
Contacté : Lloyd Benjamin Zirbes (son vrai nom)
Planète du contact : Planète en orbite de l'étoile ALCYONE, de la constellation des Pléiades
Nom du contact principal : Michaël (c’est le nom sous lequel il a demandé à se faire appeler par Lloyd Zirbes, mais évidemment pas son nom extraterrestre, seulement le nom utilisé sur Terre)
Sommaire cliquable de liens internes :
◻️ Planète d'origine des contacts
◻️ Identité du contacté
◻️ Époque et lieu du contact
◻️ Publication de l'histoire
◻️ Comment a eu lieu le contact
◻️ Apparence des habitants d'Alcyone
◻️ Les documents de Zirbes complets sur les théories
➳ L'UNITÉ DE TOUTES CHOSES
➳ THÉORIE DE LA CHUTE DES CORPS
➳ THÉORIE DE LA CHUTE DES CORPS 2
➳ RECHERCHE SOLAIRE
➳ AU-DELÀ DE LA IONOSPHÈRE
➳ CONSÉQUENCES DE L'ÉNERGIE NUCLÉAIRE
➳ L'ÉNERGIE NUCLÉAIRE CONTRE LA PLANÈTE TERRE
◻️ Exposé résumé de la théorie de la gravité selon Alcyone par Zirbes
➳ Principe fondamental : le mouvement comme force créatrice
➳ a) Corps en chute
➳ b) Champ gravitationnel
➳ Rotation et champ magnétique
➳ Groupements de corps
➳ Corps en chute = transducteurs d’énergie
➳ Conversion énergie – masse
➳ Densité de la masse et inactivité
➳ Particules subatomiques : origine de la matière
➳ Anti-matière
➳ Bilan : champs gravitationnels et orbites
➠ Extrait 1 : expériences menées sur la gravité par Zirbes montrant des anomalies
➳ Introduction sur les tests de Zirbes
➳ Test 1 de Zirbes
➳ Test 2 de Zirbes
➳ Test 3 de Zirbes
➳ Test 4 de Zirbes
➳ Test 5 de Zirbes
➳ Test 6 de Zirbes
➳ Test 7 de Zirbes
➳ Test 8 de Zirbes
➳ Expérience de Szasz à la tour de chute de Bremen
➠ Extrait 2 : moteur magnétique de Zirbes fluxomatic
🔗 Liens vers des documents plus complets sur ce contact
Planète d’origine des contacts :
Ils sont originaires d'une étoile dans le système stellaire que nous appelons Alcyone dans les Pléiades.


Identité du contacté :
Lloyd Benjamin Zirbes est né en 1931. Il était fermier et vivait dans un espace rural près de St. Cloud, Minnesota, aux USA lorsque le contact a lieu en 1958.
Il reprendra des études supérieures de physique dans une université technique pour avoir des bases lui permettant de parler de la théorie qu’il diffusera pour divulguer des informations données par les extraterrestres lors de son contact, sur la compréhension de la gravité et des mécanismes nucléaires.
On n’a pas plus d’information que cela, car il voulait rester anonyme et que rien ne soit publié publiquement tant qu’il serait en vie, ce qui a été respecté par Wendelle Stevens.
On sait qu’il a fondé Zirbes Enterprises dont il était directeur, pour travailler sur des projets expérimentaux en relation avec les théories qui lui ont été données lors de ses contacts extraterrestres. Il a construit notamment un moteur (le "fluxomatix") basé sur la compréhension nouvelle par lui de la gravité afin de démontrer l'existence aussi d'un effet répulsif de la gravité. Il a réuni une équipe de recherche appelée « Projet Stardust » pour travailler sur ces théories et leurs applications.
Il décèdera en 1992 (on trouve aussi 1990 comme information contradictoire sur internet, à voir quelle date est la bonne).
Époque et lieu du contact :
Le contact a eu lieu à l’automne 1958, à St Cloud dans le Minnesota, USA.



Publication de l’histoire :
L’affaire commence lorsque Wendelle Stevens, ancien militaire et enquêteur spécialisé dans les contacts extraterrestres, entend parler d’un ancien cas d’enlèvement par des OVNIs près de son lieu d’enfance, au centre du Minnesota (aux USA). Sa sœur, restée sur place, l’informe de l’existence de ce cas. Intrigué, il rend visite à la personne concernée et découvre que les expériences sont authentiques, durent depuis de nombreuses années, et se déroulent dans un climat amical.
L’homme contacté s’appelle Lloyd Zirbes. Il vit dans une zone rurale près de St. Cloud, Minnesota, et a rassemblé de nombreuses notes et transcriptions de dialogues qu’il a eus à bord d’un vaisseau extraterrestre. Il conservait tout cela dans le secret, refusant toute publicité ou intrusion extérieure. Les extraterrestres avaient guéri son fils d’un mal que la médecine humaine n’avait pas su traiter, ce qui avait profondément marqué Lloyd. Il était désormais bien traité et respecté par ces êtres, qu’il avait appris à connaître.
Lloyd accepta de collaborer avec Wendelle Stevens pour transmettre son histoire, à condition que son nom complet ne soit révélé qu’après son décès. Cette condition étant aujourd’hui remplie, Stevens s’estime libre de publier les détails et de citer son nom. Il précise que des descendants de Lloyd vivent encore au Minnesota. Une version résumée de ce cas avait déjà été incluse dans un chapitre consacré à d’autres visiteurs pléiadiens de son ouvrage intitulé "UFO Contact from the Pleiades, A Supplementary Report".

Au cours de ses contacts, Lloyd fut soumis à un processus d’examen, d’orientation et de tests à bord du vaisseau. Il y vit des démonstrations de lois physiques complexes affichées sur des écrans. Ces concepts étaient si avancés qu’il dut suivre des cours de débutant en physique dans une université pour pouvoir les comprendre. C’est grâce à ces enseignements qu’il développa une théorie personnelle, baptisée « la théorie des corps en chute », qui visait à expliquer pourquoi les planètes, les soleils et les satellites ne se percutent pas dans l’espace.
Un élément secondaire mais significatif de ces contacts fut la révélation d’un projet à long terme mené par les extraterrestres, appelé « Projet Rédemption ». Ce programme visait à préparer certains humains à intervenir dans un futur chaotique, consécutif à un cataclysme naturel inévitable et cyclique. Ces individus formés, appelés les diplômés, seraient alors essentiels pour aider l’humanité à retrouver un équilibre.
C’est ainsi que débute le cas de contact extraterrestre de Lloyd Zirbes.
Comment a eu lieu le contact :
Premier contact :
À l’automne 1958 à Saint Cloud dans le Minnesota (USA), avant les premières neiges, Lloyd, pris d’une impulsion soudaine pour aller vérifier ses lignes de piégeage, conduisait sa vieille voiture sur un chemin sablonneux étroit, avec une petite rivière d’un côté et une zone marécageuse de l’autre, pour voir si ses pièges étaient en ordre. Il était tard dans l’après-midi, la nuit commençait à tomber, et il remarqua la Lune basse dans le ciel : un ciel dégagé, une belle nuit avec une fraîcheur vivifiante dans l’air, si bien que sa nouvelle parka d’hiver lui semblait agréable à porter.
Il roulait lentement, à cause de la route cahoteuse bordée de saules et de broussailles, et il se sentait aussi inhabituellement somnolent sans raison apparente.

Il remarqua alors que la Lune, à sa droite, était plus brillante que d’habitude, et il ne pouvait pas en distinguer les ombres, ni le « visage » lunaire. Elle avait aussi une teinte dorée différente, comme il n’en avait jamais vu auparavant. Et elle semblait le suivre - pas comme un effet d’optique lié au mouvement de la voiture et aux objets proches, un phénomène qu’il connaissait bien, mais comme si elle le suivait réellement.
Il approchait d’un virage prononcé, un virage très familier pour lui, et ralentit par anticipation, rétrogradant en seconde - puis il entendit un bruit étrange provenant du moteur, comme une fissure dans le silencieux.
Après avoir négocié le virage vers la gauche, il fut surpris de voir la « Lune » toujours présente à sa droite. Il pensa : « C’est impossible - elle devrait être derrière moi maintenant. » Il n’avait jamais vu la lune aussi brillante. Il la fixait sans cesse, si bien qu’il dut ralentir fortement pour rester sur la route.

Il aperçut alors une autre lumière, dans le marais sur sa droite - ce n’était pas le reflet de la Lune sur l’eau, mais une lumière provenant des broussailles du marais. Ce ne pouvait pas être un feu de camp… Cela n’en avait pas l’apparence. Ce ne pouvait pas être un tracteur agricole ni un autre véhicule dans un tel endroit. Ce ne pouvait pas non plus être une lumière électrique, car il n’y avait pas de lignes électriques… et la lumière brillait beaucoup trop.
Il prit un autre virage lentement et tomba sur une voiture garée là, une Dodge ou une Plymouth, modèle de 1941 à 1947. Les portières étaient ouvertes, et des personnes se tenaient debout derrière la voiture, le regardant. Il se demanda ce qu’elles faisaient là. Le « feu de camp » était toujours visible, et en s’approchant, il put distinguer cinq silhouettes entre le feu et la voiture, et les gens près de la voiture regardaient les cinq silhouettes. En s’approchant encore, il vit que la lumière n’était définitivement pas un feu, et il se demanda comment tous ces gens avaient pu tenir dans cette seule voiture.

