitation, son vaisseau.

Thao lui révèle qu’il a été choisi pour son honnêteté, contrairement aux journalistes avides de sensationnel, et pour des raisons karmiques (Il lui ont dit qu'ils l'ont choisi car il est un « Soukou », incarné assez de fois sur Terre et pouvant aller s'incarner ailleurs, mais resté en mission d'aide.). En voyage, Michel visite le vaisseau, rencontre l’équipage et fait halte sur Arèmo X3, monde jadis prospère détruit par une guerre nucléaire 150 ans plus tôt. Les survivants, mutés par les radiations, sont aidés discrètement depuis l’orbite par Thiaoouba, qui élimine les animaux mutants et réintroduit faune et flore. Le message est que la Terre risque le même sort si elle n’unit pas progrès technique et élévation spirituelle.

Michel vit une purification du corps et une sortie astrale, rencontre l’équipage, sans détails techniques donnés car la mission est spirituelle. Le voyage mène à Thiaoouba, planète de faible gravité, habitée par des hermaphrodites de 3 m, d’apparence de femmes blondes, comme Thao, à la peau dorée et aux yeux bleus ou mauves. Leur atmosphère de brume dorée inspira le titre « La planète dorée », et Michel doit y porter une visière protectrice.

Ils portent des robes reflétant leurs auras, vivent dans des Dokos, habitation aux parois d’énergie, et possèdent des facultés psychiques (invisibilité, métamorphose, télépathie, lévitation, sorties astrales, lecture akashique, guérison, résurrection). Régénérant leurs cellules, ils vivent indéfiniment. Michel découvre leur monde luxuriant — forêts d’arbres de 200 m de haut, papillons d’1 m, oiseaux majestueux, champs, plages et nature en symbiose sonore —, voyage sur une plate-forme volante et teste une ceinture à antigravité, plus pratique pour eux que le vol psychique.

Les Thiaooubans classent les planètes en neuf niveaux spirituels : la Terre est en catégorie 1, « monde de misères », et Thiaoouba en catégorie 9 avec deux autres mondes dans notre galaxie (Ils ont donné aussi tout un enseignement spirituel détaillé sur les 9 corps d'énergie humains et l'organisation de la vie spirituelle, à consulter dans l'article source). Reliés à la source créatrice, ils peuvent fusionner leur conscience avec elle, et aident les mondes moins évolués en levant les obstacles spirituels. Cachés, ils projettent des illusions indiscernables pour guider les peuples primitifs, parfois en se faisant passer pour Dieu. Ils interviennent seulement pour éviter une régression spirituelle, comme durant la Seconde Guerre mondiale où ils aidèrent les Alliés à obtenir l’arme atomique pour empêcher une domination nazie, puis en surveillèrent l’usage.

Il y a plus d’1 million d’années, des colons de Bakaratini, planète du Centaure détruite par une guerre nucléaire entre races noire et jaune, s’installèrent sur Terre après avoir évité Mars, habitée mais mourante. Un astéroïde détruisit leur civilisation avancée, ramenant l’humanité à la primitivité. Plus tard, Mu et l’Atlantide prospérèrent grâce aux technologies antigravitationnelles. Mu, guidé par Thiaoouba, érigea des pyramides collectrices d’énergie et régulatrices du climat, avant d’être englouti.

Un équipage de la planète Hébra, monde supérieur, s’écrasa sur Terre, coincé, et leurs descendants devinrent les Hébreux, oubliant leurs origines. Guidés par Thiaoouba se faisant passer pour Dieu Yéhovah, ils furent libérés par Moïse, Égyptien incarné d’un monde supérieur, aidé de champs de force de vaisseaux ouvrant la mer des roseaux. Plus tard, pour contrer la régression causée par Rome, Jésus, aussi incarné d’un monde supérieur mais pas assez puissant, fut remplacé par Aarioc de Thiaoouba, qui prit son apparence, réalisa les miracles, tandis que le véritable Jésus vécut en Asie. Le corps d’Aarioc repose sur Thiaoouba, dans un sanctuaire, avec 146 autres missionnés extraterrestres.

