BAAVI – Emen Ys

UFO contact from planet BAAVI in Proxima Centauri, Wendelle Stevens

Sommaire cliquable de liens internes :
Planète d'origine des contacts
Identité du contacté
Epoque et lieu du contact
Publication de l'histoire
Comment a eu lieu le contact
  ➳ Voici l’histoire racontée par Robert Charroux
  ➳ Version différente du récit, provenant de Oul'Chen
Apparence des habitants de Bâavi
Description de leur monde et de leur civilisation
  ➳ Description physique de BÂAVI
  ➳ Villes
  ➳ Société
  ➳ Système de gouvernement
  ➳ Structure familiale inexistante
  ➳ Éducation des enfants
  ➳ Vie adulte
  ➳ Mort
  ➳ Unités de mesure
  ➳ Alphabet
  ➳ Science
  ➳ Co-habitation avec la race des Yétis

Extrait 1 : vaisseaux spatiaux
  ➳ Description
  ➳ Modèle scientifique de la matière / antigravitation
  ➳ Propulsion antigravitationnelle des Vaïdorges
  ➳ Canons à antimatière pour éviter les collisions avec les météorites
  ➳ Fonctionnement des vaïdorges
Extrait 2 : le pourquoi du contact avec la Terre
  ➳ Infiltration et bases secrètes
Extrait 3 : implantation sur Mars avant qu’elle ne soit impropre à la vie
  ➳ Relation des Bâaviens avec les Martiens
Extrait 4 : histoire de la colonisation de la Terre par des rebelles Bâaviens
  ➳ Fin des conditions de vie possibles sur Mars et installation sur Terre
  ➳ Rébellion contre leur société dictatoriale
Extrait 5 : autres contacts avec Bâavi et « Bâal contrat »
  ➳ Une note sur les écritures extraterrestres
  ➳ Emails reçus sur Bâal contrat
  ➳ Messages laissés en commentaire sur Bâal contrat
Extrait 6 : une rencontre extraterrestre avec Proxima du Centaure
  ➳ La lettre à Trinidad - contact entre Proxima du Centaure et Semjase/Pleiadiens/Meier
  ➳ La présentation des noms « Athar » et « Kohun » Semjase / Billy Meier
  ➳ Une autre information de Billy Meier sur Bâavi

🔗 Liens vers des documents plus complets sur ce contact

Planète d’origine des contacts :

Ils sont originaires de la planète Bâavi, en orbite autour de l’étoile Alpha du Centaure (bien qu’incorrectement placés à Proxima du Centaure dans les textes d’enquête et le titre du livre de Wendelel Stevens). Ils s’appellent eux-mêmes le peuple des Bâals (même si on dira aussi Bâaviens ici dans l’article).

Cette affaire a été qualifiée de brouillon de l’affaire Ummo par l’ufologue russe Chourinov, car plusieurs personnes recevront indépendamment des documents mystérieux décrivant la technologie et philosophie des bâaviens.

Jean Pollion, le spécaliste de la langue Ummites fera même une étude comparative Bâaviens/Ummites

A noter que comme les Koldasiens, les Ummites et les Pléiadiens de Billy Meier, (ainsi que les Iargans de manière plus succinte), les Bâaviens parlent d’un anti-univers où le temps s’écoule à l’envers, et ils disent voyager dedans. De plus, les bâaviens, comme les Koldasiens et comme les Ummites ou encore les Pléiadiens donnent leur langue, grammaire, alphabet.

Commentaire personnel :

Ce nom de Bâal doit être rapproché du nom du dieu du mal Bâal des écritures de l’ancien testament. Dans l’Ancien Testament, Baal est une idole, il incarne le faux dieu par excellence. On trouve au sujet de Bâal sur internet :

Bâal est un dieu phénicien qui, sous les ramessides, est assimilé dans la mythologie égyptienne à Seth et à Montou. Bâal est un dieu d’origine sémite dont le culte a été célébré de - 3000 ans à l’époque romaine.

Baal n’est qu’une appellation générique, accompagnée d’un qualificatif qui révèle quel aspect est adoré : Baal Marcodés, dieu des danses sacrées ; Baal Shamen, dieu du ciel ; Baal Bek, le Baal solaire ; et surtout, Baal Hammon, le terrible dieu des Carthaginois. On peut aussi citer Baal-Zebub, qui a donné Belzébuth.

D’après : https://www.histoiredumonde.net/Baal-Baal.html

On peut supposer que les humains qui ont adoré ce dieu devaient avoir été en contact avec les Bâals de Bâavi et en avaient fait des dieux. Le fait qu’ils aient plusieurs noms suivant le mot Bâal pour désigner plusieurs dieux différents d’un même groupe, signifie certainement qu’ils parlaient de plusieurs habitants de Bâavi différents avec qui ils ont pu être en contact, tous dénommés par le préfix « Bâal ». Au nom de ces dieux des humains pratiquaient des choses mauvaises, immorales ou meurtrières. Cela ne signifie pas forcément que le peuple des Bâals en soit à blâmer. De plus certains Bâaviens peuvent avoir été de mauvaises personnes très négatives et avoir exercé un pouvoir sur des terrestres en se faisant passer pour une divinité avec leur technologie, et être la base de ces croyances. Sans que cela remette en cause une société entière. Ça ne sera pas la première fois que des extraterrestres ont eu des comportements tout à fait condamnables, les contactés ont de nombreux récits où les extraterrestres racontent les comportement ignobles et condamnables de leurs ancêtres qui ont mené des guerres meurtrières parfois.

Identité du contacté :

Identifié sous le nom M. N.Y. dans le livre « Le livre des secrets trahis » de Robert Charroux publié en 1965, il est présenté comme un français habitant une ville proche de Paris, qui a contacté Charroux par écrit dans un courrier reçu le 16 mars 1964. Dans ce courrier il révèle avoir des informations et documents sur un peuple extraterrestre, de la planète Bâavi dans Proxima du Centaure, et les bâaviens l’ont missionné pour diffuser les informations qu’il a. Il sera désigné « monsieur Mn. Y » dans le livre suivant (et plus M.N.Y.), puis « Emen Y » dans un ouvrage ultérieur encore de Charroux.

Mn Y avait confié de nouveau son histoire en 1966 à R.P. Reyna, René Fouéré du GEPAN et Robert Charroux sur ses contacts avec la planète Bâavi du groupe Alpha du Centaure A et B (note personnelle : donc Charroux ne parle pas de l’étoile C qui est Proxima, l’origine comme Proxima du Centaure est une erreur de dénomination utilisée par la suite pour décrire ce cas). Il apparaîtra après enquête d’autres ufologues que la personne rencontrée par Charroux n’était pas le contacté Mn Y (qui état à l’étranger) mais un membre de sa famille vivant près de Paris, et qui relayait les informations du contacté (et n’avait donc pas toujours les réponses détaillées aux questions sur les circonstances exactes du contact, ce qui sera rectifié ensuite plusieurs années après)

En 1968, il recontacte ce groupe de personnes de nouveau (là il est possible que ça soit le contacté Mn Y qui l’ait fait car il est venu en France voir le membre de sa famille qui servait de relais pour lui à la même période, ou peut-être était-ce toujours le même membre de sa famille qui avait des réponses détaillées cette fois-ci en ayant pu parler longuement à Mn Y venu le voir). Il partage plus de documents écrits sur cette histoire ainsi que des informations techniques et scientifiques de Bâavi. C’est là aussi que Mn Y explique à Charroux comment il a été emmené pendant 2 mois sur Bâavi durant la période de la deuxième guerre mondiale, alors qu’il résidait en France. Il précise qu’on l’a fait monter nu, et qu’il est revenu nu.

Robert Charroux fait d’abord expertiser la partie scientifique des documents par des techniciens, et notamment par M. Robert Frederick, docteur es sciences. Le résultat de ce contrôle est formel : tout est scientifiquement exact ou possible. Rien ne peut être réfuté pour vice de forme ou faute technique.

Cela a fortement suscité leur intérêt et Robert Charroux a publié un autre résumé explicatif des éléments donnés par Mn Y dans son livre « Le livre du mystérieux inconnu », paru en 1969.

Robert Charroux explique que la quantité d’informations et documents données par Mn Y est astronomique et qu’une vie entière ne suffirait pas à l’étudier. Il a donné un récit complet de son voyage de 2 mois sur Bâavi. Il a donné la grammaire Bâal de Bâavi à peu près complète. Il a décrit en détail le fonctionnement des engins spatiaux avec des schémas explicatifs, et produit de nombreux documents écrits en arménien qui expliquent les axiomes de la société Bâavienne. Il a décrit leur philosophie, leurs systèmes d’unités, etc.

Si tout ceci était un canular, ce serait un énorme effort de créer une science, un système de mesures et d’unités, une philosophie et une morale de société, une écriture, pour abuser les personnes tout en voulant rester anonyme et n’en retirer aucun crédit.

Robert Charroux décrit Mn Y comme un homme pondéré, sage et pas trop bavard, mais plutôt tacitune. Il est cultivé intelligent et sobre. Toute ce qu’il dit et sa façon d’être ont donné un préjugé très positif le concernant (mais il est probable qu’il décrive le membre de la famille qui sert de relais à Mn Y)

On sait que Robert Charroux relayait le courrier envoyé par des lecteurs de ses livres à Mn Y (enfin probablement au membre de sa famille Parisien) si l’affranchissement était envoyé pour le relais (il l’écrit dans son livre). Et donc très certainement des ufologues enquêteurs se sont mis en contact avec lui et ont pu avoir des informations complémentaires à celles de Charroux.

Maintenant voici une histoire plus précise est un peu différente sur les détails de la version relayée par Robert Charroux, par des ufologues qui ont pu être mis en contact avec le membre de la famille du contacté, en fait son demi-frère, qui servait en fait de relais en France. C’est ce demi-frère nommé Jean Roy, qui habitait près de Paris, et avait informé Charroux initialement. En fait, Robert Charroux a présenté Jean Roy en citant son nom et en mettant sa photo dans son livre « Le livre du passé mystérieux » en page 449, livre paru en 1973, comme étant le représentant sur Terre des extraterrestres de Bâavi, avec indication que c’est en fait le représentant en France de « Emen Y » anciennement appelé « Mn Y » par lui dans ses autres ouvrages, cet « Emen Y » qui est lui le représentant officiel de Bâavi sur Terre selon Charroux. Ceci a bien sûr dirigé les enquêteurs vers Jean Roy, qui a pu être contacté.

Jean Roy, présenté par Robert Charroux comme représentant sur terre de Bâavi alors qu’il est censé être seulement le délégué français de « Emen Y », lui-même représentant officiel de Bâavi sur Terre (Jean Roy serait en fait le demi-frère de « Emen Y », qui s’appellerait Stéphan Ritchen).
Jean Roy, présenté par Robert Charroux comme représentant sur terre de Bâavi alors qu’il est censé être seulement le délégué français de « Emen Y », lui-même représentant officiel de Bâavi sur Terre (Jean Roy serait en fait le demi-frère de « Emen Y », qui s’appellerait Stéphan Ritchen)

Selon une enquête du livre de « Rencontres E.T. et êtres hautement évolués , Tome 4 » de Alain Moreau (Source : https://www.youtube.com/watch?v=o0Ys3BwM694 ), il est indiqué qu’un article de Pierre Oul'Chen intitulé « 1944 Le premier contact , Les mystères du Réseau Bâal » aux pages 14 à 19 dans le n° 53 de février/mars 2011 du magazine Top Secret intitulé « Ovni la divulgation finale », donne  le véritable nom de Mn Y qui serait Stéphan Ritchen (infos de Jean Roy), né en 1910 à Saint-Maixent, dans les Deux-Sèvres en France. Son père meurt en 1915. L’histoire précédente du contact avec Bâavi et ses conditions sont un peu différentes dans ce récit qui semble une enquête plus minutieux car il est une information de première main et non le résumé des notes de Charroux, et il sera indiqué dans la section sur la façon dont a eu lieu le contact plus loin.

Top secret n °53 de 2011 contenant l’article de Pierre Oul’Chen sur Bâavi
Top secret n °53 de 2011 contenant l’article de Pierre Oul’Chen sur Bâavi
Article de Pierre Oul’Chen parlant de Bâavi et de Stéphan Ritchen
Article de Pierre Oul’Chen parlant de Bâavi et de Stéphan Ritchen

Pierre Oul’Chen, enquêteur d’ufologie qui écrit beaucoup dans Top Secret, a été mis au courant du parcours de « Stéphan Ritchen » par une correspondance avec Jean Roy, le demi-frère de « Stéphan Ritchen ».

Aucune photo connue de « Stéphan Ritchen » n’a été diffusée nulle part. Il est resté secret (de même qu’il se faisait appeler « Emen Ys » pour rester secret). Existe-t-il ou est-il Jean Roy ?

Commentaire personnel :

J’ai mené une enquête d’état civil en ligne. Il apparait les éléments suivants :

Un Jean Edouard ROY est né le 17 juillet 1913 à Saint-Maixent-l’Ecole au département des Deux Sèvres, marié le 5 octobre 1935 à « Le Vésinet » où il semble avoir vécu le reste de sa vie car il y était en 1964 selon Charroux et il est mort à « Lé Vésinet » le 28 juin 1999.

Sa mère était Marie Alice Hermance BONNET, née le 22 avril 1883 à Coulonges sur l'Autize, département des Deux Sèvres. Son acte de naissance indique un seul mariage avec son père Edouard Aristide ROY, né le 25 mai 1880 à Saint Denis du Pin département de Charente Maritime, dont l’acte de naissance indique là aussi un seul mariage. Aucune mention n’apparaît nulle part d’un autre frère dans les diverses recherches (aucun ROY de la même famille né à Saint-Maixent).

Or, puisque Jean (Edouard) ROY indique que Stephan Ritchen est un demi-frère né en 1910 dont le père est mort en 1915, il doit forcément avoir la même mère. Sa mère n’a toutefois jamais été mariée avec personne d’autre que le père de Jean ROY, et aucune mention de divorce n’est mentionnée ni pour elle ni pour le père de Jean ROY. Ils ont d’ailleurs le même domicile commun tous les deux que le domicile de Jean ROY sur l’acte de mariage de Jean ROY en 1935 au Vésinet.