Il s’arrêta derrière la voiture, sortit et demanda : « Est-ce que tout va bien ? » Tous le fixaient. Les cinq étaient vêtus de costumes étranges. Il pensa qu’ils devaient organiser une fête costumée. Voilà, c’était ça ! Halloween approchait dans quelques jours.
Il attendit longtemps sans obtenir de réponse. Il allait demander ce qui n’allait pas - pourquoi ne répondaient-ils pas ? - lorsqu’il entendit une voix, claire, agréable et féminine, qui semblait venir de partout à la fois. La voix dit : « Bonjour Lloyd… tout va bien, merci. »
Lloyd répondit : « D’accord », et retourna s’asseoir dans sa voiture, refermant la portière.
Il remit la voiture en marche et redémarra, mais crut voir quelqu’un assis à côté de lui, à l’intérieur de sa voiture. Il aperçut alors cinq autres personnes debout au bord de la route, et ses phares les éclairèrent tandis qu’il dépassait le véhicule arrêté. Il ralentit de nouveau pour mieux voir qui était assis à côté de lui. À ce moment-là, deux des cinq individus lui firent signe de s’arrêter. Il le fit, à une quinzaine de pieds d’eux. Trois des cinq s’avancèrent sur la route… et son cœur fit un bond lorsqu’il pensa : « Mon Dieu, ils portent tous des masques… ils portent des gants et des bottes ; ils ont du matériel accroché à leurs ceintures, et ils portent des armes ! »

En voyant certains passer devant ses phares, il pensa : « Mon Dieu, ils sont grands - qui sont-ils ? »
Puis la portière de sa voiture fut brusquement ouverte, et l’un d’eux commença à fouiller dans sa boîte à gants. Un autre le visait avec un objet. Lloyd trouva cela très audacieux : fouiller ainsi sans rien demander. Les autres arrivèrent à sa hauteur, et il baissa sa vitre en demandant : « Puis-je vous aider ? »
« Personne ne répond », raconte Lloyd. « Quelque chose pique, ça brûle - je deviens engourdi. Ils m’ont fait quelque chose… celui qui me visait, il a fait quelque chose, je ne peux plus bouger, je ne peux plus parler - ils vont me tuer - qu’est-ce qui se passe ? »
L’un d’eux dit : « Nous ne te ferons aucun mal ; nous voulons seulement te… (illisible)… »

« Je sors de la voiture. Certains d’entre eux marchent de chaque côté de moi, d’autres derrière. Nous remontons la route jusqu’à l’endroit où se trouvait la lumière. Ce n’est pas loin, à quelques centaines de pieds. Il y a quelque chose derrière moi - est-ce que ma voiture va bien ? Je me retourne et regarde ma voiture… et là, quelque chose comme une lune brillante s’élève depuis les arbres. Et je dis : “C’est l’avion le plus étrange que j’aie jamais vu… Comme ils ont changé… Ce n’est pas un avion comme on imagine un avion. Il flottait dans l’air. C’est plus un engin aérien.” Et j’ai dit : “Waouh, c’est quelque chose !” Il y avait une sorte de cône là où se trouvait la lumière. »
« Et en tournant dans le petit chemin d’accès, je regarde la Dodge et… je me demande : “Qui sont ces gens ?... Qui sont ces gens dans la voiture ?…” »

« Je m’arrête et regarde la plaque d’immatriculation… “Je dois me souvenir de ce numéro, je dois m’en souvenir, parce que je peux les retrouver grâce à ce numéro, qui qu’ils soient.” Nous marchons le long de la voiture, du côté droit… et là, autour de l’arrière et sur les côtés, il y a cinq personnes étranges, qui ressemblent exactement à celles qui marchent avec moi. Je m’arrête à l’arrière de la voiture et regarde à nouveau la plaque. Je dois me souvenir du numéro… Je dois m’en souvenir. »
« Quelqu’un me fait signe de continuer à marcher… Nous allons vers la gauche, derrière la voiture… et je m’arrête, je regarde les gens… et je dis : “Je suis Lloyd, qui êtes-vous ?”, et une femme répond : “Je suis Norma, et voici mon mari Louis. Notre nom est Bovier.” Et je dis : “Eh bien, oublions Bovier, je retiendrai Norma et Louis”, et j’ajoute : “Je suis Lloyd et je viens de Saint Cloud.” »

« Elle dit : “Nous sommes prisonniers, que pouvez-vous faire ?” Je m’arrête et je regarde autour de moi, et je pense : “Je me fiche de la taille de ces types. Ici, c’est chez moi, ce sont mes marécages, mes tourbières, si je me mets à courir, personne ne pourra m’attraper… personne.” Et aussitôt, ils se déplacent pour m’encercler, et je me dis : “C’est étrange… comme s’ils savaient que j’allais tourner et m’enfuir.” »
« Je regarde les Bovier, et la femme reprend la parole. Elle dit : “Que pouvez-vous faire ?” Je hausse les épaules et dis : “Je ne pense pas qu’il y ait quoi que ce soit que nous puissions faire.” »
« Nous faisons demi-tour et marchons… Nous franchissons la clôture… nous entrons dans la lumière… »

« Là se trouve un engin parfait… Il est magnifique… Il est merveilleusement conçu… Il est très bien fabriqué… Je chancelle… Il est en train de m’élever… Je ne pense pas vouloir y aller… Je n’ai pas le choix… Quelqu’un répète sans cesse : “N’ayez pas peur, nous ne vous ferons aucun mal…” »

« Je leur ai demandé : “Que voulez-vous ? Qui êtes-vous ? D’où venez-vous ?” Personne ne répond. Il y a une étrange table. J’ai peur qu’ils ne m’examinent ici. Je leur fais part du fait que je suis une personne très pudique, mais je ne ressens aucune gêne à ce qu’ils enlèvent mes vêtements. »
« Ils s’interrogent sur une profonde coupure que j’ai dans le bas du dos… Ils s’intéressent à une large entaille sur mon omoplate droite… Ils grattent mon bras et ma jambe… Ils me coupent les ongles de pied et de main, et je leur demande : “Pourquoi avez-vous besoin de mes ongles ?” Quelqu’un semble répondre : “Pour déterminer le facteur ‘ongle’ par rapport au facteur ‘griffe’.” »
« Ils coupent une mèche de mes cheveux… un poil de sourcil… ils vont jusqu’à mon nez… et prennent un poil pubien… »

« Je leur dis : “C’est étrange, pourquoi m’amenez-vous pour un examen ? Vous êtes tous semblables, je ne peux pas vous distinguer les uns des autres…” Ils disent : “Tu aurais probablement peur de nous si tu nous voyais tels que nous sommes…” Je réponds : “Si j’avais peur de vous, alors vous devez avoir peur de moi ?” »
« Ils disent : “C’est vrai, mais nous avons eu affaire à l’homme terrestre depuis de nombreux siècles…” »
« “D’où venez-vous ?” ai-je demandé. »
« Ils ont répondu : “Peut-être que nous te le dirons…” »
« J’ai dit : “Pouvons-nous discuter sur un plan intellectuel plutôt que d’avoir peur de l’apparence de l’autre ?” Et l’un d’eux dit : “Oui, c’est ainsi que nous préférons procéder…” »
« Ils ont fait quelque chose à mon nez… et ont introduit quelque chose dans mon oreille… Ils ont dit qu’ils recherchaient des virus et des bactéries. »

Ils m’ont conduit vers une sorte de structure en cage avec une porte en verre, et m’ont demandé de rester là. Ils ont dit : “Tu ne seras pas blessé, tiens-toi simplement là…” Tandis que je reste debout, la pièce commence à se remplir d’un brouillard qui descend depuis le plafond… Je me penche pour rester sous le brouillard… et quand je ne peux plus me pencher davantage, je prends une grande et profonde inspiration. Je retiens mon souffle et le brouillard m’enveloppe… Je ne peux plus retenir ma respiration plus longtemps… Je commence à relâcher l’air… comme si j’étais sous l’eau… un peu à la fois… Je n’ai plus d’air… Je dois respirer… Je halète pour reprendre mon souffle… et alors que je cherche de l’air, un bourdonnement retentit et tout le brouillard est aspiré hors de la pièce en une ou deux secondes.

Ils remettent mes vêtements dans la pièce… (je m’habille). Maintenant ils veulent m’examiner davantage… Ils mettent quelque chose dans mon nez… Ils m’essuient les yeux avec une substance étrange… Ils prennent… (incompréhensible) entre mes jambes, puis commencent à parler entre eux… On me conduit dans une pièce, et on me dit simplement de m’asseoir… alors je m’assieds… puis je m’allonge… c’est comme un banc… je me redresse… et il y a des personnes assises autour - comme à une table. Un conseil… et d’autres personnes semblent observer… Ils regardent des instruments et prennent des notes… J’ai peur de ces gens… peut-être sont-ils des démons… peut-être que cela a quelque chose à voir avec le diable… Je me lève… En tant que catholique, je me signe, je joins les mains pour prier, et je dis : « Au nom et par la puissance de Jésus, disparaissez, démons ! »
L’un d’eux regarde un autre et dit : « Que fait-il ? » Et l’autre répond : « Il fait sa magie. »

Je suis très découragé et faible, et je me rassois. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis là… Ils vont me faire passer des tests… Ils regardent quelque chose sur le mur, une sorte d’écran comme une télévision… Ils savent tout de moi… Ils savent quand j’ai été blessé… Ils connaissent ma mère… Ils me demandent si je connaissais ma grand-mère… Et ils vont dans les moindres détails… Ils disent qu’elle était de sang royal… qu’elle a été placée sur un navire anglais juste avant qu’il ne parte… Les gens qui essayaient de la faire sortir de France ne savaient pas qu’ils l’avaient mise sur un navire d’esclaves… Ils m’ont raconté comment mon grand-père avait tenté de l’aider… Ce n’était qu’un simple fermier…