Michel rencontra Arki, d’une planète de catégorie 1, qui décrivit la transformation pacifique de son monde, ravagé par guerres et famines, grâce au refus du contrôle despotique, apportant un message d’espoir pour nous. De retour, Michel rédigea son récit en 1989, publié en anglais en 1993 (Abduction to the Ninth Planet), puis en français en 2015 (Thiaoouba, la planète dorée). Il donna des conférences en Australie et aux États-Unis, fut interviewé par une télévision japonaise en 2003, puis s’installa au Vietnam, où il mourut en 2018, à 86 ans.


Billy Meier, né en 1937 en Suisse, prit dès les années 1970 plus de 1 200 photos d’ovnis, huit films, une vidéo, des enregistrements et des échantillons authentifiés lors de rendez-vous planifiés avec des vaisseaux. Contacté en 1942 par le pléiadien Sfath, puis guidé après 1953 par Asket de l’univers jumeau DAL, il effectua voyages spatiaux et temporels jusqu’à Jérusalem en l’an 32 où il rencontra Jmmanuel (Jésus). Il voyage en Orient, puis installé en Suisse après un accident le rendant manchot, il entra le 28 janvier 1975 en contact avec Semjase, Pléiadienne, qui lui confia la mission de diffuser ses expériences et le Talmud de Jmmanuel, personnage avec lequel les Pléiadiens sont impliqués.

En 1995, les « Pléiadiens » révélèrent via Meier qu’ils venaient en réalité d’Ankar, un univers parallèle. Ils sont situé à 500 années-lumière, où leur monde Erra orbite autour de l’étoile jumelle de Tayget de leur univers, dans l’amas Pléiare, décalé dans le temps. Leur passage par un portail derrière les Pléiades avait entretenu la confusion sur leur origine, et leur véritable nom, « Pléiariens », fut gardé secret vingt ans pour piéger les fraudeurs. Descendants de colons lyriens et alliés à l’univers DAL (où se trouve Temmer, la planète d’Asket), ils affirment que les Pléiades visibles n’abritent aucune vie, contrairement à Ankar, et décrivent une cosmologie de sept univers. Après un passé de guerre constante, ils sont enfin en paix depuis 52000 ans. Pour garder leur équilibre, ils interdisent l’accès à Ankar et au DAL à tout peuple rencontré, et refusent tout lien avec la fédération de mondes qui observe la Terre. Ils ne sont pas en contact avec les gouvernements terriens — une tentative avec les États-Unis ayant échoué — et disent qu’aucun des leurs ne vit sur Terre depuis l'an 1193.

Le 17 juillet 1975, Billy Meier fit avec Semjase son plus long voyage spatial : il photographia Vénus stérile, observa Mercure, assista à l’amarrage Apollo-Soyouz et distingua cinq vaisseaux extraterrestres invisibles. Conduit sur un immense vaisseau-mère de 17 km, il rencontra Ptaah le père de Semjase, commandant de leur flotte et dirigeant de leur monde, parcourut avec eux les Pléiades, Orion et des galaxies très lointaines, découvrant civilisations et mondes variés, puis retrouva Asket dans l’univers DAL. À son retour, ses photos furent perdues ou altérées, discréditant visuellement ce récit pourtant détaillé.

En 1979, Kalliope Meier, la femme de Billy, écrit avoir vu Ptaah se téléporter dans son salon, puis en 1980 elle enregistra le son d’un vaisseau pléiarien, confirmé par des témoins, et affirma encore en 1991 n’avoir jamais constaté de fraude, avant de se rétracter après son divorce pour nuire. Au total, 87 témoins rapportent avoir vu Meier se matérialiser ou disparaître devant eux, observé des vaisseaux de jour comme de nuit, aperçu Asket, Semjase ou Quetzal autre pléiarien, ou pris eux-mêmes des photos des soucoupes ; parmi eux, Phobol Cheng diplomate aux Nations Unies raconta qu’enfant en Inde, elle voyait régulièrement Asket rencontrer Meier, parlait avec elle et observait son vaisseau.

Semjase décrit deux moteurs, subluminique et hyperluminique, l’hyperespace n’étant accessible qu’à 153 millions de km d’une planète pour éviter de l’entraîner dedans, et souligne l’équilibre entre technologie et évolution spirituelle. Ptaah précise que leurs communications intergalactiques utilisent la « vitesse négative » et les sous-neutrinos, particules traversant toute matière des milliards de fois plus vite que la lumière, assurant des transmissions instantanées via des portes dimensionnelles.