Donc la seule façon pour qu’il ait un demi-frère est que ce soit un enfant illégitime né hors mariage. Or la recherche sur les actes de naissance montrent qu’aucun autre ROY ni aucun RITCHEN n’est né en 1910 à Saint-Maixent ou sur la période de 1903 à 1922. De plus une recherche généalogique sur les naissances de RITCHEN sur la France entière montre un nom assez rare avec aucune naissance d’aucune date avec un Stéphane RITCHEN. La base de recherche généalogique utilisée n’est pas complète, celle de Saint-Maixent par contre est exhaustive car c’est l’état civil officiel. Avant Saint-Maixent, Marie Alice Hermance BONNET s’était mariée à Rochefort à l’âge de 20 ans, Aucune naissance d’enfant du nom de RITCHEN n’apparaît à Rochefort jusqu’à son mariage ou dans les 10 ans suivants (naissance d’enfant illégitime) ni non plus à COULONGES là où elle est née, jusqu’à son mariage. La recherche n’est pas exhaustive sur la France mais paraît couvrante car exhaustive par l’état civil dans ces deux communes probables de naissance.

De plus aucune Ritchen Stéphan n’existe dans les bases généalogiques de matricule d’appel au service militaire (mais la base n’est pas exhaustive).  Près de 1800 Ritchen y sont recensés mais aucun « Stéphan », quelle que soit l’orthographe avec ou sans accent, avec ou sans e final.

Le passage en revue de toutes les naissances de garçons de 1910 a été effectué une par une, et Marie Alice Hermance Bonnet n’est portée nulle part comme mère d’un autre quelconque bébé né à Saint -Maixent en 1910. Seuls deux garçons sont nés de mère non dénommée sur cette année, l’un est marqué marié en France en 1935 et l’autre aussi marié en France en 1938 et décédé en France en 1987. L’un comme l’autre ne correspondent dont en rien à un potentiel Emen Ys et leurs noms de famille attribués ne sont bien sûr pas non plus Ritchen.

La conclusion qui s’impose est qu’il n’existe aucun RITCHEN (Stéphan ou autre prénom) né à Saint-Maixent, que ça soit en 1910 ou à une autre date compatible avant ou après, cela est sûr en regardant les tables décennales de naissance d’état civil. Si un demi-frère existe, il porte un autre nom différent. D’une manière générale il est improbable que Jean ROY ait eu vraiment un demi-frère (mais pas impossible), ce n’est possible que si c’est un demi-frère hors mariage, et son nom ne serait probablement pas Ritchen, ou alors pas du tout en Charente-Maritime. Peut-être un enfant abandonné à la naissance ? Quelque chose de pas ordinaire si c’est le cas. Il parait donc probable qu’il n’y ait donc jamais eu de demi-frère, que ça soit une histoire racontée par Jean ROY. Il y a probablement une personne derrière les informations diffusées par "Emen Ys" mais la clef est Jean ROY, qui peut probablement être la personne recherchée. Il a pu inventer l’histoire du demi-frère pour rester en retrait ou pour cacher l’identité du véritable Emen Ys. Il existe peut-être une tierce personne qui est désignée par "Emen Ys" ou pas et qui est ou pas un demi-frère hypothétique de Jean Roy. Rien n'est avéré contrairement à ce qu'on peut croire du récit de Oul'Chen.

Selon les recherches d’état civil complétées par la généalogie en ligne, Jean ROY s’est marié à Suzanne HULIN au Vésinet, décédée le 30 mai 2007. Il aura avec elle deux enfants tous deux nés à « Le Vésinet », ROY Jacques Edouard né le 29/5/1936 et décédé à Limoges, et ROY Michel né le19/8/1939 pour lequel je ne trouve aucune information. C’est le seul descendant potentiellement encore vivant qui puisse être interrogé.

Il y a manifestement un désir de conserver une forme d'anonymat du contacté même quand son anonymat est censé être révélé.

Époque et lieu du contact :

Alpha du Centaure (plutôt que Proxima du Centaure au vu des autres éléments) où est censé être Bâavi
Alpha du Centaure (plutôt que Proxima du Centaure au vu des autres éléments) où est censé être Bâavi

En novembre 1944 en France. Enlèvement en vaisseau pour la planète Bâavi pour une durée de 2 mois depuis un lieu situé à 40 km au moins à l’Est de Cosne-sur-Loire en campagne, de nuit, à proximité d’un lieu appelé Villaine.

Lieu approximatif de l’enlèvement initial de 1944 qui dura 2 mois selon Emen Ys, à environ 40 km à l’Est de Cosne-sur-Loire en France (appelé maintenant Cosne-Cours-sur-Loire)
Lieu approximatif de l’enlèvement initial de 1944 pour Bâavi qui dura 2 mois selon Emen Ys, à environ 40 km à l’Est de Cosne-sur-Loire en France (appelé maintenant Cosne-Cours-sur-Loire)

Mais un autre départ pour Bâavi aura lieu en janvier 1968 à priori en Mongolie, pour une durée de 8 mois cette fois-ci.

Oulan-Bator (Ulaanbaatar) en Mongolie, à proximité d’où était censé résider Emen Ys en 1968 lors de son deuxième départ qui dura 8 mois
Oulan-Bator (Ulaanbaatar) en Mongolie, à proximité d’où était censé résider Emen Ys en 1968 lors de son deuxième départ pour Bâavi qui dura 8 mois

Publication de l’histoire :

Robert Charroux a publié en français le récit de ce contact dans le livre « Le livre des secrets trahis », paru en 1965 qu’il a complété encore dans « Le livre du mystérieux inconnu », paru en 1969. A chaque fois, l’information concernant Mn Y n’occupe que quelques pages de ces volumineux livres qui traitent de plein de divers sujets. Les informations sont rassemblées ici ensemble. A de rares exceptions de citation du texte français, c’est une retraduction depuis la version anglaise de ces livres qui sert à compiler ce résumé, la formulation sera donc parfois un peu différente mais de même signification, y compris lors des citations de Mn Y.

« Le livre des secrets trahis » de Robert Charroux : voir aux pages 365-378   
« Le livre des secrets trahis » de Robert Charroux : Bâavi aux pages 365-378   
« Le livre du mystérieux inconnu » de Robert Charroux : voir aux pages 400, 402-410, 412-414
« Le livre du mystérieux inconnu » de Robert Charroux : Bâavi aux pages 400, 402-410, 412-414

Cette information a été republiée par Wendelle Stevens dans son livre « UFO contact from planet Baavi in Proxima Centauri » en 2004 qui remet le contenu de Charroux extrait sur la partie concernant Mn Y. Mais Stevens a fait d’autres recherches qui ont complété ce travail par d’autres témoignages sur Baavi provenant de 2 autres sources, qui complètent le panorama.

C’est l’information publiée par Robert Charroux, complétée par Wendelle Stevens par les autres sources qui constitue le fond de cet article. Sans mention contraire, les informations sont celles données par Mn Y. Si elles proviennent d’une autre source complémentaire, cela sera indiqué.

UFO contact from planet BAAVI in Proxima Centauri, Wendelle Stevens, paru en 2004
UFO contact from planet BAAVI in Proxima Centauri, Wendelle Stevens, paru en 2004

A noter que des recherches sur internet ont permis de trouver encore d’autres sources que celles complémentaires de Wendelle Stevens, sur le contact avec Bâavi, et qu’elles seront aussi mentionnés.

Comment a eu lieu le contact :

Mn Y se trouvait en 1934 en Algérie du Sud (à l’époque l’Algérie était française) sur les hauts plateaux entre la vallée d’Ighargharem (sous le Tassili des Ajjer) et la vallée d’Issaouan. Il y a rencontré un vieil homme Saharien qui racontait des histoires étranges que personne ne croyait, ni locaux ni européens de passage.

Mn Y a noué des contacts de sympathie avec ce vieil homme et l’a écouté. Le vieil homme l’a un jour conduit dans une grotte où il a déterré une jarre plate enfouie sous le sable apporté par le désert. Dans la jarre se trouvait une peau cousue qui paraissait pas trop ancienne. En coupant le fil qui enfermait la peau, il vit qu’elle protégeait un livre manuscrit de pensées et de formules religieuses, et deux parchemins écrits en araméen glissés dans le livre. Plus tard la lecture de ces parchemins permit de voir qu’ils contenaient 5 principes de pensée des Bâals.

Le vieil homme ne lui demanda pas d’argent pour l’avoir mené jusque-là (ce qui était inhabituel dans la région) et lui céda les documents de la jarre. Il n’y a pas d’explication à la manière dont le Saharien savait que ces documents étaient là et pourquoi ils étaient là, ni pourquoi le Saharien en fit don à Mn Y, ni pourquoi il y a des documents écrits en arménien donnant des informations sur Bâavi.

Pendant l’époque de la 2ème guerre mondiale, Mn Y résidait en France. Sans expliquer le détail du comment exactement, Mn Y reçut durant la période de la guerre, en novembe 1944 (la date est non précisée par Charroux mais on la connait d’après le récit du demi-frère de Mn Y), un rendez-vous donné par des Bâaviens. Il s’y rendit en train jusqu’à Cosne-sur-Loire, une voiture bâché tirée par un cheval l’attendait, et il a voyagé pendant environ 2h, de nuit. Il est passé par un lieu appelé « Villaine » dont il a vu la pancarte pendant le trajet.

Commentaire personnel :

Une petite recherche permet de trouver le lieu dit « Villaine » à 140 km à l’ouest de Cosne-sur-Loire (commune qui s’appelle Cosne-cours-sur-Loire depuis 1973 après un changement administratif du nom de la commune), ce qui est trop loin car une voiture à cheval va à la vitesse de 12 km/h en moyenne, donc il faut compter 30 km autour. Et en cherchant il existe un lieu dit appelé « Villaine » (près de Varzy) situé à 39 km à l’Est de la gare de Cosne-sur-Loire. Sachant que la durée de voyage est seulement estimée approximativement à 2h et que la vitesse moyenne de la voiture est de 12 km/h mais peut être un peu plus ou un peu moins, c’est tout à fait compatible, ça reste cohérent.

A l’arrivée dans la nuit, on le fait sortir et il voit un appareil discoïdal appelé « vaïd » dans lequel il entre par un sas qui était à 1,50 mètres du sol sur lequel il s’est appuyé pour monter.

Il se trouve en état d’apesanteur dès qu’il a franchi le sas. L’appareil s’est élevé à la verticale et s’est envolé en allant vers la direction de Auxerre-La-Rochelle.

Mn Y : « Le voyage a duré 1h ½ pour arriver à Proxima du Centaure. Le vaisseau a alterné des moments de voyage « gravifique » en propulsion à antigravité dans l’espace normal (mais à très grande vitesse) avec des moments de « passage dans l’anti-temps ».

Je sais depuis, qu’avant de basculer, la vaïd accélère à 872 000 g terrestres et qu’elle bascule trois fois dans le trajet Terre-Alpha Centaure »

Commentaire personnel :

Le passage dans « l’anti-temps » est le nom donné au voyage dématérialisé en quelque sorte ou dans le subespace ou hyper espace, plusieurs façons de l’appeler selon la civilisation qui aborde le contacté, pour ceux qui sont capables de ce type de voyage (pas toutes les civilisations savent le faire).

Il est intéressant de noter que comme les Koldasiens, le vaisseau ne peut pas voyager tout du long dans ce mode qui permet de dépasser très largement de centaines ou milliers de fois la vitesse de la lumière, probablement pour des raisons techniques pas expliquées par les Koldasiens pas plus que les Bâaviens ici. Mais on retrouve cette particularité de devoir sortir de ce mode de propulsion pour revenir à de la propulsion « classique » à antigravité (que d’autres civilisations appellent « magnétique » aussi), puis repartir en mode supraluminiuque de nouveau. Par alternance.

À noter aussi que la notion d’anti-temps signifie le passage dans un domaine de la réalité d’un anti-univers où le temps s’écoule à l’envers, ce qui est une information qu’on retrouve dans plusieurs contacts, dont les Koldasiens, les Iargans, les DALs travaillant avec les pléiadiens.

Mn Y était invité à rester pendant 2 mois sur Bâavi pour apprendre leur mode de vie et leur civilisation.

Sa famille a cru que Mn Y était mort, car il avait disparu. Comme c’était la période de la guerre en France, des disparitions et morts mystérieuses il y en avait à foison et il n’y a pas eu d’enquête de faite. Finalement il est revenu !

Il n’est revenu avec aucun preuve autre que le savoir qu’il a acquis là-bas et qu’il mettra par écrit ensuite. Il a rédigé depuis des volumineuses notes pour mettre le tout par écrit.

Mn Y indique à Robert Charroux : « Vous n’avez pas le droit de me croire sur parole. Mais je puis vous révéler le secret de la contragravitation (=antigravitation) et celui de la fabrication des vaïds. Vous ferez expertiser les documents par tout physicien qui en exprimera le désir. Si ces documents sont valables, alors il faudra me croire. S’ils ne sont que divagations, vous en tirerez la conclusion qu’i s’imposera ».

Robert Charoux a demandé à Mn Y l’autorisation de remettre pour expertise les documents à Edgar Nazare et au Dr Pagès, ce qui a été volontiers accepté par lui.

Les résultats d’expertise sont que les plans donnés par Mn Y et notamment le plan détaillé de construction des vaïdorges (dont Charroux indique qu’il ne sera communiqué à personne qui le lui demanderait) contiennent des « idées géniales » et des impossibilités techniques qui tiennent peut-être aux concepts scientifiques limités de la science terrestre actuelle.

Commentaire personnel :

Marcel Pagès est un français de Perpignan qui a fait des études en psychiatrie et surtout a travaillé toute sa vie comme physicien amateur sur l’antigravitation et avait construit une théorie et des expériences pour la prouver permettant de produire de l’antigravité par des effets électromagnétiques. Il a un brevet déposé de réalisation d’un appareil volant autonome de type petite soucoupe sur le principe d’un plasma tournant d’électrons dans un tore sous vide avec un champ magnétique central pour le faire tourner. Il faisait des conférences aux USA qui le prenait au sérieux, et alors la France la rapatrié en lui disant qu’ils allaient financer la construction. Dassaut a tout fait pour que le financement n’ait pas lieu et rien ne s’est fait finalement. Pagès a dépos de nombreux brevets et les USA en utiliseront certains pour construire leurs des appareils électro-gravitiques.