Ils disent qu’ils vont me faire passer des tests… Pourquoi répètent-ils qu’ils vont me faire passer des tests ? Ils m’emmènent dans une autre pièce… Ils sont en train d’attacher une personne… ils lui ont ligoté les mains… ils lui ont lié les pieds… et ils le jettent très brutalement au sol… Puis j’entends : « C’était une personne très mauvaise… il a détruit de nombreux Terriens… et des êtres venus d’autres planètes… il est très mauvais… il doit être détruit… »
« Toutefois », disent-ils, « en raison du type de personne qu’il est, nous n’avons pas l’autorité pour l’exécuter », et donc ils me disent de l’exécuter. J’ai dit (en sanglotant) : « Je ne suis pas un tueur… Je ne comprends pas pourquoi vous ne pouvez pas le faire… » La personne en charge dit : « Tu mens ! » Ils ajoutent : « Tu n’as vraiment pas le choix… Soit tu l’exécutes, soit c’est nous qui t’exécuterons… »

« Je regarde l’homme au sol et je dis : “Bon sang, c’est quoi ce marché ?” Il répond : “Ne leur fais pas confiance, ils mentent quand ils disent que j’ai autant de charges contre moi !…” Ils me tendent une arme, une arme terrestre, un revolver, une arme normale… et ils disent : “C’est ton choix.” Je me sens horriblement mal, je pense : quelle situation… Ils me tendent l’arme en disant : “Fais-le.” »
« Je prends le pistolet, je le tiens dans ma main. Je tire le chien, je regarde l’homme au sol, et je dis : “Bon, mec, ça va être toi ou moi…” ou bien je dis : “Peut-être qu’on pourrait s’en sortir tous les deux”, et je me retourne et je tire sur les gens qui m’ordonnaient de le tuer ! L’arme tire, et je tire à nouveau, encore et encore… et ils se mettent tous à rire : “On voulait juste te mettre à l’épreuve… Ici, tout sert Dieu…” »
« Je suis très bouleversé. Leur blague ne me fait pas rire du tout. Je regarde celui qui est en charge, et je l’insulte en le traitant de fils de… L’homme au sol donne quelques coups sur les cordes et s’en libère. Il me prend par le bras et dit : “Ne t’en fais pas, il fallait que cela se passe ainsi… C’est une leçon très importante. N’y prête pas attention.” »
« Ils m’emmènent à d’autres tests… Je n’ai aucune idée de ce qui se passe… Il n’y a de place que pour une seule personne pour survivre… une seule personne peut survivre… et ils me disent que nous sommes deux… l’un est ma femme, et l’autre c’est moi… une seule peut survivre, et : “C’est ton choix… Qui doit survivre ?” Je leur dis : “Il n’y a pas de choix. Ma femme survivra.” »
« Ils prennent des notes… l’un d’eux insère quelque chose dans un orifice et dit : “Très bien.” Je ne sais pas si cela fait référence à mon choix ou au test. »
Il y eut encore d’autres tests, et finalement Lloyd fut reconduit sain et sauf à son automobile, et il rentra chez lui, bouleversé et troublé.