Semjase et Ptaah rejettent Adamski, Menger et tous les autres contactés quels qu’ils soient comme fraudeurs, nient toute vie sur les planètes du système solaire et affirment que Meier est le seul contacté authentique. Ils rejettent aussi les thèses reptiliennes de David Icke et tout contrôle extraterrestre sur Terre. Ils diront même qu’il n’y a que leurs vaisseaux qui sont observés sur Terre, et d’aucune autre civilisation, toutes les photos autres étant fausses. Note : ces positions apparaissent toutes comme de claires manipulations.

Les Pléiariens descendent de colons lyriens de Véga, menés en 228 000 av. J.-C. dans leur univers parallèle, où Pleja fonda leur civilisation. Après des colonies détruites sur Terre, Mars, Malona et l’Atlantide, par guerre et cataclysmes, un groupe régressif, les Bafath, manipula religions et sociétés secrètes jusqu’au nazisme, avant d’être neutralisé en 1982. Nokodemion, entité de 86 milliards d’années créatrice des races humaines, revenue des plans spirituels supérieurs pour se réincarner en Énoch, Élie, Isaïe, Jmmanuel, Mahomet puis Billy Meier, mènerait une mission prophétique à travers l’univers, mettant Meier en position exceptionnelle. Note : ceci semble manipulé, bien que Meier se dise simple messager. Meier survécut à 23 attentats et poursuivit ses contacts avec Quetzal, commandant des stations terrestres, après l’accident cérébral de Semjase en 1984, qui l’obligea à 70 ans de convalescence.

Note : selon d’autres contacts extraterrestres, on voit que les Pléiadiens apparaissent divisés entre factions spirituelles et manipulatrices, les contacts de Meier semblant provenir d’un groupe usurpant l’ identité des positifs pour mener une stratégie de manipulation, à l’opposé des véritables civilisations pléiadiennes positives non interférentes.


Omnec Onec, originaire du plan astral de Vénus appelé Tythania, avait pour mission de régler un karma sur Terre, lié à une vie durant la Révolution française, et de transmettre un message sur sa civilisation. Née à Teutonia 130 ans avant 1954, et riche d’expériences spirituelles, elle prit en 1955 l’identité de Sheila Gipson, une fillette dont la mort prévue par les maîtres de Vénus, permit son remplacement. En densifiant son corps astral, pour vivre comme Terrienne, elle affirme être venue physiquement en vaisseau spatial, accompagnée.

Omnec décrit les Vénusiens comme des êtres d'environ 2m20, blonds aux yeux bleus ou verts, au front haut et aux mains fines recourbées, vivant jusqu’à 500 ans avec un vieillissement arrêté vers 25 ans. Leur société astrale, sans guerre, pauvreté ni maladie, baigne dans une lumière colorée, et contrôle le climat par la pensée. Leur technologie, fondée sur l’énergie magnétique, permet des voyages interplanétaires, et leurs facultés incluent télépathie, télékinésie et voyages temporels, employés avec responsabilité. Science et spiritualité y sont unies sous les Lois de la Déité Suprême.

Dans le plan astral de Vénus, la pensée crée : maisons, paysages et objets aux couleurs vives et lumineuses. Les émotions passent par le corps astral, et la pensée agit sur le mental. La vie, centrée sur créativité et individualité, se traduit par une architecture ronde et unique. Les déplacements se font par téléportation, glissement ou des véhicules-bulles transparentes dirigées mentalement. Les habitants se nourrissent d’énergie éthérique, mais gardent le plaisir des repas. Les enfants, libres d’apprendre, créent des villes miniatures, et étudient dans les temples des arts et sciences. Art, danse, musique, vêtements, et liberté d’expression, définissent leur mode de vie.

Le karma agit aussi sur l’astral, poussant certains à s’incarner sur Terre pour progresser. Retz, capitale circulaire de Vénus, en marbre blanc, organisée en double croix avec temples, jardins et fontaines, est un centre spirituel et de savoir. Omnec décrit un cycle universel des planètes en quatre âges — or, argent, cuivre et fer (Kali Yuga) — durant des millions d’années, passant de l’harmonie, à la décadence et aux guerres, suivi d’un repos avant un nouveau cycle. Vénus connut guerres, crises et peurs, puis une révolution renversa l’élite ; la société adopta une vie simple et spirituelle, rejeta esclavage et spécialisation, et évolua vers l’astral, reflet de la conscience de ses habitants.