Liens pour en savoir plus sur le travail à antigravité de Pagès :
Lien 1
Lien 2
Lien 3
Lien 4

Edgard Nazare était un ingénieur aéronautique français spécialisé en mécanique des fluides, qui avait cofondé le bureau de recherche aéronautique d’Alger, devenu plus tard l’ONERA = la recherche aérospatiale française à la Défense à Paris-Palaiseau, organisme qui travaille pour la production d’avions de l’armée ou de matériel pour la fusée Ariane.

Voici des extraits de documents fournis par Mn Y reproduits par Charroux :

Texte du document N° 1 : « L'espace, dans une galaxie et dans un groupement galactique n’est pas l’espace axiome absolu. Il est le milieu géniteur des mondes à trois dimensions. » Dans l’espace axiome absolu, le mouvement-temps n'existe pas. » Le présent extra-cosmique est l’essence même de l’espace axiome absolu. » (Comprenez : est l'essence même de l’univers qui n’est ni élémental ni vital.)

Texte du document N° 2 : « L'espace, dit extérieur, est un axiome absolu, se justifiant par un cosmos limité. » Dans la triple constance de l’élémental est le vital ainsi l’immobile se manifeste par le mouvant et reste indépendant de lui, mais non indifférent. »

Selon l’article de Pierre Oul’Chen, « Stéphan Ritchen » (alias Emmen Ys) est parti assez jeune sur la piste des Atlantes dans la piste Saharienne. Il rencontre en 1934 un vieux Touareg qui lui dit connaître une cache secrète contenant des informations capitales sur la réalité des Atlantes. Un accord se fait entre Stéphan et le Touareg, et ils partent dans le Sud-Est de l’Algérie au pied de Tassili N’Ajjer. Leur expédition pour retrouver la cache est infructueuse pendant un certain temps. Mais ils finissent par trouver une jarre scellée contenant de vieux documents écrits en Arabe qui pourraient dater de l’an 800. Mais Stéphan est déçu, ce n’est pas ce qu’il attendait. Il paye le vieil homme pour sa participation et repart au Maroc avec les documents trouvés. En les étudiant, il voit qu’un parchemin dans le lot semble plus ancien avec une écriture inconnue. Personne ne sait quelle est cette écriture. Il essaiera de faire expertiser l’origine de l’écriture par une copie envoyée en Chine par courrier à un spécialiste, mais sans succès car au lieu de lui faire une traduction on lui propose de lui acheter le parchemin.

Plus tard, rentré en France, il est agent de liaison de l’armée au service des forces anglaises durant la 2ème guerre mondiale. Un soir de novembre 1944 il tomba dans une ambuscade et fut mis dans de force par 4 hommes dans un chariot bâché tiré par un cheval. Le chariot stoppa dans une clairière et ils le firent descendre. Là un appareil était immobile et silencieux. Les inconnus le firent se déshabiller. Ils lui prirent le parchemin qu’il gardait toujours sur lui. Un géant blond vêtu de blanc et ayant un casque vient le kidnapper et le fait monter dans l’appareil. Il lui fit revêtir une sorte de combinaison spatiale. Et ils partent pour Bâavi.

Il réapparait 2 mois plus tard en Mongolie. Ses ravisseurs lui avaient rendu ses vêtements, son parchemin, et un laisser-passer sur l’ensemble du territoire chinois. Il se fait appeler dès lors « Emen Ys » ou orthographié encore « Emen-Is », en abrégé « EM-Y ».

A partir de janvier 1945 il traversa la Chine pour essayer de rejoindre la France. Il se fait refouler à Hong-Kong. Il remonta vers la Russie puis la Sibérie. Il se liera d’amitié avec un trappeur Russe. Il ira avec lui en Alaska en passant par le détroit de Behring. Ils traversent tous deux toute l’Amérique et vont en Amazonie et dans la cordillère des Andes, à la recherche de traces d’anciennes civilisations, et notamment de traces de contacts extraterrestres avec les anciennes civilisations dont les Mayas.

En 1963, Emen Ys et son ami reviennent en Asie. Stéphan Ritchen passe une année en prison en Chine à Shangaï, considéré comme un russe en arrivée illégale. Il est refoulé en Sibérie au bout de 1 an, avec son ami russe le trappeur, qui mourut en juillet 1965 au Nord-Est de la Sibérie. Stéphan rencontra une infirmière nommée Yéroël avec qui il se mariera en janvier 1967. Ils s’installèrent en Mongolie.

Le 29 janvier 1968, il entreprit un nouveau voyage vers la planète Bâavi (on ne sait pas comment cela s’est déroulé), et il est débarqué de son voyage en septembre 1968, le voyage aurait été plus long, 8 mois (et on comprend mieux pourquoi il retourna voir Robert Charroux ensuite avec de nombreux documents dont il ne disposait pas en 1964 lors du premier contact par courrier ni en 1966 lors d’une rencontre).

Jean Roy, le demi-frère de Stéphan Ritchen, avait reçu des nouvelles de son frère Stéphan Ritchen depuis sa sortie de prison à Shangaï. C’est lui qui racontera toute cette histoire qui parviendra à Oul’Chen.

Le 10 novembre de la même année, Robert Charroux rencontra-t-il Stéphan Ritchen (Mn Y) pour la première (et peut-être dernière) fois dans son bureau, situé à Charroux dans la Vienne ou rencontre-t-il encore une fois le seul contact qu’il ait vu jusque là, Jean ROY ? (Robert Charroux est un nom de plume, du nom de sa commune de résidence). En tous cas Charroux relate avoir revu Emen Ys le 10 novembre En effet il a été confirmé par des ufologues français que les contacts précédents qui avaient eu lieu avec Charroux avaient été effectués par Jean Roy, car c’est lui qui habite à Vésinet près de Paris (et Charroux indique avoir été contacté par Mn Y qui habitait près de Paris).

Toujours selon Jean Roy, Stéphan Ritchen et Jean Roy se retrouvent à la Rochelle le 12 novembre 1968. Stéphan Ritchen vient passer quelques temps en France, et repartit plus tard en Mongolie retrouver là-bas son épouse, qui est infirmière en Mongolie du Nord au sanatorium de Chudschirt près de Oulan-Bator. Il écrira là-bas ses volumineux entretiens avec les Bâals.

Depuis la Mongolie il fonda en 1970 un groupuscule, le réseau Bâal contrat, un groupe de recherche qui refusait les simples curieux ou les illuminés.

Jean Roy qui résidait au Vésinet près de Paris lui servait de contact en France pour ce groupe. Le groupe donna lieu à des travaux diffusés sous forme confidentielle sous la forme de monographies diffusant la philosophie Bâal et les informations sur le voyage de Stéphan Ritchen sur Bâavi. Une autre publication interne à leur groupe appelée « DM » paraît, qui reprend les éléments des monographies de Ritchen avec des commentaires ajoutés par des membres du réseau. Le groupe s’étend à la Belgique. Jean-Marie Descamps assure le relais en Belgique à Obigies. Une antenne Canadienne est assurée par Erik Ericksen à Fort Simpson.

Le groupe Bâal contrat était souvent perçu comme une secte, dont Ritchen était le gourou. Rassemblant une soixantaine d’adeptes, ce mouvement était actif en Russie, en Afrique du Sud, en France et surtout en Belgique. Son objectif principal était l’enseignement et l’étude de la philosophie des Bâals. Les membres y apprenaient notamment la langue bâalhi et menaient de profondes réflexions sur des questions existentielles.

Des documents cryptés au niveau symbolique ont été produits par Ritchen pour divulguer des informations spirituelles, selon les enseignements qu’il a reçus à ce sujet par un enseignant sur Bâavi. Un glossaire de mots a été élaboré pour traduire les mots de Bâavi. Les habitants de Bâavi sont des géants blonds. Les informations obtenues par Oul’Chen indiquent que l’étoile des Bâals est à 4, 15 années lumière de la Terre mais indiquent que c’est Rigel (ce qui est une erreur car Rigel est à 900 années-lumière). La distance de 4,15 années lumière est compatible seulement avec Proxima du Centaure, tel que donné par Mn Y à Charroux d’ailleurs. Il y a eu une erreur de nom sur l’étoile certainement.

Commentaire personnel :

Une explication très claire existe au sujet de la confusion avec Rigel selon moi, et qui donne un autre éclairage sur la localisation de Bâavi : l’étoile Alpha du Centaure est appelée « Rigil Kentaurus », ou encore « Rigel Kentaurus », qu’une personne qui rédige les documents DM peut confondre avec l’étoile « Rigel » en le mettant par écrit, en passant de "Rigel du Centaure" à "Rigel" tout court, l'erreur est facile à faire…

Et cela nous informe que l’étoile est probablement Alpha du Centaure et pas Proxima du Centaure. D’ailleurs Charroux écrivait que le contact venait de A et B du Centaure (donc Alpha et Beta). Ensuite dans l’imaginaire de certains cela est devenu Proxima du Centaure qu’on connait beaucoup de nom (qui est en fait l’étoile C, donc pas A et B). Ces étoiles sont proches les unes des autres mais ne sont pas les mêmes. Il est donc probable que les Bâaviens viennent plutôt de Alpha du Centaure en suivant cette analyse.

Les informations du groupe sur Bâavi :

Bâ : le Soleil (nom de leur étoile), Vi : être en tant que manifestation biologique.
La gravité sur Bâavi est de 1,3 fois celle de la Terre (g = 12 m/s²).
La pression atmosphérique est supportable pour un terrien qui irait sur place.

Des pages d’équations mathématiques ont été fournies par Ritchen en plus de schémas sur les vaïdorges. Les équations sont incompréhensibles pour certaines ou assez claires pour d’autres. Il n’a pas été concluant d’en retirer quelque chose.

Vers la fin de sa vie, il consacra une grande partie de son temps à la défense des droits de l’homme et à la quête de justice

Son épouse décède et il se retire de ses amis et s’isole aux pieds des monts Altaï (montagne d’Or). Il y meurt en avril 1975.

Voir aussi : https://activite-paranormale.blogspot.com/2012/06/la-legende-extraterrestre-des-baals.html

Apparence des habitants de Bâavi:

Les habitants de Bâavi ressemblent à des géants blonds d’apparence humaine. On n'aura pas plus d'informations ni de représentations de faites.

Description de leur monde et de leur civilisation :

Note : Mn Y indique que des hommes de la Terre vivent présentement sur Bâavi, libres et assimilés à l'existence des autochtones.

BÂAVI orbite autour de leur étoile Alpha Centauri (mais par erreur les enquêteurs ont souvent dit Proxima Centauri), située à 4,3 années-lumière de la Terre.

Leur planète BÂAVI fait 1,5 fois la taille de la Terre. Une année dure 311 jours. Chaque jour dure 27h 12min 57,6s

La température est remarquablement bonne. Ses nuits sont lumineuses et le jour, la lumière du soleil est si éclatante qu'elle justifie le nom par lequel ses habitants se désignent : Les Fils du Soleil.

Toute l’activité humaine est concentrée dans une métropole et le reste de la planète est laissé à la nature et aux animaux.

Les hommes et les femmes sont sur un plan d’égalité. Leur vie n’est pas illimitée mais atteint plusieurs siècles. Leur âge de vieillissement est stoppé à leur majorité.

Il n’y a pas de mariage entre les Bâals, l’amour est libre. Les relations peuvent avoir lieu avec divers partenaires plusieurs fois par jour avec des partenaires différents s’ils le veulent, sans que cela n’implique de lien d’affection ou de tendresse entre homme et femme. C’est juste une activité.

Les Bâals s’aiment entre eux de façon générale et sans privilège spécifique d’amour pour un individu.

Leur système ressemble à une forme de dictature qui se veut bienveillante. Dans ce système centralisé, des personnes appelées les « Connaisseurs » sont les dirigeants de toute la vie des citoyens de leur monde. Ce sont eux qui font respecter un ensemble de règles que les Bâaviens suivent obligatoirement pour organiser toute leur vie. Les Bâaviens ne savent même pas ce que deviennent leurs corps une fois mort, ce sont les « Connaisseurs » qui les prennent en charge et gardent l’information secrète. On est loin d’une société de transparence.

Ils se font appeler les « Fils du Soleil », et respectent des lois de fonctionnement qui seraient considérées comme inhumaines par nous les terriens.

Depuis un grand schisme survenu il y a dix mille ans, la structure sociale bâavienne n'est plus basée sur la famille. Les Bâaviens étant théoriquement immortels, une limitation stricte des naissances a été nécessaire. Un enfant est considéré comme appartenant à l'ensemble de la population.

À la naissance, une petite plaque dorée est placée sous le cuir chevelu, portant des lettres et des chiffres connus seulement des concepteurs, puis l’enfant est placé dans un centre d'éducation des enfants où il reçoit un bracelet provisoire portant un numéro.

Il passe les cinq premières années de sa vie dans ce centre, où personne ne connaît son origine. À un âge entre cinq et dix ans, il est placé dans un centre éducatif. À l'âge de dix ans, on lui retire son bracelet et on le renvoie au centre de conception qui l'a formé, où des Connaisseurs lui font prendre conscience de ses pouvoirs psychiques et des pratiques qui lui permettront d'acquérir l'immortalité.

À un moment favorable, choisi par les Connaisseurs, l'élève apporte sa contribution génétique en donnant un enfant à la société, qu’ils soient mâles ou femelles, puis il est stérilisé.

Avant de quitter le centre de conception, chacun choisit les noms qu'il veut porter et reçoit une confirmation officielle sous la forme d'un bracelet avec une plaque qui, en cas de vérification de l'identité, ne peut émettre un signal vers l'appareil de vérification que s'il est synchronisé avec les chiffres et les lettres de la plaque dorée située sous son cuir chevelu.

L'adulte ainsi créé entre à l'université où il est formé au métier qu'il a choisi : astronaute, hôtesse d'accueil, directeur d'une ferme nationale, etc.