Commentaire personnel :
L'ensemble de la façon de procéder est psychologiquement cruelle et physiquement traumatisante, et il n'y a pas de respect de l'individu. Les façons de faire sont celles d'une civilisation qui n'est pas dans des valeurs de respect comme peuvent l'être bien d'autres dans des contacts différents.
Deuxième contact :
Lloyd reçut de nouveau une inspiration et fut conduit à un autre contact peu après. Cette fois, il arriva sur les lieux et monta volontairement à bord d’un vaisseau en forme de disque qui l’attendait.
Un individu lui fit signe de monter sur une rampe d’accès…
« J’entre dans une pièce… Je m’assieds sur quelque chose… une personne m’interroge… Il me dit : “Que pouvez-vous me dire sur la communauté religieuse ?” Je réponds : “Ils disent que si l’on mène une bonne vie, si l’on suit les règles, alors à la mort on ira dans un endroit merveilleux qu’ils appellent le Paradis.” Il demande : “Qu’est-ce que la bonne vie ?” Je réponds : “Ils disent qu’il faut être loyal envers le prêtre, avoir du respect pour l’Église.” Il m’interrompt et dit : “Nous savons ce que ‘eux’ disent… Ma question est : que dites-vous ? ” »
« Je réfléchis attentivement… Je me sens profondément intimidé… dos au mur… Je n’ai jamais été acculé de cette façon, et je dois donner une réponse… Je sais que je dois répondre… Je me dis : “Ce sont des êtres intelligents, ils ne vont pas croire à ces bêtises…” Je réponds alors : “Je ne dirais pas cela à n’importe qui, mais je pense que la religion est un système de contrôle des gens…” »
« Il semble très excité. Il dit : “Alors rassemble un groupe de personnes et dis-leur cela !” Il poursuit avec d’autres questions… puis il me dit : “Ferais-tu une chose ?” Au lieu de discuter avec lui, je lui dis : “Tout le monde a le choix… et très honnêtement, je me fiche de ce que les gens croient ou ne croient pas… Je ne vais pas essayer d’influencer la pensée de qui que ce soit…” »
« Il dit : “Si tu fais une chose, tu seras très riche… tu seras très célèbre… Tu seras très puissant.” Je réponds : “Tout ce dont j’ai besoin, c’est de quoi mettre du pain et du beurre sur la table. Quant à être célèbre, ma femme me connaît… c’est toute la renommée dont j’ai besoin… et pour ce qui est du pouvoir, je n’ai aucune envie de dicter quoi que ce soit à qui que ce soit.” »
« Il semble approuver ma réponse. Il dit : “Si tu avais la capacité de construire des institutions fondées sur la justice, sur la paix, le ferais-tu ?” Je réfléchis soigneusement… Il dit : “Il faudrait beaucoup de richesse, et beaucoup de renommée pour faire cela…” Et il ajoute : “Si tu avais cette richesse et cette renommée, les utiliserais-tu pour bâtir une grande civilisation… un gouvernement de paix… un gouvernement sans guerre… sans pauvreté… sans faim… un gouvernement de justice… un gouvernement - du peuple ?” Je dis : “C’est tellement beau, et tellement triste à la fois… Bien sûr que je ferais tout pour ça… je ferais tout…” et il dit : “Accepterais-tu cela ?” Et j’ai répondu : “Pourquoi pas ?” »
« Finalement, il dit : “Tu feras cette chose.” »
« Ils m’amènent à une personne et disent : “Michael, voici Lloyd, Lloyd, voici Michael.” Il tend la main et je la serre, et nous nous serrons la main. »
« Il ressemble exactement aux autres… même masque vert (visière faciale), gants, bottes… Je ne peux pas le distinguer des autres… et en lui serrant la main, je pense à son pouls… De ma main gauche, je saisis son poignet… et je pense : “Quel est son pouls ?” À peine ai-je formulé cette pensée qu’il répond : “Mon rythme cardiaque et ma chaleur corporelle sont à peine supérieurs aux tiens.” Je suis infiniment choqué par le fait que, peu importe ce que je pense, ils savent ce que je pense… Moi aussi j’ai d’autres peurs… de… si jamais je… me fais attraper… en train d’essayer de faire quelque chose de mal… »
« Je ne sais pas ce qui s’est passé ensuite. Je me retrouve assis sur un banc… Pourquoi n’ont-ils pas de chaises ?… Tout est fait de bancs… Michael parle et dit : “Lloyd, tant de gens ont été appelés et testés… et parmi ceux qui ont été appelés, peu sont choisis… et tu fais partie de ceux qui ont été choisis. On t’enseignera une technologie, et tu utiliseras les richesses issues de cette technologie pour former le gouvernement sur lequel tu t’es engagé.” »
« Il appuie sur des boutons et des choses apparaissent (sur un écran)… Il m’interroge, et j’ai quelques connaissances dans le domaine de l’électronique. Il semble approuver ce que je dis… Il va me montrer les résultats liés à la chute des corps… Je comprends et je dis : “Je ne savais pas cela !” Je dis : “Ce n’est pas ce que disent les livres !” Et il répond : “Peut-on vraiment se fier aux livres ?… Les livres sont incorrects !” Très méthodiquement, il passe en revue le processus de la chute des corps… Il parle de l’hydrogène, du carbone, du cuivre, de l’argent et de l’or… Il me montre les résultats. Ensuite, il dit : “Ce sont les résultats de tests que tu réaliseras toi-même… Utilise tes propres conclusions pour assembler une technologie qui en découlera.” »
« Les images sont très nettes… Elles sont en ralenti… si claires… Il parle de forces et de contre-forces. Il parle de “pôles gravitationnels”, et de la gravité comme une force unifiée - si l’on souhaite utiliser le mot gravité… Il entre alors une “étoile de seconde génération” - et sur l’écran de l’ordinateur, une structure apparaît… Elle correspond exactement à ce qui avait été montré avec les corps en chute. Ensuite, l’image s’élargit pour montrer ce qu’est réellement la lumière solaire et comment elle est produite… Il indique ainsi la reproduction de cette force, et la manière précise d’agir sur elle. Je peux voir les images très clairement sur l’ordinateur. Il tient quelque chose comme un crayon dans la main, et il trace des schémas qu’il me montre… Il utilise des mathématiques que je devrais connaître… la loi de Coulomb… des conducteurs, des résistances, des condensateurs. Il appelle constamment les condensateurs des « réservoirs ».
« Je ne me souviens pas avoir quitté le vaisseau. Je ne me souviens pas. Je me souviens avoir parlé avec Norma et Louis directement dans leur maison… Comment sommes-nous arrivés là ?… Comment avons-nous quitté leur maison ? »
« Je leur dis : “Il faut qu’on y aille !” Ils répondent : “Oui, nous savons.” Je dis : “Peu importe ce qui se passe, il faut que tu te souviennes…” Et Norma parle : “Oui,” dit-elle, “tu as de grandes responsabilités là-bas…” Je dois y aller, je dois y aller ! Je démarre ma voiture… “S’il vous plaît, ne me laissez pas tomber, ne me laissez pas tomber !” Je ne sais pas pourquoi je dis ça - “Ne me laissez pas tomber !” »
Informations de Lloyd sur ces deux contacts :
Ces êtres extraterrestres de forme humaine ont dit plus tard à Lloyd qu’ils venaient des Pléiades… « Ce que vous connaissez comme les Pléiades », dirent-ils. « Je ne sais pas où c’est », dit Lloyd.
Quelques réponses données par Lloyd à des questions sont les suivantes :
« J’avais très soif en rentrant chez moi. »
« Déshabillé - c’est eux qui l’ont fait - je pense que j’ai retiré mes bottes - je me suis rhabillé après l’examen physique. »
« L’homme que j’ai reçu l’ordre de tuer n’était pas un humain terrestre car ses traits étaient différents - humanoïde - de taille humaine normale, toutefois. »
« L’écran de type télé que Michael utilisait faisait environ 90 cm par 1,20 m, fixé au mur. Il y avait un autre écran sur un appareil de type console qu’ils utilisaient également. »
« Ils ont affiché les données de ma famille sur un écran, remontant jusqu’à 6 000 ans en arrière. »
« Les Pléiadiens mesuraient tous environ 2,10 mètres. »
« Notre Univers a été décrit comme étant seulement “l’un parmi beaucoup”. Un univers est tout ce que nous pouvons percevoir. »
« Les expériences sur la chute des corps mèneront à une nouvelle loi unifiée des champs qui révolutionnera la science. »
« Vos religions remontent à avant l’histoire écrite. »
Remarques de Wendelle Stevens :
« Plusieurs années après ces premiers contacts, Lloyd se retrouva en position de mettre à l’épreuve les principes qui lui avaient été démontrés par l’extraterrestre à bord du vaisseau pléiadien. Il réalisa ses expériences au début des années 1960 et rédigea les résultats dans un document intitulé « L’unité de toutes choses », dont une copie est incluse ici pour évaluation (retirée par manque de place).
Il a achevé des prototypes de générateurs d’énergie basés sur des principes entièrement nouveaux qui lui ont été enseignés par ces êtres extraterrestres.
Et au moment où ce texte est écrit, lors de la première semaine d’octobre 1986, ces êtres lui ont fourni une preuve de validité destinée à ceux qui ne partagent pas ses propres preuves, sous la forme d’un rapport prévisionnel sur ce qu’une équipe spéciale d’étude atmosphérique, envoyée précipitamment en Antarctique à l’automne 1986, allait découvrir à propos du « trou dans la couche d’ozone ». Ce trou avait été repéré par le satellite IRAS en 1979, mais les scientifiques ne l’avaient pas cru jusqu’à ce qu’on découvre qu’il s’était étendu à la taille du continent des États-Unis en 1985. Ce rapport fut rédigé dans un document intitulé « Énergie nucléaire contre la planète Terre », dont une copie est jointe au rapport sur le 25e contact d’un autre groupe d’ET pléiadiens ayant contacté Eduard Meier en Suisse en 1975, comme mentionné au chapitre 4 (page 119).
Personnellement, je n’ai aucun problème avec la diversité des êtres humanoïdes, tous hautement rationnels et disposant de technologies avancées, venant tous de la vaste constellation des Pléiades. On y compte 258 étoiles, dont beaucoup sont désormais connues pour être de la même classe, taille et température que notre Soleil. Certaines tournent à une vitesse similaire. Il y en a beaucoup que nous ne pouvons même pas observer depuis ici avec nos télescopes actuels.
S’il existe une migration d’un soleil à un autre dans l’espace, ce serait un excellent endroit pour rechercher des évolutions similaires à la nôtre, ou même des ancêtres - comme certains visiteurs pléiadiens l’ont déclaré à leurs contacts terrestres.