Depuis les années 1940, les Vénusiens observent la Terre et ses armes nucléaires, avertissant des dangers, sans imposer leur volonté. Ils dénoncent nos systèmes politiques contrôlés par des élites, alors que leur société fonctionne sans argent, ni gouvernement central. La Terre étant jugée hostile, les contacts restent rares, mais leurs missions de paix continuent. Omnec affirme que l’homme est universel, et que des preuves de civilisations astrales sur Vénus et Mars ont été censurées.

Certains Vénusiens vivent discrètement sur Terre, parfois à des postes importants, et malgré les difficultés y trouvent une occasion de croissance spirituelle. Les enseignements universels de Vénus, transmis sur Terre par la Lémurie, l’Atlantide, ou des envoyés à eux comme Pythagore ou Jésus, affirment que l’âme, éternelle et indivisible, progresse à travers les plans inférieurs — astral, mental, causal et éthérique — jusqu’à s’unir à la Déité Suprême. Tesla était un Vénusien incarné.

Omnec décrit de petits vaisseaux circulaires, formés de deux soucoupes emboîtées et un grand vaisseau-mère cylindrique abritant 50 soucoupes, et des passagers de divers mondes. Leur technologie cristalline contrôle magnétiquement l’antigravité, permettant de voyager sans friction, ni inertie. Elle affirme aussi que la Lune est habitée, dotée d’atmosphère, d’eau, de flore et faune pauvre, elle est désertique, et sert de base interplanétaire.

Son autobiographie, commencée dans les années 1960, parut en 1991 avec Wendelle Stevens sous le titre UFO From Venus I Came. En 2009, elle la republia comme premier tome de The Venusian Trilogy, suivi d’un second sur sa vie terrestre et sa mission publique, et d’un troisième sur son message spirituel. Le premier livre, ici résumé, présente l’origine, la société, la spiritualité et la mission des Vénusiens à travers son témoignage.


Artur Berlet, né en 1931 à Sarandi au Brésil, était un conducteur de tracteur issu d’une famille d’immigrants. Homme simple, parlant allemand et portugais, travailleur et respecté, il vivait modestement et n’avait jamais eu d’histoires étranges. Le 14 mai 1958, en rentrant à pied le soir vers Sarandi à 13 km de la ville, il aperçut un objet lumineux près d’un champ. En s’approchant, il distingua un engin métallique d’environ 30 mètres de diamètre, en forme de deux bols inversés. Deux silhouettes l’éblouirent avec un faisceau lumineux, qui le rendit inconscient. Enlevé sans le savoir dans le vaisseau, et endormi par un narcotique pendant tout le voyage, il ne se réveilla que trente-six heures plus tard.

Artur se réveilla attaché dans une pièce blanche, incompris des occupants. Libéré et vêtu d’un vêtement avec cape, il sortit escorté du vaisseau et découvrit une ville aux bâtiments métalliques, où la gravité paraissait moindre. Après une réclusion courte dans une pièce confortable, il est présenté à un groupe, et échoua à communiquer jusqu’à ce que l’un d’eux parlant deux mots d’allemand le conduise vers Acorc Cat, parlant parfaitement allemand, qui devint son interprète et lui expliqua qu’il se trouvait sur Acart et serait renvoyé sur Terre sous dix jours.

Acorc hébergea Artur, lui présenta sa famille et expliqua que le vaisseau était venu chercher du blé pour culture chez eux, son commandant l’avait pris pour un agriculteur, et voulut illégalement l’enlever pour le questionner sur la culture, ceci lui valant une rétrogradation. Bien traité mais affecté par l’éloignement et les longues journées de 46 h, il fut présenté deux jours plus tard au conseil de 500 membres, qui l’interrogea sur son éducation, sa présence près du vaisseau et ce qu’il dirait en rentrant. Il dit que son témoignage compterait peu sur Terre, ce qui surprit les Acartiens. Le gouverneur autorisa son retour après quelques jours de visite.

Guidé par Acorc, Artur visita avec lui leurs villes en navette volante, moyen de transport habituel. Les Acartiens, grands, à la peau très pâle, aux cheveux noirs et au sang violet, vivaient sur une planète froide, avec deux stations spatiales servant de lunes Leurs vaisseaux, censés atteindre 500 km/s, pouvaient rejoindre la Terre en 36 h. Comme ils affirmaient que leur planète se situait à 65 millions de kilomètres de la Terre, Artur pensa longtemps qu’Acart correspondait à Mars. Dans un observatoire, il distingua la Lune puis la Terre, et ses continents au télescope, et apprit que l’installation servait aussi de défense avec de puissants neutraliseurs. Note : il est très possible qu’ils aient menti sur leur emplacement, surtout qu’ils s’inquiétaient qu’Artur soit cru.