Si l'individu décide finalement qu'il a assez vécu, il se rend au centre de conception et libère volontairement son ego spirituel en séparant son corps astral de son corps physique. Ce dernier appartient aux Connaisseurs et les habitants ordinaires de la planète ne savent pas ce qu'ils en font.

Sur Bâavi, l'unité de temps est le tolt, qui équivaut à 1,4 seconde, et les horloges publiques ont trois aiguilles qui marquent les dix-huit serkaes qui composent un jour sidéral.

L'unité de longueur est le sys, qui équivaut à quarante-deux centimètres (la coudée égyptienne).

Commentaire personnel :

Ce fait est intéressant, à savoir que l’unité de mesure « sys » des Bâaviens correspond exactement à l’unité de mesure de la « coudée » des Egyptiens, ce qui fait penser que les Egyptiens ont été en contact avec les Bâaviens.

Voici un texte écrit par Emens Ys en Bâavien :

Écriture en langage Bâal de Bâavi
Écriture en langage Bâal de Bâavi

Dans son livre Wendelle Stevens met un autre extrait d’un alphabet qui n’est pas de Bâavi mais des Varkulets de Ganymède, provenant d’un autre contact extraterrestre cité dans le livre de Charroux au même endroit (Eustaquio Zagorski après recherche), il confond. Je ne le mets pas ici.

Les documents de « Bâal contact » enseignent la langue de Bâavi, donc un alphabet doit exister quelque part dans leurs documents.

Les Bâaviens parlent de l’existence d’une « matière hyperonique », dont un centimètre cube pèserait dix milliards de tonnes.

Outre les habitants très développés de Bâavi, il y a aussi des géants de trois mètres de haut, du type de ceux que l'on appelle sur Terre les Yétis (ou Abominables Hommes des Neiges). Ils sont extrêmement doux, mais leur niveau intellectuel est celui d'un enfant de cinq à huit ans. Ils sont employés dans les fermes nationales et sont traités avec beaucoup de gentillesse. Ces Yétis vivent et procréent à leur guise, les lois générales de la planète ne s'appliquant pas à eux. Ils n'ont pas de relations sexuelles avec les autres habitants, et s'ils en avaient, elles seraient stériles, ce qui fait penser aux Bâaviens que les deux races n'ont pas la même origine. Les Yétis sont considérés comme les ancêtres communs de la plupart des hommes de l'univers. Certains d'entre eux vivent à l'état sauvage sur toutes les planètes habitées. Sur Terre, ils ont été signalés dans les montagnes de l'Himalaya et des Andes, évitant avec appréhension tout contact avec les autres hommes.

Leurs vaisseaux, qui ont l'apparence générale de soucoupes volantes et sont appelés vaïdorges (vaïd en abrégé), peuvent se déplacer à une vitesse supérieure à celle de la lumière. Le vaïd ressemble à l’œil d’Horus.

Commentaire de Robert Charroux :

Robert Charroux dit que vaïdorges est un nom tibétain pour désigner les engins volants spatiaux (note personnelle : ce que je ne trouve nulle part, il y a confusion peut-être avec vimanas dans les écrits hindous)

Cela leur permet « d'entrer dans le temps », c'est-à-dire de parcourir de grandes distances en quelques minutes de temps positif, voire en temps négatif, ce qui leur permet d'arriver à destination avant leur départ.

Les vaidorges n'atterrissent pas souvent au cours de leurs vols de reconnaissance, mais il leur arrive de rester en vol stationnaire, le disque tournant à quelques pieds au-dessus du sol.

Les vaisseaux spatiaux bâaviens sont des machines antigravitationnelles qui n'ont rien à voir avec nos fusées primitives. Les anciens Bâaviens ont d'abord utilisé la propulsion photonique, puis ionique, en dehors des champs de gravité planétaires pour propulser leurs engins. Maintenant ils utilisent l’antigravitation pour permettre à leurs engins une accélération pouvant leur permettre d’atteindre une vitesse de 280 000 km/s (soit proche de la vitesse de la lumière) dans leurs déplacements usuels.

La matière est une condensation de mouvement, c'est-à-dire une énergie qui engendre des ondes, chacune ayant sa propre fréquence. Un corps matériel n'est donc rien d'autre qu'un centre de vibrations ayant certaines caractéristiques.

La gravité est une pression résultant d'une réaction de certains espaces environnants déformés par la présence de la Terre. A l'intérieur de l'espace considéré se trouve un champ gravitationnel dans lequel tout corps tend à être plaqué contre le sol selon une loi commune aux phénomènes gravitationnels, électriques et magnétiques.

Pour maintenir un corps massif en lévitation près du sol, il faut modifier la fréquence vibratoire de ce corps de manière à ce qu'elle s'oppose à la fréquence du champ gravitationnel. Pour ce faire, la fréquence vibratoire du corps doit être élevée par l’application d’un potentiel électrique très élevé (quarante-cinq millions de volts pour faire léviter chaque table de pierre de Bâalbek par exemple).

Les vaïdorges de Bâavi sont des machines antigravitationnelles. Elles ont des coques neutriniques avec un poids négatif. Elles entrent en résonance avec les ondes gravitationnelles qui se propagent à une vitesse supérieure à celle de la lumière et pénètrent partout.

Cette entrée en résonance produit une énergie qui s'oppose aux effets de masse si l'engin se trouve déjà dans un environnement de poids négatif et de force gravitationnelle autonome. Après une vingtaine de pages dans lesquelles il explique tout le processus scientifique du voyage dans le temps et l'espace (selon les propos de Robert Charroux qui a eu ces documents en main, mais ne les a pas inclus dans son livre qui résumé l’affaire, donc ils ne sont pas consultables), Mn Y. en arrive au moment critique où le vaïdorge, ayant atteint la frontière de la vitesse gravitationnelle, plonge dans l'anti-temps, ou l'anti-univers, sans être désintégré.

À cet égard, dit-il, il ne faut pas confondre « l'univers du temps négatif » (appelé anti-temps) avec les particules négatives de l'univers en expansion (notre univers) qui constituent les antimondes. Un antimonde n'est qu'une autre galaxie dont la matière est l'antimatière de notre galaxie.

L'univers du temps négatif s'écoule dans le sens opposé au nôtre, c'est l'univers en contraction.

La collision d'un de ces vaisseaux avec une minuscule météorite déterminerait une explosion équivalant à celle de quelque 30 mégatonnes de TNT et des réactions nucléaires pourraient être amorcées. Il faut donc créer autour de l'engin un champ magnétique capable d'écarter toutes les météorites et poussières dangereuses pour la navigation.

La chambre d'appropriation d'une vaïdorge emmagasine au départ, et sous forte pression, des poussières spéciales qui sont conduites par d'infimes canaux de distribution à admission variable, vers la section du tore dite « chambre d'émission antimatière ».

La rotation de 91 mag-koua/Tol (vitesse photonique exprimée en notation bâavi) imprimée au tore en fait un cosmotron qui projette des jets de particules accélérées désintégrant, à grande distance de l'avant et des côtés de la vaïdorge, tous les milieux corpusculaires et les corps errants de l'espace.

Dans des conditions d'utilisation, la vaïdorge, vue d'une planète, ressemble à un météore aux déplacements aberrants. Le canon antimatière de bord émet un véritable « rayon de la mort ». Deux vaïdorges naviguant dans l'espace stellaire, à une petite distance l'une de l'autre, se désintégreraient mutuellement.

Les disques sont constitués d'un métal antigravitationnel. Une masse est considérée comme positive dans un champ gravitationnel parce qu'elle peut être évaluée au moyen du poids conventionnel. Une fois en dehors du champ de gravité, la même masse est indifférente et comprend « l'antigravité ».

De toutes les manières, elle continue à détenir intrinsèquement un champ de gravité qui exercerait expérimentalement une attraction sur tous les corps plus petits qu'elle, en fonction de son volume, comme on l'a dit, de la portion d'espace qu'elle déforme. Mais si cette même masse était rendue répulsive dans un champ de gravité planétaire, si de même elle repoussait au lieu d'attirer le corps entier dans un vide beaucoup plus petit qu'elle et qui passe à son champ, on pourrait dire que cette masse est antigravitationnelle et de poids négatif.

Au centre du disque, faisant une coupole plus en bas qu'en haut, se trouve un ordinateur de navigation automatique. Il peut être comparé à une grande boule avec un jeu de 0,42 mm entre le rebord du disque tournant et la cabine de la boule. Cela ne l'empêche pas d'être parfaitement solidaire sur tout le reste, à l'exception du mouvement giratoire du disque.

Cette solidarité est obtenue d'une part par les ondes gravitationnelles galactiques (u ondes grafiviques) en résonance avec la partie lenticulaire du disque, et d'autre part, par une bande de matière radioactive autour de la cabine de navigation (c'est là qu'elle est contenue dans l’alvéole disque) et qui émet des nucléons instables.

La cabine de navigation est une sphère, transparente de l'intérieur, opaque de l'extérieur, isotherme et réfractaire aux rayons lumineux ainsi qu'aux autres radiations (de l'intérieur on peut voir la lumière, mais à l'intérieur il fait sombre).

L'intérieur se compose d'une sphère centrale de 1,26 mètres de diamètre, dans laquelle se trouvent les instruments de bord, les commandes et l'appareil. Cette sphère centrale est aussi véritablement le centre stabilisé du contrôle de la navigation : Elle l’empêche de suivre le mouvement gyroscopique du disque par les effets tourbillonnaires d’entraînement. Il y a quatre vecteurs de rayons par lesquels passent les connexions à l'appareil de télécontrôle du disque, qui maintient la sphère au centre parfait du contrôle de la navigation.

Il convient également de noter qu'il n'y a pas de gravité dans le centre de navigation et de contrôle, et qu'il n'y a donc pas de sièges ni de couchettes. Il n'y a que des ceintures d’amarrage à utiliser comme stabilisateurs pendant le sommeil. Une barre pour se tenir d’une main faisant tout le tour de la sphère leur permet d'effectuer toutes les commandes nécessaires aux manœuvres en s’y tenant d’une seule main.

Leur disque volant ne peut pas atterrir sur le sol, mais reste stabilisé à 1,47 mètre au-dessus de la surface, mesuré par rapport à sas de sortie. Certains observateurs ont trouvé trois points de contact avec le sol après le départ d'un disque : cela est dû au fait que chaque disque utilise trois amarres électromagnétiques flottantes. Ces trois amarres ne touchent pas le sol. Elles développent une tension qui attire à leurs extrémités flottantes les petits corps de terre qui suffisent à éviter les déséquilibres latéraux du disque par une fixation d’attraction.

Le principe de l'appropriation des ondes gravitationnelles est obtenu par 24 lentilles spéciales (12 sur chaque face du disque), qui mettent l'appareil en résonance. Les divers mouvements (arrêt brusque, stationnement, accélération rapide) sont obtenus par un anneau de titane qui « flotte » à l'intérieur du disque dans le tube d'appropriation. L'utilisation gravitationnelle agit simultanément sur tous les points du disque et sur tous les matériaux qu'il rencontre dans la zone d'influence.

En dessous de 4 200 mètres d'altitude, un disque utilise, pour se déplacer plus bas, la charge électrique artificielle accumulée par la rotation du disque. Ce champ électrique autonome est ajusté en fonction du champ gravitationnel de la planète qu'ils veulent visiter.

Le disque peut se déplacer plus vite que la lumière et plus encore que les ondes gravitationnelles, qui sont 17 fois plus rapides que la lumière. C'est pour cela que l'échelle de temps est dite « négative » car elle est égale à zéro dans notre temps mécanique, mais dans la centrale de navigation, le temps biologique interne des occupants continue d'être le même.

Mais au-delà de 300 000 kilomètres par seconde, la vitesse et l'énergie n'ont pas le même sens. Lorsque le disque atteint une vitesse supérieure à la vitesse dite absolue, il perd cette vitesse lorsqu'il l'atteint pour une énergie qui pourrait devenir la même absolue. Mais son passage au temps négatif est comparable au saut d'un électron qui passe instantanément d'une orbite à une autre lorsqu'il change de potentiel d'énergie, l’énergie de la vitesse atteinte est convertie en saut dans l’anti-temps et la vitesse dans la zone d’anti-temps est alors nulle.

Stabilisé à nouveau en un point de l'espace-temps qu'il n'occupait pas auparavant, il n'a plus qu'à effectuer la même manœuvre de propulsion si la distance à parcourir le nécessite. Ce bref exposé ne suffit pas à faire entrer le lecteur dans le détail de la technologie des disques volants. Il s'agit seulement d'attirer l'attention sur le fait que les vaisseaux de l'espace n'utilisent aucun moteur au sens propre du terme, c'est-à-dire aucun moyen d'opposition destiné à se propulser par réaction au milieu.

Ci-joint une copie des diagrammes originaux tirés du carnet personnel de Mn. Y dans son carnet personnel :

Coupe d’une vaïdorge de Bâavi
Coupe d’une vaïdorge de Bâavi

La sphère centrale est le poste de navigation ; il comporte deux sas de sortie. L’arc de débordement de la sphère sur le profil du disque forme les chambres des amarres flottantes (six en tout).  Les deux cercles moyens de chaque côté de la sphère sont les lentilles d’appropriation gravifique, au nombre de 12 sur chaque face du disque. Dans leur centre sont les anneaux- tubes de déplacement et d'orientation ; des masselottes se déplacent dans chaque anneau-tube qui baigne dans l’hélium liquide.

Les cercles des extrémités ou tores contiennent les poussières de projection.  Le bord d’attaque du disque est en céramique.  Un canon antimatière fait fonction de vanne-valve d’admission et de vanne mobile d'émission. Il supprime les risques de collision avec les météorites et les poussières interplanétaires.

Les six effets primaires du déplacement de l’anneau de titane dans le boyau d’appropriation gravifique du disque de la vaïdorge de Bâavi
Les six effets primaires du déplacement de l’anneau de titane dans le boyau d’appropriation gravifique du disque de la vaïdorge de Bâavi

Les Bâaviens disent ceci concernant leur action sur Terre : « Nous avons résolu de vous épargner le pire, d'influencer le comportement de certains dirigeants qui prétendent être vos maîtres. Notre influence s'exerce par l'intermédiaire de « ceux qui nous connaissent », qui sont capables d'orienter les dirigeants sans qu'ils s'en rendent compte.