Il est intéressant de noter que tous ces contacts sont de nature très technique, ils parlent de parenté avec nous, et retracent des connexions plus anciennes entre eux et nous, dans l’histoire ancienne. Étrangement, nos propres mythologies terrestres, dans de nombreuses régions du monde, nous disent à peu près la même chose. Est-ce une simple coïncidence ? Ou y a-t-il plus que ce que nous supposons ?
Ils nous disent que nos religions ont divisé les peuples, ce qui a permis à différents gouvernements de se former, au sein desquels un système commercial a été développé, encouragé et contrôlé par ces deux entités, et de là ont évolué les systèmes modernes que nous appelons le « complexe militaro-industriel », et aujourd’hui c’est BIEN CELA qui contrôle la planète Terre !
C’est ce monstre qui nous tuera tous - si nous ne reprenons pas le contrôle.
Si ces êtres sont des démons et des agents de l’Antéchrist, comme certains fondamentalistes religieux voudraient nous le faire croire, alors ils ont néanmoins désigné avec précision notre danger, et nous ont montré une issue. Nous pouvons encore nous sauver, en revenant aux bases, et en reprenant le pouvoir à ceux qui nous mènent vers une annihilation certaine. Le choix nous appartient encore…
Ces visiteurs pléiadiens de deux mètres dix ont dit à leur contacté du Minnesota que notre jeu avec l’atome représentait notre plus grand danger ; et pire encore, que nos scientifiques avaient peu de connaissances sur les dangers qu’ils introduisaient dans notre monde. Ils ont signalé un phénomène atmosphérique ayant un effet encore plus destructeur sur notre ionosphère que la dégradation causée par les CFC et les gaz industriels, dont d’autres Pléiadiens avaient déjà parlé à Eduard Meier en Suisse, et que ces dommages pourraient déjà être irréversibles et hors de contrôle.
De grands trous dans l’ionosphère dans les régions polaires en sont une des conséquences, et le problème empire chaque jour. Ces extraterrestres ont proposé une explication sur la manière dont les effets destructeurs de la fission atomique, non mesurés par nos scientifiques, se propagent indéfiniment, et du fait qu’ils sont polarisés, ils s’écoulent vers les pôles de notre planète, produisant ainsi un trou.
Ils ont ensuite démontré un concept entièrement nouveau en physique basé sur le mouvement dans la matière, que le témoin a appelé le concept des « Corps en Chute ». Mais cette idée, décrite et démontrée au témoin, est si profonde qu’elle pourrait révolutionner toutes les sciences physiques.
Un aperçu fortement simplifié de ce concept est fourni dans les pages suivantes, condensé et résumé à partir de plusieurs centaines de pages de dialogues, d’expériences, de formules et d’équations, qui peuvent être mises à disposition des chercheurs sérieux. (Également retiré pour manque de place)
Les données des « Corps en Chute » expliquent les interactions dans la matière qui produisent les trous aux pôles, lesquels pourraient s’étendre jusqu’à ce qu’il ne reste presque plus d’ionosphère. Une perspective très préoccupante, en effet. »
Autres enlèvements :
Lors d'un enlèvement ultérieur, les ET ont prélevé un échantillon de sperme sur leur victime, et il s'est alors souvenu que cela avait également été fait lors de son premier examen à bord du vaisseau spatial. Il avait déjà observé les ETs en train de prélever de l'ovule sur Norma alors qu'elle était sur leur table d'examen, et il se demanda s'ils avaient également prélevé du sperme sur Luis.
Lors d'enlèvements ultérieurs, ces mêmes ET ont continué à lui prélever des échantillons de sperme. Parfois, ils utilisaient un appareil pour le faire. D'autres fois, ils utilisaient une femme pour le prélever à la main, et ils ont même eu recours à un acte physique de copulation avec l'une de leurs femmes. Dans ce cas, l'acte était plutôt dépourvu d'émotion et la femme est partie immédiatement après son orgasme, ce qui lui a donné l'impression qu'elle était utilisée comme récipient de collecte. Peut-être y avait-il une différence dans la viabilité du spécimen en fonction de la méthode de collecte et du degré d'implication émotionnelle de la part du témoin.
Vers 1974, le témoin a été repris par certains des membres de l'équipage qu'il avait rencontrés auparavant, mais cette fois avec un autre navire et d'autres personnes à bord. On lui montre un groupe d'une quinzaine d'enfants humains de toutes races, âgés de 8 à 16 ans. L'un d'entre eux ressemblait beaucoup à son propre fils de 15 ans et il les interrogea à ce sujet. Ils lui ont répondu que ces enfants n'avaient pas été enlevés de la Terre, mais qu'ils étaient en fait des enfants terriens. Ils étaient issus d'un de leurs programmes qu'ils appelaient « Projet Rédemption ». Les ovules et les spermatozoïdes humains recueillis par eux étaient génétiquement « purifiés » puis réunis. En cas de fécondation réussie, le tissu fœtal en développement était implanté dans une mère hôte ou, dans d'autres cas, pouvait être développé jusqu'à la taille de naissance dans une couveuse sophistiquée.
Ces enfants étaient accompagnés d'un nombre égal de petites femelles noires de la taille d'un enfant de 12 ans. Toutes ces petites femelles jouaient le rôle de mères pour les différents enfants. On lui a dit que lorsqu'une fécondation réussissait, l'une de ces petites « mères » était assignée au fœtus et restait avec lui, le nourrissant et s'occupant de lui pendant la gestation jusqu'à ce qu'il soit temps de naître. Elles prenaient alors le relais physiquement et l'enfant s'imprégnait de celle qui était sa mère et les deux restaient ensemble jusqu'à la puberté.
Il a essayé de parler au garçon qui ressemblait à son fils et a obtenu une réponse. La petite « mère » qui l'accompagnait a également essayé de communiquer par télépathie. Il lui a demandé comment s'appelait le garçon et elle lui a répondu qu'il avait un nom terrien, Daemon. Lorsque le témoin demande à la petite « mère » comment elle s'appelle, elle lui demande comment il aimerait l'appeler. Il a suggéré Tina, parce qu'elle était si petite pour une femme, et elle a accepté ce nom, qu'il lui a donné depuis. Il a découvert, au cours de cette première conversation, que Daemon savait qu'il était son père génétique.
Tous ces enfants allaient à l'école avec les ET dans un autre lieu et un autre environnement, où on leur enseignait leurs langues et coutumes natales, ainsi que les habitudes, l'eau, les aliments et les nourritures de la Terre. Ils recevaient une éducation beaucoup plus poussée dans de nombreux domaines, l'objectif ultime étant de les renvoyer sur Terre pour qu'ils vivent et travaillent parmi nous, sans être détectés par qui que ce soit. Ils étaient préparés pour une période future où leurs talents particuliers seraient désespérément nécessaires. Il n'a pas été informé de la date ni du lieu de cette période, ni des besoins futurs. On lui a dit, cependant, qu'il y avait des centaines de ces enfants humains dans leur projet. Ce groupe particulier avait été amené ici pour l'un de leurs cours réguliers d'étude de terrain et de familiarisation avec la Terre. Ils étaient tous habillés comme des écoliers de leur âge. Tina a expliqué à l'abductée que les enfants étaient fréquemment amenés ici pour ces voyages de familiarisation.
Cette révélation était stupéfiante à l'époque, car nous en savions très peu sur les expériences génétiques extraterrestres menées sur des humains de la Terre, et nous n'en savons pas beaucoup plus aujourd'hui. Le témoin n'a pu en parler à personne auparavant, parce que le simple fait de ses contacts répétés était déjà trop pour la plupart des gens et qu'ils s'en désintéressaient, sans ajouter à l'affaire l'aspect plus exotique des expériences génétiques.
Ces extraterrestres disaient venir d'une planète en orbite autour d'un soleil dans le système stellaire que nous appelons Alcyone des Pléiades. C'était remarquable, plus en raison de la croyance populaire selon laquelle ce n'était tout simplement pas possible, que parce que c'était possible, comme nous pouvons le voir dans les dernières données astronomiques sur les Pléiades.
Mais ce n'est pas le seul cas, en plus de ceux déjà mentionnés. Il y en a d'autres, et l'un d'entre eux concerne également des expériences biogénétiques.
Documents diffusés :
À bord du vaisseau alcyonien et sous la tutelle de Michael (nom humain emprunté par son contact extraterrestre), Lloyd Zirbes a été exposé à des schémas, des formules et des modèles fonctionnels d’une nouvelle compréhension de la physique qu’il appelle la « Théorie des Corps en Chute », censée nous offrir une compréhension nouvelle et améliorée des lois naturelles de la physique.
Lloyd a dû suivre des cours de physique dans une université technique pour pouvoir comprendre ce que Michael essayait de lui montrer. Il a ensuite mené de nombreux tests physiques pour vérifier les lois qui lui étaient décrites. Cela a demandé beaucoup de temps et de ressources de sa part, ainsi qu’une grande patience de la part des extraterrestres.
- Le premier document décrit la RECHERCHE SOLAIRE (15 pages).
- Le deuxième document traite des CONSÉQUENCES DE L’ÉNERGIE NUCLÉAIRE.
- Le troisième document aborde le sujet AU-DELÀ DE L’IONOSPHÈRE.
- Le quatrième document présente LA THÉORIE DES CORPS EN CHUTE.
- Le cinquième document expose LA THÉORIE DES CORPS EN CHUTE II.
- Et le sixième document traite de L’ÉNERGIE NUCLÉAIRE CONTRE LA PLANÈTE TERRE.
Ce sont les documents au sujet desquels tant de personnes ont écrit à Wendelle Stevens pour en demander des copies, après sa première mention dans son ouvrage UFO CONTACT FROM THE PLEIADES, a Supplementary Report, publié en 1983. Les voici avec le livre de Wendelle Stevens désormais à la disposition de tous, en lecture libre.
Des sites web ont aussi repris ces documents ici en anglais sur internet, version originale :
Solar Research
Consequences of Nuclear Energy
Beyond the Ionosphere
Falling Bodies Theory I
Falling Bodies Theory II
Nuclear Energy VS Planet Earth
Apparence des habitants d'Alcyone:
Voici ce que dit Lloyd Zirbes de l’apparence des êtres d’Alcyone rencontrés :
« Mon Dieu, ils portent tous des masques… ils portent des gants et des bottes ; ils ont du matériel accroché à leurs ceintures, et ils portent des armes ! »
« En voyant certains passer devant ses phares, il pensa : “Mon Dieu, ils sont grands - qui sont-ils ? ” »