Acart, surpeuplée de 20 milliards d’habitants sur une planète plus petite que la Terre, avait été autrefois corrompue, et connut une révolution qui supprima l’argent, et instaura un gouvernement mondial pacifique, dirigé par son gouverneur appelé « Fils du Soleil », élu tous les 5 ans et demi. Sa capitale Con, abritait 90 millions d’habitants, avec des bâtiments d’un métal lumineux la nuit, et des transports par véhicules volants, ou métro souterrain. Les Acartiens travaillaient obligatoirement jusqu’à 66 ans, avant une retraite libre, et utilisaient une énergie solaire magnétique. Artur visita une usine de 10 km produisant acier solaire lumineux, objets, équipements, vaisseaux et armes capables de neutraliser et tuer sur 5000 km. L’agriculture se faisait en terrasses, et l’élevage incluait des buffles géants.

Les Acartiens croient en un Dieu créateur et proscrivent le mensonge. Leurs vaisseaux magnétiques peuvent devenir invisibles, et ils possèdent une base sur notre Lune, où ils collectent des espèces terrestres. Face à leur surpopulation, ils prévoient d’occuper la Terre après une guerre nucléaire qu’ils jugent inévitable, attendant la disparition de l’humanité pour s’y installer, et aider les survivants à cohabiter. Les radiations ne les inquiètent pas, car ils savent les neutraliser.

Le gouverneur chargea Artur de témoigner, afin que les survivants terriens reconnaissent les Acartiens dans le futur. Ramené près de Sarandi après neuf jours, il consigna son expérience dans quatorze cahiers, et publia en portugais en 1967 « Soucoupes volantes – De l’utopie à la réalité », sans chercher à en tirer profit. Peu diffusé mais jugé authentique, son récit fut traduit en allemand en 1972, et en anglais en 1989 par Wendelle Stevens (« UFO Contact from Planet Acart »). Recontacté sans publier la suite, Artur mourut en 1995, et un monument en forme de soucoupe lui fut dédié en 2020 au Brésil.


Howard Menger, né en 1922, observe enfant des disques lumineux et, en 1932, rencontre une femme blonde vêtue de lumière qui lui parle de lois universelles et lui annonce qu’il sera observé toute sa vie. Plus tard, engagé dans l’armée, il rencontre près du Rio Grande un homme télépathique évoquant cette femme et prédisant sa mutation à Hawaï. Là, une femme se disant martienne lit ses pensées et prédit son envoi à Okinawa en 1945, assurant sa survie. À Okinawa, après une attaque, un Vénusien lui révèle que l’armée était nécessaire à sa crédibilité, enseigne l’immortalité de l’âme, la guerre comme leçon, et annonce la fin du conflit par la bombe atomique.

De retour aux États-Unis, Menger fonde une entreprise d’enseignes, et en 1946 retrouve la femme blonde de son enfance, restée inchangée, qui dit avoir 500 ans, et lui annonce qu’il devra transmettre ses enseignements après 1957. Par la suite, il vivra de nombreuses rencontres avec Martiens, Vénusiens et Saturniens qui disent provenir de plans vibratoires invisibles pour nous de leur planète. Il les aide à s’intégrer sur Terre, photographie leurs vaisseaux, qui apparaissent sous diverses formes (cloche, disque, cigare, œuf), entourés de champs lumineux. Lors de démonstrations, des témoins amenés par Menger virent les vaisseaux et petit disques lumineux servant à enregistrer les pensées, confirmèrent publiquement leurs observations, parfois à la radio, et prirent des photos publiées.

Les visiteurs expliquent à Menger que leur mission est spirituelle : servir le Créateur, et éveiller l’humanité. Ils choisissent certains humains, parfois des âmes venues d’ailleurs, et vivent incognito sur Terre. Menger les aide à s’intégrer par sa logistique, note leur régime végétarien. Les Vénusiens, beaux et harmonieux, vivent jusqu’à 800 ans dans des communautés sans argent ni hiérarchie, habitent dans des dômes translucides avec nature intégrée, éduqués par mémoire des vies passées et une spiritualité quotidienne. Les Martiens sont plus petits, bruns aux yeux foncés, les Saturniens, pâles aux cheveux longs. Tous utilisent énergie libre, téléportation, télépathie.