Nos initiateurs ont une faculté qui leur permet de puiser dans l'immobilité de leur conscience connaissante, des éléments de forces positives plus puissantes que tous vos propres déterminismes réunis. »

Mn Y ajoute : « Ils s'inquiètent de l'utilisation anarchique et dangereuse que nous faisons de la fission atomique. Ils veulent nous ramener dans le droit chemin et n'hésiteraient probablement pas à nous détruire si nos expérimentations inconsidérées devenaient une menace interplanétaire. Activement mais discrètement, ils nous surveillent et maintiennent la communication avec leur planète d'origine, qui s'appelle BÂAVI. »

Les Bâals ont dit à Mn Y qu’un grand cataclysme terrestre est prévu à une date relativement proche et qu’ils désirent sauver une partie de l’humanité, peut-être pour repeupler la Terre ensuite.

Un avis de Mn Y : « Le sens de son évolution fait de la planète Terre une sorte de machine infernale appelée à un destin dramatique. Dans notre société, l’humain sera remplacé à brève échéance par une sorte de robot dont l’idéal et le comportement devront répondre aux critères artificiels édictés par des ordinateurs.

A tous les niveaux sociaux, du manœuvre à l’intellectuel, l’inquiétude envahit les esprits et se traduit par le bouillonnement anarchique, la violence, la confusion, la négation de l’art et du divin. Dans le vertige du désir naturel de survivre, notre civilisation recourt à des techniques où la machine prime sans cesse sur l’homme qui la crée.

Il n’est plus possible de croire que l’être pensant puisse conserver longtemps encore ni son droit au choix, ni même son droit à la vie, tant semble proche le cataclysme qui ruinera notre planète.

Ces réflexions n’ont pas le dessein de servir à l’élaboration d’une nouvelle philosophie où il faudrait détruire pour recommencer. Les solutions de violence sont toujours stériles. Seule dans l’immédiat s’impose une solution : la prise de conscience que quelque part, le droit aux choix existe toujours.

Il serait souhaitable que les hommes ayant cet état d’esprit se connaissent au plus tôt. »

Un avis de Robert Charroux qui a lu tous les documents donnés par Mn Y : « les extraterrestres de Bâavi demeurent dans l'ombre et n'apportent aucune aide aux Terriens parce qu'ils ne veulent pas que puissent revenir sur leur planète originelle les « exilés cosmiques, leurs épouses terrestres et leurs enfants hybrides ». Ce racisme est justifié par ce raisonnement de Mn Y. : Accepterions-nous que des extraterrestres viennent déverser sur la Terre le trop-plein de leurs naissances ? Il se pourrait, dans quelques millénaires, les Jaunes ayant adopté sur terre le système social de Bâavi, que leur retour sur la planète ancestrale soit autorisé.

[…]

Incontestablement, la civilisation de Bâavi s'oppose au système social de notre monde civilisé, sauf à celui d'un seul peuple : les Jaunes. »

Charroux parle des jaunes car les Bâaviens disent que ceux d’entre eux qui s’étaient installés sur Mars et avaoent créé une descendance avec la race martienne à l’aspect des Mongoles, ont ensuite quitté Mars pour aller sur Terre et se sont installés en Chine, la race jaune étant le mélange des bâaviens et martiens venus sur Terre. Voir plus loin dans l’article à ce sujet.

Il parle aussi d’eux car selon les textes de Bâavi qui sont diffusés prônent les valeurs d’un communisme à la chinoise, et l’idéalisation d’une société communiste dictatoriale.

Un autre commentaire fait sur Bâal contact (auteur inconnu, écrit en français dans la livre de Wendelle Stevens) , qui fait le lien avec les Ummites et le système communiste chinois prôné en modèle :

À l'instar de celles d'Ummo, les lettres dactylographiées par les extraterrestres de Baavi (Baal, dont le nom évoque la Mésopotamie, se réfèrent au communisme — Chinois de Mao Zédong en l'occurrence —, en tant que système politique, à la vitesse de la lumière variable dans les espaces interstellaires, à des paires d'Univers et à des disques volants lenticulaires à revêtement céramique, les Vaïdorjes, munies d'un habitacle central sphérique pivotant et de 'canons laser désintégrateurs de micro-météorites' que l'on retrouvera chez les Ummites. Plusieurs éléments de l'affaire Ummo étaient apparus dans Baal-contact qui la préfigura, en 1963: une planète habitée par un peuple unique, parlant une langue unique et dirigée par un gouvernement totalitaire socialiste. Était-ce une étude de marché, afin de jauger la réaction des correspondants? Ces lettres étaient envoyées gratuitement par un certain MNY qui contacta Robert Charroux, en échange de réponses ou de commentaires.

Vraisemblablement que la majorité des récipiendaires décrochait quand la chose sombrait dans la propagande Maoïste pure et dans l'histoire-fiction. Baal était le premier nom du Dieu de l'ancien testament, commun au Moyen-Orient et d'origine Phénicienne. Pourquoi les références à la Mésopotamie? Parce que Sumer était une civilisation avancée en Sciences, en Astronomie, en Mathématiques, en Gestion et en Administration, de type social-théocratique, c'est-à-dire que ses cités étaient chacune gouvernées par un prêtre-gestionnaire dans l'intérêt de leurs habitants, au nom du Dieu tutélaire qui en était le seul propriétaire légal.

Ils disposent d'une base secrète sur l'un des atolls des îles Maldives, dans l'océan Indien, au sud de l'Inde, probablement directement sur l'équateur. Leurs occupants ont des correspondants dans la plupart des nations terrestres. Ils les contactent à dates fixes et recueillent des informations qui peuvent être utiles aux Connaisseurs (dirigeants) de BÂAVI.

En France, les points de contact principaux seraient effectués dans les départements du Cher, de l'Indre, de la Creuse et de la Lozère.

Il y a 15 000 ans, au cours de leurs vols de reconnaissance, ils ont construit leur première base sur Terre à Bâalbek, dans l'actuel Liban, où subsistent encore les énormes dalles de pierre qui formaient l'aire d'atterrissage. La plus grande pierre taillée du monde, connue sous le nom de Hadjar el Gouble, a été laissée en place par les Bâaviens en témoignage de leur séjour sur Terre et de leur connaissance de la lévitation. »

Avant de venir sur notre planète, et avant l'établissement de la Charte sur Bâavi, les Fils du Soleil avaient déjà envoyé de nombreuses expéditions sur Mars, plus petite que la Terre et dont la gravité n'est que de deux tiers de celle de la Terre, ce qui favorisait l'atterrissage des vaisseaux spatiaux.

Description physique de Mars il y a longtemps : hostile mais de la vie existait dans certaines poches

Mars est une vaste plaine de grès rougeâtre riche en oxydes, avec d'innombrables canyons d'une largeur de 20 mètres à 10 km, la plupart d'entre eux étant orientés nord-sud. Au fond de ces canyons, quelques petits arbustes ne dépassant pas dix pieds (3 mètres) de haut se dressent de part et d'autre d'un étroit cours d'eau.

Sur les rives de ces cours d'eau pousse une mousse semblable à un lichen. Cette mousse a été providentielle pour les Martiens car elle a la propriété d'emmagasiner les rayons infrarouges pendant la journée et de les restituer pendant la nuit. Par conséquent, lorsque la température sur le plateau martien est de -50°C à -80°C, dans les canyons, à 5 mètres du sol, elle est de -20 °C, et près de la mousse, elle peut atteindre + 8°C.

L'oxygène de l'air est en grande partie fixé par le sol sous une pression atmosphérique qui ne représente qu'un dixième de celle de la Terre. Pendant la journée, il y a une différence de température de 20°C entre l'air et le sol, de sorte que l'on peut marcher pieds nus en plein soleil et, en même temps, se geler le nez et les oreilles.

Cela explique que seuls les fonds de certains canyons disposent de suffisamment d'oxygène pour entretenir une « monade » de petits Martiens à la vitalité robuste. Les mammifères de Mars sont des rongeurs à l'épaisse fourrure blanche, comparables à de gros lièvres. Ils se nourrissent de racines, de larves et d'oeufs de gros lézards qui vivent dans les roches basses des parois des canyons.

Dans les creux profonds, l'eau forme des marais dans lesquels prolifèrent de petits crustacés.

Les astronautes bâaviens fraternisèrent avec les habitants de Mars. Il est important de noter que leurs vaisseaux spatiaux n'étaient pas encore capables de dépasser la vitesse de la lumière. Le voyage de Bâavi à Mars durant à ce moment là plus de six années terrestres, il est facile de comprendre que les astronautes aient rapidement eu des relations sexuelles avec les petites Martiennes à la peau jaune appartenant à la « monade mongole ».

De plus, c'était une bonne occasion d'échapper aux règles sévères de Bâavi en fondant une lignée de métis avec des traits hérités des géants Fils du Soleil et de leurs petites épouses.

Il y a environ douze mille ans, les conditions de vie sur Mars se sont détériorées au point qu'il est devenu urgent d'évacuer les habitants. La Terre fut naturellement choisie comme nouvelle résidence. Cette émigration titanesque a nécessité trente ans de va-et-vient entre la planète rouge Mars et la planète bleue Terre.

C'est au Tibet, sur les hauts plateaux ressemblant à ceux de leur patrie, que les Mongols martiens choisirent de s'installer, et c'est là qu'ils procréèrent avec les Terriennes. Telle est l'origine de la souche extraterrestre chez tous les peuples jaunes de la Terre, plus précisément chez les ancêtres directs des Chinois, des Japonais, des Mois, des Coréens, mais aussi des Mayas d'Amérique du Sud, dont les ancêtres mongols ont migré par le détroit de Béring.

Les expériences amoureuses gratifiantes avec les femmes martiennes et terrestres ont progressivement changé les attitudes psychologiques des astronautes de Bâavi. Le système social de leur planète d'origine (en particulier l'élimination de l'amour passionnel au profit de l'amour planétaire) leur apparut enfin tel qu'il était réellement, stérile et monstrueux.

De retour sur Bâavi avec ces sentiments, ils ne tardèrent pas à se rebeller ouvertement contre « l'Ordre Immuable » des « Connaisseurs » et furent soutenus par un grand nombre d'idéalistes.

Il fut tacitement convenu entre les deux camps opposés que les rebelles et ceux qui avaient opté pour leur idéologie - tous des hommes - quitteraient Bâavi pour toujours. L'expatriation a eu lieu il y a dix mille ans et la guerre s'est étalée sur dix ans, car les émigrants, parmi lesquels se trouvaient de nombreux astronautes, professeurs d'université et éminents scientifiques, étaient au nombre de 827 600.

Ce sont ces extraterrestres qui sont devenus les ancêtres supérieurs des Terriens.

Sources :
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Lien 2
Lien 3

Eugène Fussen militaire de carrière dans l’aviation et intéressé par l’ufologie, a reçu des documents chez lui (ils étaient numérotés) qui se disaient provenir des Bâaviens, dans les années 1970, mais il n’y croyait pas du tout.

Aussi Stephane V., président d’une importante fédération Ufologique en Belgique ( U.I.U), qui se disait contacté, reçut des documents décrivant les vaïdorges. A priori ces documents apparurent dans une cave cadenassée lui appartenant, où de grands panneaux avec des schémas de vaïdorges ainsi que des cassettes audios étaient là (selon une information de Thierry Comete). Ces cassettes audio contenaient une voix métallique monotone, expliquant dans des termes techniques les informations incompréhensibles pour Stéphane V. sur les vaïdorges, pour expliquer les schémas, qu’il transmit à l’armée de l’air pour analyse. Un ufologue Belge du nom de Roger Lorthioir, a été mis en contact avec les documents de Bâavi, car en tant que président de la Fédération Belge d’Ufologie le groupe Bâal-contrat de Belgique qui était très développé l’a contacté à ce sujet.

Thierry Comete (écrivant aussi sous le nom de plume de Thierry Rhodan), enquêteur en ufologie en France, a pu lire des documents et entendre certaines cassettes audio. Il fait état de tout cela dans un rapport de Beta Tauri (revue française d’ufologie), le n°17 de l’année 2007.

Le procédé d’envoi de documents à divers destinataires avec des documents techniques variés, des informations sur leur philosophie, etc fait penser au procédé des extraterrestres de Ummo. D’ailleurs l’affaire Ummo a été accusée par plusieurs d’être un plagiat de l’affaire Bâavi, qui aurait servi de brouillon ; dans le procédé et la forme (envoi de documents par la poste de cassettes audios expliquant des choses techniques avec du vocabulaire et des notions techniques complexes dépassant la compréhension, une langue donnée avec son écriture, etc). Il y a aussi le fait qu’ils avaient annoncé, relayé par Robert Charroux dans ses livres, qu’ils se feraient connaître officiellement sous 5 ans, et que peu de temps après sont apparus les Ummites.

Les documents du groupe Bâal-contact étaient diffusés de manière secrète. Les publications « DM » étaient numérotées et constituaient une sorte de puzzle géant. Eugène F, et Roger Lothioir qui avaient collectés plusieurs de ces documents les avaient gardés pour eux, et avec les décès et autres évènements de la vie comme les désintérêts des individus concernés avec les décennies passées, ces documents disparaissent. L’affaire Bâavi va disparaître lentement dans l’oubli, car même si elle a beaucoup ressemble à l’affaire Ummo, elle n’a pas été exposée publiquement pour garder les informations accessibles à tous.

Tout l’entourage d’une famille Belge célèbre pour recebvoir régulièrement le gratin de l’ufologie belge chez eux recevait aussi des documents de Bâavi.

C'est Roger Lorthioir qui a remarqué cela, à l'étude comparative de divers cas Ufologiques, il a remarqué des caractères Egyptiens, quelques caractères similaires Maya-Quiché, quelques Runes, mais surtout des écritures dites « protosinaïtiques », tout cela laisse présager un Alphabet Ancestral et Primitif, dont des cas dit « extraterrestres » sont similaires.