« Je leur dis : “C’est étrange, pourquoi m’amenez-vous pour un examen ? Vous êtes tous semblables, je ne peux pas vous distinguer les uns des autres…” Ils disent : “Tu aurais probablement peur de nous si tu nous voyais tels que nous sommes…” Je réponds : “Si j’avais peur de vous, alors vous devez avoir peur de moi ?” »
« Ils m’amènent à une personne et disent : “Michael, voici Lloyd, Lloyd, voici Michael.” Il tend la main et je la serre, et nous nous serrons la main.
Il ressemble exactement aux autres… même masque vert (visière faciale), gants, bottes… Je ne peux pas le distinguer des autres… »
Ces êtres extraterrestres de forme humaine ont dit plus tard à Lloyd qu’ils venaient des Pléiades… « Ce que vous connaissez comme les Pléiades », dirent-ils. « Je ne sais pas où c’est », dit Lloyd.
Lors de son premier contact ils lui ont fait passer un test en lui demandant de tuer une personne ligotée à une chaisé, censée être un criminel de l’espace qu’ils ne pouvaient pas tuer eux-mêmes pour cause de droits insuffisants par sa lignée :
« L’homme que j’ai reçu l’ordre de tuer n’était pas un humain terrestre car ses traits étaient différents - humanoïde - de taille humaine normale, toutefois. »
« Les Pléiadiens mesuraient tous environ 2,10 mètres. »
Commentaire personnel :
Les extraterrestres ont dit à Lloyd qu'ils avaient un masque facial car sinon leur apparence lui ferait peur. L'être qu'ils lui ont demandé de tuer n'était pas pas masqué et son apparence était non humaine mais humanoïde, sans avoir fait peur à Zirbes. Cet être qui était "dans le coupe" du jeu simulé présenté à Lloyd ne devait pas être de la même espèce que les autres qui ont un masque. On peut imaginer qu'il est d'une race amie travaillant en partenariat avec eux pour les contacts avec les terriens car d'apparence plus proche d'eux.
Les documents de Zirbes complets sur les théories :
Voici traduit et mis en forme en PDF, les 3 documents qui présentent complètement la théorie et des expériences menées qui prouvent des anomalies gravitationnelles et sont en accord avec la théorie. Ce sont des documents écrits tels quels par Lloyd Zirbes et son équipe de recherche, traduits en français :
L'UNITÉ DE TOUTES CHOSES - traduit en français : expériences menées sur la gravité et résultats/
THÉORIE DE LA CHUTE DES CORPS - traduit en français : théorie de la gravité provenant du contact extraterrestre, en accord avec les expériences précédentes menées.
THÉORIE DE LA CHUTE DES CORPS 2 - traduit en français : explications ou tentatives d’explications des causes et effets de la théorie.
Ces documents sont les plus intéressants car ils correspondent à des principes qui ont été expliqués à Lloyd Zirbes par les extraterrestres d’Alcyone sur le fonctionnement de la gravitation tel qu’ils le comprennent eux, et des expérimentations faites par Zirbes qui démontrent le fonctionnement différent de celui que les terriens pensent.
Zirbes a essayé de comprendre le fonctionnement de la gravité dont les principes lui ont été exposés dans le vaisseau. Il a fait des déductions, extrapolé des choses et donc les explications fournies sont en partie en provenance de la source extraterrestre et en partie sa propre compréhension entachée de plus ou moins d’erreurs partielles. Impossible de faire le tri car il n’indique pas ce qui lui a été révélé et ce que lui a cherché à déduire, conclure, extrapoler et expliquer par lui-même.
Commentaire personnel :
Il est intéressant de noter que Nancy Lieder, la channel de ZetaTalk parle de l'existence d'une force répulsive dans un article en ligne depuis 1995 que j'avais lu en 2001 (je ne souscris pas à ce qui est raconté par cette channel, je pense que ses contacts sont des êtres négatifs se faisant passer pour des êtres positifs, mais ils peuvent apporter des éléments de vérité mixés avec du faux comme toujours dans ces cas). Cette information sur la force répulsive (au contraire de bien des informations diffusées par ce channel) m'a toujours paru intéressante. Elle est complètement liée à l'effet de la gravité B dont parle Lloyd Zirbes et qui vient des infirmations de ses contacts extraterrestres d'Alcyone.
On a aussi Fran de Aquino, chercheur en physique dans une université du Brésil, qui a présenté des théories sur la gravité incluant une gravité répulsive possible (antigravité) dans cet article par exemple (avec ici une traduction automatique en français).
Un moteur a été construit par l’équipe de recherche de Lloyd Zirbes (appelée « Projet Stardust »), utilisant les principes gravitationnels de sa théorie, afin de démontrer l'existence 'un effet répulsif de la gravité : le moteur fluxomatic. Une section et dédiée à cette réalisation en fin d'article.
Voici aussi certains autres des documents de Zirbes traduits en français et mis au format PDF. Ils concernent l’énergie nucléaire et les radiations, leur impact sur l’atmosphère terrestre et la Terre de façon générale. Là aussi il est totalement impossible de savoir ce qui est de l’extrapolation et des idées personnelles de ce qui pourrait ou non provenir d’informations de la source extraterrestre. Ils lui ont parlé du nucléaire et de l’impact atmosphérique selon ce qu’on voit de son récit de contacts. Mais à quel point sa déductions et conclusions sont personnelles ou basées sur des informations extraterrestres est impossible à dire. On peut dire en le lisant que tout le catastrophisme qui va avec s’est révélé être faux.
RECHERCHE SOLAIRE - traduit en français : explique la structure interne du Soleil et son mécanisme de production d'énergie et de lumière, la création des crevasses solaires ou éruptions solaires, avec la théorie modifiée de la gravité de Zirbes. Selon lui, le Soleil ne fonctionnerait pas selon le principe de fusion nucléaire, bien qu'il en produise comme effet secondaire.
AU-DELÀ DE LA IONOSPHÈRE - traduit en français : explique le remplissage des ceintures de Van Allen par les déchets nucléaires et leur saturation, la dynamique d’évacuation de l’énergie en surcharge contenue de dedans avec l’impact sur la Terre.
CONSÉQUENCES DE L'ÉNERGIE NUCLÉAIRE - traduit en français : présente une analyse radicale et alarmante des effets de la fission nucléaire sur l’équilibre énergétique de la Terre et du système solaire, avec une théorie selon laquelle les particules instables issues de la fission perturbent profondément les cycles énergétiques terrestres, accélèrent la rotation de la planète, affaiblissent l’ionosphère, provoquent des mutations atomiques anormales, et menacent à terme de déclencher une explosion planétaire via une fusion spontanée de l’hydrogène accumulé.
L'ÉNERGIE NUCLÉAIRE CONTRE LA PLANÈTE TERRE - traduit en français : très bref document de 3 pages qui parle de la capture des particules fines émises dans les processus nucléaires (plus petites que les électrons) et qui détruisent peu à peu les enceintes de confinement. Ces particules sont responsables d'un trou dans la couche d'ozone aux pôles qui oscille dans le temps selon sa théorie (et ceci date d'avant 1985)
Exposé résumé de la théorie de la gravité selon Alcyone par Zirbes :
Ci-dessous une explication résumée de la théorie sur la chute des corps, dont les principes radicaux proviennent clairement de ses contacts extraterrestres, exposée par Lloyd Zirbes.
Lloyd Zirbes : « Actuellement, en raison du travail de Flachbach et Arongen, la communauté scientifique émet l’hypothèse que tous les corps en chute libre n’accélèrent peut-être pas à la même vitesse. Mais au lieu de revenir en arrière et de remettre en question les “lois” existantes, ces scientifiques s’emploient désormais à formuler l’hypothèse de l’existence d’une nouvelle force, qu’ils ont provisoirement nommée hypercharge. Nous savons que cela n’est pas correct ! Ce sur quoi ils sont en réalité tombés, ce n’est rien d’autre que la force unifiée manifestant son action répulsive. Notre terme générique pour cette force unifiée est énergie neutre, et nous allons maintenant tenter de montrer comment elle se manifeste dans le monde physique. »
Principe fondamental : le mouvement comme force créatrice
Lloyd Zirbes affirme que le mouvement est la force fondamentale qui sous-tend toute existence. Il le décrit comme le catalyseur universel, à l’origine de la matière, de l’énergie et des interactions entre les corps.
Selon lui, les quatre forces connues par la science (gravitation, électromagnétisme, force faible, force forte) ne sont que différentes manifestations d’une seule et même force, qu’il appelle énergie neutre unifiée. Cette force unique agit de manière différente selon les conditions, dans un cycle naturel répétitif et prévisible.
Gravité comme double phénomène : attraction et répulsion
Zirbes propose une vision non conventionnelle de la gravité. Elle n’est pas toujours attractive, comme l’enseigne la physique traditionnelle, mais peut également produire des effets répulsifs.
a) Corps en chute
Un corps en chute est défini comme tout objet se déplaçant dans un champ gravitationnel. Cela englobe les particules subatomiques, les planètes, les galaxies, voire les univers.
Lorsque ce corps « tombe », il extrait une énergie de l’espace environnant à l’avant de sa trajectoire (au point de contact avec le champ gravitationnel).
b) Champ gravitationnel
L’énergie extraite génère un champ gravitationnel :
- À l’intérieur du champ, un objet sera attiré vers le corps — c’est la force attractive (qu’on pourrait appeler de la Gravité A).
- À l’extérieur de ce champ, un objet sera repoussé — c’est la force répulsive (qu’on pourrait appeler de la Gravité B).
La gravité est donc un champ dynamique créé par l’interaction entre l’énergie extraite et celle qui tente de revenir au corps.
Rotation et champ magnétique
Le mouvement (chute) à la vitesse de v empêche l’énergie extraite de revenir au corps. Cette pression génère une force de rotation dans la direction du flux d’énergie.
La rotation dépend de la taille du corps, de sa vitesse, de sa composition, et du champ gravitationnel qu’il traverse.
Cette rotation entraîne l’apparition de pôles magnétiques. En effet, un vide énergétique se forme à l’arrière du corps, rempli par un flux d’énergie entrant à 90° de la trajectoire. Cette interaction produit un champ magnétique.
Groupements de corps
Lorsque plusieurs corps chutent ensemble (par exemple des astres dans un système), ils tendent à former une structure sphérique. Chacun d’eux génère son propre champ gravitationnel, ce qui crée une action répulsive mutuelle.
Cela explique : la séparation naturelle entre les corps, leur rotation individuelle, et la stabilité des systèmes en orbite.
Zirbes note aussi que les pôles magnétiques de ces corps peuvent s’inverser périodiquement, selon leur interaction.
Corps en chute = transducteurs d’énergie
Un corps en chute est considéré comme un transducteur, c’est-à-dire un échangeur d’énergie. L’énergie extraite au point de chute (avant) est constante, mais le corps accepte de l’énergie aux pôles, qu’elle soit neutre ou polarisée.
Zirbes compare l’intérieur d’un corps en chute à une résistance variable. Plus la vitesse augmente, plus la résistance interne diminue. À vitesse très élevée, le corps absorbe plus d’énergie qu’il n’en émet.
Conversion énergie – masse
Lorsque la vitesse d’un corps approche 0,9 fois la vitesse de la lumière, la résistance interne devient négligeable. Le corps accumule un surplus d’énergie, qui devient si compacte que des bulles d’énergie se compressent pour former une particule de masse.
Ainsi, la masse n’est rien d’autre que de l’énergie solidifiée.
Si la vitesse du corps reste comprise entre 147 000 et 186 000 miles/seconde (soit environ 236 000 à 299 000 km/s), cette conversion d’énergie en masse devient infinie, selon l’auteur.
Lorsque la vitesse d’un corps atteint celle de la lumière, sa résistance interne devient nulle. L’énergie continue d’être extraite à un rythme accéléré, mais à cette vitesse, l’énergie ne peut plus rattraper le corps pour y pénétrer.
Ce phénomène entraîne une extraction totale d’énergie. Les particules subatomiques se désagrègent progressivement, perdant leurs couches externes, jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un vortex d’énergie pure (neutre). La conversion de masse en énergie s’effectue selon le taux de la vitesse de la lumière au carré.
Densité de la masse et inactivité
La densité d’un élément est directement liée au mouvement :
Un corps en chute agit comme un transducteur (échangeur d’énergie). Plus la vitesse diminue, plus la résistance interne augmente, jusqu’à bloquer tout échange d’énergie.
Le corps devient alors condensé, inerte, sans espace ni vie.
Ce qui redonne vie à la matière, c’est le mouvement. En l’absence de mouvement, même le système solaire entier pourrait tenir dans un simple bocal.
Particules subatomiques : origine de la matière
Les bulles d’énergie neutre sont les briques fondamentales de la matière solide.
- À des vitesses supérieures ou égales à celle de la lumière, ces bulles restent indépendantes.
- Si la vitesse diminue, les bulles ralentissent, se percutent et se compressent. Cela entraîne la formation de particules solides (masse).
Ainsi, la matière est simplement de l’énergie solidifiée. Les différences entre particules (électrons, protons, etc.) ne sont, selon Zirbes, que des erreurs d’interprétation dues à des malentendus sur la structure atomique - un sujet abordé plus tard.
Anti-matière
Zirbes propose que l’univers lui-même est en chute dans une direction donnée.
Si l’on prend la direction opposée avec exactement la même vitesse, la vitesse réelle devient nulle. À vitesse nulle, l’énergie est également nulle, donc la masse devient très condensée. Si on inverse la direction et augmente la vitesse, l’énergie réapparaît et la masse se dilate.
Mais dans ce cas inversé :
Ce qui était pôle magnétique émetteur devient récepteur, et inversement.
Le corps devient un ion négatif, et les particules qui l’entourent sont chargées positivement.
Zirbes nomme cet état l’anti-matière. Si la vitesse dépasse à nouveau celle de la lumière, la masse redevient vortex d’énergie pure et neutre.
Bilan : champs gravitationnels et orbites
Zirbes rappelle que tout corps est en chute dans un champ gravitationnel donné, selon sa position dans l’univers :
- La galaxie chute dans le champ gravitationnel de l’univers.
- La Terre chute dans celui du Soleil.
- La Lune chute dans celui de la Terre.
Lorsqu’un corps chute, il émet une énergie extraite à l’avant de sa trajectoire. Cette énergie forme une bulle allongée, que l’on peut interpréter comme un champ gravitationnel.
Si un autre corps pénètre dans cette bulle, il est attiré par le premier champ.
Mais ce second corps génère aussi son propre champ, qui repousse le champ du premier.
L’équilibre entre attraction et répulsion crée une orbite.
Extraits des divulgations, selon une sélection choisie :
Extrait 1 : expériences menées sur la gravité par Zirbes montrant des anomalies
Introduction:
Pour comprendre les principes de l'unité, il est impératif de maîtriser parfaitement les tests simples et fondamentaux décrits dans les pages suivantes. Il s'agissait d'essais de gravité réalisés sur le site d'un puits de mine abandonné dans le nord du Minnesota au début des années 1960. Le puits mesurait 600 mètres de profondeur et le plan d'impact était surveillé par une caméra 8 mm à haute vitesse. Lors des essais où des billes d'éléments différents étaient lâchées à des fins de comparaison, des poids égaux étaient obtenus en évidant le centre des éléments les plus lourds, garantissant ainsi une circonférence égale pour chaque sphère et donc une résistance à l'air égale.
Bien que nos conclusions reposent littéralement sur des milliers de tests, nous n’avons présenté ici que les plus essentiels, tous suffisamment simples pour être reproduits par quiconque éprouverait des doutes quant à l’exactitude de nos résultats ou à la validité de nos conclusions.
Au profane comme au physicien, nous disons : étudiez ces tests et comprenez-en les résultats, car dans l’unité, le comportement de tous les corps en chute est identique - qu’il s’agisse d’une particule subatomique ou d’un univers. Ainsi, en établissant des bases solides à travers l’étude de ces expériences, le lecteur trouvera facile de comprendre ce que les technologies nucléaires actuelles infligent à la Terre, et pourquoi elles doivent être abandonnées si nous voulons sauver cette planète.
Deux boules de fer de poids et de taille égaux ont été placées à six pieds l'une de l'autre, puis ont été lâchées simultanément.