Menger expérimente télépathie, téléportation, dons musicaux spontanés, et reçoit télépathiquement le principe de l’électrogravité. Il construit le HMX-1, un petit engin circulaire téléguidé qui s’échappe, hors de contrôle, attirant l’attention de l’armée. En 1961, l’armée lui confie le développement du HMX-4 avec une équipe d’ingénieurs, disque de 11 mètres à électrogravité capable d’emporter trois passagers. Testé avec succès jusqu’à 10 000 pieds dans son vol d’essai, le projet est ensuite classé secret et disparaît.

En 1956, après un premier voyage en orbite lunaire en vaisseau, il lui fut donné à analyser en laboratoire sur Terre une pomme de terre lunaire, contenant 15 % de protéines contre 3 % normalement. Puis il a été emmené sur la Lune avec d’autres Terriens, leurs corps étant transformés atomiquement durant dix jours à bord d’un plus grand vaisseau, logés en cabines avec alimentation végétarienne et programmes culturels. Après, ils visitèrent la base lunaire : un dôme translucide servant de hangar, des installations souterraines, des halls ornés de plantes et d’art, une exposition interplanétaire. Ils parcoururent en train magnétique montagnes, vallées, désert brûlant, l’épave d’une fusée écrasée. Après quatre jours, ils revinrent sur Terre, Menger rapportant quelques photos. Une autre fois, emmené dans un vaisseau, il survola Vénus et sa civilisation qu’il observa de loin.

Menger expérimente la téléportation par pouvoir psychique. Un soir, il se retrouve projeté physiquement dans un champ à plusieurs kilomètres, alors qu’il peint une enseigne, puis revient instantanément. Un autre soir, sa belle-sœur le voit apparaître et disparaître à son domicile, alors qu’il était à un dîner éloigné, confirmé par des témoins. Il relate aussi la matérialisation de son ancien camion auquel il pensait, aperçu grillant un feu rouge par un policier, alors qu’il était immobilisé à garage à qui il l’avait vendu, affaire passée en jugement qui conclue à sa relaxe pour un phénomène impossible.

En 1957, il rencontre Valiant Thor, émissaire de Vénus, venu proposer un plan de paix au gouvernement américain, rejeté par les autorités. Un couple martien avertit Menger d’une conspiration sur Terre menée par de faux hommes de l’espace, imitant les véritables visiteurs, et orchestrant de faux contacts pour tromper, semer le doute, et discréditer les vrais contactés.

En 1958, Howard Menger épouse Connie Baxter, qu’il reconnaît comme la réincarnation de Marla, compagne vénusienne de ses vies passées, tandis que lui avait été un Saturnien nommé Sol do Naro. Il se souvient aussi être arrivé comme walk-in, après une promesse de retrouvailles avec elle. Connie publie la même année un récit de sa vie vénusienne passée, et Howard raconte ses contacts dans « From Outer Space to You » en 1959. En 1962, il fait une rétractation publique imposée par la CIA, via un contrat de confidentialité de 20 ans lié à ses travaux militaires, mais vingt ans plus tard et jusqu’à sa mort, il réaffirme ses expériences. Ensemble, ils publient « The High Bridge Incident » en 1991, et un autre livre en 1995. Howard meurt en 2009, Connie en 2017.


En 1965, l’auteur Robert Charroux parle d’Emen Ys, français affirmant un contact avec la planète Bâavi. Son demi-frère Jean Roy, seul interlocuteur direct de Charroux, servait de relais. Emen Ys déclara avoir été emmené par des extraterrestres et séjourné deux mois sur Bâavi durant la guerre, puis remit à Charroux récit, grammaire, schémas de vaisseaux et un texte en arménien. Expertisés, certains documents furent jugés cohérents mais inconnus de la science. Charroux publia le dossier dans « Le livre des secrets trahis » en 1965, et « Le livre du mystérieux inconnu » en 1969. Wendelle Stevens en fit la synthèse dans « UFO contact from planet Baavi ».