De fait, divers ufologues comme le germanophone Michaël Hesemann et le belge Roger Lorthioir ont découvert que de nombreuses écritures dites Extraterrestres sont en définitive fort semblables à nos écritures et Alphabets anciens »

« Je viens de faire une recherche sur ce sujet et je suis tombé sur votre blog. Mon père, qui est décédé depuis janvier de cette année, a fait partie de ce groupe. J’ai connu Mr Roy qui habitait au Vésinet, j’ai même participé à leur réunion étant petit. (J’ai maintenant 47ans.) Je connais bien ce groupe fondé sur le Bâal Contrat. Il a été malheureusement dissout suite à une déviance qui ne correspondait pas à la pensée des Bâal. En fait, cela s’est terminé en orgie suite à une volonté d’un groupe belge d’essayer d’atteindre des degrés d’évolution spirituelle par le moyen du sexe. En résumé, le tantrisme.

Je me demande aujourd’hui ce qu’il en est. Et votre revue date de 2011, ce qui m’interpelle et m’amène à prendre contact avec vous car le groupe franco-belge a disparu depuis plusieurs décennies. Je sais qu’il y avait aussi un groupe en Amérique. Ils avaient proposé des stages de survie à l’époque.

Mon père a toujours cru à cette histoire, et, ce qui me fait croire en partie à sa réalité, c’est la découverte récente d’une planète par la NASA côté Alpha du Centaure. »

Un autre email reçu par Alain Moreau d’une personne de la famille de gestionnaire du groupe Bâal contrat de Belgique :

« Bonjour, je suis le neveu de Jean-Marie Descamps qui en 1970 vivait à Obigies, entité de Tournai, et s’occupait de gérer le groupe belge du Baal-Contrat. Le problème avec ce genre de société et d’enseignement, c’est qu’ils n’assurent pas la longévité des adhérents ! De plus, les tenants du Baal-Contrat n’ont pas cherché à fabriquer une Vaïdorge, et encore moins à voyager dans le temps négatif, chose dont je n’ai pas entendu parler à l’époque en 1970 (je suis né en 1961). Jean Roy restait introuvable ou volontairement secret, Emen Ys est mort rapidement, les Baals ne se présentaient jamais et n’aidaient personne. Tout cela ne servait qu’à se croire protégés et intelligents, ne servait directement à rien ; mais cela a énormément contribué à ma fidélité pour le Nouvel Age, à explorer le monde de la physique avec mes propres méthodes, même si toute cette histoire me semble triviale. Une chose m’intrigue cependant : des photos prises au sol de Mars montrent des lézards et cette végétation décrite plus haut, le long des rivières. Mais ceci est purement anecdotique ; les adhérents du groupe belge sont très âgés, et il faudrait toute la science des Baals pour les remettre en état, ce qui n’arrivera évidemment pas. Fin de l’histoire. Rien à rajouter. Bonjour chez vous ! En espérant que ce que j’écris ici serve un jour quelque chose… »

« Bonjour, mes parents qui ont connu Jean-Marie Descamps, cité plus haut ont partagé les réunions concernant la planète Baavi et je suis toujours l’enseignement Dm du baal contrat qui est passionnant, immense sagesse de leurs écrits avec l’essai dans un groupe il y a 30 ans de reproduire sur terre cette spiritualité bien malheureusement non accessible à cette période en tout cas pour certains égos humains du groupe trop prononcés…Jean Roy qui transmettait tout ceci de son demi-frère Emen Ys qui était contrairement à ce qui a été dit toujours présent bénévolement à chaque réunion du groupe, mes parents ainsi que moi même sont restés proches de lui jusqu’à son décès. C’était un homme formidable et humble qui n’a jamais tiré aucun profit de tout ceci et qui a toujours vécu très modestement. Aujourd’hui la planète Baavi vient d’être découverte sur Alpha du Centaure, mes parents en étaient informés depuis 50 ans ! cette confirmation est formidable car elle présume d’une avancée extraordinaire pour l’avenir permettant je l’espère de transcender cette humanité qui en a tant besoin. Cordialement. 

Je rajoute et confirme également que toutes les informations indiquées et transmises sur les documents Dm par Jean Roy dans le cadre du groupe Baal Contrat sont rigoureusement identiques à celles transmises par les scientifiques aujourd’hui sur la planète Alpha Centauri B et que pour ma part il n’y a plus aucun lieu de douter de la véracité du Ball Contrat et de Baavi. Bonne journée !»

« Je suis fille d’une participante canadienne. Le groupe canadien a commencé son déclin avec l’expérience d’Albiez-le-Jeune ou j’ai bien failli y perdre ma mère. D’aucuns diraient que cette soi-disant philosophie spirituelle dictée par L’Ordre Immuable (les savants désincarnés de Bâavi) était très indigeste. J’ai souvenance que la compréhension des participants canadiens se limitait surtout à réciter comme article de foi, les aphorismes et axiomes des entretiens et magazines DM. Pressés par mes questionnements, la qualité de leurs réponses m’ont bien fait comprendre que peu comprenaient réellement les articles DM. Le Bâal-Contrat aura détruit mon enfance dans les conflits idéologiques entre mon père et ma mère. J’aurai vécu dans un climat de peur, avec l’idée fausse d’être supérieure car inclu dans ce 10% d’humanité qui avaient un substratum d’immanence (âme) et e faire partie d’une élite qui quittera la Terre. La belle affaire! Le Bâal-Contrat n’était que fumisterie qui m’aura fait de moi une personne qui ne croit pas et qui a une extrême méfiance des influenceurs/gurus et autre hurluberlus à l’ego surdimensionné. A la mort de ma mère, nous avons fait don des Entretiens et revues DM, au groupe Info-Secte de Montréal. Des philosophes de l’UdeM s’y sont penchés ….et y ont décomptés plus de 77 définitions circulaires. De quoi perdre la raison… Ma mère y aura cru jusqu’à sa mort, incapable d’admettre que son adhésion à cette folie collective aura consumé sa vie et détruit la vie de notre famille. »

Commentaire personnel :

Ces éléments sont diffusés par Wendelle Stevens de façon conjointe au contact Bâavi de Proxima du Centaure (en fait Alpha du Centaure comme on l’a suggéré auparavant dans l’article).

Ici, c’est un contact d’un humain appelé Horst Fenner avec des êtres qui disent habiter sur une planète en orbite de Proxima du Centaure. Et Billy Meier a présenté le dessin et les noms de ces êtres à Semjase lors de son contact suivant avec elle (c’était en plein période de pointe des contacts de Billy Meier avec Semjase). Et là, surprise de Semjase qui dit que ce sont des amis à elle, et elle était étonnée que Billy Meier connaisse leurs noms et ait leur dessin précis en lui demandant d’où cela provient. En fait Billy Meier avait reçu tout ceci dans un courrier provenant du contacté qui avait rencontré ces habitants de Proxima du Centaure. Ainsi on voit que ces gens se connaissent.

Toutefois rien ne montre que cela soit Bâavi font il est question. Vous allez dire « quoi, vous rigolez, ils viennent du même endroit ? ». Selon des enquêtes ufologiques auprès de contactés, il y a 3 planètes différentes en orbite autour d’étoiles du Centaure qui possèdent chacune une civilisation distincte (race distincte aussi très possible, même si c’est la même race qui s’est installée sur 3 planètes, il y a ensuite des brassages génétiques avec d’autres civilisations souvent, qui changent complètement les races initialement d’une origine identique).

On pourrait aussi parler de Elisabeth Klarer, une contactée notoire, qui a écrit « Beyond the light barrier » en 1980 où elle parle de ce contact. Elle a rencontré Akon, un extraterrestre de la planète Meton orbitant l’étoile Proxima du Centaure (qui lui indiquera que le nom de la planète est fictif, donné pour les humains, car ils l’appellent autrement). Elle sera amenée vivre plusieurs années sur Meton et aura un enfant avec Akon. Elle reviendra sur Terre et repartira sur Meton de nouveau avant de revenir sur Terre enfin. Il est clair que Meton ne peut pas être Bâavi si on lit la description.

Donc même si ce qui suit démontre un cas de contact avec Proxima du Centaure, cela ne démontre pas un cas de contact avec Bâavi. J’ajouterai que même si ce qui suit est intéressant, ce n’est certainement pas lié à Bâavi, car les êtres décrits sont de taille normale alors que dans le cas de Stéphan Ritchen, il décrit les Bâaviens comme des géants, donc très grands. De plus le vaisseau mis en dessin ne correspond pas aux vaïdorges de Bâavi.

Ce qui est remarquable est que ces êtres de Proxima du Centaure citent le nom des « pléiadiens » et de » l’univers DAL », ils citent Semjase et Quetzal, les contacts de Billy Meier et parlent de Billy Meier en citant son nom. A l’époque le cas Meier n’était pas du tout connu au niveau international, seulement localement en Suisse, aucun livre n’avait été écrit à son sujet encore, le contact avec Semjase des pléiades existait à peine depuis 1 an. Et c’est par l’envoi du courrier du témoignage à des groupes d’ufologie allemands qui étaient renseignés que finalement le courrier a pu être retransmis au groupe de Billy Meier qui l’a eu lui-même et qu’il a alors parlé de ces extraterrestres à Samejase, qui a été étonnée car elle les connaissait bien !

Trinidad, le 2 janvier 1976

Chers amis !

Au cours de mon voyage autour du monde, j'ai atterri à Trinidad. Vous trouverez le nid au bord de la rivière MARMORE dans les Llanos de Mojos en BOLIVIE. Je suis ici depuis trois jours et j'ai déjà vu beaucoup de choses intéressantes. J'ai déjà écrit de nombreuses pages dactylographiées remplies de mes impressions et de mes expériences.

Mais hier, tôt le matin, j'ai vécu une expérience qui m'a presque fait perdre pied. J'ai d'abord cru qu'il s'agissait d'hallucinations ou d'une frénésie tropicale, avant de me convaincre que j'étais tout à fait normal. Peut-être ressentez-vous la même chose en lisant ces lignes. Pourtant, vous me connaissez bien et savez donc que je ne suis pas un rêveur, il vous suffit donc de me croire, même si cela vous sera sûrement difficile.

Tout est si incroyable et si fou qu'aujourd'hui encore, je cherche des failles dans ma santé mentale et je pense toujours que je dois rêver. Pourtant, tout s'est déroulé exactement comme je vous l'écris maintenant, encore sous l'impression de mon expérience d'hier, qui a été pour moi tout simplement énorme, je ne peux pas l'exprimer d'une autre manière. Ne me prenez pas pour un fou ou un malade, car je ne suis ni l'un ni l'autre. Je suis tout aussi normal que vous et, comme vous le savez, je ne suis pas non plus attaché aux fantasmes. Laissez-moi vous raconter mon expérience d'hier :

« Il était à peine 5 heures du matin lorsque j'ai quitté mon lit et que je me suis préparée, car ce jour-là, je devais me rendre à pied dans les environs plus éloignés de Trinidad. Environ 10 minutes après m'être levé, j'ai observé dans le ciel du matin quelque chose que je n'arrivais pas à croire. J'avais en effet déjà entendu parler de soucoupes volantes et lu des articles à ce sujet, mais je n'y avais jamais pensé ni cru.

J'ai toujours considéré ces affirmations comme des fantaisies. Mais voilà qu'une soucoupe volante de ce type a survolé la Trinité de façon très silencieuse et sans aucun bruit. Elle est descendue progressivement et a finalement disparu quelque part derrière un buisson. Je me suis dit que je devais rêver et je me suis frotté les yeux, car ce que je venais de voir ne pouvait tout simplement pas être vrai. De mon point de vue, la soucoupe me semblait avoir la forme de deux grands disques demi-ronds placés l'un sur l'autre, comme un disque.

Je me suis d'abord assis et j'ai réfléchi. Peut-être ferais-je mieux de retourner à la civilisation et de me faire examiner par un médecin. Mais j'en suis venu à la conclusion que je devais d'abord étudier la question avant de prendre une telle décision. Je pris donc ma boussole et déterminai la direction exacte où je pensais avoir vu la soucoupe volante s'écraser. J'ai ensuite noué mon baluchon et je me suis mis en marche, continuant dans la direction exacte que j'avais déterminée à l'aide de ma boussole.

C'était précisément l'est. Avec beaucoup d'efforts et de sueur, je me suis frayé un chemin de plus en plus loin à travers le terrain et les buissons qui poussaient à vue d'œil. Il me semblait que je n'atteindrais jamais mon but et j'ai bientôt voulu abandonner et faire demi-tour. Cela faisait déjà plus de trois heures que j'étais parti et je n'avais toujours rien trouvé. Je devais donc être victime d'une hallucination, car j'aurais dû tomber sur la soucoupe volante depuis longtemps, selon mes calculs, si elle avait réellement existé.

Bien sûr, j'ai continué à me frayer un chemin à travers les buissons gênants, en respirant fort et en étant trempé de sueur, mais j'étais déjà inspiré par l'idée de faire demi-tour. Pourtant, je n'ai pas commencé à revenir sur mes pas, car quelque chose me poussait irrémédiablement vers l'avant. C'était comme si j'étais passivement attiré vers l'avant, comme par un aimant, contre lequel je ne pouvais pas résister.

Une demi-heure s'est peut-être encore écoulée ainsi, mais j'ai cru que j'étais en train de devenir fou, car à travers le buisson, j'ai soudain vu quelque chose de très grand, à l'éclat métallique. Je suis d'abord resté figé et incrédule, mais je me suis repris et j'ai lutté jusqu'au bout.

Une fois de plus, j'ai cru rêver, car dans une grande clairière planait un grand disque de métal à seulement un mètre du sol, d'un diamètre de 14 ou 15 mètres.

Ce qui était incroyable, c'est qu'on n'entendait aucun bruit ni aucun autre son, et pourtant ce disque planait au-dessus du sol, simplement libre dans l'air. Comme ancré sur place, je suis resté debout à une vingtaine de mètres et j'ai regardé la soucoupe volante avec incrédulité et incompréhension. Je n'étais plus capable de penser et je ne pouvais plus faire un pas. Je suis habitué à beaucoup de choses et j'ai l'impression d'être dur à cuire après tous mes voyages, mais ce que j'ai vu là m'a tout simplement laissé de marbre. Cela ne pouvait et ne devait pas être vrai, car une telle chose ne pouvait tout simplement pas exister.