RÉSULTAT
La caméra a clairement indiqué que les billes de fer ont percuté au même instant. L'examen du plan d'impact a montré que les billes étaient distantes de cinquante pieds au moment de l'impact.
CONCLUSION
Des éléments identiques de poids et de taille égaux accélèrent exactement à la même vitesse et se repoussent les uns les autres s'ils sont lâchés individuellement (c'est-à-dire avec un espace suffisant entre eux au début de la chute).
Quatre boules de poids et de taille égaux, mais composées d'éléments différents, ont été lâchées simultanément.

RÉSULTAT
Chaque élément différent s’accélérait à un rythme visiblement différent.
CONCLUSION
Différents éléments accélèrent à des vitesses différentes lorsqu’ils traversent un champ gravitationnel donné.
Vingt billes d'acier de même poids et de même taille furent disposées en pyramide de manière à se toucher. Elles furent ensuite lâchées simultanément, comme un tout.

RÉSULTAT
Les images prises par la caméra ont révélé qu'à mesure que les balles approchaient du plan d'impact, elles formaient toujours une unité, mais s'étaient réorganisées, passant d'une formation pyramidale à une forme sphérique.
CONCLUSION
Les corps individuels d'éléments similaires qui forment une formation serrée avec d'autres corps similaires s'accrocheront toujours ensemble et se réorganiseront toujours en une formation sphérique.
Trois boules de fer de poids et de taille égaux ont été disposées comme dans la figure quatre, à six pieds l'une de l'autre, puis ont été lâchées simultanément.

RÉSULTAT
La disposition des billes lors de l'impact est schématisée sur la figure cinq.

CONCLUSION
Corps d'éléments similaires qui traversent un champ gravitationnel donné lorsque les individus s'éloignent les uns des autres à des vitesses égales.
Vingt billes d'acier de poids et de taille égaux ont été disposées à une distance de 30 centimètres, comme dans la figure 6. Elles ont ensuite été lâchées simultanément.

RÉSULTAT
La figure sept montre la disposition des balles un instant avant l’impact telle que capturée par la prise de vue de la caméra.

La figure huit illustre le placement des balles depuis la vue de dessus lors de l’impact.

CONCLUSION
Les corps individuels qui tombent en masse en formation lâche s'éloignent simultanément sur un plan horizontal à 360° et sur un plan vertical à 180°.
Deux boules de fer de même poids et de même taille ont été séparées sur la circonférence, comme dans la figure 9. Elles ont ensuite été placées dans la boîte de dépôt de manière à ce que les lignes soient parfaitement horizontales, puis lâchées simultanément.

RÉSULTAT
Juste avant l'impact, l'image de la caméra montrait que les lignes peintes n'étaient plus à leur position initiale. Après l'impact, les deux balles ont roulé dans la même direction.
CONCLUSION
Tous les corps développent une rotation donnée. Cela est vrai qu'il s'agisse d'un corps unique, d'un ensemble de corps en formation lâche ou d'un ensemble de corps en formation serrée. Ces corps en rotation, s'ils sont lâchés individuellement (à l'écart les uns des autres), se repoussent à des vitesses égales.
Des billes de fer de même poids et de même taille étaient suspendues à des bras de six pieds et tournaient horizontalement dans le sens des aiguilles d'une montre autour d'un pivot. Une antenne était placée à une tolérance étroite par rapport à la circonférence des billes en rotation. Des dispositifs de détection très sensibles étaient fixés à l'antenne, eux-mêmes reliés à un oscilloscope.

RÉSULTAT
L'écran de l'oscilloscope affichait des formes en forme de beignet qui apparaissaient au moment où une bille passait devant l'antenne, comme illustré à la figure 11. L'oscilloscope ne semblait retenir aucune stigmatisation.
[A propos de l’astigmatisme, il s'agit probablement d'une erreur typographique dans le document original. Sur les oscilloscopes, l'astigmatisme est une erreur qui affecte la clarté, la forme ou la netteté de l'affichage du signal, rendant la forme d'onde floue ou déformée.]

CONCLUSION
Un corps en mouvement produit un champ et/ou une force qui apparaît en forme de beignet sur l'écran d'un oscilloscope. Ce champ (et/ou cette force) n'a pas encore été identifié par la communauté scientifique.
Un appareil identique à celui utilisé lors du septième essai a été construit. Les deux unités ont été placées parallèlement l'une à l'autre et chronométrées de manière à ce que, lors de la rotation des bras, les billes passent à moins de 6 mm l'une de l'autre au point X.

RÉSULTAT
Chaque fois que les deux boules se rencontraient et se dépassaient au point X, un bruit sourd énorme se faisait entendre alors que le banc d'essai (un arbre de six pouces de diamètre monté dans du béton) réagissait physiquement de manière violente.
À mesure que les billes se rapprochaient l'une de l'autre, l'oscilloscope affichait des formes de beignet, comme dans le test sept. Au moment où les billes étaient au plus près l'une de l'autre, l'oscilloscope affichait des ondes sinusoïdales. Lorsque les billes recommencèrent à s'éloigner l'une de l'autre, les formes de beignet réapparurent sur l'écran de l'oscilloscope, comme illustré à la figure treize.

CONCLUSION
Le champ (et/ou la force) qui entoure un corps en mouvement repousse le champ (et/ou la force) qui entoure un second corps en mouvement. Le champ (et/ou la force) qui entoure un corps en mouvement produit une énergie non polarisée. Elle apparaît sous la forme d'une bulle (anneau ou cercle) sur l'écran d'un oscilloscope. Lorsque ce champ (et/ou cette force) entre en collision avec le champ (et/ou la force) qui entoure un second corps, les bulles se brisent, puis s'unissent pour produire une énergie polarisée, c'est-à-dire des ondes sinusoïdales.
NOTE
Le huitième test a été répété avec de nombreuses variantes afin d'isoler la cause du « coup ». Au cours de ces tests, il a été constaté qu'une augmentation de la distance entre les deux boules au point x entraînait une diminution de l'intensité du coup. Cependant, même dans un test où les boules ne se sont pas rapprochées de moins de quinze centimètres l'une de l'autre, le coup est resté un facteur notable.
Dans d'autres variantes de ce test de base, de nombreux régimes différents ont été utilisés. On a constaté que le bruit augmentait progressivement avec la vitesse. On a ensuite constaté que l'intensité du bruit devenait progressive au carré de la vitesse, et qu'à mesure que la distance entre les balles au point x augmentait, le bruit diminuait au carré de la distance.
COMMENTAIRE :
Tous les tests et résultats présentés dans cette section ont été réalisés à de nombreuses reprises et dans des conditions variées, et les résultats sont corrects et reproductibles. Cela signifie que les travaux de Galilée sur la chute des corps – la pierre angulaire de la physique – sont erronés. Newton a basé ses travaux sur ceux de Galilée, tout comme Einstein et ses successeurs se sont inspirés de Newton. La conclusion inévitable est que « si » les lois de Galilée sont erronées, alors les technologies dont dépendent les sociétés de la planète Terre reposent sur une théorie erronée. Pour remédier à cette situation, il faut d'abord reproduire ces tests et lancer un débat public.
Expérience de Szasz à la tour de chute de Bremen :
Note additionnelle personnelle non présente dans la publication de Lloyd B. Zirbes mais qui confirme complètement la non uniformité de la chute des corps, et en cette raison ajouté à ce document :
Le scientifique Hongrois Prof. Szász a utilisé une tour de chute dans le vide à Bremen (dépendant d’une université Allemande, à disposition pour des expériences scientifiques ayant reçu l’aval de leur comité d’accès à ce dispositif; dispositif dénommé ZARM) pour disposer des masses de matériaux purs divers sur un plateau mis ensuite en chute libre dans le vide, afin d’observer la loi fondamentale de la gravitation (de Newton, étendue par Einstein avec l’équivalence de la masse inerte avec la masse gravitationnelle) qui indique que quel que soit le matériau, quelle que soit la masse, tout objet doit tomber avec la même loi d’accélération dans le vide (on sait par expérience courante que ceci n’est pas vrai dans le monde habituel avec de l’air). Ici on est bien dans le vide dans ce dispositif.La loi de la chute des corps n’est PAS respectée: certains matériaux purs chutent plus vite que d’autres.
Matériaux disposés: Lithium [Li], Beryllium [Be], Bore [B], Carbone [C], Aluminium [Al], fer [Fe], Plomb [Pb]
Voir la vidéo de la chute (filmée par caméra interne) qui dure 9 secondes en microgravité : https://www.youtube.com/watch?v=jkNjvCmsWOU