L’identité d’Emen Ys reste incertaine : Jean Roy dit qu’il s’appelle Stéphan Ritchen, mais les informations sur sa naissance sont erronées. Orphelin de père, il partit jeune chercher les Atlantes au Sahara. En 1934, guidé par un Touareg au Tassili N’Ajjer, il découvrit une jarre avec un manuscrit arabe du IXe siècle et deux parchemins en arménien. Refusant de les vendre, il apprit qu’ils contenaient cinq principes de pensée des Bâals (nom des bâaviens).

En novembre 1944 à Cosne-sur-Loire, lors d’un rendez-vous peut-être lié à ses parchemins, il fut enlevé en charrette, dépouillé dans une clairière de nuit près d’un vaisseau flottant, puis emmené sur Bâavi par un géant blond casqué qui lui fit enfiler une combinaison, voyage d’une heure et demie. Deux mois plus tard, il réapparut en Mongolie, ses effets rendus avec un laisser-passer pour la Chine, et prit le nom d’Emen Ys.

En 1945, refoulé à Hong Kong, Emen Ys passa par la Sibérie, puis voyagea avec un trappeur russe en Alaska, Amérique du Nord, puis du Sud, explorant d’anciennes civilisations liées aux Atlantes. Au retour, emprisonné à Shanghai en 1963 comme sans papiers, puis expulsé, il perdit son compagnon en 1965, épousa en 1967 l’infirmière Yéroël en Mongolie, et séjourna de nouveau huit mois sur Bâavi en 1968, en rapportant de nouveaux documents. En 1970, il fonda le groupe Bâal Contrat qui diffusait des monographies, actif en Europe, Russie et Afrique du Sud, consacré à la langue et la philosophie Bâal, parfois vu comme sectaire. Devenu veuf, il se retira dans les monts Altaï, et mourut en avril 1975.

Les Bâals, grands blonds de l’étoile Alpha A du Centaure (ou Rigel Kentaurus), vivent sur Bâavi, planète 1,5 fois plus grande que la Terre, où résident aussi des Yétis. Longtemps auparavant, certains explorèrent Mars déclinante, s’unirent à des Martiennes, et engendrèrent des descendants au type asiatique mongol. Mars devenue invivable il y a 12 000 ans, ils migrèrent vers la Terre. Rejetant leur société lors d'un schisme, plus de 800 000 rebelles émigrèrent il y a 10 000 ans et devinrent les ancêtres d’une partie de l’humanité. Restés sur Bâavi, les autres abolirent la famille : enfants élevés collectivement, dirigés par les « Connaisseurs », en dictature « bienveillante », habitants stérilisés après un enfant et vivant plusieurs siècles.

Leurs vaisseaux, appelés vaïdorges, utilisent propulsion photonique, ionique et antigravitationnelle, voyageant dans le « temps négatif » 17 fois plus vite que la lumière, suggérant un anti-univers, concept partagé par d’autres contactés. Protégés par des coques neutriniques, ils sont armés de canons à antimatière. Des schémas sont donnés.

Selon Emen Ys, les Bâals ont bâti Bâalbek au Liban, ont une base aux Maldives et des points de contact en France (Cher, Indre, Creuse, Lozère). Ils influencent discrètement certains dirigeants, tout en privilégiant les peuples « jaunes » issus de croisements anciens, d’eux avec les Martiens. Ils craignent nos armes nucléaires et pourraient anéantir l’humanité si elle devenait une menace. Dans les années 1970, des ufologues belges reçurent documents et cassettes audio attribués aux Bâals, transmis jusqu’à l’armée de l’air. L’affaire, proche de celle d’Ummo, tomba ensuite dans l’oubli, bien que quelques fragments d’écriture ancienne subsistent.

Plusieurs autres contacts sont liés à Alpha du Centaure : en 1976, l’allemand Horst Fenner rencontra en Bolivie deux êtres, Kohun et Athar, de Proxima du Centaure (l’étoile Alpha C), personnages connus des Pléiadiens de Billy Meier, qui parlèrent aussi des « Intelligences Baawi ». Elizabeth Klarer évoqua Méton, planète de Proxima issue d’anciens Vénusiens. Ricardo González et Roberto Vargas, rapportèrent enfin des contacts avec une colonie d’Apu, autour d’Alpha B du Centaure.