 Je ne sais pas combien de temps je suis restée là sans bouger. Je sais seulement que quelque chose m'a soudain touché le bras et que je me suis retourné sans comprendre, comme dans un rêve. Ce que j'ai vu m'a encore plus glacé, car à côté de moi se tenaient deux hommes en combinaison de plongée. Je me souviens encore que je m'interrogeais et que je me demandais pourquoi ces deux-là se promenaient en pleine brousse avec des combinaisons de plongée.

Ce n'est qu'à ce moment-là que j'ai compris et que j'ai remarqué de nombreuses différences. Les combinaisons étaient visiblement légères et moins encombrantes que les nombreuses combinaisons de plongée que je connais. La couleur argentée ne correspondait pas non plus aux combinaisons que je connaissais. Les deux hommes blonds ne portaient pas non plus de casque, mais des dispositifs étranges de tailles et de formes différentes sur leurs combinaisons. Toujours rigide, j'étais incapable de prononcer un mot, bien que les hommes, qui appartenaient manifestement à la soucoupe volante, n'aient pas eu l'air méchant et aient même eu un rire amical.

Soudain, l'un d'eux s'est mis à parler, mais je n'ai rien compris. Puis le deuxième a également fait une tentative, mais avec le même résultat, je n'ai pas compris un mot. Leur langage me paraissait également totalement étrange, mais avec un son mélodique et sympathique qui me détendait quelque peu et semblait me libérer de ma rigidité.

Les deux hommes de taille à peu près égale à la mienne, c'est-à-dire 174 centimètres (5,71 pieds), me prirent par les bras et me conduisirent vers leur soucoupe volante, ce que je laissai faire passivement. À environ 5 mètres devant la soucoupe, ils avaient érigé des choses étranges, sous lesquelles se trouvaient également des chaises ou des fauteuils un peu étranges, dans lesquels nous nous sommes assis, alors que je n'étais toujours pas capable d'émettre le moindre son. Avec un sourire amical, l'un des hommes me parla à nouveau, mais je ne comprenais toujours rien. Son discours a cependant eu pour effet de faire disparaître la rigidité qui m'avait affectée, et je me suis sentie très calme. Soudain, j'ai pu à nouveau parler. Stupéfait, j'ai posé des questions en espagnol sur cet incident qui m'était incompréhensible. Mais il était évident que je n'étais pas compris.

J'ai alors fait une tentative en anglais, mais avec le même résultat. La même chose s'est produite avec ma langue maternelle, l'allemand. Nous ne pouvions tout simplement pas communiquer. L'un des hommes m'a alors parlé à nouveau dans sa langue mélodieuse et agréable, tout en saisissant sa ceinture et en manipulant un dispositif qui y était accroché et qui n'était certainement pas plus grand qu'un paquet de cigarettes. Pendant qu'il parlait, sa langue a soudainement changé et tout aussi soudainement j'ai entendu des mots espagnols, puis français et soudainement allemands. Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais soudain joyeusement excitée, ce que les hommes ont dû remarquer, car la langue allemande est restée, et ce n'est que maintenant que j'ai remarqué que les hommes me parlaient dans ma langue maternelle. Je me souviens encore très bien de ce qu'ils m'ont dit pour la première fois :

« Nous pouvons maintenant communiquer grâce à notre convertisseur de langue. Soyez salués et n'ayez pas peur. Nous sommes ici en paix et nous partirons en paix. » Ce sont les premiers mots que j'ai pu comprendre. Et je n'oublierai jamais leur formulation exacte. Cela m'a tellement impressionné que tout s'est profondément ancré dans ma mémoire, vous pouvez me croire sincèrement.

Après que nous ayons pu communiquer, on m'a demandé si j'étais capable de tout retenir dans ma mémoire, si ces deux hommes devaient m'expliquer différentes choses. J'ai répondu par l'affirmative et j'ai expliqué que j'écrirais tout en même temps à la main, si c'était permis, parce que j'étais un voyageur du monde qui gagnait sa vie en rédigeant des rapports sur ses expériences. Ce serait en fait très bien, m'a-t-on dit, mais ils voulaient savoir ce qu'était la sténographie.

Je me suis en effet interrogé sur cette question, mais j'y ai répondu correctement, ce dont ils m'ont remercié. J'ai donc cherché mon bloc de sténographie et un crayon, et j'ai commencé à écrire mot à mot tout ce dont nous avions parlé entre nous. Je peux donc vous donner une copie fidèle de notre conversation, qui vous étonnera sûrement autant que moi et vous empêchera de croire. Mais laissez-moi vous raconter tout cela en série, comme je l'ai écrit :

- Je suis Kohun, dit l'un des deux hommes.

- Je m'appelle Athar, dit l'autre en se présentant.

- Je m'appelle Horst Fenner, expliquai-je aux deux hommes.

- Habitez-vous ici, dans ce pays sauvage ? demanda Athar.

- Non, je ne suis qu'un touriste, car je viens d'Allemagne.

- Qu'est-ce qu'un touriste ? demanda Athar.

- Je réponds que c'est un visiteur.

- Alors Athar et moi sommes des touristes, dit Kohun.

- Comment dois-je comprendre cela ? demandai-je.

Kohun répondit : Nous ne sommes pas de ce monde, que vous appelez la terre.

- Et comment suis-je censé comprendre cela ? demandai-je, stupéfait.

- Nous venons des étoiles, répondit Kohun, et nous ne sommes pas des êtres de ce monde.

Je suppose que tu veux me faire marcher, n'est-ce pas ? demandai-je. Je croyais vraiment que ce qu'ils disaient était une blague.

Non, nous venons de l'étoile Proxima Centauri, comme vous appelez ce groupe d'étoiles, répondit Kohun. C'est le système solaire le plus proche de ce monde, à environ 50 000 milliards de kilomètres (5,29 années-lumière) d'ici, selon votre méthode de calcul.

Ce n'est pas possible. Après tout, c'est une utopie, me suis-je dit.

(Il est plus facile pour moi de mettre le nom de chaque intervenant devant chaque phrase. Je l'écrirai donc ainsi 🙂

Kohun :

Nous ne plaisantons pas.

Horst :

Alors vous devez être des humains venus des étoiles ?

Kohun :

C'est ce que nous sommes, si vous voulez nous appeler ainsi.

Horst :

Je ne peux pas le croire.

Kohun : C'est la vérité :

C'est la vérité.

Horst : C'est la vérité :

C'est incroyable. Que fais-tu donc ici ?

Kohun :

Nous venons souvent sur terre. Nous suivons les événements ici et observons le développement des hommes. Malheureusement, ils sont très en retard dans leur développement à cause des égarements religieux et des intrigues politiques. Les habitants de la Terre pourraient causer de grands dégâts à cause de leur développement indésirable et de leur lutte pour le pouvoir, ce qui pourrait également affecter des systèmes stellaires plus éloignés. C'est la raison pour laquelle nous venons sur Terre et observons afin de pouvoir empêcher le pire de se produire.

Horst :

C'est absolument incroyable...

Athar :

Nous vous disons la vérité.

Horst :

Si vous dites la vérité, que pourriez-vous faire, tous les deux, si quelque chose devait vraiment mal tourner ?

Kahun :

Ne vous inquiétez pas, nous ne sommes pas seuls. A part nous, les Centauriens, il y a plusieurs autres races spatiales sur terre, mais elles viennent de systèmes beaucoup plus éloignés que le nôtre.

Horst :

Tout cela me semble bien utopique. Mais que veux-tu faire contre le développement de la Terre ? Après tout, on ne peut pas tout changer par la force. Cela conduirait à une guerre mondiale. Et d'où viennent les autres peuples des étoiles ?

Kohun :

Mais je vous ai expliqué que nous vous disons la vérité. Ce n'est donc pas une utopie. Nous ne voulons pas non plus agir contre la Terre. Nous n'en avons pas le droit et surtout pas par la force, qui nous est interdite. Vous n'avez donc pas à craindre une guerre de notre part. Nous avons de nombreux amis sur terre, avec lesquels nous sommes en contact, et qui travaillent de manière pacifique au bien-être de l'humanité selon nos instructions. Ils font connaître notre existence et notre mission. Vous appelez ces hommes des personnes de contact. Ils travaillent pour nous et sont donc traités avec hostilité. Ils sont accusés de mensonge et de fraude, ce contre quoi ils ne peuvent malheureusement pas se défendre.

Mais il arrive aussi, malheureusement, que parmi ces bons contactés se mêlent des éléments qui ne pratiquent que la fraude et le canular, ce qui compromet la tâche. En particulier, la plus importante de toutes les personnes de contact est exposée à la plus grande hostilité et sa vie est même menacée. Il s'agit d'un homme de grande valeur qui a été éduqué en tant que prophète du Nouvel Âge. Sa tâche est la plus importante de toutes, car en tant que prophète des hommes sur terre, il doit à nouveau apporter les enseignements authentiques de la vérité. Ce sont les enseignements que vous appelez les enseignements de l'esprit. Ces enseignements lui sont transmis depuis le plus haut de tous les royaumes spirituels, en relation avec les courses spatiales de la constellation de la Lyre, les étoiles des Pléiades et l'univers DAL.

Mais il y a aussi d'autres races spatiales qui résident sur terre ou qui y viennent régulièrement. Mais les tâches les plus grandes et les plus importantes sont entièrement accomplies par les races spatiales qui viennent des Pléiades, parce qu'elles sont les lointains descendants des ancêtres des humains de la Terre. C'est pourquoi la grande tâche relève de leur domaine de compétence. Ces races spatiales ont trois stations différentes sur la terre sous la direction d'un commandant du nom de QUETZAL, dont la représentante est une femme âgée d'environ 350 ans. Elle s'appelle SEMJASE et est la fille du plus puissant commandant de la flotte spatiale pléiadienne. Le contact terrestre de la race pléiadienne est un homme d'environ 40 ans qui vit dans un pays que vous appelez la Suisse. Son nom nous est connu sous le nom de BILLY.

Au total, six races spatiales différentes sont stationnées sur la Terre et sur les astres voisins de Vénus et de Mars, mais où elles sont très peu nombreuses, sur de très petites stations. Le nombre de ces résidents sur Vénus et Mars ne s'élève qu'à une cinquantaine, car ces planètes sont absolument inhabitables et extrêmement hostiles à la vie, comme tous les autres corps planétaires de ce système solaire, dont seule la Terre est habitable et porteuse de vie sous forme matérielle et spirituelle, comme vous le savez. Un fait qui devrait être bientôt confirmé par votre science, malgré les affirmations mensongères de canulars et d'escrocs qui prétendent avoir eu, ou avoir encore aujourd'hui, des contacts avec nous.

Horst :

C'est incroyable, est-ce bien vrai ?

Athar :

Nous disons la vérité.

Horst : Je n'arrive pas à y croire :

Je n'arrive pas à y croire. Tout cela ressemble à une horreur utopique.

Kohun :

Nos informations correspondent pourtant à la vérité.

Horst : Je suppose que je dois y croire, que je le veuille ou non :

Je suppose que je dois y croire, que je le veuille ou non. Votre soucoupe volante me prouve à elle seule que vous avez raison.

Athar :

Nous appelons nos appareils de vol des vaisseaux à rayons.

Horst :

Puis-je savoir ce qu'il en est de la propulsion ?

Kohun :

Nous ne sommes pas autorisés à donner des informations à ce sujet.

Horst :

C'est dommage.

Athar :

Cela nous aiderait beaucoup si vous pouviez nous offrir votre aide.

Horst :

Volontiers, que puis-je faire pour vous ?

Athar :

Nous aimerions vous confier une tâche en rapport avec notre existence.

Horst :

Dois-je écrire quelque chose sur vous ?

Kohun :

Ce serait très utile pour notre tâche.

Horst : Je ne peux pas faire cela :

Je ne peux pas faire ça. Je ne suis pas fou. Personne ne me croirait, et on me déclarerait fou. Je ne peux pas accepter cela.

Kohun :

Comme vous le voulez, nos efforts ont été vains. Vous devez nous quitter maintenant.

Horst :

Attendez, ce n'est pas ce que je voulais dire. Je pourrais peut-être essayer, si je restais anonyme.

Athar :

Comment devons-nous comprendre cela ?

Horst :

Simplement que je ne révèle pas mon nom.

Kohun :

Cela ne sert pas la cause.

Horst :

Que dois-je faire alors ?

Kohun :

Tu devrais te présenter publiquement comme notre personne de contact.

Horst : Je ne peux pas faire cela :

Je ne peux pas faire ça. Je ne suis pas aussi fou.

Athar :

Alors notre discussion est terminée.

Horst :

C'est vraiment dommage, mais vous devez comprendre ma situation.

Kohun :

Si c'est votre décision finale, alors notre conversation est terminée

Horst :

Je suppose que oui, mais je ne peux pas le faire. Pourrais-tu au moins répondre à une autre question ?

Kohun :

Si elle ne concerne pas nos appareils et équipements de vol, c'est bon.

Horst :

Tu viens de parler de personnes qui se disent contactées mais qui ne le sont pas vraiment. Car j'ai lu un jour plusieurs noms que j'ai gardés en mémoire. L'un d'eux s'appelait Adami, ou quelque chose comme ça, un autre Genovesa et un autre Michalek. Pourriez-vous me parler de ces noms ?

Athar :

Pourquoi cela t'intéresse-t-il, alors qu'autrement tu ne ferais que t'enfermer dans le silence ?

Horst :

Ce n'est qu'une question. D'un autre côté, tu m'as convaincu que tu devais vraiment venir des étoiles, j'aimerais apprendre et me former. Mais je ne peux pas me rendre public pour répondre à ton souhait. D'une part, personne ne croirait un mot de ce que je dis et d'autre part, je ne suis tout simplement pas la personne appropriée.

Kohun :

Vous avez peut-être raison. Mais tu as aussi le droit de connaître la vérité. Les noms que vous avez mentionnés sont bien connus de nous, mais vous les avez mal prononcés : Le premier s'appelle ADAMSKI, le deuxième Genovese et le troisième Michalek. Ce ne sont pas des noms de personnes de contact réelles, mais des noms d'escrocs malveillants. Ni l'un ni l'autre n'a jamais eu de contact avec nous ou l'une des autres races spatiales.