Les deux captures image de la vidéo sont :
En premier, au démarrage de la chute (tous les objets sont posés en bas)
En deuxième, au bout d’environ 5 secondes de chute libre, juste avant le freinage (certains objets sont tombés moins vite et sont donc plus hauts que d’autres, selon le matériau)
Li et Pb semblent être les plus hauts (8cm) et C ensuite (1cm), les autres semblant restés au sol.
La conclusion du Prof. Szász est que les électrons, neutrons et protons n’ont pas tous la même « charge gravitationnelle », et donc la différence de composition de chaque élément atomique explique la différence de chute. Il a élaboré une théorie à ce sujet, qu’il expose sur son site :
https://atomsz.com
Sa théorie explicative est différente de celle de Zirbes. Mais son expérience relève des anomalies dans la chute des corps, comme l’a constaté Lloyd Zirbes lui aussi. Zirbes a constaté encore plus de variété d'anomalies expérimentales dans la chute des corps que Szasz.
Voir aussi ici sur l'antigravité, différentes expériences et théories dont l'expérience et la théorie de Szasz font partie :
https://www.chercheursduvrai.fr/propulsion-a-antigravite/
Extrait 2 : moteur magnétique de Zirbes fluxomatic




Voici une présentation du moteur construit par Lloyd Zirbes par une personne qui en a reçu toute la documentation, appelée Brian Desborough, qui est disponible en version originale sur sa page : Projets Flying Dutchman
« Malheureusement, je n'ai pu rendre hommage qu'en passant, à la page 72 (note : dans son livre « They Cast No Shadows »), à un grand scientifique dont le nom et les travaux scientifiques devraient être aussi connus de tous les lycéens que ceux d'Einstein, mais qui a été totalement ignoré par la communauté scientifique. Il s'agit du regretté Lloyd Zirbes, qui n'a jamais pu publier ses vingt-cinq années de recherche ; il a notamment été victime de harcèlement, son laboratoire ayant été détruit par un incendie criminel. Les théories physiques contemporaines, y compris les travaux d'Albert Einstein, s'appuient sur les lois de Newton, qui s'est lui-même inspiré des écrits de Galilée. Selon le monde universitaire, Galilée a démontré que des objets de masse égale mais de matériaux physiques différents, par exemple le plomb et les plumes, tombent à la même vitesse d'accélération dans le vide. Lloyd Zirbes a été stupéfait de découvrir que Galilée n'avait jamais effectué de tests sur des corps en chute libre, ses affirmations n'étant que de pures suppositions. Zirbes a donc mené une expérience dans laquelle une sphère en fer et une sphère en graphite de poids égal ont été lâchées simultanément dans un puits de mine de deux mille pieds. Au fond du puits, les derniers mètres de la chute ont été enregistrés à l'aide d'une caméra haute vitesse.
Étonnamment, la sphère en graphite, bien que considérablement plus grande que la sphère en fer en raison de sa densité plus faible, et donc plus sensible à la résistance du vent, a touché le sol alors que la sphère en fer était encore à deux mètres de l'impact. Une expérience similaire utilisant des sphères d'autres métaux a révélé que la sphère en fer touchait toujours le sol après toutes les autres sphères. De plus, les sphères divergeaient considérablement les unes des autres avant l'impact et développaient également une rotation spécifique lors de leur chute.
« Et alors ? Tout simplement que les travaux de Galilée, Newton et des scientifiques qui leur ont succédé étaient très imparfaits ; les recherches de Zirbes suggèrent que le soleil n'est pas un gigantesque réacteur à fusion comme le prétendent les universitaires, mais qu'il est plutôt constitué de milliers de corps individuels qui libèrent de l'énergie grâce à l'interaction entre leurs champs gravitationnels respectifs. En d'autres termes, la production d'énergie du soleil est mécanique et non nucléaire, ce que prétend également le brillant scientifique et spécialiste de la civilisation sumérienne, le Dr George Merkl.
Après vingt-cinq ans de recherche, Zirbes a inventé un appareil qui créait de la gravité. Le premier test a été tellement concluant que tout ce qui n'était pas fixé au sol dans le laboratoire s'est dégravité et s'est mis à voler, blessant gravement le malheureux Zirbes. Pendant son hospitalisation, son laboratoire, sa camionnette et certaines de ses notes de recherche ont été détruits dans un incendie criminel.
Zirbes a déclaré qu'il n'y a que deux forces fondamentales dans l'univers : le mouvement et la gravité. Je pense que cette affirmation devrait être modifiée pour dire que la gravité est du magnétisme comprimé ou plié. Le magnétisme semble être le ciment qui maintient l'univers, ce qui peut être illustré par l'étude du moteur à énergie libre de 525 CV de Rory Johnson, qui a maintenant été classé secret par le gouvernement américain afin d'empêcher son incorporation dans les autocars de la Greyhound Bus Company.
Parmi les nombreuses choses qui pourraient être réalisées grâce à l'application de la physique de Zirbes, on peut citer l'injection de gravité contenue dans n'importe quelle matière physique afin de réorganiser la structure atomique, produisant ainsi n'importe quel élément souhaité. L'intelligence (audio et vidéo) pourrait être modulée sur un générateur de gravité pulsé de Zirbes, diffusant ainsi la gravité.
Comme les travaux de recherche de Zirbes n'ont jamais été officiellement publiés, le lecteur se demande peut-être pourquoi je les connais. Il y a plusieurs années, par une douce nuit, j'ai assisté à une garden-party à Santa Barbara, en Californie. Soudain, un inconnu s'est approché de moi dans la pénombre et m'a dit qu'il sentait qu'il devait s'inviter à la fête pour remettre un paquet à quelqu'un qu'il ne connaissait pas, et qu'il sentait intuitivement que cette personne était moi. Lorsque j'ai examiné le gros dossier plus tard, j'ai découvert qu'il s'agissait d'une copie des données de recherche de Lloyd Zirbes.
Le regretté chercheur en géomagnétique, le Dr Lloyd Zirbes, a découvert que les hypothèses de Galilée étaient complètement erronées. Il a prouvé que la loi de la gravité de Newton était également erronée. Cela signifie que les fondements de la science et de la technologie de notre monde reposent sur des erreurs et des mensonges. On ne peut pas construire un monde sur des erreurs, sinon il s'effondrera. Il est regrettable que nous soyons la « dernière génération » (Matthieu 24:34) qui « assistera » à la FIN du MONDE.
Zirbes s'est fortement opposé à la technologie utilisée dans le système HAARP. Il a écrit : « La perturbation du champ magnétique terrestre achèvera de détruire l'équilibre de la planète, déjà compromis par les explosions nucléaires provoquées par le gouvernement dans les ceintures de radiation naturelles au-dessus de l'ionosphère. Le champ magnétique terrestre maintient l'équilibre de la planète avec la lune et le soleil. Perturber ce champ sera la goutte d'eau qui fera basculer la Terre vers le soleil ou dans l'espace. »
Dans une démarche audacieuse vers l'innovation scientifique, le Dr Zirbes a introduit une nouvelle formule gravitationnelle, désignée par G=MV², qui repense le cadre conceptuel permettant de comprendre la gravité. Cette nouvelle formule est sur le point d'offrir une perspective alternative sur les forces complexes qui régissent notre univers, remettant en question les orthodoxies qui ont longtemps dominé le domaine de la physique. Grâce à ses travaux pionniers, le Dr Zirbes invite la communauté scientifique à se lancer dans un réexamen rigoureux de nos principes scientifiques établis, préconisant une approche plus vigilante et plus perspicace pour comprendre les complexités de notre univers et les implications mondiales potentielles de nos pratiques scientifiques actuelles. »

Voir un article sur ce moteur : http://www.rexresearch.com/zirbes/zirbes.htm
Voir le fluxomatic sur le site de Zirbes : https://zirbes.net/index.html
Plan complet d'assemblage et montage avec schématiques détaillées de toutes les pièce sur le GitHib :
https://github.com/LloydBZirbes/theory-of-falling-bodies

Et voir une reproduction du moteur en fonctionnement : Fluxomatic
Liens vers des documents plus complets sur ce contact :
• Livre complet "UFO contact from ALCYONE of the Pleiades" publié par Wendelle Stevens, en anglais - format PDF: Cliquer ici
☝ Site web en anglais :
• Site web de Zirbes / Projet Stardust
☛ Traduction auto en FR : cliquer ici
☛ PDF complet en anglais du contenu du site de Zirbes
• GitHub sur le projet du moteur magnétique de Zirbes
• Site de Rexresearch sur le projet de moteur magnétique de Zirbes