Anne Givaudan, née en 1951 à Montpellier, fut d’abord professeure de français avant de se consacrer aux voyages astraux. Avec Daniel Meurois, elle vit dès les années 1970 des sorties hors du corps guidées par un être bleu extraterrestre, expériences relatées dans « Récits d’un voyageur de l’astral » en 1980, et « Terre d’émeraude » en 1983, fondant une œuvre sur exploration astrale, conscience élargie et contacts extraterrestres, dont la visite d’une grotte abritant des soucoupes. En 1996, elle publie « Alliance », relatant ses rencontres avec des Vénusiens, la visite d’un vaisseau-mère, d’une base lunaire et de Vénus. En 2001, dans « Walk-in », elle révèle être une walk-in vénusienne, conscience venue de Vénus dans un corps terrestre durant l’enfance par échange d’âme.

Dans « Alliance », objet de cette vidéo, Anne raconte qu’accueillie par deux êtres lumineux dans un vaisseau-mère autour de la Terre, elle subit une purification avant de découvrir une biosphère luxuriante. Les Vénusiens lui expliquent qu’ils auraient pu l’y amener physiquement, mais que l’astral lui convenait mieux. Elle visite la salle d’information, où une sphère cristalline lui projette les souffrances terrestres et lui fait vivre des immersions : en Lémurie, où un peuple à peau noire bascule dans la décadence, puis en Atlantide, où la science se détourne du cœur. Les Vénusiens affirment que l’humanité doit retrouver le chemin du cœur. Elle découvre aussi la salle des voyages, avec des corps en léthargie, et la salle des langues pour l’apprentissage accéléré.

Dans le hangar, elle embarque sur un petit vaisseau traversant la pyramide de Gizeh et rendant sa matière invisible. Les combinaisons de vol sont faites d’une matière vivante réactive aux pensées, et les vaisseaux, vivants eux aussi, sont créés par modulation du son et de la matière. Les Vénusiens révèlent que la Lune abrite une base accueillant des délégations interplanétaires. Anne y rencontre divers êtres — unijambiste, géométrique, en forme de feuille ou au visage félin.

Les rencontres de visite de Vénus s’étalent sur des mois et sont synthétisées. Guidée par Sumalta et Djarwa, Anne découvre un Vénus verdoyant et apaisant, habité par des êtres grands, androgynes, aux cheveux blonds mi-longs et vêtus de tenues fluides changeant selon l’aura. Le paysage offre collines, lacs clairs et une mer de pétrole en cours de transmutation vibratoire en eau par leur technologie. Sur Vénus, les objets sont créés par la pensée. Les villages remplacent les villes, les maisons arrondies, sans angles, s’alignent avec les forces de la nature. Dans une demeure, Anne découvre des vêtements vivants et des ceintures avec gemmes équilibrant l’énergie.

La nourriture vénusienne, faite de fleurs, graines, fruits, miel et infusions solaires, rappelle l’apport ancien de semences à la Terre. L’éducation commence par la télépathie puis s’élargit dans des écoles de sagesse où enfants apprennent maîtrise émotionnelle et usage des sons, couleurs et formes pour créer ou guérir, unissant science, énergie et beauté sans compétition. L’union repose sur respect et harmonie, la sexualité sans amour étant appauvrissante. La mort est une transition sereine en salle de désincarnation, la vie durant environ 500 ans. Anne assiste à un conseil interplanétaire de douze sages sur l’avenir de la Terre, qui concluent que seul l’amour ouvre la voie. Elle rencontre aussi trois êtres solaires d’énergie. Elle visite enfin un centre de soins montrant le cerveau unifié des Vénusiens et une salle sous pyramide destinée à guérir les mémoires en transformant le passé, révélant une manipulation temporelle.

Une bibliothèque vivante renferme les récits des civilisations passées, présentes et futures. Les Vénusiens expliquent que la Terre, planète-école soutenue depuis dix-huit millions d’années par des civilisations bienveillantes mais convoitée par d’autres, a connu migrations stellaires, manipulations génétiques et expérimentations. Sa rédemption passe par l’Amour. La Terre est un chakra cosmique dont l’équilibre influe sur l’univers. Depuis les années 1950, les contacts se multiplient, certains humains servant de relais. Atlantes, Esséniens et Hopis ont transmis ce savoir, encore relayé par des maîtres du subtil. Les crop circles sont de véritables messages énergétiques, mais imités par des copies trompeuses.

Les contacts d’Anne se poursuivront dans d’autres ouvrages, dont le livre important « Révélations galactiques pour un monde nouveau » en 2022, où elle rassemblera messages et rencontres avec diverses civilisations cosmiques.