À notre connaissance, ils n'ont même jamais aperçu l'un de nos vaisseaux. Ces trois-là ne sont pas les seuls fraudeurs de ce genre. Ils sont très nombreux. Si tu entends plus tard des noms comme Zilar, Menger, Miller et Nelson ou Castillo, Siracusa... tu peux être sûr qu'il s'agit bien de noms de fraudeurs.

Horst :

Wow, il y en a tant alors ?

Athar :

Il y en a encore beaucoup d'autres, mais ils sont assez peu nombreux par rapport aux véritables personnes de contact. N'envisagerais-tu pas encore de travailler pour notre tâche ?

Horst :

C'est tentant, mais je ne peux vraiment pas le faire. Peut-être plus tard, j'aimerais d'abord parler de ces choses en profondeur avec quelqu'un qui connaît toute l'affaire et qui est bien informé. Peux-tu me donner le nom de cette personne ?

Kohun :

Adressez-vous directement à l'homme le plus important de tous. Mais tu ne pourras pas t'acquitter de ta tâche plus tard, car tu dois te décider maintenant. Soit tu sais déjà de quoi tu peux te charger et quel est ton devoir, soit nous devrons nous passer de ton aide. Nous devons être stricts sur ce point.

Horst :

Alors je dois passer mon tour, car je ne peux pas prendre de décision maintenant. A mauvais escient. Je réfléchirai à tout et j'essaierai peut-être au moins de publier cette expérience avec vous.

Athar :

Ce serait un plaisir pour nous et ce serait certainement utile. Mais vous devez vraiment partir maintenant car nous avons d'autres tâches à accomplir. Il est dommage que nous t'ayons guidé ici en vain. Partez en paix et n'ayez pas peur.

Chers amis, j'ai pu écrire toute la conversation mot à mot jusqu'à ce point, et à la fin, tout ne semblait plus si fantastique. Après quelques mots amicaux, nous nous sommes quittés et j'ai marché pendant des heures pour retourner à Trinidad, où je suis arrivé peu avant la tombée de la nuit. Je suis resté éveillé toute la nuit et j'ai réfléchi à tout ce qui s'était passé. Je me suis rendu compte que j'avais agi de manière plutôt stupide, car j'aurais peut-être pu apprendre beaucoup plus de choses de Kohun et d'Athar grâce à une promesse feinte.

Mais j'étais tellement troublé hier par cette expérience que je n'y ai même pas pensé. Tout ce à quoi j'ai pensé, c'est que je risquais d'être taxé de fou si je publiais quelque chose. Je ne sais vraiment pas ce que je dois penser de tout cela ou si je suis en train de rêver.

C'est pourquoi je vous écris et j'attends avec impatience une réponse de votre part. J'ai peut-être bien fait ou mal fait. Je vous prie d'en parler à mon père et au pasteur, de leur demander leur avis et de me faire part de leurs réponses dans les meilleurs délais. Demandez également au pasteur si la conversation que j'ai enregistrée doit être rendue publique ou non.

S'il est d'avis que je dois le faire, je vous prie de le faire. Mais je voudrais alors demander que ni mon adresse ni la vôtre ne soient mentionnées, car je ne veux pas être harcelé après mon retour chez moi. Si vous ne mentionnez que votre adresse, ils tomberont inévitablement sur moi, ce que je voudrais absolument éviter, ce que vous pouvez certainement comprendre. Donc, si vous la publiez, pas de visites supplémentaires et pas de précipitation. J'attends avec impatience votre réponse et votre avis. Dans un mois environ, je devrais être à LA PAZ où vous pouvez me joindre à l'adresse habituelle. D'ici là, tous mes vœux et mes amitiés à tous.

Votre ami globe-trotter,

Horst (signature manuscrite)

Dessin précis de l'engin spatial observé par Horst Fenner, et de Athar et Kohun de Proxima du Centaure
Dessin précis de l'engin spatial observé par Horst Fenner, et de Athar et Kohun de Proxima du Centaure

Commentaire personnel :

Proxima du Centaure est à 4,244 années lumière de nous selon les informations terriennes, ce qui fait 40 000 milliards de km et pas 50 000 milliards de km comme indiqué par les extraterrestres. Ont-il fait une approximation à la cinquantaine comme ordre de grandeur pour Horst ? Ou désignent-ils une autre étoile située à 50 000 milliards de km ?

La première corroboration connue de « Billy » Meier est intervenue lors de son 60ème contact avec Semjase, qui a eu lieu le jeudi 8 juillet 1976, à partir de 14 h 03 en Suisse. Après un certain temps de discussion avec Semjase sur ce que les gouvernements américain et mondial faisaient au sujet des soucoupes volantes et de la rétro-ingénierie, ainsi que sur d'autres sujets connexes, un blanc est apparu après la ligne 121 de Semjase, et Meier a vu l'occasion de poser des questions sur les visiteurs de Centaurus.

Ceci est un extrait du contact 60 du 8 Juillet 1976, entre Semjase et Billy Meier, dans lequel la lettre de Trinidad est discutée.

« Billy :

D'accord, merci beaucoup pour cela. Mais maintenant, une autre question : Le prochain système solaire vu de nous appartient au groupe du Centaure. A ma connaissance, il s'agit d'abord de Proxima-Centauri, puis d'Alpha-Centauri et de Beta-Centauri, que nous appelons cependant autrement, à savoir l'étoile de BARNARD ou une étoile similaire, qui se trouve à un peu plus de 6 années-lumière de nous. Savez-vous si des habitants de ces systèmes solaires viennent sur Terre ?

Semjase :

124. Certainement, je connais moi-même, dans d'autres structures spatio-temporelles, plusieurs amis chers dans les trois systèmes, bien que ce ne soit que dans le système Barnard, c'est-à-dire Bêta-Centaure, que l'on peut découvrir depuis la Terre que de petites planètes y tournent autour du Soleil.

125. Mais pourquoi cette question ?

Billy :

C'est une histoire un peu bizarre - Connais-tu peut-être un certain ATHAR et KOHUN ?

Semjase :

126. Ce sont deux amis très chers de la région de Proxima-Centauri : mais d'où tenez-vous leurs noms ?

127. Tu sembles être informé de certaines choses dont je ne t'ai pas encore parlé jusqu'à présent.

Billy :

Peut-être, mais dis-moi quand même : depuis quand ce cher Athar et le Kohun opèrent-ils sur Terre - et restent-ils en contact avec des gens sur Terre ?

Semjase :

128. Ils viennent souvent ici.

129. Ils restent probablement en contact, mais pas de façon très étendue.

130. Leur dernier contact important a eu lieu il y a plus de 50 ans avec un Allemand, qui a également obtenu l'autorisation de les représenter très fidèlement.

Billy :

Et au début de cette année, ils ont à nouveau été représentés graphiquement et physionomiquement. Est-ce que ça pourrait être quelque chose comme ces deux-là - Regardez, j'ai ici un dessin.

Semjase :

131. ? ? ? ?

132. D'où proviennent ces dessins ?

133. Il s'agit bien de Kohun et Athar.

134. Comment ces dessins sont-ils arrivés entre vos mains ?

Billy :

C'est quelque chose que tu souhaites sans doute savoir, n'est-ce pas ? Mais lisez ceci. Je viens de recevoir ceci par la poste.

(Semjase lit pendant un long moment, avant de se tourner à nouveau vers moi avec un visage très surpris)

Semjase :

135. C'est vraiment une grande surprise.

136. Je ne savais rien de tout cela.

Billy :

Tu vois, toi non plus tu n'es pas omnisciente.

Semjase :

137. Je n'ai jamais suggéré cela non plus. »

Commentaire personnel :

Semjase dit que les trois systèmes de Alpha, Beta et Proxima Centauri sont habités et qu’elle connait des gens de ces trois systèmes « dans d’autres structures spatio-temporelles », c’est-à-dire dans d’autres univers ou sous-plans temporels.

En plus de trouver tout ceci dans le livre de Wendelle Stevens « UFO contact from planet Baavi in Proxima Centauri » on peut le retrouver aussi ici :
Lien 1
Lien 2

Ceci provient du contact n°106 du 10 avril 1978 (en pleine période de contacts intensifs), contact avec Quetzal cette fois-ci. Billy va parler du magazine GEO, No. 9 de septembre 1977, Pages 36-56

GEO : La nouvelle image de la Terre / Un magazine de l'étoile ; Maison d'édition Gruner + Jahr AG & Co. [Hambourg, Allemagne]. Article : Countdown für San Francisco

Il va parler notamment d’une image d’artiste représentant dans ce magazine un grand tremblement de Terre ravageant San Francisco, qui correspond à une photo que Billy Meier a faite de ce tremblement de Terre de San Francisco depuis une soucoupe volante pléiadienne lorsqu’il a été emmené par les pléiadiens en voyage dans le temps dans le futur. Il s’étonne que l’image peinte soit quasi identique à sa photo et demande.

Lors du 104ème contact de Billy Meier il prit une photo dans son voyage dans le temps avec les pléiadiens, d’une scène quasi identique à ce dessin du magazine Geo concernant un futur tremblement de terre à San Francisco qui diviserait le Transamerica Building (pyramide) en deux. Partie de gauche du dessin.
Lors du 104ème contact de Billy Meier il prit une photo dans son voyage dans le temps avec les pléiadiens, d’une scène quasi identique à ce dessin du magazine Geo concernant un futur tremblement de terre à San Francisco qui diviserait le Transamerica Building (pyramide) en deux. Partie de droite du dessin.

Lors du 104ème contact de Billy Meier il prit une photo dans son voyage dans le temps avec les pléiadiens, d’une scène quasi identique à ce dessin du magazine Geo concernant un futur tremblement de terre à San Francisco qui diviserait le Transamerica Building (pyramide) en deux.

Billy :

Ensuite, nous laissons toutes les garnitures. Ce n'est donc plus la peine d'en parler. Passons à un autre sujet : Connaissez-vous un magazine appelé GEO ? D'après ce que j'ai compris de ma note, il s'agit d'un magazine culturel géographique publié par Heinrich Bauer Verlag à Hambourg.

Quetzal :

40. Je ne connais pas cette revue.

41. Mais pourquoi demandez-vous cela ?

Billy :

À l'automne de l'année dernière, en septembre je crois, un numéro de ce magazine a publié un tableau d'un peintre qui a peint San Francisco dans sa forme future après sa destruction par le tremblement de terre. Maintenant, regardez ces photos, que j'ai prises pendant notre voyage à Frisco, lorsque vous m'avez emmené dans le futur. Ces photos correspondent très exactement à des parties du tableau que ce peintre a réalisé pour la maison d'édition Bauer. C'est du moins ce qu'on m'a expliqué hier. Cela signifie que lorsque ce tableau existe de la part de ce peintre de la maison d'édition, on va encore me faire passer pour un menteur et un tricheur, alors qu'une autre fois on va dire que j'aurais seulement pris des photos d'un tableau, afin de vouloir prouver certaines choses.

Quetzal :

42. Votre question a un certain contexte.

43. Il a dû se passer quelque chose, puisque tu me poses la question.

44. Et comment es-tu arrivé à connaître cette image, qui existe vraiment, à l'instant même ?

Oh, je vois, eh bien, on me l'a dit hier. Kurt était allé dans un restaurant à Zurich, où quelqu'un était en train de lire ce magazine, et il a vu la photo, parce qu'elle était montrée dans ce magazine. Bien sûr, il est allé expliquer à quelqu'un, derrière mon dos, que j'aurais probablement photographié des parties de cette photo.

Quetzal :

45. C'est très regrettable.

46. Je ne savais pas que cette photo, qui a été donnée à cet homme par inspiration, avait déjà été publiée.

47. Il doit y avoir eu un faux pas, car ce n'est qu'à l'automne de cette année qu'il a été rendu public

Billy :

Eh bien, c'est probablement une malchance pour moi, et c'est assez dommage, parce que je dois à nouveau passer par la même performance, comme à l'époque avec la photographie de la porte de l'univers. Mais qui a transmis cette impression au peintre ?

Quetzal :

49. Mais ils ont dû commettre une erreur en ce qui concerne la publication du tableau, parce qu'en relation avec certains événements à venir, le tableau ne devait pas être publié sur terre avant l'automne de cette année.

50. Pour ma part, j'ai pensé, lorsque vous m'avez demandé de faire ce voyage, que cela pouvait très bien se rapporter à vos photographies.

51. Cependant, dans ces circonstances, il est probablement préférable que je prenne les photographies, ainsi que les négatifs du film, afin de vous protéger contre d'autres attaques.

Commentaire personnel :

Les pléiadiens connaissent donc aussi Bâavi et disent travailler avec eux sur Terre. C’est orthographié « Baawi », mais je rappelle que l’orthographe « Bâavi » est entièrement phonétique, comme l’est « Baawi ». Ils parlent des mêmes.

Liens vers des documents plus complets sur ce contact :

• Livre complet "UFO contact from planet BAAVI in Proxima Centauri" publié par Wendelle Stevens, en anglais - format PDF: Cliquer ici

• Livre complet « Le livre des secrets trahis » de Robert Charroux en français (PDF) : Cliquer ici
☛ Voir pages 365-378

• Livre complet « Le livre du mystérieux inconnu » de Robert Charroux en français (PDF) : Cliquer ici
☛ Version numériquement empruntable avec des images d’excellente qualité : Cliquer ici
☛ Voir pages 400, 402-410, 412-414

• Livre complet « Le livre du passé mystérieux » de Robert Charroux en français (PDF) : Cliquer ici
☛ Voir page 449


☝ Liens en français :

Les clefs de l’inexpliqué/Alain Moreau (site disparu, archive)

Les races extraterrestres

La légende des baaviens (site disparu, archive)
repris ici


☝ Liens en anglais + traduction automatique FR :
Galactic.to/rune
☛ Traduction auto en FR : cliquer ici

Meier Saken lettre Trinidad
☛ Traduction auto en FR : cliquer ici


☝ Lien en espagnol + traduction automatique FR :

Los Extraplanetarios de Baavi
☛ Traduction auto en FR : cliquer ici